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Le ministère de la Justice “va appliquer la loi à toute personne ciblant les magistrats ou les institutions de l’Etat”

Le ministère de la Justice a souligné, dimanche 22 septembre, dans une déclaration, son engagement à appliquer la loi et imposer sa suprématie à tous afin de préserver le prestige de l’Etat.

Cette déclaration intervient suite à ce qui a été relayé dans les réseaux sociaux concernant des déclarations portant atteinte à la réputation et à l’intégrité des institutions de l’Etat et à la sécurité générale.

Le ministère a ajouté que les mesures nécessaires seront prises, conformément à la loi, à l’égard de toute personne qui tente de mener des campagnes tendancieuses, diffuser des informations ou des contenus portant atteinte à la réputation des personnes et des cadres de l’Etat ou d’organiser des campagnes ciblant les magistrats et menaçant leur sécurité.

Le ministère appelle les magistrats et toutes les composantes de la famille judiciaire à continuer de remplir leur fonctions avec dévouement et responsabilité et à œuvrer à consacrer les principes de l’égalité et de la justice.

Avec TAP

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Tunisie : lancement de la 3ème phase du projet Kaizen 

Le ministère de l’Industrie, de l’Energie et des Mines, en collaboration avec des experts japonais, a officiellement lancé la 3ème phase du projet d’amélioration de la qualité et de la productivité “Kaizen”.

Lors d’une réunion tenue récemment avec la ministre de l’Industrie, Fatma Thabet Chiboub, le plan d’action pour l’extension du concept Kaizen en Tunisie et son exportation vers d’autres pays africains a été présenté.

Depuis 2006, la JICA (Agence japonaise de coopération internationale) accompagne le ministère de l’Industrie pour introduire le concept “Kaizen” dans les entreprises tunisiennes.

Cette approche, qui vise à améliorer continuellement les processus, a permis de former 86 experts locaux, désormais au service des entreprises tunisiennes pour renforcer leur productivité.

Les efforts du ministère, appuyés par les centres techniques et les experts japonais, ont permis de créer un solide réseau d’expertises tunisiennes en Kaizen.

Quant à la nouvelle phase du projet, elle ambitionne de consolider ces acquis tout en préparant les formateurs tunisiens à transmettre leur savoir-faire à d’autres nations africaines.

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Tunisie : le projet CQE lance Exporti pour booster les exportations vers l’Union européenne

Le projet «Croissance Qualitative pour l’Emploi» (CQE) vient de lancer un appel à manifestation d’intérêt au profit des entreprises tunisiennes opérant dans le secteur des ingrédients naturels destinés pour la cosmétique et les produits de santé pour participer au programme d’appui aux exportations vers les marchés de l’UE, baptisé « Exporti ».

L’objectif étant d’aider ces entreprises à développer leurs activités et à mieux se positionner sur le marché européen.

Les entreprises sélectionnées bénéficieront de sessions de formation dispensées par des experts internationaux et nationaux, outre la participation à des événements de prospection et de réseautage aves des acheteurs européens.

Le programme « Exporti » fait partie de la composante Appui à la Modernisation de l’Industrie Tunisienne (PACE-AMIT) du projet CQE, financé par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) et l’Union européenne en Tunisie.

Il est mis en œuvre par l’Agence allemande de coopération  internationale (GIZ), en partenariat avec le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

Plus de 14 mille emplois créés par les entreprises suisses

La présidente de la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-suisse, Ahlem Belhaj Ammar, a indiqué à Mosaïque fm, que 101 entreprises suisses opérant en Tunisie fournissent environ 14 500 emplois. Elle a souligné que la chambre s’efforce d’attirer de petites entreprises suisses pour qu’elles ouvrent des succursales en Tunisie. Selon ses prévisions, entre 700 et […]

Une prime mensuelle de 800 dinars pour les sociétés communautaires

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, a révélé le 17 septembre 2024 sur Mosaique FM qu’une prime mensuelle de 800 dinars sera attribuée aux sociétés communautaires. Cette aide, accordée pendant un an et non renouvelable, vise à soutenir ces entreprises tout en soulignant qu’elles ne doivent pas être vues comme des substituts aux secteurs privé ou public.

Riadh Chaoued a expliqué que le développement des sociétés communautaires est freiné par le cadre législatif actuel. Il a précisé que la prime est plafonnée à 800 dinars par mois et sera limitée à une seule année.

Précédemment, le 10 septembre, Hasna Jiballah, secrétaire d’État chargée des entreprises communautaires, avait annoncé que des subventions mensuelles seront mises en place pour stimuler la création de ces entreprises.

