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Tourisme saharien: ces deux hôtels qui vont connaître une nouvelle vie

Deux hôtels, à Tozeur et ses environs, viennent d’être rachetés par un promoteur qui mise sur le tourisme saharien.

Le groupe Horchani, propriétaire notamment de l’hôtel Odyssée à Zarzis, élargit son porte-feuille par l’acquisition de deux nouveaux établissements.

Il s’agit tout d’abord de l’hôtel La Palmeraie de Tozeur (4 étoiles, 212 lits) acquis auprès de la SHDT (Kamel Drouche). La reprise de son activité par le nouveau propriétaire est annoncée pour 2025.

Ensuite le Tamerza Palace, de Mouldi Hached. Fermé depuis plusieurs années, l’hôtel va également reprendre du service dès 2026 car nécessitant d’importants travaux de rénovation. Cet établissement constituait un maillon fort du tourisme saharien, notamment grâce à son emplacement exceptionnel. Ouvert en 1992, l’hôtel était classé 4 étoiles avec une capacité de 218 lits.

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Disparition de Mohamed Belajouza: salve d’hommages à l’homme sage

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L’annonce du décès de Mohamed Belajouza a entraîné un très grand nombre d’hommages sur les réseaux sociaux, saluant la sagesse de celui qui fut un grand professionnel du tourisme.

Mohamed Belajouza s’est éteint aujourd’hui. Le fondateur de la chaîne Seabel Hotels était âgé de 83 ans.

La Toile était unanime aujourd’hui pour saluer à la fois l’homme et le professionnel. Les nombreux hommages qui lui ont été rendus, que ce soient ceux publiés par ses confrères ou par des anonymes, se rejoignaient sur un point: M. Belajouza était estimé de tous.

Si dans les milieux touristiques, M. Belajouza était tout d’abord un hôtelier respecté pour son parcours et pour les valeurs qu’il défendait, le grand-public l’a découvert notamment durant la période où il était président de la FTH (Fédération tunisienne de l’hôtellerie).

Le défunt avait notamment présidé le patronat hôtelier au cours d’une période très particulière, celle s’étendant de 2007 à 2013, autrement dit à cheval entre deux régimes politiques et où l’engagement des professionnels du tourisme à défendre les intérêts de leur secteur et de leur corporation était vital, ayant même atteint son paroxysme à un certain moment.

Mohamed Belajouza n’hésitait pas à dire tout haut ce qu’il pensait. Mais il le disait avec justesse et diplomatie, avec beaucoup de circonspection. Et quand il fallait monter au front, il était également de tous les combats, avec toutefois une constance, celle de la sagesse et du compromis avec les différentes parties impliquées.

Ses faits d’armes ont été nombreux, même si face à une administration stéréotypée, certains dossiers n’ont pas abouti, notamment celui relatif à la création de la Maison du Tourisme qui lui tenait tant à cœur et pour lequel il se démena sans compter.

Ces dernières années, M. Belajouza s’était retiré de la scène publique après avoir confié progressivement le flambeau à ses enfants Rym et Mourad pour assurer la continuité des affaires sous sa bienveillance.

Mohamed Belajouza restera pour la postérité comme l’un des grands bâtisseurs de l’hôtellerie tunisienne, précisément celle qui fait la fierté du secteur et du pays.

En cette pénible circonstance, toute l’équipe de Destination Tunisie présente ses condoléances les plus sincères à toute la famille du défunt et également à tous ses collaborateurs.

D.T

Lire dans nos archives:

Notre tourisme malade de son endettement: par Mohamed Belajouza

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Le voyagiste allemand FTI Touristik en situation d’insolvabilité: quelles conséquences pour les hôtels en Tunisie ?

FTI Touristik GmbH, la société mère du groupe allemand FTI, troisième voyagiste européen, a déposé aujourd’hui une demande pour l’ouverture d’une procédure d’insolvabilité auprès du tribunal local de Munich.

Toutes les tentatives de survie et les promesses de retour en force ont capoté: FTI Touristik, numéro 3 européen du voyage, a déposé aujourd’hui une demande dite d’insolvabilité. En d’autres termes, l’entreprise ne peut plus honorer ses dettes. Pour les observateurs avisés, il s’agit de la première étape avant la mise en faillite de la société.

Et ce n’est pas une surprise tant les signaux d’alertes avaient été lancés au cours des derniers mois et notamment un article de Destination Tunisie qui avait fortement déplu aux concernés qui nous avaient menacé -par l’intermédiaire de leur avocat en Allemagne- de nous poursuivre en justice.

