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Ressources hydrauliques : Les barrages tunisiens remplis à 20,5% au 21 novembre 2024

Les barrages tunisiens sont remplis à 20,5%, au 21 novembre 2024. Ce taux est estimé à 16% pour le barrage de Sidi Salem (Béja) et à 26% pour le barrage de Sidi el-Barrak (Béja), qui constituent les deux plus importants barrages en Tunisie, selon les statistiques de l’ONAGRI.

Au 21 novembre 2024, les réserves globales dans les barrages ont atteint 480,448 millions de m3, contre 512,975 millions de m3 au même jour de 2023. Ces réserves sont en baisse de 130,027 millions de m3 par rapport à la moyenne du même jour des trois dernières années (610,474 millions de m3).

Les réserves dans les barrages se répartissent à raison de 425,244 millions de m3 dans les barrages du nord, 49,407 millions de m3 dans les barrages du centre et 5,796 millions de m3 dans les barrages du Cap Bon.

Les apports globaux aux barrages sur la période allant du 1er septembre 2024 au 21 novembre 2024 se sont établis à 97,474 millions de m3, soit une baisse de 165,510 millions de m3 par rapport à la moyenne de la période (262,985 millions de m3).

Ces apports se répartissent à raison de 67,672 millions de m3 dans les barrages du nord, 27,618 millions de m3 dans les barrages du centre et 2,185 millions de m3 dans ceux du Cap Bon.

Par ailleurs, au cours de la période allant du 1er septembre 2024 au 17 novembre 2024, les quantités de pluies enregistrées sur tout le territoire tunisien ont atteint 80,5 mm. Les quantités les plus importantes ont été enregistrées dans les régions du centre est (176,7 mm) et du nord-est (141,9 mm). Par rapport à la moyenne de la période, la plupart des régions ont enregistré un excédent variant entre 6 et 87%, à l’exception de la région du nord-ouest qui a enregistré un déficit de 19%.

Avec TAP

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Journée de l’Industrialisation de l’Afrique : l’ONUDI réaffirme son engagement pour un développement industriel en Tunisie, inclusif et durable

Chaque année, le 20 novembre, le monde célèbre la Journée de l’Industrialisation de l’Afrique, instaurée il y a 35 ans pour sensibiliser à l’importance de l’industrialisation du continent et aux défis qu’il rencontre.

À cette occasion, le système des Nations Unies se mobilise pour rappeler que l’industrialisation joue un rôle crucial dans le développement économique, social et environnemental de l’Afrique.
Le thème de cette année met en lumière le potentiel des technologies émergentes, notamment l’intelligence artificielle, pour transformer l’industrie africaine.

Ces technologies représentent une opportunité unique pour renforcer la compétitivité dans des secteurs comme les industries vertes, tout en créant des emplois, en augmentant la productivité et en contribuant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.

L’engagement de l’ONUDI pour l’industrialisation de l’Afrique
L’engagement de l’ONUDI envers le continent africain s’inscrit dans le cadre de la Troisième Décennie pour le Développement Industriel de l’Afrique (IDDA III), proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2016.

Lors de la septième réunion de haut niveau sur l’IDDA III, organisée en septembre 2024 en marge de la 79e Assemblée générale des Nations Unies à New York, l’ONUDI, aux côtés de partenaires tels que la Commission de l’Union africaine (AUC), la Banque africaine de développement (AfDB) et l’Africa Business Council (AfBC), a réitéré stratégiques pour bâtir une industrie africaine durable et résiliente.

La réunion a mis en avant des thèmes clés tels que la diversification économique, l’innovation technologique, les chaînes de valeur régionales et le renforcement des capacités. Selon Fatou Haidara, Directrice générale adjointe de l’ONUDI, « l’Afrique est le continent de l’avenir », et il est de la responsabilité de tous de transformer ce potentiel en prospérité partagée.

L’ONUDI renforce l’industrie tunisienne pour une croissance économique verte et compétitive

En Tunisie, le secteur industriel est un pilier essentiel de l’économie nationale, représentant environ 23,5 % du PIB en 2023 (Banque mondiale). Il joue un rôle crucial dans la création de richesse, l’emploi et l’exportation, tout en contribuant à la stabilité économique et à l’intégration régionale.

