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Aubervilliers – «DREAM CITY» : Une cartographie vivante de sensibilités et de pensées

 

Le festival investira 5 lieux emblématiques de la ville à travers une dizaine de créations d’artistes internationaux, entre autres Wingter Family avec Ruth Rosenthal, Eric Minh, Cuong Castaing, Selma et Sofiane Ouissi, Radouan Mriziga, Alsarah and the Nubatones, Sammy Baloji, Samaa Wakim et Samar Haddad King, Manthia Diawara, Jumana Manna, Michael Rakowitz, Sophie Bessis, Jihed Khmiri et Dj Benjemy.

Après une belle 9e édition de «Dream City», tenue du 22 septembre au 8 octobre 2023, entre la Médina et le centre-ville de Tunis, l’association porteuse du projet, « L’Art Rue», a décidé pour l’année 2024 de pérégriner avec le festival avec une première escale à Bruxelles qui s’est faite du 4 au 13 avril dernier à l’invitation du Kanal-Centre Pompidou et une seconde qui se fera du 20 au 28 septembre prochain, invité par le Festival d’Automne à Paris et le Théâtre de La Commune à Aubervilliers.
Pour rappel «Dream City» a été en 2007 dans la médina de Tunis, suscitant des créations contextuelles ayant un lien direct avec les réalités urbaines locales et les habitants. À l’origine du projet, les chorégraphes Selma Ouissi et Sofiane Ouissi, rejoints par Jan Goossens, utilisent la création artistique pour dessiner un nouvel espace urbain.
En ce mois de septembre, le festival investira 5 lieux emblématiques de la ville à travers une dizaine de créations d’artistes internationaux, entre autres Wingter Family avec Ruth Rosenthal, Eric Minh, Cuong Castaing, Selma et Sofiane Ouissi, Radouan Mriziga, Alsarah and the Nubatones, Sammy Baloji, Samaa Wakim et Samar Haddad King, Manthia Diawara, Jumana Manna, Michael Rakowitz, Sophie Bessis, Jihed Khmiri et Dj Benjemy.
«Tels des passeurs de voix et d’histoires, nous mettrons en lumière des œuvres profondément enracinées dans leurs réalités urbaines locales, esquissant ainsi une cartographie vibrant de sensibilités.», notent les organisateurs. Au programme : du théâtre, de la danse, des performances, de la musique, des rencontres et conférence, des arts visuels, des parcours sonores, du clubbin, chorégraphié et DJ set.
Après Paris, le festival reviendra à Tunis en 2025.

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Concert du pianiste Umberto Ruboni, le 19 septembre au Palais Ennejma Ezzahra: A ne pas manquer 

Umberto Ruboni a joué pour de grandes compagnies de concert comme la compagnie de concert de Milan, l’Académie Filarmonica Romana, la Compagnie Umanitaria, le Festival Echos, Glafsfjorden Musikfestival (Arvika, Suède).


Le pianiste italien Umberto Ruboni se produira pour la première fois en Tunisie dans un concert prévu le 19 septembre courant, au Palais Ennejma Ezzahra à Sidi Bou Saïd. Le concert débutera à 19h00 avec au programme du Scarlatti, du Grieg, du Chopin et du Liszt. Le virtuose génois, natif de 1996, présentera également des œuvres contemporaines du jeune compositeur tunisien Aymen Aziz Salah.

Actuellement en résidence artistique à l’Ingesund Piano Center d’Arvika (l’académie suédoise de piano par excellence dirigée par Julia Mustonen-Dahlkvist), Umberto Ruboni est diplomé (avec mention) du conservatoire « G. Verdi » de Milan. Il a été formé, entre autres, aux conservatoires d’Alessandria et de Milan, ainsi qu’à l’Académie Chigiana de Sienne et à l’académie Pinerolo. Parmi ses professeurs l’on cite: Maddalena Lolaico, Angela Colombo, Marco Rapattoni, Gianmaria Bonino et Sergio Marchegiani.

Il s’est ensuite spécialisé auprès de grands pianistes dont Roberto Plano, Olaf John Laneri, Roberto Cappello, Mikael Kanarva, Lylia Zilberstein, Sergejs Osokins, Pavel Nersessian, Jacques Ammon.

