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Tunisie – JCC 2024 : « La Palestine au cœur de l’avenue »

Une sélection de 18 films, entre longs et courts métrages, réalisés par des cinéastes palestiniens, mais également italiens, français, britanniques et égyptiens, figure au programme de la section « La Palestine au cœur de l’avenue », avec des projections prévues sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis dans le cadre de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

A travers des œuvres exprimant les souffrances et les espoirs du peuple palestinien et la participation active de cinéastes palestiniens dans les différentes sections et activités du festival, les JCC « qui ont toujours placé la Palestine au cœur de leur engagement » et dans le contexte marqué par « les agressions persistantes et continues subies par le peuple palestinien », lit-on sur la page officielle du festival, mettent la Palestine à l’honneur à travers un programme varié, dans son contenu et ses thèmes.

Le programme de l’édition 2024 propose une sélection d’œuvres, principalement des documentaires, signées par des cinéastes ayant déjà participé au festival, ainsi que des premières œuvres de jeunes réalisateurs.

Par ailleurs, ont été sélectionnés des films sur la Palestine réalisés par des cinéastes non palestiniens avec leurs visions particulières et uniques qui ont contribué à faire connaître la cause palestinienne au monde.

Parmi les films à découvrir figurent le long métrage « Aida Returns » (Le Retour d’Aida) de la palestinienne Carol Mansour, sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages documentaires de la 34ème édition (annulée) des JCC, ainsi que « La Porte du soleil » de l’égyptien Yousry Nasrallah, « Voyage à Gaza », un récit de l’italo-français Piero Usberti, et « Samouni Road » de l’italien Stefano Savona, qui a remporté le Prix Oeil d’Or pour le meilleur documentaire au Festival de Cannes en 2018.

D’autres œuvres poignantes et percutantes enrichissent le programme, notamment « Yallah Gaza » du cinéaste et scénariste français Roland Nurier, « Janin, Jenin », l’œuvre emblématique de Mohammad Bakri et « Laila’s Birthday » de Rashid Masharawi.

Les cinéphiles pourront également découvrir des œuvres acclamées pour leur originalité narrative sur la résistance palestinienne, telles que « The Wanted 18 » d’Amer Shomali, « Fix Me » de Raed Andoni, « Little Palestine, Diary of a Siege » d’Abdallah Al-Khatib, « Wajib » d’Annemarie Jacir, « 200 Meters » d’Ameen Nayfeh, et « The Present », un court métrage de la réalisatrice britannique Farah Nabulsi, nommé aux Oscars 2021.

D’autres découvertes sont au menu « The Crossing » d’Ameen Nayfeh, « Maradona’s Legs » de Firas Khoury, « Khaled and Nema » de Sohail Dahdal, « Roshmia » de Salim Abu Jabal, et « Nadia’s Visa » de la cinéaste palestino-jordanienne Hanadi Elyan. Un recueil de 22 courts métrages réalisés à Gaza, intitulé « From Ground Zero, Untold Stories from Gaza », complète cette riche programmation.

En parallèle, une exposition sera organisée autour de l’histoire du cinéma palestinien, avec des archives de films et des documents audiovisuels rendant hommage aux « martyrs de l’image », ceux qui ont sacrifié leur vie pour transmettre la vérité. Cette exposition présente également des extraits de films palestiniens ayant remporté des Tanits ou marqué les précédentes éditions des JCC.

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JCC 2024 : la Palestine à l’honneur avec 18 films sur l’avenue Habib Bourguiba

Une sélection de 18 films, entre longs et courts métrages, réalisés par des cinéastes palestiniens, mais également italiens, français, britanniques et égyptiens, figure au programme de la section “La Palestine au cœur de l’avenue”, avec des projections prévues sur l’avenue Habib Bourguiba à Tunis dans le cadre de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (JCC, 14-21 décembre 2024).

A travers des œuvres exprimant les souffrances et les espoirs du peuple palestinien et la participation active de cinéastes palestiniens dans les différentes sections et activités du festival, les JCC “qui ont toujours placé la Palestine au cœur de leur engagement” et dans le contexte marqué par “les agressions persistantes et continues subies par le peuple palestinien”, lit-on sur la page officielle du festival, mettent la Palestine à l’honneur à travers un programme varié, dans son contenu et ses thèmes.

Le programme de l’édition 2024 propose une sélection d’œuvres, principalement des documentaires, signées par des cinéastes ayant déjà participé au festival, ainsi que des premières œuvres de jeunes réalisateurs. Par ailleurs, ont été sélectionnés des films sur la Palestine réalisés par des cinéastes non palestiniens avec leurs visions particulières et uniques qui ont contribué à faire connaître la cause palestinienne au monde.

