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Enseignement supérieur : l’ISSI SFAX obtient la certification ISO 21001:2018

L’Institut Supérieur des Sciences Infirmières de Sfax (ISSI Sfax) a obtenu, le 19 novembre, la certification de conformité aux normes internationales dans le domaine de l’enseignement supérieur « ISO 21001:2018 ».

Le directeur de l’ISSI Sfax, Bassem Abid, a indiqué, jeudi 21 novembre, dans une déclaration à l’agence TAP que « la certification de qualité de conformité aux normes internationales dans le domaine de l’enseignement supérieur, “ISO 21001:2018”, est la première attribuée en Tunisie dans le domaine des sciences infirmières.

Cette certification internationale, qui est conforme aux exigences de l’Union européenne en matière d’éducation, de formation et d’enseignement, a pour but d’améliorer la qualité de l’enseignement dispensé aux étudiants, a-t-il ajouté.

L’Institut supérieur des sciences infirmières de Sfax a été créé en 2006. Il dispense des formations de licence en sciences infirmières et de masters professionnels en management de la santé. Il compte actuellement environ 340 étudiants.

Avec TAP

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Enseignement supérieur: L’ISSI SFAX obtient la certification « ISO 21001:2018 »

Enseignement supérieur: L’ISSI SFAX obtient la certification « ISO 21001:2018 »

L’Institut Supérieur des Sciences Infirmières de Sfax (ISSI sfax) a obtenu, le 19 novembre, la certification de conformité aux normes internationales dans le domaine de l’enseignement supérieur « ISO 21001:2018 ». Le directeur de l’ISSI Sfax, Bassem Abid, a indiqué, jeudi, dans une déclaration à l’agence TAP que « la certification de qualité de conformité […]

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Budget 2025 : Le ministère de l’Enseignement supérieur mise sur la réforme et le soutien social

Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique Mondher Belaid a souligné mercredi, dans ses réponses aux questions des députés de l’assemblée des représentants du peuple et du conseil des districts et des régions, lors de l’examen du budget de la mission du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour l’année 2025, que son département s’emploie à élargir le dispositif de la protection sociale pour en faire bénéficier les étudiants, que ce soit à travers les bourses, les prêts universitaires, les aides conjoncturelles, la révision du système LMD et le renforcement du secteur de la recherche scientifique.

Dans ce sens, il a affirmé que le ministère de l’enseignement supérieur se penche sur l’élaboration d’un texte réglementaire afin de faire bénéficier les étudiants issus des familles à revenu limité d’aides sociales, tout en tenant compte du genre social de la discrimination positive et des situations d’handicap.

Il a rappelé que 52% des étudiants inscrits dans les université ont bénéficié de bourses universitaires, précisant que le ministère a consacré un montant d’environ 45 millions de dinars pour aménager les infrastructures universitaires et améliorer la qualité des repas universitaires.

Selon Belaid, le ministère s’est engagé à hisser la capacité d’accueil des foyers universitaires en les dotant de 7 mille lits supplémentaires et à promouvoir les oeuvres universitaires, évoquant, dans ce contexte, l’extension du foyer universitaire Mahmoud Messaadi à Jendouba (270 lits) et l’aménagement du Foyer Bullaregia moyennant une enveloppe estimée à 1 million 100 mille dinars, ainsi que le foyer universitaire Ali Belhaouen avec des couts d’environ 1 million 300 mille dinars.

Par ailleurs, Belaid a souligné que le ministère a entamé la réforme du système LMD et la révision des matières en vue de pallier les lacunes enregistrées.

Evoquant la problématique des doctorants sans emploi, il a indiqué que son département a entamé l’élaboration d’un décret gouvernemental comportant des dispositions relatives aux structures chargées de la recherche, des établissements et des entreprises publiques et des ministères, précisant qu’il sera procédé à l’amendement du décret 4259 de l’année 2013 relatif au statut des chercheurs pour favoriser le recrutement des doctorants en qualité de chercheurs au sein des établissements, des entreprises publiques et des ministères.

Sur un autre plan, le ministre de l’enseignement supérieur a souligné que son département œuvre à mettre en place une stratégie nationale sur la recherche scientifique et l’innovation, outre l’élaboration d’un nouveau concept pour les structures de la recherche et leur méthodes de gestion, avec la participation des compétences tunisiennes à l’étranger et la mise en œuvre de programmes de recherche participative adaptés aux priorités nationales.

