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Tunisie : 2025, l’année du raccordement des zones blanches

Le ministère des Technologies de la Communication achèvera dans deux semaines le raccordement des écoles et lycées de toutes les régions du pays au réseau de fibre optique. Cette initiative permettra aux opérateurs de télécommunications de mieux connecter les zones rurales éloignées à Internet, a indiqué le ministre, Sofiene Hemissi, vendredi 14 novembre 2024.

Lors de ses réponses aux interventions des députés lors d’une séance plénière conjointe de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD), tenue au Bardo pour discuter du projet de mission des Technologies de la Communication, Hemissi a annoncé que 2025 serait l’année du raccordement des zones blanches au réseau à haut débit, afin de garantir à chaque citoyen tunisien l’accès à Internet.

En ce qui concerne la 5G, le ministre a précisé que l’analyse des offres des différents opérateurs de télécommunication serait bientôt terminée. « Nous nous concentrerons ensuite sur la mise en place des contrats avec les opérateurs », a-t-il ajouté, en précisant que la commercialisation de ce service débuterait au début de l’année 2025.

D’autre part, Hemissi a souligné que son département travaille actuellement sur la préparation d’un cahier des charges régissant l’activité des centres d’appels internationaux, en coordination avec les autorités compétentes.

Sur un autre plan, il a mis en avant le rôle clé joué par la Poste Tunisienne dans la fourniture de nombreux services aux citoyens. Le ministre a annoncé l’extension de son réseau, avec l’ouverture de nouveaux bureaux dans plusieurs gouvernorats et la mise en place de plus de 10 bureaux mobiles. Il a également révélé le lancement, en 2025, d’un concours pour recruter 294 nouveaux agents afin de pallier les carences en ressources humaines au sein de la Poste Tunisienne.

Avec TAP

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Pourquoi le navire « Amilcar » est resté bloqué au port de Livourne ?

Le ministère des Transports a précisé, vendredi 15 novembre 2024, que le navire « Amilcar », accosté le 13 novembre au port de Livourne, en Italie, reste actuellement stationné dans ce port. La raison de cette immobilisation temporaire est liée à des engagements commerciaux de la Compagnie Tunisienne de Navigation (CTN), qui attend le chargement d’une cargaison programmée.

Cette déclaration intervient après la circulation de rumeurs sur les réseaux sociaux, selon lesquelles la Garde côtière de Livourne aurait ordonné l’immobilisation du navire en raison de manquements à la réglementation internationale en matière de sécurité maritime. Le ministère des Transports a tenu à rectifier ces informations.

Contrôle des navires selon les normes internationales de sécurité maritime

Le ministère a précisé que le contrôle des navires dans le cadre de l’État du port suit des normes strictes issues des conventions internationales. Celles-ci portent sur la protection de l’environnement marin, la sauvegarde de la vie humaine en mer, et les conditions de travail des marins. La Tunisie est d’ailleurs membre de 13 conventions internationales régissant ces domaines.

Inspection du navire « Amilcar » selon le Mémorandum d’entente de Paris

Dans le cadre du Mémorandum d’entente de Paris (PMoU), qui régit le contrôle des navires par l’État du port depuis 1982, le navire « Amilcar » a été soumis à un contrôle en juillet 2024. Ce contrôle a permis de mettre en évidence certains manquements qui ont conduit à l’élaboration d’un plan d’actions correctives, avec un calendrier précis pour y remédier.

Contrôle final et autorisation de sortie du port de Livourne

Le ministère a souligné que, conformément au calendrier fixé, l’inspection finale a eu lieu le 13 novembre 2024, lors de l’arrivée du navire à Livourne. Les autorités italiennes ont effectué un contrôle minutieux pour s’assurer que toutes les défaillances identifiées avaient été corrigées. Après cette inspection, le navire « Amilcar » a été autorisé à quitter le port le 15 novembre 2024, après un contrôle final satisfaisant.

Avec TAP

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Tunisie – Tourisme : Plus de 1 milliard de dinars en crédits non remboursés

L’endettement des établissements touristiques tunisiens auprès des banques a franchi le seuil des 4,2 milliards de dinars à la fin du mois de septembre 2024, selon le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya.

Lors d’une plénière conjointe de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD), au Palais du Bardo, le ministre a précisé que les créances impayées et litigieuses atteignent actuellement plus de 1 milliard de dinars, d’après les données publiées par la Banque Centrale de Tunisie (BCT) concernant le tourisme.

Solutions proposées pour résoudre l’endettement du secteur touristique

En réponse aux préoccupations des députés, Sofiane Tekaya a expliqué que son ministère met en place plusieurs initiatives pour résoudre la problématique de l’endettement, dans le but de favoriser la réouverture des hôtels fermés. Il a révélé qu’un groupe de travail a été formé, sous la direction du ministère des Finances, regroupant des représentants des ministères du Tourisme, de la Justice, de l’Économie et de la BCT. Ce groupe aura pour mission de préparer un rapport sur l’endettement des établissements hôteliers, qui sera soumis à un conseil ministériel dans les semaines à venir.

Le ministre a également indiqué que des études sont en cours pour identifier des solutions permettant la restructuration financière des établissements touristiques et faciliter ainsi l’accès des investisseurs aux crédits.

Réaménagement des zones touristiques et nouvelles initiatives

Sofiane Tekaya a annoncé qu’une étude stratégique a été lancée pour le réaménagement des zones touristiques en Tunisie, afin de stimuler le développement du secteur. Des enquêtes administratives sont actuellement en cours dans certaines zones, suite à des dépassements ayant freiné la réalisation de plusieurs projets touristiques. C’est notamment le cas dans la zone touristique d’El Kantaoui et à Mahdia.

