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La Chine « rattrape » l’Occident dans la course à la technologie, selon Microsoft

L’Occident doit comprendre que la Chine n’est plus à la traîne mais est en concurrence avec les Etats-Unis et l’Europe dans la « course » technologique. Ainsi a prévenu, le 13 novembre 2024, le vice-président du Conseil d’administration et président de Microsoft, Brad Smith.

Les tensions entre les États-Unis et la Chine ces dernières années se sont concentrées sur une bataille pour la suprématie technologique. Aboutissant à un contrôle accru des exportations de technologies critiques. À la fin de l’année dernière, le chinois Huawei a « surpris » le marché en lançant un smartphone qui, selon les critiques, pourrait atteindre des vitesses de téléchargement 5G. Ce qui a amené beaucoup à spéculer que l’entreprise défiait les sanctions technologiques américaines.

S’exprimant lors de la conférence technologique Web Summit à Lisbonne, au Portugal, M. Smith de Microsoft a déclaré à CNBC que, « à bien des égards », la Chine est désormais proche ou peut même « rattraper son retard » en matière de développement technologique.

« Je pense que l’un des dangers est que les gens qui ne visitent pas la Chine pensent souvent que la Chine est toujours en retard », a-t-il déclaré à Karen Cho de CNBC. « Mais quand vous arrivez [en Chine], vous êtes frappé par tout ce qu’ils font ».

Il a prédit que les entreprises chinoises et américaines seront en concurrence à long terme dans le secteur technologique et a exhorté les entreprises américaines et européennes à travailler ensemble pour développer les économies mondiales et « ouvrir » les technologies telles que l’intelligence artificielle au reste du monde.

Microsoft est présent en Chine depuis 1992, selon le site Internet de l’entreprise, notamment via le plus grand centre de recherche et développement du géant technologique en dehors des États-Unis. Le PDG de Microsoft, Satya Nadella, a déclaré l’année dernière que la société ne se concentrait pas sur la Chine en tant que marché intérieur, mais qu’elle fournissait plutôt des services aux entreprises chinoises. Dans le même temps, il a fait valoir que l’entreprise avait une présence locale plus importante que de nombreux autres géants américains de la technologie.

Dans le contexte de l’évolution politique aux États-Unis et de la période de transition précédant le retour du républicain Donald Trump à la Maison Blanche, M. Smith a estimé qu’il était encore trop tôt pour estimer l’impact que cela pourrait avoir sur le transfert de technologie.

Il a expliqué qu’« en tant qu’entreprise technologique américaine, nous ne pouvons faire des affaires en Chine que lorsque nous offrons un service que le gouvernement chinois souhaite et que le gouvernement américain souhaite que nous apportions [en Chine] ».

Enfin, il a prédit que certaines technologies seraient transférées vers la Chine et que cette décision ne dépendrait pas des entreprises technologiques.

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Les « Sages » de l’économie allemande prévoient une croissance de 0,4% en 2025

Pour 2025, le Conseil d’experts économiques qui conseille le gouvernement fédéral s’attend à une croissance limitée de 0,4%, alors que pour cette année il prévoit une récession de 0,1%. Dans sa propre évaluation, le gouvernement avait estimé que l’année prochaine, l’économie connaîtrait une croissance de 1,1 %.

Les cinq « Sages » de l’économie allemande, qui se sont réunis le 13 novembre 2024, sont cependant en désaccord sur leurs propositions de relance. Quatre d’entre eux estiment que les politiciens utilisent souvent trop peu de ressources de l’État pour investir, principalement parce que des projets spécifiques sont rentables plus tard, après les prochaines élections, et choisissent plutôt d’augmenter les dépenses de consommation, comme les retraites, afin de se rendre populaires auprès des électeurs.

Les « Sages » réclament donc l’instauration de règles garantissant que l’État ne néglige pas les investissements à long terme, notamment dans les domaines de la défense, de l’éducation, des transports et des infrastructures de transport.

L’économiste Veronica Grimm prend position et qualifie les propositions d' »irréalisables », notant qu’elles ne tiennent pas compte de la présence ou non de l’argent. Elle n’est pas non plus d’accord avec l’opinion de ses collègues selon laquelle les dépenses d’investissement pourraient être exemptées du « frein à l’endettement » et s’oppose, entre autres, à la suppression des subventions publiques à l’énergie dans l’industrie ou au sauvetage d’entreprises en difficulté avec des fonds publics.

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S&P Global prévoit une baisse des ventes de voitures électriques en 2025

De nouvelles données de S&P Global publiées le 13 novembre 2024 révèlent une détérioration des perspectives pour le marché européen des véhicules électriques à batterie (BEV) en raison de l’évolution des conditions économiques. Entre le premier et le second semestre 2024, les attentes du marché ont été révisées, entraînant une réévaluation des tendances dans l’UE, rapporte l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA).

Les chiffres de S&P Global révèlent une révision substantielle à la baisse des prévisions de part de marché des BEV pour 2025, de 27 % au premier semestre à 21 %. Ce recalibrage marque un recul important dans le respect des objectifs d’émissions de CO2 de l’UE pour 2025, directement lié à la pénétration réduite du marché des BEV, suscitant des inquiétudes dans toutes les capitales de l’UE, souligne le communiqué officiel.

