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Festival international du film du Caire-Prix Parallèles: Deux distinctions pour le cinéma tunisien

Le cinéma tunisien vient de remporter deux distinctions dans le cadre des prix parallèles de la 45ème édition du Festival international du film du Caire qui se tient du 13 au 22 novembre en Egypte.

Ainsi, le film « Mal Wa Banoun » de Houssem Sanassa, a obtenu une bourse de participation au Mosaik Post-Production Lab, décernée par The Royal Film Commission (RFC) de Jordanie.

De son côté, le film « Barsha » réalisé par Nada Mezni Hfaiedh a été récompensé par le prix « Rough Cut Lab Africa ». Ces distinctions font partie des prix parallèles du festival, en attendant l’annonce des lauréats des différentes catégories de la compétition officielle lors de la cérémonie de clôture.

Présenté en avant-première mondiale, le long-métrage « Nawar achiya » de la cinéaste et productrice tunisienne Khadija Lemkacher est en compétition officielle parmi une sélection de 17 films. Par ailleurs, le film « Qantra » de Walid Mattar, est en lice dans la section « Horizons du cinéma arabe ».

L’actrice tunisienne Dorra Zarrouk a lors de ce rendez-vous cinématographique présenté en avant-première son film documentaire « Win Sirna » (The Life That Remains), sa première expérience en tant que réalisatrice et productrice avec un film sur les conditions des réfugiés palestiniens.

Avec TAP

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Après le 2 février 2025, les chèques n’auront plus de valeur légale

Il est impératif de liquider, avant le 29 janvier 2025, tous les chèques antidatés déjà émis, a souligné l’universitaire spécialiste en Droit des affaires Walid Gadhoum.

Intervenant lors d’un séminaire sur la nouvelle réglementation des chèques à la lumière de la loi n°41-2024 du 2 aout 2024, organisé jeudi par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis(CCIT), il a expliqué que les nouveaux chèques, définis par la nouvelle loi, seront différents et qu’ils intégreront un code QR (Quick Response).

Ces chèques auront ainsi une durée de validité limitée à six mois, a-t-il rappelé. Tout en ajoutant que le montant des chèques délivrés par les banques sera désormais basé sur une étude de solvabilité du client; augmentant, ainsi, la responsabilité des banques.

Pour M. Gadhoum, cette nouvelle situation va créer des difficultés pour de nombreux acteurs économiques en Tunisie. En particulier, ceux qui ne disposent pas de fonds propres pour effectuer des achats au comptant.

Le spécialiste a néanmoins rappelé que la nouvelle réglementation vise à corriger l’utilisation erronée des chèques en Tunisie depuis plusieurs années.

L’universitaire a évoqué, à cette occasion, la capacité logistique de la Tunisie d’appliquer cette loi d’ici février 2025. Et ce, en raison des incertitudes concernant la préparation de la nouvelle plateforme pour traiter les chèques.

Il a avancé également que la période qui suivra le mois de février 2025 sera marquée par une certaine confusion, bien que les choses finissent par se stabiliser progressivement. Et ce, jusqu’à l’élimination complète de l’utilisation des chèques et le recours aux nouvelles méthodes de paiement électronique.

A cet égard, il appelle les opérateurs à refuser les transactions par chèques antidatés pour éviter les sanctions prévues par les dispositions du nouveau article (411).

Et d’ajouter que le problème se pose actuellement au niveau de l’entrée en application de certains articles. Tandis que d’autres ne peuvent pas être appliqués actuellement.

Il rappelle, dans ce cadre, que la loi repose notamment sur la mise en place d’une plateforme numérique qui devra entrer en vigueur au cours du mois de février 2025.

Cependant, il note que la loi en question n’a pas donné des détails sur la manière et les méthodes de son utilisation. Outre l’existence de plusieurs chèques antidatés et de garanties déposés par les Tunisiens et qui devront être réglés avant le 2 février 2025.

De son côté, le vice président de la CCI Tunisie et chef d’une entreprise, Najeh Ben Abdessalem a fait remarquer que la question des chèques sans provision a constitué un véritable problème, d’où la nécessité de son amendement.

Il a considéré que la nouvelle version favorisera l’amélioration du climat des affaires, le renforcement de la sécurité bancaire et la fiabilité des transactions par chèques. En plus du renforcement du rôle économique et social des banques.

