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Les pays se mobilisent pour l’avenir de la Méditerranée et de la mer Noire

Vingt pays et l’Union européenne ont fait un grand pas en avant pour améliorer la durabilité des pêches et de l’aquaculture en adoptant 17 décisions cruciales, dont 12 recommandations contraignantes, au cours la quarante-septième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est tenue à Rome (Italie).

La CGPM est l’organisation régionale de gestion des pêches ayant le pouvoir d’émettre des recommandations contraignantes concernant le développement des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en mer Noire. Lors de sa session annuelle, les membres de la CGPM ont participé à des débats importants afin d’examiner et d’adopter des propositions de recommandations et de résolutions, reposant toutes sur les meilleurs avis scientifiques disponibles.

« Cette session annuelle a été la conclusion d’une année de travail intense et collaboratif et a démontré l’engagement continu des membres de la CGPM à relever les défis de plus en plus nombreux auxquels se heurte le secteur de la pêche et de l’aquaculture dans notre région» a déclaré Miguel Bernal, Secrétaire exécutif de la CGPM.

« Les décisions que nous avons adoptées collectivement cette semaine engagent encore davantage ce secteur sur la voie de la durabilité, afin qu’il puisse continuer à jouer un rôle essentiel pour assurer les moyens de subsistance, la sécurité alimentaire et la nutrition dans la région méditerranéenne », a précisé Mohammed Malouli Idrissi, Directeur du centre de Tanger de l’Institut national de recherche halieutique, Maroc et Président du Comité scientifique consultatif des pêches de la CGPM.

La santé des mers et la productivité des pêches

Le pourcentage de stocks faisant l’objet de surpêche en Méditerranée et en mer Noire est descendu à son niveau le plus bas depuis dix ans (moins de 60 pour cent), mais la pression de pêche reste deux fois supérieure au niveau considéré comme durable, comme le souligne la publication phare de la CGPM, La situation des pêches en Méditerranée et en mer Noire 2023 (en anglais). Pour faire face à ce problème, la CGPM agit sur toutes les facettes de la gestion durable des pêches.

Parmi les décisions adoptées cette semaine figure le renforcement des mesures relatives à la gestion de nombreuses espèces prioritaires de la CGPM, notamment l’anguille d’Europe, le corail rouge, la dorade rose, le merlu européen, la langoustine, le sprat, le turbot, le rapana veiné, l’aiguillat commun et l’esturgeon.

Concernant la mer Adriatique, la conclusion d’un processus rigoureux d’évaluation de la stratégie de gestion a étayé une recommandation historique visant à établir des règles de contrôle des captures par espèce et des limites de captures annuelles pour la sardine et l’anchois, une décision qui s’écarte des limites de captures conjointes appliquées jusqu’ici et qui favorise la durabilité écologique et la stabilité économique.

Dans le même temps, en mer Noire, une légère augmentation des limites de capture a été adoptée pour le turbot, une espèce cruciale dont la mortalité par pêche a été divisée par trois et la biomasse a été multipliée par trois, et qui s’approche désormais de la durabilité grâce à la mise en place d’un plan de gestion pluriannuel en 2017. Cette décision a pour but d’encourager les pêcheurs et de dissuader la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (pêche INDNR), tout en améliorant la collecte de données sur l’effort de pêche et sur les rejets et en définissant de nouvelles mesures techniques pour réduire les captures des prises accessoires.

Une nouvelle zone de pêche réglementée en Méditerranée

L’aménagement gestion spatial était également au centre de l’attention, puisque les pays se sont mis d’accord pour créer une zone de pêche réglementée dans le canal d’Otrante, en mer Adriatique. Cette décision met en place une zone principale dans laquelle les opérations de chalutage de fond sont interdites, afin de protéger les écosystèmes marins vulnérables composés de corail bambou et d’accroître la productivité des ressources biologiques marines en protégeant les habitats essentiels aux ressources halieutiques, par exemple ceux de la crevette rouge et du gambon rouge. Elle définit en outre une zone tampon, au sein de laquelle les activités de pêche sont réglementées. Cette zone de pêche réglementée est la onzième instaurée par la CGPM, et sa superficie sera comparable à celle d’un pays comme le Luxembourg.

L’appui au développement durable de l’aquaculture

L’aquaculture a été une autre question cruciale dans les discussions de cette semaine, et les pays ont salué les progrès accomplis en faveur du développement durable de ce secteur, ainsi que les nombreux programmes d’assistance mis en place dans toute la région au cours de l’année écoulée.

En réponse aux maladies émergentes provoquées par le changement climatique, qui mettent en péril la productivité et la croissance de l’aquaculture, les pays ont décidé de créer un réseau chargé de surveiller les maladies aquatiques et de réduire autant que possible les risques induits par le commerce.

Des principes d’investissement responsable dans l’aquaculture ont également été adoptés, l’objectif étant de rendre ce secteur plus attractif pour les investisseurs et de mettre en évidence son rôle dans la sécurité alimentaire.

Des progrès ont été réalisés sur le plan de la conformité et de l’application des règles pour lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée

La session annuelle a donné la priorité au renforcement de la conformité afin de s’assurer que les pays membres appliquent effectivement les décisions de la CGPM, ce qui étaye leurs engagements en matière de développement et de réglementation des activités de pêche et d’aquaculture.

Des avancées majeures ont été réalisées ces dernières années et la CGPM a joué un rôle déterminant dans les progrès réalisés par de nombreux pays dans la révision de leur législation nationale pour cibler spécifiquement la pêche INDNR, ainsi que dans la mise en œuvre des mesures de la CGPM, telles que le plan d’action régional de lutte contre la pêche INDNR dans la zone de compétence de la CGPM.

Grâce à ces efforts, l’Albanie, l’Algérie, l’Égypte, le Maroc, le Monténégro, la Türkiye et l’Union européenne et ses États membres ont été récompensés lors de la session annuelle pour avoir intégré les décisions de la CGPM dans leur cadre juridique et communiqué des données rigoureuses.

L’année dernière a marqué le lancement d’une nouvelle phase vers un cadre plus moderne permettant un contrôle plus étroit du respect des décisions de la CGPM par les pays. La session a largement débattu sur la manière de fournir aux pays de la CGPM les moyens nécessaires pour progresser rapidement dans ce domaine. Les pays ont souligné qu’il était essentiel d’améliorer les évaluations de la conformité et la mise en pratique des outils de suivi, de contrôle et de surveillance, tels que les programmes d’inspection et les observations de navires.

Les prochaines étapes

Toutes les décisions qui ont été adoptées à cette session annuelle visent à assurer la durabilité à long terme du secteur de la pêche et de l’aquaculture.

« Pour l’avenir, je suis convaincu que nous pouvons placer la barre plus haut et relever ensemble les défis qui nous attendent. Je voudrais aussi reconnaître et féliciter ceux qui contribuent collectivement à nos efforts, les experts, les administrateurs, les pêcheurs et les aquaculteurs pour leur travail acharné et leur engagement dans notre travail qui ne cesse de croître, en tant que bénéficiaires ultimes de nos décisions », a déclaré Fouad Guenatri, Chargé d’études et de synthèse, Ministère de la Pêche et de la Production Halieutique, Algérie.

 

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Yakoota lance une nouvelle IA pour faciliter la comparaison des contrats d’assurance pour les courtiers et le grand public

Yakoota lance un comparateur nouvelle génération offrant une vision à 360° de la qualité d’un contrat d’assurance. Cette innovation, reposant sur l’IA générative, permet un conseil factuel et ultra-personnalisé.

Elle respecte par essence la règlementation et intègre la dimension ESG1 dans le conseil en assurance.

