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Météo en Tunisie : Un samedi mitigé entre soleil et averses

Ce samedi, la Tunisie connaîtra un temps variable marqué par l’alternance de périodes ensoleillées et d’averses. L’après-midi, les nuages se densifieront progressivement sur les régions Ouest du nord et du centre, donnant lieu à quelques pluies, localement accompagnées d’orages. Ces précipitations pourraient s’étendre aux régions Est du nord et à certaines zones du Sud pendant la nuit.

Le vent soufflera de secteur Sud au Nord et au Centre, et d’Est au Sud. Il sera relativement fort près des côtes Nord, avec des rafales pouvant atteindre 45 km/h, tandis qu’il sera plus modéré sur le reste du territoire. La mer sera agitée au Nord et peu agitée à calme sur les côtes Est.

Les températures resteront agréables, avec des maximales comprises généralement entre 26°C et 31°C. Les habitants des hauteurs Ouest pourront profiter d’une légère fraîcheur, avec des températures avoisinant les 23°C. En revanche, l’extrême Sud connaîtra des températures plus élevées, pouvant atteindre 34°C.

ARP : Examen en urgence d’une proposition de loi modifiant la législation électorale

Le Bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), réuni, vendredi, sous la présidence du président du Parlement, Brahim Bouderbala, a examiné une proposition de loi organique visant à modifier certains articles de la loi organique n°16 du 26 mai 2014 relative aux élections et aux référendums.

La proposition de loi est présentée par 34 députés représentant divers groupes parlementaires en plus des hors groupe. La proposition de loi a été déposée ce vendredi au bureau d’ordre de l’ARP.

Le bureau de l’ARP a décidé de soumettre la proposition de loi à la commission de la législation générale, avec une demande d’examen en urgence, selon le Parlement.

De son côté, la commission de la législation générale de l’ARP a décidé de se réunir lundi prochain pour examiner cette proposition de loi et auditionner la partie initiatirice ainsi que les représentants du ministère de la Justice, selon le site du parlement.

Selon la partie initiatrice, cette initiative législative vise à sauvegarder “l’homogénéité du corps judiciaire” en charge du contentieux électoral de manière à éviter “les inconvénients” de la répartition actuelle (ordre judiciaire, ordre financier et ordre administratif) qui, dans la pratique, a démontré son inefficacité.

Ces députés estiment que leur initiative intervient en réponse aux différends et controverses observés à propos des décisions prises et des positions déclarées par l’Instance supérieure indépendante pour les élections et le Tribunal administratif. Il s’agit, d’après eux, d’éviter d’éventuelles crises dans l’avenir et tout danger menaçant le processus électoral.

Comparaison des pouvoirs présidentiels dans les Constitutions tunisiennes de 1959, 2014 et 2022

Tunis,20 sept. (TAP) – L’élection présidentielle du 6 octobre 2024 est la première à se tenir sous la Constitution de 2022 qui met les bases de la « troisième République » depuis la proclamation, après l’indépendance, de la République tunisienne.

Après l’indépendance, la Tunisie a, en effet, connu trois Constitutions ; celle de 1959 qui a fait l’objet de nombreux amendements jusqu’en 2008, la Constitution promulguée au lendemain de la révolution du 17 décembre2010/14 janvier 2011, et la Constitution du 25 juillet 2022, proclamée suite à un référendum et une série de mesures exceptionnelles prises par le président de la République Kais Saied à commencer par la dissolution du parlement.

Il convient de constater que dans les trois Lois fondamentales adoptées par le pays après l’indépendance, les prérogatives du président de la République variaient, ayant été, à plusieurs reprises revues, en fonction du régime politique adopté.

Dans la Constitution de 1959

Dans la Constitution de 1959, le président de la République, nomme le premier ministre et sur proposition de celui-ci, les autres membres du gouvernement.  Il préside le conseil des ministres et met fin aux fonctions du Gouvernement ou de l’un de ses membres de sa propre initiative ou sur proposition du Premier ministre.

Le Président de la République veille à l’exécution des lois, exerce le pouvoir réglementaire général et peut en déléguer une partie au Premier ministre.

Le Président de la République nomme aux emplois supérieurs civils et militaires, sur proposition du Gouvernement.

Le Président de la République peut déléguer au Premier ministre le pouvoir de nomination à certains de ces emplois.

Le Président de la République conclut les traités.

 Le Président de la République est le chef Suprême des Forces Armées. Il déclare la guerre et conclut la paix avec l’approbation de la Chambre des députés et dispose du droit de grâce. Il oriente la politique générale de l’Etat, en définit les options fondamentales et en informe la Chambre des députés.

Le Président de la République bénéficie d’une immunité juridictionnelle durant l’exercice de ses fonctions. Il bénéficie aussi de cette immunité juridictionnelle après la fin de l’exercice de ses fonctions en ce qui concerne les actes qu’il a accomplis à l’occasion de l’exercice de ses fonctions.

