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Ensemble contre la violence: « Ghalia », une voix d’espoir et de résistance

Le coup d’envoi des 16 jours d’activisme a été donné avec force et détermination. Des voix s’unissent pour lutter contre les violences faites aux femmes et aux filles, un combat urgent et nécessaire. C’est dans ce cadre que la chanson et le clip « Ghalia » ont été créés, portés par la campagne onusienne “16 jours d’activisme contre les violences faites aux femmes et aux filles”, qui se déroule chaque année du 25 novembre au 10 décembre.

Cette campagne annuelle sensibilise le grand public en condamnant toutes les formes de violences que subissent les femmes : physiques, psychologiques, économiques… Elle met aussi en lumière des violences spécifiques qui touchent particulièrement les jeunes filles, comme le cyber-harcèlement. Trop souvent minimisé, ce phénomène est en réalité alarmant. Près d’une femme sur trois dans le monde subit au moins une fois des violences conjugales ou sexuelles. En Tunisie, les féminicides continuent de semer l’angoisse : en 2025, 22 femmes ont été tuées en raison de leur genre.

La Délégation de l’Union européenne en Tunisie a financé et soutenu la production de cette chanson et de ce clip. Par ce geste, elle confirme son engagement ferme en faveur de l’égalité et de la lutte contre toutes les violences basées sur le genre.

La chanson met en scène une jeune fille nommée “Ghalia”, qui, malgré les violences subies, tient bon et aspire à la réalisation de ses rêves. Le texte est un appel puissant non seulement à condamner ces violences, mais aussi à agir, à briser le silence complice et à construire un avenir plus safe et égalitaire pour toutes.

Avec communiqué

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BlackRock veut augmenter ses investissements au Moyen-Orient

BlackRock, le plus grand gestionnaire d’actifs au monde, cherche à accélérer son expansion en matière d’investissements en Arabie saoudite et au Moyen-Orient dans les années à venir, face aux opportunités croissantes notamment dans les infrastructures et l’intelligence artificielle.

Le responsable de la division de conseil financier de BlackRock au Moyen-Orient a déclaré, mercredi 26 novembre, que la société avait jusqu’à présent investi plus de 35 milliards de dollars en Arabie saoudite dans des actions, des titres à revenu fixe et des projets d’infrastructure.

Il a ajouté que la société compte actuellement quatre équipes d’investissement à Riyad travaillant sur des stratégies couvrant les marchés du Moyen-Orient.

Un doublement, voire un triplement, du volume des investissements en Arabie saoudite au cours de la période à venir constitue une estimation réaliste.

BlackRock estime que les plus grandes opportunités se concentrent dans le secteur des infrastructures, car le Royaume continue d’étendre ses projets de développement de l’économie non pétrolière, notamment le métro de Riyad, la construction de l’un des plus grands aéroports du monde et l’accélération de la création de centres de données grâce à la nouvelle société d’intelligence artificielle, ‘Human’.

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La Russie va sévir contre l’économie souterraine

L’élimination des transactions non déclarées est un objectif clé du gouvernement pour 2026, selon le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Le gouvernement russe s’apprête à introduire de nouvelles mesures pour lutter contre l’économie souterraine, annonce le ministre des Finances, Anton Silouanov.

Ces mesures comprendront notamment la répression des transactions en espèces non déclarées et des contribuables qui ne cotisent pas au Fonds national de santé ou à d’autres fonds sociaux, a-t-il souligné.

« Le gouvernement russe prend actuellement des mesures pour réduire le niveau du secteur informel », a déclaré Silouanov devant la Commission du budget et des marchés financiers du Conseil de la Fédération.

Récemment, Silouanov a identifié la transparence des transactions financières comme un axe central pour 2026. Parmi les priorités figure la transformation du minage de cryptomonnaies en un secteur clair et transparent grâce à la formalisation des opérateurs, la mise en place d’un registre des mineurs et l’établissement de règles fiscales pour le secteur.

S’exprimant lors d’une réunion du collège du Service fédéral des impôts, le ministre a également plaidé pour une réduction de l’utilisation des espèces, un contrôle plus strict des transactions enregistrées en caisse et une surveillance accrue des propriétaires de locaux commerciaux.

Il a par ailleurs insisté sur la nécessité d’un contrôle douanier renforcé des importations en provenance des pays de la CEI afin de garantir une taxation adéquate et de lutter contre les importantes zones grises du commerce.

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Ldc Uefa (j5) : qui diffusera PSG vs Tottenham ?