Tourisme : Renforcement du cadre juridique et développement de nouvelles zones

Dans le cadre de l’amélioration du secteur touristique, le ministre a également souligné l’importance de revoir les cadres juridiques régissant les gîtes ruraux et les maisons d’hôtes pour renforcer leur rôle dans le tourisme tunisien. En parallèle, il a annoncé le lancement d’un nouveau projet de zone touristique à Sidi Founkhal, sur l’île de Kerkennah, couvrant une superficie de 72 hectares, ainsi qu’une autre zone touristique à Zouaraa, dans la région de Béja, s’étendant sur 100 hectares.

Ces initiatives visent à relancer le secteur touristique tunisien, tout en résolvant les problèmes financiers des établissements et en optimisant les infrastructures touristiques du pays.

Avec TAP

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La CNUCED mène l’initiative climatique de Bakou à la COP29

L' »Initiative de Bakou pour le financement, l’investissement et le commerce climatiques » (BICFIT) a été lancée à l’occasion de la COP29 – la 29e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques, afin de combiner financement, investissement et commerce pour répondre de toute urgence au besoin d’agir en faveur du climat alors que la fenêtre d’action rétrécit.

L’initiative vise à renforcer et à coordonner la réponse aux défis climatiques, en favorisant le développement économique et une action climatique significative. Le financement climatique est l’épine dorsale de son efficacité, permettant de mobiliser les ressources là où elles sont le plus nécessaires, indique un communiqué de la CNUCED.

Et d’ajouter que l’initiative est menée par la présidence azerbaïdjanaise de la COP29, cofacilitée par la CNUCED et le PNUD, en collaboration avec d’autres agences des Nations unies et des partenaires mondiaux, tels que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et le Centre du commerce international (CCI).

« Le commerce, l’investissement et le financement doivent être réunis », a déclaré Rebeca Grynspan, secrétaire générale d’ONU commerce et développement, aux côtés de Mikayil Jabbarov, ministre de l’Économie de l’Azerbaïdjan, et d’Achim Steiner, administrateur du PNUD.

Cette disparité d’investissement constitue un obstacle sérieux à la transition verte, car des coûts d’emprunt élevés empêchent les pays à faible revenu d’accéder aux capitaux nécessaires pour réaliser des progrès significatifs en matière de climat.

Les pays en développement, bien qu’ils soient en première ligne face aux impacts climatiques, ne reçoivent qu’un financement minimal – seuls 1 à 2% des investissements étrangers directs dans les énergies renouvelables, par exemple, vont en Afrique. Cette disparité d’investissement constitue un obstacle sérieux à la transition verte, car des coûts d’emprunt élevés empêchent les pays à faible revenu d’accéder aux capitaux nécessaires pour réaliser des progrès significatifs en matière de climat.

« Nous devons disposer d’un cadre de politiques cohérent qui permettra à ces trois éléments très importants pour l’avenir de l’économie mondiale, le commerce, l’investissement et le financement, de se renforcer mutuellement et de permettre aux pays en développement de prospérer et de croître de manière appropriée », a déclaré Mme Grynspan.

Cohérence en matière d’action climatique

Le manque de cohérence crée des goulets d’étranglement et entrave les progrès, amplifiant et accélérant la transformation, alors que le monde s’efforce de freiner le changement climatique.

Malgré les appels à des initiatives durables, « nous avons des pratiques commerciales qui perpétuent des modèles non durables – par exemple, les technologies d’énergie propre sont soumises à des droits de douane qui sont en moyenne deux fois plus élevés que ceux des combustibles fossiles », a déclaré Mme Grynspan.

Il est essentiel de réformer le système financier international avec pour objectif de permettre aux investissements privés d’atteindre là où ils sont le plus nécessaires.

Les pays en développement sont en première ligne face à la crise climatique, mais à la traîne pour le soutien climatique. Le déficit annuel d’investissement durable dans le monde en développement est d’environ 4 000 milliards de dollars, contre 2 500 milliards il y a dix ans.

C’est pourquoi, par exemple, il est essentiel de réformer le système financier international avec pour objectif de permettre aux investissements privés d’atteindre là où ils sont le plus nécessaires. Les banques multilatérales de développement et le financement du développement doivent se développer, partager davantage de risques et attirer des fonds privés pour soutenir les pays en développement à long terme et à des coûts abordables.

Le soutien de la CNUCED aux pays en développement

À l’avenir, ONU commerce et développement aidera les pays à attirer des investissements étrangers directs dans le domaine du climat, à partager les connaissances et à renforcer les capacités en vue d’atteindre les objectifs nationaux en matière de climat et de développement durable.

Elle aidera les pays à développer des « zones économiques libres vertes » qui intègrent de manière transparente les principes du développement durable dans les zones économiques libres, tout en collaborant avec la communauté de l’investissement durable.

La CNUCED s’associera aux leaders de la finance durable pour s’assurer que ces fonds soutiennent réellement la transition verte, en orientant les ressources vers les secteurs et les régions qui en ont le plus besoin.

L’organisation s’efforcera également de rétablir la confiance dans la finance durable. La baisse récente des investissements dans les fonds durables met en lumière les préoccupations liées à l’écoblanchiment et à la transparence. La CNUCED s’associera aux leaders de la finance durable pour s’assurer que ces fonds soutiennent réellement la transition verte, en orientant les ressources vers les secteurs et les régions qui en ont le plus besoin.