Martin Kupka, ministre tchèque des Transports : « Sans un plan d’action industriel ciblé pour l’industrie automobile, nous risquons de prendre du retard sur les États-Unis et la Chine. L’audit montre que l’UE doit disposer d’un système plus flexible pour permettre aux constructeurs automobiles d’atteindre leurs objectifs ambitieux de réduction des émissions de CO2. Nous devons garantir que l’industrie utilise les bénéfices pour investir dans de nouvelles solutions au lieu de payer des amendes ».

Un marché stagnant augmente considérablement les coûts de conformité pour les fabricants, comme le confirment les données de S&P Global. Par exemple, pour atteindre les objectifs d’émissions, ils pourraient avoir besoin de mettre en commun des crédits avec des fabricants chinois et américains, en dirigeant les paiements vers des fabricants non européens au détriment de l’industrie européenne.

L’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA) a exhorté les décideurs politiques de l’UE à s’attaquer aux coûts élevés de conformité associés aux objectifs de 2025, qui sont en grande partie causés par des facteurs indépendants du contrôle des constructeurs, tels que le manque d’infrastructures de recharge généralisées et d’incitations au marché des véhicules électriques.

À la lumière des récents défis économiques et géopolitiques, l’ACEA appelle à une réduction urgente des coûts en 2025 et à une révision rapide des normes de CO2 pour les véhicules légers et lourds afin de garantir la compétitivité de l’industrie européenne.

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COP29 : la promesse de financement des banques de développement donne un coup de pouce au sommet

Les négociateurs de la COP29 ont salué mercredi 13 novembre 2024 l’engagement des principales banques de développement d’augmenter leur financement aux pays pauvres et à revenu intermédiaire luttant contre le réchauffement climatique, comme un premier coup de pouce pour le sommet de deux semaines.

A la COP29, un groupe de prêteurs, dont la Banque mondiale, a annoncé un objectif commun d’augmenter ce financement à 120 milliards de dollars d’ici 2030. Soit une augmentation d’environ 60 % par rapport au montant de 2023.

« Je pense que c’est un très bon signe. C’est très utile, mais cela ne suffira pas à lui seul ». C’est ce qu’a déclaré le ministre irlandais du Climat, Eamon Ryan, cité par Reuters. Tout en ajoutant que les pays et les entreprises doivent également contribuer.

Le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang a déclaré le 12 courant que Pékin avait déjà mobilisé environ 24,5 milliards de dollars pour aider les pays en développement à lutter contre le changement climatique.

Le point de vue de M. Ryan a été repris par Patrick Verkooijen, PDG du Centre mondial sur l’adaptation, qui a salué l’annonce comme « un coup de pouce pour le débat sur le financement climatique ». « Mais il reste encore beaucoup de travail à accomplir », pousuit-il.

L’objectif principal de la conférence de la COP29 en Azerbaïdjan est de parvenir à un accord international de financement climatique de grande envergure, garantissant jusqu’à mille milliards de dollars pour les projets climatiques.

Les pays en développement espèrent des engagements importants de la part des nations riches et industrialisées, qui sont les plus grands contributeurs historiques au réchauffement climatique et dont certains sont également d’énormes producteurs de combustibles fossiles.

« Les pays développés ont non seulement négligé leur devoir historique de réduire leurs émissions; mais ils redoublent d’efforts pour stimuler leur croissance grâce aux combustibles fossiles », a déclaré le militant climatique Harjeet Singh.

Au final, notons qu’à la COP29 les pays riches se sont engagés à verser 100 milliards de dollars par an. Et ce, pour aider les pays en développement à effectuer la transition vers les énergies propres et à s’adapter aux conditions d’un monde en réchauffement.

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Trump choisit des responsables de la politique étrangère « America First »

Le président élu des États-Unis, Donald Trump, sélectionne les membres de son équipe de politique étrangère en fonction de leur loyauté envers le concept de « l’Amérique d’abord » et de leur capacité à donner la priorité aux intérêts nationaux plutôt qu’aux positions idéologiques, rapporte le New York Times.

Le journal avait précédemment indiqué que Trump envisageait la candidature du sénateur de Floride Marco Rubio au poste de secrétaire d’État; et du membre du Congrès, Michael Waltz, au poste de conseiller à la sécurité nationale.

Les deux hommes ont exprimé par le passé des opinions en matière de politique étrangère que l’on pourrait qualifier de néoconservatrices. Cependant, ces dernières années, Rubio et Waltz ont tous deux modifié leur approche pour se rapprocher davantage du mouvement « America First » de Trump, note le journal. Tout en affirmant que « Trump pourrait se retrouver avec une équipe de politique étrangère composée de fidèles;mais avec des racines dans les approches républicaines familières ».

