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Tunisie : la production nationale d’électricité progresse de 4 % à fin juillet 2025

La production nationale d’électricité a enregistré une hausse de 4%, à fin juillet 2025, pour se situer à 11631 GWh (y compris autoproduction renouvelable), alors que la production destinée au marché local a augmenté de 2%, c’est ce qui ressort du rapport sur la conjoncture énergétique publié le 12 septembre courant, par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

A noter que la STEG conserve toujours la part du lion dans la production électrique avec 95% de la production nationale. L’électricité produite à partir de gaz naturel a évolué de 4%.

Le département de l’Industrie a fait savoir, aussi, que la production d’électricité à partir des énergies renouvelables s’est située au niveau de 6%, rappelant qu’environ 350 MW de toitures photovoltaïques ont été installées à fin 2024 dans le secteur résidentiel et 323 autorisations ont été octroyées pour une puissance totale de 50 MW sur la moyenne et la haute tensions dans les secteurs industriel, tertiaire et agriculture.

Il convient de souligner que les achats d’électricité, principalement de l’Algérie, ont couvert 11% des besoins du marché local à fin juillet 2025.

S’agissant des ventes d’électricité, elles ont enregistré une légère hausse de 1% durant les sept premiers mois de 2025. Les ventes orientées aux clients de la haute tension ont progressé de 22%, celles des clients de la moyenne tension ont enregistré une quasi-stabilité.

Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 58% de la totalité de la demande des clients haute tension et moyenne tensions (HT&MT).

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Kairouan-production d’électricité propre : la centrale solaire bientôt opérationnelle

Selon un communiqué de presse du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, les travaux de construction de la centrale électrique solaire photovoltaïque dans la zone de M’thabesta, dans le gouvernorat de Kairouan, ont atteint un taux d’achèvement de 82 %. Le ministère a également indiqué que la centrale, d’une capacité de 100 mégawatts, serait bientôt mise en service.

Ce projet est considéré comme un modèle pour le développement de l’investissement dans le secteur des énergies renouvelables et un pilier essentiel pour accélérer la transition énergétique et diversifier les sources d’énergie en Tunisie.

Le coût total du projet s’élève à environ 86 millions de dollars, soit l’équivalent de 270 millions de dinars tunisiens, avec un financement de la Société Financière Internationale (groupe de la Banque Mondiale) et de la Banque Africaine de Développement. La centrale s’étendra sur une superficie de 200 hectares et, une fois opérationnelle, permettra de réduire les dépenses de production d’électricité à partir du gaz naturel d’environ 50 millions de dinars.

Lors d’une visite sur le site, le secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane, accompagné d’Almod Fitz, directrice régionale des infrastructures pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord à la Banque mondiale, a réaffirmé le soutien du ministère au succès du projet et au renforcement du partenariat avec la Banque mondiale.

Cette visite s’inscrit dans le cadre du suivi des différentes phases de la construction de la centrale. Ce projet est l’un des plus importants visant à intégrer plus rapidement les énergies renouvelables dans le système électrique national. Il est également l’un des premiers projets à être développé sous le régime des concessions et devrait entrer en production avant la fin de l’année en cours.

La construction de la centrale de Kairouan constitue la première étape des projets réalisés sous le régime de concessions, dans le cadre de la première phase du programme de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables. Dans cette phase, cinq projets d’une capacité totale de 500 mégawatts ont été attribués dans les gouvernorats de Tataouine (200 MW), Kairouan (100 MW), Gafsa (100 MW), Tozeur (50 MW) et Sidi Bouzid (50 MW).

En mars dernier, les accords de concession pour la réalisation de quatre de ces cinq projets d’énergie solaire photovoltaïque ont été signés.

Le secrétaire d’État était accompagné du gouverneur de Kairouan, Dhaker Bergaoui, du PDG de la Société Tunisienne de l’Électricité et du Gaz (STEG), Faïçal Trifa, de plusieurs hauts responsables du ministère, du directeur général de la société « Kairouan Solar » et de représentants de la société émiratie AMEA Power, l’investisseur du projet.

Tunisie : Recul de 9% des ressources en gaz naturel

Les ressources en gaz naturel de la Tunisie (production nationale + forfait fiscal) se sont établies à 1000 ktep à fin juin 2025, en baisse de 9% par rapport à la même période de 2024. Cette contraction est liée à la baisse de la production locale et du forfait fiscal sur le transit du gaz algérien, selon le rapport mensuel de l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production de gaz commercial sec a diminué de 5% sur un an, tandis que la redevance sur le passage du gaz algérien a chuté de 14%, pour s’établir à 424 ktep.

