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Communiqué du Ministère des Affaires étrangères : La Tunisie dénonce fermement le bombardement du Liban et exprime son soutien envers son peuple

 

La Tunisie condamne fermement le bombardement de la capitale libanaise, Beyrouth, par les forces d’occupation sionistes, ce qui constitue un nouveau chapitre des attaques terroristes en cours contre des civils innocents et une atteinte flagrante à la souveraineté du Liban et son peuple, et en violation flagrante de toutes les conventions internationales.

La Tunisie présente ses sincères condoléances aux familles des victimes, ainsi que ses vœux aux blessés d’un rapide rétablissement.

La Tunisie réaffirme sa solidarité avec le Liban frère et son soutien contre toutes les menaces et attaques qui visent la  sécurité et la stabilité du Liban.

La Tunisie tient la communauté internationale et toutes les parties qui soutiennent l’occupant pleinement responsables pour mettre fin à ces attaques répétées contre les pays et les peuples de la région, soulignant l’urgence de mettre un terme à  ces graves violations qui mettent en péril  la paix et la sécurité de la région.

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ARP : Des députés soumettent une proposition de loi pour amender la loi des élections et référendums

 

La commission de législation générale de l’ARP se réunira lundi prochain pour examiner une proposition de loi et auditionner les auteurs de l’initiative, ainsi que les représentants du ministère de la Justice.

Le Bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), réuni hier, sous la présidence du président du Parlement, Brahim Bouderbala, a examiné une proposition de loi organique portant modification de certains articles de la loi organique n°16 du 26 mai 2014 relative aux élections et aux référendums.

La proposition de loi est présentée par 34 députés représentant divers groupes parlementaires, outre les indépendants, hors-groupe. La proposition de loi a été déposée hier au bureau d’ordre de l’ARP.

Le bureau de l’ARP a soumis la proposition de loi à la commission de la législation générale, avec une demande d’examen en urgence, selon le Parlement.

De son côté, la commission de la législation générale de l’ARP annonce se réunir lundi prochain pour examiner cette proposition de loi et auditionner les auteurs de l’initiative, ainsi que les représentants du ministère de la Justice, selon le site du parlement.

Selon les auteurs, cette initiative législative vise à sauvegarder «l’homogénéité du corps judiciaire», en charge du contentieux électoral de manière à éviter «les inconvénients» de la répartition actuelle (ordre judiciaire, ordre financier et ordre administratif) qui, dans la pratique, a démontré son inefficacité.

Ces députés estiment que leur proposition de loi vient en réponse aux différends et controverses observés en lien avec des décisions prises et des positions déclarées par l’Instance supérieure indépendante des élections et le Tribunal administratif.

Il s’agit, selon eux, d’éviter d’éventuelles crises dans l’avenir et tout danger menaçant le processus électoral.

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Bourse de Tunis-Emprunt obligataire national 2024 : Les lignes de la 3e tranche seront négociables à partir du 23 septembre 2024

 

La loi de finances 2024 prévoit la mobilisation d’une enveloppe globale de 2,87 milliards de dinars, à travers l’émission des quatre tranches de l’emprunt obligataire national pour l’année 2024.

Les lignes de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national 2024 seront admises à la cote de la Bourse et négociables à partir du 23 septembre 2024, a annoncé, hier, la Bourse de Tunis.

Le trésor a levé 1 270,7 millions de dinars (MD) pour la troisième tranche de l’emprunt national 2024, dépassant, ainsi, le montant initialement fixé à 700 millions de dinars, soit un taux de réponse de 182%.

Les montants souscrits, lors de la période du 3 au 11 septembre 2024, proviennent des intermédiaires en bourse et des banques avec des taux de souscription respectifs de 69% et 31%, a indiqué, récemment, à l’Agence TAP, le directeur général de Tunisie Clearing, Maher Zouari.

La catégorie B (une durée de remboursement de 7 ans) a permis de mobiliser 679,7 MD, ce qui représente 53,5% du montant global de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national pour l’exercice 2024.

Quant aux souscriptions pour une durée de 10 ans (catégorie C), elles ont attiré 590,2 MD, soit 46,4% du total du montant.

Pour rappel, la loi de finances 2024 prévoit la mobilisation d’une enveloppe globale de 2,87 milliards de dinars, à travers l’émission des quatre tranches de l’emprunt obligataire national pour l’année 2024.

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Recrudescence de la violence entre mineurs : Pourquoi nos enfants sont-ils de plus en plus violents ?

 

Le 16 septembre, jour de la rentrée scolaire, deux jeunes garçons ont tabassé à mort un élève devant le lycée de Mégrine. Le lendemain matin, une vidéo choc circule sur les réseaux sociaux, montrant une mère en train d’inciter ses deux petits, inscrits dans un jardin d’enfants, à répondre à la violence par la violence. Frappe contre frappe, morsure contre morsure… !

Il semble que de nos jours la violence est banalisée ! Cependant, on ne parle pas d’actes isolés. Or, il s’agit bel et bien d’un phénomène social qui doit être observé de près. «Je suis encore sous le choc du meurtre de l’élève de Mégrine, lorsque j’ai vu partager sur Facebook la vidéo de la maman qui pousse ses enfants à être violents. Malheureusement, ce discours est adopté par plusieurs mamans. Il vient rompre avec l’image traditionnelle de la mère comme première école d’apprentissage des valeurs sociétales, notamment la tolérance et le respect de l’autre», déclare Dr Mariem Touati, psychologue clinicienne et psychothérapeute de l’enfant et de l’adolescent.