Umberto Ruboni s’est distingué dans de nombreux concours de piano, notamment le concours Orbetello Master Piano Competition (1er prix – 2023), Yamaha International Piano Competition à Malmö (1er prix – 2022), Thalberg International Piano Competition à Napole (3e prix – 2021), le Prix du Conservatoire de Milan (1er prix soliste- 2015, 1er prix musicien de chambre – 2017), Albenga International Piano Competition (3e prix – 2019). ​Il a joué pour de grandes compagnies de concert comme la Compagnie de concert de Milan, l’Académie Filarmonica Romana, la Compagnie Umanitaria, le Festival Echos, Glafsfjorden Musikfestival (Arvika, Suède).

En tant que soliste, Umberto Ruboni s’est produit dans des orchestres dirigés par d’importants chefs d’orchestre tels que Beatrice Venezi, Nikolay Lalov, Fabrizio Dorsi, Marcello Rotal et Pietro Mianiti.

Il est passionné de musique de chambre, il se produit régulièrement en duo de piano avec Eunmi Park et le violoncelliste Matteo Fabi. Il a également eu l’honneur de se produire en duo et en formation de chambre avec des stars de la musique classique à l’instar de Bruno Canino, Elio Marchesini (membre de « Percussionnistes du théâtre la Scala »), Vicens Prats (Première Flûte Soliste de la célèbre Orchestre de Paris), Sarah Louvion (1er prix de Kobe International Flute Competition), Alena Walentin (ex vice-présidente de la British Flute Society) et Marina Piccinini (“Heifetz del Flauto” pour la prestigieuse revue musicale Gramophone).

Depuis son plus jeune âge, il fait preuve d’une grande compétence en tant qu’enseignant et il est souvent convié à participer à des Workshop et Masterclass: professeur de musique de chambre pour le Festival Valtellina Le AltreNote, professeur de piano à l’occasion du Workshop dell’Oltregiogo, professeur de piano pendant le Festival Pianitalia 2023 avec la participation de Eunmi Park et Tony Yike Yang. Il a été également membre de jury du concours Pianitalia Piano Competition et du Northern Light Piano Competition.

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Démarrage du tournage de «Sofia», le nouveau film de Dhafer El Abidine : Un rêve qui se réalise

 

Il s’agit, nous dit-il, d’un drame social et d’action à suspense (thriller), avec un casting tuniso-anglais dont il cite Kais Setti, Hiba Abouk et lui-même, et les Britanniques Jessica Brown Findlay (connu pour son rôle dans la série télévisée «Downton Abbey») et Alex MacQueen. L’équipe technique est tunisienne avec, entre autres, Adel Ouni comme chef décorateur et le directeur photo est sud-africain.

«Ce film, je l’ai rêvé depuis 2012, l’année où je l’ai écrit. A cette époque, il n’était pas évident de réunir les conditions nécessaires pour mener à bien ce projet, car ce genre de film (thriller avec de l’action) nécessite beaucoup de moyens et du savoir-faire. Avec le recul je me dis que, finalement, c’était un mal pour un bien, car cela m’a permis de gagner en maturité et d’acquérir plus d’expérience derrière la caméra.», affirme l’acteur et réalisateur tunisien Dhafer El Abidine en annonçant, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue le 12 septembre à l’espace d’art Le 32Bis à Tunis, le démarrage du tournage de son nouvel opus «Sofia».

Après de nombreuses expériences en tant qu’acteur dans le monde arabe et à l’international, la star tunisienne s’était lancée dans la réalisation cinématographique, avec, en 2021, un premier long métrage «Ghodwa» (Demain) et un deuxième «Ila ibni» (A mon fils) en 2023. Aujourd’hui il revient avec ce nouveau projet personnel qui lui tient énormément à cœur.

Après 6 semaines de préparation dont on a pu apercevoir l’ambiance à travers un petit montage projeté lors de cette rencontre, le tournage du film démarrera aujourd’hui samedi 14 septembre dans différents lieux de la capitale pour une durée de 6 semaines avant de se poursuivre à Londres pour quelques jours, révèle encore Dhafer El Abidine qui en est à la fois le scénariste, le réalisateur et le producteur.

Il s’agit, nous dit-il, d’un drame social et d’action à suspense (thriller), avec un casting tuniso-anglais dont il cite Kais Setti, Hiba Abouk et lui-même, et les Britanniques Jessica Brown Findlay (connu pour son rôle dans la série télévisée «Downton Abbey») et Alex MacQueen. L’équipe technique est tunisienne avec, entre autres, Adel Ouni comme chef décorateur et le directeur photo est sud-africain.

