Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Tunisie – JCC 2024 : « La Palestine au cœur de l’avenue »

Une sélection de 18 films, entre longs et courts métrages, réalisés par des cinéastes palestiniens, mais également italiens, français, britanniques et égyptiens, figure au programme de la section « La Palestine au cœur de l’avenue », avec des projections prévues sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis dans le cadre de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

A travers des œuvres exprimant les souffrances et les espoirs du peuple palestinien et la participation active de cinéastes palestiniens dans les différentes sections et activités du festival, les JCC « qui ont toujours placé la Palestine au cœur de leur engagement » et dans le contexte marqué par « les agressions persistantes et continues subies par le peuple palestinien », lit-on sur la page officielle du festival, mettent la Palestine à l’honneur à travers un programme varié, dans son contenu et ses thèmes.

Le programme de l’édition 2024 propose une sélection d’œuvres, principalement des documentaires, signées par des cinéastes ayant déjà participé au festival, ainsi que des premières œuvres de jeunes réalisateurs.

Par ailleurs, ont été sélectionnés des films sur la Palestine réalisés par des cinéastes non palestiniens avec leurs visions particulières et uniques qui ont contribué à faire connaître la cause palestinienne au monde.

Parmi les films à découvrir figurent le long métrage « Aida Returns » (Le Retour d’Aida) de la palestinienne Carol Mansour, sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages documentaires de la 34ème édition (annulée) des JCC, ainsi que « La Porte du soleil » de l’égyptien Yousry Nasrallah, « Voyage à Gaza », un récit de l’italo-français Piero Usberti, et « Samouni Road » de l’italien Stefano Savona, qui a remporté le Prix Oeil d’Or pour le meilleur documentaire au Festival de Cannes en 2018.

D’autres œuvres poignantes et percutantes enrichissent le programme, notamment « Yallah Gaza » du cinéaste et scénariste français Roland Nurier, « Janin, Jenin », l’œuvre emblématique de Mohammad Bakri et « Laila’s Birthday » de Rashid Masharawi.

Les cinéphiles pourront également découvrir des œuvres acclamées pour leur originalité narrative sur la résistance palestinienne, telles que « The Wanted 18 » d’Amer Shomali, « Fix Me » de Raed Andoni, « Little Palestine, Diary of a Siege » d’Abdallah Al-Khatib, « Wajib » d’Annemarie Jacir, « 200 Meters » d’Ameen Nayfeh, et « The Present », un court métrage de la réalisatrice britannique Farah Nabulsi, nommé aux Oscars 2021.

D’autres découvertes sont au menu « The Crossing » d’Ameen Nayfeh, « Maradona’s Legs » de Firas Khoury, « Khaled and Nema » de Sohail Dahdal, « Roshmia » de Salim Abu Jabal, et « Nadia’s Visa » de la cinéaste palestino-jordanienne Hanadi Elyan. Un recueil de 22 courts métrages réalisés à Gaza, intitulé « From Ground Zero, Untold Stories from Gaza », complète cette riche programmation.

En parallèle, une exposition sera organisée autour de l’histoire du cinéma palestinien, avec des archives de films et des documents audiovisuels rendant hommage aux « martyrs de l’image », ceux qui ont sacrifié leur vie pour transmettre la vérité. Cette exposition présente également des extraits de films palestiniens ayant remporté des Tanits ou marqué les précédentes éditions des JCC.

L’article Tunisie – JCC 2024 : « La Palestine au cœur de l’avenue » est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

JCC 2024 : la Palestine à l’honneur avec 18 films sur l’avenue Habib Bourguiba

Une sélection de 18 films, entre longs et courts métrages, réalisés par des cinéastes palestiniens, mais également italiens, français, britanniques et égyptiens, figure au programme de la section “La Palestine au cœur de l’avenue”, avec des projections prévues sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis dans le cadre de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

A travers des œuvres exprimant les souffrances et les espoirs du peuple palestinien et la participation active de cinéastes palestiniens dans les différentes sections et activités du festival, les JCC “qui ont toujours placé la Palestine au cœur de leur engagement” et dans le contexte marqué par “les agressions persistantes et continues subies par le peuple palestinien”, lit-on sur la page officielle du festival, mettent la Palestine à l’honneur à travers un programme varié, dans son contenu et ses thèmes.