Mère ou père, un modèle !

Et de poursuivre sur sa lancée: «Cette mère inconsciente appelle au désordre. Normalement, nous vivons dans une société basée sur un contrat social, dont la principale valeur est le respect d’autrui. D’après elle, la cour de jardin d’enfants ou de l’école va se transformer en une scène de combat et non un lieu de respect et d’acceptation de la différence d’autrui. Je me demande si son enfant rencontre un enfant plus fort, est-ce que c’est elle qui va intervenir et régler les choses à sa façon».

Elle ajoute que la personnalité de la mère ou du père se reflète dans le comportement de leur enfant. Donc, il faut avoir une attitude positive pour aider son enfant à se forger une personnalité solide capable de se faire respecter sans être obligé de recourir à la violence physique. «Les parents doivent transmettre à l’enfant une image positive de lui-même, ainsi, il développe sainement son estime de soi et sa confiance en lui. Dans cette ambiance saine, il va acquérir des compétences émotionnelles et  sociales qui vont l’aider à avoir un équilibre psychologique et se faire respecter dans l’école et la société», explique Dr Touati.

Et si la famille était démissionnaire !

La responsabilité des parents envers leurs petits ne cesse de croître. Auparavant, dans la famille élargie, grands-parents, tantes, oncles, tous participent à la socialisation et à la bonne éducation de l’enfant. Actuellement, dans la famille nucléaire, les parents sont trop occupés et parfois démissionnaires. Malheureusement, la famille ne joue plus le rôle qui lui incombe ordinairement.

Auparavant, le phénomène de la violence était observé chez les adolescents et les jeunes. Cette violence s’explique par des causes physiologiques. Le changement hormonal rend les adolescents plus violents. A cet âge, l’enfant en quête d’une identité propre à lui adopte certains actes déviants et des méfaits. «Mais, aujourd’hui, la violence est manifeste chez les enfants en bas âge. Les moins de 12 ans sont de plus en plus agressifs. Normalement, cette phase qu’on appelle la phase de latence qui s’étend de 6 à 12 ans se caractérise par une importante diminution des activités pulsionnelles et violentes. A ce stade, l’enfant développe des compétences qui vont lui permettre de s’intégrer dans la société», a-t-elle encore expliqué. Hélas, tout est bouleversé. «Ce qu’on observe aujourd’hui est tout à fait le contraire d’un développement sain de l’enfant. Ce dernier est en train de se débrouiller tout seul. Avec une famille démissionnaire et une école qui a abandonné son rôle d’éducatrice, le petit trouve dans la société virtuelle, notamment les réseaux sociaux, Tik Tok, les jeux vidéo, des exemples à suivre. Ce phénomène s’est développé dans la période de confinement durant le Covid. Des enfants de 6 et 7 ans passaient des nuits blanches accrochés à leurs téléphones. Résultats : troubles de sommeil, une grande frustration qui se transforme en agressivité et des enfants incapables de gérer leur colère», poursuit la psychologue.

La communication de mise

D’après la théorie du psychologue canadien Bandura, l’apprentissage social est basé sur l’observation et l’imitation des comportements, attitudes et émotions des autres. Ainsi, un enfant exposé quotidiennement à des centaines de vidéos et de comportements violents va s’approprier ces comportements. Malheureusement, les délinquants et les vagabonds, qui se montrent sur les réseaux sociaux et dans les feuilletons ramadanesques, sont devenus des idoles pour les petits. «Tout doit être remis en place. Aujourd’hui, les parents sont dans l’obligation d’assumer leurs responsabilités. Ils sont les premiers accompagnateurs de leurs enfants. Ainsi, l’apprentissage des valeurs et de la bonne conduite se fait à la maison et se poursuit à l’école. Les enseignants doivent prendre la relève au sein des établissements scolaires.

Nous savons que le nombre des élèves par classe est énorme et que le travail de l’instituteur devient fatigant, mais il faut sauver cette génération et reconstruire une relation basée sur la confiance entre la famille et l’école. L’élève doit se sentir protégé et respecté dans un lieu où règne la discipline», confie notre psychologue.

D’autre part, la communication verbale est très importante. La gestuelle également. L’enfant doit être accompagné dès son bas âge, afin d’acquérir les compétences nécessaires pour se défendre, sans être forcément violent. Un simple regard, un visage ferme et des mots bien choisis suffisent pour se faire respecter.

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Pourquoi | Remettre en état les infrastructures dégradées

 

Lorsque l’infrastructure ne rime pas avec la pluie, pourtant perçue comme une bénédiction céleste, le quotidien des citoyens se mue en véritable calvaire. Le même scénario se répète inlassablement à chaque région touchée par des précipitations, à l’instar de la ville de Sfax, mercredi, et précisément au niveau des routes Menzel Chaker et de l’Aéroport, et ce, en raison de notre négligence vis-à-vis de l’entretien des égouts et des routes durant la saison estivale. Nous ne tirons jamais les leçons des inondations dévastatrices qui ont frappé diverses régions par le passé. La vie quotidienne ne devrait pas devenir un calvaire simplement parce que quelques gouttes de pluie, tant espérées, viennent à tomber.