Moults péripéties

Après un processus d’investissement long et complexe, l’entrée d’un consortium d’investisseurs avait été annoncée en avril 2024. Depuis lors, malgré les nouvelles qui étaient présentées comme positives, les chiffres des réservations sont restés bien en deçà des attentes. En outre, de nombreux fournisseurs ont insisté sur le paiement anticipé de leurs factures sentant le vent tournerIl en est résulté un besoin accru de liquidités, qui ne pouvait plus être comblé jusqu’à la clôture du processus d’investissement. Le dépôt du bilan est donc devenu incontournable pour des raisons juridiques.

Quel impact sur la Tunisie ?

Dans ce genre de situation, les créanciers sont remboursés selon un ordre de priorité établi par la loi. Et parmi ces créanciers, certains hôtels tunisiens et transporteurs locaux, partenaires du voyagiste. Ceux-ci se comptaient par dizaines, toutes régions confondues mais par des volumes modestes, FTI Allemagne n’ayant pas dépassé 20.000 touristes en 2023 sur la Tunisie.

De plus, les signes avant-coureurs d’une mauvaise santé financière ont fait que [presque] tout le monde a exigé d’être réglé jusqu’au dernier millime (on parle juste d’une ardoise à Djerba avec un seul partenaire).

Il se trouve également que cette situation du voyagiste intervient avant la haute saison, quand la majorité des factures de la saison dernière ont été apurées ou alors que les avances consenties couvrent le passif.  A ce propos, les engagements en allotements pris par la branche allemande pour 2024 trouveront sans aucun doute preneurs étant donné la forte demande sur la destination tunisienne pour cet été.

Concernant la branche française de FTI, elle n’avait jamais réellement réussi à décoller (comme d’ailleurs tous les voyagistes allemands en France). L’entreprise laissera cependant des actifs et un porte-feuilles de clients qui ne sera pas abandonné et qui retrouvera des repreneurs sans aucun doute.

Dans un communiqué que nous avons reçu à notre rédaction, le voyagiste déclare que soutenir les voyageurs touchés par les conséquences de l’insolvabilité est désormais une priorité absolue pour le GROUPE FTI. Un site Internet d’assistance a déjà été créé à www.fti-group.com/en/insolvency ainsi qu’une hotline d’assistance au +49 (0) 89 / 710 45 14 98

D’autres sociétés du groupe déposeront également une demande d’insolvabilité dans les jours à venir selon le même communiqué. Il est à noter par ailleurs que le Groupe FTI ne comprend pas la chaîne de télévision sonnenklar.TV et TVG avec ses agences de voyage allemandes franchisées qui sont exploitées sous les marques sonnenklar.TV, 5vorFlug et Flugbörse.

©Destination Tunisie

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20% des hôtels en Tunisie subissent une fermeture de long-terme selon le DG de l’ONTT

20% des unités d’hébergement sont fermées en Tunisie et ce pour diverses raisons selon une déclaration du directeur général de l’ONTT.

164 hôtels de différentes tailles et dans toutes les régions sont actuellement fermés. C’est ce qu’a affirmé le directeur général de l’ONTT, Helmi Hassine, dans une déclaration accordée à Destination Tunisie.

Ce chiffre correspond à 47.486 lits, soit 20% du total de la capacité des hôtels dans tout le pays. Les causes de fermeture sont diverses mais sont notamment économiques, aux côtés de problématiques liées aux crédits bancaires ou encore à des difficultés en rapport avec les héritages.

Helmi Hassine rappelle cependant que les fermetures d’hôtels se concentrent dans certaines zones qui peuvent être considérées comme sinistrées à l’image de la Corniche de Sousse où beaucoup d’hôtels sont en fin de cycle de vie et n’ont pas été rénovés et qui constituent donc une zone à sauver après la fermeture par exemple des anciens établissements qui portaient l’enseigne Abou Nawas (Boujaafar et Nejma dans le cas d’espèces). Comprendre que ce sont d’anciens hôtels qui n’ont pas bénéficié de réinvestissements quand il le fallait.

Autre zone avec une forte concentration d’établissements fermés, celle de Tozeur où la crise des années passées est loin d’être résorbée.

Commission interministérielle

Le directeur général de l’ONTT rappelle cependant qu’il existe une commission au niveau de la direction générale des Finances entre les ministères des Finances et du Tourisme qui se réunit régulièrement afin de trouver des solutions, notamment avec les banques, pour résoudre les dossiers d’endettement en suspend. Cette commission interministérielle avait été créée suite à la réunion de travail entre les ministères concernés en juin 2023.

