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COP29 : L’OMS appelle à intégrer la santé dans la lutte contre le changement climatique

Dans le contexte de la publication du rapport spécial de la COP29 sur le climat et la santé ainsi que des Orientations techniques sur les contributions saines déterminées au niveau national (COP29 spécial report on climate and health and a technical guidance on Healthy Nationally Determined Contributions), l’OMS exhorte les dirigeants mondiaux qui seront présents à la COP29 à abandonner l’approche cloisonnée employée pour s’attaquer aux questions relatives au changement climatique et à la santé.

L’Organisation souligne combien il importe de placer la santé au cœur de toutes les négociations, stratégies, politiques et plans d’action portant sur le climat, afin de sauver des vies et d’assurer un avenir en meilleure santé pour les générations actuelles et futures.

Élaboré par l’OMS en collaboration avec plus de 100 organisations et 300 experts, le Rapport spécial de la COP29 sur le changement climatique et la santé recense des politiques essentielles dans trois dimensions intégrées : les personnes, les lieux et la planète. Le rapport décrit les principales mesures visant à protéger l’ensemble des populations, en particulier les quelque 3,6 milliards de personnes qui vivent dans les zones les plus sensibles au changement climatique.

COP29 : la promesse de financement des banques de développement donne un coup de pouce au sommet

Les négociateurs de la COP29 ont salué mercredi 13 novembre 2024 l’engagement des principales banques de développement d’augmenter leur financement aux pays pauvres et à revenu intermédiaire luttant contre le réchauffement climatique, comme un premier coup de pouce pour le sommet de deux semaines.

A la COP29, un groupe de prêteurs, dont la Banque mondiale, a annoncé un objectif commun d’augmenter ce financement à 120 milliards de dollars d’ici 2030. Soit une augmentation d’environ 60 % par rapport au montant de 2023.

« Je pense que c’est un très bon signe. C’est très utile, mais cela ne suffira pas à lui seul ». C’est ce qu’a déclaré le ministre irlandais du Climat, Eamon Ryan, cité par Reuters. Tout en ajoutant que les pays et les entreprises doivent également contribuer.

Le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang a déclaré le 12 courant que Pékin avait déjà mobilisé environ 24,5 milliards de dollars pour aider les pays en développement à lutter contre le changement climatique.

Le point de vue de M. Ryan a été repris par Patrick Verkooijen, PDG du Centre mondial sur l’adaptation, qui a salué l’annonce comme « un coup de pouce pour le débat sur le financement climatique ». « Mais il reste encore beaucoup de travail à accomplir », pousuit-il.

L’objectif principal de la conférence de la COP29 en Azerbaïdjan est de parvenir à un accord international de financement climatique de grande envergure, garantissant jusqu’à mille milliards de dollars pour les projets climatiques.

Les pays en développement espèrent des engagements importants de la part des nations riches et industrialisées, qui sont les plus grands contributeurs historiques au réchauffement climatique et dont certains sont également d’énormes producteurs de combustibles fossiles.

« Les pays développés ont non seulement négligé leur devoir historique de réduire leurs émissions; mais ils redoublent d’efforts pour stimuler leur croissance grâce aux combustibles fossiles », a déclaré le militant climatique Harjeet Singh.

Au final, notons qu’à la COP29 les pays riches se sont engagés à verser 100 milliards de dollars par an. Et ce, pour aider les pays en développement à effectuer la transition vers les énergies propres et à s’adapter aux conditions d’un monde en réchauffement.

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COP29 : L’Afrique, une seule voix pour le climat

À la COP29 qui se déroule à Bakou en Azerbaïdjan, l’Afrique se présente en bloc avec une position commune portée par les chefs d’État des 54 pays du continent. Avec des priorités claires : obtenir un financement renforcé pour faire face aux conséquences du changement climatique et revendiquer des compensations pour les pertes subies, alors que l’Afrique est l’un des continents les moins responsables des émissions de gaz à effet de serre.

Selon Le Monde, ce « segment de haut niveau », durant lequel une centaine de dirigeants prendra la parole, vise à donner un élan politique aux négociations. Celles-ci, qui aborderont des sujets particulièrement sensibles, notamment la future aide financière du Nord aux pays en développement, s’annoncent difficiles, à cause de l’élection de Donald Trump et du retrait probable des États-Unis de l’Accord de Paris.

La Papouasie-Nouvelle-Guinée a choisi de boycotter ces processus onusiens, les jugeant inefficaces. Néanmoins, les dirigeants africains se sont déplacés en grand nombre pour cette COP29.