Le président de la République, Kais Saïed, avait exprimé le 9 septembre son soutien aux sociétés communautaires, soulignant leur rôle crucial dans la génération de richesse pour les créateurs et pour la nation.

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Manque d’emplois, croissance insuffisante : Les défis de l’économie tunisienne

Abdelkader Boudriga, président du cercle des financiers tunisiens, a tiré la sonnette d’alarme sur la situation économique du pays, lors d’une intervention à l’émission Expresso sur radio ExpressFM. Selon lui, l’économie tunisienne est confrontée à plusieurs défis majeurs : un taux de croissance insuffisant, un manque d’emplois décents et un cadre législatif peu favorable à l’entrepreneuriat.

Le président du cercle a souligné l’importance cruciale de disposer de données économiques fiables pour élaborer des stratégies efficaces. Il a regretté l’absence de statistiques précises sur la croissance du troisième trimestre 2024, soulignant que les données actuelles ne reflètent pas la réalité du terrain.

Boudriga a également mis en avant le potentiel de l’économie à impact, qui pourrait contribuer à un développement plus équitable et durable. Il a appelé à un soutien accru de l’entrepreneuriat, notamment en révisant le code des changes pour créer un environnement plus favorable aux startups et aux jeunes entrepreneurs.

Le président du cercle des financiers a enfin alerté sur le vieillissement de la population tunisienne et sur la nécessité de créer des emplois de qualité pour les jeunes générations. Il a estimé que le taux de croissance actuel de 2,5 à 3% est insuffisant pour relever ce défi.

Sondage d’opinion – INS : Les industriels entre espoir et déprime

industrie
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Devons nous considérer une croissance annuelle de 0,2% en glissement annuel sur le premier trimestre 2024 tiré vers le haut par le secteur des services (Cafés, restaurants et hôtels) et le secteur agricole, qui a progressé grâce à la hausse des exportations des produits agroalimentaires et en prime de l’huile d’olive, comme étant un signe réel de relance économique ?

Ceci, alors que les secteurs du BTP et de l’industrie accusent des baisses respectives de 6,8% et de 5%. Soit deux secteurs importants qui sont à la traîne depuis des années sans que l’on soit sûrs que leur situation s’améliorera prochainement ! Devons nous croire qu’un pays sans boussole s’agissant de stratégies de relance économique efficientes et concrètes, pourrait réellement rebondir et occuper une place “respectable” sur l’échiquier économique régional ?

Cela fait des années qu’on s’évertue à appeler les autorités compétentes à prendre conscience du spectre de désindustrialisation qui représente une menace grave pour le développement économique de notre pays. Personne n’a écouté nos appels et l’ignorance, le laxisme de l’État quant à l’importance d’une industrie forte pour le développement économique du pays risque, à termes, de mettre fin à toute ambition de réindustrialisation de la Tunisie.

Les industriels eux, d’après la dernière enquête réalisé par l’INS sur leur appréciations du contexte actuel et les perspectives de leurs activités, ne semblent pas très optimistes et bouderaient l’investissement, sachant que l’industrie est le secteur qui a le plus fort taux d’employabilité et dans une économie ne pas investir rime avec ne plus embaucher.

“Les industriels tunisiens broient du noir et n’envisagent ni d’investir ni d’embaucher.”

C’est le cas aujourd’hui dans certaines activités industrielles. S’agissant de l’investissement et pour la deuxième fois consécutive, on relève un solde d’opinion défavorable. Les décisions d’investir sont au dessous de la moyenne enregistrée tout au long des 4 dernières années. Les perspectives d’investissement pour la deuxième moitié de l’année sont négatives. De 13% au premier semestre 2024, les industriels qui pensaient investir sont passés à 7% au deuxième semestre de l’année.

Les opérateurs dans les industries manufacturières ne sont pas optimistes et en prime ceux évoluant dans les industries chimiques (solde opinion positif de 17% en 2023 tombé à -4 en 2024) le textile habillement et cuir (de 21% à 1%) et diverses industries aussi (de -17% à -21%). Seuls ceux évoluant dans le secteur des industries agroalimentaires et les composants mécaniques et électriques sont optimistes exprimant un solde d’opinion favorable passant 2 à 15% pour les premiers et de 8 à 14% pour les deuxième.

