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Tunisie – Emploi 91 dossiers de suspicion de corruption soumis à la justice

Le ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle a transmis à la justice 31 dossiers se rapportant à des abus commis par des établissements privés de formation professionnelle et 60 autres dossiers relatifs à des violations commises par des bureaux illégaux de recrutement à l’étranger, annonce le ministre de l’Emploi Riadh Chaoud.

S’exprimant mercredi lors d’une séance plénière conjointe entre l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et le conseil national des régions et des districts, le ministre a réaffirmé l’engagement de son département à poursuivre la lutte contre la corruption dans ce secteur afin de protéger les droits des demandeurs d’emploi. »Quiconque ose commettre des crimes contre le peuple sera porté responsable devant la loi », a-t-il averti.

Selon le ministre, le nombre des entreprises communautaires inscrites au Registre national des entreprises (RNE) s’élève aujourd’hui à 120. « Un conseil ministériel sera convoqué prochainement afin de réviser la loi sur les terres domaniales afin de conférer à ces entreprises la priorité dans l’exploitation de ces terres », a-t-il dit.

Il a ajouté que la Tunisie connaît actuellement une révolution législative, faisant état de plusieurs textes de loi en cours de révision afin de soutenir l’activité de ces entreprises, considérées comme un vecteur de développement et de croissance.

Et le ministre de souligner que l’instauration d’un nouveau modèle de développement n’est pas une œuvre facile à entreprendre. Il s’agit d’un travail de longue haleine qui nécessite d’opérer un changement au niveau des mentalités et des approches en vigueur.

Le département, a-t-il dit, ne ménage aucun effort en vue de réunir les conditions préalables à la réussite de ces entreprises en misant sur l’instauration d’un nouveau cadre législatif et structurel. Il a souligné que le ministère assure un accompagnement dans les espaces d’initiative destinés aux porteurs d’idées de projets d’entreprises communautaires, révélant la mise en place d’une ligne de financement trisannuelle de 20 MD au titre budget de l’État. Bien plus, il a ajouté que l’enveloppe globale allouée au financement de ces entreprises atteindra 60 MD, dont 9 MD seulement ont été consommés depuis début 2024.

En ce qui concerne la gouvernance des entreprises communautaires, le ministre a indiqué qu’un comité national de pilotage sera mis en place au niveau du secrétariat d’État, tandis que des comités régionaux présidés par les gouverneurs seront créés pour traiter cette question.

Volet formation professionnelle, le ministre a reconnu que le système a perdu beaucoup de son attrait, annonçant la révision imminente des conditions d’accès aux centres. Il a annoncé que d’ici février prochain, le certificat de compétences sera en vigueur, ce qui ne manquera pas de permettre aux candidats pressentis à la formation et qui sont sortis à des niveaux de formation inférieurs à la 9e année de base, d’intégrer les centres.

Cette mesure concernera également les titulaires d’un master, d’une licence et même d’un doctorat, qui, à leur tour, auront droit à bénéficier d’une formation complémentaire de six mois. Le ministre a annoncé que son département va réviser la nomenclature des formations et apporter des changements substantiels afin de s’aligner davantage sur les exigences du marché du travail.

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Tunisie – Enseignement supérieur : Faire bénéficier les étudiants de la protection sociale

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaid, a souligné mercredi, dans ses réponses aux questions des députés de l’Assemblée des Représentants du Peuple et du conseil des districts et des régions, lors de l’examen du budget de la mission de son département pour l’année 2025, que le ministère s’emploie à élargir le dispositif de la protection sociale pour en faire bénéficier les étudiants, que ce soit à travers les bourses, les prêts universitaires, les aides conjoncturelles, la révision du système LMD et le renforcement du secteur de la recherche scientifique.

Dans ce sens, il a affirmé que le ministère de l’Enseignement supérieur se penche sur l’élaboration d’un texte réglementaire afin de faire bénéficier les étudiants issus des familles à revenu limité d’aides sociales, tout en tenant compte du genre social de la discrimination positive et des situations d’handicap.

Il a rappelé que 52 pc des étudiants inscrits dans les université ont bénéficié de bourses universitaires, précisant que le ministère a consacré un montant d’environ 45 millions de dinars pour aménager les infrastructures universitaires et améliorer la qualité des repas universitaires.