Le président du Congo, Denis Sassou-Nguesso, a abordé la question cruciale de la préservation des forêts tropicales, comme nous l’avons écouté sur les ondes de la radio française RFI dans l’émission « Afrique Midi ».

D’autres figures influentes, comme le président kényan William Ruto, seront présentes. Ce dernier, qui a organisé le premier sommet africain sur le climat à Nairobi en septembre 2023, a appelé à une croissance verte et à dépasser les divisions entre le Nord et le Sud. Cet appel a particulièrement résonné auprès des pays industrialisés, dont la responsabilité historique dans le dérèglement climatique est bien établie.

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COP29 à Bakou : Vers un engagement financier renforcé

La 29ᵉ Conférence des Nations Unies sur le climat, la COP29, s’est ouverte le lundi 11 novembre 2024 à Bakou, en Azerbaïdjan, avec un objectif majeur : établir un consensus sur une aide financière accrue destinée aux pays les plus pauvres et vulnérables face au changement climatique.

Ce sommet, qui se tiendra jusqu’au 22 novembre, vise à définir le montant que les pays développés alloueront aux nations en développement pour les aider à adopter des modes de vie plus durables, sans recours au charbon ni au pétrole, et à renforcer leur résilience face aux catastrophes climatiques, de plus en plus fréquentes et intenses.

Vers un nouvel engagement financier ambitieux

Selon une évaluation de l’OCDE publiée le 29 mai 2024, l’aide climatique actuelle avoisine les 116 milliards de dollars par an, un niveau supérieur aux 100 milliards de dollars promis pour 2020 mais atteint seulement en 2022. Or, les estimations pour répondre aux besoins croissants des pays vulnérables évoquent des financements de plusieurs milliers de milliards de dollars annuels. Lors de la COP29, les pays en développement devraient réclamer des compensations pour le retard de deux ans dans l’atteinte de cet objectif initial.

Appel du PNUE pour une adaptation climatique renforcée

Quelques jours avant la COP29, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) a appelé les nations à intensifier leurs efforts d’adaptation climatique. Son rapport « Adaptation Gap Report 2024 » souligne l’urgence de renforcer les mesures d’adaptation pour faire face aux effets croissants des changements climatiques. Le rapport pointe un fossé significatif entre les besoins de financement pour l’adaptation et les ressources disponibles, une situation qui pourrait se détériorer en raison d’éventuels désengagements de certains États.

L’ombre du retrait américain de l’accord de Paris

Ce sommet se déroule alors que les États-Unis, deuxième plus gros émetteur de gaz à effet de serre (11 % des émissions mondiales), pourraient envisager un retrait de l’accord de Paris, suite à la réélection de Donald Trump, connu pour son soutien aux énergies fossiles et son scepticisme face au climat. En 2017, il avait déjà retiré les États-Unis de cet accord, signé en 2016 par 195 pays pour limiter le réchauffement global entre 1,5 et 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels.

Un tournant pour l’avenir climatique mondial

Les discussions à Bakou seront cruciales pour déterminer si la communauté internationale peut effectivement combler le fossé financier entre les engagements et les besoins réels. Les décisions prises lors de cette COP29 pourraient bien marquer un tournant pour l’action climatique globale, alors que les pays tentent de répondre aux défis d’un climat en mutation rapide.

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Des challenges de taille au menu de la COP29

Le coup d’envoi de la COP29 a été donné à Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan. Le moment est difficile pour les Nations unies qui organisent un nouveau round de négociations. Tous les gouvernements ont des problèmes budgétaires qui les détournent de l’action climatique. Les conflits en Ukraine et au Moyen-Orient brouillent les priorités des pays directement et indirectement impliqués. Pour couronner le tout, les États-Unis viennent d’élire Donald Trump qui aurait déjà lancé les hostilités contre l’accord de Paris sur le climat de 2015.

La conférence de cette année est largement reconnue comme une affaire transitoire, sans l’importance marquante des négociations de 2015 à Paris. Néanmoins, les négociateurs prévoient de se pencher sur des questions clés qui pourraient déterminer la façon dont le monde atténue les émissions de carbone et la manière dont il aborde le bilan croissant des catastrophes climatiques. Quelques questions principales seront débattues. 

Divergences sur les rôles et les finances

La première est ce que l’on appelle le «nouvel objectif collectif quantifié». Il s’agit du montant de l’aide climatique que les pays riches devraient octroyer à ceux pauvres. Ces fonds sont censés aider ces derniers à passer aux énergies renouvelables et à s’adapter aux effets du climat. Les négociations seront tendues, car les donateurs sont revenus sur leurs engagements passés et une grande partie de l’argent qu’ils ont envoyé l’a été sous forme de prêts coûteux ou a été d’une faible valeur. Un rapport de l’ONU publié la semaine dernière a révélé que les efforts d’adaptation en particulier sont sous-financés, à hauteur de 180 à 360 milliards de dollars par an.