L’organisation aidera également les pays à préparer la mise à jour de leurs plans d’action nationaux sur le climat afin de mieux intégrer une perspective de politique commerciale et d’investissement.

Elle continuera de plaider en faveur de réformes structurelles de l’architecture financière internationale afin que les principaux acteurs – tels que les banques multilatérales de développement – soient adaptés à leur mission et prêts à contribuer au financement du développement durable.

L’organisation aidera également les pays à préparer la mise à jour de leurs plans d’action nationaux sur le climat afin de mieux intégrer une perspective de politique commerciale et d’investissement.

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Comment obtenir le statut d’Opérateur économique agréé ?

La Direction générale des douanes a annoncé avoir traité plus de 1,8 million de déclarations douanières au cours des neuf premiers mois de cette année, selon Kais Ben Zaied, Chef de l’Unité des Opérateurs Économiques Agréés. Il s’est exprimé vendredi lors d’une journée d’information sur le statut d’Opérateur Économique Agréé (OEA), organisée à Sfax par la Confédération des Entreprises Citoyennes de Tunisie (CONECT), en partenariat avec la douane tunisienne.

Ben Zaied a précisé que 182 entreprises bénéficient actuellement du statut d’OEA, représentant plus de 10 % de la valeur des transactions commerciales et plus de 20 % des opérations douanières et des déclarations. Ce statut, accordé aux entreprises importatrices et exportatrices ayant une situation douanière, financière et fiscale saine, vise à faciliter leurs échanges commerciaux.

Avantages pour les entreprises

Les entreprises titulaires du statut d’OEA profitent de plusieurs avantages, notamment :

  • Levée immédiate des marchandises aux points frontaliers, sans inspection physique systématique ;
  • Possibilité de soumettre des déclarations simplifiées à l’exportation et des déclarations anticipées avant l’arrivée des marchandises ;
  • Exemption du pesage des marchandises dans les ports.

Ces mesures permettent de réduire les contraintes administratives et d’améliorer l’efficacité logistique, contribuant ainsi à alléger la charge pesant sur ces entreprises. « Notre objectif est d’améliorer la compétitivité et de créer un climat favorable à l’investissement », a affirmé Kais Ben Zaied.

Diffusion de la culture OEA

Aslan Ben Rejeb, président de la CONECT, a souligné l’importance de promouvoir le statut d’OEA dans les différentes régions du pays pour encourager davantage d’entreprises à postuler. « Ce statut repose sur la confiance, car il est destiné aux entreprises respectant leurs engagements envers les caisses sociales, les services fiscaux et la Banque centrale », a-t-il expliqué. En fluidifiant les procédures et transactions, le statut d’OEA constitue un levier pour renforcer l’activité économique des entreprises tunisiennes.

Avec TAP

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Le ministre des AE s’entretient au téléphone avec son homologue libyen

Le ministre tunisien des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a eu un entretien téléphonique vendredi 15 novembre 2024 avec le ministre libyen chargé des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Taher Salem Mohamed Baour.

Cet échange a permis aux deux ministres de réaffirmer la solidité des relations bilatérales et l’importance de la coopération fraternelle entre la Tunisie et la Libye.

Dans leur discussion, les deux responsables ont insisté sur la nécessité de renforcer les liens entre les deux nations, soulignant l’engagement commun à soutenir les relations dans divers domaines. Ils ont également évoqué l’importance de préparer les prochaines étapes bilatérales en s’appuyant sur les intérêts partagés des deux pays et des deux peuples frères.

Cette rencontre s’inscrit dans un contexte de coopération régionale renforcée, mettant en avant les efforts continus pour consolider les liens diplomatiques et économiques entre la Tunisie et la Libye.

Avec TAP

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Tourisme en Tunisie : Une hausse des recettes de 6%

À la fin du mois d’octobre 2024, les recettes touristiques en Tunisie ont presque atteint les 6,2 milliards de dinars, soutenues par l’arrivée de près de 8,6 millions de touristes, a annoncé Sofiane Tekaya, ministre du Tourisme et de l’Artisanat.

Le ministre a précisé que les recettes touristiques ont connu une augmentation de 6% par rapport à l’année précédente, tandis que le nombre de touristes a progressé de 8,6% par rapport à la même période en 2023. Cette déclaration a été faite lors d’une plénière conjointe entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD), vendredi dernier, consacrée à l’examen du budget du ministère du Tourisme.

Le nombre de nuitées passées dans les établissements hôteliers a atteint environ 24,4 millions à fin octobre 2024, marquant une hausse de 5% par rapport à l’année précédente.

En ce qui concerne les investissements dans le secteur touristique, les intentions d’investissement totalisent environ 789 millions de dinars. Sur ce montant, 146 millions de dinars ont déjà été investis, tandis que 169 millions de dinars sont actuellement en cours d’exécution.

Le ministère du Tourisme prévoit plusieurs initiatives pour moderniser et numériser le secteur. Cela inclut l’adoption de meilleures pratiques de gouvernance, la résolution des problèmes des projets bloqués, et la promotion d’un système de formation amélioré. De plus, de nouvelles destinations telles que l’Irak, le Bahreïn, la Russie et la Chine sont désormais ciblées pour diversifier davantage l’offre touristique.

Le secteur touristique contribue à hauteur de 9% au produit intérieur brut (PIB) de la Tunisie et génère près de 400 000 emplois, représentant environ 12% de la main-d’œuvre du pays.