Selon Belaid, le ministère s’est engagé à hisser la capacité d’accueil des foyers universitaires en les dotant de 7 mille lits supplémentaires et à promouvoir les œuvres universitaires, évoquant, dans ce contexte, l’extension du foyer universitaire Mahmoud Messaadi à Jendouba (270 lits) et l’aménagement du Foyer Bullaregia moyennant une enveloppe estimée à 1 million 100 mille dinars, ainsi que le foyer universitaire Ali Belhaouen avec des couts d’environ 1 million 300 mille dinars.

Par ailleurs, Belaid a souligné que le ministère a entamé la réforme du système LMD et la révision des matières en vue de pallier les lacunes enregistrées. Évoquant la problématique des doctorants sans emploi, il a indiqué que son département a entamé l’élaboration d’un décret gouvernemental comportant des dispositions relatives aux structures chargées de la recherche, des établissements et des entreprises publiques et des ministères, précisant qu’il sera procédé à l’amendement du décret 4259 de l’année 2013 relatif au statut des chercheurs pour favoriser le recrutement des doctorants en qualité de chercheurs au sein des établissements, des entreprises publiques et des ministères.

Sur un autre plan, le ministre de l’enseignement supérieur a souligné que son département oeuvre à mettre en place une stratégie nationale sur la recherche scientifique et l’innovation, outre l’élaboration d’un nouveau concept pour les structures de la recherche et leur méthodes de gestion, avec la participation des compétences tunisiennes à l’étranger et la mise en oeuvre de programmes de recherche participative adaptés aux priorités nationales.

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Crise des voitures populaires en Tunisie : trois concessionnaires se retirent face à un plafond de prix

Alors que la classe moyenne aspirait, il y a plus de vingt ans, à posséder des voitures populaires, ce secteur se trouve aujourd’hui dans une situation délicate. En effet, le marché tunisien est depuis plusieurs années envahi par les véhicules d’entrée de gamme.

Ibrahim Debbache, président de la chambre syndicale des concessionnaires et constructeurs automobiles, a déclaré que trois concessionnaires ont choisi de ne pas importer ni vendre de voitures populaires, en raison d’un plafond de prix fixé à 35.000 dinars.

Lors d’une intervention le 21 novembre 2024 sur Diwan FM, il a précisé qu’habituellement, plus d’une dizaine de concessionnaires importaient environ 10 000 voitures populaires par an.

Cependant, pour 2024, seuls six à sept concessionnaires ont effectué cette importation, introduisant près de 7 000 voitures sur le marché tunisien. 

Il précise dans ce contexte : « Nous commençons par aborder l’année 2024, avec un quota fixé à 10 000 voitures populaires, indiquant une demande stagnante parmi six ou sept marques. À ce jour, environ 7 000 voitures ont été importées et distribuées en Tunisie pour 2024. Nous avons observé qu’à la fin juin, des retards d’importation se sont produits en raison d’une décision du ministère du Commerce qui a imposé un prix maximum de 35 000 dinars pour les modèles. Ce qui a empêché certaines marques d’atteindre leurs objectifs d’importation. »

 

 

 

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Projet Maghroum’in : Soutien à l’inclusion des jeunes tunisiens à travers la culture et le sport

La ministre des Affaires Culturelles, Amina Srarfi, a eu une rencontre, mercredi, au siège de son département, avec l’ambassadeur d’Espagne en Tunisie, Francisco Javier Puig SAURA, qui était accompagné d’une délégation.

La rencontre a porté sur « les perspectives de développer la coopération existante entre les deux pays dans le domaine culturel à travers l’échange d’expériences et d’expertises ainsi que la formation dans le domaine artistique », indique un communiqué du ministère publié dans l’après-midi.

La ministre des Affaires culturelles a souligné la nécessité de renforcer le partenariat bilatéral en matière de formation dans divers domaines tels que la restauration et la préservation du patrimoine ainsi le que les instruments de musique . A cet égard, la ministre a rappelé “l’histoire commune entre la Tunisie et l’Espagne”, lit-on encore.

Elle a également indiqué l’importance de développer les échanges culturels bilatéraux dans divers domaines dont les arts plastiques, la musique et la traduction aussi bien que les résidences artistiques organisées dans les deux pays.

L’ambassadeur espagnol a, de son côté, salué le partenariat culturel tuniso-espagnol, exprimant son “souhait de voir ce partenariat se développer et se diversifier davantage dans tous les domaines artistiques”, ajoute le communiqué.

Les deux parties ont également abordé le partenariat entre le Centre international de Tunis pour l’économie numérique (TICDCE) et l’Agence espagnole de coopération internationale pour le développement (AECID) visant à mettre en place des projets culturels créatifs destinés aux jeunes dans le cadre d’un « Hub créatif » via le projet « Maghrom’in » piloté par le TICDCE.