Logements et bourses universitaires : Les députés alertent sur la précarité des étudiants

Les députés des deux chambres parlementaires ont souligné, mercredi, lors de l’examen du budget du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique 2025, la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour améliorer les conditions des étudiants dans les régions, renforcer les infrastructures universitaires dans certaines régions et recruter les enseignants au sein des établissements universitaires.

Dans leurs interventions, les députés ont déploré les inégalités dans l’accès à l’enseignement supérieur entre les différentes régions du pays, qui ont été accentuées par une répartition inéquitable des budgets et des programmes relatifs à la promotion de l’enseignement supérieur, appelant à la nécessité de renforcer l’infrastructure, de construire de nouveaux établissements universitaires à l’intérieur du pays et de parachever les projets bloqués.

Ils ont également soulevé les questions liées à la dégradation des services de restauration, la vétusté de l’infrastructure des foyers et leur faible capacité d’accueil.

Dans le même contexte, les élus ont précisé qu’un grand nombre d’étudiants n’ont pas bénéficié de logements universitaires et ont eu recours aux locaux qui ne sont pas à usage d’habitation, alors qu’un certain nombre d’entre eux se sont vus refuser des bourses universitaires.

Les députés ont appelé à la nécessité de construire de nouvelles universités et de nouveaux foyers universitaires dans certaines régions du pays, d’accélérer l’achèvement de tous les projets liés à l’enseignement supérieur et à la recherche scientifique bloqués actuellement et d’augmenter les budgets des services universitaires.

Ils ont souligné que les enseignants universitaires ne sont pas remplacés après leur départ à la retraite, critiquant vivement les conditions fixées par l’autorité de tutelle pour l’obtention d’une bourse universitaire qui exige que le revenu annuel net de la famille au cours de l’année précédente, après soustraction des charges sociales, ne dépasse pas le salaire minimum garanti fixé à moins de 6.000 dinars, appelant à la nécessité d’augmenter le montant de la bourse universitaire.

Certains élus ont qualifié la formation académique au sein des universités tunisiennes dans certaines régions de “déplorable”, notant le manque flagrant de cadres spécialisés et l’absence de diversification des cursus de formation.

Ils ont souligné l’importance d’assurer le suivi et le contrôle des universités privées, “surtout que ces établissements n’assurent pas tous un enseignement de qualité” ont-ils soutenu.

“Certains établissements privés font prévaloir le gain et la rentabilité, ce qui n’a pas manqué de causer la détérioration de la qualité de l’enseignement” ont-ils ajouté.

Les députés ont évoqué le phénomène de la prolifération des cours particuliers dans l’enseignement universitaire, soulignant que les tarifs des cours ont atteint des seuils excessifs, dont les parents à faible revenu ne peuvent pas en tirer parti.

D’autre part, certains élus ont souligné que la plupart des enseignants ont opté pour la migration en raison des faibles salaires qui leur sont proposés et l’absence de motivation, appelant à la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à ce « phénomène en expansion».

Ils ont, également dénoncé le recours des doctorants à l’emploi précaire, soulignant que le montant de la prime qui leur est versée après deux années consécutives, est inférieur à celui attribué aux familles à revenu limité.

Concernant le volet de la recherche scientifique, les députés ont estimé que ce secteur a connu des problématiques liées au sous-financement, étant donné que le budget actuel qui lui est alloué ne dépasse pas 0,6% du PIB, alors que les normes internationales recommandent un taux minimal de 2%.

Budget 2025 : 2,3 Mrds de dinars pour l’Enseignement supérieur

Les députés des deux chambres parlementaires ont entamé, mercredi 20 novembre, l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour l’année 2025, estimé à 2293 millions et 393 mille dinars, contre 2277 millions et 238 mille dinars en 2024, soit une augmentation de 16 millions et 155 mille dinars.

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaid, a précisé, lors de la plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts, que les dépenses de rémunération sont estimées à 71,13% du budget total, les dépenses de gestion à 5%, les interventions à 12,45% et l’investissement à 11,38%.

Le projet de budget du ministère pour l’année 2025 a alloué 1 563 millions 462 000 dinars à l’enseignement supérieur, contre 1 528 millions 772 000 dinars en 2024, soit une augmentation de 2,27%.