Plus tôt cette semaine, le New York Times a également rapporté que M. Rubio, qui fait partie des trois personnes envisagées pour diriger le département d’État américain, soutiendrait probablement le plan présumé de Trump visant à faire pression sur l’Ukraine pour qu’elle accepte la paix avec la Russie et abandonne son projet d’adhésion à l’OTAN.

Le sénateur, qui était initialement un fervent partisan de l’aide militaire américaine à Kiev, a récemment exprimé son inquiétude quant au rôle de Washington dans le conflit et a appelé au « bon sens ».

Le mois dernier, il a déclaré à NBC News que les États-Unis finançaient de fait une « guerre dans l’impasse » qui doit être « menée à terme »; avant que l’Ukraine ne soit « renvoyée cent ans en arrière ».

L’ancien béret vert Waltz a également appelé à un soutien américain accru à Kiev dans sa lutte contre la Russie. Cependant, plus tôt cette année, il a voté contre un important programme d’aide à l’Ukraine, arguant que l’administration Biden n’avait pas réussi à définir « l’objectif américain en Ukraine » ou sa stratégie pour y parvenir.

Le membre du Congrès a également partagé les critiques de Trump à l’égard des Alliés de Washington au sein de l’OTAN et a réprimandé les membres du bloc pour ne pas avoir respecté leurs engagements en matière de dépenses militaires de défense.

MM. Waltz et Rubio pourraient également jouer un « rôle influent » dans les futures relations de Washington avec Pékin. Car les deux législateurs sont partisans d’une approche économique plus dure envers la Chine.

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Un travailleur sur trois dans le monde envisage de changer d’emploi au cours des 6 prochains mois

35% de tous les travailleurs – et 47% des nouveaux professionnels – envisagent de changer d’emploi au cours des six prochains mois, bien que 63% d’entre eux soient satisfaits de leur emploi, a révélé mardi 12 novembre 2024 le Global Workforce Barometer de Manpower Group.

Le Baromètre mondial des ressources humaines est un nouvel outil qui donne un aperçu des attitudes et des sentiments des travailleurs dans 16 pays et de la manière dont ils influencent leurs choix de carrière, leurs systèmes de valeurs et leurs opinions sur des questions telles que le recrutement, la carrière et la promotion.

Le score global du Baromètre mondial des ressources humaines est de 67% et découle de trois indicateurs clés individuels : le bien-être (64%), la satisfaction au travail (63%) et la confiance (74%).

L’enquête, plus de 12 000 travailleurs consultés, révèle un paysage complexe de bien-être, de satisfaction au travail et de confiance dans un environnement de travail en constante évolution. 

L’enquête, qui a rassemblé des données auprès de plus de 12 000 travailleurs, révèle un paysage complexe de bien-être, de satisfaction au travail et de confiance dans un environnement de travail en constante évolution.

« La relation employé-employeur se trouve à un carrefour critique. Les gens s’attendent à ce que leur travail leur offre plus : plus d’équilibre, plus de choix, plus d’humanité, plus qu’un simple salaire », a déclaré Becky Frankiewicz, directrice commerciale de Manpower Group. « Même si 80% des salariés trouvent du sens à leur rôle professionnel, nos données montrent qu’un sentiment d’utilité à lui seul ne suffit pas à retenir les talents. Les salariés expriment leur insatisfaction en quittant leur emploi actuel ou en déménageant dans une autre entreprise à la recherche d’environnements de travail qui répondent ».

« La relation employé-employeur se trouve à un carrefour critique. Les gens s’attendent à ce que leur travail leur offre plus : plus d’équilibre, plus de choix, plus d’humanité, plus qu’un simple salaire ».

Le Baromètre mondial des ressources humaines introduit de nouveaux indicateurs, notamment l’indice de bien-être, l’indice de satisfaction au travail et l’indice de confiance, offrant une vision globale de l’opinion des travailleurs dans le monde entier. Ces indicateurs innovants offrent aux employeurs des outils uniques pour mesurer et comprendre le sentiment des employés, permettant ainsi de mettre en place des stratégies plus efficaces de gestion des talents et d’amélioration du lieu de travail.

« Même si 80% des salariés trouvent du sens à leur rôle professionnel, nos données montrent qu’un sentiment d’utilité à lui seul ne suffit pas à retenir les talents. Les salariés expriment leur insatisfaction en quittant leur emploi actuel ou en déménageant dans une autre entreprise à la recherche d’environnements de travail qui répondent ».

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La Russie et l’Iran connectent leurs réseaux de paiement nationaux

Moscou et Téhéran ont officiellement finalisé le jumelage de leurs systèmes de paiement nationaux, ce qui permettra aux voyageurs des deux pays d’utiliser leurs cartes de débit nationales pour des achats en Iran ou en Russie, rapportent les médias iraniens.

S’exprimant lors d’une cérémonie officielle à Téhéran, lundi 11 novembre 2024, le gouverneur de la Banque centrale d’Iran (CBI), Mohammad-Reza Farzin, a décrit la connexion des systèmes de paiement russe Mir et iranien Shetab comme une étape majeure vers la coopération économique et la dédollarisation, ainsi que la facilitation des relations économiques et touristiques entre les deux pays.

