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Sur « Truth Social » : Trump annonce qu’un cessez-le-feu «complet» aurait été convenu entre l’entité sioniste et l’Iran

Le président américain Donald Trump a annoncé, ce soir sur le réseau social de microblogage du Trump Media & Technology Group (TMTG), « Truth Social », qu’un cessez-le-feu serait en vigueur au cours des prochaines heures entre l’entité sioniste et l’Iran.

Vers 23:02, M. Trump a indiqué sur son compte « @realDonaldTrump » à travers un Tweet que le cessez-le-feu débuterait six heures plus tard pour l’Iran, puis 12 heures après pour l’entité sioniste.

Voici la traduction de son message publié sur « Truth Social »:

« FÉLICITATIONS À TOUS ! Il a été pleinement convenu par et entre Israël et l’Iran qu’il y aurait un CESSEZ-LE-FEU complet et total (dans approximativement 6 heures à partir de maintenant, quand Israël et l’Iran auront terminé leurs missions finales en cours), pendant 12 heures, à partir desquelles la guerre sera considérée comme terminée ! Officiellement, l’Iran commencera le CESSEZ-LE-FEU et, à la 12e heure, Israël commencera le CESSEZ-LE-FEU et, à la 24e heure, le monde saluera la FIN officielle de la GUERRE DE 12 JOURS. Pendant chaque CESSEZ-LE-FEU, l’autre partie restera PAISANTE et RESPECTUEUSE. En supposant que tout se passe comme prévu, ce qui sera le cas, je voudrais féliciter les deux pays, Israël et l’Iran, d’avoir eu l’endurance, le courage et l’intelligence de mettre fin à ce qu’il convient d’appeler « la guerre de 12 jours ». C’est une guerre qui aurait pu durer des années et détruire tout le Moyen-Orient, mais ce n’est pas le cas et ce ne sera jamais le cas ! Que Dieu bénisse Israël, que Dieu bénisse l’Iran, que Dieu bénisse le Moyen-Orient, que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique et que Dieu bénisse le monde !

DONALD J. TRUMP,

PRÉSIDENT DES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE ».

La Presse de Tunisie

Tennis – WTA 500 d’Eastbourne: Ons Jabeur éliminée dès le 1er tour

La tenniswoman tunisienne Ons Jabeur (59e au classement WTA) a été éliminée dès le premier tour du tournoi WTA 250 d’Eastbourne, lundi 23 juin, après sa défaite face à l’Australienne Maya Joint (51e mondiale) en deux sets : 5-7, 2-6.

Malgré une récente progression de deux places au classement mondial, Jabeur n’a pas réussi à s’imposer sur le gazon anglais, à quelques jours du Grand Chelem de Wimbledon, prévu du 30 juin au 13 juillet 2025.

 

 

Conflit social à la CPG : l’UGTT appelle à deux jours de grève

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a annoncé une grève générale les 8 et 9 juillet 2025 dans l’ensemble des sites de la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG).

Cette grève fait suite à l’échec des négociations entre les représentants syndicaux du secteur minier et la direction de la CPG, amorcées après la réunion du conseil sectoriel tenue le 19 mai 2025. Le syndicat évoque le non-respect des engagements pris lors d’une précédente séance de conciliation, datée du 23 janvier 2025.

Parmi les principales revendications figurent l’application intégrale du procès-verbal du 23 janvier, la revalorisation de la prime compensatoire, l’augmentation de la prime de fin d’année et de la gratification annuelle avec leur indexation sur le salaire brut mensuel, le rejet du recours à la sous-traitance, la réintégration des travailleurs licenciés, une hausse du montant et du nombre des avances exceptionnelles ainsi que la généralisation de la prime de risque à l’ensemble des services de la CPG.

Échanges Tunisie–Algérie : un déséquilibre structurel persistant, selon l’ITCEQ

La Tunisie accuse un déséquilibre commercial structurel dans ses échanges avec l’Algérie. C’est ce qui ressort d’une étude récemment publiée par l’Institut Tunisien de la Compétitivité et des Études Quantitatives (ITCEQ), présentée le lundi 23 juin 2025 par Raoudha Toumi, économiste principale et directrice au sein de l’institution, lors de son intervention sur la Radio Nationale.

Selon l’experte, les importations tunisiennes en provenance de l’Algérie dépassent largement les exportations, traduisant une asymétrie persistante dans les échanges bilatéraux. Le gaz naturel représente à lui seul près de 90 % des biens importés par la Tunisie depuis l’Algérie, ce qui accentue la concentration du commerce extérieur tunisien autour d’un seul produit stratégique. En parallèle, les exportations tunisiennes vers le marché algérien demeurent modestes, tant en volume qu’en diversification.

Ce déséquilibre se reflète également dans les parts de marché, puisque la Tunisie ne représente aujourd’hui qu’à peine 1 % des importations algériennes, une part en repli constant depuis une dizaine d’années. Fait encore plus révélateur de ce recul, la Tunisie n’apparaît même plus dans le classement des dix premiers pays fournisseurs de l’Algérie.

Pourtant, l’étude menée par l’ITCEQ ne se limite pas à un diagnostic. Elle propose plusieurs pistes concrètes pour redynamiser la présence tunisienne sur le marché algérien. En identifiant les produits tunisiens qui correspondent aux besoins exprimés par le marché voisin, l’Institut met en avant les marges d’action possibles. Raoudha Toumi insiste sur la nécessité de diversifier l’offre tunisienne, condition sine qua non pour espérer un meilleur positionnement économique.