Les allocations consacrées à l’enseignement supérieur représentent 68% du projet de budget du ministère, dont 59 millions de dinars pour l’amélioration de l’infrastructure et 12 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements.

Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, le programme de l’enseignement supérieur vise à mettre en place un système de formation répondant aux normes internationales et jouant un rôle de premier plan dans le développement de la société, afin d’impulser l’employabilité des diplômés et l’appui de la gouvernance du secteur de l’enseignement supérieur privé.

Il a ajouté que la réalisation de ces objectifs nécessite l’élaboration d’un guide de référence des offres de formation, la reformulation de leur contenu et l’impulsion des filières prometteuses, la promotion de la culture de l’étudiant entrepreneur et l’activation des structures de l’Agence nationale d’évaluation et d’accréditation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, notant à cet égard que la plupart des établissements d’enseignement supérieur se sont engagés dans le processus d’accréditation, à l’instar de la plupart des facultés de médecine et d’ingénierie qui ont obtenu l’accréditation académique internationale.

Le ministère œuvrera à étudier les besoins des filières de formation et à résoudre les problèmes en suspens, ajoutant que les efforts de l’enseignement supérieur sont complétés par les efforts de la recherche scientifique en vue d’édifier une économie du savoir.

Les allocations consacrées à la recherche scientifique sur le budget global du ministère en 2025 sont estimées à 204 millions et 787 mille dinars, soit 9% du projet de budget dont 38,7 millions de dinars seront alloués au financement des structures de recherche, 50 millions de dinars au financement des projets de recherche scientifique et de valorisation de la recherche, et 85 millions de dinars à l’amélioration de l’infrastructure des centres de recherche.

Il a souligné qu’une stratégie doit être développée pour soutenir le secteur de la recherche scientifique en se basant sur une vision prospective, en soutenant la culture de la qualité et de l’évaluation et en établissant des partenariats avec des centres d’excellence.

Il a souligné que 54% du budget du ministère pour 2025 est alloué aux œuvres universitaires, sans tenir compte des dépenses salariales.

Il a indiqué que 142 mille étudiants ont bénéficié de prêts, de bourses et d’aides universitaires, soit 53,25% du total des étudiants inscrits dans les établissements d’enseignement supérieur, ce qui a permis de consacrer 223 millions de dinars aux bourses universitaires destinées aux étudiants, et de fournir 64 mille lits pour les logements universitaires, outre la distribution de 14 millions de repas universitaires annuellement, et la consécration d’une enveloppe de 51 millions 420 mille dinars à l’amélioration de l’infrastructure des établissements des œuvres universitaires.

Il a aussi précisé qu’un montant de 479 millions et 589 mille dinars a été alloué aux activités culturelles et sportives dans le budget 2025, contre 470 millions et 491 mille dinars en 2024, soit une augmentation de 1,93%.

Il a mis l’accent sur les interventions du programme de leadership et de soutien qui a consacré une enveloppe de 45 millions et 525 mille dinars à la numérisation des services administratifs, l’installation d’un système de cloud numérique pour l’enseignement supérieur et la recherche scientifique et la mise en place d’un secteur informatique intégré.

Avec TAP

 

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Enseignement supérieur : 2,29 milliards de dinars pour moderniser et développer le secteur en 2025

Les députés des deux chambres parlementaires ont entamé, mercredi, l’examen du budget du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour l’année 2025, estimé à 2293 millions et 393 mille dinars, contre 2277 millions et 238 mille dinars en 2024, soit une augmentation de 16 millions et 155 mille dinars.

Le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mondher Belaid a précisé lors de la plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le conseil national des régions et des districts, que les dépenses de rémunération sont estimées à 71,13 % du budget total, les dépenses de gestion à 5 %, les interventions à 12,45 % et l’investissement à 11,38 %.

Le projet de budget du ministère pour l’année 2025 a alloué 1 563 millions 462 000 dinars à l’enseignement supérieur, contre 1 528 millions 772 000 dinars en 2024, soit une augmentation de 2,27 %.

Les allocations consacrées à l’enseignement supérieur représentent 68 % du projet de budget du ministère, dont 59 millions de dinars pour l’amélioration de l’infrastructure et 12 millions de dinars pour l’acquisition d’équipements.