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Ateliers pour un textile durable et compétitif

La Tunisia Investment Authority (TIA) a inauguré la première session des “Ateliers de l’investissement“ dédiée au secteur textile et habillement, organisée en partenariat avec le MFCPôle Monastir et la Fédération tunisienne du textile et de l’habillement (FTTH), jeudi 14 novembre 2024.

Cet atelier, qui a reçu la visite du gouverneur de Monastir, Aissa Moussa, a permis de réunir entreprises, investisseurs et acteurs publics pour discuter des leviers de croissance et de la compétitivité du secteur textile et habillement en Tunisie, souligne un communiqué de la TIA.

Cette journée d’échanges, tenue au Pôle de compétitivité de Monastir, a constitué une occasion pour explorer les opportunités d’investissement et capitaliser sur les atouts de la Tunisie, notamment la disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et d’un savoir-faire reconnu à l’échelle internationale.

L’atelier s’est articulé autour de deux panels interactifs, qui ont mis en lumière les synergies entre les acteurs publics et privés pour dynamiser le secteur ; les réformes stratégiques en cours pour renforcer l’attractivité du pays ; et les initiatives concrètes pour positionner la Tunisie sur des segments à forte valeur ajoutée.

Un accent particulier a été mis sur l’investissement durable et la conduite responsable des projets avec la création du Point de contact national pour la conduite responsable des entreprises sous l’égide du ministère de l’Économie et de la Planification.

L’atelier a également été marqué par un témoignage inspirant du groupe Oniverse (anciennement Calzedonia) qui, après s’être implanté en Tunisie en 2022, a annoncé un nouvel investissement dans une usine de 10 000 m², créant ainsi 500 emplois additionnels, explique la TIA.

À la clôture de l’atelier, des recommandations concrètes ont été formulées pour lever les obstacles à l’expansion du secteur et accélérer les investissements. Ces propositions serviront de feuille de route pour assurer une croissance durable et renforcer la compétitivité de la Tunisie sur le marché mondial du textile.

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Budget 2025 – Industrie : booster la compétitivité et garantir une transition énergétique à bas carbone

Le département de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines promet de booster la compétitivité et de promouvoir sa contribution au développement global. C’est ce qu’a indiqué  la ministre de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines, Fatma Thabet Chiboub, devant les parlementaires et les conseillers des régions, lors d’une plénière commune entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) lors de l’examen de son département.

Il est également résolu à garantir une exploitation optimale des ressources énergétiques et minières et, partant, à concrétiser l’objectif de transition vers un modèle énergétique à faible émission de carbone, a-t-elle encore ajouté.

Évoquant les indicateurs du secteur de l’industrie et des mines pour l’année 2024 ainsi que le programme d’action du département pour 2025, elle a affirmé que le secteur industriel constitue un levier essentiel de l’économie nationale et contribue à réduire le déficit commercial du pays à travers la promotion des exportations et la diversification des produits locaux et l’encouragement de sa compétitivité.

À cela s’ajoute sa capacité à générer des postes d’emploi durables, ce qui ne manquera pas de favoriser, selon ses dires, la stabilité sociale et économique et booster le climat d’investissement et la compétitivité des PME.

Chiffres à l’appui, la ministre a révélé que jusqu’au 13 novembre 2024, 142 entreprises qui emploient plus de 7 500 ouvriers ont bénéficié d’avantages dont le montant s’élève à 190 millions de dinars.

Renforcer la compétitivité

Elle a ajouté que ce programme vise à renforcer la compétitivité, à préserver le tissu industriel et à développer les services industriels.

Ce tissu compte actuellement 4 713 entreprises offrant plus de 530 000 emplois, dont 45% sont totalement exportatrices (2126), moyennant une capacité d’employabilité avoisinant 355 000 emplois.

Pour le volume des exportations des entreprises totalement exportatrices, il s’élève à 45 millions de dinars au titre de 2023.

Nouvelle nomenclature des entreprises

Revenant à la nouvelle nomenclature des entreprises, notamment au niveau de l’activité, la ministre a fait état de la montée en puissance des nouveaux créneaux à forte valeur ajoutée et à haut niveau technologique, tels que les industries des composants automobiles et aéronautiques et les centres de recherche et de développement.

Augmentation de 52% des IDE

Elle a par ailleurs indiqué que les investissements directs étrangers (IDE) dans le secteur des industries manufacturières ont augmenté de 52% au cours du premier semestre de 2024, par rapport à la même période de 2023, pour atteindre 792 millions de dinars, à la suite de la hausse des investissements notamment dans le secteur du textile, de l’habillement, du cuir et des chaussures.

92,4% de taux de couverture

Quant à l’évolution de la balance commerciale pour le secteur manufacturier, le taux de couverture a atteint 92,4% au cours des dix premiers mois de 2024, en raison de l’augmentation des exportations des produits alimentaires de 30%.

Défis énergétiques et déficit de la balance commerciale énergétique

Volet énergie, Thabet a cité au nombre des défis les plus importants auxquels fait face le département, la garantie de la sécurité énergétique, la diversification des sources d’énergie et l’élaboration d’une stratégie nationale et une feuille de route pour le secteur.

Elle a dans ce contexte noté que l’autonomie énergétique a enregistré une baisse de 41% à la fin du mois de septembre 2024 contre 49% au titre de la même période en 2023.

S’agissant du déficit de la balance commerciale énergétique, il a connu une augmentation de 35% en septembre 2024, atteignant 9 milliards de dinars contre 6 milliards pour la même période de 2023.