Toutefois, il fait remarquer que le temps et l’élaboration de certains mécanismes opérationnels favoriseront davantage la réussite de cette transition et la mise en place d’un terrain favorable aux transactions par chèques.

La même source exprime sa crainte de voir l’entrée en vigueur de la plateforme électronique au niveau de la Banque centrale, conformément à l’article 41 de l’année 2024, accroitre le blocage des transactions économiques et commerciales dans le pays.

Selon Ben Abdessalem, parmi les solutions proposées en urgence et à court terme, il convient de lancer un appel aux banques afin de simplifier l’octroi des crédits aux personnes physiques et morales. Et ce, dans le but de faciliter les transactions commerciales et de ne pas provoquer une paralysie de l’activité économique dans le pays.

Par ailleurs, il suggère d’exploiter de nouveau la traite qui est la base dans les activités commerciales, en remplacement des chèques.

Enfin, il demande le report de l’entrée en exploitation de la nouvelle plateforme électronique à une date ultérieure, au lieu de février 2025. Et ce, jusqu’à ce que soit mis en place les différents articles de la nouvelle loi et que sa vulgarisation soit effective auprès des différents intervenants économiques dans le pays.

Avec TAP

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Formation professionnelle : lutter contre le chômage des jeunes

Les programmes de formation professionnelle en Tunisie destinés aux jeunes devraient être renforcés par la création de nouvelles spécialisations dans des secteurs clés comme les industries numériques, la technologie et les énergies renouvelables. Telles sont les recommandations des députés, lors de l’examen de la mission du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle pour 2025, mercredi 20 novembre 2024.

Dans leurs interventions, les députés ont souligné l’importance d’accorder une attention particulière à la formation professionnelle dans les secteurs prioritaires tels que la technologie, l’agriculture et les industries numériques. Ces secteurs sont cruciaux pour réduire le chômage des jeunes et stimuler l’économie nationale.

Ils ont également plaidé pour une révision de l’approche de la formation professionnelle afin d’accroître les opportunités d’emploi pour les jeunes. Tout en mettant l’accent sur la formation dans des domaines à forte demande sur le marché du travail.

Dans ce contexte, ils ont recommandé la création de nouveaux centres de formation adaptés aux spécificités régionales et locales. Et ce, afin de mieux répondre aux besoins du marché de l’emploi et de lutter contre le chômage. Ils ont également insisté sur l’importance d’encourager l’initiative privée comme une solution efficace pour créer des emplois.

Dans l’optique de dynamiser davantage le secteur de la formation professionnelle, les députés ont mis en lumière les insuffisances du dispositif actuel. En citant notamment les retards dans la réalisation de projets publics liés à l’ouverture de nouveaux centres de formation.

Enfin, ils ont vivement critiqué le manque d’engagement dans la mise en œuvre des politiques de promotion de l’emploi. Et ce, en déplorant un déficit de communication entre le ministère de l’Emploi et les demandeurs d’emploi dans les régions.

Avec TAP

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Abus et recrutement illégal : le ministère de l’Emploi renforce les sanctions

Le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a récemment transmis à la justice 31 dossiers sur des abus commis par des établissements privés de formation professionnelle et 60 autres sur des violations commises par des bureaux illégaux de recrutement à l’étranger. Le ministre de l’Emploi, Riadh Chaoud, a annoncé ces poursuites lors d’une séance plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts.

Le ministre a réaffirmé que son département poursuit activement la lutte contre la corruption pour protéger les droits des demandeurs d’emploi. « Quiconque ose commettre des crimes contre le peuple assumera ses responsabilités devant la loi », a-t-il déclaré.

Les entreprises communautaires deviennent une priorité

Le ministère de l’Emploi a inscrit 120 entreprises communautaires au Registre national des entreprises (RNE).
En outre, Riadh Chaoud a affirmé que le ministère convoquera prochainement un conseil ministériel pour réviser la loi sur les terres domaniales et accorder à ces entreprises la priorité dans leur exploitation

Les autorités tunisiennes révisent actuellement plusieurs lois pour soutenir ces entreprises, qu’elles considèrent comme des moteurs de croissance et de développement économique.

Les autorités préparent un nouveau modèle de développement

Le ministre a souligné que l’instauration d’un nouveau modèle de développement nécessite un changement profond des mentalités et des approches.
« Nous entreprenons un travail de longue haleine pour réussir cette transformation », a-t-il expliqué.