La constitution de 1959 a été appliquée de janvier 59 au janvier 2011, soit une période de 52 ans.

Dans la Constitution de 2014

La Constitution de la « deuxième République », a été adoptée après la Révolution tunisienne et l’élection d’une Assemblée constituante (ANC), chargée de son élaboration.

La Constitution de 2014 instaure un régime à trois têtes, à savoir la présidence du parlement et un pouvoir exécutif bicéphale qui se compose de la présidence du gouvernement et la présidence de la République.

Les prérogatives du président de la République sont réduites et différentes, dans le fond, de celles énoncées dans la Constitution de 59.

Le président de la République représente l’État. Il lui appartient de déterminer les politiques générales dans les domaines de la défense, des relations étrangères et de la sécurité nationale relative à la protection de l’État et du territoire national des menaces intérieures et extérieures, et ce, après consultation du Chef du Gouvernement.

Il assure le haut commandement des forces armées et peut déclarer la guerre et conclure la paix après approbation de l’Assemblée des représentants du peuple à la majorité des trois cinquième de ses membres et envoyer des troupes à l’étranger après l’accord du Président de l’Assemblée des représentants du peuple et du Chef du Gouvernement. Dans ce cas de mesure, l’Assemblée doit se réunir pour en délibérer dans un délai ne dépassant pas les soixante jours à partir de la date de la décision d’envoi des troupes.

Le président de la République préside le conseil de sécurité nationale auquel doivent être convoqués le Chef du Gouvernement et le Président de l’Assemblée des représentants du peuple. Il peut dissoudre l’Assemblée des représentants du peuple dans les cas prévus par la Constitution et prendre les mesures qu’impose l’état d’exception et les proclamer conformément à l’article 80.

Il ratifie les traités et ordonne leur publication, décerne les décorations et accorde la grâce.

Le Président de la République procède, par voie de décrets présidentiels à la nomination du Mufti de la République tunisienne et met fin à ses fonctions.

Il nomme aux emplois supérieurs à la Présidence de la République et aux établissements qui en relèvent ainsi qu’aux emplois supérieurs militaires, diplomatiques et de la sûreté nationale et peut y mettre fin après consultation du Chef du Gouvernement.

Le Président de la République promulgue les lois et ordonne leur publication au Journal officiel de la République tunisienne.

Le Président de la République bénéficie de l’immunité durant son mandat; tous les délais de prescription et de déchéance sont suspendus à son encontre. Les actions peuvent reprendre leur cours après la fin de son mandat.

Le Président de la République ne peut être poursuivi pour les actes accomplis dans l’exercice de ses fonctions.

Les membres de l’Assemblée des représentants du peuple peuvent, à la majorité, présenter une motion motivée pour mettre fin au mandat du Président de la République en raison d’une violation grave de la Constitution. La motion doit être approuvée par les deux-tiers des membres de l’Assemblée.

Dans ce cas, l’affaire est renvoyée devant la Cour constitutionnelle qui statue à la majorité des deux-tiers de ses membres. En cas de condamnation, la Cour constitutionnelle ne peut prononcer que la destitution, sans préjudice, le cas échéant, des poursuites pénales. La décision de destitution prive le Président de la République du droit de se porter candidat à toute autre élection.

Dans la Constitution de 2022

La Constitution de 2020 rétablit le régime présidentiel. De larges prérogatives sont accordées au président de la République.

Le Président de la République est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect de la Constitution et de la loi ainsi que de l’exécution des traités. Il veille au fonctionnement régulier des pouvoirs publics et assure la continuité de l’Etat et préside le Conseil de sécurité nationale.

Le Président de la République est le chef suprême des forces armées.

En cas de péril imminent (…), le Président de la République peut prendre les mesures exceptionnelles nécessitées par les circonstances, après consultation du Chef du Gouvernement, du Président de l’Assemblée des représentants du peuple et du Président du Conseil national des régions et des districts.

Le président de la République peut soumettre au référendum tout projet de loi relatif à l’organisation des pouvoirs publics ou à la ratification d’un traité susceptible d’avoir une incidence sur le fonctionnement des institutions, sans que ces projets ne soient contraires à la Constitution.

Le Président de la République nomme le Chef du Gouvernement et, sur proposition de celui-ci, les autres membres du Gouvernement.

Il met fin aux fonctions du Gouvernement ou de l’un de ses membres de sa propre initiative ou sur proposition du Chef du Gouvernement.

Le président de la République promulgue les lois constitutionnelles, organiques et ordinaires et en assure la publication au Journal officiel de la République tunisienne

Il veille à l’exécution des lois, exerce le pouvoir réglementaire général et peut en déléguer tout ou partie au Chef du Gouvernement.

Le Président de la République nomme aux emplois supérieurs civils et militaires, sur proposition du Chef du Gouvernement.