Elle souligne également que l’amélioration de la performance tunisienne passe par une simplification des procédures administratives et douanières, souvent perçues comme des obstacles au commerce. Elle appelle à renforcer les projets de coopération bilatérale et à encourager l’implantation d’entreprises tunisiennes en Algérie, en leur fournissant un accompagnement stratégique et des incitations adaptées. Ces mesures pourraient permettre de corriger, progressivement mais durablement, les déséquilibres actuels et de renforcer l’ancrage économique de la Tunisie dans un espace maghrébin à fort potentiel.

L’huile d’olive tunisienne à l’honneur à la Résidence de l’Ambassadeur de Suisse en Tunisie

En avril 2025, la Tunisie s’est brillamment illustrée à Genève à l’occasion du concours European International Olive Oil Competition (EIOOC), organisé par le groupe Global International Olive Oil Competitions (GIOOC). Le pays a décroché le plus grand nombre de distinctions parmi les nations participantes, confirmant ainsi son leadership mondial dans le secteur de l’huile d’olive extra vierge.

Les résultats parlent d’eux-mêmes :

83 médailles d’or, dont 21 dans la catégorie santé (richesse en polyphénols et bienfaits cliniques) ;

4 médailles d’argent ;

49 entreprises tunisiennes ont participé parmi environ 150 sociétés issues de 15 pays.

Pour célébrer cette performance exceptionnelle, une cérémonie de remise des prix s’est tenue le 20 juin 2025 à Carthage, à la Résidence de l’Ambassadeur de Suisse en Tunisie, M. Josef Renggli. L’événement a réuni des représentants officiels, acteurs institutionnels, professionnels du secteur oléicole, producteurs tunisiens primés, ainsi que des journalistes. Il a permis de mettre en lumière l’excellence tunisienne et de souligner le rôle stratégique du pays sur la scène oléicole internationale.

Grâce à cette collaboration fructueuse, la Tunisie a été célébrée dans un cadre reflétant l’importance de ses avancées en matière de qualité, de santé et d’innovation dans le domaine de l’huile d’olive.

Il est à noter que GIOOC AB (Global International Olive Oil Competitions) est un groupe suédois spécialisé dans l’organisation de concours internationaux d’huile d’olive extra vierge. Il a été cofondé par Raouf Chouket, ingénieur et entrepreneur suédo-tunisien, qui en assure également la présidence.

Grâce à sa vision stratégique et à sa connaissance approfondie du secteur oléicole mondial, M. Chouket a fait de GIOOC la seule organisation au monde à structurer des compétitions d’huile d’olive à l’échelle continentale et intercontinentale.

GIOOC organise aujourd’hui quatre concours internationaux majeurs :

The Afro-Asian International Olive Oil Competition

The Scandinavian International Olive Oil Competition

The United States International Olive Oil Competition

The European International Olive Oil Competition (Genève 2024 et 2025)

Le groupe prévoit désormais de franchir une nouvelle étape historique avec le lancement de la première Coupe du Monde de l’Huile d’Olive Extra Vierge, une compétition planétaire qui réunira les meilleurs producteurs des cinq continents, et fera rayonner la culture de l’huile d’olive à l’échelle mondiale.

 

La Presse avec Communiqué

Mme Rana Taha nommée Coordonnatrice résidente de l’ONU en Tunisie

La nouvelle Coordonnatrice résidente des Nations Unies en Tunisie, Mme Rana Taha, a présenté aujourd’hui sa lettre de nomination à M. Mohamed Ali Nafti, Ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger.

Mme Rana Taha a été nommée par le Secrétaire général des Nations Unies le 19 juin 2025.

Lors de cet entretien, les échanges ont porté sur le renforcement du partenariat entre les Nations Unies et la Tunisie en faveur du développement durable. Mme Taha a réaffirmé l’engagement de l’Organisation à accompagner la Tunisie dans la mise en œuvre de ses priorités nationales.

Mme Rana Taha possède plus de 20 ans d’expérience au sein des Nations Unies, notamment dans les domaines du développement et du maintien de la paix.

Avant sa nomination en Tunisie, elle était cheffe d’équipe et conseillère principale pour la paix et le développement au Kenya. Elle a occupé divers postes au siège des Nations Unies entre 2015 et 2019, supervisant notamment le programme régional pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.

Elle a également servi au Liban et au Soudan entre 2007 et 2015, ainsi que dans les territoires palestiniens occupés entre 2003 et 2007.

Mme Taha est diplômée en relations internationales, politiques publiques et sociologie.

Elle est mariée et mère d’un fils.

 

D’après Communiqué

L’excellence tunisienne en marche : l’équipe nationale de Kendo en route vers le Japon 

Quelques semaines après avoir brillé lors du Championnat d’Europe de Kendo, l’équipe nationale tunisienne se prépare à franchir une nouvelle étape historique : un déplacement au Japon, berceau de leur discipline. Ce voyage, prévu dans les prochaines semaines, s’inscrit dans un programme de perfectionnement sportif intensif, fruit d’un partenariat entre la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA), Microcred Tunisie et la Fédération Tunisienne de Kendo.

Les jeunes athlètes tunisiens auront l’opportunité de s’entraîner au sein de dojos prestigieux au Japon, aux côtés de maîtres reconnus mondialement. Ces séances d’entraînement viseront à renforcer leur technique, affiner leur sens du combat, et s’imprégner de l’esprit profond du Kendo japonais, fondé sur le respect, la rigueur et la maîtrise de soi.