Parmi les films à découvrir figurent le long métrage “Aida Returns” (Le Retour d’Aida) de la palestinienne Carol Mansour, sélectionné pour la compétition officielle des longs métrages documentaires de la 34ème édition (annulée) des JCC, ainsi que “La Porte du soleil” de l’égyptien Yousry Nasrallah, “Voyage à Gaza”, un récit de l’italo-français Piero Usberti, et “Samouni Road” de l’italien Stefano Savona, qui a remporté le Prix Oeil d’Or pour le meilleur documentaire au Festival de Cannes en 2018.

D’autres œuvres poignantes et percutantes enrichissent le programme, notamment “Yallah Gaza” du cinéaste et scénariste français Roland Nurier, “Janin, Jenin”, l’œuvre emblématique de Mohammad Bakri et “Laila’s Birthday” de Rashid Masharawi.

Les cinéphiles pourront également découvrir des œuvres acclamées pour leur originalité narrative sur la résistance palestinienne, telles que “The Wanted 18” d’Amer Shomali, “Fix Me” de Raed Andoni, “Little Palestine, Diary of a Siege” d’Abdallah Al-Khatib, “Wajib” d’Annemarie Jacir, “200 Meters” d’Ameen Nayfeh, et “The Present”, un court métrage de la réalisatrice britannique Farah Nabulsi, nommé aux Oscars 2021.

D’autres découvertes sont au menu “The Crossing” d’Ameen Nayfeh, “Maradona’s Legs” de Firas Khoury, “Khaled and Nema” de Sohail Dahdal, “Roshmia” de Salim Abu Jabal, et “Nadia’s Visa” de la cinéaste palestino-jordanienne Hanadi Elyan.

Un recueil de 22 courts métrages réalisés à Gaza, intitulé “From Ground Zero, Untold Stories from Gaza”, complète cette riche programmation.

En parallèle, une exposition sera organisée autour de l’histoire du cinéma palestinien, avec des archives de films et des documents audiovisuels rendant hommage aux “martyrs de l’image”, ceux qui ont sacrifié leur vie pour transmettre la vérité. Cette exposition présente également des extraits de films palestiniens ayant remporté des Tanits ou marqué les précédentes éditions des JCC.

45e édition du festival international du film du Caire | «Le pont» de Walid Mattar au CIFF du Caire : Une jeunesse à la dérive

De notre envoyée spéciale Neila Gharbi

Le second long métrage de Walid Mattar en première mondiale au Festival international du film du Caire, un film low cost qui ne manque pas d’humour certes, mais jette un regard désespérant sur une jeunesse qui n’a visiblement pas de repères… Hamzaoui signe une musique particulièrement significative.

Walid Mattar, cinéaste autodidacte, enfant de la Fédération tunisienne des cinéastes amateurs, a présenté en première mondiale son second long métrage « Le pont» en compétition de la section Horizon arabe au 45e Ciff du Caire. Un film sur une jeunesse désœuvrée qui cherche à s’enrichir facilement.

Tarak dit Tita, rappeur, Foued, réalisateur, et Safa, instagrameuse, trois jeunes en quête d’argent se rencontrent sur le tournage d’un clip qui tourne à la dérision. Tita, rappeur inconnu, tourne un clip avec deux sous. Il négocie le cachet de l’actrice, une étudiante, qui se fait de l’argent en réalisant des live des bijoux qu’elle vend sur Instagram. Le réalisateur ami du rappeur loue une décapotable rouge pour les besoins du tournage.

Mais Tita essaie de jouer les stars et exige de tourner sur un yacht. Ce sera une barque de pêcheurs. Lors du tournage en mer, le trio tombe sur une grosse caisse flottant sous la felouque. Et c’est là que le récit prend une autre tournure. La découverte est énorme. Il s’agit d’un paquet bourré de stupéfiants jeté dans le large pour être repêché par d’éventuels dealers. Une découverte que les trois écervelés essaient de liquider à petites doses  à des consommateurs dans une boîte de nuit où travaille Safa.

Au carrefour de la comédie et du drame, le film raconte avec justesse une histoire réaliste. Il ne faut pas s’attendre à un thriller sur le trafic de drogue, mais plutôt à un récit totalement déjanté et amusant. Le film s’intéresse surtout à l’aventure rocambolesque de ces trois jeunes crédules qui tentent de s’enrichir rapidement sans beaucoup d’effort.