Notons que « Maghroum’in » est la composante 2 du programme EU4Youth de l’Union Européenne en Tunisie.

Le projet MaghroumIN a démarré en janvier 2022 et durera environ 5 ans. Il est doté d’une enveloppe budgétaire de 15,46 millions d’euros.

Ce projet est mis en œuvre par l’Agence Espagnole pour la Coopération Internationale au Développement et le British Council, avec la Fondation Internationale et Ibéroaméricaine pour l’Administration et les Politiques Publiques (FIIAPP) en tant que troisième partenaire co-délégué.

MaghroumIN vise le renforcement de l’inclusion et la participation des jeunes tunisiens en situation de vulnérabilité dans la vie publique à travers la création, la culture et le sport, tout en prenant en considération les différentes formes d’exclusion.

Tunisie : Un plan de sauvetage pour la société régionale de transport de Gabès

Lors d’une visite inopinée hier ce soir, le ministre du Transport, Rachid Amri, accompagné du gouverneur de Gabès, Ridha Nasibi, a inspecté les ateliers et le dépôt de la Société régionale de transport de Gabès. Face à une situation qu’il a qualifiée de “catastrophique”, le ministre a pointé du doigt les gestions successives de la société, qu’il tient pour responsables de sa dégradation actuelle.

Le ministre a annoncé que la priorité immédiate sera donnée à l’amélioration des conditions de travail au sein des ateliers. Il s’est engagé à ce que ces améliorations soient mises en œuvre avant la mi-décembre 2024.

Un programme de sauvetage sera bientôt élaboré pour relancer la société régionale de transport, en mettant un accent particulier sur les interventions de maintenance. “La réussite de ce programme dépendra du sérieux dans le travail et de la coordination entre toutes les parties prenantes”, a précisé le ministre.

Le ministre a également annoncé l’acquisition de 21 nouveaux bus, dont le contrat sera signé le 21 novembre 2024. Ces véhicules seront livrés au cours du premier trimestre 2025, ce qui devrait permettre d’améliorer considérablement le fonctionnement de la société.

Au cours de sa visite, le ministre du Transport s’est également rendu à l’Agence technique des transports terrestres et au port commercial de Gabès. Il a examiné les équipements existants et relevé plusieurs insuffisances au niveau des infrastructures.

Malgré ces lacunes, le port a enregistré un volume total d’échanges commerciaux de 2,432 millions de tonnes au cours des neuf premiers mois de l’année, dont 899.000 tonnes destinées à l’exportation. Pendant la même période, le port a accueilli 329 navires commerciaux.

Les acteurs économiques locaux plaident depuis plusieurs années pour la création d’une ligne maritime dédiée au transport de conteneurs, notamment en raison du volume important de marchandises exportées depuis Gabès. La région, considérée comme l’un des pôles majeurs d’exportation du pays, pourrait ainsi renforcer son rôle stratégique dans le commerce extérieur.

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Budget 2025: Les députés pour une réforme de la formation professionnelle

Les programmes de formation professionnelle destinés aux jeunes devraient être soutenus par la création de nouvelles spécialisations dans les industries numériques, la technologie et les énergies renouvelables, ont recommandé, ce mercredi, les députés à l’occasion de l’examen de la mission du ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle pour 2025.

Dans leurs interventions, les députés appellent à accorder un intérêt particulier au créneau de la formation dans les secteurs prioritaires comme la technologie, l’agriculture et les industries numériques.

Ils ont plaidé à revoir l’approche de la formation professionnelle pour augmenter les opportunités d’emploi pour les jeunes.

Dans ce contexte, ils ont recommandé de créer de nouveaux centres de formation qui répondent aux spécificités régionales et locales, soulignant que l’encouragement de l’initiative privée est une solution idoine au chômage.

Dans la perspective de booster davantage ce secteur, les députés ont passé en revue les insuffisances liées au dispositif de la formation professionnelle, citant notamment, les retards pris dans la réalisation de projets publics liés aux centres de formation.

Ils ont vivement critiqué le manque d’engagement dans la mise en œuvre des politiques de promotion de l’emploi, regrettant un déficit de communication entre le département de l’emploi et de la formation professionnelle et les demandeurs d’emploi dans les régions.