S’attardant sur les raisons de cette situation, la ministre a évoqué les défis majeurs auxquels est confronté le secteur, tels que le déclin de la production des champs pétroliers et l’absence de grands projets d’exploration permettant de reconstituer le stock national.

Elle estime que pour consolider le secteur et garantir sa pérennité, les activités de recherche et d’exploration se poursuivront jusqu’en 2025, tout en œuvrant à régler les dettes des entreprises locales et à parachever la révision du code des hydrocarbures.

Bonne gouvernance

La ministre a promis également de consacrer la bonne gouvernance, la transparence et le suivi de l’évolution du secteur, en plus de l’adoption d’une politique de promotion afin de favoriser l’attrait des investisseurs à l’exploration et à la production des hydrocarbures.

Plus de 2,5 milliards de dinars d’investissement dans le secteur de l’électricité

Quant au secteur de l’électricité, la ministre table sur un volume global d’investissements estimé à 2.500 millions de dinars en 2025, année qui devrait connaître l’élaboration du Code des énergies renouvelables et la mise en place de l’Instance de régulation du secteur de l’électricité.

En ce qui concerne le secteur minier, la ministre a indiqué que ce secteur a accusé une baisse au cours de la décennie précédente au double plan productivité et efficacité économique, étant donné que le volume de production a baissé à moins de 50% par rapport à 2011.

Quid de la CPG ?

Évoquant les actions à venir visant à rétablir le secteur des phosphates, la ministre a révélé l’élaboration d’un programme d’investissement pour la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG), ainsi que la préparation d’un programme de travail pour la période 2025-2030.

Un programme qui, a-t-elle dit, vise essentiellement à augmenter la capacité de production des laveries, la reprise des travaux sur tous les sites de production et l’achèvement de la révision du code minier.

Le ministère, a-t-elle ajouté, prévoit aussi d’introduire une nouvelle dynamique dans la production de phosphate dans le Nord-Ouest, où des permis de recherche seront accordés à des investisseurs privés tunisiens et à une société étrangère (australienne).

En ce qui concerne les engrais, la ministre a souligné la volonté de l’autorité de tutelle d’assurer l’approvisionnement en engrais chimiques durant la saison 2024-2025, ajoutant qu’en septembre 2024, un accord a été signé dans la perspective d’achever le projet de l’usine de triple superphosphate « Mdhila 2 » resté longtemps bloqué et qui devrait fournir 400 000 tonnes de phosphate par an.

Avec TAP

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Énergie renouvelable : numérisation des services du Fonds de transition énergétique

Les activités et services du Fonds de transition énergétiques (FTE) sont désormais numérisés. C’est ce qu’annonce l’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME), précisant que cette action visant à simplifier les procédures administratives est en vigueur depuis le 11 novembre 2024.

La mesure vise également à améliorer la qualité de ses services et à rendre plus efficace le traitement des différentes demandes émises par les institutions et les entreprises actives dans le domaine des énergies renouvelables, a ajouté l’agence dans un communiqué.

À travers cette procédure, l’ANME projette de délivrer des certificats relatifs à l’accréditation des entreprises dans le domaine de l’installation de centrales solaires photovoltaïques pour la production d’électricité raccordée au réseau et hors réseau, l’accréditation des centres de formation pour les centrales solaires photovoltaïques, l’accréditation des prestataires techniques dans le domaine de l’énergie photovoltaïque (bureau d’études/ingénieur conseil) en plus des certificats de conformité technique des panneaux photovoltaïques et des avantages fiscaux pour les équipements photovoltaïques.

Tous les organismes et entreprises concernés sont ainsi appelés à accéder à la plateforme numérique via le site web www.fte.nat.tn pour télécharger les différents documents soumis aux exigences susmentionnées, indique la même source.

Les entreprises et organismes disposant d’une accréditation valide recevront, quant à eux, un mot de passe et un compte de connexion à la plateforme numérique via leur adresse e-mail.

Pour les entreprises souhaitant obtenir une nouvelle accréditation (même si elles ont déposé un dossier de demande auprès du bureau central de contrôle de l’agence avant l’émission de cette communication) ou les fournisseurs de panneaux photovoltaïques n’intervenant pas dans l’installation de centrales solaires photovoltaïques et souhaitant obtenir des certificats de conformité technique, sont tenus de s’inscrire sur la plateforme pour obtenir leurs identifiants de connexion.

Avec TAP

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Des mesures pour développer le secteur de la biologie médicale en Tunisie

Plusieurs décisions visant à développer le secteur de la biologie médicale, notamment au niveau de la première ligne et à promouvoir l’intégration des technologies et de l’intelligence artificielle dans les laboratoires, tout en respectant l’éthique de la profession médicale, ont été prises jeudi 14 novembre 2024, lors d’une séance de travail tenue au ministère de la Santé.

Selon un communiqué du département publié à l’issue de cette réunion, il a été décidé de recourir essentiellement aux services des laboratoires médicaux locaux afin de réduire l’envoi des échantillons à l’étranger. Et ce, dans le cadre de la réalisation de la sécurité sanitaire nationale.

Il a été également convenu de développer des programmes de formation continue dans les différents domaines de la biologie médicale et d’uniformiser le parcours de formation en biologie médicale entre les facultés de médecine et de pharmacie pour assurer une cohérence des programmes.

Promouvoir la recherche scientifique dans les domaines de la biologie médicale

En outre, l’accent a été mis sur la nécessité de promouvoir la recherche scientifique dans les domaines de la biologie médicale pour atteindre des niveaux plus élevés d’innovation.