L’IA au service d’un conseil personnalisé, fiable et rapide

L’algorithme de Yakoota peut analyser plus de 10¹² combinaisons possibles pour trouver la meilleure offre en fonction des propres critères de chaque assuré : zone géographique, nature des biens et événement à couvrir, options de couverture, etc. Il prend également en compte les multiples interactions entre ces variables. En quelques secondes, il classe les contrats d’assurance et propose des possibilités de personnalisation supplémentaires en fonction des préférences de l’assuré (qualité des couvertures, qualité de gestion, score ESG et performance digitale). Il génère enfin un rapport automatisé de conseil personnalisé et factuel, en particulier pour répondre aux exigences de la directive DDA [Directive sur la Distribution d’Assurance]. La comparaison automatique et personnalisée de la qualité en assurance est une première mondiale. Elle permet aux agents et aux courtiers d’assurance français de gagner un temps précieux et une précision jusqu’ici inégalée.

Une comparaison holistique et 100% indépendante

Yakoota compare toutes 2 les offres et toutes les composantes de la qualité d’un contrat
d’assurance :
– La qualité de couverture : les clauses d’un contrat sont prises en compte de manière systématique. Elles sont ensuite pondérées selon leur importance et non pas en fonction de choix subjectifs.
– La qualité de gestion : la fiabilité, la rapidité et la simplicité des actes et services de gestion sont intégrées.

Les équipes de Yakoota sont particulièrement fières d’introduire explicitement le score ESG dans l’évaluation de la qualité des contrats d’assurance. Cette information fiable contribuera à promouvoir une assurance pour un monde durable.
Les comparatifs Yakoota confirment qu’une vision holistique de la qualité est essentielle pour fournir un conseil fiable. Nous les mettons ainsi à la disposition de l’ensemble des acteurs du marché pour faciliter la comparaison qualité-prix.

Une solution pratique, accessible partout où le conseil à l’assuré est essentiel

Yakoota a développé une solution cloud à destination des conseillers en assurance, accessible via le site Yakoota.fr ou intégrée aux CRM des courtiers. L’utilisation de la solution Yakoota est proposée à l’unité ou sous forme d’abonnement annuel, à partir de 37 € HT par mois.
Les particuliers qui souhaitent comparer tous les contrats, y compris ceux des bancassureurs et les mutuelles, peuvent le faire pour seulement 5 € TTC par logement coté.
Mohamed Baccouche, fondateur de Yakoota déclare : « Nous avons décidé de lancer notre solution sur le marché quand l’algorithme a commencé à surpasser régulièrement nos experts.
Il trouvait la meilleure assurance en quelques secondes. Aussi impressionnés que nous le sommes, nous recommandons néanmoins de prendre le temps de choisir son contrat d’assurance et de le faire avec un conseiller utilisant le comparateur Yakoota, surtout pour des besoins non standards. Nous pensons en effet que l’avenir appartient à l’intelligence augmentée : l’intelligence artificielle au service du savoir-faire humain!».

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Ecomondo 2024: l’Italie en première ligne de la transition verte

La 27e édition d’Ecomondo a officiellement ouvert ses portes aujourd’hui 5 novembre à Rimini. Ce salon international dédié à l’économie verte et circulaire, organisé par Italian Exhibition Group (IEG), se tient au Centre d’exposition de Rimini du 5 au 8 novembre.

Avec plus de 1 600 marques exposantes, des acheteurs de plus de 100 pays et 72 organisations, institutions et associations professionnelles internationales, cet événement témoigne de l’engagement mondial pour la durabilité. L’espace d’exposition a été agrandi avec deux nouveaux pavillons, construits pour répondre à une forte demande, et propose un programme riche de plus de 200 réunions, conférences et ateliers, coordonné par le Comité scientifique et technique d’Ecomondo.

Lors de la cérémonie d’inauguration, Maurizio Renzo Ermeti, président de l’IEG, a souligné: «Le parcours d’Ecomondo, qui a débuté en 1997 sous le nom de Ricicla, est marqué par une croissance et un succès remarquables, s’imposant comme le rendez-vous annuel de référence pour l’économie verte et circulaire. Aujourd’hui, Ecomondo offre une plateforme internationale sans équivalent, réunissant des industries, des parties prenantes, des décideurs, des chercheurs, des institutions, des entreprises et des associations, tous unis par un engagement commun pour la durabilité environnementale».

Fabio Fava, président du Comité scientifique et technique d’Ecomondo, a déclaré: «Le programme de conférences, d’ateliers et d’événements de cette année place Ecomondo à l’avant-garde du dialogue international sur les questions les plus urgentes liées à la transition écologique et aux solutions technologiques requises pour sa mise en œuvre en Europe et dans le monde. Le Comité scientifique et technique, soutenu par des experts et des institutions comme la Commission européenne, l’Agence européenne pour l’environnement, la FAO et l’OCDE, continue d’orienter les entreprises des secteurs primaire, secondaire et tertiaire engagées dans cette transition, qui se retrouvent à Ecomondo, véritable laboratoire de connaissance et d’innovation».

Fabrizio Lobasso, directeur général adjoint pour la Promotion du système pays et directeur principal pour l’internationalisation économique du ministère italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, a noté: «La portée internationale d’Ecomondo s’aligne parfaitement avec les forces des entreprises italiennes qui conduisent les transitions écologique et numérique. Ces entreprises apportent qualité et innovation aux marchés mondiaux, faisant progresser les objectifs de durabilité et fournissant des ressources précieuses pour d’autres pays. Nous sommes fiers de la valeur que l’Italie apporte au monde, avec Ecomondo comme plateforme clé de connexion, de dialogue et de nouvelles opportunités».

Le ministre italien de l’Environnement et de la Sécurité énergétique, Gilberto Pichetto Fratin, a conclu la cérémonie d’ouverture en confirmant: «Ecomondo offre un point de vue privilégié pour l’économie nationale. Ici, nous voyons l’Italie à l’avant-garde de la transition écologique, avec un fort accent sur la décarbonisation, l’efficacité, l’utilisation durable des ressources et les innovations dans la production. Pour atteindre nos objectifs climatiques, bientôt débattus à la COP29, nous avons besoin de l’élan puissant de l’économie verte italienne et de modèles réussis comme le recyclage, que nous continuerons à promouvoir sur toutes les plateformes».

Présents à la cérémonie d’inauguration de la 27e édition d’Ecomondo, on pouvait compter Anna Montini, conseillère pour la Transition écologique de la municipalité de Rimini ; Irene Priolo, présidente par intérim de la région Émilie-Romagne; Corrado Peraboni, PDG de l’IEG ; Alessandra Astolfi, directrice d’exposition globale, Division verte & technologie, IEG; et Mauro Delle Fratte, directeur d’exposition d’Ecomondo.

Parmi les principaux moments forts d’Ecomondo, la 13e édition des États Généraux de l’économie verte, organisée par le Conseil national pour l’économie verte et la Fondation pour le développement durable, en collaboration avec le ministère de l’Environnement et la Commission européenne. Le rapport 2024 sur l’état de l’économie verte, présenté ce matin à Ecomondo, offre une vue d’ensemble actualisée des progrès et des défis italiens et internationaux dans des domaines critiques tels que la décarbonisation, l’économie circulaire et l’efficacité énergétique. En particulier, l’Italie confirme une réduction de plus de 6% des émissions de CO₂ (la diminution la plus importante depuis des décennies), un leadership en matière d’économie circulaire (3,6 € de PIB par kg de ressources consommées) et une augmentation de l’agriculture biologique. Des défis persistants, comme l’utilisation des sols et la mobilité durable, figurent parmi les sujets clés de discussion et d’innovation à Ecomondo.

