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Eau et développement durable : la Tunisie soutenue par la BM

L’examen des opportunités de renforcement de la coopération entre la Tunisie et la Banque mondiale (BM), notamment dans le domaine de l’eau, a été au centre de la réunion qui a eu lieu mercredi entre le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et la Directrice régionale du développement durable pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan (MENAAP) à la BM, Meskerem Brhane, actuellement en visite de travail à Tunis.

Le ministre a souligné que la sécurité hydrique et le développement de la gouvernance du secteur de l’eau dans ses différentes utilisations, ainsi que l’amélioration de son efficacité et de sa rentabilité, à la lumière de l’aggravation du phénomène des changements climatiques, occupent une place prépondérante dans les politiques publiques et les plans qui sont en relation, a indiqué le ministère de l’Economie et de la planification dans un communiqué.

A cet égard, Abdelhafidh a mis l’accent sur les orientations stratégiques qui sont mises en œuvre afin de renforcer les ressources et d’améliorer leur gestion, notamment en matière de maintenance et de rénovation des réseaux de distribution, et de mise en place de programmes dans le domaine du recyclage et du traitement des eaux usées.

Il a exprimé sa satisfaction quant au niveau de la coopération entre la Tunisie et la Banque mondiale, estimant que ces domaines bénéficient du soutien et de l’appui nécessaires de la banque, au cours de la prochaine phase.

Pour sa part, Meskerem Brhane a souligné la convergence des points de vue des deux parties quant à l’importance de la sécurité hydrique pour la réalisation du développement économique et social.

La directrice régionale du développement durable pour la région MENAAP a mis en exergue l’engagement de la Banque mondiale à soutenir la Tunisie dans ce domaine, que ce soit par la contribution au financement de projets ou par la fourniture du soutien et de l’expertise technique nécessaires.

Elle a également souligné la disposition de la Banque à intensifier la consultation et la coordination avec toutes les structures concernées, afin de contribuer à mettre en place des programmes d’action à moyen et à long termes qui aideront la Tunisie à faire face aux défis actuels.

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Tunisie – Banque mondiale : Vers un renforcement de la coopération dans le secteur de l’eau

Le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, a reçu mercredi à Tunis Meskerem Brhane, directrice régionale du développement durable à la Banque mondiale pour la région MENAAP.

La rencontre, centrée sur la coopération bilatérale, a mis en avant le secteur de l’eau, considéré comme prioritaire face aux effets du changement climatique. Les deux parties ont affiché une convergence de vues sur l’urgence d’un partenariat renforcé.

La sécurité hydrique au cœur des priorités tunisiennes

Selon le communiqué du ministère, Samir Abdelhafidh a insisté sur la place stratégique du secteur de l’eau dans les politiques publiques. La Tunisie fait face à la fois à un stress hydrique structurel et à l’aggravation des impacts climatiques, ce qui exige une refonte de la gouvernance, une amélioration de la rentabilité du secteur et un renforcement des infrastructures.

Le ministre a détaillé les axes en cours de déploiement : modernisation et maintenance des réseaux de distribution, rénovation des installations vieillissantes, programmes de recyclage et de traitement des eaux usées, et optimisation de l’exploitation des ressources disponibles. Il a également salué le niveau actuel de coopération avec la Banque mondiale, estimant qu’elle continuera de jouer un rôle déterminant dans les prochaines phases.

La BM disposée à renforcer son appui technique et financier

Meskerem Brhane a souligné que la sécurité hydrique constitue un pilier essentiel du développement économique et social. Elle a rappelé l’engagement de la Banque mondiale à accompagner la Tunisie, tant par le financement de projets que par l’appui technique nécessaire à la mise en œuvre de réformes structurelles.

La responsable de la BM a exprimé la disponibilité de l’institution à intensifier la concertation avec les structures tunisiennes, afin d’élaborer des programmes d’action à moyen et long terme. L’objectif : aider le pays à relever les défis croissants liés à la rareté de l’eau, à la gestion durable des ressources et à l’adaptation climatique.

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Tunisie: la Banque mondiale approuve un nouveau projet pour accompagner la transformation énergétique

La Banque mondiale et le gouvernement tunisien ont signé un accord de financement pour accompagner le programme de modernisation du secteur de l’énergie à travers le Programme d’amélioration de la fiabilité, de l’efficacité et de la gouvernance énergétiques tunisiennes (TEREG). Doté d’un budget de 430 millions de dollars, dont 30 millions de financement concessionnel, ce programme quinquennal vise à soutenir la Tunisie dans la mise en place d’un approvisionnement électrique durable, fiable et abordable. Il contribuera à accélérer le déploiement des énergies renouvelables, à renforcer la performance de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) et à améliorer la gouvernance globale du secteur.