Sa position stratégique en fait un levier incontournable pour la compétitivité du pays.
L’ONUDI accompagne la Tunisie dans son développement industriel à travers des initiatives majeures couvrant des secteurs clés. PAMPATvalorise les produits de terroir, tandis que Creative Tunisia renforce la compétitivité du secteur de l’artisanat et du design.

L’organisation soutient également l’économie circulaire avec SwitchMed, la
transition écologique avec E-mobility, et la protection de l’environnement via le Protocole de Montréal. Parallèlement, l’autonomisation des femmes et l’insertion professionnelle des jeunes sont au cœur de projets nationaux et régionaux, tels que PWE et Employment4Youth – Industrie 4.0.

Ces projets illustrent le rôle de la Tunisie en tant que leader régional dans l’industrialisation inclusive, durable et compétitive et soutiennent pleinement les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies et la Stratégie nationale pour l’industrialisation et l’innovation à l’horizon de 2035, qui ambitionne de créer 840 000 emplois industriels, d’atteindre 36 milliards de dinars d’exportations, et de promouvoir une industrie innovante et respectueuse de l’environnement.

En conclusion, M. Lassaad Ben Hassine, représentant de l’ONUDI en Tunisie, déclare : « En cette Journée de l’Industrialisation de l’Afrique, l’ONUDI réaffirme son engagement à soutenir la stratégie industrielle nationale à l’horizon 2035, en collaboration avec le gouvernement, le secteur privé et les communautés locales.

Nous ambitionnons également de développer des initiatives régionales en s’appuyant sur la Coopération Sud-Sud et Triangulaire, pour promouvoir un avenir industriel plus inclusif et durable en Afrique, en intégrant des domaines tels que l’agro-industrie, l’économie circulaire et les technologies de la Quatrième Révolution Industrielle. »

La Presse avec communiqué

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Coopération : Le ministre de l’Economie et de la Planification s’entretient avec des partenaires financiers de la Tunisie

Le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, s’est entretenu, jeudi 21 novembre, à Tunis, avec des partenaires financiers et des bailleurs de fonds de la Tunisie à l’échelle bilatérale et multilatérale.

Le ministre a souligné que cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’échange de points de vue dans l’objectif de consolider la coopération financière et technique et à la rendre plus efficace, conformément aux choix et priorités de développement de la Tunisie.

Il a passé en revue les principaux indicateurs macroéconomiques enregistrés au cours des neuf derniers mois et les prévisions pour l’année prochaine, notant qu’en dépit de la situation mondiale difficile, la Tunisie s’est montrée résiliente et a pu réaliser une amélioration de nombreux indicateurs et honorer ses engagements financiers extérieurs.

Le ministre a également abordé les principales orientations en matière de développement pour la période à venir, notamment le renforcement du rôle social de l’Etat, la promotion de l’investissement public et privé, la lutte contre la corruption et le soutien au développement régional.

A ce titre, il a évoqué les principales mesures prises sur le plan social et les mesures en cours d’adoption pour améliorer le climat de l’investissement et des affaires, ainsi que celles visant à accélérer la mise en œuvre des projets en suspens, notamment les projets structurants et ceux à participation étrangère en matière de financement.

Les représentants des institutions financières présents ont exprimé leur satisfaction quant aux mesures récemment adoptées par le gouvernement tunisien pour accélérer la réalisation des projets et impulser l’investissement, réitérant l’engagement de leurs institutions à continuer à soutenir le processus de réformes et de développement en Tunisie conformément aux choix et aux priorités nationales et à poursuivre la coordination pour atteindre l’efficience et l’efficacité souhaitées dans le cadre des différents programmes et mécanismes de coopération existants et à venir.

Avec TAP

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Baisse du Tunindex de 0,01%

Le marché a terminé la séance du jeudi21 novembre,  sur une légère note négative. Le Tunindex a glissé de 0,01 %, à 9800,2 points. Les volumes restent faibles, se montant à 2,5 millions de dinars (MD), selon Tunisie Valeurs.

Le titre ICF s’est distingué sur la séance, chapeautant le palmarès de la cote. Amassant un flux de transactions de 352 mille dinars (soit 14 % du volume échangé sur la séance), l’action du producteur de fluorure d’aluminium a signé une avancée de 6 %, à 88,450 D.