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Agil Energy inaugure une nouvelle station de service

Agil Energy a le plaisir d’annoncer l’ouverture officielle de sa nouvelle station-service sur la Route Lafrane à Sfax, marquant une étape significative dans l’expansion de son réseau, qui compte désormais plus de 227 stations à travers le pays, dont 25 dans tout le gouvernorat et 13 au cœur de sa ville. La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence d’éminentes personnalités officielles et influentes de la ville, des partenaires et un parterre de médias.

Cette ouverture consolide le statut de leader d’Agil Energy dans la distribution des hydrocarbures en Tunisie et réaffirme son engagement à accompagner le développement économique de Sfax et de sa région.

S’étendant sur 1300 m², cette nouvelle station a été conçue pour offrir aux automobilistes une expérience complète et fluide. Sa station de lavage, déjà en service, répond à la demande croissante de solutions pratiques et performantes. Un espace dédié à la vidange, actuellement en phase d’équipement, proposera prochainement des prestations de maintenance haut de gamme. Par ailleurs, une cafétéria Agil Energy en cours de construction viendra enrichir l’offre en créant un espace de détente convivial, permettant aux clients de se relaxer avant de reprendre la route en toute sécurité.

Agil Energy continue d’innover pour répondre aux attentes de ses clients tout en préservant l’environnement. En effet, engagée dans la transition énergétique, la marqueinstallera prochainement une borne de recharge pour véhicules électriques dans la zone de Sfax SakietEzzit, affirmant ainsi son engagement en faveur des solutions durables et des énergies renouvelables. Dans cette même optique, l’installation de panneaux photovoltaïques est également prévue, contribuant à la production d’énergie verte et à la réduction de l’empreinte carbone de la station tout en s’inscrivant dans une démarche de responsabilité sociale et écologique.

D’autres projets d’ouverture sont en cours, notamment à Menzel Chaker d’ici la fin de 2024 et à Jebeniana en 2025, illustrant l’ambition d’Agil Energy d’étendre son réseau et de garantir un service de proximité à travers tout le pays.

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Entre tradition et innovation, un Succès international au SIAL 2024

Fleuron de l’industrie agroalimentaire tunisienne ROSE BLANCHE Group, s’est illustré au Salon International de l’Alimentation (SIAL) 2024 à Paris, en présentant des produits novateurs qui allient tradition culinaire et modernité. En vrai ambassadeur de l’innovation agroalimentaire tunisienne, sa participation au salon souligne son engagement envers l’innovation tout en répondant aux attentes des modes de vie actuels grâce à des solutions rapides, pratiques et respectueuses de l’authenticité.

Des produits innovants au service des exigences modernes

L’une des grandes innovations présentées au SIAL 2024 est sans conteste le Couscous Diari Express. Ce produit révolutionnaire réinvente la manière de préparer un couscous authentique, un plat emblématique de la culture tunisienne. En seulement quatre minutes, les consommateurs peuvent désormais savourer un couscous aux saveurs authentiques, sans avoir besoin de passer des heures de préparation. Cette innovation est une réponse parfaite aux modes de vie modernes, combinant rapidité et respect de la tradition culinaire. 

De plus, la gamme OJAO sans gluten, développée en partenariat avec le groupe émirati EGI (Essa Al Ghurair Investment L.L.C), répond à la demande croissante pour des options alimentaires saines et inclusives, illustrant ainsi l’engagement du groupe envers l’innovation et la santé. Cette collaboration internationale illustre la stratégie du groupe visant à s’ouvrir sur de nouveaux marchés tout en répondant aux besoins d’une clientèle de plus en plus soucieuse de son bien-être. En développant des produits inclusifs et innovants, ROSE BLANCHE Group continue de prouver son leadership et sa capacité à anticiper les tendances alimentaires mondiales.                                                    

Une Visibilité Internationale croissante

La participation au SIAL 2024 représente un jalon stratégique dans l’expansion internationale du Groupe. Ce salon mondial de renom a permis à ROSE BLANCHE Group de renforcer sa position de leader en exposant ses produits phares, notamment le Couscous Diari Express et les pâtes sans gluten OJAO, à un public international de professionnels, distributeurs et partenaires. L’intérêt suscité par ces nouveautés ouvre de nombreuses perspectives d’exportation pour le groupe.

Une collaboration avec le CEPEX pour promouvoir l’excellence tunisienne

En partenariat avec le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), ROSE BLANCHE s’engage activement dans la promotion des produits tunisiens à l’international. Selon Hedi Gaaya, Directeur Général de la filière Céréales et Dérivés: « Notre collaboration avec le CEPEX témoigne de notre détermination à promouvoir l’excellence tunisienne au-delà de nos frontières. Nous sommes fiers de notre rôle d’ambassadeur de l’innovation tunisienne.» 

Investissements technologiques pour une production optimisée

Toujours à l’avant-garde des avancées technologiques, ROSE BLANCHE Group s’engage activement dans l’intégration de solutions innovantes pour optimiser sa production et la rendre plus durable. Le groupe explore l’utilisation de l’intelligence artificielle dans ses processus de fabrication, avec pour objectif de maximiser l’efficacité, réduire les coûts, et mieux répondre aux exigences croissantes des consommateurs tout en garantissant une qualité irréprochable. 

ROSE BLANCHE Group à rester compétitive sur les marchés internationaux tout en proposant des produits conformes aux standards les plus élevés. Cet investissement dans la technologie permettra également au groupe d’anticiper les évolutions du secteur et d’adapter ses offres aux besoins changeants des consommateurs, tout en préservant la richesse de son patrimoine culinaire. 

Des ambitions internationales claires

En plus de son enracinement solide sur le marché tunisien, ROSE BLANCHE Group affiche des objectifs internationaux ambitieux. Ses produits, comme le Couscous Diari Express et les pâtes sans gluten OJAO, visent à séduire tant les consommateurs locaux que la diaspora tunisienne à l’étranger. Cette stratégie témoigne de l’ambition du groupe de renforcer sa présence mondiale tout en restant fidèle à ses valeurs et à la qualité qui font sa réputation.

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JapanMobility Show 2024 : Toyota et l’avenir de l’hydrogène en mobilité

La Toyota Motor Corporation (Toyota) a récemment exposé au JapanMobility Show Bizweek 2024, qui s’est tenu au Makuhari Messe dans la préfecture de Chiba.

Le JapanMobility Show Bizweek 2024 a été un événement où l’industrie de la mobilité et les startups qui mèneront la prochaine génération ont interagi pour co-créer vers un objectif commun de durabilité. Lors de cet événement, Toyota a présenté des technologies liées à la neutralité carbone dans le cadre de ses diverses initiatives de durabilité.

Dans sa quête pour atteindre la neutralité carbone par une approche multipathway, Toyota a encouragé la co-création avec des startups et d’autres entreprises dans les domaines

1) des initiatives pour réaliser une société à hydrogène et
2) de la gestion des énergies renouvelables, toutes deux contribuant à la stabilité de l’approvisionnement énergétique et à la réduction de l’impact environnemental. En favorisant de nouveaux partenariats et en stimulant l’innovation technologique, Toyota vise à renforcer ses efforts pour contribuer à la création d’un avenir durable.