Le champion d’Europe en titre, le Paris Saint-Germain, reçoit les Anglais de Tottenham pour la 5e journée de la Ligue des Champions Uefa 2025-2026.

Au risque de se faire distancer dans la course à la qualification pour la phase de poules, les Parisiens doivent impérativement gagner devant leur adversaire du jour qu’ils connaissent bien : ils les ont battus en supercoupe d’Europe, il y a de cela quelques mois.

La rencontre, qui se déroulera au Parc des Princes à partir de 21 heures (heure tunisienne), sera retransmise par BeIN Sports et le lien streaming https://livekoora.live/.

Notre pronostic: victoire du PSG.

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Ldc Uefa (J5) : Arsenal – Bayern Munich

Le Bayern Munich et Arsenal, qui occupent le haut du classement de cette Ligue des Champions Uefa 2025-2026 et invaincus lors des 4 premières journées, vont découdre ce soir à partir de 21 heures (heure tunisienne) à l’Emirats de Londres.

La rencontre sera retransmise par BeIN Sports et sur le lien streaming https://livekoora.live/

 

Notre pronostic: victoire du Bayern.

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Ldc Uefa (j5) : où et quand regarder Olympiakos-Real Madrid?

Real Madrid (RAM), dont le jeu peine à convaincre cette saison, se déplace ce mercredi 26 novembre chez les Grecs de l’Olympiakos pour la 5e journée de la Ligue des champions Uefa 2025-2026.

Le match aura lieu à 21 heures (heure de Tunis) et sera diffusé sur BeIN Sports et sur le lien streaming https://livekoora.live/.

 

Pronostic: victoire du Real Madrid

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Banque mondiale: vers une meilleure équité sociale grâce au programme AMEN

L’économie tunisienne enregistre une reprise modérée, soutenue par une forte progression production agricole, un regain d’activité dans la construction, et une amélioration du tourisme. C’est ce qu’a révélé la Banque mondiale, mercredi 26 novembre 2025, à Tunis, lors d’un point de presse.

Présent lors de ce point de presse, Loewijk Smets, économiste pays pour la Tunisie auprès de la Banque mondiale a fait savoir que les facteurs de croissance économique en Tunisie reposent principalement sur l’agriculture, la construction et le tourisme, selon les dernières analyses économiques de la Banque mondiale.

Le secteur mécanique et électronique, mis en avant dans un récent rapport de la Banque mondiale, a également joué un rôle clé dans la croissance à long terme grâce à la politique industrielle du gouvernement, qui envisage d’étendre son action à d’autres secteurs comme l’aéronautique.

La relance de l’investissement public constitue un levier essentiel pour soutenir l’économie, notamment par des projets rentables tant sur le plan économique que social.

De gauche à droite: Alexandre Arrobbio, Mohamed El Aziz Ben Ghachem et Loewijk Smets

Par ailleurs,  Alexandre Arrobbio, représentant résident de la Banque mondiale pour la Tunisie met l’accent sur l’importance de la transition énergétique qui reste un levier clé pour la Tunisie.  Tout en ajoutant: « Elle permet de réduire significativement les coûts de l’énergie, ce qui améliore la compétitivité des entreprises et allège le déficit commercial en diminuant les importations d’hydrocarbures. En favorisant l’autonomie énergétique grâce aux énergies renouvelables, cette dynamique attire également des investissements privés importants via des concessions, contribuant ainsi à limiter l’endettement public. »

Sur le plan social, Mohamed El Aziz Ben Ghacem, spécialiste Senior Protection sociale et Travail auprès de la Banque mondiale a fait savoir que les transferts monétaires actuels répondent partiellement au seuil officiel de pauvreté, avec un effort gouvernemental pour élargir ces aides, notamment via le programme AMEN qui offre des allocations, la gratuité des transports et des soins.

Et de préciser: « Cependant, pour être véritablement efficaces, ces transferts doivent s’accompagner d’une revalorisation du salaire minimum et d’un renforcement des services publics. Une approche multidimensionnelle intégrant formation et accompagnement est nécessaire pour lutter durablement contre la pauvreté. »

Enfin,  il conclut: « la réforme de la sécurité sociale reste un enjeu majeur pour prendre en compte les besoins des travailleurs à faibles revenus, qui représentent une grande partie de l’économie informelle. Une révision des régimes de prestations, ajustée aux capacités contributives, est essentielle pour assurer la viabilité du système ».

Les choix politiques en matière de réformes sociales demeurent la prérogative du gouvernement, qui s’appuie sur des analyses et travaux experts pour orienter ses décisions.