Le titre ESSOUKNA a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action a inscrit une progression de 4,2 % à 1,490 D. La valeur a drainé de maigres échanges de 15 mille dinars sur la séance.

Le titre TUNISAIR a accusé la plus forte baisse de la séance. Dans un modeste flux de 2 mille dinars, l’action du transporteur national a reculé de 2,5 %, à 0,370 D.

Le titre CARTHAGE CEMENT a affiché une performance négative. L’action de la cimenterie a abandonné 1,3 %,

à 2,230 D. La valeur a brassé un volume relativement soutenu de 185 mille dinars sur la séance.

Avec TAP

 

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Economie: vers le renforcement de la coopération financière et technique

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh a tenu une session de travail avec des partenaires financiers, tant bilatéraux que multilatéraux. Cette rencontre visait à renforcer la coopération financière et technique, tout en améliorant son efficacité en fonction des priorités de développement de la Tunisie.

 

Au cours de la réunion, le ministre de l’Economie et de la Planification  a présenté les résultats macroéconomiques des neuf derniers mois et les prévisions pour l’année à venir. Il a souligné que, malgré un contexte mondial difficile, la Tunisie a réussi à maintenir une croissance positive et à honorer ses engagements financiers internationaux.

Le ministre a également discuté des orientations futures, mettant l’accent sur le renforcement du rôle social de l’État, la promotion des investissements, la lutte contre la corruption et le soutien au développement régional. Il a détaillé les mesures sociales récentes et celles en cours pour améliorer le climat d’investissement et accélérer l’exécution des projets en attente.

Les représentants des institutions financières ont salué les performances positives de l’économie tunisienne et exprimé leur satisfaction concernant les mesures gouvernementales visant à stimuler l’investissement et à réaliser des projets. 

Ils ont réaffirmé leur engagement à soutenir la Tunisie dans ses réformes et son développement, tout en se montrant disponibles pour une meilleure coordination afin d’optimiser l’efficacité des programmes de coopération actuels et futurs.

 

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Les recettes provenant des exportations des dattes augmentent de 83%

dattes

TUNIS – UNIVERSNEWS Les recettes provenant des exportations des dattes tunisiennes ont connu, durant le premier mois de la campagne 2024/2025 (octobre), une hausse de 82,9%, par rapport à la même période de l’année écoulée, pour atteindre 84,4 millions de dinars, selon les données publiées, lundi, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Le volume des dattes exportées a atteint 12,5 mille tonnes, soit une hausse de 72,8%, par rapport à la même période de la campagne écoulée.

Le prix moyen enregistré durant octobre 2024 a augmenté de 8,8% soit 6,72 D/kg contre 6,35 D/kg, enregistré au cours de la même période de la campagne précédente.

L’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes au cours du mois d’octobre, avec 15,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et le Maroc avec respectivement 8,14% et 8,12%.

S’agissant des dattes biologiques, leurs recettes ont atteint 8,1 millions de dinars durant le mois d’octobre pour une quantité de 750 tonnes exportées, avec un prix moyen de 10,80 D/kg. Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 9,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

L’Allemagne est la principale destination des produits des dattes biologiques avec 18% des quantités exportées suivi par les Pays-Bas et la Suisse, avec respectivement 18% et 12%

Produits agricoles biologiques: 1.220 MD d’exportations pour la Tunisie en 2024

Les exportations des produits agricoles biologiques tunisiennes ont atteint 50,736 mille tonnes d’une valeur de 1.220 MD, à fin octobre 2024 , soit une diminution de 23,1% en termes de quantité et une hausse de 6,1 % en termes de valeur par rapport à la même période de 2023.

L’Italie est la principale destination avec 44% des quantités exportées suivie par l’Espagne et la France avec respectivement 22% et 11%.
Les exportations de produits biologiques se concentrent principalement sur l’huile d’olive et les dattes biologiques, suivies par les produits forestiers biologiques.

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Exportation : L’huile d’olive tunisienne séduit l’Europe et les États-Unis

Les recettes d’exportation de l’huile d’olive tunisienne durant la campagne 2023/24 ont atteint 5.161 MD à fin octobre 2024, soit une hausse de 50,8% par rapport à la même période de la campagne 2022/23, d’après la note « Onagri Vigilance », publiée, jeudi, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Les quantités exportées ont augmenté de 0,4% s’établissant à 195,4 mille tonnes d’une valeur de 5.161 MD, soit une hausse en volume de 0,4% contre une hausse de 50,8% en termes de valeur
Le prix moyen enregistré durant la campagne 2023/24 a augmenté de 50,2% à 26,42 D/kg. L’Espagne a été la principale destination de l’huile d’olive tunisienne avec 29,5% des quantités exportées, suivie par l’Italie et les États-Unis avec respectivement 27,4% et 24,1%.