Les principales expositions ont été les suivantes :

1.Cartouche d’hydrogène portable

Toyota a travaillé sur la recherche et le développement visant à réaliser une société neutre en carbone basée sur une approche multipathway avec diverses options énergétiques viables. L’hydrogène est l’énergie propre ultime qui n’émet pas de CO2 lors de son utilisation, et les émissions de CO2 peuvent également être minimisées durant le processus de production lorsque des sources d’énergie renouvelable comme l’éolien et le solaire sont utilisées. L’hydrogène peut être utilisé pour générer de l’électricité dans des systèmes de piles à hydrogène et peut également être utilisé comme combustible.

Ces cartouches d’hydrogène portables ont été exposées pour la première fois au Japon lors de cet événement. La technologie que Toyota a cultivée dans le développement de FCEVs a été utilisée pour réduire la taille et le poids des réservoirs d’hydrogène, qui étaient auparavant grands et difficiles à transporter, à une taille pouvant être transportée à la main. Elles sont conçues pour rendre l’hydrogène une source d’énergie familière et sûre pouvant être utilisée dans une variété de situations quotidiennes.

Un cuiseur à hydrogène développé en collaboration avec Rinnai Corporation a également été exposé comme exemple d’utilisation de l’hydrogène, où l’hydrogène dans des cartouches portables est utilisé pour alimenter des piles à hydrogène pour générer de l’électricité ou pour cuisiner en brûlant du gaz hydrogène dans des cartouches d’hydrogène portables.

2.Système de stockage d’énergie Sweep

Créer une société neutre en carbone nécessite non seulement de résoudre des problèmes énergétiques, mais aussi de construire une économie circulaire. Toyota met également l’accent sur l’économie circulaire dans sa fabrication automobile, ayant longtemps travaillé sur des conceptions qui minimisent les déchets ainsi que sur le recyclage et la réutilisation des matières premières. À la lumière de la popularisation rapide des véhicules électrifiés, y compris les voitures hybrides (HEVs), Toyota met en œuvre des initiatives telles que le développement de batteries efficaces en ressources et de longue durée, ainsi que la réutilisation de batteries usagées récupérées auprès de véhicules électrifiés en fin de vie.

Le système de stockage d’énergie Sweep qui a été exposé lors de cet événement utilise des batteries usagées provenant de véhicules électrifiés en utilisant la technologie de contrôle des batteries Sweeporiginale de Toyota. Dans ce système, différents types de batteries usagées avec divers degrés de détérioration peuvent être réutilisées pour maximiser la capacité de stockage d’énergie restante de chaque batterie. Cela contribuera à un approvisionnement stable en électricité et à la diffusion de l’énergie renouvelable en combinaison avec des systèmes de production d’énergie renouvelable tels que l’éolien et le solaire, qui tendent à entraîner une fourniture d’électricité instable.

Toyota mène des recherches et un développement sur le système de stockage d’énergie Sweep en collaboration avec JERA Corporation depuis 2018. En 2022, le premier système de stockage d’énergie Sweep de grande capacité au monde a été installé à la centrale thermique de Yokkaichi de JERA pour des tests de démonstration.

À travers cette exposition, Toyota a cherché à trouver des correspondances avec des technologies et des idées qui peuvent améliorer le système de stockage d’énergie Sweep et permettre une exploitation plus abordable et stable, comme des technologies de traçabilité pour les batteries usagées et des technologies qui peuvent dramatiquement raccourcir et réduire le travail de remplacement des batteries. Toyota contribuera à la neutralité carbone en construisant une économie circulaire pour aider à créer un avenir durable.

3.GR Corolla alimentée par hydrogène liquide

Toyota a commencé à courir avec une Corolla alimentée par hydrogène fonctionnant au gaz hydrogène en 2021. Depuis 2023, elle participe à des courses d’endurance au Japon et à l’étranger en utilisant une GR Corolla alimentée par hydrogène liquide.
Le véhicule ayant réellement participé aux courses a été exposé au stand d’exposition conjoint de la JAMA, où Toyota a présenté ses activités continues pour affiner les voitures et les personnes par le biais de la course et relever des défis en évoluant avec ses partenaires issus de l’industrie, du gouvernement et du monde académique pour atteindre la neutralité carbone.

À travers cette exposition, Toyota a cherché à établir des correspondances avec les technologies et les idées de diverses entreprises et startups sous différents angles, y compris la fourniture de services et le développement et la vente de dispositifs utilisant des cartouches d’hydrogène portables. Ce faisant, Toyota a renforcé ses efforts pour utiliser des cartouches d’hydrogène portables et aider à créer une société de l’hydrogène.

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Concours Carthage INNOV’STARTUP 4.0: les étudiants entrepreneurs du PEEC en compétition !

Dans le cadre du Projet d’Appui à la Qualité Practice Jawda (PAQ-DGSU) financé par la Banque Mondiale, l’Université de Carthage, membre premium du « Global Alliance of Entrepreneurial Universities – NCEE », lance à partir d’octobre 2024 la quatrième édition du concours « Carthage Innov’Startup4.0 ». Ce concours supporté par le Pôle Etudiant Entrepreneur de Carthage-PEEC, créé en janvier 2019 dans le cadre d’un projet Erasmus+ SALEEM (structuration et accompagnement de l’entrepreneuriat au Maghreb), met en compétition plus de 120 étudiants parmi les étudiants entrepreneurs ayant obtenu le statut national d’étudiant entrepreneur SNEE, conformément à la Circulaire 42-2019 du mnistère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, et qui disposent d’une idée innovante de projet, comptent créer une entreprise durant leur parcours académique ou après l’obtention de leur diplôme. Les étudiants entrepreneurs ont été sélectionnés durant la période allant de novembre 2023 à avril 2024 devant des jurys composés d’enseignants universitaires et d’experts de l’écosystème entrepreneurial tunisien dans le but, aussi bien de suivre le programme d’accompagnement offert par le PEEC que de participer au concours « Carthage Innov’Startup4.0 » financé grâce à un fonds d’appui à la qualité et à l’employabilité.

Le concours démarre avec un bootcamp du 28 octobre 2024 au 1er novembre 2024 à la Cité des Sciences de Tunis, réunissant les étudiants entrepreneurs, leurs référents-encadrants académiques, avec des experts et professionnels en entrepreneuriat. Un riche programme a été concocté sur les cinq jours, pour allier entre différentes conférences et panels de discussion en innovation, entrepreneuriat durable, l’écosystème des startups et du Bisness et des ateliers entre autres en lean startup, proposition de valeur, Go-To-Market Strategy, MVP, business plan, levées de fonds, montage financier, IA au service de l’entrepreneuriat, leadership entrepreneurial et pitching.

Les candidats ont  présenté le pitch de leurs projets, en demi-finale de ce concours aujourd’hui ,devant des jurys composés d’universitaires et d’acteurs actifs dans l’écosystème entrepreneurial tunisien. Les 10 meilleurs projets seront sélectionnés en demi-finale et seront par la suite accompagnés par leurs référents académiques et des mentors professionnels pour se présenter à la finale prévue le 09 novembre 2024à la Cité des Sciences de Tunis. Les lauréats se verront attribuer des prix offerts à la fois par l’Université de Carthage et ses partenaires sponsors de l’évènement.

Le concours « Carthage Innov’Startup » en sa quatrième édition sera l’occasion de cultiver l’audace et la fibre entrepreneuriale des étudiants en contribuant à la création et au développement d’entreprises innovantes ayant un potentiel remarquable sur notre société et notre économie. Il offre la possibilité d’accompagner cette future génération d’entrepreneurs pour propulser ses idéesinnovantes, concrétiser ses projets d’affaires et surtout contribuer à leur pérennisation. L’organisation d’un tel évènement ne pourrait réussir que grâce à la mobilisation forte et confirmée d’une équipe Taskforce composée par des enseignants référents du PEEC et du personnel administratif de l’Université de Carthage.