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Ldc Uefa (J5) : Liverpool vs PSV Eindhoven

C’est un Liverpool moralement diminué qui reçoit le PSV, ce 25 novembre, en match comptant pour la 5e journée de Ligue des champions Uefa 2025-2026.

La rencontre est à suivre sur la chaîne BeIN Sports et sur le lien streaming https://livekoora.live/ à partir de 21h (heure tunisienne).

 

Notre pronostic: Victoire du PSV

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Transformation digitale : la Tunisie numérise, mais ne digitalise pas

La Tunisie accuse un retard critique dans sa transformation digitale : malgré une décennie de discours sur la « numérisation », l’État fonctionne encore sans architecture numérique, sans registre national des données, sans interopérabilité et sans souveraineté technologique. C’est en tout cas ce qu’affirment plusieurs experts du domaine.

Avec des chiffres éloquents à l’appui : 68 % des services publics n’opèrent sur aucune infrastructure intégrée, 72 % des plateformes sont dupliquées, et un tiers des projets numériques explosent leurs budgets de 200 %. L’administration perd 40 % de son temps à chercher des données et 60 % à les vérifier, faute d’un système d’échange unifié.

Mais il y a plus grave encore, car 80 % des données publiques seraient dispersées sur plus de 150 serveurs obsolètes, souvent non chiffrés, parfois hébergés à l’étranger. Et s’il en est ainsi, c’est parce que la Tunisie ne disposerait d’aucune classification nationale des données et ne maîtrise pas ses codes sources : un véritable risque de souveraineté numérique, nous explique-t-on. La « numérisation » vantée par le ministère se limite à mettre en ligne les anciennes procédures, sans réingénierie : mêmes files d’attente, mêmes documents, mais derrière un écran. Le citoyen saisit plusieurs fois les mêmes données, faute d’interopérabilité.

Face à ce constat, l’État ne peut plus avancer à coups de plateformes isolées ou de projets sans cohérence, en ce sens que la solution exige une refondation profonde… sur six piliers :

1. Créer une autorité nationale de transformation numérique, dotée de pouvoirs supraministériels pour normaliser, superviser et stopper les projets défaillants.
2. Construire en 24 mois un registre national unifié des données (coût : 45 MDT, économies : 90 MDT/an) pour instaurer une Single Source of Truth.
3. Unifier l’État sur un GovStack tunisien, regroupant citoyen, entreprises et administration, permettant de rationaliser l’ensemble des 640 services publics.
4. Réengager la réingénierie : réduire les procédures de 17 à 4 étapes et diminuer les documents de 70 %.
5. Créer un Centre de souveraineté numérique, assurant cybersécurité, identité numérique, cloud souverain et propriété publique des codes sources.
6. Former 14 000 compétences dans les métiers clés du digital, condition indispensable pour une transformation durable.

Aujourd’hui, la Tunisie ne manque pas de technologies mais de vision. La souveraineté n’est plus une question de frontières, mais de serveurs, de données et d’algorithmes. Sans une refondation numérique assumée, l’État restera prisonnier d’une bureaucratie en ligne qui n’a de digital que la surface. La transformation numérique n’est pas le projet d’un ministère : c’est le projet d’une nation.

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Ldc Uefa (J5) : Atlético Madrid contre Inter Milan

Atlético Madrid contre Inter Milan, c’est un match promeut autant qu’il promet, ce mercredi 26 novembre 2025, à Madrid. Avec obligation de victoire pour les hommes de Simeone (17e au classement, avec 6 petits points sur 12 possibles).

BeIN Sports et Livekoora diffuseront le match à partir de 21 heures (heure tunisienne).

 

Notre pronostic: victoire d’Inter

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Alexandre Arrobbio: « La transition énergétique, un levier clé pour l’économie tunisienne »

L’économie tunisienne enregistre une reprise modérée, soutenue par une forte progression production agricole, un regain d’activité dans la construction, et une amélioration du tourisme.  C’est ce qu’a révélé la Banque mondiale, mercredi 26 novembre 2025, à Tunis, lors d’un point de presse.

A cette occasion, Alexandre Arrobbio, représentant résident de la Banque mondiale pour la Tunisie, a souligné l’importance de la transition énergétique qui est un levier clé pour l’économie tunisienne.

Interrogé sur le rôle que joue la transition énergétique dans l’attraction des investissements étrangers, il a répondu qu’il s’agit d’un domaine important pour l’économie tunisienne, directement et indirectement, et qui est plutôt multifacette.

