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25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC): Pour plus d’inclusion

Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration: expression et thérapie» qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités.


Cette année encore, les JTC poursuivent leur démarche inclusive en tentant de rendre accessibles des expériences théâtrales à celles et ceux qui n’y ont pas toujours accès, entre autres les détenus et autres pensionnaires des centres carcéraux, auxquels le festival, à travers la section «Le théâtre la liberté», offre la possibilité de représenter devant un public leurs créations. Onze pièces de 11 institutions pénitentiaires à la section «Théâtre de la Liberté» figurent au programme avec plus de cent détenus qui prennent part à la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage. Ces œuvres sont produites par les clubs de théâtre de 11 institutions pénitentiaires : les prisons civiles de Gafsa, Mahdia, Essers, Mornaguia, Sfax et Kébili, les centres de rééducation des mineurs délinquants à Oudhna, El Meghira, Mourouj et Sidi Hani, ainsi que la prison pour femmes de Manouba.

Cette tradition, instaurée en 2017 dans le cadre de la section «Théâtre de la Liberté» en partenariat avec le Comité général des prisons et de la Rééducation (Cgpr), offre une opportunité unique aux détenus de se produire sur scène et souligne le rôle du quatrième art comme outil de réhabilitation et de réinsertion psychologique et sociale. Le concept de «Théâtre de la Liberté» a vu le jour en 2017, avec la première représentation théâtrale organisée hors des murs des prisons. En terme de chiffres, cette initiative a évolué au fil des éditions passant de 5 représentations lors de l’édition 2018 à 11 en 2019. En 2022, le nombre de spectacles a atteint 12, avant de baisser à 8 en 2023 pour atteindre à nouveau 11 en 2024. Cette section est devenue aussi compétitive et les trois meilleures seront récompensées et des certificats de participation seront attribués à tous les participants en guise d’encouragement. Dans ce même objectif, cette année, le théâtre se déplacera aussi dans ces établissements pour faire profiter au maximum de détenus d’un bouquet de représentations de pièces au cœur des prisons.

« Le théâtre de la différence»

A des personnes en situation de handicap est destinée la nouvelle section «Le théâtre de l’intégration» ou « Le théâtre de la différence», qui leur donne l’opportunité de créer leurs propres spectacles pour exprimer leur créativité. Ainsi, des personnes avec et sans handicap se réuniront dans un même spectacle, interagissant et se fondant dans le jeu théâtral pour présenter leurs créations devant le public.

L’idée étant aussi, à travers ce volet, de promouvoir cette expérience comme un soutien aux méthodes pédagogiques et d’animation pour l’inclusion de ces groupes. Les pièces sélectionnées dans cette section sont : «J’ai un grand rêve», produite par Le laboratoire de la volonté pour les arts de l’intégration, en partenariat avec l’Association tunisienne des arts de la rue et le Centre des arts dramatiques et scéniques de Djerba, écrite et mise en scène par Zouhaïer Ben Terdaïet (inspiré des jeux d’enfants)

«L’avenue de l’amour», un spectacle théâtral destiné aux enfants atteints de trouble du spectre autistique, produit par La ferme thérapeutique Errayhan de l’Association Ibn Sina et l’Association théâtre sans frontières et encadré par Hamadi Mellouli.

«Délire», une production de l’Association tunisienne des personnes handicapées, écrite et mise en scène par Hajer Ammar.

«La boîte magique», une production de l’Union tunisienne pour l’assistance aux personnes handicapées (branche M’saken), encadrée et mise en scène par Hammadi Mellouli. Les spectacles de théâtre ne seront pas les seuls à représenter cette expérience inclusive tunisienne, il sera question aussi de rencontres scientifiques, de colloques et de formations autour du théâtre de l’inclusion. Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration : expression et thérapie» et qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités. Comment le théâtre peut-il être un moyen thérapeutique ? Et comment peut-il être un processus d’inclusion ?