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L’Arforghe lance la 11e édition des HR Awards : Pour une gestion optimale des ressources humaines

 

La 11e édition, prévue pour le 29 novembre 2024, s’inscrit dans la continuité des précédentes avec une attention particulière accordée aux enjeux de durabilité et de droits humains. L’événement récompensera les entreprises qui se distinguent par leurs pratiques responsables et leur engagement pour le bien-être de leurs employés.

L’Association des responsables en formation et de gestion des ressources humaines dans les Entreprises (Arforghe) annonce la tenue de la 11e édition des «Human Rights Environmental Awards» (HR Awards) lors d’un point de presse à Tunis. Un événement attendu pour la promotion de l’excellence en gestion des ressources humaines en Tunisie. Organisée en partenariat avec la GIZ–Tunisie dans le cadre de l’initiative «Initiative for Global Solidarity» (IGS), cette édition mettra l’accent sur la diligence raisonnable, le développement durable et le respect des droits de l’Homme.   

Encourager la coopération internationale

La 11e édition, prévue pour le 29 novembre 2024, s’inscrit dans la continuité des précédentes avec une attention particulière accordée aux enjeux de durabilité et de droits de l’homme. L’événement récompensera les entreprises qui se distinguent par leurs pratiques responsables et leur engagement pour le bien-être de leurs employés.

Comme cité dans le communiqué de presse, l’objectif de cette 11e édition est de récompenser les entreprises qui adoptent des pratiques préventives pour assurer la santé, la sécurité et le bien-être de leurs employés, tout en respectant les normes internationales en matière de droits de l’homme et de durabilité. Ce projet encourage une coopération internationale, notamment avec la Tunisie, en mettant l’accent sur la prévention des risques.   

Cette nouvelle édition, organisée avec le soutien de la GIZ–Tunisie et en collaboration avec l’initiative IGS, promet de renforcer la résilience socioéconomique des entreprises en Tunisie, tout en valorisant leurs efforts pour un développement durable et inclusif.

Les entreprises souhaitant participer au «HR Awards 2024» devront soumettre leur candidature via un formulaire en ligne. Un comité d’audit composé d’experts en RH se chargera de visiter les entreprises candidates, d’évaluer leurs pratiques et de sélectionner les lauréats. Les résultats seront annoncés lors de la cérémonie de remise des prix qui se tiendra le 29 novembre 2024.     

Un atout pour l’économie tunisienne     

Florian Garcia, directeur de programme au sein de la GIZ Tunisie, déclare, lors de la rencontre presse autour de «HR Awards», que ce genre d’initiative est un atout et une richesse pour le secteur économique tunisien et ses entreprises et c’est aussi une condition préalable qui permet d’accéder aux marchés européens et internationaux. Il s’agit d’un facteur de compétitivité pour les entreprises tunisiennes. Hatem Bacha, DRH de «Valeo», revient sur l’historique des «HR Awards», qui vise à affiner son réseautage, à rapprocher les personnes travaillant dans les ressources humaines, et à consolider les pratiques des employés au sein des petites et grandes entreprises. Les personnes travaillant dans les RH, en étant en compétition, sortent de leur quotidien et s’innovent.

Créée en 1976, l’Arforghe rassemble des professionnels des ressources humaines issus de divers secteurs d’activité. Depuis plus de 45 ans, l’association œuvre à valoriser la fonction RH dans les entreprises tunisiennes, qu’elles soient publiques ou privées, en plaçant l’humain au centre de la stratégie d’entreprise. Elle mène des initiatives visant à moderniser et à optimiser la gestion des ressources humaines, favorisant ainsi une performance organisationnelle durable. Lancé en 2013, le «HR Awards» récompense les meilleures pratiques RH en Tunisie.        

Au fil des ans, cet événement a évolué, intégrant des catégories variées, allant de la gestion des talents à la digitalisation des ressources humaines. Chaque édition met en lumière les innovations et les stratégies qui placent les collaborateurs au cœur de la croissance des entreprises.

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Express

 

Chambre de Commerce et d’Industrie de Tunis – Adhésion à l’Evbb : Contribuer à la compétitivité internationale des entreprises tunisiennes

La Chambre de commerce et d’industrie de Tunis vient d’annoncer son adhésion, en tant que membre, à l’Association européenne des instituts de formation professionnelle (Evbb).

L’Evbb est une organisation européenne regroupant des associations étatiques, des instituts de formation, ainsi que des prestataires de services de formation aux niveaux national, régional et local. Son objectif principal est de promouvoir et d’améliorer la qualité de la formation professionnelle à travers toute l’Europe.

En rejoignant cette prestigieuse association, la Ccit réaffirme son engagement à renforcer la formation professionnelle en Tunisie, à développer des partenariats internationaux et à offrir des solutions innovantes et adaptées aux besoins des entreprises et des professionnels. Cette adhésion permettra également à la Ccit d’échanger les bonnes pratiques et de bénéficier d’une expertise européenne reconnue dans le domaine de la formation. La Ccit se réjouit de cette nouvelle opportunité qui s’inscrit dans sa mission de contribuer à la compétitivité des entreprises tunisiennes à l’échelle internationale.

