Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Grève générale régionale mardi 21 octobre 2025 à Gabès

L’Union générale tunisienne du travail ( UGTT) de Gabès a décidé de lancer une grève générale régionale le mardi 21 octobre 2025.

Cette décision fait suite à une réunion d’urgence de la commission administrative régionale, en réponse à la grave crise environnementale qui affecte durement la région.

La mobilisation vise principalement à dénoncer la continuité des activités polluantes du Groupe chimique tunisien ( GCT) ainsi que l’inaction persistante des autorités face à la dégradation alarmante des conditions sanitaires et écologiques.

Ce mouvement est perçu comme un cri d’alarme collectif destiné à susciter un dialogue national urgent sur l’avenir industriel et environnemental du gouvernorat.

Depuis plusieurs jours, les habitants de la région , des militants se mobilisent à travers des marches et des sit-in pour exiger la fermeture des unités polluantes et la mise en œuvre effective des engagements de l’État en matière de justice environnementale.

L’ UGTT a exprimé son soutien explicite à ce mouvement civil pacifique, qualifiant les revendications de « légitimes et urgentes » tout en dénonçant ce qu’elle considère comme un crime environnemental ayant gravement affecté la santé des habitants.

L’article Grève générale régionale mardi 21 octobre 2025 à Gabès est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie, leader en chirurgie rénale et robots médicaux

La Tunisie se positionne comme une destination de choix pour le tourisme médical en Afrique et au Maghreb, notamment dans le domaine de la chirurgie rénale et urologique.

Grâce à l’expertise reconnue de ses spécialistes et à l’adoption prochaine de technologies avancées, le pays attire des patients venant du Maghreb, d’Afrique subsaharienne et des pays du Golfe, renforçant ainsi son rayonnement international dans la transplantation rénale.

Sami Ben Rhouma, chef du service de chirurgie rénale et urologique à l’hôpital universitaire Habib Thameur, a souligné récemment sur les ondes d’Express fm, la place de premier plan qu’occupe la Tunisie dans plusieurs spécialités médicales, notamment en transplantation rénale.

Il a fait savoir que cette expertise attire de nombreux patients étrangers, tandis que plusieurs nations s’inspirent du modèle tunisien.

Le 25ᵉ Congrès national de chirurgie rénale et urologique, s’achève ce samedi 18 octobre octobre 2025 à Hammamet. Il a accueilli des spécialistes venus d’Afrique, d’Europe, des États-Unis et d’Asie, mais aussi des sociétés savantes internationales spécialisées, témoignant de la reconnaissance mondiale du savoir-faire tunisien.

Par ailleurs, Dr Ben Rhouma a mis en avant l’importance des innovations technologiques, notamment l’usage des robots chirurgicaux, qui contribuent à améliorer la précision des interventions. Il a révélé l’arrivée prochaine de ces robots chirurgicaux en Tunisie, une avancée qui promet d’élever encore davantage la qualité des soins offerts.

L’article Tunisie, leader en chirurgie rénale et robots médicaux est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’Égypte a perdu 9 milliards de dollars à cause des Houthis

Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdel Aty, a déclaré vendredi 17 octobre que la résolution de la question palestinienne était essentielle pour réaliser des progrès dans un projet de transport soutenu par les États-Unis reliant l’Inde à l’Europe via le Moyen-Orient par des des voies maritimes et ferroviaires.

Connu sous le nom de corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe, le projet a été annoncé en marge du sommet du G20 des principales économies en septembre 2023 et a été considéré comme une alternative américaine à l’initiative chinoise « Ceinture et Route ».

La guerre a éclaté dans la bande de Gaza un mois après la déclaration, à la suite d’une attaque lancée par le mouvement Hamas contre Israël, plus précisément le 7 octobre 2023.

« Nous devons garder à l’esprit que la communication est extrêmement importante dans le contexte d’un règlement définitif de la question palestinienne », a déclaré Badr Abdel Aty aux journalistes lors d’une visite à New Delhi.

Il dit avoir discuté du projet de « Corridor économique Inde-Moyen-Orient-Europe » lors de ses entretiens avec son homologue indien, expliquant que l’Egypte était ouverte à faire partie du projet.

A noter que ledit corridor s’étendra de l’Inde à travers la mer d’Arabie jusqu’aux Émirats arabes unis, en passant par l’Arabie saoudite, avant d’atteindre l’Europe via la Jordanie et Israël. L’Inde et les Émirats arabes unis ont signé un accord-cadre pour ce projet l’année dernière.

Des milliards de pertes

Il a ajouté que l’Égypte a subi des pertes dépassant 9 milliards de dollars depuis que les Houthis au Yémen ont commencé leurs attaques contre des navires dans la mer Rouge, qui, selon lui, ont été menées en solidarité avec les Palestiniens.

« Nous payons un lourd tribut. Auparavant, nous recevions au moins 75 navires transitant par le canal de Suez chaque jour, dans les deux sens. Aujourd’hui, ce nombre ne dépasse pas 25, mais 50 au maximum, ce qui représente une baisse d’au moins 60 % ».