Et de préciser dans ce contexte qu’il s’agit d’abord d’un aspect économique, notamment en termes de réduction du coût de l’énergie, qui pourrait passer. Ensuite, il y a la compétitivité des entreprises, où l’État intervient dans le financement de l’énergie.

« Cela entraîne automatiquement une baisse des coûts, ce qui agit favorablement sur la balance des paiements, puisque l’un des deux grands postes du déficit commercial est l’énergie, avec les importations d’hydrocarbures nécessaires au fonctionnement des centrales. Par ailleurs, cela dépendra des politiques nationales pour voir si, à un certain moment, la production locale sera suffisante pour satisfaire les besoins nationaux et éventuellement exporter », explique le représentant de la BM en Tunisie.

Il ajoute : “Il y a un aspect positif multifacette sur le plan de l’indépendance économique, voire de la souveraineté, puisque la Tunisie dépendrait moins des fournisseurs étrangers. Il y a donc une dynamique positive qui aura des effets sur la croissance. De plus, cela peut attirer les investissements privés, à travers des concessions accordées par la STEG à ses investisseurs, ce qui évite d’accroître l’endettement de l’État”.

Toujours selon Alexandre Arrobbio : “On constate les efforts du gouvernement dans son ensemble, ainsi que ceux du ministère de l’Industrie et de l’Énergie, et des acteurs comme la STEG. Depuis 2022, une dynamique s’est mise en place sur le marché, ainsi qu’une vision. On a entendu parler de cette stratégie pour 2030, qui vise à atteindre 35 % d’énergies renouvelables”.

Il conclut : “Cet objectif ambitieux a créé une réelle dynamique. Ce dont on est certain, c’est que nous dépasserons au moins les 20% dans les toutes prochaines années. La raison est presque évidente : les contrats et concessions accordés, ainsi que la simplicité de construction comparée à celle d’un barrage ou d’une centrale thermique, qui reste bien plus complexe. Le mode de fonctionnement ici est plus simple. Ce secteur est véritablement une opportunité sur laquelle la Tunisie a bien choisi d’investir et qu’elle devrait poursuivre. »

En somme, tout cela appelle à un niveau macroéconomique, le déficit énergétique devrait être réduit. Ce qui veut dire que même si la Tunisie pourrait exporter de l’énergie, cela pourrait totalement modifier la situation extérieure.

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IDE en plein boom : l’Afrique convertira-t-elle l’opportunité en industrialisation durable ?

L’Afrique s’impose progressivement comme nouvelle destination de nearshoring stratégie de délocalisation qui consiste à externaliser des services ou des opérations dans un pays voisin, souvent frontalier ou partageant le même fuseau horaire -, portée et exacerbée par les tensions géopolitiques, la hausse des coûts asiatiques et la reconfiguration des chaînes de valeur.

En 2024, souligne afrique.le360.ma, les investissements directs étrangers (IDE) ont bondi à 97 milliards de dollars, soit 6 % des flux mondiaux, un record. Pourtant, le continent ne africain ne représente encore que 2 % de la valeur ajoutée manufacturière mondiale, illustrant l’écart entre afflux de capitaux et transformation productive.

Le potentiel est considéré comme immense : la population africaine active dépassera le milliard d’ici 2030, créant un besoin urgent d’emplois industriels. Le nearshoring pourrait justement absorber cette main-d’œuvre, mais à la condition de s’inscrire dans « une stratégie d’industrialisation endogène ». Cependant, force est de constater qu’aujourd’hui, les délocalisations restent concentrées dans quelques pays pionniers – Maroc, Égypte, Éthiopie, Rwanda, Kenya, Sénégal, Afrique du Sud – où infrastructures logistiques, zones économiques spéciales et politiques industrielles ciblées commencent à porter leurs fruits.

Espoirs

La dynamique mondiale joue en faveur du continent africain : la stratégie “China+1” pousse les multinationales à diversifier leurs bases productives, tandis que la ZLECAf crée progressivement un marché intégré de 1,4 milliard de consommateurs. Cette intégration régionale renforce l’attractivité d’une production continentale capable de desservir plusieurs marchés limitrophes, souligne la même source.

Mais de nombreux obstacles persistent. Les IDE restent concentrés dans l’énergie, les mines et les mégaprojets plutôt que dans le manufacturier, lequel a un énorme potentiel. L’ancrage local demeure faible, les chaînes d’approvisionnement domestiques peu développées, et les infrastructures énergétiques ou logistiques souvent insuffisantes. Les risques sociaux et environnementaux – conditions de travail, faible productivité, industries intensives en énergie – menacent la durabilité du modèle.

