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SONEDE : Coupure de l’eau courante à Kélibia

La Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux (SONEDE) a annoncé une coupure d’eau ce vendredi 20 septembre 2024, à partir de 16h, à Kélibia, Oued Khatf, Hammam Laghzez et dans les zones environnantes, à cause d’une panne sur le canal de distribution.

Selon la même source, l’approvisionnement se fera progressivement à partir du samedi 21 septembre, à partir de 4 heures du matin, une fois les travaux de réparation de la panne achevés.

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Imed Daïmi porte plainte contre l’ISIE auprès de l’ONU

Imed Daïmi a annoncé, dans un communiqué publié sur sa page officielle Facebook, avoir déposé une plainte contre l’ISIE auprès de l’ONU.

L’ancien député a déposé une plainte auprès du Haut-Commissariat aux droits de l’Homme des Nations unies à Genève (Suisse) concernant les graves violations des droits démocratiques et des droits de l’Homme qui ont lieu en Tunisie dans le cadre de l’élection présidentielle prévue pour le 6 octobre 2024, par l’Instance supérieure indépendante des élections…

La plainte évoque des violations graves des droits constitutionnels et des lois locales. Le document souligne le non-respect d’un jugement administratif qui acceptait la candidature du plaignant à l’élection présidentielle. Les membres de l’Instance supérieure indépendante pour les élections ont refusé de l’appliquer pour des raisons que le communiqué considère comme inacceptables. Cela constitue une violation des accords internationaux garantissant le droit à un recours équitable.

Selon la même source, la plainte est adressée aux :

– Rapporteur spécial sur le droit de participer à la vie politique,

– Rapporteur spécial sur la liberté d’opinion et d’expression,

– Rapporteur spécial sur la liberté de réunion pacifique et d’association,

– Rapporteur spécial sur l’indépendance des juges et des avocats,

– Rapporteur spécial sur les défenseurs des droits de l’homme,

– Rapporteur spécial sur la promotion et la protection des droits de l’homme dans le contexte de la lutte contre le terrorisme,

– Groupe de travail sur la détention arbitraire.

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Ayachi Zammel comparaîtra devant la justice, lundi 23 septembre

Le candidat à l’élection présidentielle, Ayachi Zammel, sera prochainement déféré devant le Tribunal de première instance de Kairouan, lundi 23 septembre.

Selon Ahmed Kadri, porte-parole du Tribunal de Kairouan, le candidat à l’élection présidentielle, actuellement en détention pour plusieurs affaires de falsification de parrainages, sera présenté le lundi 23 septembre devant le Tribunal de première instance de Kairouan pour répondre à trois affaires liées à ces falsifications.

La requête de la libération de Ayachi Zammel a été refusée, jeudi 19 septembre, par le Tribunal de Siliana.

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Energie solaire: Pose de la première pierre de la construction de la station solaire de Sidi Bouzid

La première pierre du projet de construction de la station solaire photovoltaïque, dans la localité d’El Khobna, relevant de la délégation de Mezzouna (Gouvernorat de Sidi Bouzid) a été posée, jeudi 19 septembre, par la ministre de l’Economie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub.

Financé par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et les fournisseurs d’énergies renouvelables norvégien et japonais, «Scatec» et «Aeolus», ce projet dont le coût s’élève à 135 millions de dinars, contribuera à réduire les importations en gaz naturel de 20 à 25 millions de dinars, a indiqué le secrétaire d’Etat chargé de la Transition énergétique, Wael Chouchane.

Et de rappeler que ce projet s’inscrit dans le cadre de publié d’un appel d’offres international lancé en 2018, pour l’installation de 500 mégawatts à partir de l’énergie solaire photovoltaïque sur des sites proposés par l’Etat à Sidi Bouzid (50 mégawatts), Tozeur (50 mégawatts), Kairouan (100 mégawatts), Gafsa (100 mégawatts) et Tataouine (200 mégawatts).

Le ministère de l’Industrie, a également lancé, fin 2022, des appels d’offres pour l’installation, sur la période 2024-2026, de 1700 mégawatts dont 800 mégawatts d’énergie solaire et 600 mégawatts d’énergie éolienne sur des sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts d’énergie solaire sur deux sites proposés par l’Etat, à Sidi Bouzid et Gabès, a-t-il soutenu.

Neuf offres ont été approuvées, le 30 mai 2024, pour la première phase de ces projets concernant l’installation de 200 mégawatts sur les sites proposés par des investisseurs et 300 mégawatts sur les sites choisis par l’Etat. Ces offres sont en phase d’évaluation technique.

La Tunisie ambitionne d’atteindre 35% de production d’électricité à partir d’énergies renouvelables d’ici 2030 et 50% à l’horizon 2050. Le pays prévoit, aussi, de réduire de 46 % son intensité carbone.