«Health awards 2024» : Huit destinations à l’honneur

A l’occasion du sommet mondial du tourisme médical «Health awards 2024» qui se tiendra, le 7 novembre 2024, à Dubaï, une dizaine d’entreprises tunisiennes opérant dans le secteur du tourisme médical, seront distinguées. Initié par la Health Tourism Industry (HTI), une structure para-publique européenne, cet événement comblera de ses honneurs huit destinations d’excellence du tourisme médical, dont la Tunisie, les Emirats arabes unis, la Turquie, la Malaisie, l’Inde, la Thaïlande, Singapour, ainsi que d’autres pays européens.

La participation tunisienne est organisée par la HTI, en partenariat avec la Chambre nationale des entreprises des services de santé (Cness), la Chambre nationale des établissements sanitaires privés (Csnesp) et la Fédération nationale de la santé relevant de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica) avec l’appui du ministère de la Santé.

Le président de la Cness, Ghazi Mejbri, a déclaré, au cours d’une conférence de presse, qu’une dizaine d’opérateurs tunisiens, agissant dans divers maillons de la chaîne de valeur du tourisme médical (cliniques, agences d’intermédiation, plateformes électroniques de télémédecine et sociétés de services…), recevront diverses distinctions. Par ailleurs, Mejbri a également indiqué que les entreprises seront sélectionnées à la faveur d’un appel à candidature par un jury national sur la base de critères précis. 

Abdelkader Boudrigua : «Créer des emplois de qualité dépend d’un taux de croissance respectable»

Abdelkader Boudrigua, le président du Cercle des financiers tunisiens, a précisé, lors d’une intervention radiophonique, que l’économie nationale n’est pas capable de créer des emplois qui peuvent fournir des revenus respectables. Il n’est pas possible d’ambitionner de développer des stratégies financières et économiques lorsque des données fiables et pertinentes ne sont pas disponibles. L’absence d’une estimation du taux de croissance relative au troisième trimestre de l’année en cours est une véritable entrave. Il est, également, impossible d’effectuer un suivi en temps réel des stocks de certains produits à l’instar des pommes de terre.

Selon Boudrigua, «les indicateurs concernant l’investissement ne sont, en fait, que des intentions et non pas des projets réalisés. Il y a, aussi, le problème du stress hydrique qui s’impose comme une grande priorité. Le mode de développement économique adopté actuellement ne permet pas le dépassement des seuils de 2,5 et de 3% de croissance. Or, il n’est pas possible de créer des emplois de qualité si les taux de croissance n’avoisinent pas les 6 et 7%. Le développement ne devrait pas être limité aux régions intérieures, mais devrait également comprendre les grandes villes». 

Abdelkader Boudrigua a fait savoir que les start-up préfèrent s’installer à l’étranger à cause de la législation en vigueur, ce qui est considéré comme une forme de fuite des talents. Il est nécessaire d’encourager les jeunes à entreprendre et il est important de réviser les législations en vigueur à même de les inciter à créer leurs propres entreprises et à adopter le statut de consultant ou de freelancer.

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Les festivals de cinéma : L’espoir d’une nouvelle dynamique

 

Aucun représentant des Journées cinématographiques de Carthage, la plus importante manifestation du cinéma arabo-africain, n’était présent à la rencontre organisée dans le cadre des Jeudis du cinéma à la salle Tahar Cheriaâ (Cité de la culture), par le Groupement professionnel de l’industrie cinématographique de la Conect sur le thème «Spécificité des festivals de cinéma dans la promotion de l’attractivité territoriale».

Cette absence dénote du désintérêt accordé à ce genre de rencontre qui vise à repenser les enjeux et les perspectives des festivals. Pourtant l’un des thèmes inscrit dans le programme concerne «les JCC : Quelle vision stratégique pour l’avenir ?» outre, la cartographie des festivals et le calendrier des manifestations», «les incidences de la Tunisia Film Commission sur l’essor régional» et «la diversité éditoriale selon les particularités locales».

Ceci étant dit, la parole a été donnée en premier à Mehdi Bhouri, trésorier de la Conect, qui a fait un rappel des deux axes stratégiques du grand projet de réforme de l’industrie cinématographique fédérateur pour l’économie, à savoir la carte des festivals et la Tunisia Film Commission sans toutefois être précis ni sur l’un, ni sur l’autre axe.

Pour sa part, Hichem Ben Ammar, réalisateur et porteur du projet Conect avec Mohamed Ali Ben Hamra, président du Gpic, a mis l’accent sur la convention de partenariat avec la ministère du Tourisme sur un projet de communication et d’appui logistique pour la valorisation des régions. Le but consiste à consolider le tissu économique par la création de pôles attractifs ainsi que la régulation et la répartition des festivals dans les régions, et ce,  par rapport à leur spécificité à l’instar du festival du film ouvrier de Menzel Bourguiba qui se tenait le 1er mai de chaque année mais qui a disparu au bout de quelques sessions. Il y a aussi le festival du ciné-musée à Sousse ou encore celui de Douz Doc Days, ce dernier a aussi disparu. L’intervenant a suggéré la mise en place d’une cartographie des festivals qui serait de trois types ; les grandes manifestations internationales, les festivals de taille moyenne et les festivals de proximité.