Dans la Constitution de 2022, le Président de la République bénéficie de l’immunité durant son mandat présidentiel, tous les délais de prescription et de forclusion sont suspendus à son égard. Les procédures peuvent reprendre leurs cours après la cessation de ses fonctions.

Il n’est pas responsable des actes accomplis dans le cadre de l’exercice de ses fonctions.

Bourse de Tunis : Le point sur la semaine du 16 au 20 septembre

Dans un marché peu dynamique, la Bourse de Tunis a terminé la semaine du 16 au 20 septembre 2024 sur une note quasi-stable, s’établissant à 9785,87 points. L’indice de référence Tunindex affiche une performance de +12,9% depuis le début de l’année, rapporte l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Sur le front des échanges, en l’absence de transactions de bloc, les volumes ont été modestes, totalisant une enveloppe de 16 MD, soit un volume journalier moyen de 3,2 MD. Le titre TPR a été le titre le plus échangé sur la semaine, accaparant 94,6% du volume total.

Le titre SOTEMAIL s’est retrouvé en haut du podium. L’action du spécialiste en articles sanitaires a affiché la meilleure performance de la semaine, se hissant de 11,7% à 1,150 D, dans un flux quasi-nul.

Le titre SITS a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du promoteur immobilier a progressé de 8,9% à 1,960 D, dans un volume dérisoire de 3 mille dinars sur l’ensemble de la semaine.

TPR a été le titre vedette de la semaine en amassant le volume le plus important, soit 15,1 MD (94,6% du volume total échangé). Le titre s’est maintenu stable à 5,620 D.

Le titre UADH s’est retrouvé en queue du peloton. La valeur a reculé de 8,3% à 0,440 D, dans un faible volume d’échange de 10 mille dinars.

Marchés numériques : L’UE engage Apple à ouvrir iOS et iPadOS aux développeurs tiers

L’Union européenne (UE) a engagé jeudi deux procédures pour que le groupe américain Apple ouvre son écosystème fermé à ses concurrents, sous peine d’une lourde amende.

Dans le cadre d’une procédure dite de “spécification”, la Commission européenne précisera ce que le fabricant de l’iPhone doit faire pour se conformer au règlement sur les marchés numériques (Digital Markets Act, DMA), entré en vigueur en 2023.

“C’est la première fois que nous recourons à la procédure de spécification prévue par la loi sur les marchés numériques pour guider Apple vers le respect effectif de ses obligations en matière d’interopérabilité par le biais d’un dialogue constructif”, a déclaré jeudi Margrethe Vestager, commissaire européenne à la Concurrence, dans un communiqué.

L’exécutif européen a précisé que cette procédure vise les caractéristiques et les fonctionnalités de connectivité du système d’exploitation iOS pour les smartwatches, les casques, les casques de réalité virtuelle et d’autres appareils connectés.

“La Commission a l’intention de préciser comment Apple assurera une interopérabilité efficace avec des fonctionnalités telles que les notifications, l’appairage des appareils et la connectivité”, a déclaré l’exécutif européen.

La seconde procédure concerne la manière dont Apple répond aux demandes d’interopérabilité soumises par les développeurs et les tiers pour iOS et iPadOS.

“Il est essentiel que la procédure de demande soit transparente, opportune et équitable afin que tous les développeurs disposent d’une voie efficace et prévisible vers l’interopérabilité et soient en mesure d’innover”, a déclaré la Commission.

Les deux procédures seront bouclées dans un délai de six mois.

Le géant américain a dit jeudi qu’il continuerait à travailler de manière constructive avec Bruxelles, mais a également mis en garde contre les risques pour les consommateurs.

“Saper les protections que nous avons mises en place au fil du temps mettrait les consommateurs européens en danger, en donnant aux mauvais acteurs davantage de moyens d’accéder à leurs appareils et à leurs données”, a déclaré la société dans un communiqué.

 

Amelia, l’IA d’Amazon, révolutionne la gestion des ventes et stocks des vendeurs tiers

Amazon.com a annoncé jeudi un nouveau logiciel d’intelligence artificielle (IA) pour aider ses vendeurs indépendants à mesurer leurs ventes, à gérer leurs stocks et à faire la publicité de leurs produits, une initiative qui s’inscrit dans le cadre des efforts d’automatisation déployés par le géant de la vente en ligne.

Le logiciel, baptisé Amelia, est capable de fournir des réponses instantanées à des questions d’ordre général telles que la préparation des fêtes de fin d’année et l’évolution de l’activité d’un vendeur tiers, notamment en ce qui concerne les unités vendues et le trafic sur le site.

À l’avenir, Amelia pourra également aider à résoudre les retards d’expédition, sans intervention humaine supplémentaire, a déclaré Amazon.