Logements et bourses universitaires : Les députés alertent sur la précarité des étudiants

Les députés des deux chambres parlementaires ont souligné, mercredi, lors de l’examen du budget du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique 2025, la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour améliorer les conditions des étudiants dans les régions, renforcer les infrastructures universitaires dans certaines régions et recruter les enseignants au sein des établissements universitaires.

Dans leurs interventions, les députés ont déploré les inégalités dans l’accès à l’enseignement supérieur entre les différentes régions du pays, qui ont été accentuées par une répartition inéquitable des budgets et des programmes relatifs à la promotion de l’enseignement supérieur, appelant à la nécessité de renforcer l’infrastructure, de construire de nouveaux établissements universitaires à l’intérieur du pays et de parachever les projets bloqués.

Ils ont également soulevé les questions liées à la dégradation des services de restauration, la vétusté de l’infrastructure des foyers et leur faible capacité d’accueil.

Dans le même contexte, les élus ont précisé qu’un grand nombre d’étudiants n’ont pas bénéficié de logements universitaires et ont eu recours aux locaux qui ne sont pas à usage d’habitation, alors qu’un certain nombre d’entre eux se sont vus refuser des bourses universitaires.

Les députés ont appelé à la nécessité de construire de nouvelles universités et de nouveaux foyers universitaires dans certaines régions du pays, d’accélérer l’achèvement de tous les projets liés à l’enseignement supérieur et à la recherche scientifique bloqués actuellement et d’augmenter les budgets des services universitaires.

Ils ont souligné que les enseignants universitaires ne sont pas remplacés après leur départ à la retraite, critiquant vivement les conditions fixées par l’autorité de tutelle pour l’obtention d’une bourse universitaire qui exige que le revenu annuel net de la famille au cours de l’année précédente, après soustraction des charges sociales, ne dépasse pas le salaire minimum garanti fixé à moins de 6.000 dinars, appelant à la nécessité d’augmenter le montant de la bourse universitaire.

Certains élus ont qualifié la formation académique au sein des universités tunisiennes dans certaines régions de “déplorable”, notant le manque flagrant de cadres spécialisés et l’absence de diversification des cursus de formation.

Ils ont souligné l’importance d’assurer le suivi et le contrôle des universités privées, “surtout que ces établissements n’assurent pas tous un enseignement de qualité” ont-ils soutenu.

“Certains établissements privés font prévaloir le gain et la rentabilité, ce qui n’a pas manqué de causer la détérioration de la qualité de l’enseignement” ont-ils ajouté.

Les députés ont évoqué le phénomène de la prolifération des cours particuliers dans l’enseignement universitaire, soulignant que les tarifs des cours ont atteint des seuils excessifs, dont les parents à faible revenu ne peuvent pas en tirer parti.

D’autre part, certains élus ont souligné que la plupart des enseignants ont opté pour la migration en raison des faibles salaires qui leur sont proposés et l’absence de motivation, appelant à la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à ce « phénomène en expansion».

Ils ont, également dénoncé le recours des doctorants à l’emploi précaire, soulignant que le montant de la prime qui leur est versée après deux années consécutives, est inférieur à celui attribué aux familles à revenu limité.

Concernant le volet de la recherche scientifique, les députés ont estimé que ce secteur a connu des problématiques liées au sous-financement, étant donné que le budget actuel qui lui est alloué ne dépasse pas 0,6% du PIB, alors que les normes internationales recommandent un taux minimal de 2%.

Tunisie: Le ministère de la Justice lance le système d’échange électronique des documents judiciaires

Tunisie: Le ministère de la Justice lance le système d’échange électronique des documents judiciaires

Le ministère de la Justice lance, à partir de ce jeudi 21 novembre 2024, l’exploitation expérimentale effective du nouveau système d’échange électronique des documents judiciaires en matière civile, mis en place dans les tribunaux de première instance pilotes. Cette initiative débute aujourd’hui avec la première chambre civile du tribunal de première instance de Ben Arous. […]

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Saisie de poissons avariés : un commerçant accusé de tromperie

Saisie de poissons avariés : un commerçant accusé de tromperie

Une campagne conjointe de contrôle menée par les services de sécurité, les agents de contrôle de la municipalité de Tunis, les agents de santé, les cadres de surveillance économique et les inspecteurs de l’Autorité de la sécurité des produits alimentaires a permis de saisir une quantité de poissons avariés dans des marchés et commerces de […]

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La Garde nationale déjoue des opérations de contrebande d’une valeur de 211 000 dinars

La Garde nationale déjoue des opérations de contrebande d’une valeur de 211 000 dinars

