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Réunion entre Samir Abdelhafidh et la CONECT : Renforcer la complémentarité public-privé pour l’économie tunisienne

Le ministre de l’économie et de la planification, Samir Abdelhafidh a souligné au cours de sa rencontre avec le président de la Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie (CONECT), Aslan Ben Rejeb, l’importance des concertations dans l’impulsion du développement économique et social.

Au cours d’une réunion tenue, mercredi, les deux parties ont mis l’accent également sur la nécessité des échanges de points de vue dans le cadre de la complémentarité entre les secteurs public et privé pour contribuer à la réalisation des objectifs de développement économique et social, a indiqué un communiqué du ministère de l’Economie publié jeudi.

Les deux parties ont par ailleurs passé en revue les efforts et les réformes engagés afin d’améliorer davantage le climat des affaires et d’investissement aux niveaux institutionnel et législatif.

L’objectif est de favoriser des conditions adéquates aux entrepreneurs et investisseurs pour contribuer activement dans la dynamisation de la session économique nationale et créer de la richesse et des opportunités d’emploi, a rapporté la même source.

Cette réunion a été l’occasion de discuter de l’état des lieux et des perspectives dans plusieurs domaines et activités prometteuses, dont l’innovation, la digitalisation, les industries cinématographiques, les industries navales et les industries cosmétiques.

Elle a permis aussi de mettre l’accent sur le rôle joué par les organisations professionnelles en termes d’appui des efforts de l’Etat pour booster l’investissement privé et l’entreprenariat, outre la responsabilité sociétale des entreprises.

Mme Miyazaki de la JICA en Tunisie : Un dialogue sur l’avenir de la coopération bilatérale

Mme Katsura Miyazaki, Vice-présidente Exécutive Sénior de la JICA a effectué une visite officielle les 14 et 15 novembre 2024 en Tunisie. Durant cette visite, Mme Miyazaki s’est entretenue avec de hauts responsables du gouvernement tunisien : S.E.M. Mohamed Ali Nafti, Ministre des Affaires Etrangères et des Tunisiens à l’Etranger, S.E.M. Ezzedine Ben Cheikh, Ministre de l’Agriculture, de la Pêche et des Ressources hydrauliques, S.E.M. Samir Ben Abdelhafidh, Ministre de l’Economie et de la Planification et S.E. Mme Fatma Thabet Chiboub, Ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie.

Les rencontres ont porté sur les perspectives de développement de la coopération entre la JICA et les autorités tunisiennes dans divers domaines et aussi sur le suivi de la conférence TICAD 8 qui s’est tenue en 2022 en Tunisie. “Notre appui inclut le développement des infrastructures, la gestion des ressources en eau, le renforcement des capacités dans divers domaines dans le but d’améliorer la qualité de la croissance et de contribuer au développement socio-économique en Tunisie”, a affirmé Mme Miyazaki.

La vice-présidente de la JICA a également visité quelques sites de grands projets réalisés dans le cadre de la coopération tuniso-japonaise en Tunisie, à l’instar du Pont Radès-La Goulette, la Gare de Tunis, la Centrale Electrique de Radès et le projet d’Amélioration de la desserte en eau dans les milieux urbains, où elle a pris connaissance de l’importance de ces projets et de leur impact socio-économique sur la vie des citoyens tunisiens.

A noter que la JICA célébrera, en 2025, le 50ème anniversaire de son existence en Tunisie. Depuis 1975, elle a toujours été engagée auprès des autorités tunisiennes pour les accompagner dans le développement des secteurs à haute priorité, à savoir les infrastructures, l’eau, l’énergie, le transport, le renforcement des capacités des ressources humaines, etc.

500 des 1 000 projets bloqués ont été débloqués!

Dans l’émission « Midi Show » sur Mosaïque Fm, Habib Dridi, président de la Commission de suivi et de révision des marchés publics à la présidence du gouvernement, a fait savoir que plusieurs projets publics sont actuellement bloqués dans différents secteurs tels que l’éducation, la santé, les infrastructures…

Cela a entraîné la publication de la circulaire numéro 27 de 2024. Laquelle propose des mesures pour accélérer la réalisation de ces projets publics et encourager l’investissement.

Il précise que cette initiative fait partie du processus de réforme du système juridique et a pour objectif de résoudre certaines difficultés qui compliquent la mise en œuvre des projets publics, l’investissement et la compétitivité, en général.

Le présentateur de « Midi Show » a parlé de « révolution juridique et législative » qui vise principalement à favoriser la croissance et le développement. Et ce, tout en assurant une gestion optimale des fonds publics.