Avec TAP

 

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Gavi offrira 500 000 doses de vaccins contre la Mpox en Afrique

D’après l’Anadolu Agency, l’Alliance du Vaccin (désormais connue sous le nom de Gavi) et le laboratoire danois Bavarian Nordic, qui fabrique le vaccin contre le Mpox, ont signé un accord le mercredi 18 septembre 2024. Le document garantit la fourniture de 500 000 doses du sérum à des pays africains.

L’accord d’achat anticipé (APA) sera financé par le Fonds de Première Réponse de Gavi, un dispositif de 500 millions de dollars créé après la pandémie de COVID-19 pour garantir un accès rapide aux vaccins rares lors des futures urgences sanitaires, rapporte l’Agence Ecofin.

Sania Nishtar, PDG de Gavi, a déclaré au même média : « Nous nous engageons à travailler avec les gouvernements concernés et nos partenaires […] pour constituer un stock mondial de vaccins si un financement suffisant est assuré pour le travail de Gavi jusqu’en 2030. »

D’après le PDG de Bavarian Nordic, société de biotechnologie, Paul Chaplin, « Les doses obtenues grâce à cet accord augmenteront considérablement la disponibilité des vaccins contre le Mpox pour les pays africains. »

Pour rappel, le nouveau variant (le clade 1b) a poussé l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à déclarer, le 14 août dernier, le Mpox comme une urgence de santé publique. L’épicentre de cette maladie est la RDC.

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Ridha Chkoundali décrypte l’impact de la notation Fitch sur l’économie tunisienne

Fitch Ratings a relevé la note de solvabilité à long terme en devises étrangères (IDR) de la Tunisie à ‘CCC+’, contre ‘CCC-‘.  À travers deux communiqués publiés sur sa page, le professeur d’économie Ridha Chkoundali décrypte cette nouvelle positive pour l’économie tunisienne.

Voici notre traduction du deuxième communiqué :

Ce classement s’adresse principalement aux prêteurs, en particulier aux investisseurs étrangers sur le marché financier mondial. Cette amélioration du classement est positive pour l’image de la Tunisie auprès des institutions internationales, dont le Fonds monétaire international (FMI), bien que la Tunisie n’ait pas de relations actives avec celui-ci.

Fitch Ratings s’est principalement basée sur l’amélioration des indicateurs financiers, notamment l’augmentation des réserves de devises, la capacité de remboursement des dettes, en particulier les dettes extérieures et l’amélioration de la balance commerciale et courante. Les agences de notation comme Fitch Ratings évaluent surtout la capacité des pays ou des institutions à rembourser leurs dettes, publiant des notations qui aident les investisseurs et prêteurs à évaluer les risques associés aux prêts accordés aux gouvernements ou aux entreprises.

Les notations récentes émises par ces agences peuvent sembler positives pour les banques, en raison de leur capacité à générer des bénéfices et à éviter les risques. Cependant, les banques tunisiennes se concentrent sur le prêt à l’État, qu’elles considèrent comme peu risqué, au lieu de soutenir le secteur privé et les entreprises économiques, jugés plus risqués.

Le gouvernement a payé ses dettes, amélioré la balance commerciale, et augmenté ses réserves de devises. Cependant, les citoyens sont plus concernés par des questions quotidiennes comme le pouvoir d’achat, la préservation de leur emploi et l’avenir de leurs enfants. Selon Chkoundali, il est essentiel d’aborder ces préoccupations dans le discours adressé aux Tunisiens.

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Algérie : Augmentation de 57% des transactions e-paiement au 1er semestre

Selon l’Agence APS, le montant des paiements électroniques en Algérie a augmenté de 57% durant le premier semestre 2024. En effet, il a atteint près de 60 milliards de dinars, un chiffre qui confirme la tendance des consommateurs algériens à réduire l’utilisation de l’argent cash.

D’après le dernier rapport du Groupement d’Intérêt Économique de la Monétique (GIE Monétique), le montant total des paiements électroniques (effectués via les terminaux de paiement électroniques, internet ou téléphone mobile) a atteint 59,993 milliards de dinars entre janvier et juin 2024. Il s’agit d’une augmentation de 57,41% par rapport aux 38,113 milliards de dinars enregistrés durant la même période en 2023.

D’après la même source, le nombre total de transactions a dépassé les 43,9 millions depuis le lancement des paiement en ligne en 2016. 

Le paiement mobile est officiellement disponible en Algérie depuis 2022. Ce service a été initialement introduit en interne au sein des banques, particulièrement à la Banque Nationale d’Algérie (BNA), Al Salam Bank Algeria sans oublier l’Algérie Poste.

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Ridha Chkoundali décrypte l’impact de la notation Fitch sur l’économie tunisienne

Fitch Ratings a relevé la note de solvabilité à long terme en devises étrangères (IDR) de la Tunisie à ‘CCC+’, contre ‘CCC-‘. Dans deux communiqués publiés sur sa page, le professeur d’économie Ridha Chkondali décrypte cette nouvelle positive pour l’économie tunisienne.