Le public est-il «soigné» par son identification aux personnages et ses émotions éveillées par le spectacle ? L’intégration est-elle incompatible avec l’expression libre ? Et le théâtre de l’inclusion peut-il être une expression libre dans une diversité collective où l’interaction aboutit à un discours ou des émotions partagés…?

Et d’autres interrogations seront au cœur du débat qui verra la contribution de l’Institut supérieur d’art dramatique, l’Institut supérieur d’éducation spécialisée, le Centre international de promotion des personnes handicapées, l’Hôpital Razi, le ministère de la Femme et de l’Enfance, le ministère des Affaires sociales. La table ronde  sera dirigée par le Pr Zouhaïer Ben Terdaïet et verra les interventions des artistes: Kamel Allaoui («Théâtre de l’intégration en Tunisie, expériences éclairantes»), Mohamed Al-Atiri («Le théâtre des personnes en situation de handicap à Sousse»), Anouar Chaafi («Les laboratoires théâtraux en Tunisie, entre théorie et pratique»), Ziad Ghanainiya («Les chemins d’intégration  dans le théâtre des détenus en Tunisie»), Houda Lamoushi («L’intégration dans le théâtre de marionnettes»), Mohamed Ali Saïd («L’expérience de l’Espace Cortina dans l’organisation de la pensée et la formation en théâtre de l’intégration») et Zouhaïer Ben Terdaïet («Le laboratoire Irada pour le théâtre de l’intégration»).

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Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants du 22 au 29 décembre 2024

La 37ème édition du Festival International Néapolis de Théâtre pour Enfants, est prévue du 22 au 29 décembre 2024. Outre la Tunisie, le festival verra la participation de troupes théâtrales en provenance de 16 pays : Algérie, Arabie Saoudite, Bahreïn, Belgique, Chine, Égypte, Émirats Arabes Unis, Espagne, France, Hongrie, Indonésie, Irak, Iran, Maroc, Palestine et Russie.

Des spectacles de théâtre, de danse et des performances pluridisciplinaires sont au programme de cette édition 2024. Le festival qu’abrite chaque année la ville de Nabeul prévoit une sélection de 21 spectacles dont 12 tunisiens.

Nabeul vivra au rythme des spectacles de rue qui auront lieu quotidiennement tout au long de la durée du festival. La programmation couvrira également certaines villes relevant du gouvernorat de Nabeul, à savoir Kélibia, Grombalia, Maâmoura, Korba, Haouaria et Hammamet.

D’autres spectacles seront organisés dans différentes villes à travers la république dont Tunis, Bizerte, Kairouan, Agareb et Sfax.

Le festival est habituellement axé sur les sections suivantes : les Journées de Néapolis du théâtre pour enfant, les Journées de Néapolis du théâtre des contes et les Journées de Néapolis du théâtre scolaire qui est une section à vocation internationale pour les institutions scolaires publiques et privées.

Comme chaque année, la programmation parallèle sera composée de conférences, de tables rondes et d’ateliers de théâtre pour enfants et pour adultes.

Le Festival international Néapolis du théâtre pour enfants est organisé par l’association Néapolis en partenariat avec la délégation régionale des Affaires culturelles et la municipalité de Nabeul.

Depuis sa première édition en 1980, le Festival s’est donné pour objectif de faire du théâtre pour enfants un outil efficace pour s’exprimer, s’épanouir et former une personnalité équilibrée à travers la culture théâtrale.

Avec TAP

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Dattes: Hausse de 82,9% des recettes des exportations durant octobre 2024

Les recettes des exportations des dattes tunisiennes ont connu, durant le premier mois de la campagne 2024/2025 ( octobre) , une hausse de 82,9%, par rapport à la même période de l’année écoulée, pour atteindre 84,4 millions de dinars, selon les données publiées, jeudi 21 novembre, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Le volume des dattes exportées a atteint 12,5 mille tonnes, soit une hausse de 72,8%, par rapport à la même période de la campagne écoulée.