Par ailleurs, il est à noter que durant la basse saison comprise entre novembre et avril, nombre d’hôtels -dont le produit est axé uniquement sur l’offre mono-produit balnéaire- ferment leurs portent de manière volontaire, ce qui peut augmenter le taux de fermeture des établissements d’hébergement mais ce taux n’est que provisoire. Ces fermetures sont d’ordre stratégique mais permettent également à tout établissement d’engager des travaux de rénovation en tous genres qui ne peuvent être réalisés en pleine saison.

Sur la pente ascendante

Le secteur de l’hôtellerie reste cependant sur un trend positif et devrait renouer cette année avec ses réalisations de 2019 en termes de nuitées. La présence en progression des chaînes internationales peut être interprété comme un signe favorable, avec l’arrivée sur le grand Tunis d’enseignes d’envergure comme Marriott (à Tunis, Sousse et bientôt Djerba), Radisson et Hilton (Monastir et bientôt Tunis et Gammarth) ou économiques tels que Campanile et prochainement Kyriad Prestige, outre le grand projet d’investissements koweitien à Gammarth.

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« Faites-vous plaisir » dans l’un des hôtels Iberostar en Tunisie

Iberostar Hotels & Resorts, chaîne hôtelière leader avec plus de 100 établissements de haut standing répartis dans les principales destinations touristiques, invite sa clientèle à se faire plaisir et venir se détendre dans les hôtels en bord de mer où elle est présente en Tunisie afin de se défaire de la pression et des soucis du quotidien.

Le slogan « faites-vous plaisir » est fondamental chez Iberostar et notamment à Djerba, Mahdia, Skanès/Monastir, Sousse/El Kantaoui et Yasmine Hammamet où l’on considère que les vacances sont cette période de l’année où la seule chose qui devrait compter, c’est le moment passé par le vacancier avec sa famille, son partenaire ou ses amis.

L’objectif étant que durant son séjour dans l’un de ces hôtels, celui-ci se concentre sur lui-même et ses proches, comme passer toute la journée à la piscine avec ses enfants, danser longuement sous les étoiles, déguster des plats délicieux, prendre la plus belle photo de l’hôtel pour faire envie à ses collègues, se faire servir un cocktail dans un lit libanais, regarder l’horizon en famille, trouver la meilleure façon de faire une selfie, etc.

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Passer toute la journée à la piscine avec ses enfants, danser longuement sous les étoiles…

Par ailleurs, en plus de rendre des vacances toujours plus tranquilles, d’offrir une qualité de services selon leurs standards internationaux, les hôtels Iberostar s’attachent à les rendre plus durables.

Leader en matière de tourisme responsable, la chaîne place l’économie circulaire au centre de sa stratégie selon un agenda qu’elle a défini visant à devenir sans déchets d’ici 2025, neutre en carbone d’ici 2030 et 100 % responsable dans ses produits de la mer, veillant ainsi à la santé des écosystèmes entourant ses hôtels.

Souvenirs exceptionnels des vacances

La dualité entre la durabilité et le plaisir combine le contexte et les besoins des consommateurs, ce qui différencie Iberostar dans cette catégorie et lui permet de laisser une empreinte positive tout en maintenant une qualité exceptionnelle pour laisser à ses hôtes un souvenir exceptionnel de leurs vacances pendant notamment les 7 jours de vacances qu’ils s’offrent par an et qui permet une rupture totale par rapport au rythme de vie des 358 autres jours de l’année.

La durabilité ne doit en aucun cas constituer un souci. Elle est reliée à de bonnes vacances, à la quête de plaisir et de tranquillité d’esprit des hôtes.

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Lire aussi à propos d’Iberostar:

Dans les hôtels Iberostar en Tunisie, le concept ‘Star Prestige’ pour une expérience exclusive

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A Djerba, ce qui se prépare pour la saison été 2024

Djerba, première zone touristique en Tunisie avec ses 119 hôtels, va enregistrer plusieurs nouveautés cette saison.

La barre symbolique des 6 millions de nuitées devrait allègrement être dépassée cette année à Djerba, après les 5,9 millions totalisées en 2023 (sans compter les 600.000 nuitées de Zarzis).

Car le cru 2024 semble déjà avoir bien débuté, à en juger par le taux d’occupation des hôtels actuellement et par les perspectives de la haute saison et des niveaux de booking.

Nouveautés dans les hôtels

Au niveau des hôtels, si la majorité de ceux qui ferment en hiver sont en train progressivement de rouvrir leurs portes, il est des signes qui ne trompent pas. Le mythique Club Med Djerba La Douce fait partie de ces symboles dont la réouverture (intervenue le 1er avril dernier) est perçue comme étant de bon augure. L’établissement a réalisé de très nombreux investissements, notamment en termes de mobilier des chambres et d’équipements sportifs.