Durant la même période, les exportations de l’huile d’olive biologique ont atteint 41, 245 mille tonnes d’une valeur de 1.114MD avec un prix moyen de 27,01 D/kg. Leur part dans le total des exportations de l’huile d’olive tunisienne est de 21,1% et 21,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

Les quantités de l’huile d’olive conditionnée représentent 6% du total de l’huile d’olive biologique exportée. L’Italie est la principale destination de l’huile d’olive biologique avec 53,12% des quantités exportées suivi par l’Espagne et la France avec respectivement 27,12% et 11,63%.

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Le marché des dattes tunisiennes : L’Italie, l’Allemagne et le Maroc dominent les exportations d’octobre 2024

Les recettes des exportations des dattes tunisiennes ont connu, durant le premier mois de la campagne 2024/2025 ( octobre) , une hausse de 82,9%, par rapport à la même période de l’année écoulée, pour atteindre 84,4 millions de dinars, selon les données publiées, lundi, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Le volume des dattes exportées a atteint 12,5 mille tonnes, soit une hausse de 72,8%, par rapport à la même période de la campagne écoulée.

Le prix moyen enregistré durant octobre 2024 a augmenté de 8,8% soit 6,72 D/kg contre 6,35 D/kg, enregistré au cours de la même période de la campagne précédente.

L’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes au cours du mois d’octobre, avec 15,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et le Maroc avec respectivement 8,14% et 8,12%.

S’agissant des dattes biologiques, leurs recettes ont atteint 8,1 millions de dinars durant le mois d’octobre pour une quantité de 750 tonnes exportées, avec un prix moyen de 10,80 D/kg.

Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 9,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

L’Allemagne est la principale destination des produits des dattes biologiques avec 18% des quantités exportées suivi par les Pays-Bas et la Suisse, avec respectivement 18% et 12%.

Exportation d’huile d’olive biologique tunisienne : Une performance record avec 41,245 mille tonnes

Les recettes d’exportation de l’huile d’olive tunisienne durant la campagne 2023/24 ont atteint 5161 MD à fin octobre 2024, soit une hausse de 50,8% par rapport à la même période de la campagne 2022/23, d’après la note “Onagri Vigilance”, publiée, jeudi, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Les quantités exportées ont augmenté de 0,4% s’établissant à 195,4 mille tonnes d’une valeur de 5161 MD, soit une hausse en volume de 0,4% contre une hausse de 50,8% en termes de valeur.

Le prix moyen enregistré durant la campagne 2023/24 a augmenté de 50,2% à 26,42 D/kg. L’Espagne a été la principale destination de l’huile d’olive tunisienne avec 29,5% des quantités exportées, suivie par l’Italie et les États-Unis avec respectivement 27,4% et 24,1%.

Durant la même période, les exportations de l’huile d’olive biologique ont atteint 41, 245 mille tonnes d’une valeur de 1114 MD avec un prix moyen de 27,01 D/kg. Leur part dans le total des exportations de l’huile d’olive tunisienne est de 21,1% et 21,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

Les quantités de l’huile d’olive conditionnée représentent 6% du total de l’huile d’olive biologique exportée. L’Italie est la principale destination de l’huile d’olive biologique avec 53,12% des quantités exportées suivi par l’Espagne et la France avec respectivement 27,12% et 11,63%.

Hausse de 6,1% de la valeur des exportations des produits agricoles biologiques

Les exportations des produits agricoles biologiques tunisiennes ont atteint 50,736 mille tonnes d’une valeur de 1220 MD, à fin octobre 2024 , soit une diminution de 23,1% en termes de quantité et une hausse de 6,1 % en termes de valeur par rapport à la même période de 2023.

L’Italie est la principale destination avec 44% des quantités exportées suivie par l’Espagne et la France avec respectivement 22% et 11%.