Le prix moyen enregistré durant octobre 2024 a augmenté de 8,8% soit 6,72 D/kg contre 6,35 D/kg, enregistré au cours de la même période de la campagne précédente.

L’Italie est la principale destination des dattes tunisiennes au cours du mois d’octobre, avec 15,6% des quantités exportées suivi par l’Allemagne et le Maroc avec respectivement 8,14% et 8,12%.

S’agissant des dattes biologiques, leurs recettes ont atteint 8,1 millions de dinars durant le mois d’octobre pour une quantité de 750 tonnes exportées, avec un prix moyen de 10,80 D/kg.

Leur part dans le total des exportations de dattes tunisiennes est de 6% et 9,6% respectivement, en termes de quantité et de valeur.

L’Allemagne est la principale destination des produits des dattes biologiques avec 18% des quantités exportées suivi par les Pays-Bas et la Suisse, avec respectivement 18% et 12%.

Avec TAP

 

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Agriculture : hausse de 50,8 % des recettes d’exportation de l’huile d’olive à fin octobre 2024

Les recettes d’exportation de l’huile d’olive tunisienne durant la campagne 2023/24 ont atteint 5161 MD à fin octobre 2024. Soit une hausse de 50,8 % par rapport à la même période de la campagne 2022/23. C’est ce qu’il ressort de la note « Onagri Vigilance », publiée, jeudi 21 novembre, par l’Observatoire National de l’Agriculture (Onagri).

Les quantités exportées d’huile d’olive ont augmenté de 0,4 % s’établissant à 195,4 mille tonnes d’une valeur de 5161 MD. Soit une hausse en volume de 0,4 %; contre une hausse de 50,8% en termes de valeur

Le prix moyen enregistré durant la campagne 2023/24 a augmenté de 50,2 % à 26,42 D/kg. L’Espagne a été la principale destination de l’huile d’olive tunisienne avec 29,5 % des quantités exportées, suivie par l’Italie et les États-Unis avec respectivement 27,4 % et 24,1 %.

Durant la même période, les exportations de l’huile d’olive biologique ont atteint 41, 245 mille tonnes. Pour une valeur de 1114 MD, avec un prix moyen de 27,01 D/kg. Leur part dans le total des exportations de l’huile d’olive tunisienne est de 21,1 % et 21,6 % respectivement, en termes de quantité et de valeur.

Les quantités de l’huile d’olive conditionnée représentent 6 % du total de l’huile d’olive biologique exportée. L’Italie est la principale destination de l’huile d’olive biologique avec 53,12 % des quantités exportées, suivie par l’Espagne et la France avec respectivement 27,12 % et 11,63 %.

Hausse de 6,1 % de la valeur des exportations des produits agricoles biologiques :

Les exportations tunisiennes des produits agricoles biologiques ont atteint 50,736 mille tonnes d’une valeur de 1220 MD, à fin octobre 2024. Soit une diminution de 23,1 % en termes de quantité et une hausse de 6,1 % en termes de valeur par rapport à la même période de 2023.

L’Italie est la principale destination avec 44 % des quantités exportées. Suivent l’Espagne et la France avec respectivement 22 % et 11 %.

Les exportations de produits biologiques se concentrent principalement sur l’huile d’olive et les dattes biologiques, suivies par les produits forestiers biologiques.

Avec TAP

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Béja – Projet Prosol : distribution de plus de 3 mille oliviers au profit des agriculteurs

Quelque 3250 oliviers ont été distribués au profit de 25 agriculteurs du gouvernorat de Béja.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre du projet Prosol pour la protection et restauration des terres dégradées (2019-2024). Il est financé par l’Agence allemande de coopération internationale et la direction générale de l’aménagement et de conservation des terres agricoles relevant du ministère de l’Agriculture.