 

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Wakeup Cosmetics Milano arrive pour la première fois en Tunisie avec Leaders Makeup

Nous sommes ravis d’annoncer l’arrivée de Wakeup Cosmetics Milano sur le marché tunisien, une marque italienne novatrice qui a su séduire des influenceurs et artistes du maquillage à travers le monde. Distribuée exclusivement par Leaders Makeup, une entité du Leaders Group, Wakeup Milano est fondée sur la conviction que la beauté doit être accessible à tous et que chaque visage a le potentiel de devenir un chef-d’œuvre. Avec sa gamme complète de produits et d’accessoires, la marque s’adresse à tous ceux qui aspirent à sublimer leur beauté au quotidien.

Un mélange de qualité et d’accessibilité

Wakeup Cosmetics Milano, née dans la capitale de la mode, Milan, est une véritable source d’inspiration pour toutes les femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers le maquillage. Sa vaste gamme de produits, pensée pour un usage quotidien et pour toutes les occasions, incarne une vision unique de la beauté. Que ce soit pour le visage, les yeux ou les lèvres, la marque promet une expérience beauté inédite qui saura ravir toutes les passionnées.

Des produits haut de gamme à des prix abordables

Tous les produits Wakeup Milano sont fabriqués en Italie, garantissant ainsi une qualité exceptionnelle. La marque réussit à allier des formulations innovantes à des prix accessibles, proposant plus de 150 références déclinées dans une multitude de couleurs et de textures. Cela permet de répondre aux attentes de chaque consommateur tout en véhiculant une image haut de gamme.

Révélez votre éclat avec Wakeup Cosmetics Milano !

Les consommateurs tunisiens auront l’opportunité de découvrir une large gamme de produits cosmétiques, ainsi qu’une sélection d’accessoires, comme des pinceaux professionnels et bien d’autres. L’objectif de Wakeup Milano est clair : réveiller la beauté naturelle et offrir une expérience unique caractérisée par l’énergie, la liberté et le dynamisme. Avec l’arrivée de Wakeup Cosmetics Milano en Tunisie, le marché de la beauté

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Professional Marketing Meeting 2024 : un rendez-vous incontournable pour anticiper les défis de demain

La deuxième édition du Professional Marketing Meeting arrive à grands pas ! Alors bloquez vos agendas les 19 et 20 décembre 2024, et ne rater pas l’événement incontournable et phare pour les passionnés de marketing en quête de nouveaux défis et d’innovation.

Sous le thème« Les défis et les clés de succès des équipes marketing en 2025 », le PMM 2024 mettra en lumière les stratégies gagnantes pour allier innovation, performance et responsabilité en 2025.

Que vous soyez marketeur confirmé, dirigeant ou jeune talent, le Professional Marketing Meeting vous promet un espace d’inspiration et de partagepour anticiper l’avenir.

Nous sommes impatients de vous accueillir à cette nouvelle édition qui s’annonce riche en échanges et en découvertes. Inscrivez-vous dès maintenant sur : https://promarketingmeeting.com/

À très bientôt pour le Professional Marketing Meeting 2024.

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Michael Philip Khalil Cracknell, co-fondateur d’enda, plus qu’un hommage, un hymne à la Vie…

Dans sa lettre posthume écrite en juillet 2022, et destinée à être distribuée au personnel d’Enda après son départ, Michael avait formulé un vœu simple et émouvant :

« …Et si vous voulez marquer mon départ, je préfère que ce soit par une petite fête : belles chansons, danses, blagues… que par la tristesse ».

Ce souhait a été exaucé.

Le 24 octobre 2024, le Groupe Enda et Essma Ben Hamida, épouse de Michael et co-fondatrice d’Enda, ont organisé une cérémonie rassemblant plusieurs de ses amis proches, des membres de sa famille, des collègues et des partenaires pour lui rendre un dernier hommage.

Mr. Mohamed Ennaceur, ancien Président de la République par intérim, Mme. Faiza Kéfi, ancienne Ministre, les ambassadeurs du Royaume Uni, de la Belgique et de la Suisse ainsi qu’un représentant de l’ambassade du Sénégal et des représentants d’institutions internationales et nationales ont honoré la soirée par leur présence. 

Essma a ouvert la soirée en rendant hommage à l’homme qui avait partagé sa vie pendant plus de 40 ans, dont 35 au service d’Enda et de la Tunisie. En s’adressant directement à Michael, elle a loué ses valeurs, son engagement inlassable, sa discrétion et son altruisme.

Michael œuvrait pour améliorer les services d’Enda au profit des plus démunis, renforcer l’autonomie des jeunes et préserver l’environnement, en particulier nos ressources naturelles. Humble et modeste, il se vouait à la cause des démunis, sans chercher ni honneurs ni distinctions.

D’autres témoignages ont été aussi vibrants : ceux de proches amis, Mohamed Khaled de Palestine et Ajay Bhandoola d’Inde, ainsi que des membres de la famille Enda, MM. Slah Kooli membre du Conseil d’Enda Tamweel, Fethia Gueblaoui, cliente d’Enda représentant les 1,5 million de clients servis par l’organisation, et  Khmaies Rezgui, le tout premier employé d’Enda longtemps encadré et soutenu par Michael.

Quant à Mounir Hentati, ami de longue date, il a imaginé Michael au ciel, œuvrant pour un « développement durable céleste » et une «microfinance inclusive céleste ». 

Tous les témoignages ont souligné ses qualités humaines, son respect pour autrui, sa rigueur et son engagement indéfectible envers la Tunisie et les populations vulnérables servies par Enda. Nous partagerons plusieurs de ces témoignages sur nos réseaux sociaux.

Dans un décor céleste et une ambiance empreinte d’émotion, la soirée, animée par Wassim Belarbi, figure connue des médias tunisiens, a offert un aperçu de la vie de Michael à travers des vidéos et des photos. La lecture de la lettre posthume de Michael, en son et en image, avec sa propre voix recréée grâce à l’intelligence artificielle a été un moment particulièrement émouvant.

Conformément aux souhaits de Michael, la soirée s’est terminée par la musique et la danse.  Scott Johnson et Mehdi Youssef, deux de ses amis, ont interprété certaines de ses chansons préférées, dont des classiques de Frank Sinatra.

Une bonne nouvelle a été annoncée au cours de cet hommage : la création prochaine de la «Fondation Michael Cracknell», projet dévoilé par Essma Ben Hamida et qui verra le jour dans les mois à venir.  Michael continuera ainsi à inspirer jeunes et moins jeunes pour la protection de l’environnement et de la planète, et la dissémination des valeurs qui lui sont chères. 

Michael, repose en paix ! Ta famille, tes amis et tes collègues s’engagent à poursuivre ton œuvre.

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La BIAT réalise une augmentation de capital par incorporation de réserves

La BIAT a tenu son Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) le vendredi 1er novembre 2024au sein de son siège social, en présence des actionnaires, des administrateurs, de la direction générale et des invités. Lors de cette réunion, les actionnaires ont approuvé la proposition d’augmentation du capital social par incorporation de réserves décidée par le Conseil d’Administration de la BIAT réuni le 25 septembre 2024.

En début de séance, l’Assemblée Générale Extraordinaire a statué sur l’augmentation de capital de la BIAT par incorporation de réserves ordinaires d’un montant de 25,5 Millions de dinars. Cette augmentation de capital donne lieu à l’émission 5.100.000 actions nouvelles, d’une valeur nominale de cinq (5) dinars chacune, à attribuer gratuitement aux anciens actionnaires, à raison d’une (1) action nouvelle gratuite pour sept (7) anciennes. Le capital social passerait ainsi de 178,5 Millions de Dinars à 204,0 Millions de Dinars.