Mais l’affaire tourne mal lorsque le frère de la femme de ménage de la boîte de nuit où travaille Safa les menace en voulant sa part du pactole.

Le choix du pont de Radès est assez significatif. Il sépare mais aussi relie la banlieue nord celle des fêtards et des boîtes de nuit à celle du sud d’une classe moyenne démunie où la jeunesse rêve d’une vie plus décente et moins contraignante. L’espoir s’évapore et les trois copains se séparent et repartent chacun à zéro.

Après «Chirch», son premier opus, Walid Mattar réalise un film low cost qui ne manque pas d’humour certes, mais jette un regard désespérant sur une jeunesse qui n’a visiblement pas de repères dans une société rongée par la corruption. Les plans du pont de Radès, la nuit, sont saisissants. Hamzaoui signe une musique significative qui prend une place importante dans la narration. Le casting est à la hauteur du propos. Seif Omrane, Mohamed Amine Hamzaoui et Sarra Hanachi réussissent avec un jeu naturel à former une bande de canailles formidable.

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45e édition du festival international du film du Caire | «Le printemps arrive» en souriant de Noha Adel,  en compétition au CIFF du Caire : Une satire sociale jubilatoire

De notre envoyée spéciale Neila Gharbi

Une prouesse formelle pour une première œuvre enthousiasmante dont la première impression est la maîtrise cinématographique de l’image et du son.

Le film égyptien «Le printemps arrive en souriant» (Dakhala Rabiaa Yadhak) de Noha Adel, projeté dans le cadre de la compétition internationale de la 45e édition du Festival international du film du Caire, est une satire douce-amère sur l’univers féminin avec ses joies et ses déboires. Pour son premier long métrage, Noha Adel s’est offert un casting composé presque exclusivement d’actrices dont la plupart apparaissent pour la première fois à l’écran. «Le printemps arrive en souriant» est une immersion dans l’intimité des femmes.

Le film est original et pertinent dans son approche. Il est composé de scénettes, quatre au total, qui n’ont de lien entre elles que les saisons, en l’occurrence ici le printemps jusqu’à l’arrivée de l’automne. La première longue séquence, une femme âgée et sa fille invitent un voisin et son fils pour un thé. Tout se passe tranquillement jusqu’à ce que le fils fasse une proposition inattendue. Il veut faire marier son père à cette voisine. A ce moment précis, éclate une dispute entre les deux enfants et la jeune femme refuse la proposition et se met à insulter le fils.       

Le plan séquence de la deuxième scène se déroule dans un lounge. Une femme invite ses copines pour fêter son anniversaire. Entre un morceau de gâteau et une boisson, la discussion porte sur les relations maritales. Cette réunion amicale tourne au drame lorsque l’une  des présentes, qui n’était pas invitée à cet anniversaire, évoque une histoire d’infidélité. Se sentant visée, la principale protagoniste se querelle avec cette dernière et la renvoie.

La troisième se passe dans un salon de coiffure, une cliente s’aperçoit qu’elle a perdu sa bague et décide de fermer le salon à  clé jusqu’à ce qu’on lui retrouve le précieux bijou dont elle soupçonne qu’il lui a été volé. La quatrième scène a lieu dans la chambre d’une jeune fille qui se prépare à son mariage. Entourée de sa famille et de ses copines, elle se maquille et s’amuse en chantant et dansant. C’est alors que l’une des copines se sent visée par une remarque et éclate une querelle entre elle et la mère qu’elle soupçonne de chercher à bousiller le mariage de sa fille. Le film se termine comme il a commencé, les deux vieux voisins se rencontrent dans le jardin de la résidence et, sur les airs d’un refrain de Arabiâa de Ferid Latrech, se termine le film. «Le printemps arrive en souriant» est une prouesse formelle. Une première œuvre enthousiasmante dont la première impression est la maîtrise cinématographique de l’image et du son. Une immersion dans le monde féminin écrit avec un sens proche du romanesque. Filmé au plus près des actrices, le film propose une palette d’émotions que les protagonistes traversent dans leur vécu. Femmes filmées par une femme en plans rapprochés, le film suit une évolution en crescendo qui débute par le rire et se termine par les larmes. Une tragi-comédie bien rythmée et orchestrée par une réalisatrice qui a le sens de la mesure.

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Human Screen Festival 2024: Féminicide, Paix et Sécurité’ au programme

Le Festival International du Film des Droits de l’Homme, Human Screen Festival – Karama Tunisie-, se déroulera dans sa neuvième édition du 27 au 30 novembre 2024, autour du thème “Féminicide, Paix et Sécurité”.