Le conseiller technique du projet Prosol, Mohamed Farouk Essid, a indiqué à l’Agence TAP que ce programme, mis en œuvre dans les gouvernorats de Béja, Jendouba, Siliana, Kef, Kairouan, Kasserine et Sidi Bouzid, consiste à distribuer 20 mille plantes d’olivier. Et ce, en vue de soutenir les petits agriculteurs pour qu’ils puissent protéger leurs terres contre l’érosion et les aider à renforcer la fertilité du sol.

Chaque année, 23 mille ha de terres sont menacés par le phénomène de l’érosion, d’après la même source.

Avec TAP

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Rencontre avec l’autrice Imène Zaâfrane Zhioua : ‘Désir de Nature’ pour un Grand Tunis plus vert

L’Association des Amis du Belvédère (AAB) organise, le samedi 23 novembre 2024, une rencontre avec l’autrice Imène Zaâfrane Zhioua, architecte, chercheuse et enseignante, pour la présentation de son ouvrage “Désir de Nature dans le Grand Tunis : Pour une végétalisation de la ville dense”.

Cette rencontre vise à échanger sur un enjeu essentiel de notre époque : imaginer un Grand Tunis plus vert, durable et en symbiose avec la nature.

Dans son livre de plus de 300 pages publié par la maison d’édition MetisPresses à Genève (2024), Imène Zaâfrane Zhioua, experte en paysage urbain, explore la relation entre nature et urbanisation dans le Grand Tunis. Elle propose des solutions novatrices pour végétaliser une ville dense et offre un regard critique sur les pratiques actuelles d’aménagement urbain, où la nature est souvent reléguée au second plan.

A travers cet ouvrage, fruit de plus de vingt ans de recherche et d’enquêtes de terrain, elle retrace l’histoire des transformations spatiales et végétales de la capitale tunisienne. L’auteure dresse un inventaire des formes environnementales qui le composent et étudie de près le rapport qu’entretiennent les habitants de la ville aux espaces verts afin de porter un regard critique sur les régulations planificatrices actuelles à Tunis, où la présence de la nature reste discrète et parfois même ignorée par les planifications urbaines.

En s’inspirant d’expériences internationales et en adoptant l’urbanisme tactique comme outil d’action, Imène Zaâfrane Zhioua propose une vision audacieuse : réintroduire la nature au cœur des zones urbaines denses pour répondre à l’urgence climatique et améliorer la qualité de vie des habitants, en imaginant notamment un « filament vert », une traversée végétale reliant les espaces de l’hypercentre tunisois (Résumé).

Architecte passionnée par le paysage urbain et l’intégration du végétal dans les métropoles, Imène Zaâfrane Zhioua a obtenu son doctorat à l’Université de Genève. Aujourd’hui, elle enseigne à l’Ecole nationale d’architecture et d’urbanisme de l’Université de Carthage.

Festival international du film du Caire – Prix parallèles : deux distinctions pour le cinéma tunisien

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions. Et ce, dans le cadre des Prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire. Celle-ci se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Le cinéma tunisien est à l’honneur. Le film « Mal Wa Banoun » de Houssem Sanassa obtient pour sa part une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab. Elle lui est décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film « Barsha » de la réalisatrice Nada Mezni Hfaiedh reçoit le prix « Rough Cut Lab Africa ». Ainsi, ces distinctions font partie des Prix parallèles du festival. En attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle. En effet, elle aura lieu lors de la cérémonie de clôture.

Par ailleurs, en avant-première mondiale, le long-métrage « Nawar achiya » de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. En outre, le film « Qantra » de Walid Mattar est en lice dans la section « Horizons du cinéma arabe ».

Enfin, l’actrice tunisienne Dorra Zarrouk présentait, lors de ce rendez-vous cinématographique en avant-première, son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains). A cet égard, notons qu c’est sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice d’un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Avec TAP

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Human Screen Festival 2024… et projections de films dans les régions

Human Screen Festival 2024… et projections de films dans les régions | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (CULT) – Le Festival International du Film des Droits de l’Homme, Human Screen Festival – Karama Tunisie-, se déroulera dans sa neuvième édition du 27 au 30 novembre 2024, autour du thème « Féminicide, Paix et Sécurité ».