Lors d’une démonstration du logiciel pour Reuters, le groupe a montré comment Amelia peut rapidement afficher les données relatives aux ventes d’un vendeur ou faire des suggestions pour préparer les fêtes de fin d’année, les promotions et l’achat de publicité sur Amazon.com.

Amelia, présenté lors de la conférence annuelle du groupe à Seattle, a pour but de donner aux vendeurs “leur propre expert personnalisé en matière de vente sur Amazon”, a déclaré Dharmesh Mehta, vice-président des services mondiaux de vente aux partenaires d’Amazon.

Le géant américain s’appuie sur des tiers pour fournir plus de trois unités sur cinq qu’il vend et a souvent eu des relations tendues avec les vendeurs indépendants, notamment en ce qui concerne les commissions.

En automatisant une partie du service clientèle des vendeurs, il pourrait être en mesure de traiter à moindre coût les plaintes et autres difficultés qui nécessiteraient autrement une intervention humaine.

Le logiciel ne sera initialement disponible que pour un petit nombre de vendeurs et uniquement en anglais, avant que la quasi-totalité des vendeurs américains n’y aient accès en octobre, a précisé le groupe.

Amelia fait suite à l’annonce, en début d’année, de Rufus, un moteur de recherche génératif à base d’IA. Le groupe s’efforce également d’améliorer son assistant vocal Alexa en le dotant d’une IA plus conversationnelle.

L’industrie a connu une frénésie d’investissement dans l’IA générative depuis la sortie fin 2022 de ChatGPT, le robot conversationnel d’OpenAI.

 

La Russie booste sa production de drones à 1,4 million d’unités cette année

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que la Russie était en train de multiplier par dix la production de drones pour la porter à près de 1,4 million d’unités cette année, un effort visant à assurer la victoire de ses forces armées en Ukraine.

Depuis que la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l’Ukraine en février 2022, le conflit a servi le développement de l’industrie des drones et illustré l’importance de ces appareils volants sans pilote dans la guerre moderne, qu’il s’agisse de semer la panique dans les unités d’infanterie, de collecter des renseignements, de saboter des infrastructures ou d’attaquer des arsenaux.

“Au total, environ 140.000 drones de différents types ont été livrés aux forces armées en 2023”, a déclaré Vladimir Poutine lors d’une réunion à Saint-Pétersbourg sur la production de drones.

“Cette année, la production de drones devrait augmenter de manière significative. Enfin, pour être plus précis, être multipliée par près de 10”, a-t-il ajouté.

La Russie et l’Ukraine ont toutes deux acheté des drones à l’étranger et augmenté leur propre production depuis le début de la guerre.

Le président russe a déclaré que la Russie faisait des progrès presque hebdomadaires dans le domaine de la technologie des drones et qu’elle devait également développer ses défenses antidrones, c’est-à-dire une technologie qui détecte, désoriente et abat les drones ennemis.

“La tâche principale consiste à produire une large gamme de véhicules aériens sans pilote et à mettre en place une production en série aussi rapidement que possible”, a-t-il déclaré.

 

Météo Tunisie : Temps agréable et ensoleillé

Après les violentes intempéries des jours précédents, la Tunisie connaît un retour progressif du beau temps ce vendredi. Si quelques nuages persistent, notamment sur les régions Est où des pluies éparses et localement orageuses sont encore possibles, le soleil devrait dominer sur l’ensemble du territoire.

Les températures restent agréables, avec des valeurs comprises entre 25°C et 30°C sur la plupart des régions. Les habitants des hauteurs de l’Ouest pourront profiter d’une légère fraîcheur, avec des températures avoisinant les 23°C. En revanche, l’extrême Sud connaîtra des températures plus élevées, pouvant atteindre 33°C.

Le vent soufflera de secteur Nord, faible à modéré, offrant ainsi un peu de fraîcheur. La mer sera peu agitée, propice aux baignades et aux activités nautiques.

La Bourse de Tunis retrouve le vert : SANIMED et TUNISIE LEASING & FACTORING en tête

BourseLe marché boursier a renoué, jeudi, avec le vert (+0,1 %), terminant à 9765,4 points, dans un volume de 3,9 MD, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre SANIMED s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans faire l’objet de transactions, l’action du spécialiste des articles sanitaires s’est bonifiée de 4,5 % à 1,170 D.

Le titre TUNISIE LEASING & FACTORING a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. Dans un flux de 8 mille dinars, l’action du loueur adossé au groupe AMEN BANK s’est appréciée de 3,6 % à 16,890 D.

L’hémorragie se poursuit pour le titre ASSAD. L’action du spécialiste des batteries automobiles s’est délestée de 4,3 % à 0,670 D. La valeur a été échangée à hauteur de 7 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre CELLCOM a, également, été mal orienté sur la séance. L’action du distributeur de la marque EVERTEK a reculé de 4,1 % à 2,330 D. La valeur a drainé des échanges dérisoires de 8 mille dinars sur la séance.