Autre établissement emblématique, le complexe Dar Jerba. Celui-ci va être désormais exploité sous le label Monarque qui est l’enseigne hôtelière du tour-opérateur Blue Style de Imed Jedday agissant au départ notamment de la République tchèque mais aussi de Pologne.

Le complexe sera également proposé au marché français en tant que Club Coralia commercialisé par Promoséjour ainsi que sur d’autres marchés (allemand, bulgare, hongrois et serbe notamment).

Amélioration du produit

L’intérieur du complexe comprend deux hôtels fonctionnels (sur quatre). Le premier, Dar Narjess, a repris du service le 19 avril, tandis que le second, Dar Zahra, devrait suivre prochainement.

Le nouveau gestionnaire a renouvelé 99% du staff, notamment au niveau de la direction et de la restauration; toujours en matière de ressources humaines, une équipe d’animateurs professionnels d’une quarantaine de personnes est désormais opérationnelle même en hors saison, souligne Walid Tritar, délégué général de Blue Style pour la Tunisie et le Maroc.

Dar Jerba étant également une référence sur le marché local, il continuera de s’adosser sur sa place centrale avec son café maure, sa pizzeria (première pizzeria de l’île en termes de fréquentation) et sur ses boutiques, en plus de sa partie restauration (un restaurant à la carte et un autre de spécialités tunisiennes).

2e Iberostar après le Mehari

Par ailleurs, la chaîne espagnole Ibersostar va consolider sa présence sur l’île avec l’ouverture prévue le 1er juin de son nouvel hôtel qui portera le nom d’Iberostar Selection Eolia, actuellement en travaux de rénovation.

Il s’agit en fait de l’ex-Hasdrubal Thalassa & Spa qui a changé de mains après avoir été racheté par Zohra Driss (propriétaire également du Kuriat Palace, du Kantaoui Bay…).

Quant au futur Marriott, qui doit voir le jour sur le site de l’ancien hôtel Les Sirènes, celui-ci ne rouvrira de toute évidence pas ses portes cette année comme cela avait été initialement annoncé, son chantier n’étant toujours pas achevé. Le projet est cependant grandiose puisqu’il proposera 500 chambres de luxe toutes vue mer, en plus d’une dizaine de piscines et surtout un énorme aquaparc. Le promoteur, Férid Nasr, espère ouvrir en mai 2025.

Sur un autre plan purement professionnel, les élections au niveau du patronat hôtelier ont donné lieu à la reconduction pour un nouveau mandat de Jalel Henchiri en tant que président de la Fédération régionale de l’hôtellerie du sud-est, élections intervenues dans la perspective du renouvellement du bureau directeur de la Fédération tunisienne de l’hôtellerie (FTH) dont l’assemblée générale élective est prévue pour le 24 avril courant.

Le marché suisse en force

Outre les vols charters affrétés par les tour-opérateurs et la consolidation des fréquences de nombreux vols réguliers opérés notamment par Tunisair, Nouvelair ou Transavia, l’ouverture (ou la réouverture) de plusieurs lignes sont hautement significatives quand bien même il s’agit de dessertes saisonnières.

Et ce sont celles au départ du marché suisse qui semblent avoir marqué les esprits dans la mesure où easyJet a inauguré le 3 avril un vol bi-hebdomadaire Genève-Djerba. Edelweiss a également démarré depuis le 4 avril un programme de vols Zürich-Djerba.

Helvetic Airways s’apprête par ailleurs à lancer un vol Berne-Djerba à compter du 7 juin tous les vendredis.

Côté pavillon tunisien, Nouvelair a, de son côté également, lancé la ligne Djerba-Bâle le 25 mars dernier tandis que Tunisair a déjà entamé l’exploitation de l’axe Djerba-Genève depuis le 3 avril et va par ailleurs inaugurer son vol Djerba-Zürich, en plus d’un Djerba-Nantes à compter du mois de juin prochain.

Seule la compagnie Air France a annoncé qu’elle ne renouvellera pas son expérience des années précédentes puisque ses vols Paris/CDG-Djerba ne seront pas au programme cette saison; non pas pour raisons commerciales mais beaucoup plus stratégiques, sa filiale low cost Transavia absorbant la demande qui se manifeste au départ de la capitale française.

Si Djerba peut se targuer d’être une destination qui brasse très large sur les marchés européens, les touristes britanniques continuent encore de manquer à l’appel.

Cependant, il est fort probable que les choses changent très prochainement puisque des tour-opérateurs tels que TUI UK, voire même easyJet Holidays, seraient en train de regarder d’un très bon oeil les possibilités d’intégrer l’île dans leur programmation dès le mois de novembre prochain, ou au plus tard au début de l’année 2025.

H.H

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