Le séjour comprendra également la participation à une grande compétition internationale, rassemblant les meilleures sélections venues d’Asie, d’Europe et d’Amérique. Une expérience unique, aussi bien sur le plan sportif que culturel, pour cette équipe qui n’a cessé de progresser ces dernières années.

« Accompagner ces jeunes vers le Japon, c’est leur offrir une passerelle vers l’excellence, mais aussi les encourager à rêver grand pour la Tunisie. »

 

Fondation Abdelwaheb Ben Ayed

 

Ce projet s’inscrit dans une vision partagée par FABA et Microcred : faire émerger une jeunesse tunisienne engagée, compétente et inspirante, capable de porter haut les valeurs du pays sur la scène mondiale.

Alors que les derniers préparatifs battent leur plein – visas, planification logistique, préparation physique et mentale -, l’enthousiasme est palpable chez les athlètes comme chez les encadrants. Tous s’apprêtent à vivre une aventure sportive et humaine inoubliable.

Suivez les temps forts de leur départ et de leur séjour au Japon sur :

www.fondation-faba.tn

Instagram / Facebook : @faba.officiel

 

D’après communiqué

Un été sans mer : quand les Tunisiens regardent la plage… de loin

Un été sans mer : quand les Tunisiens regardent la plage… de loiLe président de l’Organisation tunisienne pour l’information du consommateur (OTIC), Lotfi Riahi, a appelé ce lundi 23 juin 2025 à intégrer le tourisme intérieur dans les offres estivales, en proposant aux citoyens tunisiens des tarifs préférentiels. Cette déclaration a été faite lors de son passage ce matin sur les ondes de la Radio nationale.

Riahi a particulièrement insisté sur l’amélioration des prestations dans les établissements hôteliers classés 3 et 4 étoiles, afin d’offrir aux Tunisiens des services de qualité à des prix abordables. Il a également proposé d’exploiter les infrastructures publiques peu utilisées durant l’été, telles que les foyers universitaires et les restaurants scolaires, pour en faire des solutions d’hébergement et de restauration alternatives.

« Le tourisme intérieur ne doit pas être négligé. Il est impératif de permettre aux Tunisiens de profiter de la mer et des vacances estivales sans que cela devienne un luxe inaccessible », a-t-il martelé.

Des vacances devenues inabordables pour de nombreux Tunisiens

Selon Riahi, le pouvoir d’achat du Tunisien moyen ne lui permet plus de profiter de vacances à l’hôtel, même si la mer se trouve à quelques kilomètres de son domicile. Il estime que le coût moyen d’une journée à la plage pour une famille de quatre personnes s’élève entre 150 et 200 dinars, incluant les repas, le transport, ainsi que la location de parasols et de chaises. L’exemple cité concerne une plage du nord de la banlieue de Tunis.

Face à la hausse des prix de 15 à 20 % enregistrée sur les logements et les locations estivales, Riahi observe que de nombreux Tunisiens cherchent des alternatives, comme la colocation entre amis ou en famille, ou encore le séjour chez des proches vivant dans des zones côtières. « Le Tunisien a le droit de profiter de son pays. Le tourisme ne doit pas être réservé à une élite », a-t-il déploré.

Tunisie : les plus belles plages pour une escapade balnéaire riche en découvertes et en détente

Entre mer Méditerranée et désert, la Tunisie offre un littoral exceptionnel qui séduit par sa diversité et sa beauté. Facilement accessible depuis l’Europe, le pays s’impose comme une destination balnéaire incontournable, alliant plages idylliques, eaux turquoise et cadre naturel préservé. Le site français easyVoyage a d’ailleurs sélectionné les plus belles plages tunisiennes, qui promettent à la fois détente, loisirs nautiques et découvertes uniques. De Tabarka à Djerba, en passant par Gammarth, Sousse ou encore les îles Kerkennah, ces plages offrent un éventail d’expériences entre calme, aventure et convivialité, pour répondre à toutes les envies d’évasion.

Tabarka : un paradis sous-marin

Située à environ 100 kilomètres à l’ouest de Tunis, la petite ville de Tabarka offre un littoral d’une rare beauté. Cette côte, balayée par des vents puissants, est un véritable eldorado pour les surfeurs, tandis que ses récifs coralliens et sa faune marine en font un lieu privilégié pour la plongée sous-marine.

Gammarth : la plage familiale par excellence

Avec ses 10 kilomètres de sable blanc fin et sa pente douce, la plage de Gammarth est l’endroit rêvé pour les familles. Sa tranquillité, la sécurité offerte aux enfants et la proximité avec la capitale en font une destination privilégiée. Cette plage se distingue également par la propreté de ses lieux et la variété des loisirs proposés, entre jet-ski et balades à dos de chameau.

Sidi Bou Saïd : une vue à couper le souffle

Sur la côte de Carthage, la plage de Sidi Bou Saïd charme par son eau turquoise protégée du vent par les collines environnantes. Bien que modeste par sa taille, elle séduit par son ambiance conviviale et le panorama unique qu’elle offre sur le célèbre village aux maisons bleu et blanc, symbole de la Tunisie authentique.

El Haouaria : un écrin sauvage

Pour les amateurs de tranquillité et d’authenticité, la plage d’El Haouaria est un joyau préservé, loin du tourisme de masse. Cette crique sauvage dévoile grottes secrètes et épaves submergées, un terrain de jeu idéal pour la plongée et le snorkeling. Sa nature intacte et ses fonds marins riches sont au cœur du choix d’easyVoyage.