Intégration commerciale via la ZLECAf

Pour convertir les flux d’IDE en industrialisation durable, ajoute afrique.le360.ma, les politiques publiques doivent agir simultanément sur cinq leviers : stabilité macroéconomique, politiques industrielles exigeantes (contenu local, innovation, R&D), intégration commerciale via la ZLECAf, infrastructures énergétiques et logistiques, montée en compétences. Sans cela, l’Afrique restera une périphérie productive sans aucun ou peu d’apport pour les pays concernés. Avec une stratégie cohérente, elle peut devenir l’un des pôles manufacturiers les plus dynamiques du monde d’ici 2030–2040, transformant le nearshoring en véritable moteur de souveraineté économique.

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UGTT – PLF 2026 : tensions autour des augmentations salariales

Le samedi 22 novembre 2025, l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a adressé une correspondance officielle à la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani, exigeant « l’ouverture immédiate de négociations  sociales», rapporte Al-Shaab News, média officiel de l’organisation syndicale, le 26 novembre 2025.

Dans ce courrier, l’UGTT exprime son « rejet total » de l’article 15 du projet de loi de finances pour 2026, qui prévoit de fixer par décret les augmentations salariales des travailleurs des secteurs public et privé. Le syndicat dénonce un « précédent historique » qui menace, selon lui, les fondements du modèle social tunisien.

Al-Shaab News souligne que cette démarche s’inscrit dans une série de plus de quinze lettres restées sans réponse de la part des gouvernements successifs de Bouden, Hachani et Madouri, témoignant d’un blocage persistant du dialogue social. Cette situation révèle « une rupture prolongée des canaux de communication au plus haut niveau de l’État », mettant en lumière une crise durable entre la centrale syndicale et l’exécutif.

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Mehdi Mahjoub : Il faut encadrer l’initiative « une voiture pour chaque citoyen »

Alors que les discussions autour du projet de loi de finances 2026 s’intensifient, l’initiative dite « une voiture pour chaque citoyen » revient au premier plan, ravivant les débats sur son impact économique et social.

Les commissions des finances des deux chambres législatives ont approuvé, hier soir à l’issue d’une réunion prolongée jusque tard dans la nuit, l’article additionnel du projet de loi de finances 2026 relatif à l’importation d’un véhicule exonéré de droits de douane.

Réagissant à cette adoption, le porte-parole de la Chambre nationale des concessionnaires et constructeurs automobiles, Mehdi Mahjoub, a déclaré ce mercredi 26 novembre 2025 que la baisse des prix des voitures demeure une revendication légitime. Il a réaffirmé le soutien de la Chambre à toute mesure visant à alléger la pression fiscale sur les véhicules importés.

Invité de l’émission « Midi Express » sur Express FM, Mahjoub a toutefois formulé plusieurs interrogations concernant les modalités d’application de ce dispositif. Il a notamment évoqué la méthode de fixation du prix des véhicules d’occasion âgés de sept ans, l’autorité chargée d’en déterminer la valeur réelle, ainsi que les mécanismes de transfert de fonds pour les opérations d’importation.

Encadrer le dispositif pour éviter une saturation du marché

Mahjoub s’est en outre interrogé sur le nombre potentiel de véhicules susceptibles d’entrer sur le marché en l’absence d’un plafond clairement défini, ainsi que sur leur conformité aux normes environnementales et aux exigences de sécurité. Il a estimé que ce type de véhicules ne s’inscrit pas dans l’orientation nationale en faveur de la mobilité électrique et pourrait générer une forte demande en pièces de rechange, tout en réduisant les recettes fiscales de l’État.

Il a également ajouté : « Nous sommes favorables à l’octroi d’un avantage permettant à chaque Tunisien d’acquérir un véhicule une fois tous les dix ans, et non une seule fois dans sa vie, à condition qu’il s’agisse d’une voiture neuve issue du marché tunisien ».

Mahjoub a appelé à encadrer l’initiative « une voiture pour chaque citoyen » selon des règles similaires à celles régissant les voitures économiques, avertissant qu’une application sans limite précise pourrait entraîner l’entrée d’environ deux millions de véhicules dans le pays en une seule année.

Il a insisté sur la nécessité de renforcer le transport public, qu’il a jugé en amélioration grâce à l’arrivée de nouvelles flottes de bus. Il a estimé que le développement de ce secteur représente une solution fondamentale pour réduire la congestion et alléger les charges financières pesant sur les citoyens.