Les achats de gaz algérien en hausse

Les principaux champs en recul sont Hasdrubal (-11%), Nawara (-31%), Miskar (-2%). En revanche, la production du gaz commercial du Sud a progressé de 9%.

L’Observatoire a insisté sur la baisse du forfait fiscal lié au transit du gaz algérien, dont la totalité de la redevance a été cédée à la STEG en juin 2025. Un dépassement de prélèvements par la STEG, estimé à 76 millions de m³, a par ailleurs été signalé et reste en cours de régularisation.

Face à cette baisse des ressources, la Tunisie a accru ses achats de gaz algérien, en hausse de 23% sur un an, pour atteindre 1290 ktep. Ainsi, l’approvisionnement national a progressé de 10%, à 2302 ktep, afin de répondre à une demande intérieure également en forte hausse.

Hausse de 10% de la demande de gaz naturel

La demande totale de gaz naturel a atteint 2293 ktep-pci (+10%). La consommation pour la production électrique a augmenté de 13%, représentant 69% de la demande totale. La production électrique tunisienne repose à 94% sur le gaz naturel.

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Délestage en Tunisie : Pourquoi la STEG coupe l’électricité par rotation ?

En plein été caniculaire, alors que les climatiseurs tournent à plein régime, la consommation électrique en Tunisie atteint des pics vertigineux. Pour éviter l’effondrement complet du réseau, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) recourt à une mesure peu connue du grand public, mais aux conséquences bien visibles : le délestage électrique.

Contrairement à une panne classique, le délestage est une opération délibérée de coupure d’électricité dans certaines zones du territoire, par roulement. L’objectif : soulager le réseau lorsqu’il est au bord de la saturation, en supprimant temporairement la charge dans des secteurs non prioritaires.

Ce mécanisme d’urgence permet de maintenir l’alimentation dans les zones dites « sensibles » : hôpitaux, infrastructures critiques, grands axes urbains, etc., tout en évitant un blackout généralisé.

En clair, il s’agit d’un choix stratégique entre une coupure partielle et brève, et un effondrement total du système électrique, avec des conséquences bien plus lourdes.

Inspirée d’une pratique mondiale

La Tunisie n’est pas un cas isolé. Le déstalage – ou load shedding dans les pays anglophones – est pratiqué dans de nombreuses régions du monde, souvent en développement ou confrontées à des déséquilibres entre production et consommation.

En Afrique du Sud, par exemple, ce système est en place depuis des années, géré selon des « niveaux » (stages) en fonction de la gravité de la situation. Le Liban, l’Inde, l’Algérie ou encore certains États des États-Unis l’utilisent également, parfois de manière planifiée et annoncée à l’avance.


Mais si le déstalage évite le pire, il n’est en aucun cas une solution durable. Il révèle au contraire les limites du système énergétique tunisien, notamment en période estivale. La forte demande liée à la climatisation, la vétusté de certaines infrastructures et le retard dans les projets de diversification énergétique, notamment le solaire, fragilisent le réseau.

La situation devient critique lorsqu’elle mène à un blackout, comme ce fut le cas en août 2022 : une coupure géante d’électricité a plongé la majorité du pays dans le noir pendant plusieurs heures. Une alerte rouge pour les autorités et la STEG, confrontées à l’urgence de moderniser le réseau et de gérer la demande.

Une meilleure communication attendue

Alors que le délestage continue d’être appliqué sporadiquement cet été, souvent sans communication préalable, de nombreux citoyens s’interrogent. Pourquoi leur quartier est-il soudainement plongé dans le noir, alors que d’autres restent éclairés ? Un manque de transparence et d’anticipation qui alimente colère et confusion.

Il devient urgent que la STEG, et plus largement l’État, communiquent clairement sur ces mesures, tout en accélérant les réformes nécessaires pour rendre le système plus résilient tant que ces mesures sont préventives.

Lire aussi : Coupures en série : la Tunisie frôle le blackout électrique

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Coupures en série : la Tunisie frôle le blackout électrique

La Tunisie a connu, ce lundi, des interruptions soudaines d’électricité dans plusieurs régions du pays. Contrairement à ce que certains usagers auraient pu penser, il ne s’agit pas de pannes locales isolées. Dans un communiqué publié il y’a peu, la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a expliqué qu’il s’agissait d’une décision nationale préventive.

Un réseau au bord de la saturation

Selon la STEG, cette coupure volontaire visait à éviter un effondrement complet du réseau électrique, un blackout généralisé, en raison d’un pic de consommation jamais enregistré jusque-là, touchant la majorité des gouvernorats du pays.