La résolution relative à la modification et la mise en conformité des statuts avec les dispositions législatives en vigueur a été également adoptée. Les nouvelles actions porteront jouissance à partir du 1er janvier 2024.

Cette augmentation de capital par incorporation de réserves vise à récompenser les actionnaires pour leur attachement et leur fidélité à la Banque.

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Le CJD Talks 2024 accueille Sofiene Ourimi, expert-comptable et spécialiste du secteur bancaire

Pourquoi cette nouvelle réglementation sur les chèques ?

La nouvelle réglementation, en particulier l’article 411, intervient dans un contexte où 496 citoyens tunisiens sont actuellement emprisonnés pour des infractions liées aux chèques. En Tunisie, un système de financement s’est développé autour de l’utilisation des chèques, palliatif aux lacunes des banques et des structures de crédit. En effet, l’évolution des prêts bancaires, auparavant en croissance annuelle à deux chiffres, s’est réduite à une hausse de 3 % seulement jusqu’en mai 2024. Le coût élevé des crédits bancaires, aggravé par un taux directeur de 8 %, limite aussi l’accès au financement pour les chefs d’entreprises, indépendamment de la taille de leurs sociétés.

Les changements majeurs apportés par la nouvelle réglementation

L’une des principales modifications est la réduction de la peine de prison pour émission de chèque sans provision, ramenée à 2 ans au lieu de 5 ans. En février 2025, les chèques impayés de moins de 5000 dinars ne seront plus passibles d’emprisonnement. Pour ces chèques, la banque notifiera le bénéficiaire de l’impayé, laissant à celui-ci le soin de porter plainte. La plateforme, prévue pour faciliter la gestion des chèques, ne résout toutefois pas le problème plus large de l’accès difficile au financement et des taux d’intérêt élevés. Cette plateforme impose aux banques une adhésion pour transmettre des informations en temps réel, bien que certaines banques tunisiennes pourraient ne pas s’y conformer pour des raisons techniques.

Restrictions bancaires et préparation de la plateforme

Contrairement à la France, les citoyens tunisiens ne bénéficient pas d’un droit automatique au compte bancaire, et les banques conservent la discrétion de ne pas attribuer de carnet de chèques à leurs clients. La mise en place de la plateforme, avec une valeur de chèques compensés en Tunisie atteignant environ 123 milliards de dinars, soulève également des questions quant à la capacité de déploiement d’ici février 2025.

Impact de la réglementation sur les particuliers et les entreprises

Les prêts non bancaires assortis d’intérêts sont dorénavant passibles de 5 ans de prison pour les prêteurs et les emprunteurs. Les entreprises continuant d’utiliser des chèques antidatés, quant à elles, s’exposent à des risques d’emprisonnement. La réglementation introduit cependant des sanctions alternatives à la prison pour les chèques sans provision en cas de non-récidive. Pour les entreprises, l’alignement sur la plateforme pourrait entraîner une baisse de chiffre d’affaires, potentiellement de 10 % à 90 %, notamment dans les secteurs de l’électroménager et du matériel informatique.

Une opportunité pour les banques et le rôle de l’État

Les banques, qu’elles soient privées ou publiques, pourraient tirer profit de ce contexte en renforçant leur rôle dans le financement. L’État peut soutenir cet effort en mettant en place des fonds de garantie et des règles incitatives pour encourager les banques à financer les entreprises et à contribuer ainsi à la création de richesse dans l’économie tunisienne.

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CJD Talks 2024: Oualid Gadhoum, , professeur de droit à la faculté de SFAX et expert indépendant

Le CJD Talks 2024 a récemment reçu M. Oualid Gadhoum, professeur de droit à la faculté de SFAX et expert indépendant, pour discuter des nouvelles réglementations relatives aux chèques en Tunisie et leurs implications. Ce podcast a offert un éclairage précieux sur les changements du 2 août 2024 et leurs répercussions pour les utilisateurs de chèques et les entreprises.

Une culture du chèque profondément ancrée en Tunisie

Depuis trois décennies, l’usage du chèque comme garantie et l’émission de chèques antidatés sont devenus monnaie courante en Tunisie. Ce phénomène s’est transformé en véritable culture, où les transactions commerciales s’appuient sur des chèques, souvent sous la pression de pratiques établies.

Une panique généralisée avec la nouvelle réglementation

La nouvelle loi sur les chèques, effective à partir du 2 août 2024, a semé la panique chez ceux ayant des chèques antidatés jusqu’en 2026, voire 2028. Conformément à cette réglementation, tout chèque antidaté portant une échéance au-delà du 1er février 2025 sera invalidé.

Principaux changements de la réglementation

-Suppression des chèques au porteur : L’endossement des chèques devient interdit, et tous les chèques doivent être barrés.
-Expiration des chèques : Chaque chèque est désormais soumis à une date d’expiration.
-Introduction d’un plafond : Les chèques ne peuvent plus dépasser 30 000 dinars, une mesure qui pose problème aux grandes entreprises habituées à des transactions plus importantes.

Ces mesures visent à réduire l’usage du chèque comme garantie et encouragent plutôt le recours aux virements bancaires.

Un impact majeur pour les entreprises

La limitation des chèques à un plafond de 30 000 dinars pose un défi particulier aux entreprises avec des volumes d’affaires élevés. Ce changement pourrait également affecter les sociétés ayant recours aux chèques pour des paiements fréquents, comme dans le cas des agences de voyage ou des commerçants, qui pourraient voir leurs pratiques bouleversées.

Des conséquences pour les paiements commerciaux et quotidiens

En Tunisie, il est courant d’utiliser des chèques sans ordre spécifié pour des transactions de routine. Cette pratique deviendra désormais interdite, obligeant les utilisateurs à inscrire un bénéficiaire unique, empêchant ainsi la réutilisation du chèque dans d’autres transactions. Ce changement marque une rupture avec les usages actuels.

Le rôle des banques dans la gestion des chèques impayés

Pour les chèques d’un montant inférieur à 5 000 dinars, la banque est désormais tenue de couvrir la somme, sauf si elle adhère à la plateforme de la Banque centrale. Cette plateforme, prévue pour gérer les vérifications de provision, s’accompagne d’obligations pour les banques. En l’absence d’adhésion, la banque devra prendre la responsabilité des chèques impayés.

La nouvelle plateforme numérique de vérification

À partir de février 2025, une plateforme numérique permettra de vérifier la provision d’un chèque, et de bloquer le montant si nécessaire. Cependant, cette procédure pourrait engendrer des délais pour les entreprises qui reçoivent de nombreux chèques quotidiennement, nécessitant éventuellement des recrutements pour gérer ce processus.

Des options de paiement alternatives pour alléger la pression

La nouvelle réglementation encourage le recours à d’autres options de paiement, comme la carte bancaire ou le virement, mais aussi des solutions de cession sur salaire pour les paiements échelonnés. Ces alternatives nécessitent une collaboration accrue entre les entreprises, les banques, et leurs clients pour éviter de recourir aux chèques.

Des risques et des attentes pour une plateforme performante

Pour éviter des retards, la plateforme doit garantir des informations actualisées sur la provision des chèques en temps réel. La Banque centrale publiera également, tous les six mois, une liste des banques adhérant à la plateforme, offrant plus de transparence sur les acteurs du secteur.