Les intentions d’investir sur la deuxième moitié de l’année, montrent des résultats mitigés selon les secteurs d’activités. Ainsi, les intentions d’investissement des industriels dans le chimique ont reculé de 17% en 2023 à -4% en 2024, dans le secteur du textile, habillement et cuir, on est passés de -17% en 2023 à -21% en 2024. En revanche, les intentions d’investir de ceux évoluant dans les industries agroalimentaires ont progressé de 2% à 15% et ceux opérant dans les composants automobile de 8 à 14%.

“Un pays sans boussole s’agissant de stratégies de relance économique efficientes et concrètes, pourrait réellement rebondir ?”

Commentaire de Hechmi Alaya dans le dernier numéro d’Ecoweek : “Le moral dans les chaussettes. Nos chefs d’entreprises industrielles n’ont pas foi dans le présent -et l’avenir- de l’économie tunisienne. Ils broient du noir et n’envisagent ni d’investir ni d’embaucher. Ils avaient déjà̀ le moral dans les chaussettes. Le phénomène s’est nettement accentué cette année aggravant l’attentisme qui marque l’arrêt des embauches et de l’investissement”.

Dans l’attente, l’État tunisien défend la logique d’un gouvernement social mais comment faire du social sans créer de la richesse, sans encourager les investisseurs et sans financer l’économie ? Du social avec quoi et pour qui ? Pour les chômeurs dont une partie ne bénéficie pas de programme de formation adéquats (Ceux surtout dont le niveau scolaire n’a pas atteint la 6ème année primaire) ou encore pour ceux dotés de diplômes qui ne sont pas adaptés aux besoins et aux attentes du marché ?

“L’ignorance, le laxisme de l’État quant à l’importance d’une industrie forte risque, à termes, de mettre fin à toute ambition de réindustrialisation de la Tunisie.”

Une politique économique dont les programmes, les stratégies, les plans ne s’adossent pas à un diagnostic non maquillé de la réalité peut-elle réussir ?

Opposer le peuple aux élites économiques pourrait-il permettre une stabilité sociale, ou encourager les jeunes à entreprendre ?

Un pays peut-il tenir sans compétences et sans capital ?

C’est à ces questions que les candidats en lice pour la présidence du 6 octobre doivent répondre pour que les électeurs sachent quel avenir les attends, eux et leurs progénitures ?

Amel Belhadj Ali

Le taux d’embauche des diplômés de la formation professionnelle dépasse les 80 % (ministre)

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Riadh Chaoud a affirmé, mardi 17 septembre, que la formation professionnelle constitue une voie de réussite et d’excellence et un pilier prometteur en matière d’emploi puisque le taux d’embauche de ses diplômés dans de nombreuses spécialités dépasse les 80 %.

A l’occasion de la nouvelle année de formation 2024-2025 le ministre s’est rendu au Centre de formation et de promotion du travail indépendant d’Ettadhamon (gouvernorat de l’Ariana), et a souligné l’importance de l’ouverture des centres de formation professionnelle sur leur environnement.

Au cours d’une séance de travail tenue à cette occasion, il a indiqué que le plan d’action du ministère pour la nouvelle année de formation comprend l’augmentation de la capacité d’accueil de 705 postes de formation supplémentaires, la reprise de la mise en œuvre de 8 projets de restructuration et le développement de la capacité d’hébergement d’un certain nombre de centres.

Il a également annoncé le lancement de formations bi-certifiantes pour former des spécialistes du diagnostic de l’empreinte carbone des institutions économiques, de la comptabilité et de la réduction carbone, ainsi que le lancement de formations dans le domaine de l’industrie intelligente (Industrie 4.0).

Il est à signaler que le nombre total des offres de formation disponibles au cours de l’année de formation 2024-2025 est de plus de 90 000 et le nombre d’établissements de formation dans le système national est de 512, dont 136 accrédités par l’Agence tunisienne de la formation professionnelle.

Avec TAP

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Tunisie:Riadh Chaoud dévoile les nouvelles mesures de la formation professionnelle pour 2024-2025

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle Riadh Chaoud a affirmé mardi que la formation professionnelle constitue une voie de réussite et d’excellence et un pilier prometteur en matière d’emploi puisque le taux d’embauche de ses diplômés dans de nombreuses spécialités dépasse les 80 %.

A l’occasion de la nouvelle année de formation 2024-2025 le ministre s’est rendu au Centre de formation et de promotion du travail indépendant d’Ettadhamon (gouvernorat de l’Ariana), et a souligné l’importance de l’ouverture des centres de formation professionnelle sur leur environnement.

Au cours d’une séance de travail tenue à cette occasion, il a indiqué que le plan d’action du ministère pour la nouvelle année de formation comprend l’augmentation de la capacité d’accueil de 705 postes de formation supplémentaires, la reprise de la mise en œuvre de 8 projets de restructuration et le développement de la capacité d’hébergement d’un certain nombre de centres.