Organisé par l’association culturelle tunisienne pour l’insertion et la formation (ACTIF) avec le soutien notamment du Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), ce rendez-vous cinématographique aura lieu à Tunis, Gabès, Zaghouan (Bir Mcharga et Hammam Zriba), Ben Arous (Mornag) et Bizerte.

La sélection de l’édition 2024 regroupe 52 films en provenance de 24 pays, dont 8 longs métrages fiction, 14 courts métrages fiction, 10 longs métrages documentaires, 11 courts documentaires et 9 films d’animation.

Le jury de la compétition des films documentaire réunit le producteur tunisien Habib Ben Hedi, la professeure universitaire Souad Zribi et le réalisateur-producteur-scénariste Akram Moncer.

Le jury de la compétition des films fiction est formé de la réalisatrice, scénariste et productrice Mirvet Kammoun, de l’expert en production et assistance à la réalisation Hakim Abdelfattah et du compositeur et producteur de musique Rabii Zammouri.

Le festival invite à découvrir des perspectives issues de pays dont les cultures restent souvent méconnues. Il propose également des débats sur des questions cruciales touchant aux libertés individuelles et collectives, ainsi qu’à l’émancipation nationale et personnelle face aux multiples formes de l’hégémonie coloniale moderne.

Créé en 2012 par l’association ACTIF, Human Screen Festival Tunisie vise à promouvoir la culture des droits humains en Tunisie à travers le cinéma local et international, tout en assurant une ouverture sur les mouvements et changements qui s’opèrent à l’échelle mondiale.

Avec une sélection de 37 films issus de 16 pays, la huitième édition en 2023 a été placée autour du thème « Femmes, Paix et Sécurité ».

Festival du Caire 2024 : deux films tunisiens primés dans les prix parallèles

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions dans le cadre des prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire qui se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Ainsi, le film “Mal Wa Banoun” de Houssem Sanassa, a obtenu une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab, décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film “Barsha” réalisé par Nada Mezni Hfaiedh a été récompensé par le prix “Rough Cut Lab Africa”. Ces distinctions font partie des prix parallèles du festival, en attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle lors de la cérémonie de clôture.

Présenté en avant-première mondiale, le long-métrage “Nawar achiya” de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. Par ailleurs, le film “Qantra” de Walid Mattar, est en lice dans la section “Horizons du cinéma arabe”.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a lors de ce rendez-vous cinématographique présenté en avant-première son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains), sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice avec un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Festival Cinemamed 2024 : le cinéma tunisien brille avec “Aïcha” et “Les enfants rouges

Le cinéma tunisien affiche cette année sa présence dans la sélection des 19 avant-premières ainsi que dans les deux compétitions, officielle des longs métrages et Révolution de la 24ème édition du Festival Cinéma Méditerranéen de Bruxelles Cinemamed qui se tiendra du 28 novembre au 06 décembre 2024 autour du thème “A la croisée des chemins entre exode rural et retour aux sources”.

Parmi les 19 avant-premières qui sortiront prochainement en Belgique, figurent les deux longs métrages “Aicha” de Mehdi M. Barsaoui et “Les enfants rouges” de Lotfi Achour.

Dans la sélection des huit longs métrages en lice dans la compétition officielle figure le film “Les enfants rouges” de Lofti Achour (97′), un drame singulièrement onirique inspiré de faits réels. Bayard d’Or au Festival International du Film Francophone de Namur, le film qui représente la Tunisie aux côtés d’œuvres de l’Espagne, de la Turquie, la Grèce, la France et de l’Italie, concourt pour les différents prix dont le Grand Prix, le Prix Cineuropa, le Prix de la Critique et le Prix du Jury citoyen.

Dans la compétition « Révolution, Un regard sur demain » figure parmi les 8 films sélectionnés et qui montrent à travers le documentaire et la fiction les défis auxquels les jeunesses méditerranéennes font face, le film “Aïcha” de Mehdi M. Barsaoui, présenté comme un étourdissant récit d’émancipation féminine au cœur d’une société gangrénée par la corruption.

Sera en course également le long métrage documentaire “Donga”, une production tuniso-libyenne du réalisateur Muhannad Lamin qui se présente comme voyage personnel est un témoignage de la réalité libyenne post-révolution.

Les films en compétition dans cette catégorie sont en course pour le Prix du Jury Révolution et le Prix du Jury Jeune.