La Direction générale de la Garde nationale a annoncé, ce jeudi, l’interpellation de 146 personnes recherchées et la saisie de 52 véhicules signalés comme volés, dans le cadre des efforts visant à lutter contre les atteintes à l’ordre public et à traquer les individus recherchés. Ces opérations ont été menées dans les différentes zones relevant […]

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Du trafic de drogue à la CIA, le destin agité du taximan Blerim Skoro

C’est un destin hors du commun qu’a connu le Kosovar immigré aux États-Unis Blerim Skoro mais au-delà de sa vie qui ressemble à un roman, cette histoire révèle les méthodes des renseignements américains qui exploitent pernicieusement la situation précaire de certaines personnes en leur faisant miroiter qu’ils peuvent arranger leur situation puis les laissent livrés à eux-mêmes.

Imed Bahri

Le journal britannique The Times a publié des détails passionnants sur un espion qui travaillait pour l’agence de renseignement extérieur des États-Unis, la Central Intelligence Agency (CIA), qui est parvenu à infiltrer Al-Qaïda et l’État islamique mais sa vie actuelle comme ses débuts est difficile du fait qu’il vit des revenus du taxi qu’il conduit. 

Dans un article intitulé «J’ai donné ma vie à la CIA, ils m’ont trahi», l’espion Blerim Skoro a raconté à la correspondante du journal britannique Josie Ensor comment les services secrets américains ont pu le recruter le matin du 12 septembre 2001 lorsque des agents du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de la CIA lui ont rendu visite dans un centre de détention de Brooklyn à New York où il a été arrêté pour trafic de drogue. Les agents présentaient au détenu Blerim Skoro une offre qui allait complètement changer le cours de sa vie.

Skoro, qui avait fui la guerre au Kosovo dans les années 1990 et purgeait une peine de sept ans de prison pour trafic de drogue, affirme que ces agents lui ont dit qu’ils avaient besoin de son aide et que lui voulait juste sortir de prison et retourner auprès de sa famille. 

Skoro, aujourd’hui âgé de 53 ans, a déclaré avoir vu à travers la fenêtre de sa cellule le deuxième avion s’écraser sur l’une des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

Patriote américain d’abord et ensuite musulman

Selon Ensor, les agents des renseignements considéraient Skoro comme un «agent idéal» car personne ne soupçonnerait un musulman kosovar condamné à une lourde peine de prison donnant ainsi l’impression aux autres détenus qu’il ne peut pas collaborer avec le gouvernement. Un profil au-dessus de tout soupçon. 

Skoro a pris sa mission en prison au sérieux. Il a immédiatement commencé à se laisser pousser la barbe et à mémoriser le Coran. Il a rapidement gagné le respect et la confiance de centaines de détenus musulmans dont un certain nombre étaient des combattants islamistes et ont rencontré Oussama Ben Laden avant les attentats du 11 septembre 2001. Skoro a transmis ce qu’il avait entendu d’eux aux officiers de la CIA. 

Dans le même temps, Skoro a remercié les États-Unis pour leur soutien au peuple du Kosovo dans sa lutte contre les forces serbes. Il a déclaré qu’il n’a pas réfléchi un seul instant avant de collaborer: «Je voulais rendre la pareille à ce pays». Il a dit se considérer à l’époque comme un patriote américain d’abord et ensuite un musulman.

Toutefois, au moment de sa libération en 2007, Skoro a été détenu pendant des mois aux services de l’immigration et des douanes avant d’être expulsé vers le Kosovo. Cela faisait partie d’un plan délibéré de la CIA visant à l’envoyer par la suite dans certains pays pour espionnage, selon ses confidences au Times.

Dans un camp d’entraînement d’Al-Qaïda

Ces missions se sont d’ailleurs étendues de l’Afghanistan à la Syrie, à l’Irak, au Yémen et à travers les Balkans. Skoro a infiltré les camps d’Al-Qaïda au Pakistan dans le cadre de la traque d’Oussama Ben Laden et intercepté les complots terroristes de l’Etat islamique en Syrie. Tout cela avec la promesse qu’un jour il retrouverait sa femme Susan et leurs deux filles Medina et Dafina, toutes citoyennes américaines vivant à New York.

Skoro a suivi une formation auprès de la CIA qui lui a fourni cinq passeports différents et lui a attribué un modeste salaire mensuel. Il a déclaré que les agents des renseignements l’avaient mis en garde contre deux choses: ne dire à personne qu’il travaillait pour eux et ne tuer personne. Il admet avoir rapidement enfreint le premier avertissement en informant sa femme Susan.