« Le projet… a commencé dans le but de créer une intégration dans les réseaux de paiement et de faciliter les transactions financières entre les citoyens des deux pays », a déclaré le chef de la CBI, cité par Tehran Times, notant également que le processus comprendra trois phases.

Selon Farzin, la première étape prévoit l’utilisation possible par les citoyens iraniens de leurs cartes bancaires dans les distributeurs automatiques russes. « De cette façon, les touristes iraniens peuvent désormais facilement recevoir des billets en roubles dans les distributeurs automatiques russes en utilisant le solde en riyals de leurs cartes Shetab », a-t-il expliqué.

Dans un deuxième temps, les citoyens russes pourront retirer de l’argent en Iran en utilisant leurs cartes bancaires nationales. Dans un troisième temps, les cartes iraniennes Shetab seront acceptées sur les terminaux des points de vente installés dans les magasins russes.

Farzin avait déclaré plus tôt aux journalistes que l’accord visant à connecter les systèmes de paiement nationaux des deux pays avait été finalisé lors d’une réunion avec son homologue russe, Elvira Nabiullina en marge du Congrès financier de la Banque de Russie à Saint-Pétersbourg en juillet.

En 2022, lorsque Moscou a été frappé par de nouvelles sanctions en raison de l’escalade du conflit ukrainien et que de nombreuses banques russes ont été exclues de SWIFT, Visa et MasterCard, le gouvernement a commencé à promouvoir le système national comme une alternative fiable.

Les cartes Mir sont acceptées dans de nombreux pays, dont l’Abkhazie, l’Ossétie du Sud et la Biélorussie, et dans certaines limites en Arménie, au Kazakhstan, au Kirghizistan, au Tadjikistan, à Cuba, au Venezuela et au Vietnam.

Les sanctions américaines ont forcé certaines banques en Arménie, au Kirghizistan et au Kazakhstan à suspendre les transactions et à cesser d’accepter les cartes Mir. Entre-temps, 15 autres pays auraient manifesté leur intérêt à accepter les cartes Mir sur leur territoire.

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L’action Tesla grimpe en flèche après les élections

Les actions du constructeur de véhicules électriques ont augmenté de plus de 38% depuis la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine.

L’action Tesla a prolongé son rallye post-électoral, grimpant de près de 8% mardi 12 novembre 2024 après avoir bondi de près de 30% la semaine dernière (4 novembre) à la suite de la victoire du républicain Donald Trump à l’élection présidentielle américaine.

Le PDG de Tesla, Elon Musk, s’est étroitement aligné sur Trump, injectant quelque 130 millions de dollars dans la campagne du républicain dans un contexte de spéculations selon lesquelles il recevra un titre officiel dans la nouvelle administration.

Tesla plus fort que les 15 plus grands constructeurs automobiles

La hausse de Tesla lui a également permis de dépasser les 1 000 milliards de dollars de valeur boursière pour la première fois en deux ans. Selon Forbes, ces derniers gains font que Tesla vaut plus que les 15 plus grands constructeurs automobiles réunis. La richesse personnelle d’Elon Musk a également dépassé les 300 milliards de dollars depuis la victoire de Trump.

La dernière fois que les actions Tesla ont clôturé au-dessus de 350 $, c’était en avril 2022, juste après que Musk a annoncé son intention d’acheter Twitter (maintenant X) pour 44 milliards de dollars.

Trump a suggéré à plusieurs reprises au cours de sa campagne que Musk pourrait se voir confier un rôle officiel au sein de son administration, affirmant que le PDG milliardaire pourrait être chargé de «l’efficacité du gouvernement».

Elon Musk prévient depuis longtemps que les États-Unis se dirigent vers la faillite, appelant à « une réduction radicale des dépenses publiques » et affirmant que les dépenses alimentent l’inflation.

Selon le Financial Times, tout rôle de conseil de Trump sera structuré de manière à lui permettre de garder le contrôle de ses entreprises Tesla, X, SpaceX, xAI et Neuralink. Il vise à « exercer son pouvoir en installant des adjoints de longue date, des experts en ingénierie, des bailleurs de fonds et des partenaires idéologiques au sein des agences gouvernementales », écrit le Times.

ABC News a rapporté lundi, citant des sources, que Musk était avec Trump dans sa station balnéaire de Mar-a-Lago en Floride « presque tous les jours » depuis l’élection et qu’il avait pesé sur les décisions de recrutement du personnel de la nouvelle administration.

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L’Allemagne se dirige vers des élections anticipées

Le vote anticipé fait suite à l’effondrement de la coalition au pouvoir en Allemagne, en raison de difficultés économiques et de conflits sur l’aide à Kiev.

Un nouveau Parlement allemand sera élu le 23 février prochain. C’est ce qu’ont rapporté mardi 12 novembre 2024 des médias allemands, dont l’agence de presse DPA, citant des sources officielles. La date aurait été convenue entre les sociaux-démocrates du chancelier Olaf Scholz, leurs partenaires de coalition restants, les Verts et le principal parti d’opposition en Allemagne, l’Union chrétienne-démocrate (CDU).