Dressant un portrait subtil du bassin méditerranéen à travers la diversité de son cinéma, le festival Cinemamed prévoit pour son édition 2024 la projection de plus de 70 films du bassin méditerranéen.

Festival international du film du Caire : deux prix pour le cinéma tunisien

Le cinéma tunisien s’est distingué en remportant deux prix parallèles lors de la 45e édition du Festival international du film du Caire, qui se déroule en Égypte du 13 au 22 novembre.

Le film Mal Wa Banoun, réalisé par Houssem Sanassa, a décroché une bourse de participation au laboratoire Mozaïk pour la post-production, offerte par la Commission royale du film de Jordanie. De son côté, le film Barsha, réalisé par Nada Mezni Hfaiedh, s’est vu attribuer le prix Rough Cut Lab Africa. Ces distinctions viennent enrichir les récompenses parallèles du festival, en attendant la révélation des lauréats des prix officiels lors de la cérémonie de clôture.

La Tunisie est également représentée dans la compétition officielle par le film Nwaar Aachiya de la réalisatrice et productrice Khadija Lemkecher, qui sera projeté en avant-première mondiale aux côtés de 17 autres œuvres internationales. Par ailleurs, le film Kantra de Walid Mattar concourt dans la section Horizons du cinéma arabe.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a marqué cette édition en présentant son premier documentaire, Wen Sarna, une œuvre qui explore la condition des réfugiés palestiniens. Ce film constitue sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice. Zarrouk a également pris part à une table ronde organisée jeudi sur le thème : “Cinéma palestinien et libanais – Histoires d’identité et de résilience”. Elle y a échangé aux côtés de figures du cinéma arabe, notamment Mai Masri, Najwa Najjar et Myriam El Hajj.

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La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

La salle de cinéma Amilcar rouvre ses portes avec le film événement “Bolice”

La mythique salle de cinéma Amilcar, située au Menzah, rouvre ses portes pour accueillir les passionnés du grand écran. Forte de son riche héritage dans l’histoire cinématographique tunisienne, elle promet une expérience unique mêlant confort et luxe. Pour marquer cette réouverture, le film événement “Bolice” du réalisateur Majdi Smiri sera à l’affiche, offrant une occasion […]

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“Bolice” : une comédie d’action tunisienne à l’américaine ?

Film BOLICE
Film BOLICE

Près de 700 spectateurs de tous âges ont assisté lundi soir au complexe culturel de Monastir à l’avant-première du film “Bolice” du réalisateur Majdi Smiri, dans le gouvernorat de Monastir.

Le film célèbre les succès des forces de sécurité et ceux de la joueuse de tennis Ons Jabeur, offrant une image d’un citoyen tunisien capable de relever avec brio des défis internationaux. Il adopte un style comique avec des éléments inspirés du patrimoine linguistique tunisien, bien que certaines scènes, inspirées des films américains, ne reflètent pas nécessairement la réalité tunisienne.

Le film contribue à renforcer la fierté des Tunisiens envers leurs institutions étatiques, tout en valorisant leur image et leur confiance en leurs capacités à s’imposer parmi les nations. Il transmet un message positif qui combat la mentalité de démotivation et de minimisation des peuples, tout en promouvant une culture de paix et de coopération entre eux.

Ce film rappelle également au public tunisien les exploits de ses ancêtres, notamment durant l’Empire carthaginois qui s’étendait sur les rives nord et sud de la Méditerranée et constituait alors une puissance majeure dans la région.

Synopsis
L’histoire tourne autour de la réussite d’une équipe de policiers tunisiens, accompagnée d’un officier militaire, dans leur mission visant à désamorcer une bombe nucléaire. Cette mission les conduit sur les traces de groupes criminels opérant à Moscou, au Japon, à Londres, en Égypte et bien sûr en Tunisie.

Réactions et analyses
Le critique cinématographique Fawzi Sekhiri a déclaré à l’agence TAP, après la projection, que Majdi Smiri possède une vision distinctive et s’appuie largement sur les effets visuels, utilisant des techniques avancées inspirées des standards hollywoodiens.

Ce nouveau film a captivé le public grâce à des moments comiques portés par Kamal Touati et Chadli Arfaoui, entre autres. Bien que l’histoire ne soit pas réaliste, Sekhiri a souligné que cela était un choix apprécié, prévoyant que de nombreux jeunes réalisateurs suivront l’exemple de Smiri.

