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Ayachi Zammel renvoyé devant le conseil correctionnel de Kairouan

Ayachi Zammel renvoyé devant le conseil correctionnel de Kairouan

Le tribunal de première instance de Kairouan a décidé de renvoyer le candidat à la présidentielle du 6 octobre, Ayachi Zammel (en détention depuis le 4 septembre), et 7 autres accusés dont deux en cavale, devant le conseil correctionnel de Kairouan sur fond de trois affaires, a indiqué le porte-parole de la juridiction Ahmed Kadri. […]

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Siliana : L’affaire Ayachi Zammel reportée au 26 septembre

La Chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Siliana a rejeté les demandes de libération du candidat à la présidentielle Ayachi Zammel.

C’est ce qu’a annoncé hier, jeudi 19 septembre 2024, son avocat Abdessatar Messaoudi en précisant que les 4 affaires ont été reportées au 26 septembre.

Notons que le ministère public du tribunal de Première Instance de Siliana a autorisé en août l’ouverture d’une enquête pour soupçons de falsification de parrainages au profit du candidat Ayachi Zammel, en détention depuis deux semaines et poursuivi pour les mêmes faits à Jendouba (condamné en première instance à un an et huit mois de prison) , à Manouba et à Tunis.

Son équipe de campagne dénonce à ce propos « une escalade judiciaire injustifiée », estimant que cela a pour but « d’entraver sa candidature et de l’empêcher de communiquer avec les Tunisiens dans le cadre de sa campagne électorale » tout en pointant du doigt une tentative « d’impliquer le pouvoir judiciaire dans des conflits électoraux ».

Y. N.

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Présidentielle tunisienne : Ayachi Zammel ou la prière de l’absent   

A en croire le porte-parole de la commission électorale, les jugements prononcés contre le candidat Ayachi Zammel n’influent pas sur son maintien dans la course à la présidence ni n’affectent le processus électoral. Il reste cependant à se demander s’il y aurait vraiment une course…

Imed Bahri

Mohamed Tlili Mansri a fait cette déclaration à l’agence Tap, jeudi 19 septembre 2024, à deux semaines du scrutin fixé au 6 octobre prochain, ajoutant que les deux processus, électoral et judiciaire, sont différents, d’autant que l’arrestation et les procès ont eu lieu après l’annonce de la liste finale des candidats par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) et sa publication par le Journal officiel de la république tunisienne (Jort).

Cependant, les jugements prononcés par la justice durant la période électorale, qui a démarré le 14 juillet et se poursuivra jusqu’à la proclamation des résultats, seront discutés durant les délibérations finales précédant l’annonce des résultats, a cru devoir préciser Mansri, laissant ainsi entendre qu’en cas de victoire de Zammel (ce n’est qu’une hypothèse de travail), ce dernier pourrait s’en voir privé par la commission électorale.

Rappelons, dans ce contexte, que Najla Abrougui, autre membre du bureau de l’Isie, avait déclaré que les membres de l’équipe de Zammel peuvent mener campagne pour leur candidat, puisque ce dernier est incarcéré depuis le 3 septembre et trimbalé d’un tribunal à un autre pour être jugé pour des soupçons de falsification de parrainages dans son dossier de candidature.   

Reste que Mansri et Abrougui se contentent d’ appréhender le «cas Zammel» sur le plan purement juridique, alors qu’il revêt un caractère éminemment politique, puisque le concerné dénonce des affaires montées de toute pièces et un harcèlement judiciaire visant à l’exclure de la course.

Par ailleurs, quel crédit donner à une consultation électorale où l’un des trois candidats est empêché de mener campagne et de parler aux électeurs? Cela ne jetterait-il pas une ombre sur le processus électoral dans son ensemble et ne ferait-il pas peser de lourdes suspicions sur la transparence et la crédibilité des résultats, d’autant que l’on peut sérieusement s’attendre à ce que l’un des candidats dépose un recours contre ces résultats devant le tribunal administratif, et ce en l’absence de cour constitutionnelle. Hypothèse à ne pas écarter…

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Refus de libération de Zammel

La chambre correctionnelle près le Tribunal de première instance de Siliana a décidé, jeudi 19 septembre 2024, de rejeter la demande de libération du candidat à l’élection présidentielle, Ayachi Zammel, ainsi que des personnes l’accompagnant, et de reporter les affaires portées contre lui à Siliana au 26 septembre, selon Diwan fm. Il convient de rappeler […]

Le triste état de la démocratie tunisienne

La réélection quasi certaine de Kaïs Saïed en octobre prochain pour un seconde mandat présidentiel renforcera l’autocratie tunisienne et marquera la fin définitive de la dernière expérience démocratique du Printemps arabe.