La Société publique précise que ses équipes techniques ont immédiatement entamé le rétablissement progressif de l’électricité dans les zones concernées. Elle assure mobiliser toutes ses ressources pour stabiliser le réseau et rétablir la distribution normale dans les plus brefs délais.

Appels à la responsabilité et gestes simples

Face à cette situation hors norme, la STEG en appelle à la patience des citoyens et les encourage à limiter leur consommation, surtout durant les pics de demande. Une recommandation difficile à suivre alors que la chaleur étouffante dépasse les 45 °C, transformant le quotidien en épreuve : ventilateurs inutilisables, climatiseurs coupés, et pénurie d’eau au robinet.

Lire aussi : Grand-Tunis: Ni eau ni électricité en pleine vague de chaleur !

Récemment, la STEG a publié des recommandations destinées au grand public. Elle invite les citoyens à reporter l’usage des appareils les plus énergivores – comme le four, la machine à laver, le sèche-cheveux ou le fer à repasser après 16h. Ce simple geste, précise-t-elle, permet de « se protéger et protéger le pays » face à une demande énergétique en forte hausse.

Ce type de communication n’est pas nouveau. Chaque été, la STEG renouvelle ses appels à la modération, souvent en réaction à des pics records de consommation. En juillet 2023, la Tunisie avait franchi un seuil historique de 4825 MW. En 2024, la tendance s’est poursuivie avec un nouveau pic à 4363 MW, enregistré le 5 juillet selon les données les plus récentes de l’opérateur.

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Grand-Tunis: Ni eau ni électricité en pleine vague de chaleur !

Ce lundi 21 juillet 2025, les habitants de plusieurs quartiers du Grand Tunis enregistrent des coupures d’eau et d’électricité. Alors que le thermomètre dépasse allègrement les 45°C à l’ombre, c’est un véritable calvaire que vivent les citoyens, entre ventilateurs hors service, climatiseurs à l’arrêt, et robinets désespérément secs.

La SONEDE (Société nationale d’exploitation et de distribution des eaux) a annoncé une perturbation majeure dans l’approvisionnement en eau potable, attribuée à une panne électrique soudaine survenue au niveau du transformateur principal de la station de pompage de Ghdir El Golla. Une panne qui, selon ses communiqués, est totalement indépendante de sa volonté.

Mais pendant que la SONEDE tente tant bien que mal de communiquer, la STEG (Société tunisienne de l’électricité et du gaz), elle, reste muette. Aucune explication officielle, aucune alerte, aucun calendrier de retour à la normale. Un silence qui ajoute à l’incompréhension et à la colère des citoyens.

Dans certains quartiers de La Soukra, Mnihla, El Mourouj ou encore Borj Louzir, les habitants s’organisent comme ils peuvent. Glacières, bouteilles d’eau stockées à l’avance — pour ceux qui ont eu la présence d’esprit — deviennent les outils de survie d’un quotidien paralysé par cette double coupure.

La STEG a-t-elle recouru au délestage ? il s’agit d’une mesure préventive ou d’urgence prise par les fournisseurs d’électricité pour soulager le réseau électrique en cas de déséquilibre entre l’offre (production) et la demande (consommation), notamment lors des périodes de canicule, de pic de consommation ou de panne majeure ?

Sur les réseaux sociaux, les messages affluent et plusieurs citoyens s’indignent alors que d’autres pointent du doigt le manque de coordination entre les deux sociétés publiques, censées garantir des services vitaux, surtout en période de pic de consommation.

Lire aussi : Grand-Tunis : Coupures d’eau ce lundi à cause d’une panne électrique majeure

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Tunisie : Coupures d’électricité prévues ce dimanche à Sousse et Monastir

La Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG) a annoncé qu’une interruption de l’alimentation électrique aura lieu ce dimanche 15 juin 2025 dans plusieurs quartiers des gouvernorats de Sousse et Monastir, en raison de travaux de maintenance programmés sur le réseau.

A Sousse, la coupure est prévue de 8h00 à 13h00 dans la zone de Ksibet Chott.

Dans le gouvernorat de Monastir, plusieurs localités seront concernées. A Monastir-ville, le courant sera interrompu de 8h00 à 11h00 dans le quartier Skanes, à proximité du carrefour de la Présidence. A Jemmal, la coupure interviendra de 11h00 à 15h00 et touchera les zones de la municipalité de Zaouiet Kontoch, la route de Beni Hassen, la route de Moknine, la route de Sousse, ainsi que l’Avenue des Martyrs.