«Sofia» est le prénom d’une fillette qui est le fruit de l’amour d’un Tunisien et d’une Anglaise dont l’histoire va se compliquer à cause de l’expulsion du père de Londres. Cinq ans après, la maman décide de partir en Tunisie pour que sa fille puisse rencontrer son père pour la première fois…et c’est là que le film prendra une toute autre tournure, comme l’explique Dhafer El Abidine et d’ajouter : «L’idée est de raconter une histoire humaine et sociale autour de ces différences qui peuvent nous séparer certes, mais qui, au final, nous ramènent à ce qui nous lie fondamentalement».

Bon vent à toute l’équipe !

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Le film «Excursion» de Una Gunjak dans nos salles à partir d’aujourd’hui : A la rencontre du public tunisien

 

Le film fera aussi l’objet d’une masterclass, aujourd’hui à 10h00, organisée par l’association Echos cinématographiques et qui prendra la forme d’une conversation entre sa réalisatrice, le cinéaste tunisien, Mohamed Ben Attia. 

Le nouveau film de la Bosnienne Una Gunjak «Excursion» sera dans nos salles à partir d’aujourd’hui en présence de la réalisatrice qui prendra part à une tournée de projections-débats.

Les projections qui se feront en VostFr seront abritées par le CinéMadart à Carthage, ce soir; le Ciné 350 à la Cité de la culture et Le Rio à Tunis, demain, jeudi 12 septembre; Dar Sebastien à Hammamet et Espace Jeelen à Nabeul, le 13 septembre.      

Ce long métrage de fiction raconte l’histoire d’Iman, une adolescente de Sarajevo, qui, en quête de reconnaissance, affirme, lors d’une partie «action ou vérité» entre collégiens, avoir fait l’amour pour la première fois. Prisonnière de son propre mensonge, elle invente une grossesse et devient le centre d’une controverse qui échappe à tout contrôle. Le film fera aussi l’objet d’une masterclass, aujourd’hui à 10h00, organisée par l’association Echos cinématographiques, qui prendra la forme d’une conversation entre sa réalisatrice et le cinéaste tunisien, Mohamed Ben Attia.       

Una Gunjak est née et a grandi à Sarajevo, en Bosnie-Herzégovine. Elle a étudié en Italie et au Royaume-Uni où elle a obtenu une maîtrise en montage à la National Film And TV School (Nfts).     

Tout en continuant à travailler comme monteuse, Una se concentre actuellement sur l’écriture et la réalisation. En 2014, son court métrage «The Chiken» (2014) a été présenté en avant-première à la Semaine de la critique de Cannes avant d’être projeté dans plus de 300 festivals, notamment à Sundance.    

Son deuxième court métrage, «Salamat from Germany» (2017), a été présenté en avant-première à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes en 2017. «Excursion» marque ses débuts en tant que réalisatrice de long métrage et a ouvert le Concorso Cineasti Del Presente, le 4 août 2023.

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«Aicha» de Mehdi M. Barsaoui remporte le prix du meilleur film méditerranéen à la Mostra de Venise : Bravo et bon vent !

 

Octroyé par la prestigieuse académie des beaux-arts de Venise, il s’agit là du premier prix que Mehdi M. Barsaoui reçoit à Venise et sa deuxième participation au festival, la première en 2019 avec son premier long métrage «Un fils» qui a notamment valu à l’acteur français, Sami Bouajila, un prix d’interprétation.

Retenu dans la section Orizzonti de la compétition officielle de la 81e Mostra de Venise qui s’est déroulée du 28 août au 7 septembre 2024, «Aicha», le nouveau long métrage de Mehdi M. Barsaoui, a remporté le prix du meilleur film méditerranéen, toutes sections confondues.

Octroyé par la prestigieuse académie des beaux-arts de Venise, il s’agit là du premier prix que Mehdi M. Barsaoui reçoit à Venise et sa deuxième participation au festival, la première s’étant faite en 2019 avec son premier long métrage «Un fils» qui a notamment valu à l’acteur français, Sami Bouajila, un prix d’interprétation.

La section Orizzonti de ce fameux festival italien est dédiée aux films représentant les dernières tendances esthétiques et expressives, avec une attention particulière aux premiers films, aux jeunes talents, aux longs-métrages indépendants et au cinéma moins connu.

Présidé par la réalisatrice et scénariste américaine Debra Granik, le jury international de la section Orizzonti comprenait également l’écrivain, réalisateur et producteur iranien Ali Asgari, le réalisateur et scénariste syrien Soudade Kaadan, le réalisateur, scénariste et producteur grec Christos Nikos Nikou, l’actrice et réalisatrice suédoise Tuva Novotny, le cinéaste hongrois Gábor Reisz, la scénariste et réalisatrice italienne Valia Santella.