Organisé par l’association culturelle tunisienne pour l’insertion et la formation (ACTIF) avec le soutien notamment du Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), ce rendez-vous cinématographique aura lieu à Tunis, Gabès, Zaghouan (Bir Mecherga et Hammam Zriba), Ben Arous (Mornag) et Bizerte.

La sélection de l’édition 2024 regroupe 52 films en provenance de 24 pays, dont 8 longs métrages fiction, 14 courts métrages fiction, 10 longs métrages documentaires, 11 courts documentaires et 9 films d’animation.

Le jury de la compétition des films documentaire réunit le producteur tunisien Habib Ben Hedi, la professeure universitaire Souad Zribi et le réalisateur-producteur-scénariste Akram Moncer. 

Le jury de la compétition des films fiction est formé de la réalisatrice, scénariste et productrice Mirvet Kammoun, de l’expert en production et assistance à la réalisation Hakim Abdelfattah et du compositeur et producteur de musique Rabii Zammouri.

Le festival invite à découvrir des perspectives issues de pays dont les cultures restent souvent méconnues. Il propose également des débats sur des questions cruciales touchant aux libertés individuelles et collectives, ainsi qu’à l’émancipation nationale et personnelle face aux multiples formes de l’hégémonie coloniale moderne.

Créé en 2012 par l’association ACTIF, Human Screen Festival Tunisie vise à promouvoir la culture des droits humains en Tunisie à travers le cinéma local et international, tout en assurant une ouverture sur les mouvements et changements qui s’opèrent à l’échelle mondiale.

Avec une sélection de 37 films issus de 16 pays, la huitième édition en 2023 a été placée autour du thème « Femmes, Paix et Sécurité ».

Festival international du film du Caire : deux prix pour le cinéma tunisien

Le cinéma tunisien s’est distingué en remportant deux prix parallèles lors de la 45e édition du Festival international du film du Caire, qui se déroule en Égypte du 13 au 22 novembre.

Le film Mal Wa Banoun, réalisé par Houssem Sanassa, a décroché une bourse de participation au laboratoire Mozaïk pour la post-production, offerte par la Commission royale du film de Jordanie. De son côté, le film Barsha, réalisé par Nada Mezni Hfaiedh, s’est vu attribuer le prix Rough Cut Lab Africa. Ces distinctions viennent enrichir les récompenses parallèles du festival, en attendant la révélation des lauréats des prix officiels lors de la cérémonie de clôture.

La Tunisie est également représentée dans la compétition officielle par le film Nwaar Aachiya de la réalisatrice et productrice Khadija Lemkecher, qui sera projeté en avant-première mondiale aux côtés de 17 autres œuvres internationales. Par ailleurs, le film Kantra de Walid Mattar concourt dans la section Horizons du cinéma arabe.

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a marqué cette édition en présentant son premier documentaire, Wen Sarna, une œuvre qui explore la condition des réfugiés palestiniens. Ce film constitue sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice. Zarrouk a également pris part à une table ronde organisée jeudi sur le thème : “Cinéma palestinien et libanais – Histoires d’identité et de résilience”. Elle y a échangé aux côtés de figures du cinéma arabe, notamment Mai Masri, Najwa Najjar et Myriam El Hajj.

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Quand un média algérien découvre les maisons troglodytes tunisiennes

« Douz, Toudjane, Matmata… Ces noms évoquent des paysages lunaires, des étendues de sable à perte de vue et, nichées au cœur de ces décors grandioses, des habitations aussi étonnantes qu’authentiques : les maisons troglodytes en Tunisie ».

Voilà l’entame d’un article du site algérien algerie360.com titré « A la découverte des maisons troglodytes en Tunisie : un voyage au cœur des forteresses du désert ».