Son département s’investit dans la création d’un cadre législatif et structurel adapté. Tout en soutenant les porteurs de projets à travers des espaces d’initiative. Le ministère a également mis en place une ligne de financement trisannuelle de 20 millions de dinars dans le budget de l’État.

Les fonds alloués restent sous-utilisés

Depuis début 2024, les entreprises communautaires n’ont utilisé que 9 millions de dinars sur les 60 millions de dinars alloués. Pour améliorer la gouvernance, le ministère va créer un comité national de pilotage et des comités régionaux que présideront les gouverneurs.

Le ministère réforme la formation professionnelle

Riadh Chaoud a reconnu que le système de formation professionnelle a perdu de son attrait et s’apprête à réviser les conditions d’accès aux centres. D’ici février 2024, le ministère introduira un certificat de compétences, permettant aux candidats ayant un niveau scolaire inférieur à la 9ᵉ année de base de rejoindre les centres de formation. Cette initiative s’appliquera également aux diplômés de l’enseignement supérieur, comme les titulaires de masters, licences ou doctorats, qui suivront une formation complémentaire de six mois.

Les formations s’aligneront sur les exigences du marché de l’emploi

Le ministère de l’Emploi prévoit de réviser la nomenclature des formations pour mieux répondre aux besoins du marché du travail. Ces changements visent à rendre les formations plus attractives et à mieux préparer les candidats à intégrer le monde professionnel.

Avec TAP

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Affaire des déchets italiens : non-lieu pour Mustapha Aroui et Chokri Belhassan

La Chambre pénale près la Cour d’appel de Tunis a prononcé un non-lieu en faveur des deux anciens ministres de l’Environnement, Mustapha Aroui et Chokri Belhassan, concernant l’affaire de l’importation des déchets italiens.

Par contre, la Chambre a condamné le propriétaire de la société importatrice à 20 ans de prison et un autre accusé à dix ans. Alors que deux autres personnes, dont un avocat, ont écopé de trois ans.

A noter que l’affaire a concerné plus de vingt accusés dont les deux ministres précités, des cadres de l’Agence de gestion des déchets, des cadres du ministère de l’Intérieur, un avocat et le propriétaire de la société importatrice.

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Tunisie – Météo : baisse des températures pour ce 21 novembre 

L’Institut national de la météorologie prévoit, pour ce jeudi 21 novembre, un temps partiellement nuageux, avec des pluies éparses.

Les températures seront en baisse et oscilleront entre 18 et 23 degrés au nord et entre 22 et 25 sur le reste des régions.

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Le renforcement du partenariat culturel tuniso-espagnol à l’examen

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi 20 novembre, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé « l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne », lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son « souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques », ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Avec TAP

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Budget de l’Etat 2025: bientôt une « loi sociale » pour les étudiants nécessiteux

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaid, a souligné, mercredi 20 novembre, dans ses réponses aux questions des députés de l’Assemblée des représentants du peuple et du Conseil des districts et des régions, lors de l’examen du budget de la mission de son ministère pour l’année 2025, que son département s’emploie à élargir le dispositif de la protection sociale pour en faire bénéficier les étudiants, que ce soit à travers les bourses, les prêts universitaires, les aides conjoncturelles, la révision du système LMD et le renforcement du secteur de la recherche scientifique.

Dans ce sens, il a affirmé que le ministère de l’Enseignement supérieur se penche sur l’élaboration d’un texte réglementaire afin de faire bénéficier les étudiants issus des familles à revenu limité d’aides sociales, tout en tenant compte du genre social de la discrimination positive et des situations d’handicap.

Il a rappelé que 52 % des étudiants inscrits dans les université ont bénéficié de bourses universitaires, précisant que le ministère a consacré un montant d’environ 45 millions de dinars pour aménager les infrastructures universitaires et améliorer la qualité des repas universitaires.

Promotion des œuvres universitaires

Selon Belaid, le ministère s’est engagé à hisser la capacité d’accueil des foyers universitaires en les dotant de 7 000 lits supplémentaires et à promouvoir les œuvres universitaires, évoquant, dans ce contexte, l’extension du Foyer universitaire Mahmoud Messaadi à Jendouba (270 lits) et l’aménagement du Foyer Bullaregia moyennant une enveloppe estimée à 1,1 million de dinars, ainsi que le Foyer universitaire Ali Belhaouen avec des coûts d’environ 1,3 million de dinars.