Aligné sur la stratégie de transition énergétique actualisée du gouvernement, le programme TEREG vise à renforcer les performances opérationnelles et financières de la STEG, à attirer les investissements privés et à réduire l’intensité carbone de la production d’électricité, tout en garantissant un accès fiable à l’électricité pour les ménages et les entreprises. Il appuie des réformes ambitieuses destinées à accélérer le déploiement des énergies renouvelables, à améliorer l’efficacité énergétique et à moderniser l’ensemble du secteur de l’électricité.

«En favorisant le développement des énergies renouvelables, le programme TEREG contribuera à renforcer la position de la Tunisie dans le domaine des énergies propres, à créer des opportunités économiques et à assurer la sécurité énergétique à long terme, souligne Alexandre Arrobbio, chef des opérations de la Banque mondiale pour la TunisieCe projet illustre la solidité de notre partenariat avec la Tunisie et appuie ses objectifs de développement durable. Il s’inscrit dans la continuité de notre engagement de longue date dans le secteur énergétique tunisien et vient compléter des initiatives en cours, telles que le Projet d’intégration électrique Tunisie-Italie (ELMED), le Projet d’amélioration du secteur énergétique, ainsi que les services de conseil de la Société financière internationale (IFC) et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), en cohérence avec le Cadre de partenariat avec la Tunisie et les engagements du pays au titre de l’Accord de Paris».

Le programme TEREG devrait permettre à la Tunisie de progresser vers ses objectifs de mobilisation de 2,8 milliards de dollars d’investissements privés pour l’ajout de 2,8 gigawatts de nouvelles capacités solaires et éoliennes d’ici 2028, tout en générant plus de 30 000 emplois, principalement durant la phase de construction des projets d’énergie renouvelable. Il contribuera également à diminuer les coûts d’approvisionnement en électricité de 23%, à améliorer le taux de recouvrement des coûts de la STEG, qui passerait de 60% à 80%, et à réduire les subventions de 2,045 milliards de dinars du budget de l’État.

«Il s’agit du premier projet à bénéficier du Cadre d’incitations financières de la Banque mondiale, un projet par ailleurs récompensé pour son envergure et ses bénéfices à long terme, en reconnaissance de son impact sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, explique Amira Klibi, spécialiste senior de l’énergie à la Banque mondiale et chef d’équipe du projetLes réformes soutenues par le programme, notamment la réduction des pertes techniques et commerciales et l’augmentation de la part des énergies renouvelables, devraient permettre d’améliorer de manière pérenne les performances opérationnelles et financières du secteur, rendant l’électricité plus abordable et plus fiable pour les ménages et les entreprises à travers tout le pays».

 
 
 

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Tunisie : la Banque mondiale débloque 430 M$ pour accélérer la transition énergétique

La Banque mondiale a approuvé un financement de 430 millions de dollars, dont 30 millions de prêt concessionnel, pour soutenir la modernisation du secteur énergétique tunisien. Ce nouveau programme, baptisé TEREG (Programme d’amélioration de la fiabilité, de l’efficacité et de la gouvernance énergétiques tunisiennes), vise à accompagner la Tunisie dans la mise en place d’un approvisionnement électrique durable, fiable et abordable.

Sur une période de cinq ans, le TEREG ambitionne de renforcer les performances opérationnelles et financières de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), d’accélérer le déploiement des énergies renouvelables et d’améliorer la gouvernance du secteur. Il s’inscrit dans la continuité de la stratégie nationale de transition énergétique et des engagements du pays au titre de l’Accord de Paris.

Selon Alexandre Arrobbio, chef des opérations de la Banque mondiale pour la Tunisie, « ce programme contribuera à renforcer la position du pays dans le domaine des énergies propres, à créer des opportunités économiques et à assurer la sécurité énergétique à long terme ». Il souligne que ce projet « illustre la solidité du partenariat entre la Banque mondiale et la Tunisie » et complète d’autres initiatives en cours, telles que le projet d’intégration électrique Tunisie-Italie (ELMED) et les services de conseil de l’IFC et de la MIGA.

Le programme devrait permettre à la Tunisie de mobiliser 2,8 milliards de dollars d’investissements privés pour ajouter 2,8 gigawatts de capacités solaires et éoliennes d’ici 2028. Il prévoit également la création de plus de 30 000 emplois, principalement durant la phase de construction, ainsi qu’une réduction des coûts d’approvisionnement en électricité de 23 %. Le taux de recouvrement des coûts de la STEG passerait de 60 % à 80 %, tandis que les subventions publiques diminueraient de 2,045 milliards de dinars.

Pour Amira Klibi, spécialiste senior de l’énergie à la Banque mondiale et cheffe d’équipe du projet, le TEREG constitue « le premier projet tunisien à bénéficier du Cadre d’incitations financières de la Banque mondiale ». Elle précise que « les réformes soutenues, notamment la réduction des pertes techniques et l’augmentation de la part des énergies renouvelables, permettront d’améliorer durablement la performance du secteur, rendant l’électricité plus fiable et plus abordable pour les ménages et les entreprises ».