Cette décision fait suite à la dissolution de la coalition au pouvoir composée de trois partis, dont le Parti libéral-démocrate (FDP), favorable aux entreprises. La semaine dernière, M. Scholz a limogé le ministre des Finances, Christian Lindner, qui est également le chef du FDP. La décision du chancelier a incité le parti de Lindner à se retirer officiellement de la coalition, laissant Olaf Scholz avec un gouvernement minoritaire.

Les médias allemands ont d’abord rapporté que les dirigeants des trois partis de la coalition n’étaient pas parvenus à trouver un terrain d’entente sur la manière de faire face au déficit de plusieurs milliards d’euros de l’Allemagne. Les trois partenaires étaient en désaccord sur la politique économique et financière du pays ces derniers mois.

En oure, M. Scholz a ensuite reconnu que l’aide à l’Ukraine était devenue un point de discorde majeur dans les négociations de coalition. Le chancelier affirme avoir proposé un plan en quatre points, qui prévoyait notamment « d’accroître notre soutien à l’Ukraine », ce que Lindner a rejeté.

Au vu de ces événements, le président allemand, Frank-Walter Steinmeier, s’est dit prêt à convoquer des élections anticipées. Tout en ajoutant que le pays avait besoin « d’une majorité stable et d’un gouvernement capable d’agir ». Pour que ces élections anticipées aient lieu, M. Scholz devra convoquer un vote de confiance pour son gouvernement et le perdre.

Si le gouvernement perd le vote, M. Steinmeier aura 21 jours pour dissoudre le Parlement. Un délai de 60 jours est ensuite fixé pour organiser de nouvelles élections en Allemagne. Selon l’agence de presse allemande, le 23 février tombe dans ce délai.

Cette date coïncide à peu près avec le début des hostilités majeures entre Moscou et Kiev, qui ont éclaté le 24 février 2022, lorsque la Russie a lancé son invasion militaire. On ignore si cette date a joué un rôle dans le processus de décision des parties allemandes.

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Le Maroc attend le moment opportun pour émettre des obligations internationales

La ministre marocaine de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a déclaré mardi 12 novembre 2024 que le Maroc attendait le moment opportun pour émettre des obligations internationales.

La ministre a déclaré à la presse officielle du Maghreb arabe que « (cette question) ne devrait pas prendre beaucoup de temps, et nous suivons de près les marchés pour déterminer le moment opportun », sans fournir de détails sur le processus.

Il convient de noter que la ministre marocaine de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, avait déjà annoncé que le gouvernement avait préparé un projet de budget dans lequel il prévoyait d’atteindre une croissance économique de 4,6 % en 2025; après avoir attendu une croissance de 3,3 % cette année.

En outre, la ministre a ajouté dans un communiqué que le taux d’inflation devrait atteindre 2 %. Elle a souligné que la loi de finances pour l’année 2025 se préparait « dans un contexte international difficile; et ce, en raison de la persistance des tensions géopolitiques et de l’escalade des crises climatiques ».

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JP Morgan prévoit des changements majeurs dans l’économie américaine

JP Morgan s’attend à ce que les deux premières années du second mandat du président américain élu Donald Trump aient un impact majeur si des changements fondamentaux sont mis en œuvre dans les politiques liées aux impôts, à l’assouplissement des restrictions réglementaires et aux monnaies numériques.

La banque a indiqué le 11 novembre 2024 que les politiques de Trump soutenant les monnaies numériques et assouplissant les restrictions réglementaires pourraient avoir un impact positif sur le secteur bancaire.

JPMorgan a également confirmé que le soutien de Trump de la part de la Chambre des représentants et du Sénat pourrait faciliter l’adoption de ces politiques au cours des deux prochaines années, avec des défis susceptibles d’apparaître après les élections de mi-mandat de 2026.

Les analystes de la banque s’attendent enfin à ce que les politiques de Trump liées à l’augmentation des droits de douane, à l’élimination de l’immigration clandestine et à la réduction des impôts stimulent la croissance et l’inflation.

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UBS abaisse ses prévisions de croissance économique en Chine à 4 % en 2025

UBS a abaissé lundi 11 novembre 2024 sa prévision de base de croissance du PIB chinois à environ 4 % pour 2025. Et ce, après la publication des résultats des élections américaines.

La banque s’attendait auparavant à une croissance de 4,5 % l’année prochaine. En revanche, elle = a relevé sa prévision de croissance économique chinoise en 2024 à 4,8 %, contre une prévision précédente de 4,6 %.

En outre, la banque estime que le yuan s’affaiblisse par rapport au dollar l’année prochaine et à ce que l’administration Trump impose progressivement des droits de douane supplémentaires sur la plupart des importations en provenance de Chine, à partir du second semestre 2025.

Enfin, UBS prévoit également que la Chine réagisse à ce choc extérieur. Et ce, en augmentant son soutien financier pour stimuler la demande intérieure entre 2025 et 2026.

