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La Banque mondiale lance un nouveau partenariat 2026-2030 axé sur la croissance et l’emploi en Mauritanie

Le gouvernement mauritanien et le Groupe de la Banque mondiale viennent de lancer, à Nouakchott la capitale, un nouveau cadre de partenariat pour la période 2026-2030, destiné à renforcer la croissance économique et créer des emplois, comme le rapporte Sahara Media.

Ce cadre stratégique vise à accélérer la diversification de l’économie du pays, à stimuler une croissance durable et à élargir les opportunités d’emploi, notamment pour les jeunes. Il s’articule autour de plusieurs priorités : la création d’emplois de qualité, le renforcement des institutions, l’amélioration de la connectivité entre les régions et le soutien à la résilience économique et sociale.

S’exprimant à cette occasion, le ministre mauritanien des Affaires économiques et du Développement, Abdallahi Souleiman Cheikh Sidiya, a souligné que ce partenariat constitue « une opportunité unique pour accélérer la transformation structurelle de l’économie nationale vers un modèle plus durable et inclusif » .

De son côté, Anna Bjerde, directrice générale des opérations du Groupe de la Banque mondiale, a déclaré en substance que ce cadre permettra d’accompagner la Mauritanie dans son ambition de devenir un hub régional de la logistique et de l’énergie, tout en soutenant le développement du secteur privé et le renforcement des compétences des jeunes.

Il faut rappeler que le portefeuille de la Banque mondiale en Mauritanie s’élève actuellement à 1,15 milliard de dollars, couvrant neuf projets nationaux, deux opérations d’appui budgétaire et neuf projets d’intégration régionale. En parallèle, l’IFC soutient des investissements privés à hauteur de 120 millions de dollars, tandis que la MIGA offre des garanties pouvant atteindre 300 millions de dollars afin de réduire les risques pour les investisseurs.

Le Groupe de la Banque mondiale a réaffirmé son engagement à accompagner la Mauritanie à travers une approche intégrée mobilisant l’IDA, l’IFC et la MIGA, au service de la diversification économique, de la croissance et de l’emploi, selon Sahara Media.

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Normes internationales : un « mur invisible » freine les économies émergentes, dénonce la BM

Les normes techniques, censées sécuriser et harmoniser les échanges internationaux, sont en train de devenir des goulots d’étranglement et un frein pour nombre de pays en développement; et ce, quant à leur participation au commerce mondial.

C’est ce que vient de reconnaître la Banque mondiale (BM) dans son dernier rapport, qui dénonce « un système de normes dominé par les grandes puissances, où les pays du Sud sont contraints d’appliquer des règles qu’ils n’ont ni formulées ni négociées ».

Tout en considérant que « ces standards jouent un rôle crucial : garantir la qualité et la sécurité des produits, encadrer les exigences environnementales, harmoniser les procédures logistiques ou encore assurer l’interopérabilité technologique, et que leur fonction régulatrice est incontestable »; l’institution de Bretton Woods souligne cependant que « leur prolifération – couvrant désormais plus de 90 % du commerce mondial, contre seulement 15 % à la fin des années 1990 – s’est transformée en un véritable obstacle structurel pour les économies émergentes ».

D’ailleurs, Indermit Gill, chef économiste de la BM, estime que « les normes représentent aujourd’hui la plus grande barrière au commerce mondial, souvent plus déterminante que les droits de douane dont les débats publics continuent pourtant de s’emparer. Les pays en développement n’ont pas voix au chapitre dans la création de ces normes; alors qu’ils doivent impérativement s’y conformer. »

Toujours précise la Banque mondiale, « les normes agissent comme une forme d’infrastructure invisible : elles structurent les marchés, orientent les choix technologiques, définissent l’accès aux chaînes de valeur mondiales. Et, dans certains cas, verrouillent ces chaînes au profit des grandes entreprises déjà dominantes ». Celles-ci, soutenues par les gouvernements des économies avancées, jouent un rôle direct dans l’élaboration des standards, influençant leur contenu technique pour consolider leur avantage compétitif.

Par contre, les entreprises africaines en particulier, et celles d’autres pays du Sud en général, demeurent largement absentes des processus de normalisation. Leurs États, bien que représentés au sein d’organisations comme l’ISO, disposent rarement des capacités institutionnelles, techniques ou financières pour peser sur les décisions. Cette asymétrie crée un déficit structurel de représentation qui se répercute sur leur compétitivité internationale.