Le programme de l’édition 2024 propose une sélection d’œuvres, principalement des documentaires, signées par des cinéastes ayant déjà participé au festival, ainsi que des premières œuvres de jeunes réalisateurs. Par ailleurs, ont été sélectionnés des films sur la Palestine réalisés par des cinéastes non palestiniens avec leurs visions particulières et uniques qui ont contribué à faire connaître la cause palestinienne au monde.

Parmi les films à découvrir figurent le long métrage “Aida Returns” (Le Retour d’Aida) de la palestinienne Carol Mansour, sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages documentaires de la 34ème édition (annulée) des JCC, ainsi que “La Porte du soleil” de l’égyptien Yousry Nasrallah, “Voyage à Gaza”, un récit de l’italo-français Piero Usberti, et “Samouni Road” de l’italien Stefano Savona, qui a remporté le Prix Oeil d’Or pour le meilleur documentaire au Festival de Cannes en 2018.

D’autres œuvres poignantes et percutantes enrichissent le programme, notamment “Yallah Gaza” du cinéaste et scénariste français Roland Nurier, “Janin, Jenin”, l’œuvre emblématique de Mohammad Bakri et “Laila’s Birthday” de Rashid Masharawi.

Les cinéphiles pourront également découvrir des œuvres acclamées pour leur originalité narrative sur la résistance palestinienne, telles que “The Wanted 18” d’Amer Shomali, “Fix Me” de Raed Andoni, “Little Palestine, Diary of a Siege” d’Abdallah Al-Khatib, “Wajib” d’Annemarie Jacir, “200 Meters” d’Ameen Nayfeh, et “The Present”, un court métrage de la réalisatrice britannique Farah Nabulsi, nommé aux Oscars 2021.

D’autres découvertes sont au menu “The Crossing” d’Ameen Nayfeh, “Maradona’s Legs” de Firas Khoury, “Khaled and Nema” de Sohail Dahdal, “Roshmia” de Salim Abu Jabal, et “Nadia’s Visa” de la cinéaste palestino-jordanienne Hanadi Elyan.

Un recueil de 22 courts métrages réalisés à Gaza, intitulé “From Ground Zero, Untold Stories from Gaza”, complète cette riche programmation.

En parallèle, une exposition sera organisée autour de l’histoire du cinéma palestinien, avec des archives de films et des documents audiovisuels rendant hommage aux “martyrs de l’image”, ceux qui ont sacrifié leur vie pour transmettre la vérité. Cette exposition présente également des extraits de films palestiniens ayant remporté des Tanits ou marqué les précédentes éditions des JCC.

La jeune réalisatrice tunisienne Nour Ben Salem «privée» des JCC

Malgré son succès dans de nombreux festivals internationaux, le court-métrage ‘‘Palestine Islands’’ du couple tuniso-français Nour Ben Salem et Julien Menanteau n’a pas été inscrit au programme de la 35e édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) qui se tiendront du 14 au 21 décembre 2024. Allez savoir pourquoi !

Ce film est une production franco-jordanienne de 2023. Tourné dans le camp des réfugiés de Awdet, à Amman, il évoque le drame du peuple palestinien à travers une fiction poignante de force et de vérité.  

‘‘Palestine Island’’ a certes déjà été sélectionné plus de 82 fois durant la période 2023-2025, que ce soit en France ou à l’étranger (Amérique du Nord, Suède, Canada, Turquie, Belgique, Koweït, Norvège, Suisse, Italie, Mexique, Inde, Canada, Maroc, Emirats arabes unis, Grèce, Algérie, Tchéquie, Grande Bretagne, Indonésie, Albanie, Australie, Azerbaïdjan, Maroc, Allemagne, Japon, Danemark, Chine, Afrique du Sud et Bahreïn).