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Les prix de l’or continuent de baisser en ce début de semaine

Les contrats à terme sur l’or du premier du mois ont chuté, lundi 11 novembre 2024, de 2,8 % à 2 611,20 $ l’once. Soit la plus forte baisse quotidienne depuis juin 2021, selon les données de FactSet. Cela fait trois séances de négociation sur quatre au cours desquelles l’or a chuté. Et cela survient alors que l’indice du dollar américain continue de monter. Cet indice étant en hausse de 0,3 %.

Des sorties de capitaux sur les contrats à terme sur l’or ont été observées la semaine dernière, selon les données de JPMorgan Global Commodities Research. Ce qui est différent de ce que les analystes prévoyaient. « La baisse rapide de l’or après les élections est allée à l’encontre des attentes de nos stratèges. Mais ils pensent que la vente est un faux pas et non un changement radical », déclare la société.

L’ascension du dollar reflète l’optimisme économique alimenté par la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle, explique Rania Gule de XS.com.

Ainsi, les plans de politique expansionniste ont renforcé le billet vert. Tout en éloignant les investisseurs de la valeur refuge traditionnelle des métaux précieux. C’est ce qu’explique Mme Gule dans une note, ajoutant que l’or pourrait continuer de baisser.

Tous les regards se tournent désormais vers les données sur l’inflation, notamment la publication de l’indice des prix à la consommation demain mercredi, et les commentaires de la Réserve fédérale sur l’assouplissement de la politique monétaire, explique encore Mme Gule. Des taux d’intérêt plus élevés pour freiner l’inflation réduisent généralement l’attrait des lingots non porteurs d’intérêts.

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L’euro touche son plus bas niveau face au dollar depuis fin juin

L’euro est tombé lundi 11 novembre 2024 à son plus bas niveau depuis quatre mois et demi face au dollar. Et ce, sur fond d’inquiétudes des investisseurs concernant d’éventuels droits de douane américains qui pourraient nuire à l’économie de la zone euro.

Le dollar s’est rapproché des niveaux qu’il avait enregistrés immédiatement après les élections présidentielles américaines par rapport aux autres principales devises. Tandis que les marchés se concentraient sur les données et les déclarations de la Réserve fédérale (FED) et recherchaient des indicateurs sur la politique américaine à l’avenir.

La monnaie unique européenne a chuté de 0,3 % à 1,0685 $. Après avoir enregistré 1,0679 $, son plus bas niveau depuis fin juin, selon Reuters. L’indice du dollar a augmenté de 0,3 % à 105,32.

La semaine dernière, l’indice a bondi de plus de 1,5 % à 105,44, son plus haut niveau depuis début juillet, après la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine.

Le dollar quant à lui a augmenté de 0,8 % face au yen à 153,82; après avoir reculé par rapport à un pic enregistré la semaine dernière à 154,70. Le 6 novembre, il a atteint 154,68, son plus haut niveau depuis juillet.

Enfin, le dollar face au yuan dans les échanges extérieurs a atteint également son plus haut niveau depuis début août à 7,2131. En hausse de 0,25 %, après avoir bondi de 0,70 % vendredi 8 novembre.

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Maroc : aggravation de l’endettement des ménages

Les familles marocaines comptent parmi les plus endettées d’Afrique. Le Royaume du Maroc se place en deuxième position, juste après l’Afrique du Sud, avec un taux d’endettement atteignant 30 % du produit intérieur brut. C’est ce qu’il ressort d’un rapport de la Banque européenne d’investissement (BEI). Il est publié sous le titre « Africa Finance 2023 », cité par le média marocain Hess Presse le 10 novembre 2024.

Malgré un niveau d’endettement stable et inférieur à la moyenne des pays émergents et développés, cette situation soulève des questions sur l’efficacité des mesures gouvernementales destinées à protéger le pouvoir d’achat des ménages et à renforcer leur résilience face aux effets des vagues d’inflation au Maroc.

L’endettement des ménages est également influencé par la flexibilité de l’économie nationale et sa capacité à résister aux crises. Car les ménages lourdement endettés voient leur capacité de consommation s’amoindrir, souligne la BEI.

Selon le rapport sur la stabilité financière publié par la Banque du Maroc (Bank Al-Maghrib), les familles, notamment celles dont les revenus mensuels se situent entre 4 mille et 10 mille dirhams (environ 400 à 1 000 dollars), sont exposées à des pressions financières croissantes. Cela les pousse à recourir davantage à l’emprunt pour couvrir leurs dépenses de base, telles que les frais de logement, d’éducation et de santé.

Cette situation est accentuée par le fait qu’une grande partie des prêts est accordée à certaines catégories socioprofessionnelles : les employés et ouvriers représentent 67 % des bénéficiaires, avec des taux d’endettement de 42,7 % et 32 ​​%, respectivement. Cela expose ces groupes aux risques financiers accumulés, en l’absence de mesures de soutien appropriées.

Pour répondre à cette problématique, le gouvernement du Royaume chérifien a inclus dans le projet de loi de finances pour 2025 des mesures visant à renforcer le pouvoir d’achat des familles et à réduire leur niveau d’endettement.

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Nissan annonce la suppression de 9 000 postes d’emploi

Nissan va supprimer 9 000 emplois dans le monde dans le cadre de « mesures urgentes » pour redresser sa performance.