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La Tunisie et la BM signent un accord de 430 millions de dollars

La Tunisie et la Banque mondiale ont conclu un nouvel accord de financement pour soutenir le Programme d’amélioration de la dépendance énergétique, de l’efficacité et de la gouvernance en Tunisie (TEREG). Ce partenariat stratégique, d’un montant total de 430 millions de dollars — dont 30 millions sous forme de financement concessionnel —, s’étendra sur une période de cinq ans.

L’objectif principal du programme est de moderniser le secteur énergétique tunisien, de renforcer la sécurité des approvisionnements et de garantir la durabilité des services électriques. Il s’inscrit pleinement dans la stratégie nationale de transition énergétique, actualisée par le gouvernement tunisien.

Le TEREG met l’accent sur le développement des projets d’énergies renouvelables, l’amélioration de la performance de la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), et la consolidation de la gouvernance du secteur afin d’assurer des services réguliers, abordables et respectueux de l’environnement pour les ménages comme pour les entreprises.

Cadre d’incitation financière

Selon Amira Kalibi, spécialiste principale de l’énergie à la Banque mondiale et cheffe d’équipe du projet, il s’agit du premier programme à bénéficier du cadre d’incitation financière mis en place par la Banque mondiale. Ce mécanisme reconnaît l’impact positif et durable de tels projets sur la réduction de la pollution et des émissions nocives.

Kalibi a précisé que les réformes incluses dans le programme — notamment la réduction des pertes techniques et commerciales ainsi que l’augmentation de la part des énergies renouvelables — permettront d’améliorer durablement les performances opérationnelles et financières du secteur électrique, tout en rendant l’électricité plus stable et plus abordable pour les citoyens et les entreprises à travers le pays.

De son côté, Alexander Arrobbio, directeur du bureau de la Banque mondiale en Tunisie, a souligné que ce projet illustre la solidité du partenariat entre la Tunisie et la Banque mondiale. Il soutient les ambitions nationales en matière de développement durable et d’énergie propre, tout en renforçant la position de la Tunisie dans le domaine des énergies renouvelables, créant de nouvelles opportunités économiques et assurant la sécurité énergétique à long terme.

Lire aussi : A Washington, la Tunisie consolide ses partenariats stratégiques avec la BM et la BERD

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Banque mondiale : La Tunisie attendue à 2,6% de croissance en 2025

L’économie tunisienne devrait enregistrer une croissance de 2,6% en 2025, soutenue par la reprise de la production agricole – notamment de l’huile d’olive et des céréales – et par une relance du secteur de la construction, selon le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) sur la région MENAAP (Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan).

La Banque mondiale prévoit un léger rebond de l’activité économique tunisienne après une année 2024 marquée par des tensions budgétaires et une sécheresse persistante.

L’agriculture devrait constituer le principal moteur de cette croissance, grâce à une meilleure campagne oléicole et à des récoltes céréalières plus abondantes. Le secteur de la construction, dopé par quelques projets d’infrastructure, contribuerait également à ce regain.

À moyen terme (2026–2027), la croissance se stabiliserait autour de 2,4%, freinée par des conditions de financement limitées et des barrières structurelles à l’entrée sur les marchés.

Finances publiques : un déficit en légère amélioration

Le déficit budgétaire devrait s’établir à 5,7% du PIB en 2025, avant de se réduire à 4,4% en 2027, sous l’effet d’une meilleure maîtrise de la masse salariale et des subventions.

La dette publique, actuellement proche de 84,5% du PIB, baisserait légèrement pour atteindre 83,6% en 2027, traduisant une amélioration marginale de la trajectoire d’endettement.

Le déficit du compte courant devrait s’élargir à 2,7% du PIB en 2025, en raison d’un déséquilibre commercial accru, malgré la progression modérée des recettes touristiques et la baisse du prix du pétrole.

La Banque mondiale anticipe une détérioration graduelle jusqu’à 3,1% du PIB en 2027, en lien avec la stagnation des investissements étrangers et les contraintes persistantes sur le financement extérieur.

Face à ce contexte, les autorités tunisiennes pourraient être amenées à recourir à de nouveaux emprunts en devises auprès de la Banque centrale pour combler les besoins de financement.

Réformes nécessaires pour consolider la croissance

Le rapport souligne que les perspectives économiques demeurent vulnérables à plusieurs risques : la rareté du financement extérieur, la poursuite de la sécheresse et les incertitudes du commerce international.

Toutefois, une amélioration notable serait envisageable si la Tunisie accélérait les réformes structurelles, notamment la modernisation des entreprises publiques, la discipline budgétaire et la stimulation de la concurrence.

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