Les exportations de produits biologiques se concentrent principalement sur l’huile d’olive et les dattes biologiques, suivies par les produits forestiers biologiques.

FIPA : Plus de 4000 entreprises étrangères implantée en Tunisie

La FIPA-Tunisia a pris part à une réunion d’affaires stratégique visant à promouvoir les partenariats commerciaux entre la Tunisie et la Turquie.

Cet événement, organisé par l’Ambassade de Turquie à Tunis avec le soutien du ministère turc du Commerce, s’est déroulé du 18 au 21 novembre 2024 en présence d’une délégation de plus de 30 hommes d’affaires turcs.

Lors de cette rencontre, Ibrahim Medini, représentant de FIPA-Tunisia, a mis en lumière le rôle de la Tunisie comme plateforme incontournable d’investissement. Avec plus de 4 000 entreprises étrangères implantées sur son sol, la Tunisie offre un accès stratégique au marché africain, créant ainsi un environnement favorable aux investissements pérennes. M. Medini a également détaillé les opportunités de collaboration et souligné le rôle clé de la FIPA dans l’accompagnement des entreprises turques souhaitant s’implanter en Tunisie.

Cet événement a rassemblé de nombreux acteurs économiques tunisiens et turcs, offrant une occasion unique d’explorer les opportunités mutuelles et de poser les bases d’une coopération économique durable.

Tunisie: les chèques n’auront plus de valeur légale après le 02 février 2025

Il est impératif de liquider, avant le 29 janvier 2025, tous les chèques antidatés déjà émis, a souligné l’universitaire spécialiste en Droit des affaires, Walid Gadhoum.

Intervenant lors d’un séminaire sur la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 aout 2024, organisé, jeudi, par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis(CCIT), il a expliqué que les nouveaux chèques, définis par la nouvelle loi, seront différents et ils intégreront un code QR (Quick Response).

Ces chèques auront, ainsi, une durée de validité limitée à 6 mois, a-t-il rappelé, ajoutant que le montant des chèques délivrés par les banques sera désormais basé sur une étude de solvabilité du client, augmentant, ainsi, la responsabilité des banques.

Pour Gadhoum, cette nouvelle situation va créer des difficultés pour de nombreux acteurs économiques en Tunisie, en particulier, ceux qui ne disposent pas de fonds propres pour effectuer des achats au comptant.

Le spécialiste a, néanmoins, rappelé que la nouvelle réglementation vise à corriger l’utilisation erronée des chèques en Tunisie depuis plusieurs années.

L’universitaire a évoqué, à cette occasion, la capacité logistique de la Tunisie à appliquer cette loi d’ici février 2025, en raison des incertitudes concernant la préparation de la nouvelle plateforme pour traiter les chèques.

Il a, également, suggéré que la période qui suivra le mois de février 2025 sera marquée par une certaine confusion, bien que les choses finiront par se stabiliser progressivement, jusqu’à l’élimination complète de l’utilisation des chèques et le recours aux nouvelles méthodes de paiement électronique.

Il a appelé les opérateurs à refuser les transactions par chèques antidatés pour éviter les sanctions prévues par les dispositions du nouveau article (411).

Et d’ajouter que le problème se pose actuellement au niveau de l’entrée en application de certains articles, tandis que d’autres ne peuvent pas être appliqués actuellement.

Il a, dans ce cadre, rappelé que la loi repose notamment sur la mise en place d’une plateforme numérique qui devra entrer en vigueur au cours du mois de février 2025.

Cependant, il rappelé que la loi en question n’a pas donné des détails sur la manière et les méthodes de son utilisation, outre l’existence de plusieurs chèques antidatés et de garanties déposés par les Tunisiens et qui devront être réglés avant le 2 février 2025.

De son côté, le vice président de la CCI Tunisie et chef d’une entreprise, Najeh Ben Abdessalem, a fait remarquer que la question des chèques sans provisions a constitué un véritable problème, d’où la nécessité de son amendement.

Il a considéré que la nouvelle version favorisera l’amélioration du climat des affaires, le renforcement de la sécurité bancaire et la fiabilité des transactions par chèques, outre le renforcement du rôle économique et social des banques.

Toutefois, il a fait remarquer que le temps et l’élaboration de certains mécanismes opérationnels favoriseront davantage la réussite de cette transition et la mise en place d’un terrain favorable aux transactions par chèques.