Ian Bremmer *

L’auto-immolation du vendeur de fruits Mohamed Bouazizi, il y a 14 ans, a incité les Tunisiens à renverser leur dictateur de longue date et a donné le coup d’envoi du Printemps arabe de 2011. De tous les pays de la région qui ont attrapé le virus de la révolution, la Tunisie a été le seul à avoir réussi à construire une démocratie multipartite avec séparation des pouvoirs et liberté d’expression, devenant pour un temps l’exemple d’une démocratisation réussie.

Puis est arrivé le président Kaïs Saïed, un constitutionnaliste peu charismatique, élu en 2019 sur un programme populiste anti-corruption qui a exploité la désillusion post-révolutionnaire des Tunisiens en matière d’impasse politique et de stagnation économique. Cinq ans plus tard, le berceau du Printemps arabe est devenu le théâtre d’un recul démocratique alarmant.

Le premier signe majeur de difficultés s’est produit en 2021, lorsque Saïed a utilisé la pandémie de Covid-19 pour centraliser son pouvoir. Le président tunisien a suspendu la constitution, limogé son Premier ministre et invoqué des protocoles d’urgence pour gouverner par décret. En 2022, il est allé encore plus loin en dissolvant le Parlement et en réécrivant la constitution. La persécution des politiciens de l’opposition, des critiques, des militants, des journalistes et des dirigeants syndicaux n’a fait que s’intensifier depuis. Cela inclut Rached Ghannouchi, chef du principal parti d’opposition Ennahdha; Lotfi Mraihi, chef du de l’Union populaire républicaine; et Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre. Tous trois sont désormais derrière les barreaux sur la base d’accusations forgées de toutes pièces.

Fin des contrepoids démocratiques

Le mandat de Saïed devant expirer le 23 octobre, l’homme fort de la Tunisie brigue cinq ans supplémentaires à la présidence lors des nouvelles élections qu’il a prévues pour le 6 octobre. Mais après avoir passé tout son mandat à démanteler les freins et contrepoids démocratiques, à consolider le pouvoir et à museler la dissidence, ce mandat ne sera ni gratuit ni équitable.

Tous les adversaires crédibles de Saïed ont été soit emprisonnés, soit contraints à l’exil, soit empêchés de se présenter. Le 2 septembre, la commission électorale tunisienne soi-disant indépendante – dont les sept membres ont été nommés par le président – ​​n’a approuvé que deux candidats relativement inconnus, au mépris d’une ordonnance du plus haut tribunal du pays autorisant trois candidats supplémentaires à se présenter. L’un des candidats officiels, Ayachi Zammel, a été arrêté et accusé de falsification de parrainages électoraux (on ne sait pas s’il sera autorisé à se présenter).

Malgré certaines inquiétudes du public concernant la dérive autocratique de Saïed, il reste relativement populaire. Sa rhétorique xénophobe et contestataire résonne fortement auprès d’une grande partie de la population qui estime que la démocratie n’a pas amélioré leur niveau de vie.

Les problèmes économiques s’aggravent

La plus grande vulnérabilité de Saïed vient de la détérioration des conditions socio-économiques que la plupart des Tunisiens ont connues sous son règne. Après tout, la seule chose que les gens détestent plus qu’un autocrate, c’est un autocrate qui ne parvient pas à approvisionner le marché.

Même si Saïed a jusqu’à présent réussi à éviter un défaut souverain sur la dette extérieure gonflée de la Tunisie sans recourir à un prêt du FMI, décrié mais indispensable, cela s’est fait au prix d’une inflation plus élevée, d’un ralentissement de la croissance économique et de fréquentes pénuries de nourriture et de carburant.

Le gouvernement a également de plus en plus recours à l’emprunt auprès de la banque centrale autrefois indépendante ainsi qu’auprès des banques locales pour couvrir ses besoins de financement croissants, ce qui fera encore grimper l’inflation et créera des risques financiers.