Pour changer la donne, la Banque mondiale appelle, dans son rapport, les pays en développement à s’inspirer des trajectoires historiques du Japon ou de la Corée du Sud, « qui ont intégré très tôt les organes de normalisation pour en faire un levier stratégique de montée en gamme ». Car, la BM est convaincue que seule une participation active et coordonnée permettra de transformer les normes en moteur de croissance et non en barrière invisible.

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Tunisie : le fossé entre défis climatiques et action publique

Dans son dernier rapport sur le climat et le développement intitulé « Jobs in a Changing Climate », la Banque mondiale souligne la menace que représente le climat pour le développement et l’emploi. Les prévisions indiquent que le changement climatique menace potentiellement jusqu’à 260 millions d’emplois et que sans adaptation, les pertes en termes de PIB pourraient atteindre entre 1 et 20 % selon les pays d’ici 2050.

Bien que la Tunisie intègre progressivement les enjeux climatiques dans ses stratégies nationales par l’adoption de contributions déterminées au niveau national (CDN) et une planification du développement sur les objectifs de transition bas carbone, ces progrès restent insuffisants. Le changement climatique continue d’accentuer les fragilités structurelles du pays.

L’agriculture souffre de sécheresses répétées et de la salinisation des terres. Les zones côtières, où sont implantés des pôles touristiques et industriels majeurs, font face à l’érosion accélérée du littoral. La Tunisie voit son écosystème se dégrader, aggravé par la pollution industrielle et urbaine.

Le cas de Gabès l’illustre parfaitement : le Groupe chimique tunisien a profondément altéré la qualité de l’air, de l’eau, affectant la biodiversité marine et la santé des habitants.

Le rapport de la Banque mondiale vient rappeler l’importance de mettre en place des politiques d’adaptation et de transition bas carbone. Et ce, afin de s’inscrire dans une trajectoire de croissance plus inclusive, créatrice de nouveaux emplois dans des secteurs compatibles avec la transition énergétique.

Il insiste également sur l’importance de renforcer les compétences et la requalification à travers des formations adaptées aux métiers verts. De même qu’il recommande de consolider les mécanismes de protection sociale et d’améliorer l’environnement des affaires, par la mise en place d’un cadre de régulation plus favorable à l’investissement privé.

Même si le projet de loi de finances 2026 affiche des signes de prise de conscience environnementale, par des réductions des droits de douane sur les panneaux solaires, des exonérations fiscales sur les véhicules hybrides rechargeables, des incitations pour la filière lithium, la prise en charge partielle des intérêts pour certains projets d’efficacité énergétique…, le « green package » demeure largement en deçà des attentes, compte tenu de l’ampleur des risques climatiques.

Tant que les finances publiques demeurent sous pression, l’urgence du bouclage budgétaire éclipsera la vision stratégique. Une réalité qui tient moins du choix que de l’impasse.

Par Noura Harboub-Labidi

Cet article est disponible dans le mag de l’Economiste Maghrébin n° 933 du 3 au 17 décembre 2025.

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Le Tunisien Khaled Koubaa rejoint le Comité des sanctions de la Banque mondiale

Le Groupe de la Banque mondiale (WBG) a annoncé la nomination du Tunisien Khaled Koubaa au sein du Comité des sanctions de l’institution. Et ce, depuis décembre 2025. 

Cette nomination est un nouveau chapitre dans la carrière d’un homme qui, depuis plus de vingt ans, évolue au carrefour de la technologie, des politiques publiques et de la gouvernance mondiale. 

Khaled Koubaa, leader dans le secteur technologique, a occupé des postes de direction chez Google et Meta, où il a contribué activement à faire progresser des projets liés à l’open internet frameworks, data governance efforts et regulatory cooperation à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.   

Pour lui, cette nouvelle mission avec la Banque mondiale n’est qu’une étape supplémentaire dans son engagement à façonner un monde numérique plus transparent et responsable. “Cette nomination est à temps partiel et entièrement indépendante. Je ne suis pas employé du Groupe de la Banque mondiale, et mes activités professionnelles se poursuivent sans changement“, précise-t-il. Un rôle indépendant, mais essentiel, où il pourra continuer à faire avancer ses projets tout en ayant un impact direct sur l’intégrité des financements mondiaux.

Khaled Koubaa est également le fondateur et PDG d’AT Worthy Technology Inc., une société qui développe des systèmes basés sur l’intelligence artificielle (IA). Loin de se limiter à son travail dans le secteur privé, Khaled Koubaa a aussi largement contribué à la gestion de l’architecture mondiale de l’internet. Il a siégé au conseil d’administration d’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), a également été nommé par le secrétaire général des Nations unies au Groupe consultatif multipartite d’Internet Governance Forum.