Le géant automobile japonais Nissan a annoncé, le 8 novembre 2024, qu’il allait licencier 9 000 salariés dans le monde et réduire d’un cinquième sa capacité de production. Et ce, en raison de la détérioration des ventes sur ses principaux marchés.

Le constructeur automobile nippon indique dans un communiqué avoir abaissé de 70 % ses prévisions de bénéfice d’exploitation annuel à 150 milliards de yens (976 millions de dollars). Ce qui constitue une deuxième révision à la baisse cette année.

Il a également annoncé qu’il revendrait 10 % de ses actions dans Mitsubishi Motors, réduisant ainsi sa participation actuelle de 34 %.

Le PDG et président de la société, Makoto Uchida, renoncera volontairement à 50 % de sa rémunération mensuelle à partir de ce mois-ci. Tandis que d’autres membres du comité exécutif subiront également volontairement une réduction de salaire.

« Face à une situation grave, Nissan prend des mesures urgentes pour redresser ses performances et créer une entreprise plus légère et plus résiliente, capable de s’adapter rapidement aux changements du marché », peut-on lire dans le communiqué.

Nissan, troisième constructeur automobile japonais, est confronté à une baisse de ses ventes en Chine, premier marché automobile mondial. Les ventes mondiales du groupe ont diminué de 3,8 % à 1,6 million de véhicules au premier semestre de l’exercice. Et ce, principalement en raison d’une chute de 14,3 % en Chine, où il fait face à une concurrence croissante des constructeurs automobiles locaux.

Aux Etats-Unis, les ventes du constructeur ont chuté de 3 %, à 449 000 véhicules. Ensemble, les marchés chinois et américain représentent près de la moitié des ventes mondiales de Nissan en volume.

De plus, la même source indique que la société prévoit de faire progresser l’introduction de nouveaux véhicules à énergie en Chine, ainsi que des modèles hybrides rechargeables et e-POWER aux États-Unis. Tout en augmentant simultanément les ventes par modèle pour améliorer l’efficacité. « Ces mesures de redressement ne signifient pas que l’entreprise va se réduire », a déclaré le PDG de Nissan, M. Uchida.

« Nissan va restructurer ses activités pour devenir plus légères et plus résilientes. Tout en réorganisant la direction pour répondre rapidement et avec souplesse aux changements de l’environnement commercial », a-t-il ajouté.

M. Uchida a pris ses fonctions en 2019, à un moment où l’entreprise était aux prises avec une crise de gestion à la suite de l’arrestation de l’ancien président, Carlos Ghosn, pour malversation financière présumée.

Depuis, M. Uchida s’efforce de relancer le constructeur automobile en difficulté. Il cherche désormais à élargir la gamme de véhicules électriques de Nissan, à nouer de nouveaux partenariats et à vendre 1 million de voitures supplémentaires par an d’ici 2027.

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L’UE a besoin d’une refonte économique urgente affirme Mario Draghi

L’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE) estime qu’une refonte est encore plus cruciale. Et ce, maintenant que Donald Trump a été élu président des États-Unis.

L’Union européenne a besoin d’une restructuration économique majeure pour restaurer sa compétitivité. Ainsi avertit l’ancien président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, le 8 novembre 2024. L’ancien président du Conseil des ministres italien avait présenté en septembre dernier un rapport peu encourageant sur l’état de l’économie européenne.

S’adressant à Politico vendredi 15 novembre, M. Draghi a déclaré que même si « certaines des suggestions (de son rapport ndlr) […] étaient déjà urgentes avant, parce que l’économie européenne stagnait; elles sont encore plus urgentes aujourd’hui », alors que Donald Trump a été réélu président des États-Unis.

Selon l’ancien président de la Banque centrale européenne, Bruxelles devrait avant tout se concentrer sur la prévention d’une « fragmentation supplémentaire du Marché unique et des marchés de capitaux ». M. Draghi a déclaré que la situation actuelle empêche les entreprises européennes de se développer pour être compétitives à l’échelle internationale.

Dans une analyse publiée début septembre, M. Draghi a appelé l’UE à investir massivement dans son économie – plus de deux fois plus qu’elle ne l’a fait après la Seconde Guerre mondiale.

« Pour numériser et décarboner l’économie et accroître notre capacité de défense, la part des investissements en Europe devra augmenter d’environ 5 points de pourcentage du PIB », a-t-il écrit, reconnaissant que la tâche était « sans précédent ».

L’économiste italien a fait valoir qu’avec un environnement géopolitique « en constante évolution » et la perspective d’une moindre protection américaine à l’avenir, l’UE doit rapidement injecter d’importantes sommes d’argent dans la défense.

Les perspectives économiques du bloc sont aggravées par le fait qu’il « a brusquement perdu son plus important fournisseur d’énergie, la Russie », à la suite de la guerre contre l’Ukraine en février 2022. « Nous avons atteint le point où, sans action, nous devrons soit compromettre notre bien-être, soit notre environnement ou notre liberté », écrit Draghi dans son rapport.