Il a également annoncé le lancement de formations bi-certifiantes pour former des spécialistes du diagnostic de l’empreinte carbone des institutions économiques, de la comptabilité et de la réduction carbone, ainsi que le lancement de formations dans le domaine de l’industrie intelligente (Industrie 4.0).

Il est à signaler que le nombre total des offres de formation disponibles au cours de l’année de formation 2024-2025 est de plus de 90 000 et le nombre d’établissements de formation dans le système national est de 512, dont 136 accrédités par l’Agence tunisienne de la formation professionnelle.

 

Vers l’actualisation du mémorandum d’entente tuniso-libyen dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle

Le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued, et le ministre libyen du travail et de la réhabilitation, Ali Al-Abed Al-Rida, ont convenu de mettre à jour le mémorandum d’entente tuniso-libyen dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle.

Selon un communiqué du ministère de l’Emploi, ce mémorandum d’entente vise à organiser des sessions de formation selon les besoins des deux pays, à jumeler les centres de formation, à échanger les formateurs, à partager des programmes pour les chercheurs d’emploi, à intégrer les jeunes sur le marché du travail, à soutenir le secteur privé et à échanger des programmes relatifs à l’organisation des bureaux d’emploi et au renforcement de leurs services.

Lors d’une réunion de travail qui s’est tenue hier, dimanche, dans une institution universitaire privée en Tunisie, il a également été convenu de mettre en place un plan d’action pour recevoir des offres d’emploi des entreprises libyennes et les relier aux demandeurs d’emploi tunisiens, ainsi que de former des formateurs et d’échanger des expertises dans le domaine de la formation professionnelle.

Les deux ministres se sont rencontrés à l’occasion de la clôture d’une session de formation dans une institution universitaire privée en Tunisie, dans le cadre de la dynamisation du marché du travail libyen et pour répondre aux besoins des entreprises économiques libyennes dans les domaines du diagnostic et de la maintenance des pannes automobiles, des techniques de soudage ordinaires et industrielles et de l’installation des systèmes d’énergie solaire.

Lors de la clôture de cette session de formation, des certificats ont été distribués à 100 chercheurs d’emploi libyens dans des spécialités demandées sur le marché du travail libyen.

À cette occasion, le ministre de l’emploi et de la formation professionnelle, Riadh Chaoued, a souligné l’importance de promouvoir la coopération dans les domaines de la formation professionnelle, de la formation des formateurs, de l’ingénierie de la formation, de l’emploi et de l’entrepreneuriat privé.

De son côté, le ministre libyen du Travail et de la réhabilitation, Ali Al-Abed Al-Rida, a exprimé le souhait de son pays de tirer profit de l’expérience tunisienne dans le domaine de l’emploi et de la formation professionnelle.

Avec TAP

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Mohamed Nekhili: selon la nouvelle loi, un compte inactif pendant 3 mois peut être fermé après notification du client

Lors de son passage dans l’émission «Expresso» de Wassim Ben Larbi sur Express FM, Mohamed Nekhili, directeur central des affaires juridiques à BTK Bank et membre de la commission juridique du CBF (Conseil bancaire et financier), a expliqué la nouvelle réglementation relative aux chèques sans provision en Tunisie.

L’expert a abordé la fermeture des comptes courants, précisant que, suite à un amendement de l’article 732 du Code de commerce, un compte inactif pendant trois mois peut être fermé après notification du client. En cas de décès ou d’inactivité prolongée de cinq ans, les fonds restants seront transférés au Trésor public.

L’amendement a supprimé l’ancienne pratique qui laissait de nombreux comptes courants inactifs ouverts, obligeant leurs propriétaires à payer des frais élevés lorsqu’ils réalisaient qu’ils n’avaient pas été fermés.

Nekhili a aussi souligné que la nouvelle loi impose aux banques de consacrer 8% de leurs bénéfices pour financer, sous conditions avantageuses, les petites et moyennes entreprises sans nécessiter de garanties.

En outre, il a insisté sur l’importance que les entreprises bénéficiaires de ces lignes de crédit reçoivent une formation adéquate et obtiennent un certificat attestant de leur capacité à gérer une entreprise.

À rappeler que les chèques d’un montant inférieur ou égal à 5000 Tnd ne font plus l’objet de poursuites judiciaires, et le bénéficiaire doit simplement engager une procédure civile. Pour les montants supérieurs, les poursuites ne sont possibles qu’à la demande du bénéficiaire.

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