ASSURANCES MAGHREBIA VIE a été la valeur la plus active de la séance. L’action du spécialiste de l’assurance vie adossé au groupe MAGHREBIA a fait du surplace à 6,000 D , en alimentant le marché avec des capitaux de 1,2 MD.

Alerte Météo Tunisie – Vigilance rouge : Pluies diluviennes et vents violents attendus

La Tunisie est placée sous vigilance météorologique élevée en raison de l’arrivée d’un système dépressionnaire. Dans la nuit du 19 au 20 septembre, de fortes pluies orageuses sont attendues, notamment sur les régions du Sud et du Centre.

Les précipitations, qui pourraient être localement intenses, affecteront progressivement l’ensemble du pays, avec des quantités pouvant atteindre 80 millimètres par endroits. Des chutes de grêle sont également possibles, accompagnées de vents violents pouvant dépasser 90 km/h.

Les gouvernorats les plus touchés seront ceux de Tozeur, Gafsa, Kasserine-sud, Sidi Bouzid, Gabès, Sfax, le Sahel et Nabeul-sud. Ces conditions météorologiques extrêmes pourraient engendrer des inondations, des coulées de boue et des dégâts matériels.

Les autorités appellent la population à la plus grande vigilance et recommandent de :

  • Limiter les déplacements si ce n’est pas strictement nécessaire.
  • S’abriter dans un endroit sûr en cas d’orage.
  • Éviter les zones inondables et les cours d’eau.
  • Sécuriser les biens susceptibles d’être endommagés par le vent ou la grêle.

ENNAKL Automobiles certifié MSI 20000

ENNAKLCOFICERT annonce avoir remis à la société ENNAKL AUTOMOBILES le certificat MSI 20000, norme internationale dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions.

La société ENNAKL AUTOMOBILES reçoit sa première certification à la norme MSI 20000, délivrée par l’organisme de certification français COFICERT, suite à une évaluation financière réalisée sur la base des derniers exercices approuvés par les commissaires aux comptes. Cette certification atteste de la conformité du premier importateur et distributeur automobile en Tunisie, aux exigences du standard financier MSI 20000 porté par l’IGSF (International Group for Sustainable Finance).

À l’occasion d’une cérémonie organisée au sein du siège de ENNAKL AUTOMOBILES, le comité de direction de la société présidé par son Directeur Général, M. Anouar Ben Ammar, a reçu le certificat MSI 20000 de la part d’une délégation de COFICERT France, conduite par Madame Anne Guerbé, Vice-Présidente de l’Organisme de Certification, accompagnée par Cristian Mocanu, Jérôme Gacoin et Souheil Skander.

La norme MSI 20000 renseigne sur la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions. L’approche d’évaluation repose sur deux axes, la mesure de la solidité financière d’une part et celle de la performance d’autre part. Le certificat MSI 20000 se présente comme un indicateur de référence pour les opérateurs économiques et financiers en quête de repères fiables et indépendants en matière de solvabilité, de rentabilité et de résilience. La Norme est diffusée et régulée par l’IGSF.

Cette certification, particulièrement observée et appréciée par l’ensemble des parties prenantes du secteur automobile, est un indicateur fort renseignant sur la qualité de la gouvernance financière de ENNAKL AUTOMOBILES, venant consolider ses relations avec les partenaires et les actionnaires.

A propos de :

ENNAKL LogoENNAKL AUTOMOBILES est une S.A créée en 1965 par un groupement d’entreprises publiques. Privatisée au courant de l’année 2007 et introduite simultanément aux Bourses de Casablanca et de Tunis en 2010, la société est le représentant officiel de sept marques de véhicules, allant des citadines aux voitures de luxe en passant par les véhicules utilitaires (VOLKSWAGEN, VOLKSWAGEN Utilitaires, AUDI, PORSCHE, SEAT, SKODA, CUPRA).

Norme MSI 20000
MSI 20000MSI 20000 est la norme internationale dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises. Le processus de certification MSI 20000 analyse les données relatives à la situation financière d’une entreprise. Les cahiers des charges de la norme MSI 20000 s’articulent autour de deux axes d’évaluation : la solidité et la performance financière ; deux composantes au cœur de la rentabilité, la solvabilité et la pérennité des entreprises. La norme est régie à l’échelle internationale par l’IGSF (International Group for Sustainable Finance).

IGSF
IGSFL’IGSF est une ONG à but non lucratif, basée au Luxembourg, dont les activités ont pour objectif de canaliser et d’organiser les efforts internationaux en matière de normalisation financière et extra-financière.