Noomane Habassi, chargé de la direction du Cnci, a présenté, quant à lui, le programme «Minasset» qui comporte trois projets importants : le ciné-culture, le ciné-festivals et le ciné-écrans. Le ciné-culture consiste à créer des cinéphiles, et ce, avec le concours de la Ftcc et la Ftca. Le ciné-festivals est un projet qui vise la redistribution de la carte des festivals dans les régions. Enfin, le ciné-écrans s’intéresse à la création des salles de cinéma dont le nombre ne dépasse pas actuellement les 25 salles.

La présidente de l’Association Bizerte Cinéma, Saoussen Tabia, a fait savoir que l’Association a été créée en 2011 par un groupe de cinéphiles et qu’elle organise un festival d’auteur et de résistance qui en est à sa 10ème édition mais souffre de problèmes financiers. Malgré les difficultés, l’Association a, quand même, lancé une autre manifestation Tazouart orienté vers la culture Amazigh.

Le Festival International du film de l’enfance et de la jeunesse (Fifej), festival moribond depuis quelques années, créé en 1991 à Sousse, n’a pas organisé de session depuis 4 ans selon le président de l’Association qui l’organise et son ex-directeur Hassen Allilèche. Faute de moyens, ce dernier a fini par céder la direction au cinéaste Anis Lassoued, qui devra résoudre les difficultés financières et trouver les fonds nécessaires pour le réintégrer dans la cartographie des festivals. L’aide allouée par le ministère de la Culture est passée de 90.000 dinars en 1991 à 40 .000 dinars pour tomber à 13.000 dinars.

Le dernier participant Adel Abid, président de la Ftca et directeur du Fifak de Kélibia, a relevé l’absence de diagnostic du secteur cinématographique, insistant sur le renforcement du cadre réglementaire et institutionnel et le développement d’infrastructures cinématographiques ainsi que la création d’un concept de ciné-tourisme tout en tenant compte de l’identité de chaque festival.

Ce diagnostic permettra au Gpic de trouver des solutions adéquates à ces festivals dans un écosystème qui leur donnera une nouvelle impulsion.

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Première édition du festival du court métrage au Bardo : Une vitrine pour un petit format

 

Du 6 au 9 novembre, à Dar el Masrahi, un festival du court métrage aura lieu. Faisant de cet espace un lieu de rencontre pour jeunes créateurs. 

 Le cinéma tunisien s’apprête à accueillir un nouvel événement dédié à la créativité et à l’innovation : «Festival du Court Métrage-Bardo». Organisé par Dar Masrahi du 6 au 10 novembre 2024, ce festival se veut un rendez-vous annuel pour les jeunes réalisateurs, les professionnels de l’industrie et les passionnés de cinéma.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté de promouvoir les talents émergents et d’accompagner les jeunes cinéastes dans leurs premiers pas vers une carrière artistique. En offrant une plateforme d’exposition, le festival souhaite créer des opportunités pour ces nouveaux créateurs, tout en permettant au public de découvrir des œuvres inédites. L’accent est mis sur la diffusion de films courts réalisés par des étudiants en cinéma et de jeunes réalisateurs indépendants. Le programme se base sur une compétition  de films de fiction, de documentaires et films d’école, ainsi que des œuvres tournées avec des smartphones, une manière de souligner l’importance des nouveaux moyens de filmage accessibles à tous.

Le festival propose également des moments d’échanges entre le public, les réalisateurs et les professionnels du secteur, avec des débats autour des films projetés. Les jeunes talents auront ainsi l’occasion de se confronter à un public averti, de recevoir des critiques constructives et de renforcer leurs compétences. En parallèle, des ateliers pratiques sur l’écriture de scénarios, la musique de films et la création de vidéos pour les réseaux sociaux seront organisés, offrant aux participants une immersion dans les différentes facettes de la production cinématographique.

À travers cette initiative, Dar el Masrahi espère faire du Bardo un pôle de créativité et un incubateur pour le cinéma tunisien.

Les prix décernés aux meilleurs films permettront de récompenser l’originalité et la qualité des œuvres. Ce festival se positionne ainsi comme un événement culturel destiné à encourager la création cinématographique indépendante et à offrir une visibilité accrue aux jeunes talents du pays.

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Ce soir, première internationale de «Sh’hili» de Habib Ayeb au Rio : Un film essentiel face à l’urgence climatique

 

Le Cinéma Le Rio à Tunis abritera ce soir la première internationale de «Sh’hili» (Sirocco), le nouveau documentaire de Habib Ayeb. Dès 17h00, les spectateurs pourront découvrir cette œuvre qui s’attaque de plein fouet à l’un des enjeux les plus pressants de notre époque: le changement climatique.