Entre 2007 et 2010, il a passé du temps dans un camp d’entraînement d’Al-Qaïda près de la frontière pakistano-afghane avant de prêter allégeance au groupe islamiste et de gravir les échelons de ses rangs.

Ce qui a irrité la CIA à son sujet c’est qu’il n’est jamais entré en contact avec Ben Laden malgré les diverses promesses qu’il leur a faites qu’il allait le rencontrer.

Skoro a mentionné dans son entretien avec le Times qu’un soir alors qu’il se rendait dans une «maison sûre» appartenant à la CIA en Macédoine pour discuter des plans de son prochain voyage au Yémen pour rencontrer Anwar Al-Awlaki, l’un des les dirigeants d’Al-Qaïda, il a été pris dans une embuscade et a été blessé à la jambe.

«Ils m’ont promis beaucoup de choses mais ce n’étaient que des mensonges»

Il explique qu’au lieu de le transporter par voie aérienne vers les États-Unis pour sa sécurité, la CIA lui a demandé de traverser la frontière avec le Kosovo voisin après lui avoir remis une somme d’argent dans une enveloppe. Il a décidé à ce moment-là que c’en était assez. «Ils m’ont promis beaucoup de choses et qu’ils me libéreront pour aller aux États-Unis mais ce n’étaient que des mensonges», a-t-il dit. 

Skoro a pu se rendre au Canada où il a mené une vie normale et a gagné un revenu décent grâce à son travail de vendeur de voitures mais en octobre 2015, il s’est infiltré clandestinement aux États-Unis en se cachant dans un bateau de pêche.

Des agents du FBI et de la police de New York l’ont arrêté après avoir découvert qu’il se trouvait illégalement dans le pays et il a été libéré après avoir passé six mois de détention.

Aujourd’hui, Skoro travaille comme chauffeur de taxi à New York. Leçon de sa vie, il a dit au Times qu’il ne conseille à personne de travailler pour les services secrets américains.

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Tunisie : suspension des services administratifs et pédagogiques dans les écoles

Boubaker Essalmi, secrétaire général de la Fédération générale des surveillants et surveillants généraux, affiliée à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), a annoncé l’organisation, ce jeudi, d’une journée de protestation. Ce mouvement vise à dénoncer le retard de plus d’un an dans le versement de la prime de promotion pour l’année 2023.
Dans une déclaration accordée à une radio privée, Essalmi a précisé que le sit-in réunira les surveillants, les surveillants généraux, les agents administratifs et le personnel ouvrier.
La protestation se déroulera de 9h à 11h dans les établissements éducatifs, les délégations régionales et au siège du ministère de l’Éducation. Durant cette période, les services administratifs et l’encadrement pédagogique des élèves seront suspendus, bien que les établissements scolaires resteront ouverts.
Essalmi a souligné que cette mobilisation vise à faire pression sur les autorités pour qu’elles honorent leurs engagements, rappelant que la prime constitue un droit acquis.

La Presse

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Lissage brésilien : L’innovation sans acide glyoxylique en Tunisie, est-ce possible ?

Lissage brésilien : L’innovation sans acide glyoxylique en Tunisie, est-ce possible ?

L’utilisation de l’acide glyoxylique dans les produits de lissage brésilien suscite une inquiétude croissante en Tunisie, notamment en raison de la confusion qui existe entre cet ingrédient et le formaldéhyde, un composé chimique aux effets potentiellement nocifs pour la santé. Toutefois, des chercheurs et des acteurs du secteur cosmétique travaillent activement pour démontrer que cet ingrédient, lorsqu’il est utilisé de manière responsable, peut offrir des solutions sûres et innovantes, tout en remettant en question les idées reçues et malentendus qui entourent cette pratique.

Vers une nouvelle approche sans acide glyoxylique 

Depuis sa création il y a quatre ans, la startup « Brazilian Glow » a fait le choix de l’innovation pour garantir la sécurité des consommateurs. Dès ses débuts, elle a opté pour une technologie brevetée exemptée de l’acide glyoxylique et de formaldéhyde, un composant souvent jugé dangereux.

« Lorsque nous avons lancé notre projet, beaucoup doutaient de la possibilité de créer des produits de lissage sans formaldéhyde ni acide glyoxylique. Aujourd’hui, les résultats prouvent qu’il existe des alternatives viables et sûres », déclare le fondateur de la startup, Yassine Zerelli. La nouvelle technologie développée repose sur des molécules alternatives, permettant de démontrer l’efficacité du lissage sans recourir à des substances controversées.