Yasmine Hammamet : la plage qui ne dort jamais

Au sud de la péninsule du Cap Bon, Yasmine Hammamet est un lieu emblématique de la vie nocturne tunisienne. Mais cette plage ne se limite pas à ses soirées festives : en journée, elle attire par ses eaux claires et chaudes et son large éventail d’activités pour tous les âges, de la plongée aux aires de jeux pour enfants.

Sousse : sensations et ambiance festive

Reconnue pour ses loisirs variés, Sousse est un haut lieu de la vie balnéaire tunisienne. Planches à voile, parachute ascensionnel ou bateaux bananes, ses plages dynamiques combinent sports nautiques et vie nocturne animée, attirant une clientèle en quête d’émotions et de divertissement.

Îles Kerkennah : authenticité et sérénité

Cet archipel paisible au large de Sfax séduit par son cadre naturel préservé, ses plages bordées de palmiers et son ambiance calme et authentique. Peu fréquentées, les plages des îles Kerkennah invitent au dépaysement et à la détente loin de l’agitation touristique.

Djerba : un paradis pour petits et grands

Au sud-est, l’île de Djerba est célèbre pour ses plages de sable blanc adaptées aux familles, comme celles de Sidi Mahrez ou Sidi Jmour. Ces plages combinent douceur de vivre, animations variées et loisirs nautiques, offrant une expérience balnéaire riche et conviviale.

Il sautera le match de Chelsea : La vie sans Youssef Belaïli…

Suspendu pour somme d’avertissements, Youssef Belaïli privera son équipe de ses services lors d’un match décisif pour la qualification aux huitièmes de finale du Mondial des clubs et face à un adversaire direct, Chelsea. Un adversaire très coriace même s’il n’est pas au meilleur de sa forme.

La Presse — Incontestablement, Youssef Belaïli est la dynamo de l’équipe cette saison et constitue 60% de sa force. Et ce n’est pas une surprise si c’est lui qui a offert le but de la victoire devant Los Angeles vendredi soir. Et dans la logique des choses et au vu de sa prestation, il a été élu homme du match. Sauf que “l’enfant terrible” ne peut s’empêcher de s’en prendre aux arbitres et ses suspensions au cours de la saison ne lui ont pas servi de leçon ( La direction du club aurait dû prendre des dispositions disciplinaires à son égard afin de le remettre sur le droit chemin, ce qui aurait pu éviter sa suspension contre Chelsea).  

Averti lors du premier match contre Flamengo, Belaïli aurait dû faire très attention face à Los Angeles pour éviter un deuxième carton suspensif. Or, l’ailier gauche algérien est allé chercher ce carton suspensif à l’issue d’un duel en pleine surface de réparation en se jetant d’une manière théâtrale sur le gazon en pleine surface de réparation.

Après recours à la VAR, il s’est avéré qu’on n’a pas marché sur les pieds de Belaïli. Mais il en a fait tellement trop qu’il a été averti pour simulation. Encore heureux qu’il a évité l’expulsion quand il a contesté avec véhémence la décision de l’arbitre. 

Le talent ne suffit pas…

Avec son talent fou et fort de son expérience, Belaïli s’est installé naturellement comme pièce maîtresse du dispositif de jeu de l’Espérance tout au long de cette saison, et ce, malgré les changements d’entraîneurs. Miguel Cardoso, Laurentiu Reghecampf et Maher Kanzari ont tous bâti la même stratégie avec une entreprise offensive qui s’articule autour de Belaïli. 

Skander Kasri, qui a assuré l’intérim après le départ de Cardoso, l’a remis sur le droit chemin tactiquement en lui imposant de jouer plus collectif, à une période où une frange de supporters en colère lui reprochait d’être égoïste sur le terrain. Or, quand on joue la Coupe du monde des clubs, on se doit d’être discipliné sur le terrain. A 33 ans, Youssef Belaïli doit gagner en maturité “mentale”. 

Blaïli laissera un énorme vide
(Ph. Mokhtar H’MIMA)

Konaté et Jebali d’entrée !  

Pour pallier l’absence de Belaïli, le coach “sang et or” fera, encore une fois, confiance à Abdramane Konaté qui devra cette fois-ci avancer d’un cran et évoluer derrière Rodrigues. Et pour renforcer davantage l’attaque, Chiheb Jebali pourra être associé à Konaté dans la perspective d’apporter plus de cohésion à l’entrejeu et assurer une transition rapide du jeu. 

Une autre solution de rechange s’offre à Maher Kanzari. Au lieu d’aligner Chiheb Jebali, il peut faire appel aux services d’Elias Mokwana pour animer le couloir gauche de l’attaque. Pour gagner en équilibre sur les couloirs et pour une meilleure animation offensive, Mokwana peut être converti en ailier gauche et laisser Sasse s’occuper du couloir droit. 

Retour à Detroit 

Après avoir donné la réplique à l’équipe de Los Angeles à Nashville, la délégation “sang et or” est revenue à Detroit où elle affrontera ce mercredi à 2h00 du matin Chelsea pour le compte du troisième et dernier match du premier tour. 

Une confrontation directe dans la perspective de se qualifier deuxième du Groupe D aux huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs. L’Espérance et Chelsea ont le même nombre de points, trois. Sauf que Chelsea pointe à la deuxième place à la faveur du goal différence, zéro contre moins un pour l’EST. 