La même source a exprimé sa crainte de voir l’entrée en vigueur de la plateforme électronique au niveau de la Banque centrale, conformément à l’article 41 de l’année 2024, accroitre le blocage des transactions économiques et commerciales dans le pays.

Selon Ben Abdessalem, parmi les solutions proposées en urgence et à court terme, il convient de lancer un appel aux banques afin de simplifier l’octroi des crédits aux personnes physiques et morales, dans le but de faciliter les transactions commerciales et ne pas provoquer une paralysie de l’activité économique dans le pays.

Il a, également, appelé à ré-exploiter la traite qui, a-t-il dit, est la base dans les activités commerciales en remplacement aux chèques.

La même source a, à ce propos, appelé à reporter l’entrée en exploitation de la nouvelle plateforme électronique à une date ultérieure, au lieu de février 2025, jusqu’à mettre en place les différents articles de la nouvelle loi, et la vulgariser auprès des différents intervenants économiques dans le pays.

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Enseignement supérieur: L’ISSI SFAX certifié « ISO 21001:2018 »

L’Institut Supérieur des Sciences Infirmières de Sfax (ISSI sfax) a obtenu, le 19 novembre, la certification de conformité aux normes internationales dans le domaine de l’enseignement supérieur « ISO 21001:2018 ».

Le directeur de l’ISSI Sfax, Bassem Abid, a indiqué, jeudi, dans une déclaration à l’agence TAP que « la certification de qualité de conformité aux normes internationales dans le domaine de l’enseignement supérieur, “ISO 21001:2018”, est la première attribuée en Tunisie dans le domaine des sciences infirmières.

Cette certification internationale, qui est conforme aux exigences de l’Union européenne en matière d’éducation, de formation et d’enseignement, a pour but d’améliorer la qualité de l’enseignement dispensé aux étudiants, a-t-il ajouté.

L’Institut supérieur des sciences infirmières de Sfax a été créé en 2006, et dispense des formations de licence en sciences infirmières et de masters professionnels en management de la santé, et compte actuellement environ 340 étudiants.

Stress hydrique : La Tunisie va disposer de dix nouveaux barrages d’ici 2030

BarrageFace aux difficultés rencontrées ces dernières années pour satisfaire les besoins en eau potable et en eau d’irrigation, le gouvernement va investir gros dans la construction des barrages.

Intervenant lors du marathon budgétaire 2025, le ministre de l’Agriculture Ezzeddine Ben Cheikh a annoncé que la Tunisie va disposer, d’ici 2030,  d’une dizaine de barrages dont cinq seront mis en eau en 2025.

S’agissant des ouvrages qui seront fin prêts, l’année prochaine, le ministre a cité  les barrages de Mellegue supérieur (gouvernorat du kef), Saïda (barrage réservoir localisé dans la région de la Manouba), le barrage Kalâa Kbira (gouvernorat de Sousse), le barrage Douimiss (région de Bizerte) et barrage Khalled (région de Béjà).

Quant aux nouveaux barrages planifiés, d’ici 2030, en principe, il s’agit des barrages de Tessa (région du kef et Silian), Raghai (gouvernorat de jendouba), Maleh Supérieur (Sud ouest de Bizerte), Ghezala (Région de jendouba) Siliana 1 et Boulâaba (Gouvernorat de kasserine).

Le programme du ministère prévoit aussi d’augmenter la capacité des différents barrages (Nebhana, Siliana, Barbara).

ABS

Béja : 3250 oliviers distribués pour lutter contre l’érosion des terres agricoles

Quelque 3250 oliviers ont été distribués au profit de 25 agriculteurs au gouvernorat de Béja.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Prosol pour la protection et restauration des terres dégradées (2019-2024) et est financé par l’Agence allemande de coopération internationale et la direction générale de l’aménagement et de conservation des terres agricoles relevant du ministère de l’agriculture.

Le conseiller technique du projet Prosol, Mohamed Farouk Essid a indiqué à l’Agence TAP que ce programme, mise en oeuvre dans les gouvernorats de Béja, Jendouba, Siliana, Kef, Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid, consiste à distribuer 20 mille plants d’olivier en vue de soutenir les petits agriculteurs à protéger leurs terres contre l’érosion et les aider à renforcer la fertilité du sol.