Habib Dridi, quant à lui, a affirmé que 500 des 1 000 projets bloqués ont été réglés grâce à une série de mesures prises dans le cadre des réglementations habituelles. Comme par exemple la diminution des garanties requises pour les entreprises qui travaillent avec l’État. De même que la révision exceptionnelle afin de permettre aux entreprises d’accéder à des liquidités inédites.

En ce qui concerne les projets soutenus par des fonds étrangers, le ministère de l’Économie et de la Planification a été chargé de mener des négociations avec les bailleurs de fonds. Objectif : revoir le taux de financement, l’apport extérieur ne couvrant qu’une partie du coût total des projets.

Enfin, Habib Dridi estime que les causes du retard dans la réalisation des projets publics sont principalement liées à l’abandon de ces projets par les entreprises contractantes. Et ce, en raison de problèmes financiers, ainsi que de problèmes liés au foncier et aux autorisations environnementales.

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Investissement en Tunisie : une nouvelle plateforme numérique pour simplifier les procédures et renforcer l’attractivité

L’Instance Tunisienne de l’Investissement (TIA) a annoncé, lundi 18 novembre, le lancement officiel du projet de développement de la plateforme Nationale de l’investissement, un projet qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de digitalisation et de la simplification des procédures administratives.

Lancée avec le soutien du ministère de l’Économie et de la Planification et l’appui de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD), cette plateforme nationale d’investissement ambitionne d’instaurer un écosystème d’investissement intégré, moderne et performant, répondant aux attentes des investisseurs locaux et internationaux, indique la TIA dans un communiqué.

Le contrat de lancement de ce projet a été signé, entre la TIA et le cabinet AMC Ernest & Young, a indiqué la TIA.

La plateforme permettra en outre, de simplifier et harmoniser les procédures, d’offrir une expérience utilisateur optimisée et transparente, et de consolider les données et statistiques nationales.

Elle garantira également une interopérabilité accrue entre les institutions clés, facilitant une gestion plus rapide et plus efficace des dossiers tout en appuyant des politiques publiques mieux informées.

S’appuyant sur les meilleures pratiques internationales en matière de benchmarking, la plateforme répondra aux standards les plus exigeants en termes de performance, de sécurité et d’innovation.

Ce projet, “véritable levier stratégique”, vise à améliorer le climat des affaires, renforcer l’attractivité de la Tunisie et positionner le pays comme une destination d’investissement compétitive, souligne la TIA, ajoutant qu’il s’inscrit dans une dynamique collective qui ambitionne de hisser la Tunisie dans les classements internationaux.

 

Investissements directs : Un mémorandum d’entente scelle la coopération Tunisie-Arabie saoudite

Un mémorandum d’entente de coopération en matière d’investissement direct, a été signé, samedi, entre la Tunisie et l’Arabie saoudite à l’occasion de la visite en Tunisie du ministre saoudien de l’Investissement , Khaled Bin Abdulaziz al-Faleh.

Ont procédé à la sigature de ce mémorandum le ministre tunisien de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh et le responsable saoudien en visite de travail en Tunisie.

Le mémorandum vise à consolider les relations entre les deux pays en matière d’investissement direct en favorisant l’exploration des opportunités qui se présentent et en œuvrant à les concrétiser, a indiqué Abdelhafidh. Il a aussi pour objectif de renforcer la coordination entre les deux pays en échangeant les données relatives au climat des affaires et de l’investissement et en intensifiant l’organisation d’événements et de visites entre les secteurs privés des deux pays.

Pour sa part, le ministre saoudien a mis l’accent sur la solidité des relations bilatérales et la grande volonté de les consolider davantage, affirmant la détermination des deux parties à élever la coopération économique au niveau d’un partenariat stratégique.

Il a considéré que le mémorandum signé ouvrira de nouveaux horizons pour renforcer et diversifier les investissements saoudiens en Tunisie, d’autant plus que le pays connaît aujourd’hui une grande dynamique de réforme dans tous les secteurs, notamment le domaine de l’investissement et des affaires, ce qui constitue un terrain favorable à un partenariat prometteur entre les deux pays.

Investissement étranger en Chine : Malgré la baisse globale, quels secteurs tirent leur épingle du jeu ?

ChineLa Chine a enregistré une augmentation de 11,8% du nombre de nouvelles entreprises à capitaux étrangers créées au cours des dix premiers mois de 2024, malgré une baisse significative des investissements directs étrangers (IDE).

Entre janvier et octobre, 46.893 nouvelles entreprises à capitaux étrangers ont été établies dans le pays asiatique, représentant une hausse de 11,8% par rapport à l’année précédente, selon le ministère chinois du Commerce.