Conséquences économiques et judiciaires de la réforme

Les statistiques du ministère de la Justice révèlent qu’à ce jour, moins de 500 personnes sont emprisonnées pour des chèques sans provision, tandis que 10 000 autres ont quitté le pays pour échapper à la justice. Cette réforme, bien qu’essentielle pour moderniser le système financier, pourrait provoquer des difficultés économiques et judiciaires majeures pour les entreprises qui dépendent des chèques dans leurs transactions.

Une période de transition difficile pour les entreprises tunisiennes

Les premiers mois d’application de la loi s’annoncent compliqués, surtout pour les entreprises ayant recours aux chèques antidatés et de garantie. Ces dernières devront cesser cette pratique et trouver des solutions pour les chèques déjà émis. Dans l’immédiat, la période d’adaptation pourrait voir certaines entreprises subir des pertes financières, voire la faillite.

Un futur sans chèques : quelles perspectives ?

À long terme, M. Gadhoum estime que l’usage des chèques pourrait disparaître, laissant place à des méthodes de paiement plus sécurisées et réglementées. Cependant, pour les banques, cette transition pourrait engendrer un manque à gagner, tandis que les entreprises devront repenser leurs pratiques pour éviter les perturbations.

 

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CJD Talks 2024: Mohamed Aymen Chbak, avocat à la cour de cassation et expert en droit des affaires

Le CJD Talks 2024 a récemment reçu M. Mohamed Aymen Chbak, avocat à la cour de cassation et expert en droit des affaires, pour un podcast dédié au thème « La nouvelle réglementation des chèques en Tunisie : comment s’adapter ? ». M. Chbak a abordé les motivations et implications de cette réforme majeure, tout en éclaircissant son impact sur les utilisateurs de chèques et les acteurs économiques.

Une réforme de longue haleine

Contrairement aux impressions d’une application soudaine, cette nouvelle réglementation est le fruit d’années de travail. Les premiers travaux préparatoires avaient été lancés il y a longtemps, impliquant des études poussées et des consultations interministérielles, notamment avec la Banque centrale et les institutions bancaires.

Un cadre légal en évolution depuis 1959

La réglementation des chèques n’est pas nouvelle : elle fait partie du Code du commerce depuis 1959. Elle a cependant connu plusieurs révisions majeures, en 1985, 1996 et plus récemment en 2007. La modification actuelle ne représente donc pas une loi nouvelle, mais une révision significative pour s’adapter aux réalités économiques actuelles.

Une réponse à une situation alarmante

La réforme intervient dans un contexte préoccupant. Actuellement, de nombreuses personnes sont incarcérées à cause de chèques sans provision, et les tribunaux sont saturés d’affaires de chèques impayés. En 2022-2023, plus de 400 000 chèques non honorés, d’une valeur totale de 3,5 milliards de dinars, ont entraîné environ 36 000 condamnations, touchant près de 10 000 individus. Avant le 2 août, un simple chèque sans provision de 100 dinars pouvait mener son émetteur en prison. Cette situation coûte cher à l’État, tant au niveau des frais de détention que de la gestion judiciaire.

Les nouvelles règles de la réglementation des chèques

La réforme introduit plusieurs changements majeurs :
-Dépénalisation des chèques inférieurs à 5 000 dinars : Pour ces montants, c’est désormais la banque qui doit avancer la somme dans un délai de huit jours ouvrables, avant de se retourner vers son client pour recouvrer la dette.
-Limite du montant des chèques : Le montant maximal par chèque est désormais fixé à 30 000 dinars.
-Encadrement des chèques barrés : Tous les chèques seront dorénavant barrés, sauf exceptions à voir directement avec la banque.
-Lancement d’une plateforme numérique : À partir de février 2025, une plateforme permettra aux bénéficiaires de vérifier la provision d’un chèque d’une valeur supérieure à 5 000 dinars et de réserver le montant.

Les risques de contournement et de pratiques frauduleuses

M. Chbak évoque des scénarios potentiels de contournement de ces règles. Par exemple, pour un achat de 150 000 dinars, une personne pourrait délivrer cinq chèques de 30 000 dinars chacun. De même, des montants importants pourraient être divisés en chèques de 5 000 dinars, obligeant la banque à couvrir la somme si la provision est insuffisante.

La fin de l’usage des chèques comme garantie ?

Avec cette nouvelle réglementation, l’utilisation des chèques comme garantie devient risquée. Toute preuve de leur utilisation comme garantie pourrait entraîner des sanctions, y compris des peines de prison pour l’émetteur et le bénéficiaire. La loi vise à restaurer le chèque dans son rôle d’outil de paiement uniquement, afin de réduire les pratiques qui exploitent les failles de l’ancien système.

La plateforme numérique : un outil aux effets incertains

La plateforme numérique prévue en 2025 soulève certaines questions, notamment en ce qui concerne la confidentialité des données financières. Les commerçants traitant un grand nombre de chèques pourraient être contraints d’engager du personnel pour gérer ces vérifications en ligne, une charge financière et logistique supplémentaire.

Des répercussions économiques potentiellement lourdes

Les impacts de cette réforme sont encore incertains, mais M. Chbak souligne le risque de récession et d’inflation, car l’économie pourrait être affectée par ces changements dans les transactions financières.

Des sanctions allégées pour les chèques impayés

En cas de chèque impayé de 5 000 dinars ou plus, la peine est désormais limitée à deux ans de prison (contre jusqu’à cinq ans auparavant). De plus, le processus de plainte est assoupli : le bénéficiaire du chèque doit maintenant porter plainte auprès du procureur, qui décidera de poursuivre ou non.

Conseils pour les acteurs économiques et les banques

M. Chbak insiste sur la vigilance nécessaire des acteurs bancaires et économiques. La Banque centrale doit s’assurer de la bonne mise en place de la plateforme, et les banques doivent vérifier l’éligibilité de leurs clients avant de leur fournir des carnets de chèques. Les utilisateurs de chèques, quant à eux, doivent se tenir informés des nouvelles dispositions pour éviter tout risque juridique.

 

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CJD Talks 2024: Selim Ben Messaoud, directeur général de MBM Group

Le huitième épisode du CJD Talks 2024 a reçu M. Selim Ben Messaoud, Directeur Général de MBM Group, pour une discussion sur « La nouvelle réglementation des chèques en Tunisie : comment s’adapter ? » Face aux défis financiers et aux risques économiques qu’apporte cette évolution législative, M. Ben Messaoud a partagé son expertise sur l’histoire et l’importance de la culture du chèque en Tunisie.

Une culture du chèque comme solution au manque de financement

D’après M. Ben Messaoud, les Tunisiens ont adopté massivement l’utilisation des chèques en raison des taux élevés des crédits bancaires et des garanties souvent inaccessibles pour les PME. Dans ce contexte, le chèque a représenté une solution pratique permettant de sécuriser les transactions sans passer par des prêts coûteux. « Pour beaucoup de commerçants, émettre des chèques antidatés est devenu un moyen efficace de garantir le paiement de leurs fournisseurs sans les contraintes des intérêts bancaires élevés », explique-t-il.

Les chèques impayés, une problématique nationale

En Tunisie, l’utilisation du chèque va bien au-delà de la simple transaction commerciale ; il est aussi perçu comme une garantie en raison des sanctions pénales en cas de non-paiement. Cependant, le nombre croissant de chèques impayés témoigne d’une réalité alarmante, aggravée par l’absence d’une base de données nationale fiable permettant aux commerçants de vérifier la solvabilité de leurs clients. Selon M. Ben Messaoud, « sans un système de notation des entreprises, il est difficile de savoir avec certitude si le client est financièrement fiable ».