Chaque année, 23 mille ha de terres sont menacés par le phénomène de l’érosion, d’après la même source.

Tunisie – Importation de café et véhicules électriques : la Commission des Finances marque son désaccord

La Commission des Finances et du Budget au sein de l’Assemblée des Représentants du peuple (ARP) a rejeté, lors d’un vote, plusieurs articles clés du projet de budget 2025, provoquant des remous au sein du gouvernement.

Le vice-président de la commission, Abdeljalil Hani, a annoncé ce Jeudi lors de son passage sur une radio privée que l’article portant sur l’importation du café a été abandonné. Ce texte, qui visait à ajuster les conditions fiscales de l’importation de ce produit, a échoué à obtenir le soutien des membres de la commission.

De plus, une proposition visant à accorder aux fournisseurs de café les mêmes avantages fiscaux que ceux octroyés au Bureau national du commerce a été rejetée. Le gouvernement devra donc revoir ce volet du budget.

Par ailleurs, une autre disposition concernant l’importation des véhicules électriques et hybrides a également été rejetée. Cette mesure, qui proposait des incitations fiscales pour encourager l’achat de véhicules plus écologiques, n’a pas convaincu les députés, bien que l’idée d’une transition vers une mobilité plus durable fasse écho aux préoccupations environnementales croissantes.

Ces rejets reflètent les tensions autour des priorités économiques du pays, alors que le gouvernement tente de concilier réformes fiscales, soutiens à l’industrie locale et objectifs de durabilité. La décision d’amender ces propositions pourrait redéfinir la trajectoire économique de la Tunisie pour les années à venir, mais laisse aussi entrevoir des débats plus vifs à venir sur la fiscalité et les choix stratégiques.

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Après le 2 février 2025, les chèques n’auront plus de valeur légale

Il est impératif de liquider, avant le 29 janvier 2025, tous les chèques antidatés déjà émis, a souligné l’universitaire spécialiste en Droit des affaires Walid Gadhoum.

Intervenant lors d’un séminaire sur la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 aout 2024, organisé jeudi par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis(CCIT), il a expliqué que les nouveaux chèques, définis par la nouvelle loi, seront différents et qu’ils intégreront un code QR (Quick Response).

Ces chèques auront ainsi une durée de validité limitée à six mois, a-t-il rappelé. Tout en ajoutant que le montant des chèques délivrés par les banques sera désormais basé sur une étude de solvabilité du client; augmentant, ainsi, la responsabilité des banques.

Pour M. Gadhoum, cette nouvelle situation va créer des difficultés pour de nombreux acteurs économiques en Tunisie. En particulier, ceux qui ne disposent pas de fonds propres pour effectuer des achats au comptant.

Le spécialiste a néanmoins rappelé que la nouvelle réglementation vise à corriger l’utilisation erronée des chèques en Tunisie depuis plusieurs années.

L’universitaire a évoqué, à cette occasion, la capacité logistique de la Tunisie d’appliquer cette loi d’ici février 2025. Et ce, en raison des incertitudes concernant la préparation de la nouvelle plateforme pour traiter les chèques.

Il a avancé également que la période qui suivra le mois de février 2025 sera marquée par une certaine confusion, bien que les choses finissent par se stabiliser progressivement. Et ce, jusqu’à l’élimination complète de l’utilisation des chèques et le recours aux nouvelles méthodes de paiement électronique.

A cet égard, il appelle les opérateurs à refuser les transactions par chèques antidatés pour éviter les sanctions prévues par les dispositions du nouveau article (411).

Et d’ajouter que le problème se pose actuellement au niveau de l’entrée en application de certains articles. Tandis que d’autres ne peuvent pas être appliqués actuellement.

Il rappelle, dans ce cadre, que la loi repose notamment sur la mise en place d’une plateforme numérique qui devra entrer en vigueur au cours du mois de février 2025.

Cependant, il note que la loi en question n’a pas donné des détails sur la manière et les méthodes de son utilisation. Outre l’existence de plusieurs chèques antidatés et de garanties déposés par les Tunisiens et qui devront être réglés avant le 2 février 2025.

De son côté, le vice président de la CCI Tunisie et chef d’une entreprise, Najeh Ben Abdessalem a fait remarquer que la question des chèques sans provision a constitué un véritable problème, d’où la nécessité de son amendement.