Il s’agit aussi :

  • de renforcer la coordination entre la biologie humaine et animale dans le cadre de l’approche « Une seule santé »;
  • d’accélérer la mise à jour des législations relatives aux laboratoires médicaux pour suivre les avancées scientifiques;
  • ainsi que de renforcer les laboratoires médicaux publics avec des équipements modernes, des technologies avancées et du personnels qualifié, afin d’assurer des services médicaux de haute qualité, conformes aux normes internationales et accessibles aux citoyens.

Coordination

Par ailleurs, il est nécessaire de renforcer la coordination entre toutes les parties concernées pour réformer et développer le secteur de la santé publique et promouvoir le positionnement régional de la Tunisie dans le domaine de la biologie médicale.

La séance de travail, à laquelle ont pris part le directeur général de la santé, la directrice de l’unité des laboratoires, la doyenne de la Faculté de Pharmacie de Monastir, ainsi que des représentants des instances professionnelles et des administrations concernées, visait à élaborer une vision globale pour développer le secteur de la biologie médicale.

Avec TAP

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Budget 2025 : près de 6 MDT de diminution du budget du ministère du Tourisme

Le budget alloué à la mission du Tourisme et de l’Artisanat pour l’année 2025 enregistre une baisse de 5,844 millions de dinars (MDT) par rapport à l’exercice de 2024, selon le ministre du Tourisme, Sofien Tekaya.

Intervenant lors d’une plénière commune entre l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD), tenue vendredi 15 novembre au Palais du Bardo, pour l’examen du projet de la mission du Tourisme et de l’Artisanat, M. Tekaya a expliqué que cette baisse est due à la régression de l’enveloppe consacrée aux dépenses liées aux interventions du programme du tourisme et de l’artisanat et du recul du nombre des agents relevant de ce ministère et des établissements sous sa tutelle (1681 contre 1707 auparavant).

Avec TAP

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Progression de 1,8 % du taux de croissance du PIB durant le 3éme trimestre 2024

Le taux de croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) en volume, corrigé des variations saisonnières, a enregistré une croissance de 1,8 % sur un an, au cours du troisième trimestre de l’année 2024, en Tunisie. C’est c qu’il ressort des estimations issues des comptes nationaux trimestriels publiées vendredi 15 novembre 2024 par l’Institut national de la statistique (INS).

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Maintien de la certification MSI 20000 en faveur de GCER

COFICERT annonce le maintien de la certification de la société GCER à la norme internationale MSI 20000 dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions.

Après avoir obtenu son premier certificat MSI 20000 en 2021 dans le cadre d’un programme de valorisation du portefeuille de la CDC, l’entreprise GCER, fleuron stratégique des participations du fonds CDC, confirme sa conformité continue au standard international de qualité financière. Cette certification s’inscrit dans la vision de la CDC d’améliorer et de consolider les bonnes pratiques en matière de gouvernance financière des structures qu’elle finance.

Mohamed BOUASSIDA, président-directeur général et fondateur de GCER, leader régional dans les équipements d’infrastructure en matériaux composites et thermoplastiques, a reçu le certificat de conformité de la part d’une délégation officielle de COFICERT France, conduite par Anne Guerbé, vice-présidente de l’organisme, accompagnée par Cristian Mocanu et Souheil Skander.

Diffusée et régulée par l’IGSF, la norme MSI 20000 renseigne sur la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions. L’approche d’évaluation repose sur deux axes : la mesure de la solidité financière d’une part et celle de la performance financière d’autre part.

Le certificat MSI 20000 se présente comme un indicateur de référence pour les opérateurs économiques et financiers en quête de repères fiables et indépendants en matière de solvabilité, de rentabilité et de résilience.

La certification MSI 20000 vient appuyer le développement des activités de GCER à l’international et conforter sa position d’acteur de référence sur son secteur et auprès de son écosystème. A savoir : une initiative venant consolider les efforts engagés par GCER pour se maintenir au niveau des standards internationaux dans le cadre de ses activités d’exportation soutenues. Ces efforts s’inscrivent dans le prolongement de son projet de certification global, incluant les normes ISO 9001, ISO 14001, ISO 45001 et NSF/ANSI61.

Avec communiqué

 

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A propos de GCER 

Créée en 2001, GCER, pour Génie du Composite Etude et Réalisation, est une société offrant des solutions allant de l’ingénierie au support technique, fabricant des systèmes de tuyauterie et autres équipements chaudronnés en composite et en thermoplastique. Ses solutions sont principalement destinées à l’export, en particulier vers l’Europe, l’Amérique ou la région MENA.

A propos de la Norme MSI 20000

MSI 20000 est la norme internationale dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises. Le processus de certification MSI 20000 analyse les données relatives à la situation financière d’une entreprise. Les cahiers des charges de la norme MSI 20000 s’articulent autour de deux axes d’évaluation : la solidité et la performance financière; deux composantes au cœur de la rentabilité, la solvabilité et la pérennité des entreprises. La norme est régie à l’échelle internationale par l’IGSF (International Group for Sustainable Finance).

A propos d’IGSF

L’IGSF est une ONG à but non lucratif, basée au Luxembourg, dont les activités ont pour objectif de canaliser et d’organiser les efforts internationaux en matière de normalisation financière et extra-financière.

L’IGSF, en tant qu’entité de normalisation, œuvre principalement sur deux volets : d’une part, l’organisation technique des normes en matière de gouvernance financière et extra-financière et, d’autre part, la diffusion des normes et des bonnes pratiques en général. Les thématiques couvertes au sein de l’IGSF traitent notamment des enjeux en matière de gouvernance financière, de lutte contre la criminalité financière ou encore de responsabilité sociétale des entreprises ou organisations de tout type.