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IA vs déontologie : le nouveau dilemme des salles de rédaction

Des experts, journalistes et autres membres de la société civile se sont réunis, mercredi 26 novembre, dans un hôtel situé aux Berges du Lac de Tunis autour d’un atelier pour l’élaboration d’une charte nationale sur la déontologie journalistique face à l’intelligence artificielle.

Cette rencontre sur l’IA et la déontologie journalistique, organisée par le Conseil de presse avec l’appui du programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT 2), a pour objectif de jeter les bases d’une charte généraliste suivie de chartes spécifiques pour les différentes composantes du secteur, a indiqué Mannoubi Marrouki, président du Conseil de presse.

Selon Marrouki, les risques déontologiques et éthiques sont de nos jours grands tout comme l’est l’inquiétude des uns et des autres quant à l’utilisation de l’IA.

Cette journée vise, par ailleurs, à rassembler journalistes, responsables de rédaction, syndicats, universitaires, experts juridiques et partenaires institutionnels pour dresser un état des lieux de l’usage de l’IA, analyser les risques déontologiques et formuler, à travers des ateliers thématiques, les premiers principes d’une charte éthique.

« Une telle charte généraliste s’impose particulièrement à la lumière de l’usage  des nouvelles technologies de la transition numérique et dont les dérives ne sont plus à démontrer », avertit le président du Conseil.

Marrouki estime que les discussions qui ont eu lieu tout au long de cette journée d’étude permettront de poser les jalons de la première charte nationale d’éthique sur l’intelligence artificielle.

Des chercheurs locaux et internationaux ont alimenté les différents ateliers organisés dans le cadre de cette journée.

Laurence Dierickx, docteure à l’Université libre de Bruxelles, spécialisée dans l’information numérique et l’IA, a présenté les outils de l’intelligence artificielle mis à la disposition des journalistes par les médias.

Ils permettent, si besoin est, de collecter, traiter, analyser, diffuser l’information et interagir avec le public.

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Le shutdown a creusé le déficit américain en octobre

Le gouvernement américain a fait état, mardi 25 novembre, d’un déficit de plus 284 milliards de dollars pour le mois d’octobre, dans un rapport retardé et affecté par la récente fermeture des services fédéraux, le shutdown.

Les résultats budgétaires du premier mois de l’exercice 2026 ont été retardés par la fermeture de 43 jours de nombreuses agences fédérales américaines, ce qui a entraîné des retards dans certains paiements, notamment pour les salaires des employés du gouvernement, a déclaré un responsable du Trésor.

Le déficit du mois d’octobre a augmenté de 27 milliards de dollars, soit 10 % de plus que le déficit de 257 milliards de dollars enregistré en octobre 2024, principalement en raison du report d’environ 105 milliards de dollars de dépenses de prestations de novembre pour certains programmes militaires et de santé…

 

Lire aussi: La paralysie budgétaire (shutdown) aux États-Unis : 750 000 employés en congé obligatoire

 

Les dépenses d’octobre, y compris les prestations de novembre, se sont élevées à 689 milliards de dollars, soit une hausse de 18 % par rapport aux 584 milliards de dollars d’octobre 2024. Un responsable du Trésor a déclaré que le ministère ne disposait pas d’une estimation précise de la réduction des dépenses due aux paiements reportés en raison de la fermeture des services gouvernementaux, mais qu’il estimait que cette réduction serait inférieure à 5 % des dépenses totales.

À noter que la loi fédérale exige le paiement intégral des salaires impayés et autres obligations dues pendant la période de recouvrement des arriérés de paiement auprès du gouvernement dès le rétablissement du financement.

Les recettes d’octobre ont totalisé 404 milliards de dollars, un montant record pour ce mois et une augmentation de 24 % par rapport aux 327 milliards de dollars collectés en octobre 2024.

« La décision de la Cour suprême des États-Unis sur cette question urgente et qui doit être rendue sans délai nous permettra de continuer à RENDRE SA GRANDEUR À L’AMÉRIQUE ! », a écrit Trump.

 

Lire également : États-Unis : Trump promulgue la loi sur la fin du shutdown 

 

Par ailleurs, le Bureau du budget du Congrès a dernièrement déclaré que les récentes réductions tarifaires résultant des accords commerciaux américains avec les économies partenaires ont conduit l’agence à réduire de 25 % son estimation de la réduction des déficits budgétaires américains au cours de la prochaine décennie grâce aux droits de douane de Trump, pour atteindre 3 000 milliards de dollars, intérêts compris, contre 4 000 milliards de dollars prévus en août.