Ceci dit et même s’il est privé de son meilleur élément, Maher Kanzari saura quoi faire, même si l’Espérance, sans Belaïli, ne peut présenter le même visage et ne peut être aussi percutante. 

Le coach “‘sang et or” a déjà vécu cette situation au cours de la saison et a dû revoir sa stratégie de jeu sans Youssef Belaïli. Toutefois, affronter Chelsea, même si la formation anglaise n’est pas au meilleur de sa forme, n’a rien à voir avec le derby. A Maher Kanzari de faire les choix adéquats et aux joueurs qui fouleront la pelouse du stade Lincoln Financial Field de s’appliquer tactiquement, mais aussi de livrer une aussi bonne prestation que celle produite contre Los Angeles. 

Ce qu’il faut éviter, par contre, c’est d’entrer sur le terrain la boule au ventre comme c’était le cas face au Flamengo, ce qui a fait perdre l’équipe une mi-temps de jeu. 

Ce mercredi matin, il faut affronter Chelsea avec l’état d’esprit de rien à perdre et tout à gagner à jouer son va-tout, même sans Belaïli.

Accidents de la route: 70 nouveaux radars pour lutter contre l’excès de vitesse

L’excès de vitesse est une cause majeure de la mortalité sur les routes. Face à ce constat alarmant, une stratégie nationale a été lancée, avec pour principal objectif de renforcer le déploiement de radars et de caméras de surveillance dans les points noirs et les ronds-points pour prévenir et réduire les comportements dangereux responsables des accidents mortels. Le gouverneur de Tunis, Imed Boukhris, a récemment présidé une réunion de la commission régionale de la sécurité routière au gouvernorat de Tunis afin de définir les axes de cette stratégie et les moyens de son exécution dans le Grand-Tunis. Cette commission, est une émanation du Conseil national de la sécurité routière, la plus haute instance en la matière, dirigée par le ministre de l’Intérieur, a relevé Aymen Ben Brahim, chef de la région Nord-Est à l’Observatoire National de la Sécurité Routière lors de son passage aujourd’hui à la radio, ajoutant que c’est le conseil qui définit les stratégies et politiques nationales dans le domaine de sécurité routière et leur mise en œuvre au niveau national et régional.

L’installation de nouveaux radars découle d’une recommandation de 2022 du ministre de l’Intérieur, émise lors de la 13ème édition du Conseil national de la sécurité et qui a préconisé l’extension du système de radars et l’augmentation de leur nombre, particulièrement dans les points noirs où la fréquence des accidents dus à l’excès de vitesse est élevée.

Aymen Ben Brahim a expliqué que les radars sont un moyen de dissuasion efficace contre l’excès de vitesse, précisant que « dès qu’une baisse des excès de vitesse et des accidents de la route est observée dans les points noirs où ces radars ont été implantés, ils seront démantelés pour être réinstallés dans d’autres points noirs. »

Des études sont en cours afin d’identifier les zones qui enregistrent le plus grand nombre d’accidents mortels. En conséquence, 70 nouveaux radars seront déployés à travers tout le territoire. Cinq d’entre eux seront spécifiquement aménagés dans le Grand Tunis, avec un radar stratégiquement placé à l’entrée de la ville et un autre sur la très fréquentée route rapide ouest.

Cette offensive contre l’excès de vitesse est un pas de plus vers des routes plus sûres pour tous.

Expatriés : Khaled Ben Yahia sur le toit de l’Algérie

L’ancien entraîneur de l’EST, passé aussi par le banc de l’ASM, EGSG, CSS, OB, CAB et UST, a été sacré champion d’Algérie aux mannettes du MCA.

La Presse — L’ex-capitaine du Team Tunisie, Khaled Ben Yahia, a donc glané haut la main le titre de champion d’Algérie avec le Mouloudia Club Alger lors de la dernière journée. Un match nul et vierge face à Magra a suffi au bonheur des Algérois et à leur entraîneur tunisien. Le coach Khaled Ben Yahia est aux commandes du MCA depuis le 5 janvier 2025 et a réalisé le doublé supercoupe-championnat.

Youssef Chermiti proche de Stoke City

En manque de temps de jeu à Everton, Youssef Chermiti va probablement mettre les voiles durant le mercato estival. À 19 ans, l’ex-attaquant du Sporting Lisbone avait tenté l’expérience de la Premier League par le biais des Toffees, mais après deux saisons, Chermiti n’a toujours pas percé. Ce faisant, il pourrait partir en prêt, en Championship où l’entraîneur de Stoke City, Mark Robins, semble intéressé par le profil du joueur. Attendons voir mais signalons aussi que Preston North End, Sheffield United et Oxford United ont aussi coché le nom de Chermiti. 

Nabil Kouki jette l’éponge

Toujours en Algérie, l’entraîneur du Wifak Sétif,  Nabil Kouki, a démissionné de son poste. Il a bouclé la saison à la 6e place. Kouki, 55 ans, a auparavant et en partie exercé au CA, CSS, ST, CRB et Al Hilal.

Elloumi passe pro

Le jeune attaquant tunisien Rayan Elloumi (17 ans) a signé un contrat professionnel avec le club des Vancouver Whitecaps qui officie en MLS, jusqu’au 31 décembre 2026.

Il faisait partie de l’académie du club avant de passer chez les pros. Il a fait ses grands débuts en ayant disputé 8 minutes face au Crew de Columbus.