Réforme du système LMD

Par ailleurs, Belaid a souligné que le ministère a entamé la réforme du système LMD et la révision des matières en vue de pallier les lacunes enregistrées.

Quid des doctorants?

Evoquant la problématique des doctorants sans emploi, il a indiqué que son département a entamé l’élaboration d’un décret gouvernemental comportant des dispositions relatives aux structures chargées de la recherche, des établissements et des entreprises publiques et des ministères, précisant qu’il sera procédé à l’amendement du décret 4 259 de l’année 2013 relatif au statut des chercheurs pour favoriser le recrutement des doctorants en qualité de chercheurs au sein des établissements, des entreprises publiques et des ministères.

Une stratégie nationale sur la recherche scientifique et l’innovation

Sur un autre plan, le ministre de l’Enseignement supérieur a souligné que son département œuvre à mettre en place une stratégie nationale sur la recherche scientifique et l’innovation, outre l’élaboration d’un nouveau concept pour les structures de la recherche et leur méthodes de gestion, avec la participation des compétences tunisiennes à l’étranger et la mise en œuvre de programmes de recherche participative adaptés aux priorités nationales.

Avec TAP

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La plateforme numérique de l’OTPP compte, actuellement, 700 projets publics à Jendouba

La plateforme numérique de l’Observatoire Tunisien des Politiques Publiques (OTPP), qui est aujourd’hui dans sa phase pilote, regroupe des données sur 700 projets publics dans le gouvernorat de Jendouba et sur les budgets qui leur sont alloués, c’est ce qui ressort d’un atelier régional organisé, mercredi 20 novembre, à Gafsa, par l’OTPP.

Cette plateforme comporte aussi des données sur les ressources municipales consacrées à la gestion des déchets à l’échelle nationale ainsi que sur 74 études et 52 projets dans ce domaine.

Pour rappel, l’OTPP a été officiellement lancé, en octobre 2024, à Tunis, à l’initiative du think thank « Solidar Tunisie ». Il vise à renforcer le partenariat avec le gouvernement, l’administration et les différents acteurs, afin de produire des analyses et des études précises et qualitatives pour soutenir l’élaboration et le suivi des politiques publiques.

S’agissant de l’avenir de cette plateforme, les experts de l’observatoire participants à l’atelier régional de Gafsa, ont affirmé qu’il y aura recours aux « solutions d’intelligence d’affaires » pour permettre aux usagers de la plateforme de traiter les données disponibles et les transformer en tableaux de bord et graphiques.

Ils ont ainsi appelé tous ceux qui désirent créer un compte sur cette plateforme pour accéder à ses contenus à envoyer une demande à l’OTPP.

Les experts ont par ailleurs souligné l’importance de développer la plateforme pour couvrir les projets publics sur tout le territoire, indiquant que les ateliers régionaux organisés par l’OTPP ont pour objectif de collecter les données nécessaires en coordination avec les autorités régionales et les différents intervenants à l’échelle locale et régionale.

Avec TAP

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Budget de l’Etat 2025: appel à l’amélioration des conditions des étudiants dans les régions

Les députés des deux chambres parlementaires réunies ont souligné, mercredi 20 novembre, lors de l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour l’exercice 2025, la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour améliorer les conditions des étudiants dans les régions, renforcer les infrastructures universitaires et recruter les enseignants au sein des établissements universitaires.

Dans leurs interventions, les députés ont déploré les inégalités dans l’accès à l’enseignement supérieur entre les différentes régions du pays, qui ont été accentuées par une répartition inéquitable des budgets et des programmes relatifs à la promotion de l’enseignement supérieur, appelant à la nécessité de renforcer l’infrastructure, de construire de nouveaux établissements universitaires à l’intérieur du pays et de parachever les projets bloqués.

Ils ont également soulevé les questions liées à la dégradation des services de restauration, la vétusté de l’infrastructure des foyers et leur faible capacité d’accueil.

Dans le même contexte, les élus ont précisé qu’un grand nombre d’étudiants n’ont pas bénéficié de logements universitaires et ont eu recours aux locaux qui ne sont pas à usage d’habitation, alors qu’un certain nombre d’entre eux se sont vus refuser des bourses universitaires.