Cette participation vénitienne du film de Mehdi M. Barsaoui fut marquée par un honorable geste de soutien à la Palestine de la part de l’équipe présente — entre autres réalisateurs et producteurs, les acteurs Nidhal Saadi, Fatma Sfar, Hela Ayed et Yasmine Dimassi — qui a arboré lors de la première mondiale du film une grande banderole où l’on pouvait lire «Stop the genocide». «Aicha», qui est produit par Marc Irmer pour la société parisienne Dolce Vita Films et par Habib Attia (Cinétéléfilms), et dont Barsaoui signe la réalisation et le scénario, est centré sur Aya (campée par Fatma Sfar) qui est coincée dans une vie morne et sans perspective à Tozeur, au sud de la Tunisie. Seule survivante d’un accident, elle décide de disparaître pour se réinventer une nouvelle vie à Tunis. Mais sa nouvelle identité est compromise lorsqu’elle devient le principal témoin d’une bavure policière.

Le tournage s’est fait entre Tozeur et Tunis et la direction de la photographie a été assurée par le Français Antoine Héberlé (nominé au Lumière 2017 de l’Image pour «Une vie» et prix Vulcain à Cannes en 2013 pour «Grigris»). Après Venise, «Aicha» fera sa première anglaise au très prestigieux BFI London Film Festival qui se tiendra du 9 au 20 octobre 2024 à Londres.

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Le Groupement Professionnel de l’Industrie Cinématographique du syndicat patronal CONECT présente «Les Jeudis du cinéma» les 12, 19 et 26 septembre 2024:  Pour un renforcement de la capacité opérationnelle du secteur

Une occasion pour analyser en profondeur les répercussions culturelles et économiques des changements préconisés, tout en favorisant une synergie entre les intervenants concernés avec au programme une série de trois ateliers répartis entre la Cité de la Culture à Tunis et Les Berges du Lac.


«Les Jeudis du cinéma» est une initiative du Groupement Professionnel de l’Industrie Cinématographique du syndicat patronal Conect, qui consiste en l’organisation d’ateliers et autres rencontres dans le but d’améliorer le climat des affaires et d’impulser la transformation du modèle économique du secteur de l’industrie cinématographique.

Après la session de juin dernier, ces rencontres reviennent, les 12, 19 et 26 septembre, «pour aborder méthodiquement les défis majeurs de la réforme structurelle du cinéma en Tunisie», comme le notent ses organisateurs et d’ajouter : «Plus qu’une simple concertation ; il sera question d’envisager de manière concrète les mesures à mettre en œuvre pour structurer, rationaliser, pérenniser des pans entiers du secteur cinématographique.

Le groupement professionnel d’industrie cinématographique, qui fait partie de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie, Conect, s’est fixé pour objectif de fédérer le secteur de l’industrie cinématographique dans ses multiples spécialités afin «d’améliorer la coordination avec les instances de régulation, d’unifier ses efforts pour soutenir le processus de réforme, de proposer de nouvelles réglementations et de mettre en place un plan d’action exhaustif».

Conect (fondée en 2011), étant une organisation patronale syndicale et citoyenne fédérant les PME tunisiennes et étrangères opérant dans plusieurs secteurs et dans toutes les régions.

Ces «Jeudis du cinéma» offriront, selon leurs initiateurs, un cadre de réflexion visant à mettre en place un écosystème propice à l’émergence d’une industrie cinématographique résiliente, capable de répondre aux enjeux actuels tout en valorisant l’héritage culturel national. Une occasion pour analyser en profondeur les répercussions culturelles et économiques des changements préconisés, tout en favorisant une synergie entre les intervenants concernés, avec au programme une série de trois ateliers répartis entre la Cité de la Culture à Tunis et Les Berges du Lac.

Les deux premiers ateliers qui auront pour thèmes respectifs « La Cinémathèque tunisienne: des priorités pour une nouvelle impulsion» et «Spécificité des festivals de cinéma dans la promotion de l’attractivité territoriale», se tiendront les 12 et 19 septembre à la salle Tahar-Chériaa au Centre national du cinéma et de l’image (Cnci), à la Cité de la culture Chedli Klibi.

Le 3e atelier portera sur le «Développement du système de formation aux métiers du cinéma et renforcement de la capacité opérationnelle du secteur» et sera abrité par The Dot  (Sis Rue Lac Malaren, Les Berges du Lac).

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