À mesure que les problèmes économiques s’aggravent, la confiance des citoyens dans leur gouvernement va faiblir. Les demandes de changement vont se renforcer. Des protestations et de la répression pourraient s’ensuivre. Peut-être y aura-t-il même des appels à de nouvelles élections.

Mais les Tunisiens n’auront que peu de recours après la réélection quasi certaine – et dont la légitimité sera remise en question – de Kaïs Saïed en octobre prochain, qui renforcera l’autocratie tunisienne et marquera la fin définitive de la dernière expérience démocratique du Printemps arabe.

Source: Time.

* Rédacteur en chef au Time et président d’Eurasia Group, un cabinet de conseil en risques politiques.

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Condamnation d’Ayachi Zammel : aucun impact sur sa candidature présidentielle

Condamnation d’Ayachi Zammel : aucun impact sur sa candidature présidentielle

Le porte -parole de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Elections (ISIE) Mohamed Tlili Mnasri a indiqué que les jugements prononcés à l’encontre du candidat à la présidentielle Ayachi Zammel n’altère ni sa présence dans la course électorale ni le processus électoral. “La condamnation d’Ayachi Zammel n’aura aucun impact sur sa présence dans la course électorale” […]

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La présidentielle tunisienne entre non-dits, faux semblants et ambiguïtés

La commission électorale continue d’entretenir le mystère sur la suite du processus électoral pour la présidentielle du 6 octobre prochain. C’est à se demander si elle contrôle vraiment la totalité de l’opération comme elle ne cesse de nous en rebattre les oreilles. En effet, beaucoup d’éléments dans ce processus restent entourées de mystères et d’ambiguïtés, ce qui nuit énormément à sa transparence et à sa crédibilité.

Imed Bahri     

Nous ne reviendrons pas sur la polémique ayant entouré le refus de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) d’appliquer les décisions (censées être exécutoires) de l’assemblée générale du tribunal administratif reconnaissant le droit de candidature de trois candidats recalés par l’Isie : Abdellatif Mekki, Mondher Zenaïdi et Imed Daïmi, finalement écartés par la course par décision unilatérale.

Concernant l’un des trois candidats officiellement retenus par l’Isie, Ayachi Zammel en l’occurrence, personne, même au sein de la commission électorale, ne peut nous expliquer si sa candidature sera maintenue jusqu’au jour du scrutin, sachant que le candidat est incarcéré depuis plus de deux semaines, poursuivi dans plusieurs affaires de falsification de parrainages, et qu’il a même été condamné hier, par le tribunal de première instance de Jendouba, à 18 mois de prison ferme, en attendant les verdicts des autres affaires en cours contre lui à Tunis, Manouba, Siliana et Kairouan.

Même si la candidature de Ayachi Zammel, qui dénonce des affaires montées de toute pièce et de harcèlement judiciaire, semble être encore valable et si ses partisans continuent de faire semblant de mener campagne pour lui, quel crédibilité donner à un processus électoral tout en non-dits, en faux semblant et en interdits de toutes sortes, et dont l’un des principaux protagonistes est exclu de fait ?  

Un autre sujet suscite la perplexité des observateurs et des électeurs : la campagne électorale elle-même qui a du mal à vraiment démarrer avec un président sortant, Kaïs Saïed, dont on a du mal à distinguer les activités officielles de celles électorales. Lui-même semble avoir du mal de tracer une ligne de démarcation claire entre les deux niveaux, et l’Isie continue de regarder ailleurs, malgré les critiques en ce sens exprimées par un troisième candidat, Zouhair Maghzaoui. Lequel continue d’exiger un débat télévisé de premier tour entre les trois candidats, sans avoir encore de réponse à ce sujet, ni de la part de son supposé concurrent, Kaïs Saïed, ni de l’Isie elle-même.