Une opportunité pour les institutions financières

Pour M. Ben Messaoud, les nouvelles régulations ouvrent une fenêtre d’opportunité pour les banques et autres institutions financières. « Les banques et établissements de paiement pourraient proposer des solutions adaptées pour soutenir les commerçants et les entrepreneurs face à ces changements », avance-t-il. La nouvelle réglementation, qui stipule que les chèques impayés de 5000 dinars ou moins ne sont plus passibles de sanctions pénales, suscite beaucoup de crainte, surtout dans une économie où le chèque est un instrument de paiement largement adopté.

Un bouleversement pour certains secteurs économiques

La nouvelle réglementation impacte fortement certains secteurs, comme la technologie, l’électroménager ou encore le tourisme, où les transactions par chèques sont majoritaires. « Les agences de voyage, par exemple, qui dépendent des chèques pour leurs réservations, vont devoir réadapter leurs pratiques », note-t-il, tout en soulignant que cette transition pourrait peser sur la croissance de ces secteurs et engendrer une hausse du chômage.

Les gagnants et les perdants du nouveau système

Dans un climat économique en mutation, M. Ben Messaoud identifie les entreprises bien organisées et disposant de relations de confiance avec leurs partenaires comme étant les gagnantes de cette transition. « Les entreprises ayant un historique positif avec leurs clients et fournisseurs pourront progressivement passer des chèques aux traites, tandis que les nouveaux entrepreneurs pourraient faire face à davantage de difficultés pour s’adapter », analyse-t-il. Les entrepreneurs récents, sans historique de confiance établi, pourraient ainsi être désavantagés, réduisant ainsi la compétition pour les entreprises plus expérimentées.

Vers une récession et un besoin de sensibilisation

D’après M. Ben Messaoud, cette réforme légale pourrait entraîner une récession économique en Tunisie, réduisant la circulation monétaire et limitant les stocks des entreprises. « En diminuant les stocks, les entreprises courent le risque de provoquer des pénuries, ce qui pourrait entraîner une inflation », met-il en garde.
Dans ce contexte, il appelle les chefs d’entreprise à informer leurs clients et partenaires de ces nouveaux enjeux, et plaide pour des offres bancaires plus flexibles. Son conseil aux entrepreneurs est de structurer leurs entreprises et d’améliorer leur image de fiabilité pour inspirer confiance auprès de leurs partenaires.

Un appel à l’innovation et au soutien gouvernemental

Pour conclure, M. Ben Messaoud insiste sur le rôle crucial de l’État et des banques pour accompagner cette transition. Il invite les institutions financières à proposer des lignes de crédit à faibles taux d’intérêt et à soutenir les entrepreneurs dans cette phase d’adaptation. « La Tunisie a su s’adapter auparavant et elle pourra le faire à nouveau », conclut-il.

En somme, cette nouvelle réglementation impose une refonte des pratiques financières en Tunisie. Pour réussir, il sera essentiel de restructurer les habitudes économiques, de diversifier les solutions de paiement et de renforcer la confiance mutuelle entre commerçants, entrepreneurs et institutions financières.

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Arab Tunisian Bank célèbre la journée internationale des filles avec un atelier sur l’identité professionnelle

Samedi dernier, l’Arab Tunisian Bank (ATB) a marqué la journée internationale des Filles avec un événement inspirant dédié aux jeunes filles des collaborateurs de la banque. Cet atelier, axé sur le thème de l’identité professionnelle, a rassemblé des adolescentes, des figures féminines retraitées inspirantes de la banque, des responsables et des partenaires internationaux pour une journée de réflexion et d’encouragement, consacrée à la valorisation des jeunes talents féminins.

La journée a débuté par un discours d’ouverture prononcé par le directeur général de l’ATB, qui a souligné l’engagement de la banque en faveur de l’égalité des genres et l’accompagnement des jeunes filles vers un avenir professionnel prometteur. « Le monde a besoin de vous, de votre créativité, de votre courage et de votre vision. Vous avez le pouvoir de changer le monde et nous sommes ici pour vous accompagner et vous soutenir dans ce voyage », a déclaré Riadh Hajjej. Selon lui, il est crucial de donner aux jeunes filles les moyens de construire une identité professionnelle forte et de les encourager à rêver grand. L’équité de genre n’est pas seulement une question de justice sociale, mais aussi un levier essentiel pour le développement économique et la prospérité durable.

Cet engagement a trouvé écho auprès d’Ariane Borgstedt, haute représentante de la GIZ, partenaire de l’événement, ainsi que d’Amel Said, directrice du Goethe-Institut, témoignant du soutien d’institutions internationales à cette cause.

Les élèves du lycée Menzah 8 ont également participé activement à cet atelier, bénéficiant de conseils et d’échanges enrichissants avec des femmes retraitées de l’ATB, dont les parcours inspirants et diversifiés ont apporté des témoignages précieux. Cesanciennesemployéesontpartagéleursexpériencesprofessionnelles, encourageant les jeunes filles à explorer leurs propres passions et à s’engager dans la voie de leur choix avec détermination et confiance. Le réalisateur Abdelhamid Bouchenak a également apporté un témoignage inspirant pour encourager les jeunes filles à croire en elles et à donner le meilleur d’elles-mêmes.

L’initiative a été saluée par tous les participants comme un modèle de coopération entre les entreprises, les familles et les institutions pour offrir aux jeunes filles une vision concrète et positive de leur potentiel professionnel. Consciente des enjeux et de l’importance de la diversité de genre, l’Arab Tunisian Bank espère que cette journée deviendra une tradition, réaffirmant ainsi sa conviction que chaque fille a le droit de rêver et de construire un avenir sans limites.

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Octobre Rose : l’ATB, une banque engagée dans la prévention du cancer du sein

L’Octobre Rose incarne bien plus qu’une simple campagne de sensibilisation : c’est une invitation à l’engagement collectif. En mettant l’accent sur l’importance du dépistage précoce, cette campagne nous rappelle que chaque geste compte dans la lutte contre le cancer du sein. En effet, en promouvant des pratiques de prévention et en facilitant l’accès aux soins, elle tisse des liens forts entre l’information et l’action, contribuant ainsi de manière significative à sauver des vies.

Ainsi, l’ATB réitère son engagement envers la santé et le bien-être de ses collaborateurs en organisant une journée de sensibilisation et de dépistage précoce du cancer du sein au sein de son siège. Cette initiative, menée en partenariat avec l’Association Tunisienne d’Assistance aux Malades du Cancer du Sein (ATAMCS), l’inspection médicale et de la sécurité au travail de Tunis, et la direction régionale de la santé de Tunis, a mis en lumière l’importance de la détection précoce en facilitant l’accès direct au dépistage.

À cette occasion, une équipe médicale a été mobilisée pour réaliser des opérations de dépistage gratuites, tandis qu’une séance de sensibilisation a permis d’informer les employés sur les pratiques de prévention et de santé.

Riadh Hajjej, directeur général de l’ATB, a souligné que cette initiative reflète la responsabilité sociale de l’entreprise : « La détection précoce peut sauver des vies. Nous avons la responsabilité d’informer et d’éduquer notre communauté sur cette maladie, car chaque geste compte dans la lutte contre le cancer. » Par cette démarche, l’ATB illustre concrètement comment la sensibilisation se traduit en actions directes pour protéger ses collaborateurs, tout en soutenant la lutte nationale contre le cancer du sein.

À travers cette initiative, l’ATB conjugue sensibilisation et engagement social, se positionnant comme un acteur mobilisé pour la santé de ses employés. Ainsi, en soutenant activement la campagne Octobre Rose, la banque ne se contente pas d’agir : elle inspire une dynamique collective, prouvant qu’ensemble, nous pouvons bâtir un avenir plus solidaire et en meilleure santé.

 

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