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BM : L’économie tunisienne enregistre une reprise modérée

L’économie tunisienne enregistre une reprise modérée soutenue par une production agricole renforcée, un regain d’activité dans la construction et une amélioration du tourisme. C’est ce qu’a révélé la Banque mondiale, ce mercredi 26 novembre 2025 à Tunis.

Toujours selon la Banque mondiale, le PIB réel a progressé de 2,4% sur les neuf premiers mois de 2025, avec une prévision de croissance à 2,6% pour l’année complète, puis une stabilisation autour de 2,4% en 2026-2027. Cela dit, des contraintes structurelles comme le faible accès aux financements extérieurs, une productivité stagnante et des investissements insuffisants freinent les perspectives à moyen terme.
Entre-temps, l’inflation continue de décroître, atteignant 4,9% en octobre 2025, principalement grâce à la baisse des prix mondiaux de l’énergie et des céréales. Le déficit du compte courant a augmenté pour représenter 2% du PIB au premier semestre, conséquence d’une hausse des importations face à des exportations stagnantes.

Cependant, les recettes touristiques et les transferts des Tunisiens résidents à l’étranger ont contribué à limiter les pressions extérieures. Les investissements directs étrangers, en hausse de 41% sur sept mois, ont notamment bénéficié des projets dans les énergies renouvelables.

Sur le plan budgétaire

Le déficit public a reculé à 6,3% du PIB, avec une dette publique autour de 84,5%. Le rapport accorde un focus au système de protection sociale tunisien, particulièrement au programme de transferts monétaires AMEN, dont la couverture a triplé en dix ans pour atteindre 10% de la population. Ce programme a significativement aidé à réduire pauvreté et inégalités.

Pour sa part, Alexandre Arrobbio, représentant résident de la Banque mondiale pour la Tunisie, a souligné: “La Tunisie a réalisé d’importants progrès en matière de couverture en faveur des plus pauvres. Conformément à l’accent que notre partenariat avec la Tunisie met sur le capital humain et la résilience, améliorer l’efficacité et l’équité des filets de protection sociale pourrait réduire les inégalités et stimuler l’inclusion économique des ménages vulnérables”.

Enfin, la Banque mondiale recommande d’améliorer le ciblage, l’équité et le développement d’outils numériques, ainsi que d’étendre la couverture sociale aux travailleurs informels pour rendre le système plus efficace et équitable. Par-dessus tout, il est essentiel de maintenir la stabilité macroéconomique, de renforcer la viabilité budgétaire et d’étendre une protection sociale ciblée afin d’assurer une prospérité partagée.

En somme, tout cela appelle à poursuivre les réformes dans le but d’améliorer la performance des entreprises publiques ainsi que de favoriser la concurrence et l’investissement qui restent cruciaux.

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Banque mondiale : renforcer les filets sociaux peut soutenir la reprise économique de la Tunisie

L’économie tunisienne montre des signes de reprise, soutenue par une production agricole plus robuste, un regain d’activité dans le secteur de la construction, et une amélioration du tourisme. C’est ce qu’il ressort de la dernière note économique de la Banque mondiale intitulée « Renforcer les filets de sécurité sociale pour plus d’efficacité et d’équité ».

Le PIB réel a progressé de 2,4 % au cours des neuf premiers mois de 2025. Et ce, après des années de croissance modérée et les effets persistants de la crise de COVID-19. La croissance devrait atteindre 2,6 % en 2025 et se stabiliser autour de 2,4 % en 2026-2027. C’est encore ce qu’on peut lire dans le rapport de la BM sur les filets sociaux.

Si des conditions météorologiques favorables et un regain d’activité dans les secteurs clés devraient soutenir la reprise, des contraintes structurelles— notamment des financements extérieurs limités, une croissance de la productivité atone et un niveau d’investissement insuffisant— continuent de peser sur les perspectives à moyen terme.

Poursuite de la baisse de l’inflation

S’agissant des autres indicateurs macroéconomiques, l’inflation a poursuivi sa baisse pour le septième mois consécutif. Elle atteint 4,9 % en octobre, après un pic de 10,4 % en février 2023. Cette baisse est principalement liée au recul des prix mondiaux de l’énergie et des céréales, l’inflation alimentaire s’étant repliée à 5,6 %. Le déficit du compte courant s’est accentué pour atteindre 2 % du PIB au premier semestre, sous l’effet d’une hausse des importations et d’exportations stagnantes.