Il a considéré que la nouvelle version favorisera l’amélioration du climat des affaires, le renforcement de la sécurité bancaire et la fiabilité des transactions par chèques. En plus du renforcement du rôle économique et social des banques.

Toutefois, il fait remarquer que le temps et l’élaboration de certains mécanismes opérationnels favoriseront davantage la réussite de cette transition et la mise en place d’un terrain favorable aux transactions par chèques.

La même source exprime sa crainte de voir l’entrée en vigueur de la plateforme électronique au niveau de la Banque centrale, conformément à l’article 41 de l’année 2024, accroitre le blocage des transactions économiques et commerciales dans le pays.

Selon Ben Abdessalem, parmi les solutions proposées en urgence et à court terme, il convient de lancer un appel aux banques afin de simplifier l’octroi des crédits aux personnes physiques et morales. Et ce, dans le but de faciliter les transactions commerciales et de ne pas provoquer une paralysie de l’activité économique dans le pays.

Par ailleurs, il suggère d’exploiter de nouveau la traite qui est la base dans les activités commerciales, en remplacement des chèques.

Enfin, il demande le report de l’entrée en exploitation de la nouvelle plateforme électronique à une date ultérieure, au lieu de février 2025. Et ce, jusqu’à ce que soit mis en place les différents articles de la nouvelle loi et que sa vulgarisation soit effective auprès des différents intervenants économiques dans le pays.

Avec TAP

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Nouvelle réglementation des chèques en Tunisie : une transition majeure prévue pour 2025

Nouvelle réglementation des chèques en Tunisie : une transition majeure prévue pour 2025

Il est impératif de liquider, avant le 29 janvier 2025, tous les chèques antidatés déjà émis, a souligné l’universitaire spécialiste en Droit des affaires Walid Gadhoum. Intervenant lors d’un séminaire sur la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 aout 2024, organisé, jeudi, par la Chambre de Commerce et […]

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L’Afrique du Sud présente les priorités de sa présidence du G20

Le président d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, a déclaré que Pretoria se concentrerait sur la croissance économique inclusive, la sécurité alimentaire et l’intelligence artificielle.

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, s’est engagé à profiter de la présidence du G20 pour faire avancer « fermement » les priorités de développement de l’Afrique et des pays du Sud. Il a fait cette déclaration lors d’un discours prononcé au sommet du groupe au Brésil.

L’économie la plus avancée d’Afrique a succédé au Brésil à la présidence du G20 lors d’une réunion de haut niveau de deux jours qui s’est tenue les 18 et 19 novembre 2024 à Rio de Janeiro, au Brésil.

En acceptant la présidence, le président Ramaphosa a félicité son homologue brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, pour son « leadership inspirant » et sa « présidence du G20 des plus réussies ».

« La présidence sud-africaine sera la première fois qu’un pays africain présidera le G20. Nous profiterons de cette occasion pour inscrire plus fermement les priorités de développement du continent africain et des pays du Sud à l’ordre du jour du G20 », a-t- il déclaré.

Il a ajouté que Pretoria accordera la priorité à la croissance économique inclusive, à la sécurité alimentaire et à l’intelligence artificielle durant son mandat sur le thème de « Solidarité, égalité et durabilité ».

« Nous chercherons à renforcer la solidarité. Que ce soit à Gaza, au Soudan ou en Ukraine, nous devons tous être solidaires de ces personnes qui sont confrontées à des difficultés et à des souffrances. En ce moment, de nombreux pays d’Afrique connaissent une aggravation des épidémies de variole, qui appellent à une action internationale urgente », a déclaré M. Ramaphosa.

Pretoria était la seule voix africaine au sein du G20 jusqu’à ce que l’Union africaine soit officiellement admise comme membre lors du sommet du bloc à New Delhi, en Inde, en 2023.

L’ancien président du Sénégal, Macky Sall, a d’abord plaidé pour un siège permanent de l’UA au G20 en 2022, affirmant que cette décision signifierait que « l’Afrique pourrait enfin être représentée là où sont prises des décisions qui affectent 1,4 milliard d’Africains ».

Le président russe Vladimir Poutine, qui soutient également les appels à une représentation adéquate de l’union continentale au Conseil de sécurité de l’ONU, a déclaré que son adhésion au G20 refléterait le désir des nations africaines de faire entendre leur voix.

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