Construction de nouvelles universités

Les députés ont appelé à la nécessité de construire de nouvelles universités et de nouveaux foyers universitaires dans certaines régions du pays, d’accélérer l’achèvement de tous les projets liés à l’enseignement supérieur et à la recherche scientifique bloqués actuellement et d’augmenter les budgets des services universitaires.

Ils ont souligné que les enseignants universitaires ne sont pas remplacés après leur départ à la retraite, critiquant vivement les conditions fixées par l’autorité de tutelle pour l’obtention d’une bourse universitaire qui exige que le revenu annuel net de la famille au cours de l’année précédente, après soustraction des charges sociales, ne dépasse pas le salaire minimum garanti fixé à moins de 6.000 dinars, appelant à la nécessité d’augmenter le montant de la bourse universitaire.

Formation académique déplorable dans les régions

Certains élus ont qualifié la formation académique au sein des universités tunisiennes dans certaines régions de « déplorable », notant le manque flagrant de cadres spécialisés et l’absence de diversification des cursus de formation.

Ils ont souligné l’importance d’assurer le suivi et le contrôle des universités privées, « surtout que ces établissements n’assurent pas tous un enseignement de qualité » ont-ils soutenu.

Universités privées: gain et rentabilité

« Certains établissements privés font prévaloir le gain et la rentabilité, ce qui n’a pas manqué de causer la détérioration de la qualité de l’enseignement » ont-ils ajouté.

Les députés ont évoqué le phénomène de la prolifération des cours particuliers dans l’enseignement universitaire, soulignant que les tarifs des cours ont atteint des seuils excessifs, dont les parents à faible revenu ne peuvent pas en tirer parti.

Migration des enseignants…

D’autre part, certains élus ont souligné que la plupart des enseignants ont opté pour la migration en raison des faibles salaires qui leur sont proposés et l’absence de motivation, appelant à la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à ce « phénomène en expansion».

Ils ont, également dénoncé le recours des doctorants à l’emploi précaire, soulignant que le montant de la prime qui leur est versée après deux années consécutives, est inférieur à celui attribué aux familles à revenu limité.

Concernant le volet de la recherche scientifique, les députés ont estimé que ce secteur a connu des problématiques liées au sous-financement, étant donné que le budget actuel qui lui est alloué ne dépasse pas 0,6 % du PIB, alors que les normes internationales recommandent un taux minimal de 2 %.

Avec TAP

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La Tunisie oeuvre à promouvoir le tourisme accessible (Ministre)

 Le ministre du Tourisme, Sofiene Tekia a souligné, mercredi 20 novembre, que les efforts sont déployés en vue de promouvoir le tourisme accessible et inclusif, déclarant que « le tourisme adapté aux personnes porteuses de handicap est avant tout une culture qui doit être diffusée à grande échelle ».

« La Tunisie œuvre à devenir une destination touristique accessible à toutes les personnes abstraction faite de leurs différences et de leurs besoins spécifiques », a-t-il ajouté lors de l’ouverture des travaux du forum arabe du tourisme accessible, tenu à Tunis.

Il a, à cette occasion, souligné que cette rencontre constitue l’occasion de réfléchir à des solutions scientifiques à même de faire des pays arabes des destinations pouvant accueillir davantage les personnes à besoins spécifiques.

Selon Bajhet Abou Nasser, responsable de la direction du transport et du tourisme et ministre délégué de la Ligue Arabe, la catégorie concernée par le tourisme accessible dépasse 1,7 milliard de personnes dans le monde, soit 16% du nombre de la population mondiale.

Et d’ajouter que les personnes porteuses de handicap sont six fois plus confrontées à des difficultés pour accéder aux destinations touristiques, appelant les pays arabes à développer le tourisme accessible et inclusif conformément au guide lancé par l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT) en 2013.

Avec TAP

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La Tunisie œuvre au développement de l’aquaculture (Ministre de l’Agriculture)

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

Avec TAP

 

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Abdessalem El Oued réélu à la tête du Conseil oléicole international

Abdessalem El Oued, membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), a été réélu, mardi 19 novembre, au poste de président du Comité consultatif du conseil oléicole international (COI), lors de sa 63e session, tenue à Madrid en Espagne, en présence de représentants de 23 pays producteurs d’huile d’olive.