Le média revient sur l’histoire des maisons troglodytes pour souligner que celles-ci ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural  […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

Pour les touristes férus d’histoire et de découvertes archéologiques, ces villages et régions de la Tunisie valent bien un détour. Il s’agit entre autres de Matmata, Chenini, Douiret, Guermessa, Tamezret…

Algerie360.com se demande « pourquoi avoir choisi de vivre sous terre? »Et il répond en deux mots : « la survie ». Tout en expliquant : « Dans un environnement aussi extrême que le désert tunisien, où les températures oscillent entre des chaleurs torrides et des nuits glaciales, ces habitations offraient une protection naturelle idéale. Les murs de roche, épais et isolants, tempéraient les variations thermiques, créant un microclimat intérieur stable et agréable. De plus, ces demeures étaient discrètes, un atout précieux en des temps où les raids et les invasions étaient fréquents ».

 

Ces maisons troglodytes ont été creusées dans la roche depuis des millénaires par les Berbères et sont des demeures souterraines qui « sont bien plus qu’un simple héritage architectural […] Elles sont un témoignage vivant d’une ingéniosité ancestrale et d’une adaptation remarquable à un environnement hostile ».

 

La même source rappelle que c’est le 7ème art qui a permis aux maisons troglodytes tunisiennes d’acquérir une renommée mondiale. « Qui ne se souvient de la célèbre maison de Luke Skywalker sur Tatooine, dans la saga Star Wars ? ». Et de souligner que « c’est dans l’une de ces habitations, nichée au cœur du désert tunisien, que Georges Lucas a choisi de situer le berceau du célèbre Jedi.

A partir de là, les maisons troglodytes tunisiennes sont passées de l’ombre à la lumière, comme on dit, qui attirent de nos jours des milliers de visiteurs; mais pas suffisamment à notre sens compte tenu de leur potentiel.

En effet, il est souhaitable que les ministères de la Culture et du Tourisme conjuguent leurs efforts pour mettre en place une stratégie nationale internationale de promotion des maisons troglodytes en Tunisie. Car, certes beaucoup de Tunisiens ont entendu parlé de ces maisons authentiques, mais rares d’entre eux ont pu les visiter. Tout simplement parce qu’on n’a pas créé chez eux la curiosité, l’envie, voire la volonté, de le faire.

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Projet Maghroum’in : Soutien à l’inclusion des jeunes tunisiens à travers la culture et le sport

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé “l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne”, lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son “souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques”, ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Remise du Prix « Abou El Kacem Chebbi » de la BT, ce samedi à Tozeur

Remise du Prix « Abou El Kacem Chebbi » de la BT, ce samedi à Tozeur | Univers News

TUNIS – UNIVERSNEWS (CULT) – L’encouragement de la culture est l’une des honorables traditions de la Banque de Tunisie qui, fidèle à son engagement d’encourager la culture et la création intellectuelle et littéraire, vient d’annoncer que la remise du prestigieux Prix littéraire « Abou El Kacem Chebbi » se tiendra le 23 novembre prochain, dans la région de Tozeur. Pour cette édition, le Prix sera spécialement dédié à la poésie, offrant ainsi une tribune à l’expression artistique et littéraire dans le domaine de la poésie.

Étant donné que cette édition coïncide avec son 140ème anniversaire, la Banque de Tunisie a également annoncé l’attribution d’un autre prix spécial de la littérature arabe qui sera distribué au cours de la même cérémonie.

La Banque de Tunisie fut la première institution financière à parrainer des projets culturels et à encourager les écrivains et romanciers pour présenter des travaux de qualité. Pour cette édition, il est à rappeler que les candidatures pour ce prix ont débuté le 2 avril 2024 et clôturées le 14 juin de la même année.

La BT célèbre le 40ème anniversaire du Prix Abou El Kacem Chebbi

Retour aux sources sur les lieux où tout a commencé, où est né et grandit notre légendaire poète Abou El Kacem Chebbi.