Les pays vulnérables réclament un engagement annuel se chiffrant en milliers de milliards de dollars. Les États-Unis et l’Europe ont demandé aux grandes économies comme la Chine et aux riches États pétroliers comme l’Arabie saoudite de contribuer au financement, alors qu’ils étaient considérés comme des pays en développement lorsque les Nations unies ont commencé à négocier sur le changement climatique. Ces nations ont donc résisté à ces appels, soulignant le fait que les États-Unis et l’Europe sont responsables d’un plus grand nombre d’émissions totales dans le passé. Cette impasse géopolitique a empêché les négociations de progresser pendant des mois, alors qu’elle est essentielle à la conclusion d’un accord mondial sur l’aide climatique. La vraie interrogation est donc de savoir si les grands émetteurs, outre l’Oncle Sam, vont renforcer leurs ambitions afin de combler le fossé que Trump créera probablement.

De grands débats auront également lieu sur le rôle de l’énergie nucléaire, qui a suscité ces dernières années un regain d’intérêt de la part des pays à la recherche d’une énergie permanente n’émettant pas de carbone. Idem pour les technologies d’élimination et de stockage de carbone, que l’industrie pétrolière a présentées comme un moyen essentiel de réduire les émissions.

Qui paiera quoi?

Autre patate chaude du sommet: les pays riches se sont engagés à fournir ce qui s’apparente à des réparations pour le rôle qu’ils ont joué dans le changement climatique. L’argument avancé est que ces pays ayant connu une industrialisation précoce sont ceux qui ont émis le plus de gaz à effet de serre au cours de l’histoire et qu’ils devraient contribuer plus pour lutter contre les catastrophes climatiques. Cet engagement est la concrétisation d’une demande que les petits États insulaires et les pays en développement d’Afrique réclamaient depuis des années. Mais le diable se cache dans les détails. Le nouveau fonds «pertes et dommages» est hébergé par la Banque mondiale, qui a un passé trouble avec les pays en développement. Les fonds disponibles ne sont que 700 millions de dollars, soit une infime partie des besoins totaux. La grande question qui se pose à la COP29 est de savoir si ce fonds peut décoller ou s’il va s’enliser dans la bureaucratie au point de ne pas répondre aux défis auxquels sont confrontés les pays qu’il est censé aider.

Le marché du carbone pour les pays

L’un des principaux moyens dont disposent les grandes entreprises pour revendiquer des progrès dans la réalisation de leurs objectifs de réduction des émissions est ce que l’on appelle le marché volontaire du carbone. Aujourd’hui, les Nations unies tentent de créer leur propre marché du carbone pour les pays et non pour les entreprises. L’objectif est de donner aux nations davantage de moyens de coopérer pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris. Lors de la COP de l’année dernière, les diplomates n’ont fait aucun progrès dans le développement de ce marché, n’étant pas d’accord sur les types de crédits de carbone qui devraient être éligibles à l’échange et sur les méthodologies utilisées pour les générer. Le président de la COP29 a promis de faire avancer le marché «jusqu’à la ligne d’arrivée», mais les désaccords risquent de persister.

Un sommet à suivre, car les répercussions sont importantes. Pour la Tunisie, elle pourra bénéficier d’enveloppes importantes pour investir et accélérer la transition énergétique. Nous avons vraiment besoin de cela.

 

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COP29: 200 pays unis pour définir les objectifs climatiques à atteindre

À partir du 11 novembre 2024, Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan, accueille la 29e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP29), réunissant les dirigeants de près de 200 pays.

Ces deux semaines de négociations seront essentielles pour définir l’avenir de la planète face au réchauffement climatique. Un an après la COP28 à Dubaï, où des accords importants ont été conclus, notamment la création d’un fonds pour les “pertes et dommages”, la COP29 se veut l’étape suivante dans la concrétisation de ces engagements mondiaux.

L’une des priorités de cette conférence sera d’examiner les plans d’action des pays pour limiter leurs émissions de gaz à effet de serre. Chaque nation devra présenter une feuille de route révisée, alignée sur l’ambitieux objectif de l’accord de Paris: limiter le réchauffement global à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, et ne pas dépasser les 2 °C.

Mais au-delà de ces engagements, un enjeu majeur se profile: celui de la finance climatique.