Géographe de formation et réalisateur engagé, Habib Ayeb a déjà signé plusieurs films remarqués, dont «Couscous : les graines de la dignité» et «Gabes Labess». Son parcours académique n’est pas en reste : professeur émérite à Paris 8, il a consacré ses recherches à des sujets aussi divers que cruciaux, de la souveraineté alimentaire aux dynamiques de résistance en passant par la marginalité. Avec son tout dernier film documentaire «Sh’hili» (Sirocco en français), Ayeb se lance un nouveau défi : décrypter les rouages du dérèglement climatique tout en pointant les responsabilités. Le film part d’un constat amer, c’est que malgré la profusion de conférences et de publications sur le sujet, les actes concrets tardent à suivre. Pendant ce temps, le thermomètre continue de grimper, les catastrophes naturelles se multiplient, et des crises comme celle du Covid-19 nous rappellent brutalement notre vulnérabilité. Mais «Sh’hili» ne se contente pas de dresser ce tableau noir. A travers son œuvre, il lance un appel plus qu’urgent à la mobilisation et à l’action collective. En effet, le film plaide pour une «justice climatique» et la protection des plus vulnérables face aux bouleversements en cours. On y retrouve la touche de Habib Ayeb, qui a toujours considéré sa caméra comme un outil de sensibilisation et d’éveil des consciences. À l’heure où le changement climatique n’est plus une menace lointaine mais une réalité quotidienne, «Sh’hili» s’impose comme une œuvre incontournable. Rendez-vous, donc, ce soir au Rio pour découvrir cette contribution cinématographique tunisienne à la lutte pour la préservation de notre planète. Le film sera suivi d’un débat qui s’annonce riche en échanges. Un événement incontournable à ne pas rater !

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Météo : Temps partiellement nuageux sur l’ensemble du pays

 

Le temps sera, samedi, partiellement nuageux sur l’ensemble du pays et les nuages seront progressivement denses l’après-midi sur les régions Ouest du nord et du centre, avec quelques pluies. Ces précipitations seront provisoirement orageuses puis elles concerneront localement les régions Est du nord et certaines régions du Sud pendant la nuit.

Le vent soufflera de secteur Sud au Nord et au Centre et de secteur Est au Sud, relativement fort d’une vitesse entre 30 et 45 km/h près des côtes Nord et faible à modéré entre 15 et 25 km/h sur le reste des régions, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM).

La mer sera peu agitée à agitée au Nord et calme à peu agitée aux côtes Est.

Les températures maximales seront comprises généralement entre 26 et 31 °C et seront aux alentours de 23 °C sur les hauteurs Ouest, atteignant 34 °C à l’extrême Sud, selon la même source.

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Célébration de la Journée mondiale du nettoyage : Une heure pour un environnement plus sain en Tunisie

 

Le ministère de l’Environnement a appelé, vendredi, les citoyens à consacrer une heure, samedi, 21 septembre 2024, pour contribuer au nettoyage des environs de leurs domiciles et lieux de travail et de leurs villes.

Cet appel intervient dans le cadre de la célébration de la « Journée mondiale du nettoyage » qui coïncide avec le 20 septembre de chaque année et s’inscrit dans le cadre des programmes du ministère visant à améliorer la qualité de vie.

Une intervention sera également menée en coordination avec la municipalité de Tunis pour enlever les déchets de démolition et de construction sur le Boulevard du 9 avril dans la capitale Tunis.

Le 8 décembre 2023, l’Assemblée générale des Nations Unies, lors de sa 78e session, a adopté à l’unanimité la résolution 78/122 qui proclame le 20 septembre « Journée mondiale du nettoyage ».

La résolution invite tous les États Membres, les organismes des Nations Unies, les autres organisations internationales et régionales et les autres parties prenantes, dont la société civile, le secteur privé et les milieux universitaires, à célébrer la Journée mondiale du nettoyage en menant des activités visant à sensibiliser le public et à contribuer à la réalisation du développement durable.

Le Programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat) facilite la célébration de la Journée.

Au fil des années, de nombreux gouvernements nationaux, régionaux et locaux, ainsi que des communautés, ont entrepris des activités de nettoyage dans le monde entier.

Les nettoyages servent à rappeler la responsabilité collective dans la préservation et le maintien d’un environnement propre et sain, ainsi que dans la gestion durable des déchets et des ressources.

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Emprunt obligataire 2024 : Enveloppe globale et objectifs de financement

 

Les lignes de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national 2024, seront admises à la cote de la Bourse et négociables à partir du 23 septembre 2024, a annoncé, vendredi, la Bourse de Tunis.

Le trésor a réussi à lever 1 270,7 millions de dinars(MD) pour la troisième tranche de l’Emprunt national 2024, dépassant, ainsi, le montant initialement fixé à 700 millions de dinars, soit un taux de réponse de 182%.

Les montants souscrits, lors de la période du 3 au 11 septembre 2024, proviennent des intermédiaires en bourse et des banques avec des taux de souscription respectifs de 69% et 31%, a indiqué, récemment, à l’Agence TAP, le Directeur Général de Tunisie Clearing, Maher Zouari.

La catégorie B (une durée de remboursement de 7 ans) a permis de mobiliser 679,7 MD, ce qui représente 53,5% du montant global de la troisième tranche de l’emprunt obligataire national pour l’exercice 2024.

Quant aux souscriptions pour une durée de 10 ans (catégorie C), elles ont attiré 590,2 MD, soit 46,4% du total du montant.

Pour rappel, la loi de finances 2024 prévoit la mobilisation d’une enveloppe globale de 2,87 milliards de dinars, à travers l’émission des quatre tranches de l’Emprunt Obligataire National pour l’année 2024.