La Banque de Tunisie, fidèle à sa tradition, a choisi cette année la terre natale du poète, mort dans la fleur de l’âge, pour organiser et célébrer le 40ème anniversaire de la cérémonie de remise de prix Abou El Kacem Chebbi. L’événement aura lieu le samedi 23 novembre 2024 au mausolée Abou El Kacem Chebbi à Tozeur. Et ce, en présence d’un aréopage d’hommes et de femmes de lettres, de mécènes, responsables et de journalistes invités pour la circonstance.

Belle initiative qui se perpétue et se réinvente depuis 40 ans. Qui dit que les banques n’ont pas d’âme et de cœur et une sacrée mémoire?

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Quels sont les enjeux de la pêche durable pour les pays méditerranéens ?

PoissonsUne vingtaine de pays méditerranéen dont la Tunisie ont adopté 17 importantes décisions, dont une douzaine de recommandations contraignantes pour améliorer la durabilité des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en Mer Adriatique.

Rapportées, par l’observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), ces décisions ont été prises, au cours de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est tenue à Rome (Italie) du 4 au 8 novembre 2025.

Parmi les décisions adoptées figure « le renforcement des mesures relatives à la gestion de nombreuses espèces prioritaires de la CGPM, notamment l’anguille d’Europe, le corail rouge, la dorade rose, le merlu européen, la langoustine, le sprat, le turbot, le rapina veiné, l’aiguillat commun et l’esturgeon ».

Concernant l’aquaculture, les participants ont salué le progrès accomplis « en faveur du développement durable de ce secteur et ont décidé « de créer un réseau chargé de surveiller les maladies aquatiques et de réduire autant que possible les risques induits par le commerce ».

Par ailleurs, la déclaration de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en relief les progrès sur le plan de la conformité et de l’application des règles pour lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. La Tunisie, qui compte 1300 kms de littoral, est particulièrement concernée.

A ce propose la réunion précitée a pris acte des avancées majeures qui ont été réalisées ces dernières années, faisant remarquer que la CGPM a joué un rôle déterminant dans les progrès réalisés par de nombreux pays dans la révision de leur législation nationale pour cibler spécifiquement la pêche illicite, non déclarée et non règlementée.

ABS

 

Tunisie : Dynamiser l’aquaculture par l’investissement et la coopération internationale

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

 

Lassaad Ben Abdallah, de la scène à l’écriture romanesque

L’homme de théâtre Lassaad Ben Abdallah passe de la scène à l’écriture littéraire en publiant son premier roman ‘‘Le citronnier malade’’ chez Contraste Éditions à Sousse.

C’est le second ouvrage de l’auteur publié par le même éditeur, après un étonnant essai au titre prémonitoire écrit pendant la pandémie ‘‘La fin tragique du théâtre… ?’’ publié il y a quatre ans.

Dans Notes confinées, nous plonge cette fois dans une saga qui s’étend sur trois générations, de 1942 à 2017.

À travers le destin croisé de Betbet, un receleur opportuniste, et de ses victimes, Sleh et Anouchka, l’auteur nous entraîne dans une intrigue, se déroulant sur fond de bouleversements historiques et qui au fur et à mesure prend le format d’un polar.

De la Tunisie du Protectorat français à celle des années 2000, le roman explore les méandres de la société tunisienne à travers les yeux de ses personnages complexes et attachants.

Un récit captivant, dont les événements se déroulent entre la banlieue nord de la capitale et le nord-ouest du pays, où le passé refait surface pour éclairer le futur.

Lassaad Ben Abdallah est metteur en scène, dramaturge et producteur de théâtre. Il a dirigé des compagnies publiques et privées à Tunis où il est né et dans différentes régions du pays. Programmateur et directeur artistique de plusieurs festivals et manifestations culturelles, il collabore avec des associations pour la mise en place de projets à caractère culturels.

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Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation. La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange […]

Au Théâtre Le Rio à Tunis : l’art au-delà des barrières

‘‘الجبلEl’’ du metteur en scène italien Simone Mannino, une création théâtrale produite par Arts Distribution Le Rio et Nostra Signora, sera présentée le 23 novembre 2024, à 16h00, sur la scène de la salle Le Rio, au centre-ville de Tunis.