Il est à noter que Khaled Koubaa rejoint une équipe composée de sept experts externes nommés par les directeurs exécutifs de la Banque mondiale. Ces membres sont choisis pour leur expertise dans des domaines variés. Parmi les membres actuels figurent des personnalités de premier plan comme Don De Amicis (États-Unis), Adedoyin Rhodes-Vivour (Nigeria), Mahnaz Malik (Royaume-Uni/Pakistan), Claudia Annacker (Autriche), Nassib G. Ziadé (Liban/Chili) et Philip Daltrop (Royaume-Uni/Allemagne).

 

 



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Tunisie : le déficit du compte courant attendu à 2,7 % du PIB en 2025 (Banque mondiale)

La Banque mondiale prévoit que le déficit du compte courant de la Tunisie atteindra 2,7 % du PIB en 2025, sous l’effet d’un creusement du déficit commercial. Cette dégradation serait en partie atténuée par la hausse des recettes touristiques et la baisse des prix internationaux du pétrole.

Reprise modérée mais besoins financiers élevés

À moyen terme, le déficit extérieur devrait continuer à se creuser pour atteindre 3,1 % du PIB en 2027, dans un contexte d’accès limité au financement extérieur. Les autorités pourraient être amenées à recourir davantage aux emprunts en devises pour couvrir les besoins.

L’économie montre toutefois des signes de reprise, avec une croissance du PIB réel de 2,4 % sur les neuf premiers mois de 2025, soutenue par l’agriculture, la construction et le tourisme. L’inflation poursuit sa baisse à 4,9 % en octobre 2025, tandis que les IDE progressent de 41 %, notamment dans les projets d’énergies renouvelables.

Finances publiques : un déficit en recul mais un financement sous tension

Du côté des finances publiques, le déficit budgétaire devrait s’établir à 5,7 % du PIB en 2025, avant de reculer à 4,4 % en 2027, grâce à une maîtrise progressive des dépenses de compensation et de la masse salariale.
La dette publique devrait légèrement diminuer, passant de 84,5 % du PIB en 2024 à 83,6 % en 2027, mais les besoins de financement resteront élevés.

La Banque mondiale insiste enfin sur la nécessité de renforcer les filets sociaux, en soulignant le rôle central du programme AMEN, qui couvre désormais environ 10 % de la population, et en appelant à poursuivre les réformes pour améliorer l’efficacité du système de protection sociale.

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Tunisie – Banque mondiale : Vers un renforcement de la coopération dans le secteur de l’eau

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a reçu mercredi à Tunis Meskerem Brhane, directrice régionale du développement durable à la Banque mondiale pour la région MENAAP.

La rencontre, centrée sur la coopération bilatérale, a mis en avant le secteur de l’eau, considéré comme prioritaire face aux effets du changement climatique. Les deux parties ont affiché une convergence de vues sur l’urgence d’un partenariat renforcé.

La sécurité hydrique au cœur des priorités tunisiennes

Selon le communiqué du ministère, Samir Abdelhafidh a insisté sur la place stratégique du secteur de l’eau dans les politiques publiques. La Tunisie fait face à la fois à un stress hydrique structurel et à l’aggravation des impacts climatiques, ce qui exige une refonte de la gouvernance, une amélioration de la rentabilité du secteur et un renforcement des infrastructures.

Le ministre a détaillé les axes en cours de déploiement : modernisation et maintenance des réseaux de distribution, rénovation des installations vieillissantes, programmes de recyclage et de traitement des eaux usées, et optimisation de l’exploitation des ressources disponibles. Il a également salué le niveau actuel de coopération avec la Banque mondiale, estimant qu’elle continuera de jouer un rôle déterminant dans les prochaines phases.

La BM disposée à renforcer son appui technique et financier

Meskerem Brhane a souligné que la sécurité hydrique constitue un pilier essentiel du développement économique et social. Elle a rappelé l’engagement de la Banque mondiale à accompagner la Tunisie, tant par le financement de projets que par l’appui technique nécessaire à la mise en œuvre de réformes structurelles.

La responsable de la BM a exprimé la disponibilité de l’institution à intensifier la concertation avec les structures tunisiennes, afin d’élaborer des programmes d’action à moyen et long terme. L’objectif : aider le pays à relever les défis croissants liés à la rareté de l’eau, à la gestion durable des ressources et à l’adaptation climatique.