A propos de COFICERT

COFICERT est un organisme de certification français, spécialisé dans les certifications financières et extra-financières, intervenant dans plus de 40 pays. COFICERT opère historiquement avec, et aux côtés, des organismes de certification et de normalisation internationaux.

L’organisme rassemble des experts qualifiés en matière de gouvernance, de lutte contre la criminalité financière et de finance durable. L’activité de COFICERT couvre les thématiques suivantes : la solidité et la performance financière (MSI 20000), la responsabilité sociétale des entreprises (ESG 1000), la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (AML 30000), la gouvernance des organisations (ISO 37000) et la lutte contre la corruption (ISO 37001). 

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Best Tourism Villages 2024 : les 55 qui façonnent l’avenir des voyages durables!

De Caviahue-Copahue en Argentine au village maraîcher de Tra Que au Viet Nam, découvrez les 55 nouveaux villages touristiques distingués par ONU Tourisme.

Avec l’annonce par ONU Tourisme de ses ‘Best Tourism Villages’ 2024, les destinations rurales confirment leur rôle en tant qu’acteurs clés du tourisme durable et du développement communautaire.

En cette quatrième édition, 55 villages de toutes les régions ont été récompensés, parmi plus de 260 candidatures provenant de plus de 60 États membres d’ONU Tourisme. Vingt autres villages ont été choisis pour participer au programme de mise à niveau.

« Le tourisme est un outil essentiel d’inclusion, qui permet aux communautés rurales de préserver et de valoriser leur riche patrimoine culturel tout en stimulant le développement durable ». C’est ce qu’a déclaré Zurab Pololikashvili, secrétaire général de l’Organisation des Nations unies pour le tourisme (ONU Tourisme). « L’initiative des Best Tourism Villages met non seulement à l’honneur les réalisations remarquables de ces villages, mais aussi le pouvoir transformateur du tourisme. En tirant parti de leurs atouts uniques, ces communautés peuvent favoriser la croissance économique, promouvoir les traditions locales et améliorer la qualité de vie de leurs habitants. Nous célébrons les villages qui ont fait du tourisme une voie vers l’autonomisation et le bien-être de leur communauté, démontrant ainsi que les pratiques durables peuvent mener vers un avenir meilleur pour tous ».

254 villages

Mise en place en 2021, l’initiative « Best Tourism Villages by UN Tourism » vise à promouvoir le rôle du tourisme dans les zones rurales, en préservant les paysages, la diversité culturelle, les valeurs locales et les traditions gastronomiques. Quant au réseau des ‘Best Tourism Villages’, il s’agrandit chaque année. Avec l’annonce de ses 75 nouveaux membres, ce sont désormais 254 villages qui composent la plus grande communauté de destinations rurales au monde.

Malheureusement aucun village tunisien n’en fait partie, au grand dam des promoteurs du développement durable en Tunisie.

Unir les destinations rurales pour un développement durable

L’initiative des Best Tourism Villages fait partie du Programme des Nations Unies pour le tourisme et le développement rural, qui vise à favoriser le développement et l’inclusion dans les zones rurales, à lutter contre le dépeuplement, à promouvoir l’innovation et l’intégration de la chaîne de valeur par le biais du tourisme et à encourager les pratiques durables.

Comme dans les éditions précédentes, les villages ont été évalués en fonction de neuf critères principaux, à savoir :

  1. Ressources culturelles et naturelles;
  2. Promotion et conservation des ressources culturelles;
  3. Durabilité économique;
  4. Durabilité sociale;
  5. Durabilité environnementale;
  6. Développement du tourisme et intégration de la chaîne de valeur;
  7. Gouvernance et priorité accordée au tourisme;
  8. Infrastructure et connectivité;
  9. Santé, sûreté et sécurité.

L’initiative repose sur trois volets :

« Best Tourism Villages by UN Tourism » : distinction remise à des destinations de tourisme rural remarquables possédant des atouts culturels et naturels, qui assurent la sauvegarde et la promotion des valeurs, produits et styles de vie ruraux et communautaires et qui sont clairement attachées à l’innovation et à la durabilité dans les domaines économique, social et environnemental.

Le programme de mise à niveau ‘Best Tourism Villages by UN Tourism’ : il s’adresse aux villages candidats n’ayant pas totalement rempli les critères pour obtenir la distinction, afin qu’ils puissent remédier aux lacunes identifiées pendant le processus d’évaluation.

Le réseau des ‘Best Tourism Villages’ : il offre un espace pour l’échange de données d’expérience, de bonnes pratiques et d’opportunités entre ses membres et profite des contributions d’experts et de partenaires publics et privés désireux de promouvoir un tourisme au service du développement rural.

D’après ONU Tourisme

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QNB organise la seconde édition de sa campagne de don du sang

QNB Tunisia a organisé la deuxième édition de sa campagne de don du sang pour ses employés. Et ce, en collaboration avec le Centre national de transfusion sanguine. Objectif : les sensibiliser à l’importance et aux avantages de ce don.

Cette édition a été relancée suite au succès de la première édition qui a attiré un grand nombre de donateurs. L’initiative vise à soutenir le secteur de la santé, à consolider la culture du volontariat et à promouvoir les valeurs humaines chez QNB Tunisia.

QNB - don du sangLa campagne a été appréciée par les collaborateurs de la banque qui ont contribué à enrichir le stock de la banque de sang, en collaboration avec le Centre national de transfusion sanguine.