Cet événement, organisé dans le cadre du projet de l’Ensemble Théâtral Méditerranéen, se présente comme une réflexion sur les enjeux contemporains liés à la liberté d’expression et à l’évolution des systèmes démocratiques, des thèmes abordés au cœur de cette nouvelle création.

Pourquoi les organisateurs ont-ils fixé la représentation le jour même de l’ouverture des Journées Théâtrales de Carthage? C’est, répondent-ils, pour sortir des cadres et sauter les barrières. L’art comme résistance aux carcans institutionnels et officiels, en quelque sorte.

L’Ensemble Théâtral Méditerranéen œuvre au renforcement des liens culturels pour une meilleure compréhension entre les peuples du monde.

Héliogabale, l’ancien empereur de Rome (203 – 222), est né à une époque similaire à la nôtre, caractérisée par sa diversité ethnique et culturelle, marquée par une période d’opulence touchant à une fin inévitable, au seuil de transformations majeures. Navigant entre l’inexpérience politique et les projets grandioses, le populisme et le raffinement, tout cela confère au jeune Héliogabale un caractère exceptionnellement captivant et étonnamment contemporain.

Avec une distribution internationale d’artistes et d’acteurs provenant du bassin méditerranéen, le spectacle est un manifeste pour le dialogue interculturel, la liberté et la paix, explorant les liens entre genres et différentes cultures.

La performance d’une durée 110 minutes, qui aura lieu en italien, arabe et français, est enrichie par une scénographie visionnaire et multidisciplinaire ainsi qu’une bande sonore en direct, offrant au public une expérience théâtrale immersive et poétique.

D’après ‘‘Il Sole Invincibile’’ de Claudia Salvatori, avec des extraits de ‘‘Héliogabale ou l’anarchiste couronné’’ d’Antonin Artaud ; texte et adaptation: Claudia Salvatori, Simone Mannino; conception, scénographie et mise en scène: Simone Mannino; avec Maher Msaddek, Chiara Muscato, Aymen Mabrouk, Ruth Kemna, Haithem Moumni, Gisella Vitrano, Mariem Sayeh, Valeria Sara Lo Bue, Khouloud Jlidi; musique originale: Gaetano Dragotta, Ruth Kemna; conception sonore: Gaetano Dragotta; Costumes: Philippe Berson ; directeur technique et éclairage: Yazid Bel Hedi; assistante mise en scène: Amal Manai; assistante scénographie: Andrea Mannino; production des costumes: Azais Sartoria et Francesca Pipi; directeur de production: Habib Bel Hedi; production: Théâtre Le Rio, Atelier Nostra Signora, Ensemble Théâtral Méditerranéen.

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25e édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC): Pour plus d’inclusion

Une table ronde sera aussi organisée dans ce sens, intitulée «Théâtre de l’intégration: expression et thérapie» qui abordera différentes expériences tunisiennes et discutera les perspectives, les impacts et les particularités.


Cette année encore, les JTC poursuivent leur démarche inclusive en tentant de rendre accessibles des expériences théâtrales à celles et ceux qui n’y ont pas toujours accès, entre autres les détenus et autres pensionnaires des centres carcéraux, auxquels le festival, à travers la section «Le théâtre la liberté», offre la possibilité de représenter devant un public leurs créations. Onze pièces de 11 institutions pénitentiaires à la section «Théâtre de la Liberté» figurent au programme avec plus de cent détenus qui prennent part à la 25e édition des Journées théâtrales de Carthage. Ces œuvres sont produites par les clubs de théâtre de 11 institutions pénitentiaires : les prisons civiles de Gafsa, Mahdia, Essers, Mornaguia, Sfax et Kébili, les centres de rééducation des mineurs délinquants à Oudhna, El Meghira, Mourouj et Sidi Hani, ainsi que la prison pour femmes de Manouba.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 21 novembre 2024

 

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