Le film a également récolté une vingtaine de prix et de récompenses. Mais sa jeune coréalisatrice tunisienne, Nour Ben Salem, aurait bien aimé le voir projeté dans le plus prestigieux festival de cinéma dans son propre pays. Sauf qu’elle n’appartient pas aux réseaux locaux et n’a pas de copains ou de copines au sein du comité d’organisation des JCC 2024.

Si un film réalisé par une Tunisienne, qui porte sur le drame palestinien, et dont la qualité artistique a été reconnue par plusieurs festivals dans le monde, n’a pas sa place dans le programme des JCC, on se demande sur quels critères se basent la direction de ce prestigieux festival pour établir sa sélection.

Rappelons que Kapitalis a écrit sur ce film et a dit tout le bien qu’il en pense.

I. B.

L’article La jeune réalisatrice tunisienne Nour Ben Salem «privée» des JCC est apparu en premier sur Kapitalis.

Préparatifs des JCC au ministère des Affaires culturelles

Les préparatifs pour l’organisation de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC) ont été à l’ordre du jour d’une séance de travail tenue hier mercredi, sous la présidence de la ministre des Affaires culturelles Amina Srarfi, en présence du comité directeur du festival et de plusieurs cadres du ministère.

La séance, informe le ministère sur sa page officielle, a permis de passer en revue les préparatifs financiers, organisationnels, logistiques et artistiques concernant les différentes sections du festival, ainsi que la stratégie de communication et de marketing pour cet événement culturel majeur, prévu du 14 au 21 décembre 2024.

L’accent a été également mis sur l’importance d’une coordination efficace avec les parties concernées afin d’assurer le succès de cette édition. Sachant que cette année, les JCC accueilleront des participants de 21 pays et mettront à l’honneur la Jordanie et le Sénégal.

A cette occasion, la ministre a souligné l’importance de consolider le niveau atteint par les JCC depuis leur création dans les années 1960.  Tout en mettant en avant leur spécificité et leur place singulière notamment sur la carte des festivals internationaux. Elle a également insisté sur la nécessité d’accorder une attention particulière aux créateurs tunisiens et d’inviter les artistes et cinéastes de différentes générations à prendre part aux cérémonies d’ouverture et de clôture, ainsi qu’aux diverses activités de ce rendez-vous cinématographique.

Avec TAP

 

L’article Préparatifs des JCC au ministère des Affaires culturelles est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Atelier d’analyse filmique et d’écriture critique en marge des JCC 2024

Après une première édition exceptionnelle durant le Festival international du film amateur de Kélibia (Fifak 2024), l’association Echos cinématographiques organise la deuxième édition de l’Atelier d’analyse filmique et d’écriture critique durant les Journées cinématographiques de Carthage (JCC).

Les participants seront invités à discuter, analyser une sélection de films projetés lors de l’édition 2024 des JCC et à s’exercer à l’écriture à travers des textes individuels à développer en groupe.

Les bénéficiaires sont les personnes qui publient régulièrement des écrits ou des contenus médiatiques de toute forme (journaliste, blogueur, créateur de contenu, podcasts, reportages).
Pour candidater, il faut être cinéphile, passionné par l’écriture ou la création de contenu, être intéressé par l’acquisition des outils d’analyse filmique et de critique de cinéma et motivé par la publication de contenus portant sur le cinéma tunisien.

Les candidats doivent également résider en Tunisie, avoir écrit ou réalisé une publication sur tout type de support public, y compris les médias et réseaux sociaux, s’engager à être disponible entièrement pour l’ensemble des activités du 13 au 22 décembre 2024, et s’engager à écrire un texte à publier dans la revue de l’atelier.

L’atelier sera animé par les intervenants Kmar Bendana, professeure d’histoire contemporaine à l’Université de La Manouba (Tunisie), Sihem Sidaoui, maitre-assistante à la Faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de La Manouba où elle enseigne la littérature et l’analyse filmique, et Imen Gharbi, enseignante agrégée à la Faculté des Lettres, Arts et Humanités de La Manouba.

Lien pour candidater.

L’article Atelier d’analyse filmique et d’écriture critique en marge des JCC 2024 est apparu en premier sur Kapitalis.

❌