Pour sa part, le journaliste Mohamed Bouab a salué l’intrigue du film et sa capacité à sortir les spectateurs de la routine quotidienne grâce à de nombreuses situations humoristiques. Il a toutefois estimé que Nidhal Saadi n’a pas réussi à remplacer Lotfi Abdelli dans le rôle d’Amar. Il a également apprécié la qualité de la projection et l’interaction positive du public, notant l’hommage rendu à l’artiste Yasser Jeradi à la fin du film, exempt de tout discours inapproprié.

Programmation et perspectives
Amira Bakouch, directrice du complexe culturel de Monastir, a précisé que “Bolice” avait déjà suscité de l’intérêt lors de sa phase de tournage en septembre dernier. Elle a souligné que le complexe s’efforce de rapprocher le public des nouveautés cinématographiques, en particulier tunisiennes.

Le film, initialement une série télévisée populaire, est qualifié de comédie d’action familiale. Bakouch a également noté l’engouement croissant du public pour le cinéma tunisien et ses nouvelles productions.

Trois autres projections de “Bolice” sont prévues les 24 et 29 novembre ainsi que le 1er décembre. De plus, le film “Sahbek Rajel” de Kais Chekir sera projeté le 7 décembre 2024.

 

Avant-première de Bolice : Le Film Du petit au grand écran

L’avant-première de « Bolice Le Film » s’est tenue le dimanche 17 novembre 2024, à la Cité de la culture de Tunis, dans la prestigieuse salle de l’Opéra.

A la suite du succès des quatre saisons de la série Bolice, Majdi Smiri refait son immersion dans le 7e art avec Bolice Le Film. Il invite le public à plonger dans un univers captivant et intense avec plein de suspense et d’émotion. Le film se distingue par la présence de grands acteurs, et promet de nombreuses surprises grâce à la participation d’artistes et talents exceptionnels. Ce passage du petit au grand écran  se traduit par une œuvre ambitieuse de divertissement qui allie comédie et action.  Porté par Hosni Ghariani, producteur du film, Bolice Le Film reflète un engagement fort pour promouvoir le patrimoine culturel tunisien tout en adoptant une vision internationale. Avec la production de ce film, il relève un défi stratégique en prônant une convergence entre le cinéma et la publicité. « L’art cinématographique est en soi une source d’inspiration pour des campagnes publicitaires percutantes », affirme Hosni Ghariani. Cette initiative marque la volonté de la production d’ouvrir de nouvelles perspectives culturelles et économiques pour la Tunisie. Sous la direction de Majdi Smiri, le film fait montre d’une mise en scène soignée et d’une vision artistique audacieuse. La collaboration avec l’agence de production Frameworks, dirigée par Farouk Cherif, apporte une expertise technique et créative qui élève la production à un niveau international. Cette synergie met en lumière l’excellence des talents tunisiens dans l’univers cinématographique, consolidant la réputation de la Tunisie comme terre de créativité et d’innovation. Brillant d’un éclat hollywoodien, le film rassemble de grands noms de la scène tunisienne, tels que Kamel Touati, Mouna Noureddine, Chedli Arfaoui, Rim Ben Massoud, Jamil Najjar  et Nidhal Sâadi qui rejoint l’équipe. À cela s’ajoutent des participations d’artistes libanais comme Karol Aboud et Lisa Debes, confortant ainsi un riche échange culturel entre la Tunisie et le Liban. En complément, des talents russes et japonais apportent une dimension internationale, le tout sublimé par une sauce tunisienne pleine d’épices culturelles et artistiques.

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Le film “Emna” de Bouslama Chamakh en avant-première tunisienne à la Cité des Sciences de Tunis

Mention spéciale du jury à la 11ème édition du festival Cinémas d’Afrique Africlap Film Festival à Toulouse (7-16 novembre 2024), le long métrage fiction “EMNA” (2023), écrit et réalisé par l’architecte et cinéaste tunisien résidant en Suisse, Bouslama Chamakh, sera projeté en avant-première tunisienne le 22 novembre 2024 à la Cité des Sciences de Tunis (CST).

Cette projection s’inscrit dans le cadre d’une journée autour de l’architecture comme vecteur de transformation sociale “Territoire et Alternatives”, organisée par l’association Architectes Citoyens, en collaboration avec l’Ecole nationale d’architecture et d’urbanisme (ENAU) et l’Ordre des architectes de Tunisie (OAT) en vue de repenser le territoire et d’explorer des alternatives pour un avenir durable.