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Nomination à la SNIPE : Saïd Ben Kraïem, un vétéran de La Presse, prend les rênes

 

Le nouveau PDG de la Société Nouvelle d’Impression, de Presse et d’Édition (SNIPE – La Presse), Saïd Ben Kraïem, a été nommé jeudi par le Président de la République Kaïs Saïed.

Il a débuté son parcours professionnel au journal La Presse en 1996. Âgé de 55 ans, Ben Kraïem occupait, depuis 2017, le poste de directeur général du Centre Africain de Perfectionnement des Journalistes et Communicateurs (CAPJC).

Durant son parcours au sein de la SNIPE – La Presse, il a gravi les échelons, notamment en tant que rédacteur en chef du journal en langue française de 2014 à 2017.Il a également dirigé, durant cette même période, la section des publications de la SNIPE – La Presse.

Titulaire d’une maîtrise de l’Institut de Presse et des Sciences de l’Information (IPSI), Saïd Ben Kraïem a participé à plusieurs conférences et colloques spécialisés dans le domaine de l’information, tant à l’échelle nationale qu’internationale.

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Chokri Ben Nessir, de La Presse à la Télévision : Un parcours prestigieux

 

Chokri Ben Nessir a été nommé, jeudi, Président-directeur général de l’Établissement de la télévision tunisienne, en vertu d’un décret émis par le président de la République, Kaïs Saïed.

Né en 1963, Chokri Ben Nessir est titulaire d’une maîtrise en journalisme et sciences de l’information, ainsi que d’un master supérieur spécialisé en nouvelles technologies de la communication et de l’information.

Depuis le 15 mai 2023, et jusqu’à sa nomination à la tête de la télévision nationale, il occupait le poste de Président-directeur général de la Société nationale d’impression, de presse et d’édition (SNIPE-La Presse).

Il a assuré les fonctions de directeur de la rédaction à « Dar Assabah » (2018-2019) et de directeur de rédaction à La Presse de Tunisie depuis 2020.

Journaliste professionnel, Ben Nessir a débuté sa carrière au journal Le Monde Diplomatique (mensuel en arabe publié à Tunis), avant de devenir le premier rédacteur en chef du journal tunisien en anglais Tunisia News.

Il a été fondateur et rédacteur en chef du magazine spécialisé en économie La Presse Business et rédacteur en chef de la revue hebdomadaire francophone L’Expression.Titulaire de l’Ordre du Mérite Culturel, il a également reçu plusieurs prix et distinctions internationales, dont le Mare Nostrum Award (2016) et le premier prix du concours sur l’amitié sino-arabe (2023).

Le nouveau PDG de la télévision a contribué à l’élaboration de la stratégie de transition digitale de La Presse de Tunisie, financée par l’Union Européenne via le projet Media UP.

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Activités présidentielles : La coopération culturelle entre la Tunisie et l’Irak au cœur de la rencontre

 

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, hier, à Carthage, le ministre de la Culture, du Tourisme et des Antiquités de la République d’Irak, Ahmed Fakkak Al Badrani.

Le Chef de l’Etat a exprimé le souhait de renforcer les échanges et de développer les mécanismes de coopération avec l’Irak dans le domaine culturel, notamment par la création de centres culturels à Tunis et à Bagdad. Il a réaffirmé, en outre, le rôle de la culture, comme support d’une pensée libre et éclairée, ainsi qu’un instrument efficace pour lutter contre les dérives et toute forme d’extrémisme, soulignant que la Culture constitue un rempart pour les sociétés et un pont de rapprochement entre les peuples, selon un communiqué de la présidence.

Le Président de la République a réitéré la fierté du peuple tunisien des liens solides de fraternité avec le peuple irakien dans les différents domaines, notamment dans le secteur culturel.

De son côté, le ministre irakien, dans une vidéo mise en ligne par la présidence de la République sur sa page officielle, a déclaré que la rencontre a porté sur les relations irako-tunisiennes, notamment dans le domaine culturel, ainsi que dans plusieurs autres domaines dont le tourisme et le commerce. Il a salué la volonté du Président de la République de renforcer les échanges culturels entre les pays arabes, dès lors que ces derniers forment un seul peuple prônant la diversité culturelle.

Il a ajouté que la rencontre avec le Chef de l’Etat a été l’occasion pour évoquer l’organisation d’un congrès arabe sur la musique, ainsi que sur le rôle des bibliothèques dans la promotion de la Culture. Le ministre irakien a précisé que la rencontre a permis de définir les grandes orientations importantes qui seront mises en œuvre par le ministère irakien de la Culture, du Tourisme et des Antiquités et les ministères tunisiens des Affaires culturelles et du Tourisme.

Il a également mis l’accent sur la volonté du Premier ministre irakien de renforcer les relations tuniso-irakiennes, en intensifiant les visites réciproques, dans l’intérêt des deux pays et au service des deux peuples, tunisien et irakien.

Il est à noter que lors de leur entretien qui s’était tenu mercredi, la ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, et le ministre irakien, Ahmed Fakkak Al Badrani, ont convenu d’organiser des journées culturelles tunisiennes en Irak et des journées culturelles irakiennes en Tunisie, en vue de permettre aux deux peuples de découvrir les spécificités culturelles des deux pays, notamment en matière de musique, poésie, arts plastiques, théâtre, cinéma et de calligraphie arabe.

