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203 alertes de citoyens concernant un problème lié au droit à l’eau, durant le mois d’octobre 2024 (OTE)

Le site de l’Observatoire Tunisien de l’Eau- OTE (www.watchwater.tn), a reçu, durant le mois d’octobre 2024, 203 alertes de citoyens concernant un problème lié au droit à l’eau, c’est ce qui ressort de la « Carte de la soif », publiée en novembre, par l’OTE.

Le gouvernorat de Sfax arrive en tête avec 35 alertes, suivi de Médenine (23 alertes), Gafsa (17 alertes), Sousse (16 alertes), Nabeul (16 alertes) et Ben Arous (15 alertes). Les alertes concernent, essentiellement, des signalements sur des coupures d’eau potable (148 alertes), et des fuites d’eau (33 alertes). L’Observatoire a fait état, en outre, de 14 mouvements de protestation dans certaines zones.

Il convient de noter que le taux de remplissage des barrages s’est situé au niveau de 20,8%, à la date du 12 novembre courant.

Pour rappel, l’OTE avait déjà alerté, le 27 août 2024, sur la nécessité de décréter l’état d’urgence hydrique, en raison d’un taux de remplissage des barrages qui a chuté à 23,2%.

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Barrages de Tunisie : Taux de remplissage au plus bas

EauA la date du 8 novembre 2024, le taux de remplissage de l’ensemble des barrages est descendu à 20,6% ou 483 millions de m3, soit un écart par rapport à la même période de l’année dernière de 142 millions de m3.

Les grands barrages de Sidi Salem et de Sidi Saad sont au plus bas, avec des taux de remplissage de 16%. Seul le barrage MELLEGUE est à 42% mais pour une faible capacité.

Joumine et Nebhana sont pratiquement à sec, avec 6 et 8 millions de m3.

Au cours de cette même date du 8 novembre, les apports ont été de 5,94 millions de m3 contre 0,838 millions de m3 d’utilisation.

Tunisie : les barrages enregistrent une diminution de 61% par rapport à la moyenne saisonnière

Tunisie : les barrages enregistrent une diminution de 61% par rapport à la moyenne saisonnière

La situation des ressources en eau en Tunisie continue de susciter des inquiétudes, malgré les récentes précipitations et épisodes d’inondations. Selon un rapport de l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri) publié le 4 novembre 2024, les réserves des barrages enregistrent une baisse alarmante de 61,05 % par rapport à la moyenne saisonnière, avec un taux de […]

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SONEDE: Coupure d’eau potable dans certaines zones des gouvernorats de l’Ariana et de Tunis

approvisionnement en eau potable

Une coupure et une perturbation de la distribution d’eau potable ont été enregistrées vendredi, 1er novembre 2024, à Menzah 7, à la cité Ennasr 1 et 2 (gouvernorat de l’Ariana) et à Menzah 9 (gouvernorat de Tunis). Les services de la société nationale d’exploitation et de distribution des eaux (SONEDE – district El Manar) ont […]

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Amira Ghenim reçoit le prix de la littérature arabe 2024

La Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe ont annoncé, le 27 octobre 2024 à Paris, l’attribution du Prix de la littérature arabe 2024 à l’autrice tunisienne Amira Ghenim pour son roman ‘‘Le désastre de la maison des notables’’.

Djamal Guettala  

Cet ouvrage, traduit de l’arabe par Souad Labbize et publié aux éditions Philippe Rey, a conquis le jury par son exploration complexe et nuancée de l’histoire contemporaine de la Tunisie. Le prix, doté de 10 000 euros, célèbre chaque année une œuvre littéraire arabe écrite ou traduite en français, dans le but de favoriser la diffusion de cette littérature en France.

Dans ‘‘Le désastre de la maison des notables’’, Amira Ghenim, originaire de Sousse et spécialiste de linguistique, entremêle avec finesse intrigue familiale et grande Histoire.

50 ans d’histoire tunisienne

    Le roman, qui couvre plus de 50 ans d’histoire tunisienne, transporte les lecteurs de la lutte pour l’indépendance jusqu’aux événements de la révolution de 2011. À travers les destins croisés de deux familles bourgeoises, les Naifer, conservateurs et rigides, et les Rassaa, progressistes et ouverts au changement, Ghenim dresse le portrait d’une Tunisie en pleine mutation, tiraillée entre tradition et modernité.