Il suggère que le bloc émette de nouvelles dettes afin de relever le « défi existentiel » auquel il est actuellement confronté.

Par illeurs, notons qu’au cours de sa campagne électorale, Trump a menacé à plusieurs reprises d’imposer un tarif universel de 10 % sur les biens importés, affirmant que « nos alliés ont profité de nous ».

En 2018, lors de son premier mandat, le républicain avait déjà imposé des droits de douane de 25 % sur les importations d’acier européen et de 10 % sur celles d’aluminium.

Entre-temps, à la fin du mois d’octobre 2024, le Fonds monétaire international (FMI) a signalé que la productivité était en baisse dans toute l’UE.

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L’Égypte rejoint les opérateurs de trains à grande vitesse

Le ministère égyptien des Transports a annoncé le 10 novembre 2024 qu’Il est prévu que l’Égypte rejoigne la liste des pays exploitant des trains à grande vitesse (TGV) au cours de la période à venir grâce à la première ligne du train électrique à grande vitesse, qui s’étend d’Ain Sokhna à Marsa Matrouh, en passant par Alexandrie et Nouvel Alamein, avec une longueur de 675 kilomètres.

Le ministère a indiqué que le basalte a été répandu et les rails et poteaux électriques ont été installés parallèlement à la construction des gares, tandis que les rails ferroviaires sont actuellement en cours de pose après la construction de la voie de la ligne qui traverse un grand nombre de villes égyptiennes.

Les sociétés de mise en œuvre travaillent à finaliser l’organigramme du trafic passager depuis l’entrée principale de chaque gare jusqu’aux halls de billetterie, le mouvement entre les quais et la disponibilité d’ascenseurs pour faciliter le mouvement des passagers, ainsi qu’un plan d’exploitation optimale en termes d’administration et d’investissement de tous les espaces dans les différentes stations.

Le ministère des Transports avait précédemment baptisé la première ligne du projet de train à grande vitesse « Ligne verte », reliant la ville d’Ain Sokhna, sur la côte de la mer Rouge, dans le gouvernorat de Suez, et la ville de Marsa Matrouh, sur la côte méditerranéenne, dans le gouvernorat de Matrouh, d’une longueur de 660 km.

Le coût de la première ligne du train électrique à grande vitesse est d’environ 4,45 milliards de dollars, et 15 trains à grande vitesse circulent sur la ligne avec une vitesse nominale de 230 km/h, 24 trains régionaux avec une vitesse de 160 km/h, et 15 locomotives de marchandises d’une vitesse de 120 km/h. La durée du trajet en train à grande vitesse du début à la fin est d’environ 4 heures.

Le gouvernement égyptien vise à tirer sept avantages du projet de secteur électrique rapide, dont le plus important est de faciliter la circulation des passagers au sein des gouvernorats, de soutenir les échanges commerciaux internes, tout en créant de nouvelles opportunités d’investissement dans les gouvernorats de Haute-Égypte.

Le projet offre également de nombreuses opportunités d’emploi au sein des nouvelles gares et communautés, en plus de soutenir de nouvelles zones urbaines et résidentielles en fournissant des transports urbains. Il contribue également à relier les ports terrestres et maritimes et à soutenir les mouvements commerciaux internationaux.

Les trains électriques à grande vitesse se distinguent des autres trains par un certain nombre d’avantages, notamment le fait que la vitesse du train atteint 160 kilomètres et qu’il relie les gouvernorats égyptiens et les ports commerciaux.

La capacité du train par voyage atteint 849 passagers, et le train comprend des haut-parleurs internes et est équipé d’écrans de télévision et de caméras de surveillance. Le train mesure environ 105 mètres de long et compte 389 sièges pour les passagers. Il est également équipé d’une gamme de services pour les personnes ayant des besoins particuliers et, enfin, le train parcourt la distance du Caire à Assouan en moins de 4 heures.

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Le prix du Bitcoin dépasse 81 000 dollars pour la première fois

Le prix du Bitcoin a dépassé, le 11 novembre 2024, 81 000 dollars pour la première fois. Alors qu’il est soutenu par l’adoption des actifs numériques par le président élu Donald Trump et l’entrée de législateurs pro crypto-monnaie au Congrès.

Au cours de sa campagne électorale, Trump s’est engagé à placer les États-Unis au centre du secteur des actifs numériques. Et ce, notamment en créant une réserve stratégique de Bitcoin et en nommant des régulateurs des actifs numériques.

Lire aussi : Le Bitcoin atteint un niveau record

Depuis le début de cette année, le Bitcoin a augmenté de plus de 90 %, aidé par la forte demande d’ETF américains et les baisses de taux d’intérêt de la Réserve fédérale.

Les analystes économiques et financiers ont conclu que la monnaie numérique cryptée « Bitcoin » est sur le point d’enregistrer le niveau le plus élevé de son histoire. Et elle pourrait même dépasser les 100 000 dollars américains, en raison des développements politiques houleux qui ont lieu dans le monde. Avec, en particulier, la victoire du candidat républicain Donald Trump à l’élection présidentielle aux États-Unis.

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