Les forces de sécurité de Kasserine ont récemment réussi, grâce à des renseignements, à interpeller plusieurs trafiquants de drogue notoires dans la région.
A Feriena, un dealer a été arrêté en possession de 230 comprimés psychotropes et d’une somme d’argent provenant de son activité illégale.
A Sbeïtla, la police a appréhendé un individu recherché par 16 mandats d’arrêt, principalement pour trafic de drogue et pour sa participation à des émeutes à la Cité Essourour.
Enfin, un trafiquant de cannabis a été appréhendé dans la délégation frontalière de Foussana.
Un étranger a été arrêté, en possession de cocaïne et de cannabis à l’aéroport international de Djerba-Zarzis et son complice tunisien a été interpellé chez lui à Ajim, où la police a saisi des devises, des voitures de luxe, un yacht et une ambulance…
Le voyageur a été interpellé par les unités sécuritaires de l’aéroport de Djerba en coordination avec les autorités douanières, indique la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué publié jeudi 14 novembre 2024, en précisant que ce dernier était en possession d’une quantité de cocaïne et de 16 plaquettes de cannabis.
Cette arrestation a permis celle d’un Tunisien habitant dans la région d’Ajim, où une descente a été effectuée en coordination avec le Parquet et où la police judiciaire a saisi une somme en dinars tunisiens, des devises étrangères, des bijoux, des voitures de luxe, un yacht et une ambulance…
Les deux suspects ont été placés en détention et l’enquête se poursuit afin de mettre la main sur les autres membres de ce réseau international de trafic de drogue, précise encore la DGSN.
Les forces de sécurité de Kasserine ont réussi, grâce à des opérations de renseignement, à arrêter plusieurs trafiquants de drogue notoires. Dans la délégation frontalière de Foussana, l’un d’eux, « spécialisé » en cannabis, a été appréhendé en début de semaine, en coordination avec les unités de sécurité locales, alors qu’il était en possession ďune importante quantité […]
Les services des douanes à l’aéroport de Djerba-Zarzis ont intercepté une tentative de trafic de drogue en provenance de l’étranger, a annoncé la direction générale des douanes dans un communiqué.
Lors d’une opération menée en coordination avec la police des frontières, les douaniers ont découvert 1,7 kilogramme de drogues dissimulées dans les bagages d’un voyageur. Après une fouille minutieuse, quatre plaquettes suspectées de contenir du cannabis ont été retrouvées cachées dans deux boîtes de chocolat.
Une inspection corporelle a ensuite permis de découvrir 13 autres plaquettes de cannabis présumé, ainsi qu’une plaquette d’une substance blanche soupçonnée être de la cocaïne.
Un procès-verbal de saisie a été dressé, et le ministère public, consulté sur la suite des procédures, a ordonné le transfert du dossier aux services de sécurité spécialisés pour approfondir les investigations.
Les unités de la garde nationale de Thala, dans le gouvernorat de Kasserine, ont réussi à démanteler un réseau de trafic de drogue actif dans la région. Le 9 novembre, suite à des investigations menées après avoir reçu des informations sur des individus suspectés de diffuser des drogues au sein des jeunes, les forces de l’ordre ont interpellé deux personnes impliquées dans le réseau.
Lors de cette opération, 43 briques de cannabis, pesant au total plus de 4 kg, ont été saisies. En concertation avec le procureur de la République, des mesures légales ont été prises à l’encontre des suspects.
La direction générale de la garde nationale a appelé la population à participer activement à la lutte contre le trafic de drogues en signalant toute activité suspecte via le numéro de téléphone dédié : 71860135, afin de contribuer à la sécurité publique et à la protection des jeunes générations.
La Chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis a condamné à vingt ans de prison, assortis amendes, un couple et deux complices, pour son implication dans un réseau international de trafic de drogue. Les procès-verbaux de l’enquête indiquent que les agents de la brigade anti-stupéfiants du Kram ont réussi, en janvier dernier, à […]
Le tribunal de première instance de Tunis a condamné un couple à vingt ans de prison, assortis d’amendes, pour leur implication dans un réseau international de trafic de drogue. Selon les rapports d’enquête, les agents de l’administration subordonnée à la lutte contre les stupéfiants ont démantelé, en janvier dernier, une organisation spécialisée dans le trafic […]
Les unités relevant de la direction de la lutte antidrogue de la police judiciaire ont réussi, vendredi 8 novembre 2024, à démanteler un réseau spécialisé dans le trafic de drogue à Ariana, arrêtant deux de ses membres. En coordination avec le parquet, les forces de l’ordre ont perquisitionné un local commercial à Mnihla, où elles […]
Le ministre de l’Intérieur libyen, Imed Trabelsi, a abordé la question de la moralité publique lors d’une conférence de presse, soulignant l’importance de maintenir des valeurs éthiques et de respecter les coutumes.