Nous allons résumer le premier communiqué qui analyse ce qui a contribué à l’évolution de cette notation de Fitch Ratings :

1) L’agence a exprimé sa confiance dans la capacité de l’État à répondre à ses besoins financiers importants; malgré des difficultés telles que le niveau élevé de la dette intérieure et l’accès limité au financement externe. Elle estine que l’État peut maintenir un niveau suffisant de réserves de devises pour honorer les paiements extérieurs et les obligations de la dette.

2) La diminution du déficit du compte courant a permis de renforcer les réserves de devises. Lesquelles devraient rester au-dessus de trois mois jusqu’en 2026; malgré l’absence d’un programme du Fonds monétaire international. Cette situation permet à la Tunisie de respecter ses engagements internationaux, comme les obligations en euros d’une valeur d’un (1) milliard de dollars arrivant à échéance en janvier 2025 et les obligations en euros d’une valeur de 700 millions d’euros arrivant à échéance en juillet 2026.

Cependant, l’augmentation des besoins de financement, le déficit budgétaire persistant et l’allongement des échéances des dettes locales et étrangères à long terme entraîneront une augmentation considérable des besoins de financement pour la période à venir, qui seront beaucoup plus élevés que ceux de la période précédente (18 % du PIB en 2024, contre 14 % du PIB pour la période 2025-2026). Ces besoins seront également bien au-dessus de la moyenne de la période 2015-2019 (9 % du PIB). Ce qui représente l’un des niveaux les plus élevés parmi les pays ayant une notation “CCC+” ou inférieure.

3) Le déficit budgétaire persistant et l’allongement des échéances des dettes locales et extérieures à long terme entraîneront une augmentation significative des besoins de financement des années à venir, qui seront considérablement plus élevés que ceux des périodes précédentes. En 2024, ces besoins devraient atteindre 18 % du PIB et dépasser 14 % du PIB pour la période 2025-2026. Ces niveaux sont nettement au-dessus de la moyenne de 9 % du PIB enregistrée entre 2015 et 2019, plaçant ainsi le pays parmi ceux avec les niveaux les plus élevés dans la catégorie des notations “CCC+” ou inférieures.

4) Les sources de financement externe sont limitées mais continues. L’agence prévoit que la Tunisie pourra mobiliser encore 600 millions de dollars d’ici la fin de l’année 2024.

5) L’agence estime que le secteur bancaire local pourrait aider à financer les dépenses de l’État, surtout que les dépôts croissent plus rapidement que la demande de crédit. Cependant, cela augmentera le risque pour les banques publiques. Car elles devront supporter une part plus importante de l’importance du financement à cause de la prudence des banques privées.

6) Pour l’agence, le secteur bancaire local pourrait contribuer au financement des dépenses publiques, surtout en raison de l’excédent de dépôts par rapport à la demande de crédit. Cependant, cette solution pourrait augmenter les risques pour les banques publiques, qui seraient amenées à financer une part plus importante des dépenses en raison de la prudence des banques privées. Ainsi, les banques publiques pourraient se retrouver avec une exposition accrue aux risques financiers.

7) La politique d’austérité adoptée par l’Etat devrait réduire le déficit budgétaire de 7,1 % du PIB en 2023 à 4,7 % en 2026, en diminuant les dépenses en salaires, développement et soutien. Toutefois, aucune réforme majeure du système de soutien n’est prévue en raison de l’opposition politique aux hausses de prix. La baisse des prix internationaux pourrait réduire les coûts de soutien de 1,7 point du PIB d’ici 2026.

8) L’agence prévoit que la dette restera très élevée et pourrait être confrontée à certains chocs financiers, tels qu’une baisse de la valeur de la monnaie et des fluctuations des prix mondiaux des matières premières. L’agence prévoit que la dette publique restera au-dessus de 80 %, atteignant 83,4 % en 2024, 82,2 % en 2025 et 80,8 % en 2026 (contre 83,9 % en 2023).

9) L’agence anticipe peu de risques politiques ou de tensions sociales autour des élections. La politique devrait rester inchangée après les élections.

10) D’après l’indice WBGI de gouvernance de la Banque mondiale, la Tunisie affiche un classement moyen. Cette donnée indique des faiblesses dans plusieurs domaines : stabilité politique, respect de l’État de droit, droits de participation politique, capacité institutionnelle et niveaux de corruption.

Toutefois, Ridha Chkoundali n’a pas manqué d’évoquer des facteurs qui peuvent conduire à une baisse de la notation. A savoir un échec dans l’obtention d’un financement extérieur suffisant ; ainsi que la baisse des réserves en devises ou la diminution significative de la valeur du dinar.

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