Selon Bouslama Chamakh, “Emna”, son premier long métrage, est né d’un désir de raconter des histoires humanistes. Autour d’une équipe métissée composée notamment de Didier Varrin (photographie) et Bernard Léchot (musique), le film réunit, dans les rôles principaux, l’actrice franco-tunisienne Aoitef Kouki et l’acteur Benjamin Wehrli, dans le rôle de Daniel, un botaniste suisse, “stressé par son environnement, écrasé par la pression sociale et hanté par des pulsions suicidaires, il décide de s’isoler dans la cabane de ses parents. Au même moment, Zaineb et sa fille, abandonnées par un passeur à la frontière italo-suisse, errent dans les montagnes essayant de joindre illégalement la Suisse” (synopsis).

Tourné dans les vallées de Grimmialp et de Simmental en Suisse, la fiction se présente comme une réflexion sur l’universalité du désespoir à travers un huis clos entre des personnages profondément humains, pour se situer selon le cinéaste, au croisement de l’architecture, de l’urbanisme et de l’humain.

Sélectionné dans plusieurs grands festivals, le films a été notamment présenté dans la catégorie “Cinéma du Monde” à la 29ème édition du Festival du Film d’Auteur de Rabat et programmé en 2023 dans la section “Horizons du cinéma tunisien” de la 34ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage (édition annulée des JCC).

Projeté lors de la 13ème édition de l’Africa International Film Festival à Lagos (Afriff, Nigeria 3-9 novembre 2024) et au Kuwait International Film Festival (KIFF, 10-16 novembre 2024), le film poursuit sa tournée notamment à la cinquième édition du Festival International de Films Africains et Afro-descendants “Bangui Fait Son Cinéma” (23-30 novembre 2024).

Diplômé de l’Ecole nationale d’architecture et d’urbanisme de Tunis en 2001, Bouslama Chamakh a réalisé plusieurs expositions et installations artistiques en France, en Tunisie et en Suisse. A partir de 2015, il s’est consacré au cinéma comme principal moyen d’expression, signant plusieurs courts-métrages dont “Le Fleuriste”, primé par une mention spéciale du jury lors de la 29ème édition des JCC en 2018.

45e édition du festival international du film du Caire – Passing dreams de Rachid Maâcharaoui en ouverture : Une quête de soi et d’un pays

Projeté en première mondiale et concourant pour la Pyramide d’or, «Rêves passagers» est filmé à hauteur d’enfant. L’histoire est en forme de conte moderne sur le conflit israélo-palestinien mais sans bombes, ni effusion de sang

Le film d’ouverture de la 45e édition du festival international du film du Caire «Rêves passagers» de Rachid Maâcharaoui (Palestine) est, sans aucun doute, l’un de ses meilleurs films. L’œuvre est à la fois sobre et touchante. Projeté en première mondiale et concourant pour la Pyramide d’or, «Rêves passagers» est filmé à hauteur d’enfant. L’histoire est en forme de conte moderne sur le conflit israélo-palestinien mais sans bombes, ni effusion de sang. Le film raconte les pérégrinations d’un adolescent et de son oncle à la recherche d’une colombe qui s’est évadée de sa cage.

Sami, 12 ans, nous emmène dans sa quête douce-amère avec son oncle et sa cousine dans un voyage de Béthelem à Haifa en passant par des camps occupés et des villages, durant toute une journée jusqu’à la tombée de la nuit, à la recherche de la colombe perdue qui s’est envolée de leur maison dans un camp de réfugiés en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. La trame est juste un prétexte pour évoquer des questions plus importantes en relation avec les conflits familiaux, en l’occurrence entre l’oncle de Sami et son frère, et ceux d’un Etat palestinien sous occupation et dont les prémices d’une paix semblent difficiles voire impossible, compte tenu de ce qui se passe actuellement à Gaza. Cette parabole sur la question palestinienne est traitée cinématographiquement à travers un road-movie d’1h20. La construction dramatique de ce parcours est subtile et efficace. Un voisin de l’oncle de Sami l’informe que l’oiseau est sans doute retourné dans son village d’origine. Les trois personnages : l’oncle, sa fille et son neveu parcourent à bord d’un camping-car rouge du camp de réfugiés de Qalandia traversent toute la région depuis les camps de réfugiés de la bande occupée de l’ouest en passant par les paysages magnifiques des villages palestiniens dont Béthelem, la vieille ville El Qods et Haifa dans le nord d’Israël. A travers une quête de soi et d’un pays sous occupation, cette odyssée se transforme en une sorte de «Nakba», mais dans un sens inverse car la famille de Sami a quitté sa ville natale de Haifa pendant l’exode forcé des Palestiniens en 1948, lors de la création de l’Etat d’Israël.  Selon Rachid Maacharoui, «le cinéma ne peut pas être toujours une réaction aux actions israéliennes, il doit  être aussi une action en soi». Barrages, murs de séparation et restrictions sont montrés comme faisant partie du quotidien du paysage palestinien. Les personnages du film, à la recherche de l’oiseau, ne savent jamais s’ils peuvent circuler là où ils veulent. Il faut recourir à différents stratagèmes pour arriver à se rendre à destination. L’oiseau symbole de la paix et de la liberté sera-t-il retrouvé ? «Rêves passagers » sera projeté lors de la prochaine session des Journées cinématographiques de Carthage, a assuré son réalisateur Rachid Maâcharaoui.