La rencontre a également permis d’évoquer la question de l’échange d’expertises entre les deux pays, en matière de recherche, de restauration et d’élaboration des dossiers d’inscription du patrimoine matériel et immatériel de la Tunisie et de l’Irak sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco.

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Présidentielle 2024 | La présidence du gouvernement appelle les institutions publiques à faciliter le travail de l’Isie

 

Adressé le 13 septembre et publié par l’Isie, le texte invite les structures publiques à fournir à l’instance les données nécessaires pour l’actualisation des listes des électeurs dans les délais impartis et à mettre à la disposition de l’instance toutes les bases de données relatives à l’opération électorale, en application des dispositions de la loi électorale.

La présidence du gouvernement a adressé une circulaire à toutes les administrations et structures publiques appelant à faciliter le travail de l’Instance supérieure indépendante des élections (Isie) dans l’organisation de l’élection présidentielle et de se concerter avec la direction générale chargée de la relation avec les instances constitutionnelles en cas de souci dans l’application des dispositions de cette circulaire.

Adressé le 13 septembre et publié par l’Isie, le texte invite les structures publiques, à fournir à l’instance les données nécessaires pour l’actualisation des listes des électeurs dans les délais impartis et à mettre à la disposition de l’instance toutes les bases de données relatives à l’opération électorale, en application des dispositions de la loi électorale.

La circulaire appelle, également, à mobiliser les ressources matérielles et humaines nécessaires au travail de l’instance électorale et à accélérer les procédures d’octroi d’autorisations aux agents publics des centres de vote pour assister aux sessions de formation dédiées aux présidents et membres des centres de vote.

La présidence du gouvernement rappelle que, dans son article 4, la loi électorale stipule qu’à l’occasion des élections et référendums, les services de la présidence du gouvernement œuvrent à faciliter la coordination de l’ensemble des administrations publiques avec l’Instance.

Toutes les administrations publiques et les organismes publics centraux et régionaux, notamment la Banque centrale de Tunisie et le ministère des Finances sont, ainsi, appelés à mettre à la disposition de l’Instance tout ce qu’elle demande en termes de données et moyens matériels et humains, et toutes les bases de données et bases informatisées et les statistiques en rapport avec les opérations électorales et le référendum, afin d’aider l’Instance à mener à bien ses missions.

Le secret bancaire ou le secret professionnel ne peuvent être opposés à l’Instance ou à la Cour des comptes dans l’exercice de leur mission.

La présidence du gouvernement précise dans sa circulaire qu’en cas de non-réponse ou de réponse partielle aux requêtes de l’instance pour quelque raison que ce soit, il est impératif d’en informer par écrit l’instance dans des délais raisonnables et d’y joindre les justificatifs.

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Présidentielle 2024 | Des partisans de Kaïs Saïed organisent une tournée à Bousalem pour présenter son programme électoral

 

Lors de leur tournée, ils ont souligné la capacité de leur candidat Kaïs Saïed à  «surmonter les difficultés et obstacles qui ont empêché d’atteindre les objectifs escomptés, notamment dans les domaines du développement, de l’emploi et de l’économie».

Des partisans de la campagne du candidat à la présidentielle Kaïs Saïed ont organisé, hier, une tournée au marché hebdomadaire de la ville de Bousalem, (Jendouba), pour présenter son programme électoral et appeler les habitants à le réélire pour un nouveau mandat.

Lors de leur tournée, ils ont souligné la capacité de leur candidat Kaïs Saïed à «surmonter les difficultés et obstacles qui ont empêché d’atteindre les objectifs escomptés, notamment dans les domaines du développement, de l’emploi et de l’économie».

Les participants ont brandi des portraits de Kaïs Saïed ainsi que des slogans tels que «le peuple réclame Kais à nouveau». Ils ont également répondu aux interrogations des citoyens portant notamment sur la hausse des prix des produits de base, la pénurie et la hausse du chômage, tentant de les convaincre de la détermination de leur candidat à trouver des solutions à leurs problèmes.

Universitaire spécialisé en droit constitutionnel, Kaïs Saïed, 66 ans, est le président actuel de la République. Il occupe ce poste depuis son élection en octobre 2019.

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Présidentielle 2024 | Zouhaïr Maghzaoui écoute les doléances des habitants de Raoued

 

Le candidat à l’élection présidentielle Zouhaïr Maghzaoui s’est rendu hier dans plusieurs quartiers de Raoued dans le gouvernorat de l’Ariana, dans le cadre de sa campagne électorale. Il a, notamment, visité Raoued ville, El Ghazala, Jaâfar, Sidi Amor et Sidi Chaker.

Le coordinateur de sa campagne, chef du bureau du mouvement Echaab dans la région, Habib Rabeh, a indiqué que Zouhaïr Maghzaoui a discuté avec des habitants qui se sont plaints de l’état de l’infrastructure, des transports, des services sociaux, de la cherté de la vie, de la pénurie des produits de base et de la prolifération de la corruption.

Les citoyens ont également abordé avec le candidat les questions liées aux droits et libertés et critiqué la faible interaction avec les autorités locales et l’absence de la dimension participative ainsi que le manque d’espaces sportifs, culturels et de loisirs. Chômage, absence de perspectives pour les diplômés des universités et la dégradation de la situation environnementale, figurent aussi parmi les doléances exprimées par les habitants rencontrés.

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