Zerelli souligne également que l’incompréhension du sujet persiste, notamment l’insistance sur l’obligation d’utilisation du formaldéhyde ou de l’acide glyoxylique dans les préparations des produits de lissage. « En réalité, de nouvelles découvertes ont montré qu’il est possible de se passer de ces substances, en utilisant des molécules alternatives qui ouvrent la voie à des solutions innovantes dans un secteur en pleine expansion. La recherche et le développement dans notre domaine sont indispensables. Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux produits sûrs. Et c’est d’ailleurs, un témoigne de nos progrès constants », précise-t-il.

Il ajoute que la compréhension des risques liés à l’acide glyoxylique reste limitée en Tunisie, mais malheureusement, les malentendus subsistent. D’ailleurs, des recherches approfondies ont permis d’éclaircir la situation. « Notre objectif est de rassurer les consommateurs en leur montrant scientifiquement que la bonne utilisation et le bon dosage de cet ingrédient peut être sans danger », annonce Yassine Zerelli, tout en ajoutant que des études, validées à l’échelle internationale, ont été menées sur les différentes formes de l’acide glyoxylique (aqueuses, gazeuses…) afin de garantir la sécurité des formulations. Ces recherches ont été accompagnées de rapports scientifiques validés par des partenaires certifiés ISO.

Un cadre réglementaire à renforcer

Aujourd’hui, le souci majeur des consommateurs est le contrôle et la réglementation liés aux produits cosmétiques en Tunisie. Malgré les efforts de certaines entreprises, des lacunes subsistent encore, notamment en ce qui concerne le respect des normes de fabrication. « Dans notre secteur, certaines entreprises manquent de rigueur, ce qui nuit à la confiance des consommateurs », note Yassine Zerelli. Afin de garantir la qualité des produits, il est essentiel d’adopter les Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF) et de veiller à ce que les laboratoires soient régulièrement inspectés par les autorités compétentes.

Zerelli plaide également, pour une révision des lois et des règlements qui régissent la production et la distribution des produits cosmétiques en Tunisie. « Il est primordial de protéger les consommateurs et de garantir une bonne qualité de produits à travers des normes plus strictes », insiste-t-il.

L’éducation des consommateurs : une priorité

Bien que l’innovation dans le secteur des cosmétiques apporte des solutions efficaces, elle peut également présenter des risques si elle n’est pas encadrée correctement. Les produits de lissage peuvent parfois être utilisés de manière exagérée. Même si les consignes sont claires, et malgré les recommandations des producteurs (réaliser une application de ces produits de lissage une fois tous les six mois), une mauvaise utilisation et une fréquence rapprochée des applications peut entrainer de sérieux dangers comme par exemple des irritations cutanées et des dommages capillaires. De plus, le marketing sur les réseaux sociaux influence souvent les comportements des consommateurs, qui peuvent négliger les précautions d’usage.

Les entreprises ont la responsabilité non seulement de proposer des produits de qualité, mais aussi d’éduquer les consommateurs sur leur utilisation correcte. « La transparence est essentielle », rappelle Yassine Zerelli. L’entrepreneur veille à ce que son entreprise affiche les informations sur les ingrédients et les précautions d’utilisation sur les emballages de ses produits de manière claire et compréhensible.

Garder les startups tunisiennes à l’air du temps

Au-delà de son engagement dans le secteur cosmétique, « Brazilian Glow » incarne un modèle de startup tunisienne contribuant à la valorisation des compétences locales. La Tunisie dispose de chercheurs et d’ingénieurs capables de concevoir des produits innovants tout en restant compétitifs à l’international. Cependant, ces talents doivent être soutenus par un cadre législatif favorable à l’innovation. « Pour profiter de tout le potentiel des startups tunisiennes, il est crucial de simplifier les procédures administratives, de faciliter l’accès au financement et d’encourager les initiatives locales », accentue Zerelli.

Les initiatives locales, comme les incubateurs de startups et les programmes de mentorat, jouent un rôle clé pour soutenir les jeunes entrepreneurs. « Les startups tunisiennes ont un véritable potentiel pour répondre aux défis mondiaux tout en s’adaptant aux spécificités locales », précise-t-il.

Pour conclure, le fondateur de la startup signale que le secteur des cosmétiques en Tunisie connaît une évolution significative, bien qu’il soit confronté à des défis importants, notamment en matière de régulation et de perception des produits. 