Le ministre a évoqué les tenues des femmes, précisant qu’elles devraient être « respectables ». Il a également félicité une école qui a imposé le port du hijab à ses élèves et a appelé le ministère de l’Éducation à encourager cette initiative. Toutefois, contrairement à ce que certains relayent sur des pages Facebook, il n’a pas évoqué l’idée d’une loi imposant le port du hijab.
Imed Trabelsi a déclaré que les cafés mixtes sont contraires aux valeurs du Coran et de la sunnah.
Il a, en outre, abordé la question de l’interdiction des coiffures jugées « fantaisistes » ainsi que des tenues vestimentaires des jeunes, qu’il considère comme décalées par rapport aux coutumes libyennes et islamiques.
Il a également mis en garde contre les voyages des femmes sans accompagnateur masculin (mahram). Une police féminine chargée de surveiller les comportements jugés « contraires aux bonnes mœurs » chez les femmes a été créée.
Le ministre de l’Intérieur a aussi souligné l’importance de lutter contre la drogue lors de cette conférence qui a créé un débat.
Le président Saïed n’a de cesse de déplorer les dysfonctionnements de l’administration publique, la lenteur des services dispensés aux citoyens et le manque de zèle de certains agents de l’Etat. Il l’a fait encore une fois hier, lundi 28 octobre 2024, en recevant au Palais de Carthage, trois membres du gouvernement.
En s’entretenant avec le chef du gouvernement, Kamel Maddouri, le président de la républiquea souligné l’importance de choisir les fonctionnaires non seulement pour leur compétence, mais également pour leur engagement dans un projet constructif répondant à la volonté des Tunisiens.
Kaïs Saïed a aussi noté que plusieurs services publics ne fonctionnaient pas comme ils devraient l’être et que certains responsables qui en ont la charge n’ont toujours pas compris le moment historique que vit le pays, par allusion au processus politique qu’il a engagé par la proclamation de l’état d’exception, le 25 juillet 2021 et la mise en place d’un nouveau système politique hyper-présidentiel où tout émane du Palais de Carthage et y revient.
«Tout responsable qui n’est pas à la hauteur de sa responsabilité sera jugé et remplacé», a-t-il menacé une nouvelle fois, laissant ainsi entendre que l’administration publique contient des éléments réfractaires, récalcitrants ou qui ne s’alignent pas avec le zèle et l’enthousiasme requis derrière le «projet saïedien».
En recevant la ministre de la Justice, Leila Jaffel, Saïed a également souligné le rôle important du pouvoir judiciaire dans la mise en œuvre de son projet, ajoutant que le processus actuel en Tunisie sanctionnera «tous ceux qui causent du tort au peuple tunisien».
Selon un communiqué de la présidence, le chef de l’Etat a indiqué qu’un système judiciaire équitable est l’un des piliers les plus importants de l’État, réaffirmant la nécessité de trancher les nombreuses affaires dans des délais raisonnables.
«Les procédures existent pour garantir un procès équitable et non pour que de nombreux dossiers restent intouchés pendant de longues années», a souligné Saïed, qui trouve le temps judiciaire trop long et espère les procès tranchés dans des délais plus courts.
Saïed a, également reçu, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Intérieur chargé de la Sécurité nationale, Sofien Bessadok, qu’il a appelé à intensifier le travail des services dont il a la charge«24 heures sur 24, pour démanteler les réseaux de trafic de drogue et déployer des patrouilles dans toutes les régions du pays afin que les citoyens se sentent en sécurité à tout moment et en tout lieu.»
Quelque 700 individus recherchés pour trafic de drogue ont été arrêtés depuis le 15 septembre et jusqu’à aujourd’hui, dont 117 à proximité ou aux alentours des institutions éducatives.
C’est ce qu’a déclaré Imed Mamacha, porte-parole de la direction générale de la sûreté nationale, à Mosaïque FM, en marge d’une journée d’étude sur la lutte contre la violence dans les espaces scolaires, vendredi 25 octobre 2024, ajoutant qu’au cours des neuf derniers mois, 1 tonne de cannabis et 540 000 comprimés stupéfiants ont été saisis au niveau national.
Concernant les braquages, Imed Mamacha a indiqué que ce fléau est en recul. Ainsi, depuis le début de ce mois d’octobre, on a enregistré 114 tentatives, dont les unités sécuritaires ont réussi a faire échec à 90 d’entre elles et à arrêter les auteurs.
Rappelons qu’en 2023, 680 kilos de stupéfiants divers ont été saisis, ainsi que 905 000 comprimés de psychotropes, en plus d’environ 188 kilos de cannabis.
Rappelons aussi qu’une opération d’envergure, qualifiée d’«exceptionnelle» par les forces de sécurité, a été menée à l’aube d’hier, jeudi 24 octobre, dans le Grand Tunis, a permis l’arrestation de 205 trafiquants, la saisie de quantités de comprimés de psychotropes, d’importantes sommes d’argent et des quantités d’armes blanches.