    Pierre Leroy, administrateur délégué de la Fondation Jean-Luc Lagardère et président du jury, a salué «un roman intense, entremêlant intrigue familiale et grande Histoire, qui dessine le portrait complexe et tout en nuances d’une Tunisie en pleine mutation». Ce récit offre une lecture enrichissante des bouleversements sociopolitiques qui ont façonné la société tunisienne moderne.

    Amira Ghenim, qui a également publié ‘‘Le dossier jaune’’ (2019) et ‘‘Terre ardente’’ (2024), voit son deuxième roman, ‘‘Le désastre de la maison des notables’’, récompensé pour son premier passage en langue française. La traductrice Souad Labbize a su rendre en français toute la profondeur et la subtilité de l’écriture de Ghenim, permettant ainsi au public francophone de découvrir ce portrait littéraire d’une société en transition.

    Le jury, composé de personnalités telles que l’artiste et écrivain Mahi Binebine, le journaliste Nicolas Carreau, et l’écrivain Alexandre Najjar, a fait l’éloge de l’écriture de Ghenim, marquant ainsi une reconnaissance importante pour la littérature tunisienne.

    Amira Ghenim succède au palmarès du prix à l’écrivain irakien Feurat Alani, récompensé en 2023 pour ‘‘Je me souviens de Falloujah’’ (JC Lattès).

    Ce prix souligne l’intérêt croissant pour la littérature arabe, à un moment où les récits du monde arabe trouvent une place de plus en plus significative dans le paysage littéraire français, notamment pendant la rentrée littéraire.

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    Tunisie : baisse des réserves en eau malgré les dernières pluies

    Malgré les dernières précipitations que les Tunisiens ont accueillies avec soulagement, le taux de remplissage de l’ensemble des barrages tunisiens a encore régressé à 20,8%, à la date du 23 octobre 2024, en raison de la persistance de la sécheresse. (Illustration: barrage Bouhertma, à Jendouba).

    Selon des dernières données publiées hier par l’Observatoire national de l’agriculture (Onagri), les réserves en eau dans ces barrages ont baissé de 12,1%, pour ne pas dépasser 489,037 millions de m3, contre 556,437 millions de m3, une année auparavant à la même date.

    En comparaison avec la moyenne enregistrée durant les trois dernières années, la régression est d’autant plus alarmante qu’elle se situe au niveau de 21%.

    Toutefois, le taux de remplissage varie d’une région à une autre. Ainsi, les barrages du nord, qui accaparent 91% des réserves en eau disponibles, affichent un taux de remplissage de 24,3%. Les deux barrages de Sidi SaIem et Sidi Barrak contiennent 35% de l’ensemble des réserves du pays en ressources hydrauliques.

    Pour ce qui est des barrages du centre et du Cap-Bon, leur niveau de remplissage s’est limité à, respectivement, 8,8% et 5,6%.

    A l’exception de barrage de Masri, les barrages du Cap Bon sont quasiment vide, tels ceux de Bezirk, Chiba, Lebna, Hma et Abid.

    Toujours d’après le bulletin de l’Onagri, les apports en eau dans les barrages enregistrés le 23 octobre, se sont élevés à 8,850 million de m3, dont près de 7 millions de m3 proviennent des barrages situés au centre et environ 1,6 millions de m3 de ceux du nord.

    Le total des utilisations des eaux des barrages, durant cette journée du 23 octobre, est de 1,537 million de m3.

    Le spécialiste en développement et ressources en eau, Houcine Rhili, avait indiqué, dans un entretien avec l’agence Tap, que la baisse du taux de remplissage des barrages, malgré les précipitations enregistrées, est due au changement de la carte des intempéries en Tunisie. «80% des pluies sont tombées, dernièrement, dans les zones du centre, du Sahel, du Cap Bon et du sud-ouest… et notamment dans les régions où il n’existe pas de barrages, alors que les précipitations enregistrées dans les zones du nord et du nord-ouest étaient très faibles, d’où un apport en eau dans les barrages très limité», a-t-il expliqué.

    I. B. (avec Tap).

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