La controverse autour de l’acide glyoxylique, bien qu’exagérée dans certains cas, met en lumière la nécessité d’une approche plus rigoureuse et transparente dans la production et la distribution de tous les produits cosmétiques tunisiens.

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Affaire des déchets italiens : non-lieu pour Mustapha Aroui et Chokri Belhassan

La Chambre pénale près la Cour d’appel de Tunis a prononcé un non-lieu en faveur des deux anciens ministres de l’Environnement, Mustapha Aroui et Chokri Belhassan, concernant l’affaire de l’importation des déchets italiens.

Par contre, la Chambre a condamné le propriétaire de la société importatrice à 20 ans de prison et un autre accusé à dix ans. Alors que deux autres personnes, dont un avocat, ont écopé de trois ans.

A noter que l’affaire a concerné plus de vingt accusés dont les deux ministres précités, des cadres de l’Agence de gestion des déchets, des cadres du ministère de l’Intérieur, un avocat et le propriétaire de la société importatrice.

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Des docteurs chercheurs au chômage chez Brahim Bouderbela

Le 20 novembre 2024, un groupe de docteurs chercheurs au chômage a organisé un rassemblement devant le siège de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Par la suite, des représentants des manifestants ont été reçus par le président de l’ARP, Brahim Bouderbala, dans le cadre de l’examen du budget du ministère de l’Enseignement supérieur pour l’année 2025.

Lors de cette rencontre, les manifestants ont exprimé leurs préoccupations et leurs attentes, qui portaient principalement sur la création d’un cadre législatif pour régulariser leur situation et faciliter leur intégration sur le marché du travail, notamment pour ceux de plus de 45 ans.

Ils ont, aussi, souligné la nécessité d’être intégrés à la fonction publique avec « une période d’essai et de formation ».

Les manifestants ont également appelé à une amélioration de la situation professionnelle des enseignants-chercheurs, pour renforcer leurs droits et de reconnaître leurs contributions scientifiques.

Brahim Bouderbala a exprimé sa compréhension des revendications des manifestants et s’est engagé à œuvrer pour la mise en place d’un cadre législatif qui valorisera l’apport scientifique de cette élite et répondra à leurs attentes professionnelles.

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La Palestine condamne le veto américain sur la résolution de cessez-le-feu à Gaza

La Palestine condamne le veto américain sur la résolution de cessez-le-feu à Gaza

La présidence palestinienne a vivement critiqué les États-Unis pour avoir opposé leur veto, mercredi, à une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU demandant un cessez-le-feu et la fin de l’agression israélienne dans la bande de Gaza. Dans un communiqué diffusé par l’agence officielle palestinienne WAFA, elle a dénoncé cette décision, la quatrième de ce […]

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Tunisie: Prévisions météorologiques pour aujourd’hui

Tunisie: Prévisions météorologiques pour aujourd’hui

L’Institut national de la météorologie prévoit une baisse des températures accompagnée de pluies éparses. Les températures oscilleront entre 18 et 23 degrés dans les régions du Nord et entre 22 et 25 degrés ailleurs. Le ciel sera partiellement nuageux, tandis que les vents souffleront fortement près des côtes et resteront faibles à modérés à l’intérieur […]

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Kasserine : Découverte d’un entrepôt illégal de fabrication de fusils

La garde nationale de Kasserine a découvert, lors d’une opération menée ce mercredi 20 novembre 2024, un entrepôt illégal de fabrication et de vente de fusils de chasse dans la région.

C’est ce qu’a fait savoir le porte-parole des tribunaux de Kasserine et procureur adjoint Imed Amri dans une déclaration à Mosaïque FM, en précisant que l’opération a été menée sur la base d’informations et d’investigations par la brigade de recherches de la garde nationale, ajoutant que le propriétaire de cet entrepôt a été arrêté.

Sur ordre du ministère public, il a été placé en détention alors que l’enquête se poursuit, a ajouté la même source.

Y. N.

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Gestion des affaires locales: Des municipalités aux abonnés absents !

L’action communale est une affaire sacro-sainte qui se gère au quotidien. Seulement, à chaque fois, nos communes se grattent la tête pour inventer des solutions stériles ou de bricolage… sans suite !

Pollution persistante, déchets jonchant la rue, mauvaise qualité de l’air, c’est, somme toute, l’image ternie d’un paysage écologique urbain aussi dégradé que désolant. Cet état des lieux tel que l’on constate de visu quotidiennement est une réalité tangible, perceptible à perte de vue. Comme si la cité n’avait plus de municipalité !

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 21 novembre 2024

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