L’IGSF, en tant qu’entité de normalisation, œuvre principalement sur deux volets : d’une part, l’organisation technique des normes en matière de gouvernance financière et extra-financière et, d’autre part, la diffusion des normes et des bonnes pratiques en général. Les thématiques couvertes au sein de l’IGSF traitent notamment des enjeux en matière de gouvernance financière, de lutte contre la criminalité financière ou encore de responsabilité sociétale des entreprises ou organisations de tout type.

COFICERT
COFICERTCOFICERT est un organisme de certification français, spécialisé dans les certifications financières et extra-financières, intervenant dans plus de 40 pays. COFICERT opère historiquement avec, et aux côtés, des organismes de certification et de normalisation internationaux. L’organisme rassemble des experts qualifiés en matière de gouvernance, de lutte contre la criminalité financière et de finance durable. L’activité de COFICERT couvre les thématiques suivantes : la solidité et la performance financière (MSI 20000), la responsabilité sociétale des entreprises (ESG 1000), la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (AML 30000), la gouvernance des organisations (ISO 37000) et la lutte contre la corruption (ISO 37001).

Forum FMAH : Les traités de Rome, acte de naissance d’une nouvelle forme de colonialisme ?

EuropeSelon l’universitaire et expert économique Jamel Aouididi les européens ne se sont jamais démarqués de leurs origines coloniales , relevant que l’ensemble des accords de partenariat conclus, jusqu’ici, par ce groupement régional avec les pays du sud de la méditerranée et de l’Afrique ont des relents colonialistes.

L’expert, qui s’exprimait dans le cadre de l’université d’été 2024 de la Fondation Mohamed Ali Hammi (FMAH) placée cette année sur le thème “comment se positionner dans un monde en pleines mutations? propositions d’alternatives citoyennes”, traitait du bilan des relations Tunisie -Union européenne (UE) et de ses impacts multiformes.

A l’origine les traités de Rome

Se référant à l’ouvrage “Eurafrique aux origines coloniales de l’Union européenne” de Peo Hansen et Stefan Jonsson de l’université de stockholm (Suède) , l’expert a fait remarquer que la vocation coloniale des européens remonte au 25 mars 1957, date de la signature des Traités de Rome. Ces traités sont considérés comme l’acte de naissance de la grande famille européenne. Le premier de ces Traités donne le jour à une Communauté économique européenne (CEE), tandis que le second crée une Communauté Européenne de l’Énergie Atomique, mieux connue sous le nom d’EURATOM.

L’acte de naissance de l’Union européenne, la Convention Constitutive, porte en elle les traces d’un passé colonial complexe. Selon l’historien Jamed Aouididi, un élément particulièrement révélateur est la proposition française d’inclure les anciennes colonies des pays européens dans le projet européen, et ce, dès les premières discussions.

« L’acte de naissance de l’Union européenne porte en elle les traces d’un passé colonial complexe. » – Jamel Aouididi

Cette proposition, formulée alors que de nombreuses colonies étaient en pleine lutte pour leur indépendance, comme l’Algérie, soulève de nombreuses questions sur les motivations réelles des États européens. La France, par exemple, a suggéré d’intégrer les pays de la zone franc, un système monétaire et financier qu’elle avait mis en place en Afrique. L’Italie, quant à elle, a évoqué la Libye et la Somalie, tandis que la Belgique et les Pays-Bas ont respectivement mentionné le Congo et leurs colonies d’Asie du Sud-Est.

Ces propositions témoignent d’une volonté de maintenir une certaine influence sur les anciennes colonies, même après leur indépendance. Elles révèlent également une conception de l’Europe comme un espace d’expansion économique et politique, où les anciennes puissances coloniales pourraient continuer à jouer un rôle prépondérant.

Morale de l’histoire, cette convention fait état d’une vision stratégique de ce que sera la Communauté européenne sur le long terme. En vertu de cette vision, les européens estiment indispensables pour leur survie de continuer à dominer sous d’autres formes, les pays du sud et est de la méditerranée, de l’Afrique subsaharienne et de l’est asiatique.

Ultime objectif, s’appuyer sur les anciennes colonies en tant que débouchés pour leurs produits et de fournisseurs de matières premières pour s’imposer en tant que puissance régionale dans l’échiquier mondial dominé à l’époque par les deux blocs : les Etats Unis et l’Union soviétique.

« Si nous voulons nous reconstruire, il nous faut de toute urgence un “espace vital” – si vous me permettez l’expression – d’une échelle plus grande que celle des vieilles nations soi-disant autonomes », écrivait en 1947 Hendrik Brugmans, le dirigeant néerlandais de l’Union des fédéralistes européens. À travers cette citation, surprenante sous la plume d’un ancien résistant à l’occupation nazie, Peo Hansen et Stefan Jonsson mettent en évidence ce qu’ils nomment les « origines coloniales » de la construction européenne, ainsi que le concept à leur sens central d’« Eurafrique »

Tunisie- UE: deux périodes et deux politiques

Concernant la Tunisie, l’universitaire Jamel Aouididi distingue deux ripostes historiques. La première remonte au lendemain de l’accès du pays à l’indépendance. C’est une réaction que l’expert qualifie de patriotique et de positive. Il s’agit des décisions majeures prises par les dirigeants de l’époque pour consacrer la rupture avec l’ancien pays colonisateur et déjouer dès le départ ses nouvelles visées colonialistes.