A noter que QNB Tunisia est présente dans 11 gouvernorats du pays à travers 29 agences, dont deux destinées aux “clients First“ à Tunis et à Sousse, trois centres d’affaires pour les entreprises à Tunis et Hammam-Sousse et deux bureaux de change à l’aéroport Tunis-Carthage et à l’aéroport de Djerba.

D’après communiqué

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Black Friday en couleurs : une offre exceptionnelle sur la Yaris Cross Hybrid

Du 15 au 30 novembre, ne manquez pas l’occasion de profiter d’une offre exclusive sur la Yaris Cross Hybrid, l’un des modèles les plus prisés de la gamme Toyota!

À l’occasion du Black Friday, BSB Toyota lance une action ponctuelle pour booster les ventes de la Yaris Cross Hybrid, avec une offre alléchante qui saura séduire les passionnés de conduite hybride et ceux à la recherche d’un véhicule élégant et performant.

Des couleurs vibrantes pour un modèle dynamique

La Yaris Cross Hybrid se distingue par son design moderne et son efficacité énergétique. Disponible dans trois combinaisons de couleurs saisissantes : Gold/Noir, Orange/Noir et Rouge/Noir, ce SUV hybride associe élégance et technologie pour offrir une expérience de conduite unique. Que vous soyez attiré par des teintes chaudes ou des couleurs plus audacieuses, la Yaris Cross Hybrid s’adapte à tous les goûts et personnalités.

Une offre flash pour dynamiser vos achats

Le principe de cette offre Flash Black Friday est simple mais avantageux : pour toute commande effectuée entre le 15 et le 30 novembre, chaque client bénéficie d’une remise de 2000 TND sur le prix d’achat du véhicule, mais ce n’est pas tout! En plus de cette remise, un bonus carburant d’une valeur de 2000 TND est offert. Vous pourrez ainsi profiter de cette prime pour vos trajets quotidiens ou vos escapades au volant de votre nouveau SUV hybride.

Attention, cette offre est limitée à 20 unités seulement, alors ne perdez pas de temps!

Un SUV hybride, performant et économique

La Yaris Cross Hybrid n’est pas seulement une voiture au design soigné, elle offre aussi une conduite fluide et économique grâce à sa technologie hybride de pointe. Que ce soit en ville ou sur route, son moteur hybride combine puissance et faible consommation de carburant, offrant ainsi à ses conducteurs une alternative écologique sans compromis sur le confort et les performances.

Avec ses équipements de sécurité dernier cri, son habitacle spacieux et son comportement routier agile, la Yaris Cross Hybrid est le choix idéal pour ceux qui souhaitent allier style, performance et respect de l’environnement.

Rendez-vous dès maintenant chez votre concessionnaire Toyota

N’attendez plus pour bénéficier de cette offre exceptionnelle et prendre le volant de la Yaris Cross Hybrid. Rendez-vous dans l’une des concessions Toyota la plus proche de chez vous avant le 30 novembre pour saisir cette opportunité limitée.

« Black Friday en Couleurs », une occasion unique pour faire le plein d’économies, tout en adoptant un véhicule hybride innovant!

D’après communiqué

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Energie renouvelable: Les services du Fonds de Transition énergétique désormais numérisés

Les activités et services du Fonds de Transition énergétiques (FTE) sont désormais numérisés a annoncé, jeudi, l’Agence nationale de maîtrise de l’énergie, précisant que cette action visant à simplifier les procédures administratives est en vigueur depuis le 11 novembre 2024. Cette mesure vise également à améliorer la qualité de ses services et à rendre plus efficace le traitement des différentes demandes émises par les institutions et les entreprises actives dans le domaine des énergies renouvelables, a ajouté l’agence dans un communiqué.

A travers cette procédure, l’ANME projette de délivrer des certificats relatifs à l’accréditation des entreprises dans le domaine de l’installation de centrales solaires photovoltaïques pour la production d’électricité raccordée au réseau et hors réseau, l’accréditation des centres de formation pour les centrales solaires photovoltaïques, l’accréditation des prestataires techniques dans le domaine de l’énergie photovoltaïque (bureau d’étude/ingénieur conseil) en plus des certificats de conformité technique des panneaux photovoltaïques et des avantages fiscaux pour les équipements photovoltaïques.

Toutes les entreprises et organismes concernés sont ainsi appelés à accéder à la plateforme numérique via le site web www.fte.nat.tn pour télécharger les différents documents soumis aux exigences susmentionnées, indique la même source.

Les entreprises et organismes disposant d’une accréditation valide recevront, quant à eux, un mot de passe et un compte de connexion à la plateforme numérique via leur adresse e-mail.

Pour les entreprises souhaitant obtenir une nouvelle accréditation (même si elles ont déposé un dossier de demande auprès du bureau central de contrôle de l’agence avant l’émission de cette communication) ou les fournisseurs de panneaux photovoltaïques n’intervenant pas dans l’installation de centrales solaires photovoltaïques et souhaitant obtenir des certificats de conformité technique, sont tenus de s’inscrire sur la plateforme pour obtenir leurs identifiants de connexion.

Avec TAP

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Météo : à quoi s’attendre pour ce 15 novembre 2024?

L’Institut national de météorologie prévoit, pour ce vendredi 15 novembre 2024, un temps nuageux sur l’ensemble du territoire.

Les températures maximales oscilleront entre 20 et 25 degrés au nord et au centre. Elles monteront à 18 degrés sur les hauteurs de l’ouest et seront comprises entre 25 et 28 degrés sur le sud.

La mer sera relativement agitée.

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