Interrogé à ce sujet hier, mercredi 18 septembre, dans l’émission ‘‘Houna Tounes’’ sur Diwan FM, le porte-parole de la commission électorale Mohamed Tlili Mansri s’est contenté de rappeler que l’Isie a confirmé le principe du débat entre les candidats à la présidentielle dans ses décisions réglementaires, et qu’il n’y a pas eu de changement à ce niveau. Mais comment, quand, sur quels médias, sous quel format et avec quels candidats ce débat télévisé va-t-il avoir lieu? Mystère et boule de gomme, alors que nous sommes à moins de trois semaines du scrutin…

«En cas de débat télévisé entre les trois candidats à la présidentielle, il y aura un tirage au sort entre les concernés et la décision à ce propos reviendra aux médias publics», s’est contenté de dire Mohamed Tlili Mansri, confirmant ce que l’on sait déjà, à savoir que certains aspects de l’opération électorale échappent totalement à l’Isie, qui n’a pourtant de cesse de prétendre contrôler la totalité du processus.

Alors, le fameux débat télévisé qui, en 2019, a permis à Kaïs Saïed de prendre une sérieuse avance sur ses concurrents, aura-t-il lieu en 2024. Bien malin celui qui pourra répondre à cette question…   

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Tunisie – Elections présidentielle 2024: L’équipe chargée de la campagne de Zammel dénonce sa condamnation

Tunisie – Elections présidentielle 2024: L’équipe chargée de la campagne de Zammel dénonce sa condamnation

L’équipe chargée de la campagne de Ayachi Zammel à la présidentielle a appelé, mercredi dans un communiqué, “toutes les forces démocratiques, les défenseurs des droits de l’homme, les organisations de la société civile, ainsi que l’Instance supérieure indépendante pour les élections, à intervenir afin que le candidat Ayachi Zammel puisse rester en liberté et jouir […]

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L’équipe de campagne d’Ayachi Zammel dénonce «une escalade judiciaire injustifiée»

L’équipe de campagne d’Ayachi Zammel s’est exprimée dans la soirée de ce mercredi 18 septembre 2024, sur la peine de 20 mois de prison prononcée ce jour à l’encontre du candidat à la présidentielle par le tribunal de Jendouba

Dans son communiqué, l’équipe de campagne de M. Zammel a dénoncé une escalade judiciaire injustifiée, estimant que cela a pour but « d’entraver sa candidature et de l’empêcher de communiquer avec les Tunisiens dans le cadre de sa campagne électorale » tout en pointant du doigt une tentative « d’impliquer le pouvoir judiciaire dans des conflits électoraux ».

L’équipe du candidat a de ce fait fermement condamné une atteinte aux droits d’Ayachi Zammel en tant que candidat et une atteinte aux droits des Tunisiens, notamment celui de choisir librement leur représentant, ajoute le communiqué.

« Nous appelons toutes les forces démocratiques, les défenseurs des droits humains, les organisations de la société civile ainsi que l’Instance supérieure indépendante pour les élections à à se tenir aux côtés de Ayachi Zammel afin qui’il puisse poursuivre sa campagne électorale », lit-on encore dans le communiqué. Et de conclure : « Faisons-en une campagne citoyenne participative qui exprime notre adhésion à nos droits et à notre liberté de choix ».

Y. N.

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Zammel condamné à 20 mois de prison

Le Tribunal de première instance de Jendouba a condamné le candidat à la présidentielle Ayachi Zammel à 20 mois de prison pour « falsification de parrainages » , selon Mosaïque fm. Rappelons que Zammel a décidé, aujourd’hui, de boycotter toutes les audiences prévues dans le cadre des instructions judiciaires engagées à son encontre.

Il boycotte les séances d’interrogatoires

Le candidat à l’élection présidentielle, Ayachi Zammal, a annoncé sur sa page Facebook ce mercredi 18 septembre 2024, qu’il boycottera toutes les séances d’enquête programmées à son encontre. Il met ainsi fin à ce qu’il considère comme une « méthode de harcèlement pratiquée contre lui » et qu’il a qualifiée de série de procès politiques. Zammal a […]

Ayachi Zammel condamné à un an et huit mois de prison

Ayachi Zammel condamné à un an et huit mois de prison

La chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Jendouba a condamné le candidat à l’élection présidentielle Ayachi Zammel à un an et huit mois de prison dans une première affaire où il comparait en état de détention avec d’autres accusés. La juridiction a, également, décidé le report au 25 septembre d’une audience dans une […]

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Me Abdessatar Messaoudi : Ayachi Zammel condamné à un an et huit mois

L’avocat Abdessatar Messaoudi a annoncé dans la soirée de ce mercredi 18 septembre 2024, que le tribunal de Jendouba a condamné Ayachi Zammel, candidat à la présidentielle, à une peine d’un an et huit mois de prison.