Toutefois, la solidité des recettes touristiques et des transferts des Tunisiens résidents à l’étranger auront contribué à atténuer les pressions extérieures. Les investissements directs étrangers ont augmenté de 41 % au cours des sept premiers mois. Ils sont tirés par les projets dans les énergies renouvelables. Soutenant ainsi la stabilité extérieure; malgré un accès limité aux marchés internationaux.

Réduction du déficit public

Sur le plan budgétaire, le déficit public s’est réduit à 6,3 % du PIB en 2024. Tandis que la dette publique s’établit autour de 84,5 % du PIB.

Le chapitre spécial du rapport examine le système tunisien de protection sociale, en mettant l’accent sur les programmes d’assistance sociale.

L’analyse montre que le programme de transferts monétaires AMEN a joué un rôle central dans la réduction de la pauvreté et des inégalités. Sa couverture ayant triplé au cours de la dernière décennie pour atteindre environ 10 % de la population.

 

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Le rapport suggère de poursuivre les efforts pour améliorer le ciblage et l’équité, tout en développant davantage les outils numériques. En outre, il souligne l’importance de renforcer l’inclusion économique et d’étendre progressivement l’assurance aux travailleurs informels, afin de tendre vers un système plus efficace et équitable.

« La Tunisie a réalisé d’importants progrès en matière de couverture en faveur des plus pauvres », souligne Alexandre Arrobbio, le représentant-résident de la Banque mondiale pour la Tunisie. « Conformément à l’accent que notre partenariat avec la Tunisie met sur le capital humain et la résilience, améliorer l’efficacité et l’équité des filets de protection sociale pourrait réduire les inégalités et stimuler l’inclusion économique des ménages vulnérables ».

Continuer de préserver la stabilité macroéconomique et de renforcer la viabilité budgétaire, tout en étendant une protection sociale bien ciblée, sera essentiel pour assurer une prospérité partagée à l’ensemble de la population tunisienne. Il est tout aussi crucial de poursuivre les initiatives visant à améliorer la performance des entreprises publiques et à améliorer la concurrence et le climat d’investissement.

Avec communiqué

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Un G20 historique : l’Afrique passe de spectatrice à actrice des décisions globales

Le sommet du G20 organisé pour la première fois sur le sol africain, les 22 et 23 novembre, plus précisément à Johannesburg en Afrique du Sud, marque un tournant dans la gouvernance économique mondiale.

Sur le thème « Solidarité, Égalité, Durabilité », la présidence sud-africaine a imprimé une orientation résolument inclusive, où les priorités des pays africains et vulnérables occupent une place centrale. C’est ce qu’écrit en substance le site mauricien lexpress.mu.

En effet, la déclaration finale, imprégnée de l’esprit d’Ubuntu – « Je suis parce que nous sommes » –, met en avant la nécessité d’un ordre économique mondial plus équitable. Un signal fort pour les économies exposées aux chocs extérieurs.

En l’absence des Etats-Unis de Trump, le G20 reconnaît toutefois l’accumulation de crises géopolitiques, climatiques et financières qui fragilisent notamment les pays à revenu faible et intermédiaire. Il alerte sur l’augmentation du coût du capital, la montée des risques de fragmentation économique et l’aggravation du fardeau de la dette. Le renouvellement de l’engagement envers le Common Framework apparaît crucial, alors que les paiements d’intérêts des pays pauvres ont doublé en une décennie.

La question énergétique constitue l’autre pilier de la déclaration. En 2025, près de 600 millions d’Africains demeurent encore privés d’électricité. Pour y répondre, le G20 s’engage à tripler les capacités mondiales en énergies renouvelables et à doubler l’efficacité énergétique d’ici 2030. Et ce, en s’appuyant sur des financements innovants, tels que des concessions, garanties publiques et mécanismes hybrides.

Le sommet adopte également un Critical Minerals Framework visant à renforcer la transformation locale des minerais stratégiques. Objectif : éviter l’exportation brute et sécuriser les chaînes de valeur mondiales. Une mesure essentielle pour l’Afrique australe, mais aussi pour les économies insulaires dépendantes de la connectivité.

En outre, les dirigeants soulignent l’urgence d’une croissance socialement inclusive. Ils veulent réduire le taux de jeunes NEET de 5 % d’ici 2030. De même qu’ils cherchent à diminuer de 25 % les inégalités hommes-femmes sur le marché du travail.

Le sommet consacre enfin l’Union africaine comme membre à part entière du G20 et lance le G20 Africa Engagement Framework (2025-2030). Une étape majeure qui fait de Johannesburg non seulement un sommet historique, mais également un moment charnière où l’Afrique ne se contente plus d’accueillir le monde : elle contribue désormais à le redéfinir.

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