La STEG précise que le rétablissement de l’électricité se fera progressivement, sans préavis, en fonction de l’avancement des travaux.

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Tunisie : Un maillon stratégique dans l’exportation d’électricité vers l’Europe

Le projet Elmed, reliant la Tunisie au sud de l’Italie, positionne la Tunisie comme un acteur clé de l’intégration énergétique euro-africaine. Ce câble sous-marin ouvre la voie à une coopération énergétique renforcée entre l’Algérie, la Tunisie et l’Europe.

Le projet Elmed, en phase de finalisation, pourrait bien faire de la Tunisie un acteur central de la nouvelle carte énergétique du bassin méditerranéen. Ce câble électrique sous-marin, qui reliera le réseau tunisien au sud de l’Italie, permettra non seulement de renforcer l’interconnexion entre l’Afrique du Nord et l’Europe, mais aussi de positionner la Tunisie comme hub régional de transit énergétique.

Selon les déclarations de Fayçal Trifa, directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG), reprises par l’agence italienne Nova, Elmed vise à intégrer les réseaux algérien et tunisien pour faciliter l’exportation de l’électricité vers l’Europe et appuyer la création d’un futur marché énergétique euro-africain.

Ce projet d’envergure, d’une capacité de 600 MW et d’un coût total de 850 millions d’euros, bénéficie d’un financement conséquent : 300 millions d’euros de la Commission européenne et 260 millions de dollars de la Banque mondiale, avec l’implication de la Banque européenne d’investissement (BEI), la KfW allemande et la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD).

Pour la Tunisie, les retombées sont multiples. D’un point de vue stratégique, ce projet permettrait de renforcer la sécurité énergétique du pays, tout en l’intégrant pleinement dans les grandes dynamiques de transition énergétique en Méditerranée. Il ouvre également des perspectives commerciales, puisque la Tunisie pourrait bénéficier de droits de transit ou, à terme, exporter elle-même de l’électricité, notamment issue des énergies renouvelables.

En parallèle, l’Algérie mise sur ce couloir tuniso-italien pour renforcer ses exportations électriques, notamment après l’abandon du projet d’interconnexion directe avec la Libye jugé techniquement infaisable. Elle modernise à cet effet ses lignes haute tension vers la Tunisie, tout en développant un ambitieux programme de production électrique, avec des objectifs dépassant les 50.000 MW d’ici dix ans, en partie grâce aux énergies solaire et éolienne.

La Tunisie, en se positionnant comme trait d’union énergétique entre l’Afrique et l’Europe, voit ainsi s’ouvrir de nouvelles perspectives en matière de diplomatie énergétique, d’investissement et d’intégration régionale.

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Électricité en Tunisie : Un tarif moyen de 472 millimes/kWh, fortement dépendant du gaz naturel

Lors d’une audition parlementaire, des responsables du ministère de l’Industrie ont précisé que le prix moyen de l’électricité en Tunisie est actuellement de 472 millimes par kilowattheure, dont 70% lié au coût du gaz naturel. Un équilibre fragile, maintenu grâce aux subventions et au recours à des financements islamiques.

Le tarif de l’électricité en Tunisie s’élève en moyenne à 472 millimes par kilowattheure, ont indiqué lundi des responsables du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, lors d’une séance d’audition tenue par la commission parlementaire des Finances et du Budget. Une grande partie de ce coût – 70% exactement – est liée au prix du gaz naturel, principale source d’approvisionnement énergétique du pays.

Des subventions lourdes

Cette audition a été consacrée à l’examen de l’accord de financement dit « Mourabaha », conclu entre la Société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) et la Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC), pour assurer l’importation de gaz naturel. Il s’agit d’un mécanisme de financement conforme aux principes de la finance islamique, destiné à renforcer la trésorerie de la STEG.

Les représentants du ministère ont précisé que 85% des abonnés de la STEG consomment moins de 200 kWh par mois, un chiffre qui témoigne d’une consommation modérée mais aussi d’un poids élevé des subventions. En effet, près de 40% du tarif de l’électricité serait actuellement couvert par l’État, un effort budgétaire considérable.

Vers une réforme tarifaire conditionnée

Les responsables gouvernementaux ont souligné qu’aucune hausse des tarifs de l’électricité ou du gaz ne sera envisagée sans la réalisation préalable d’une étude approfondie, insistant sur la nécessité pour la STEG de réduire ses coûts de production. L’objectif à moyen terme est de garantir une vision claire de la tarification pour les années à venir, en intégrant davantage d’énergies renouvelables afin de renforcer l’indépendance énergétique du pays.

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