Selon le ministre de l’enseignement supérieur, le programme de l’enseignement supérieur vise à mettre en place un système de formation répondant aux normes internationales et jouant un rôle de premier plan dans le développement de la société, afin d’impulser l’employabilité des diplômés et l’appui de la gouvernance du secteur de l’enseignement supérieur privé.

Il a ajouté que la réalisation de ces objectifs nécessite l’élaboration d’un guide de référence des offres de formation, la reformulation de leur contenu et l’impulsion des filières prometteuses, la promotion de la culture de l’étudiant entrepreneur et l’activation des structures de l’Agence nationale d’évaluation et d’accréditation de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, notant à cet égard que la plupart des établissements d’enseignement supérieur se sont engagés dans le processus d’accréditation à l’instar de la plupart des facultés de médecine et d’ingénierie qui ont obtenu l’accréditation académique internationale.

Le ministère œuvrera à étudier les besoins des filières de formation et à résoudre les problèmes en suspens, ajoutant que les efforts de l’enseignement supérieur sont complétés par les efforts de la recherche scientifique en vue d’édifier une économie du savoir.

Les allocations consacrées à la recherche scientifique sur le budget global du ministère en 2025 sont estimées à 204 millions et 787 mille dinars, soit 9% du projet de budget dont 38,7 millions de dinars seront alloués au financement des structures de recherche, 50 millions de dinars au financement des projets de recherche scientifique et de valorisation de la recherche, et 85 millions de dinars à l’amélioration de l’infrastructure des centres de recherche.

Il a souligné qu’une stratégie doit être développée pour soutenir le secteur de la recherche scientifique en se basant sur une vision prospective, en soutenant la culture de la qualité et de l’évaluation et en établissant des partenariats avec des centres d’excellence.

Il a souligné que 54 % du budget du ministère pour 2025 est alloué aux œuvres universitaires, sans tenir compte des dépenses salariales.

Il a indiqué que 142 mille étudiants ont bénéficié de prêts, de bourses et d’aides universitaires, soit 53,25 % du total des étudiants inscrits dans les établissements d’enseignement supérieur, ce qui a permis de consacrer 223 millions de dinars aux bourses universitaires destinées aux étudiants, et de fournir 64 mille lits pour les logements universitaires, outre la distribution de 14 millions de repas universitaires annuellement, et la consécration d’une enveloppe de 51 millions 420 mille dinars à l’amélioration de l’infrastructure des établissements des œuvres universitaires.

Il a aussi précisé qu’un montant de 479 millions et 589 mille dinars a été alloué aux activités culturelles et sportives dans le budget 2025, contre 470 millions et 491 mille dinars en 2024, soit une augmentation de 1,93 %.

Il a mis l’accent sur les interventions du programme de leadership et de soutien qui a consacré une enveloppe de 45 millions et 525 mille dinars à la numérisation des services administratifs, l’installation d’un système de cloud numérique pour l’enseignement supérieur et la recherche scientifique et la mise en place d’un secteur informatique intégré.

Amilcar University : Ancrée et futuriste ! 

Amilcar University ouvre ses portes au cœur de la capitale avec une vision innovante et une ambition claire : révolutionner l’enseignement supérieur en Tunisie en formant une jeunesse dotée d’un leadership et de compétences adaptés aux exigences d’un monde globalisé tout en étant localement ancré.

Fondée par des académiciens ayant plus de 20 ans d’expérience universitaire et professionnelle, tant en Tunisie qu’à l’international, l’université se distingue par une approche pédagogique avant-gardiste, alliant excellence académique, culture méditerranéenne et compétences humaines et techniques pratiques. 

L’université propose une formation bilingue (anglais et français), permettant aux étudiants de développer une double compétence dans des domaines stratégiques, garantissant ainsi de multiples opportunités professionnelles et académiques à l’échelle nationale et internationale.

Grâce à son modèle hybride intégrant des stages et des missions d’apprentissage à l’étranger, Amilcar University prépare ses étudiants à relever les défis de demain tout en les connectant à des réseaux globaux.

Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, Amilcar University élargit ses offres pour inclure des formations ouvrant vers l’ingénieur ainsi que les masters spécialisés, en partenariat avec des institutions académiques prestigieuses en France, Espagne, Malte, Chine, Dubaï, Angleterre et Australie. Ces partenariats internationaux ouvrent de nouvelles perspectives pour les étudiants souhaitant poursuivre leurs études dans des environnements académiques d’excellence.