Durant la même période, les IDE effectivement utilisés en Chine continentale ont totalisé 693,21 milliards de yuans (environ 96,2 milliards de dollars américains), ce qui représente une baisse de 29,8% par rapport à l’année précédente, a indiqué le ministère dans un communiqué publié vendredi.

Le secteur manufacturier de haute technologie a attiré 80,18 milliards de yuans, soit 11,6% du flux total d’IDE, en hausse de 0,7 point de pourcentage par rapport à la même période en 2023, relève le communiqué.

Les IDE dans la fabrication d’équipements médicaux et d’instruments ont bondi de 61,7%, tandis que ceux dans la fabrication d’ordinateurs et d’équipements de bureau ont progressé de 48,8%, fait savoir la même source.

Les IDE en provenance d’Allemagne et d’Australie ont enregistré les plus fortes hausses, augmentant respectivement de 7,5% et 6% en glissement annuel, d’après les données du ministère.

Investissements étrangers en Tunisie : à peine 700 millions d’euros attirés en 2024

Au cours des neuf premiers mois de 2024, la Tunisie a attiré quelque 700 millions d’euros (soit 2 125,9 millions de dinars) d’investissements internationaux, ce qui constitue une hausse de 14,4% par rapport à 2023. C’est ce qu’a annoncé la FIPA (Foreign Investment Promotion Agency) dans un communiqué publié sur sa page Fb. 

Les investissements directs étrangers (IDE) ont particulièrement augmenté, atteignant 2 092,3 MDT, soit une progression de 21,5% par rapport à l’année précédente. Cependant, les investissements de portefeuille ont chuté de 75,4%, ne totalisant que 33,6 MDT.

Les IDE sont principalement répartis dans les secteurs suivants : 25,5% pour l’énergie, 58,9% pour les industries manufacturières et 14,7% pour les services. Le secteur agricole a vu une forte hausse de 237%, atteignant 19,2 MDT.

En termes d’emplois, 9 906 nouveaux postes ont été créés grâce à 701 projets d’investissement hors énergie.

La France est le principal investisseur en Tunisie avec 464,9 MDT, suivie de l’Allemagne et de l’Italie.

Notons également que plus de la moitié des IDE sont concentrés dans le Grand Tunis.

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Aslan Ben Rejab plaide pour une réforme juridique ciblée pour dynamiser l’investissement

«Il n’est pas nécessaire de réviser la nouvelle loi sur l’investissement, mais plutôt de concevoir une loi horizontale regroupant entre 10 et 15 textes juridiques se rapportant au domaine de l’immobilier, à l’article 96 du Code pénal, au Code des sociétés commerciales, au Code des changes, et au Code de l’Aménagement du Territoire et de l’Urbanisme.

L’objectif est d‘impulser l’investissement, en attendant la publication de textes portant sur l’investissement“, a indiqué le président de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (Conect), Aslan Ben Rejab, vendredi, dans une déclaration à l’agence TAP.

Intervenant en marge d’une journée d’information, organisée, vendredi, à Sfax, à l’initiative de la Confédération, en partenariat avec la Douane tunisienne, Ben Rejeb s’est félicité des dispositions portant sur l’investissement dans le projet de Loi de Finances pour l’année 2025.

Il a noté, aussi, que « la dernière circulaire portant sur les mesures visant à accélérer la réalisation des projets et à stimuler l’investissement, adressée par le Chef du Gouvernement aux ministres, gouverneurs et autres responsables, les invitant à œuvrer à résoudre les problèmes économiques rencontrés par l’entreprise tunisienne, constitue une étape très positive ».

D’après lui, « nous n’avons pas besoin de lois et de nouveaux textes juridiques pour booster les investissements, mais nous devons prendre des mesures spécifiques dans certains secteurs, à l’instar de l’immobilier, des marchés publics…, afin d’améliorer le climat des affaires en Tunisie ».

L’UE va établir la « cartographie des investissements européens en Tunisie »

La Délégation de l’Union européenne a lancé une enquête auprès du secteur privé européen en Tunisie pour cartographier la présence des entreprises européennes et leur contribution à l’économie tunisienne, lit-on dans le site de l’UE eeas.europa.eu ce vendredi 15 novembre 2024 dans un article publié. C’est ce que nous apprend son équipe de presse et information.

« Cette enquête vise à donner une image plus précise de la taille des investissements européens en Tunisie et de leur répartition sectorielle et régionale, et à recueillir des informations sur les principales motivations et défis pour les entreprises européennes, ainsi que sur leurs actions environnementales, sociales ou d’innovation, explique la même source.