Gannoun signe chez un promu

Khalil Gannoun, attaquant de 25 ans, va jouer lors de la saison prochaine pour le FC Fleury 91, club promu en National (D3), après sa très bonne saison avec le FC Balagne, où il a été meilleur buteur du championnat de la division inférieure.

CA – Un nouveau comité élu intronisé : Un tas de défis en face !

Avec le lourd héritage d’échecs sportifs et de tensions internes, Mohsen Trabelsi et son équipe ne sont pas sur du velours. Loin de là.

La Presse — Les adhérents ont choisi de donner leur confiance à Mohsen Trabelsi et sa liste pour trois ans. En fait, ils n’avaient pas d’autres choix, c’était la seule liste en course et après une longue attente. C’était une assemblée élective et seulement élective. Heykel Dkhil et le comité provisoire déchu et démissionnaire n’ont  pas défendu leur bilan.

Ce qui est aussi bizarre : comment passer aux élections et prendre en charge le club, alors qu’on n’a pas évalué la dernière saison et validé les comptes et le budget ? Toute cette guerre fratricide qui a éclaté en fin de saison est due, entre autres, aux accusations dangereuses sur la gestion des fonds injectés par le mécène américain.

Des audits sont en cours, mais comment faire maintenant ? Après que l’équipe de Mohsen Trabelsi a commencé son mandat et qu’elle va assumer ses responsabilités, va-t-on tenir une assemblée ordinaire pour approuver ou non les rapports du comité provisoire sortant ? C’est insensé et même ridicule.

Certains adhérents, qui n’ont pas voulu enflammer l’ambiance, appellent à tenir une assemblée extraordinaire pour changer les statuts, mais, pour le moment, ce n’est pas l’urgence. Tout ce qu’on a fait, c’est d’introniser un nouveau comité directeur en toute vitesse et après de gros rebondissements, sans que l’on évalue cette saison 24-25 de Heykel Dkhil et son équipe. Ceci parce que le mécène américain le veut. C’est lui qui a exigé des élections, et on lui a obéi. C’est la réalité. 

Un comité sous tutelle

Le CA n’a qu’un large public et une forte popularité. Sinon, il n’a plus de grands joueurs, il ne gagne plus les titres, il n’a plus de bailleurs de fonds, ni un public généreux en termes de billetterie, il n’a plus ce poids sociétal et surtout de structures saines et stables. L’élection d’un nouveau comité directeur en soi n’est pas la solution de fond.

Il reste beaucoup à faire, d’autant que ceux qui ont été élus ont tous appartenu à des comités qui n’ont pas réussi par le passé. Mais, c’est ce qui existe et c’est le seul choix possible. La donne qui va changer est sans doute cette mainmise de Fergie Chambers, le mécène américain, l’homme qui a le dernier mot en ce moment.

C’est lui qui tire les ficelles et qui impose tout aux structures du club grâce à sa puissance financière. Ce comité élu n’aura aucun pouvoir décisionnel important, tout passera par l’équipe des experts et des techniciens que Chambers a montée et qui a déjà commencé le travail. L’une des promesses de l’américain est de constituer un comité de pilotage qui aura même un droit de veto sur les décisions du comité élu. Cela veut dire tout simplement que ça va être le vrai comité qui va diriger et contrôler en premier lieu les comptes du club.  

Un mercato de qualité promis

La première transaction parrainée est celle de Senana cédé au championnat qatari pour 400.000 dollars. Le mercato de sortie est l’urgence pour les jours à venir au CA en vue de renflouer les caisses. D’autres sont sur le point de quitter contre des montants intéressants tels que Simakula, Kinzumbi ou Aït Malek qui ont tous des offres.

Mais, en même temps, il n’ y a que 10 opérations de recrutements possibles à faire pour les joueurs des plus de 21 ans. Le dégraissage massif de l’effectif n’est pas une option intelligente. Des éléments comme Khelil, Srarfi, Kooh, Sghaier ou Garreb ne devront pas porter le maillot clubiste la prochaine saison.

D’autres peuvent les rejoindre selon les vœux de l’entraineur Sahli et des conseillers techniques étrangers qui évaluent l’effectif en ce moment. Côté renforts, certaines pistes ont été ratées tels Bouassida ou Soltani (retard et vide administratif), mais d’autres sont en négociations. D’après nos sources, il y aura 5 à 7 joueurs de grande qualité entre étrangers et Tunisiens pour élever la qualité de l’effectif surtout en milieu. D’autres renforts importants pour les moins de 21 ans sont en cours de finalisation. L’effectif sera différent de la saison dernière, du moins au niveau vécu et qualité. 

Le projet Bardolais ne change pas de direction : Promesses stadistes

Le ST, future place forte du football tunisien? Impossible, criaient certains, il y a encore quelques années, mais la montée en gamme stadiste de ces deux dernières saisons a vite fait de convaincre et de dissuader les plus récalcitrants.

La Presse — Malgré une seconde partie d’exercice assez poussive, le Stade a tout de même réussi à valider une présence continentale.

Et en dépit d’un effectif amputé de ses meilleurs éléments, le Stade a su se réinventer et remplir l’objectif de qualification en coupe de la CAF. Aujourd’hui cependant, en cette période de trêve estivale, le Stade a d’autres défis à relever tels que les règlements des litiges afin de pouvoir lever l’interdiction de recruter qui pèse sur les Bardolais.