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MyFirstDoc 2024 : Diversité et découverte au cœur du cinéma documentaire

La 7ème édition du rendez-vous annuel du cinéma documentaire international « MyFirstDoc » se déroulera du 24 au 27 décembre 2024 à la Cinémathèque Tunisienne, à Tunis et dans les régions.

Le Festival “MyFirstDoc”, organisé par l’Association Cinéma documentaire Tunisien (ACDT), met en lumière le jeune cinéma international en offrant la possibilité à des réalisateurs de présenter leurs œuvres devant le public tunisien.

Premier Festival du Film Documentaire en Tunisie “MyFirstDoc” se fixe comme objectif principal la découverte et la promotion de premiers films de jeunes talents en donnant la visibilité à différentes expressions du cinéma documentaire international devant un public le plus large possible.

La programmation qui allie découverte et diversité proposera au public des films documentaires de création avec un regard d’auteur. La volonté du festival est de faire découvrir des documentaristes indépendants, en mettant également à l’honneur des cinéastes tunisiens.

« MyFirstDoc » : Le festival du film documentaire tunisien du 24 au 27 décembre à Tunis et dans les régions

La 7 édition du rendez-vous annuel du cinéma documentaire international « MyFirstDoc » se déroulera du 24 au 27 décembre 2024 à la Cinémathèque Tunisienne, à Tunis et dans les régions.

Le Festival « MyFirstDoc », organisé par l’Association Cinéma documentaire Tunisien (Acdt), met en lumière le jeune cinéma international en offrant la possibilité à des réalisateurs de présenter leurs œuvres devant le public tunisien.

Le premier Festival du Film Documentaire en Tunisie « MyFirstDoc » se fixe comme objectif principal la découverte et la promotion de premiers films de jeunes talents en donnant la visibilité à différentes expressions du cinéma documentaire international devant un public le plus large possible.

La programmation qui allie découverte et diversité proposera au public des films documentaires de création avec un regard d’auteur. La volonté du festival est de faire découvrir des documentaristes indépendants, en mettant également à l’honneur des cinéastes tunisiens.

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Décès de Ridha Aziz : un acteur, réalisateur et journaliste de talent

Décès de Ridha Aziz : un acteur, réalisateur et journaliste de talent

Le ministère des Affaires culturelles a annoncé avec une grande tristesse le décès du réalisateur, acteur et journaliste Ridha Aziz, survenu à l’aube du dimanche 17 novembre 2024, après une longue lutte contre la maladie. Figure emblématique de la scène artistique, le défunt a marqué le paysage culturel tunisien par ses rôles au théâtre, à […]

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Fatma Sfar couronnée meilleure actrice au Festival de Rabat pour L’Aiguille de Abdelhamid Bouchnak

Fatma Sfar couronnée meilleure actrice au Festival de Rabat pour L’Aiguille de Abdelhamid Bouchnak

La talentueuse actrice tunisienne Fatma Sfar a remporté le Prix d’interprétation féminine au prestigieux Festival de Rabat pour son rôle dans le film L’Aiguille (El Ibra), réalisé par Abdelhamid Bouchnak. Cette distinction vient saluer la performance exceptionnelle de l’actrice dans ce film captivant qui explore des thèmes profonds et émouvants. Le travail de Fatma Sfar […]

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Dorra Zarrouk brille au Festival du Caire avec son premier film, Wine Serna

Dorra Zarrouk brille au Festival du Caire avec son premier film, Wine Serna

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a brillé sur le tapis rouge lors de la présentation de son film “Wine Serna” au prestigieux Festival international du film du Caire, tenu à l’Opéra du Caire dans le cadre de sa 45e édition. Ce film marque une étape importante dans la carrière de Dorra, puisqu’il s’agit de sa première […]

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