Tous les investisseurs et entreprises potentiels en Tunisie originaires des États membres de l’UE (c’est-à-dire avec des actionnaires et/ou des capitaux européens et/ou un enregistrement et/ou un siège social dans l’UE) peuvent participer en remplissant l’enquête en ligne de 5 minutes avant le 14 février 2025.

Lien vers le questionnaire : Cartographie des investissements européens en Tunisie

On note que « les informations recueillies dans le cadre de cette enquête fourniront à la Délégation et à toutes les ambassades des États membres de l’UE les informations nécessaires pour mieux adapter leur dialogue avec les autorités tunisiennes sur le climat d’investissement, et contribueront à l’élaboration de l’assistance et du soutien de l’UE au développement du secteur privé, au commerce et à l’investissement en Tunisie ».

On prend le soin de promettre que « toutes les réponses sont confidentielles et protégées par le droit de l’Union européenne sur la protection des données. Elles seront présentées sous forme agrégée (dans leur ensemble, sans mention des entreprises individuelles) et ne seront pas partagées avec des tiers ».

Pour toute question, merci de contacter:

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Tunisie : Les investissements étrangers atteignent 2125,9 MD en 2024, un bond de 21,5 % pour les IDE

La Tunisie est parvenue au cours des neufs premiers mois de l’année 2024, à attirer des investissements étrangers, d’une valeur de 2125,9 millions de dinars (MD).

Selon les données de l’Agence de promotion de l’investissement Extérieur (FIPA), les investissements étrangers ont augmenté de 14,4 % par rapport à la même période de l’année précédente, quand la Tunisie a attiré des investissements étrangers d’un montant de 1858 MD.

Le directeur central à la FIPA, Hatem Soussi a fait valoir, dans une déclaration à l’agence TAP,  que la Tunisie peut atteindre l’objectif de 2400 MD planifié cette année, puisque le pays connaitra au cours de ce dernier trimestre une augmentation du nombre de projets déclarés.

En 2025, la Tunisie prévoit d’attirer des investissements étrangers pour un montant de 3400 MD. Ce chiffre pourrait franchir le cap de 4000 millions de dinars en 2026.

Selon la même source, les flux des investissements étrangers en Tunisie jusqu’à fin septembre 2024 ont été répartis en 33,6 MD dans le portefeuille (placements en bourse) contre 236,4 MD au cours de la même période de l’année précédente avec une baisse significative de 75,4 %.

Ils se répartissent également en 2092,3 MD comme investissements directs étrangers (IDE) contre 1726,6MD à fin septembre 2023, soit une hausse de 21,5 %.

À cet égard, Hatem Soussi explique que de nombreuses unités industrielles notamment, étrangères, procèdent à des investissements importants dans le domaine de l’énergie et de la transition numérique en allouant des fonds importants  pour s’adapter aux évolutions technologiques mondiales et adopter des normes environnementales internationales.

Il a également expliqué la dynamique que connait le pays au cours de cette année, au niveau de l’accélération de la cadence des projets des énergies renouvelables, par la conclusion des contrats de réalisation des stations de production des énergies renouvelables pour produire de l’électricité.

Les investissements étrangers dans le secteur agricole ont, en outre, connu un bond quantitatif de19, 2 MD contre 5,7 MD entre septembre 2024 et 2023, soit une augmentation de 237 % selon la FIPA.

Hatem Soussi a signalé que deux grandes entreprises étrangères ont investi dans le secteur agricole en Tunisie des fonds importants pour exploiter les dernières technologies et l’intelligence artificielle.

Il a ajouté que les deux projets ont été intégrés et ont couvert de nombreuses filières agricoles prometteuses telles que la production des légumes et fruits en utilisant des eaux souterraines.

En revanche, les investissements directs étrangers dans le secteur des services ont diminué de 12,7 % ou à moins de 50 MD à fin septembre 307 MD contre 351,6 MD au cours de la même période de l’année dernière.

Par contre, les mêmes données statistiques ont révélé que le flux des IDE hors énergie,  a permis de réaliser des opérations d’investissement de 1558,2 MD qui a permis la création de 9906 emplois directs.

La répartition régionale a montré des disparités importantes, avec 52 % des IDE concentrés dans le Grand Tunis (810,6 MD), essentiellement le gouvernorat de Tunis de 387,2 MD, suivi du district du Nord-Est, qui a détenu 26 % du total des IDE (403,6 MD).

S’agissant de la répartition des IDE par pays, la France a maintenu sa position en tant que premier investisseur étranger en Tunisie avec des investissements de 464,9 MD, suivie par l’Allemagne avec 241,9 MD, l’Italie avec 209,8 MD, le Qatar avec 97,1 MD et les États-Unis avec 88,3 MD, selon la même source.

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