A cet effet, avec le paiement des dus de Lamine Ndao et de l’ex-milieu Mohamed Cherni, le Stade se dirige tout droit vers la levée en question, ce qui lui ouvrira les portes du marché des transferts afin de qualifier le portier Noureddine Farhati et l’attaquant Firas Aifia, en attendant de conclure les passages du sociétaire de la JS El Omrane, Ghaith Ben Hassine, et celui de l’avant de la JS Manouba, Marouen Touzri. Bref, en régularisant sa situation, le Stade peut maintenant s’atteler à dépasser ses problèmes de trésorerie pour se projeter à terme. 

Au Stade, l’on assiste depuis quelque temps non pas à une révolution, mais à un frémissement qui fait penser que les choses changent dans le bon sens au Bardo. Equipe frisson de la phase aller du championnat de l’exercice passé, le Stade avait tenu tête aux meilleurs et avait battu plus d’un cador,  avec, en prime, quelques belles performances et promesses venues des jeunes du cru, les Ayari, Dabbebi, Smaâli, Ouerghemmi et autre Arous.

En fait, rien n’indiquait pourtant une telle résilience, mais avec un savant dosage et un brassage intelligent entre apprentis et tauliers, le Stade a tenu la route, tout en prenant en compte l’aléa sportif, il va sans dire. 

Un groupe qui coche toutes les cases

Bâtir un projet, pierre par pierre, en respectant scrupuleusement les étapes sans se fourvoyer, tel semble être le leitmotiv de l’équipe dirigeante, et d’ailleurs, en fin de saison passée, le choix de Chokri Khatoui pour entraîner l’équipe première s’est inscrit parfaitement dans cette logique.

Technicien expérimenté, Khatoui a cette vocation de bâtisseur et il est davantage un technicien qui s’inscrit à long terme. En accédant à la C3 pour la seconde saison consécutive, le Stade renforce donc davantage sa notoriété continentale et son attractivité sportive. En conséquence, le projet ne changera pas de direction cet été avec des ambitions claires pour continuer à s’épanouir et à cocher toutes les cases, à commencer par exister sur la scène africaine.

Avec une charpente d’équipe en place, mêlant jeunesse et expérience, le tout couplé à deux ou trois recrutements ciblés, le ST peut non seulement jouer régulièrement les premiers rôles en L1, mais aussi passer un cap en Coupe de la CAF.

Et pour y parvenir, il est primordial de conserver l’identité stadiste en gardant certains joueurs repères de l’effectif, comme Ghazi Ayadi, pourtant annoncé partant. 

Enfin, pour clore ce tour d’horizon stadiste, le microcosme bardolais ne comprend pas la décision de la FTF de faire disputer un match d’appui entre l’USM (2e de L1 la saison passée) et le ST (finaliste de Coupe de Tunisie) pour déterminer le nom du club qui affrontera l’EST en Supercoupe.

Les fans pensent qu’il revient à leur équipe de disputer le super tunisien, et non pas aux Bleus que le ST avait d’ailleurs battus en demies de Coupe de Tunisie…

Au fait du jour : Félicitations à nos jeunes !

La Presse — Il y a le Mondial  des clubs, le Mondial de handball junior, le Mondial de handball des plages, des compétions de haut niveau en athlétisme et en natation, mais le «bac» a tout chahuté. Les esprits de bien des familles  étaient ailleurs. Les résultats du baccalauréat accaparaient toutes les attentions. Et si nous y ajoutions  le concours pour les écoles pilotes, sixième et neuvième, il y aurait de quoi avoir le tournis.

C’est que ces passages obligés qui jalonnent la vie sont importants. Tout est sacrifié pour que l’on emprunte la voie passante.

Mais en parcourant le Web, nous avons eu le plaisir de remarquer que nos internationaux, dans bien des disciplines sportives, ont franchi le cap.

Ils sont bacheliers et une nouvelle vie s’ouvre devant eux.

Un véritable plaisir de constater que les études ont été menées de pair avec le sport. Le sport de haut niveau exige pourtant beaucoup plus de travail avec des entraînements de haute intensité,  des stages, des déplacements, etc, et qui, en fin de compte, pousse les jeunes filles et garçons à tout sacrifier.

Ces nouveaux lauréats prouvent, si besoin est, que l’on peut réussir dans une carrière sportive et que l’on peut envisager l’avenir avec beaucoup d’optimisme.

Ainsi donc, nous ne pouvons que féliciter ces jeunes pour leur abnégation et pour leur sens du sacrifice. Ils et elles ont réussi et leur réussite honore leurs familles tout d’abord. Ces familles  dont on oublie souvent de reconnaître le rôle et les sacrifices. Ces champions, il y a des familles qui les ont portés à bout de bras, qui se sont privées pour envoyer à leurs enfants de quoi survivre en attendant qu’ils reçoivent leurs bourses qu’on leur envoie avec des mois de retard.

Il y a des familles qui ont été dans l’obligation d’aller s’installer à l’étranger pour faire le ménage et préparer à manger à leurs enfants que ni leurs fédérations, ni leurs clubs, ni la tutelle ne se sont empressés pour régler leurs dossiers asphyxiés par une administration tentaculaire. Ces familles sont, dans bien des disciplines sportives, les soldats de l’ombre qui n’hésitent devant rien pour maintenir à  flot leurs enfants, ces champions qui nous donnent autant de bonheur.

Félicitations et bonne continuation.