L’un des principaux sujets à l’ordre du jour de cette réunion consacrée à la discussion du présent et de l’avenir de l’oléiculture fut le développement durable et la résilience climatique.

A cette occasion et réélu pour le mandat 2025-2026, El Oued a souligné l’importance de préserver un niveau de prix qui garantit des revenus respectables aux agriculteurs et leur permet de développer leurs productions et investissements.

Il a aussi mis l’accent sur l’importance d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale, sachant qu’elle ne représente aujourd’hui que 2 % des huiles alimentaires consommées de par le monde. Il a suggéré à cet égard, de créer un comité de suivi au sein du COI pour suivre la réalisation de ces objectifs.

Il est important d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale, sachant qu’elle ne représente aujourd’hui que 2 % des huiles alimentaires consommées de par le monde.

El Oued a, par ailleurs, plaidé pour la mise en place de mécanismes efficaces pour protéger les producteurs, préserver leurs droits fondamentaux et garantir la durabilité de la filière oléicole, ajoutant que garantir des revenus dignes aux agriculteurs est une condition essentielle pour une oléiculture durable.

Il a appelé à supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux, et a suggéré d’organiser une grande campagne de promotion pour encourager la consommation d’huile d’olive, ce qui contribuerait à équilibrer l’offre et la demande, en particulier avec l’augmentation attendue du volume de production.

De son côté, le directeur exécutif du COI, Jaime Lillo, a mis l’accent sur l’importance de la sensibilisation à la valeur sanitaire de l’huile d’olive, en particulier de l’huile d’olive extra vierge.

Nécessité de supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux.

Pour sa part, Joseph Profaci, représentant de l’Association de l’Amérique du Nord de l’Huile d’Olive (NAOOA), s’est dit préoccupé par l’intention de l’administration américaine nouvellement élue d’imposer des droits de douane sur les importations d’huile d’olive, ce qui pourrait limiter les quantités exportées vers le marché américain.

Le secteur oléicole étant confronté aux pressions croissantes du changement climatique, les participants ont discuté, généralement, des stratégies possibles d’adaptation pour assurer le développement de l’oléiculture, améliorer la production et les techniques de gestion de l’eau et des sols, et renforcer la biodiversité.

La production mondiale de l’huile d’olive est estimée à 3,3 millions de tonnes, avec des hausses de production prévues en Tunisie, en Espagne et en Turquie.

Avec TAP

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La BCT explique la ligne de crédit italienne de 55 M€ pour les PME

« Les conditions et modalités d’utilisation de la ligne de crédit italienne d’un montant de 55 millions d’euros (environ 182 millions de dinars), en faveur des petites et moyennes entreprises (PME) du secteur privé tunisien » ont fait l’objet d’une note publiée le 19 novembre par la Banque centrale de Tunisie (BCT).

Cette ligne de crédit s’inscrit dans le cadre de la Convention financière signée le 17 avril 2024 entre la BCT et la « Cassa Depositi e Prestiti » S.p.A, en application du Protocole d’accord entre les gouvernements tunisien et italien.

L’Institut d’émission a précisé que cette ligne de crédit vise « à faciliter l’accès des petites et moyennes entreprises du secteur privé tunisien au financement à des conditions qui lui sont favorables pour promouvoir les investissements et soutenir la croissance ».

« Les secteurs éligibles au financement dans le cadre de cette ligne de crédit sont ceux de l’industrie (à l’exception de l’industrie de l’armement), de l’agriculture, de la pêche et de sylviculture, mais aussi des services (à l’exception des services financiers, commerciaux et touristiques) et des activités touristiques telles que l’agritourisme, les pensions familiales, les hôtels et les activités entrepreneuriales liées au tourisme éco-culturel ».

En effet, « cette ligne est mise à la disposition des PME pour financer l’acquisition des biens d’équipement productifs neufs et de services connexes aux équipements d’origine italienne ou tunisienne ainsi que les opérations de restructuration financière destinées au fonds de roulement, au rééchelonnement de la dette bancaire et aux prêts participatifs destinés exclusivement à l’augmentation du capital ».