Message du Ceo, Dr. Helmi Ahmed El Kamel : «Amilcar University, c’est un projet de transformation pour l’enseignement supérieur privé en Tunisie. Nous visons à former une génération capable de s’adapter aux évolutions rapides du monde professionnel et de contribuer au développement des secteurs clés de demain. En offrant des formations à double compétence, des opportunités d’études à l’international et un accompagnement personnalisé, nous permettons à nos étudiants de se démarquer sur le marché global tout en répondant aux besoins des entreprises locales et internationales.» 

Avec sa vision unique, Amilcar University ambitionne de s’imposer comme un acteur clé du développement des talents pour l’avenir, où innovation, excellence et diversité sont les piliers d’une expérience académique humaine et professionnelle incomparable.

Pour toute demande de renseignement ou pour une inscription, veuillez contacter :  

Service des Admissions – Amilcar University

Adresse : Mohamed V à côté de Britsh Council 1002 Tunis Belvédère

Tél. : +216 98 144 100  

Email : contact@amilcaruniversity.com  

Site web : Amilcar University.

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Enseignement supérieur : Une réforme nationale prévue pour septembre 2025

Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique œuvre à renouveler et améliorer l’offre de formation universitaire en adoptant une méthodologie basée sur l’adaptation de la formation universitaire aux besoins réels du marché de l’emploi, a indiqué vendredi le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique Mondher Belaid.

L’université tunisienne, malgré son classement international, notamment au niveau de la formation et de la recherche scientifique, nécessite davantage de réhabilitation afin d’augmenter le taux d’employabilité de ses diplômés, a-t-il encore indiqué dans une déclaration à l’Agence TAP en marge d’une journée d’information organisée à la faculté de médecine de Sousse.

Il a indiqué que cette journée d’information est le fruit des efforts des différents intervenants dans l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notant que le projet de réhabilitation des établissements d’enseignement supérieur et de recherche scientifique s’inscrit dans le cadre des priorités nationales visant à développer et améliorer les capacités des ressources humaines et à leur permettre d’avoir les qualifications appropriées aux besoins du marché de l’emploi.

La mise en œuvre de la réforme du système de l’enseignement supérieur débutera en septembre 2025, selon le directeur général de la rénovation universitaire, soulignant qu’au cours du processus de réforme, une attention particulière sera accordée aux conditions de réussite de l’étudiant universitaire dans son parcours académique et à l’acquisition des compétences professionnelles nécessaires.

La nouvelle approche permettra aux universités de déterminer leurs besoins en formation en fonction de leur environnement économique et social et des besoins de la société en métiers nouveaux et innovants.

Le ministère de l’enseignement supérieur lance une stratégie pour l’internationalisation des universités tunisiennes

Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique travaille sur la mise en place d’une stratégie nationale pour l’internationalisation des universités tunisiennes”, a annoncé jeudi, Mondher Belaïd, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

S’exprimant à l’ouverture d’un forum organisé à Tunis sur l’internationalisation de l’enseignement supérieur, le ministre a précisé que le département travaille sur un modèle d’ouverture sur l’international qui soit adapté au contexte national et qui aide les universités à accomplir pleinement leurs missions principales en Tunisie.

Dans ce contexte, Belaïd a souligné la nécessité d’assurer un enseignement et un apprentissage de haut niveau qui garantissent l’employabilité des diplômés.

“Il s’agit, en outre, de promouvoir la recherche scientifique pour répondre aux nouvelles exigences du marché de l’emploi et aux nouveaux métiers”, a ajouté le ministre.

Belaïd a signalé que la stratégie d’internationalisation vise à attirer davantage d’étudiants internationaux et à offrir plus d’opportunités de mobilité aux étudiants tunisiens à travers les programmes conjoints entre les universités tunisiennes et leurs homologues étrangères outre le renforcement des partenariats internationaux dans le domaine de la recherche scientifique.

“L’internationalisation de l’enseignement supérieur est devenue une thématique essentielle pour les universités et les systèmes de recherche à travers le monde”, a estimé le ministre.

Organisé en partenariat avec la Délégation de l’Union européenne en Tunisie, l’Agence nationale de promotion de la recherche scientifique et le bureau ERASMUS+ Tunisie, le forum se poursuit les 14 et 15 novembre à Tunis.

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