Me Messaoudi, membre du comité de défense a fait cette annonce via un post publié sur sa page Facebook, sachant que Ayachi Zammel, en détention depuis deux semaines, n’a pas assisté à son procès ayant décidé de le boycotter : « en raison des violations flagrantes et du manque de fondements pour un procès équitable, avait indiqué l’avocat ».

Dans un précédent post, l’avocat avait également annoncé que les avocats défendront, demain jeudi, le candidat à la présidentielle dans d’autres affaires similaires et liées à des soupçons de falsification de parrainages au tribunal de Siliana, ceux de Manouba et de Tunis ainsi qu’au tribunal de Kairoun qui a émis deux mandats de dépôt à l’encontre d’Ayachi Zammel…

Y. N.

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Le candidat à la présidentielle Ayachi Zammel décide de boycotter toutes ses audiences

Le candidat à la présidentielle Ayachi Zammel a décidé de boycotter toutes les audiences prévues dans le cadre des instructions engagées à son encontre, annonce un communiqué publié ce mercredi 18 septembre 2024, sur la page Facebook du concerné.

En détention depuis deux semaines et poursuivi dans plusieurs affaires liées à des soupçons de falsifications de parrainages, le candidat à la présidentielle affirme que cette décision a été prise « afin de protester contre le harcèlement judiciaire et les procès politiques le visant et qui l’empêchent de mener sa campagne électorale ».

Ayachi Zammel estime par ailleurs que les accusations le visant « sont basées sur des dossiers fabriqués dans le but de l’épuiser psychologiquement et physiquement afin de l’empêcher de mener sa campagne et de présenter son programme en sa qualité de candidat officiel à la présidentielle du 6 octobre 2024 ».

Y. N.

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Avis de recherche à l’encontre du frère de Zammel

Le parquet près le tribunal de première instance de Kairouan a décidé de placer en garde à vue deux membres de la campagne électorale du candidat à la Présidentielle, Ayachi Zammel et d’inclure l’un de ses frères dans la liste des personnes recherchées, a rapporté une source informée à Mosaïque FM. Il convient de noter […]

Présidentielle tunisienne : Ayachi Zammel croit toujours pouvoir «tourner la page»

En l’absence du candidat à la présidentielle du 6 octobre 2024, Ayachi Zammel, emprisonné et poursuivi dans plusieurs affaires de falsification de parrainages, c’est son équipe de campagne qui tente de parer à son absence et de battre le pavé pour lui.

Lors d’une conférence de presse, lundi 16 septembre, des membres de la campagne de Zammel, candidat du parti Azimoun, ont présenté les grandes lignes du programme de candidature de l’homme d’affaires sous le slogan «On tourne la page».

Zammel s’engage, entre autres, a combattre la pauvreté, la marginalisation et le chômage par la création d’opportunités d’emploi réel, le soutien aux catégories les plus démunies et une économie diversifiée créatrice de richesses et basée sur l’intelligence, une économie fondée sur l’investissement et une meilleure exploitation des richesses matérielles et humaines.   

L’équipe de campagne a aussi insisté sur la volonté du candidat de miser sur les jeunes compétences et d’investir dans les industries culturelles et numériques, en ouvrant la voie devant les jeunes pour qu’ils intègrent l’ère de l’intelligence artificielle et de l’économie numérique.

Zammel se promet aussi de bâtir une société solidaire et prospère qui offre une vie digne à tout citoyen, améliore son pouvoir d’achat par la maîtrise des prix, la hausse des salaires et la garantie d’un revenu minimum préservant la dignité des familles les plus pauvres, tout en améliorant les services de base, comme le transport, la santé, l’habitat et l’éducation et en mettant en place des infrastructures culturelles et sportives décentes.

Le communiqué de l’équipe de campagne de Zammel souligne, par ailleurs, la nécessité de mettre en place un système politique démocratique et participatif, fondé sur une constitution garantissant un équilibre des pouvoirs soumis au contrôle d’instances constitutionnelles, notamment une Cour constitutionnelle (CC) et un Conseil supérieur de la magistrature (CSM). D’où la nécessité de revoir la constitution de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) et de la Haute instance indépendante pour la communication audio-visuelle (Haica) pour leur assurer l’indépendance et l’efficacité requises.