En outre, « elle offre aux PME des conditions financières avantageuses avec des durées de remboursement flexibles et un taux d’intérêt annuel plafonné à 2,5 % pour les crédits rétrocédés en Euro et à 6,5 % pour ceux rétrocédés en Dinar Tunisien« .

Avec TAP

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La coopération tuniso-koweïtienne passe à la vitesse supérieure

La Tunisie et le Koweït ont signé, mercredi 20 novembre, dans le cadre des travaux de la 4e session de la Commission mixte tuniso-koweïtienne, une série d’accords portant sur différents domaines.

Parmi ces accords figurent le développement des lignes ferroviaires pour le transport du phosphate, la coopération en matière de météorologie, de climat, de services aériens et l’échange de main-d’œuvre dans le secteur privé.

A l’issue des travaux de la commission au siège de l’Académie diplomatique, à Tunis, les accords ont été signés par le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, le ministre des Affaires étrangères du Koweït, Abdallah Ali Abdallah Al Yahya, et des responsables des deux pays.

Ces accords comprennent la signature de :

  • un contrat de prêt pour le projet de rénovation et de développement des lignes ferroviaires destinées au transport du phosphate entre la République tunisienne et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe (KFAED)
  • un mémorandum d’entente entre l’Académie diplomatique internationale et l’Institut diplomatique « Saoud Al-Nasser Al-Sabah »
  • un mémorandum d’entente entre le gouvernement de la République tunisienne et le gouvernement du Koweït pour la coopération technique dans le domaine de l’accréditation et de l’évaluation de la conformité
  • un programme exécutif pour l’accord de coopération dans le domaine des activités de normalisation entre le gouvernement tunisien et le gouvernement du Koweït pour les années 2025-2026-2027
  • un programme exécutif pour l’accord de coopération industrielle pour 2025-2027
  • un programme exécutif d’un mémorandum d’entente dans le domaine du développement des exportations industrielles pour 2025-2026
  • un programme exécutif pour l’accord de coopération touristique pour 2025-2026-2027
  • un programme exécutif dans le domaine des sports pour 2024-2025-2026-2027.

Avec TAP

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Tataouine : Annulation de la grève des employés de la société SNC

La grève des agents de la société de rationnement et d’approvisionnement (SNC) à Tataouine prévue, mercredi 20 novembre, a été annulée.

Cette décision fait suite à la réunion de la commission régionale de conciliation tenue, mardi 19 novembre, pour examiner les revendications professionnelles des employés portant notamment sur le versement de l’augmentation salariale, à partir du mois de novembre, et de la rémunération rétroactive sur deux tranches, en décembre 2024 et janvier 2025.

La direction de la société s’est, également, engagée au paiement des primes convenues, à partir du mois d’avril 2025, à la remise des fiches de paiement mensuel, avant la fin de l’année en cours, ainsi que l’octroi des congés payés.

L’Union régionale du travail à Tataouine avait émis, le 7 novembre, un préavis dans lequel elle a appelé ses adhérents au sein de la société SNC à observer une grève le 20 novembre.

Avec TAP

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MPTF: Approbation d’un budget de 22 MDT en faveur d’un projet agricole

Un projet visant la création d’opportunités d’emploi dans le secteur agroalimentaire moyennant un budget de 7 millions de dollars (environ 22 millions de dinars) a été approuvé par le Comité de Pilotage du Fonds Fiduciaire Multi-donateurs pour la Jeunesse et l’Emploi en Tunisie (MPTF), lors de sa deuxième réunion annuelle, tenue lundi 18 novembre 2024 à Tunis.

Le projet, d’une durée de 36 mois, est le premier à être financé via le MPTF. Il propose de soutenir des jeunes entrepreneurs à créer des projets agricoles, indique le ministère de l’Economie et de la Planification, dans un communiqué.

Intitulé « Investissement agroalimentaire responsable pour l’emploi des jeunes, la transformation des systèmes alimentaires et le développement durable », ce projet sera implémenté conjointement par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation internationale du travail (OIT).

Il prévoit de fournir un soutien financier et technique et de favoriser la création d’au moins 1 200 emplois directs et indirects. « Il met l’accent sur l’inclusion des femmes, des personnes handicapées et la transition des travailleurs informels vers l’économie formelle ».

Des représentants du gouvernement, des Nations unies en Tunisie et de l’ambassade du Royaume des Pays-Bas en Tunisie ont pris part à la réunion du Fonds.