Au nombre de ces décisions, il a cité la promulgation, en 1958, de la loi relative à la réforme monétaire avec comme corollaires la création de la Banque centrale de Tunisie et la création d’une monnaie nationale, le Dinar.

La deuxième période que l’universitaire estime négative pour la Tunisie remonte à 1995, date de l’adhésion de la Tunisie à l’Organisation mondiale de commerce (OMC) et de la conclusion de l’accord de libre échange des produits manufacturés avec l’Union européenne.

« Si nous voulons nous reconstruire, il nous faut de toute urgence un “espace vital” – si vous me permettez l’expression – d’une échelle plus grande que celle des vieilles nations soi-disant autonomes. » – Hendrik Brugmans

L’universitaire a mis en exergue l’effort fourni par le pouvoir de l’époque pour réunir toutes les conditions de succès à ces accords qui étaient pourtant asymétriques aux dépens de la Tunisie. A titre indicatif, il a évoqué la nomination d’un ministre, pendant une dizaine d’années pour veiller à la bonne application de cet accord. Il s’agissait à l’époque de Mondher ZenaidI.

Jamel Aouididi devait attirer l’attention sur deux caractéristiques de l’accord d’association entre la Tunisie et l’Union européenne. Le premier consiste en sa traduction dans les langues des 27 pays membres de l’Union et jamais dans la langue arabe langue officielle de la Tunisie.

Le second porte sur les ambitions illimitées de cet accord en ce sens où il prévoit une extension à pratiquement tous les secteurs : agriculture, pêche, services, formation, enseignement, protection des investissements…

L’accord projette également d’harmoniser les législations, notamment celles concernant le statut de la femme, l’héritage, l’homosexualité, les services financiers, la déréglementation du transport aérien (open sky), TIC, énergie,

Cela pour dire au final qu’au regard de ces visées néocolonialistes, on ne peut s’interdire de penser que “la dimension géopolitique et impériale du projet européen a été largement sous-évaluée”.

ABOU SARRA

GAT Assurances: Exercice 2023, résultats techniques en hausse

Les résultats consolidés de GAT Assurances relatives à l’exercice 2023, font apparaitre un résultat technique “Non Vie” de 26,4 MDT en hausse par rapport à l’exercice 2022 (20,8 MDT). Le résultat technique de l’assurance “Vie” a été de 6,6 MDT contre 5,8 MDT une année auparavant.

Les revenus des placements sont restés relativement stables à 26 MDT.

Le résultat net de la période est passé de 28,3 MDT à 29,8 MDT au terme du premier semestre 2024.

ARTES : Des résultats records au premier semestre 2024

Au cours du premier semestre 2024, le concessionnaire automobile ARTES a enregistré une forte progression de ses revenus, enregistrant une hausse de 52% avec un total produits d’exploitation de 120,6 MDT, contre 79,5 MDT en 2023.

Le résultat net de la période a plus que doublé en comparaison avec la même période de 2023, passant de 9,2 MDT à 20,7 MDT au terme du premier semestre 2024.

City Cars : Etats financiers au 30 juin 2024

Le total des produits d’exploitation de la société City Cars, concessionnaire automobile de la marque KIA, se sont élevés au terme du premier semestre à 135,4 MDT contre 144,4 MDT au cours de la même période de 2023.

Le total des charges d’exploitation ont été de 124,7 MDT contre 127,4 MDT une année auparavant.

Le résultat d’exploitation s’est élevé à 10,7 MDT contre 17 MDT et le résultat net de la période a été de 10,13 MDT.

Le secteur de la concession automobile reste, au cours du premier semestre, sous la contrainte des délais des accords de quotas annuels.

Tunisie – Etats Unis : La situation des libertés en Tunisie ne serait pas si catastrophique, d’après l’ambassadeur des Etats Unis

A la veille du scrutin présidentiel qui aura lieu, le 6 octobre 2024, Joey Hood actuel ambassadeur des Etats unis en Tunisie a accordé une longue interview au journal électronique hebdomadaire d’expression arabe, Achariaa Al Magharibi. En raison de la sensibilité des relations que la Tunisie entretient, depuis 227 ans, avec le plus puissant pays du monde, les Etats Unis, nous avons jugé utile pour notre lectorat d’en connaître l’essentiel.

Dans une première partie, nous avons fait le point du partenariat sécuritaire. Dans cette seconde partie, nous allons évoquer la lecture que fait, actuellement, le département d’Etat de la situation politique en Tunisie.