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La Tunisie et la BM signent un accord de 430 millions de dollars

La Tunisie et la Banque mondiale ont conclu un nouvel accord de financement pour soutenir le Programme d’amélioration de la dépendance énergétique, de l’efficacité et de la gouvernance en Tunisie (TEREG). Ce partenariat stratégique, d’un montant total de 430 millions de dollars — dont 30 millions sous forme de financement concessionnel —, s’étendra sur une période de cinq ans.

L’objectif principal du programme est de moderniser le secteur énergétique tunisien, de renforcer la sécurité des approvisionnements et de garantir la durabilité des services électriques. Il s’inscrit pleinement dans la stratégie nationale de transition énergétique, actualisée par le gouvernement tunisien.

Le TEREG met l’accent sur le développement des projets d’énergies renouvelables, l’amélioration de la performance de la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), et la consolidation de la gouvernance du secteur afin d’assurer des services réguliers, abordables et respectueux de l’environnement pour les ménages comme pour les entreprises.

Cadre d’incitation financière

Selon Amira Kalibi, spécialiste principale de l’énergie à la Banque mondiale et cheffe d’équipe du projet, il s’agit du premier programme à bénéficier du cadre d’incitation financière mis en place par la Banque mondiale. Ce mécanisme reconnaît l’impact positif et durable de tels projets sur la réduction de la pollution et des émissions nocives.

Kalibi a précisé que les réformes incluses dans le programme — notamment la réduction des pertes techniques et commerciales ainsi que l’augmentation de la part des énergies renouvelables — permettront d’améliorer durablement les performances opérationnelles et financières du secteur électrique, tout en rendant l’électricité plus stable et plus abordable pour les citoyens et les entreprises à travers le pays.

De son côté, Alexander Arrobbio, directeur du bureau de la Banque mondiale en Tunisie, a souligné que ce projet illustre la solidité du partenariat entre la Tunisie et la Banque mondiale. Il soutient les ambitions nationales en matière de développement durable et d’énergie propre, tout en renforçant la position de la Tunisie dans le domaine des énergies renouvelables, créant de nouvelles opportunités économiques et assurant la sécurité énergétique à long terme.

Lire aussi : A Washington, la Tunisie consolide ses partenariats stratégiques avec la BM et la BERD

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Banque mondiale : La Tunisie attendue à 2,6% de croissance en 2025

L’économie tunisienne devrait enregistrer une croissance de 2,6% en 2025, soutenue par la reprise de la production agricole – notamment de l’huile d’olive et des céréales – et par une relance du secteur de la construction, selon le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) sur la région MENAAP (Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan).

La Banque mondiale prévoit un léger rebond de l’activité économique tunisienne après une année 2024 marquée par des tensions budgétaires et une sécheresse persistante.

L’agriculture devrait constituer le principal moteur de cette croissance, grâce à une meilleure campagne oléicole et à des récoltes céréalières plus abondantes. Le secteur de la construction, dopé par quelques projets d’infrastructure, contribuerait également à ce regain.

À moyen terme (2026–2027), la croissance se stabiliserait autour de 2,4%, freinée par des conditions de financement limitées et des barrières structurelles à l’entrée sur les marchés.

Finances publiques : un déficit en légère amélioration

Le déficit budgétaire devrait s’établir à 5,7% du PIB en 2025, avant de se réduire à 4,4% en 2027, sous l’effet d’une meilleure maîtrise de la masse salariale et des subventions.

La dette publique, actuellement proche de 84,5% du PIB, baisserait légèrement pour atteindre 83,6% en 2027, traduisant une amélioration marginale de la trajectoire d’endettement.

Le déficit du compte courant devrait s’élargir à 2,7% du PIB en 2025, en raison d’un déséquilibre commercial accru, malgré la progression modérée des recettes touristiques et la baisse du prix du pétrole.

La Banque mondiale anticipe une détérioration graduelle jusqu’à 3,1% du PIB en 2027, en lien avec la stagnation des investissements étrangers et les contraintes persistantes sur le financement extérieur.

Face à ce contexte, les autorités tunisiennes pourraient être amenées à recourir à de nouveaux emprunts en devises auprès de la Banque centrale pour combler les besoins de financement.

Réformes nécessaires pour consolider la croissance

Le rapport souligne que les perspectives économiques demeurent vulnérables à plusieurs risques : la rareté du financement extérieur, la poursuite de la sécheresse et les incertitudes du commerce international.

Toutefois, une amélioration notable serait envisageable si la Tunisie accélérait les réformes structurelles, notamment la modernisation des entreprises publiques, la discipline budgétaire et la stimulation de la concurrence.

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