CSS – Nouveau staff technique : Droit au but

Après le choix de Mohamed Kouki comme entraîneur et de Tarak Salem en tant que directeur sportif, Kamel Kolsi, nouveau directeur technique, devra donner un coup de pouce à partir des sections des jeunes.

La Presse   C’est bien d’avoir la confiance des supporters dans un moment assez crucial de l’histoire du CSS. Mais le plus important, c’est de travailler d’arrache-pied et de  donner des premiers signes rassurants qu’on peut réussir. On peut dire que la jeune direction du CSS n’a pas démérité jusqu’à maintenant en prenant d’emblée le taureau par les cornes.

Elle travaille sans relâche et parvient à résoudre un par un des problèmes qui, il y a peu de temps, paraissaient un véritable casse-tête. Le comité provisoire investi par le haut comité de soutien a commencé par la première pierre de l’édifice à construire: mettre les personnes adéquates au département technique. Ainsi, Kamel Kolsi, technicien bourré d’expérience et qui a fait ses preuves partout où il est passé, a été choisi comme directeur technique pour former avec Mohamed Kouki et Tarak Salem le trio tenu de remettre sur pied le CSS.

Un grand premier pas dans le retour de la sérénité pour pouvoir passer aux étapes non moins importantes que sont le règlement des litiges avec les joueurs puis la levée de l’interdiction de recrutement pour renforcer le groupe et donner à ce trio les moyens de répondre à cet espoir né après sa nomination. Ça commence bien pour Mehdi Frikha et son équipe, mais le chemin est encore long et semé d’embûches.  

L’Iran lance l’opération “Annonce de la victoire” contre des bases américaines en Irak et au Qatar

L’opération “Annonce de la victoire” a été lancée contre des bases américaines en Irak et au Qatar, a rapporté lundi l’agence iranienne Tasnim, alors que plusieurs explosions ont été entendues dans le ciel de Doha, selon un journaliste de Reuters, suite aux menaces iraniennes de riposter aux frappes américaines sur des sites nucléaires en Iran.

L’Iran avait déclaré plus tôt que l’attaque américaine contre ses installations nucléaires élargissait le spectre des cibles légitimes pouvant être frappées par ses forces armées, qualifiant le président américain Donald Trump de “parieur” après l’engagement direct des États-Unis aux côtés de l’entité sioniste.

L’armée israélienne a bombardé lundi le centre de Téhéran, notamment la prison d’Evin, présentée par l’État hébreu comme un centre de détention des opposants à la République islamique.

Le président russe Vladimir Poutine, qui recevait lundi le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araqchi, a dénoncé “une agression sans fondement” contre l’Iran et a affirmé que Moscou était prêt à aider le peuple iranien.

Natation – Mondial de Singapour : La dernière ligne droite

Les nageurs tunisiens sont dans la phase sensible d’avant-compétition.

La Presse — Il se pourrait déjà que nos cinq représentants aux championnats du monde de natation en grand bassin de 50 mètres, qui auront lieu du 11 juillet au 3 août 2025,  soient entrés en période d’affûtage. Question de  reprendre leur souffle, disséquer leurs participations aux derniers championnats de France et régler ce qui devrait l’être avant le coup d’envoi.

Ahmed Jaouadi, Ramy Rahmouni, Yassine Ben Abbes, Belhassen Ben Miled et Jamila Boulakbache représenteront la natation tunisienne. Ce sont en fin de compte eux et elle qui représenteront la natation tunisienne. Ces éléments  ont été les plus en vue ces derniers mois.

Nous les avons vus sur leurs distances préférées, mais aussi sur des distances intermédiaires. Malgré le fait qu’ils participaient à ces championnats de France, ils continuaient à suivre  leurs programmes respectifs. Et c’est la raison pour laquelle nous pourrions être comblés par les temps  qu’ils ont enregistrés à double titre. Leurs progrès ont été réalisés alors qu’ils étaient sous une charge de travail importante.

Le prometteur Rahmouni

Mais un Mondial, cela n’a rien à voir avec une compétition soit-elle un championnat d’une nation qui figure parmi les meilleures dans cette discipline. D’ailleurs, de grands noms de la natation française n’y ont pas participé. On a tout simplement voulu les «protéger» d’une possible déconvenue.

A quelques semaines du jour J, il est toujours d’usage de recourir à ces choix. Une défaite, une contre-performance, pourrait tout remettre en cause. Philippe Lucas, le sélectionneur national,  de toutes les façons, sait ce qu’il fait. Il couve ses nageurs et les protège, mais dans un cadre rigoureux où tout compte, tout se calcule et tout doit se traduire par des réponses à même de fournir des indices et des options à emprunter pour repousser leurs limites.

Bien entendu, Ahmed Jaouadi sera le point de mire de la délégation tunisienne. En l’absence de Hafnaoui qui continue à purger son injuste sanction, que l’on aurait pu éviter, c’est lui qui fixera les regards. Une lourde charge pour ce jeune qui a quand même appris à vivre avec cette pression.

Mais il y a aussi le Ramy Rahmouni qui promet et qui se sent de plus en plus à l’aise dans ce cercle «privé» des champions en devenir. Il sera peut-être la bonne surprise de ce Mondial, s’il résiste  mentalement et se concentre sur ce qu’on lui dira de faire.

Jamila Boulakbèche, qui progresse et malmène ses meilleures performances et ses records à chaque sortie, pourrait, elle, se classer très honorablement. Tout comme Ben Miled et Ben Abbes qui, eux aussi, jouent des coudes et s’adaptent aux stress de ce genre de compétitions.

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