Aucune ingérence américaine dans les affaires intérieures du pays

Concernant la situation politique, le diplomate a été interpellé sur les informations-rumeurs relayées par les réseaux sociaux et faisant état de l’ingérence, entre autres, de l’ambassade américaine dans les affaires intérieures du pays. Ces rumeurs portent pour mémoire «sur la poursuite en justice de certaines personnes pour avoir pris contact avec des missions diplomatiques accréditées en Tunisie ».

Le diplomate américain s’est inscrit en faux contre ces informations et rappelé que le ministère tunisien de la justice a lui-même démenti ces rumeurs dans un communiqué publié au mois d’avril dernier.

En matière de respect des libertés, les scores de la Tunisie sont meilleurs que ceux des pays de la région

S’agissant du respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie dont les opposants à Kaies Saied estiment qu’elles se sont fortement dégradées, Joey Hood a déclaré qu’il n’est pas de son devoir de défendre ou d’imposer le respect des droits de l’homme en Tunisie. «Ce que nous constatons toutefois, au niveau de l’ambassade et que nous transmettons à nos supérieurs, c’est que de manière générale, les forces sécuritaires et les forces armées tunisiennes respectent les droits de l’homme en Tunisie et les droits des étrangers qui y séjournent, et n’interviennent pas dans d’autres pays. C’est la raison pour laquelle nous considérons les forces sécuritaires tunisiennes comme des partenaires et nous coopérons avec eux en investissant dans leur formation».

Dans le même contexte, il a ajouté que « si on regarde de près les évaluations de la situation des libertés en Tunisie, voire la manière avec laquelle ces dernières sont faites par les organisation internationales, nous remarquons que les classements et les scores obtenus par la Tunisie sont meilleurs que ceux de certains pays de la région ».

L’approche américaine de la démocratie n’est pas la chose la plus importante en Tunisie.

Le diplomate américain a été interrogé sur la transition démocratique. Il a déclaré à ce propos que le processus engagé, depuis 13 ans, en Tunisie pour une transition vers la démocratie est toujours en cours. « C’est une période encore trop courte par rapport à la longue histoire du pays », a-t-il noté.

Il a révélé que l’approche américaine de la démocratie n’est pas la chose la plus importante en Tunisie. Le plus important pour les Etats Unis en Tunisie c’est la vision que se font les tunisiens de la démocratie.

L’ambassadeur des Etats Unis à Tunis devait donner ensuite son avis sur la prochaine présidentielle en Tunisie. Il a considéré que le plus important pour lui est de savoir ce que les tunisiens attendent de ces élections et comment ils vont se comporter vis-à-vis de cette échéance électorale : « Cela sera perceptible soit à travers leur taux de participation soit à travers leur taux d’abstention ». a-t-il dit.

Et pour ne rien oublier, la prochaine partie sera consacrée aux échanges économiques tuniso-américains vus par l’ambassadeur des Etats en Tunisie, Joey Hood.

ABOU SARRA

Tunisie Telecom : Les chiffres 2023

Tunisie Telecom vient de publier ses indicateurs d’activité pour l’exercice 2023, soulignant une croissance de 26% de ses revenus, en comparaison avec 2022.

Le résultat net de l’exercice 2023 a été de 63 millions de dinars.

Tunisie Telecom a enregistrée en 2023 les chiffres suivants :

  • 98% – Taux de couverture 4G
  • 75% – Part de marché Téléphonie fixe
  • 38,3% Part de marché revenus télécoms
  • 31% Part de marché en téléphonie mobile

Manque d’emplois, croissance insuffisante : Les défis de l’économie tunisienne

Abdelkader Boudriga, président du cercle des financiers tunisiens, a tiré la sonnette d’alarme sur la situation économique du pays, lors d’une intervention à l’émission Expresso sur radio ExpressFM. Selon lui, l’économie tunisienne est confrontée à plusieurs défis majeurs : un taux de croissance insuffisant, un manque d’emplois décents et un cadre législatif peu favorable à l’entrepreneuriat.

Le président du cercle a souligné l’importance cruciale de disposer de données économiques fiables pour élaborer des stratégies efficaces. Il a regretté l’absence de statistiques précises sur la croissance du troisième trimestre 2024, soulignant que les données actuelles ne reflètent pas la réalité du terrain.

Boudriga a également mis en avant le potentiel de l’économie à impact, qui pourrait contribuer à un développement plus équitable et durable. Il a appelé à un soutien accru de l’entrepreneuriat, notamment en révisant le code des changes pour créer un environnement plus favorable aux startups et aux jeunes entrepreneurs.

Le président du cercle des financiers a enfin alerté sur le vieillissement de la population tunisienne et sur la nécessité de créer des emplois de qualité pour les jeunes générations. Il a estimé que le taux de croissance actuel de 2,5 à 3% est insuffisant pour relever ce défi.

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