Le candidat promet, en outre, d’œuvrer à la libération des détenus politiques et à revoir les lois liberticides mises en place ces deux dernières années, notamment le décret loi n°54 en vertu duquel de nombreux activistes politiques, militants de la société civile et journalistes sont emprisonnés et poursuivis en justice.

Une campagne électorale en l’absence d’un candidat, incarcéré, est un exercice pour le moins frustrant, et pas seulement pour l’intéressé et pour ses partisans, car comment déployer un débat politique d’une aussi grande importance en l’absence de l’un des trois principaux débatteurs, les deux autres étant le président sortant, Kaïs Saïed, qui réunit toutes les conditions du succès, et un autre candidat de décor, Zouhair Maghzaoui du mouvement Echaâb, qui fait de son mieux pour exister dans une campagne où on a du mal à le prendre au sérieux.

I. B.

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Election présidentielle 2024: Ayachi Zammel s’engage à améliorer le niveau de vie des Tunisiens

Election présidentielle 2024: Ayachi Zammel s’engage à améliorer le niveau de vie des Tunisiens

Le candidat à la présidentielle Ayachi Zammel s’est engagé, lundi, dans son manifeste électoral, à oeuvrer à améliorer le niveau de vie des Tunisiens en luttant contre la pauvreté, la marginalisation et le chômage, à créer de nouvelles opportunités de travail et à appuyer les catégories les plus démunies. Il a promis de porter son […]

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Qui est Ayachi Zammel, le candidat à la présidentielle tunisienne ?

Ayachi Zammel
Ayachi Zammel

Tunis,16 sept. (TAP)- Le candidat à l’élection présidentielle, Ayachi Zammel, est né le 16 août 1977 à Mansoura, dans la délégation de Kesra, gouvernorat de Siliana, au Nord-Ouest de la Tunisie. Zammel s’est engagé dans la vie politique après la révolution, précisément à la fin de l’année 2019. En octobre de cette même année, il a été élu député à l’Assemblée des représentants du peuple pour le parti “Tahya Tounes”. Il a démissionné du parti et de son bloc en juin 2020 pour rejoindre le bloc national en tant que député indépendant en octobre 2020.

Il a occupé le poste de président de la Commission de la santé et des affaires sociales durant la période de la pandémie de Covid-19, jusqu’à la dissolution du Parlement après le 25 juillet 2021. Il a également été membre de la Commission du développement régional, de la Commission de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et du commerce, ainsi que de la Commission des affaires des Tunisiens à l’étranger.

Ayachi Zammel a fondé le mouvement “Azimoun” en juin 2022, mais a suspendu sa présidence du mouvement le 24 août dernier après avoir présenté sa candidature à l’élection présidentielle, comptant ainsi sur les parrainages populaires pour appuyer sa candidature.

Sur le plan professionnel, Zammel a débuté sa carrière dans le domaine de l’investissement et des affaires. Il a investi dans son village dans l’industrie agroalimentaire, où il a mis en place des unités de valorisation des produits agricoles, forestiers et biologiques. Il a également établi des relations commerciales avec plusieurs marchés internationaux à travers le monde.

Concernant son parcours académique, Ayachi Zammel a terminé ses études primaires à Mansoura et ses études secondaires à Makthar, gouvernorat de Siliana. Il a ensuite obtenu un diplôme d’ingénieur en chimie de la Faculté des sciences de Tunis et de l’École nationale d’ingénieurs de Tunis. Il a poursuivi ses études à Paris, se spécialisant en ingénierie et en développement industriel.

Ayachi Zammel est marié et père de deux enfants.

 

Qui est Ayachi Zammel, candidat à la présidentielle ?

Le candidat à l’élection présidentielle, Ayachi Zammel, est né le 16 août 1977 à Mansoura, dans la délégation de Kesra, gouvernorat de Siliana, au Nord-Ouest de la Tunisie. Zammel s’est engagé dans la vie politique après la révolution, précisément à la fin de l’année 2019. En octobre de cette même année, il a été élu […]

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