Les pays en développement, particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique, réclament un soutien financier accru. Le groupe des “pays les moins avancés”, représenté cette année par le Malawi, un pays durement frappé par des cyclones et la sécheresse, souligne l’importance d’une aide solide pour s’adapter aux catastrophes naturelles croissantes.

La question du financement sera donc au cœur des discussions, avec l’objectif de remplacer le fonds de 100 milliards de dollars par an, mis en place en 2009 mais jugé insuffisant.

Cette COP29 pourrait marquer un tournant décisif, non seulement pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais aussi pour le soutien financier aux nations les plus fragiles face à un climat devenu de plus en plus imprévisible.

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La Conférence climatique COP29 s’ouvre en Azerbaïdjan

Des dirigeants, ministres et autres responsables de près de 200 pays se réunissent à partir du lundi 11 novembre 2024 à Bakou en Azerbaïdjan pour la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP29). Et ce, pour discuter de la manière de limiter le réchauffement climatique et ses conséquences dévastatrices.

La COP29 se poursuivra pendant deux semaines dans la capitale Bakou. Elle vise à aborder de nouveaux engagements financiers envers les pays pauvres touchés par les vagues de chaleur, les tempêtes et les inondations qui sont devenues plus fréquentes en raison du changement climatique.

Les pays en développement et les organisations environnementales s’attendent à ce que les pays riches industrialisés collectent au moins 1 000 milliards de dollars par an. Soit dix fois l’engagement actuel de 100 milliards de dollars par an.

Taxer les riches…

Afin de financer ces engagements, les militants du climat proposent d’imposer des taxes aux riches et d’imposer des frais sur l’extraction du charbon, du pétrole et du gaz.

Par ailleurs, les ONG craignent que la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine ne jette une ombre sur le Sommet, connu sous le nom de Conférence des Parties, ou COP-29. En effet, après sa première élection en 2016, Trump avait déjà ordonné le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat.

… mais sale temps pour le climat 

Selon un rapport publié dimanche 10 novembre 2024 par le New York Times, les projets actuels de Trump ne se limitent pas seulement à se retirer de l’Accord de Paris, mais incluent également le déplacement du siège de l’Agence de protection de l’environnement en dehors de Washington et la réduction de la taille des réserves naturelles pour ouvrir la voie à suivre pour l’exploration pétrolière et l’extraction du charbon.

Au final, des dizaines de milliers de représentants de gouvernement, de journalistes, de militants et de lobbies politiques sont attendus en Azerbaïdjan, où la liberté de la presse et d’expression est sévèrement restreinte.

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COP29 : Le PNUE exige une accélération du financement de l’adaptation climatique

Les nations doivent accroître considérablement leurs efforts d’adaptation au climat, en commençant par s’engager à agir sur le plan financier lors de la COP29, constate le rapport “Adaptation Gap Report 2024”, du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), rendu public, aujourd’hui, juste 4 jours avant la tenue du sommet du climat de l’ONU, qui se tiendra à Bakou, en Azerbaïdjan (du 11 au 22 novembre 2024).

Il est urgent d’intensifier considérablement l’adaptation au cours de cette décennie pour faire face à l’aggravation des impacts. Toutefois, cette évolution est entravée par l’écart considérable qui existe entre les besoins de financement de l’adaptation et les ressources financières interinstitutionnelles actuelles, constate encore le rapport.

L’augmentation de la température moyenne mondiale approche 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, et les dernières estimations du rapport du PNUE sur les écarts d’émissions ( ) annoncent une augmentation catastrophique de 2,6 à 3,1 °C au cours de ce siècle si les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas réduites immédiatement et de manière importante.

Le rapport appelle les nations, ainsi, à revoir leurs ambitions à la hausse en adoptant un nouvel objectif collectif quantifié fort sur le financement du climat lors de la COP29 et en incluant des composantes d’adaptation plus fortes dans leur prochaine série d’engagements climatiques, ou contributions déterminées au niveau national, attendues au début de l’année prochaine avant la COP30 à Belém, au Brésil.

Les flux de financement public international de l’adaptation vers les pays en développement sont passés de 22 milliards de dollars US en 2021 à 28 milliards de dollars US en 2022.
“Même en atteignant l’objectif du Pacte de Glasgow sur le climat de doubler le financement de l’adaptation pour atteindre au moins 38 milliards de dollars US d’ici 2025, le déficit de financement de l’adaptation de 187 à 359 milliards de dollars US ne serait réduit que d’environ 5 %”, estiment les auteurs du rapport.

En plus d’un financement et d’une mise en œuvre considérables pour faire face aux impacts climatiques croissants, des efforts plus importants sont nécessaires en matière de renforcement des capacités et de transfert de technologies, préconise le rapport.

 

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