Les membres du Comité ont rappelé l’importance et le besoin d’avoir un mécanisme de financement et de coordination qui vient appuyer les initiatives de l’Etat en matière de création d’emploi. Le Fonds pour la Jeunesse et l’Emploi constitue à cet effet une réponse conjointe et coordonnée pour offrir des réponses ciblées et concrètes contribuant à la création d’emplois décents et pérennes.

Le Fonds Fiduciaire Multi-donateurs pour la Jeunesse et l’Emploi en Tunisie a été lancé conjointement par le gouvernement tunisien et les Nations unies le 28 novembre 2023. Il vise à répondre à l’urgence de la création d’emplois décents, en mettant l’accent sur les personnes les plus vulnérables. Le Royaume des Pays-pays est le premier donateur à contribuer à ce fonds avec 10,525 millions de dollars.

Alignée sur la Vision 2035 de la Tunisie, cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’accélération de la réalisation de l’Agenda de développement durable 2030, et contribuera à la mise en œuvre du cadre de coopération signé entre le gouvernement tunisien et les Nations unies en décembre 2020 en soutien aux efforts de la Tunisie en matière de développement.

Avec TAP

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Hausse de 0,2% du Tunindex

Le marché a terminé la séance de, mercredi 20 novembre, sur une embellie de 0,2 %, à 9800,9 points, dans un modeste volume de 3 millions de dinars (MD), selon l’analyse quotidienne de Tunisie Valeurs.

Le titre STB s’est placé au top line. L’action de la banque étatique a grapillé 3,6 %, à 2,880 D, dans un flux réduit de 11 mille dinars.

▪ Le titre CELLCOM continue sur sa lancée positive. L’action du distributeur de la marque Evertek a signé une avancée de 3,1 % à 2,350 D. La valeur a amassé des échanges de 91 mille dinars sur la séance.

▪ Le titre MONOPRIX s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste de la grande distribution a reculé de 4,4 % à 3,700 D. La valeur a été échangée à hauteur de 3 mille dinars seulement sur la séance.

▪ Malmené par un courant vendeur, le titre STA a perdu du terrain (une baisse de 3,8 %), clôturant à 18,200 D. L’action du concessionnaire automobile de la marque Chery a brassé un maigre flux de 111 mille dinars sur la séance.

▪ Le titre BT a chapeauté le palmarès de la séance. L’action de la banque privée a gagné 0,2 %, à 5,040 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 503 mille dinars.

Avec TAP

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Kébili : Cap sur les problèmes liés au transport scolaire dans la région

Le ministère des Transports est déterminé à suivre de prés la situation des sociétés régionales de transport pour résoudre les problèmes restés longtemps en suspens, notamment ceux relatifs aux projets d’acquisition, a indiqué Rachid Amri, ministre des Transports, mercredi 20 novembre, à Kébili.

Cette région du Sud (Kébili) connaît des problèmes liés notamment au transport scolaire qui nécessitent un suivi quotidien pour les résoudre à court et moyen terme afin de garantir un service public qui respecte le citoyen à l’échelle de la région et d’assurer sa liaison avec les gouvernorats de Sfax, Gabès et Sousse, a-t-il ajouté, lors d’une visite effectuée dans cette région.

Amri a également déclaré que « du sang neuf sera injecté au niveau de la Direction de la Société régionale de transport de Gabès » qui assure le transport des voyageurs dans les régions de Gabès et Kébili, exprimant son espoir de voir cette mesure contribuer à rétablir la valeur du travail pour solutionner tous les problèmes en suspens.

Lors d’une visite à l’entrepôt de la Société régionale de transport de Gabès, le ministre des Transports a, par ailleurs, fait valoir que les problèmes que connaît cette installation sont similaires à ceux rencontrés par toutes les sociétés régionales de transport. Ces problèmes sont dus à des défaillances enregistrées au cours des dernières années en matière d’acquisition et de maintenance, estime le ministre, ajoutant que le ministère accorde la priorité absolue à la résolution de ces problématiques.

Il a, en outre, appelé, au cours de cette visite, à accélérer l’entretien de trois bus pour les réutiliser dans le transport scolaire après les vacances hivernales, indiquant la possibilité de renforcer l’équipe d’entretien à l’entrepôt pour mener à bien cette tâche.

Avec TAP

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