Badr Abdel Aty est arrivé jeudi en Inde pour une visite de deux jours consacrée à des entretiens bilatéraux, au cours desquels il a également rencontré le Premier ministre Narendra Modi. Il a indiqué qu’il rencontrerait des dirigeants d’entreprises indiennes dans le cadre des efforts déployés par l’Égypte pour attirer davantage d’investissements indiens.

Il a ajouté : « Nous disposons d’une zone industrielle pour la Chine dans cette région, ainsi que pour la Russie. Nous encourageons la création d’une zone industrielle indienne le long de la zone économique du canal de Suez »…

L’article L’Égypte a perdu 9 milliards de dollars à cause des Houthis est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’intérêt de la Chine pour le GNL russe reste intact malgré les sanctions

L’intérêt de Pékin pour les approvisionnements énergétiques de Moscou semble intact, malgré les efforts de l’Occident pour les « limiter ».

Une cargaison de gaz naturel liquéfié russe est arrivée à un terminal chinois pour la première fois depuis que le Royaume-Uni a imposé des sanctions sur les installations portuaires, rapporte Bloomberg vendredi 17 octobre.

L’Arctic Mulan LNG 2, transportant du carburant provenant de l’usine russe, déjà inscrite sur la « liste noire », est arrivé vendredi au terminal GNL de Beihai, selon les données de suivi des navires compilées par Bloomberg…

Cette décision intervient alors que Washington est en proie à une guerre commerciale croissante avec Pékin, et que Donald Trump tente de négocier un accord de paix avec la Russie concernant la guerre en Ukraine…

Bien que les sanctions prévoient une période de retrait progressif jusqu’au 13 novembre, au moins une cargaison apparemment en route depuis l’Arctique vers le sud de la Chine pourrait arriver après cette date, signe que Pékin ne devrait pas ralentir ses échanges commerciaux avec la Russie…

La Russie et la Chine avaient anticipé d’éventuelles représailles occidentales contre Beihai. Le pays asiatique a désigné le terminal comme point d’entrée unique pour les cargaisons d’Arctic LNG 2, un projet russe déjà approuvé par les États-Unis et le Royaume-Uni…

Selon les données de suivi des navires, l’Arctic Mulan a chargé début octobre une cargaison de GNL depuis un entrepôt flottant situé dans l’est de la Russie…

L’article L’intérêt de la Chine pour le GNL russe reste intact malgré les sanctions est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Tunisie, carrefour africain du tourisme médical : 6e Salon de la santé à Sousse

Le tourisme médical et de bien-être est promis à un fort développement dans les années à venir. Ce secteur en pleine croissance nécessite toutefois un encadrement renforcé pour exploiter pleinement son potentiel.

Dans ce contexte, la Tunisie accueille du 29 octobre au 1er novembre 2025, au Parc des expositions international de Sousse, la sixième édition du Salon International des Équipements de Laboratoire, de la Technologie Médicale et de la Chirurgie Esthétique, un événement majeur qui s’impose comme un carrefour incontournable des innovations dans le domaine de la santé.

Organisé pour la première fois en Tunisie après cinq éditions réussies à Dakar, ce salon rassemblera 60 exposants venant de Tunisie, d’Algérie, de Libye, de Mauritanie, de Guinée, du Congo, d’Inde et d’Italie.

Ainsi ce large panel d’acteurs souligne l’envergure internationale de la manifestation et son rôle moteur dans la fédération des professionnels de la santé, de la recherche et de l’industrie médicale.

La directrice du salon, Basma Hamaïdi, explique que cet événement vise à constituer une plateforme professionnelle de référence où s’échangent expertises et expériences. Il mettra en avant les dernières innovations dans les équipements de laboratoire, les technologies médicales avancées et la chirurgie esthétique, tout en favorisant des partenariats solides entre acteurs publics et privés.

De ce fait, le salon couvrira l’ensemble de la chaîne de production médicale, en intégrant les fabricants d’équipements ainsi que les services associés tels que l’assurance, la sécurité, l’hygiène, la digitalisation, la formation et le conseil scientifique.  Plus encore, une zone spécifique nommée « Afri Lab & Afri Health » offrira aux professionnels et investisseurs africains une opportunité unique de renforcer la coopération entre le nord et le sud du continent, notamment avec l’Afrique subsaharienne.

Par ailleurs, le programme prévoit également des conférences scientifiques et des ateliers spécialisés pour discuter des avancées récentes en médecine, en analyses de laboratoire et en technologies médicales. Des démonstrations en direct permettront aux visiteurs de découvrir les équipements les plus innovants sur le marché.

Basma Hamaïdi souligne le rôle stratégique de ce salon pour affirmer la position de la Tunisie comme une destination leader du tourisme médical et de la formation spécialisée en Afrique.

Ce rendez-vous constitue un levier important pour améliorer la qualité des systèmes de soins et des services médicaux sur le continent, tout en renforçant la coopération africaine dans les domaines de la santé et de l’innovation.

L’article Tunisie, carrefour africain du tourisme médical : 6e Salon de la santé à Sousse est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Prolongation des inscriptions au programme d’appui aux PME en difficulté

Le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a annoncé samedi la prolongation de trois jours, du lundi 20 au mercredi 22 octobre, de la période d’inscription au troisième volet du programme d’appui aux PME en difficulté.

Cette extension fait suite à la demande de nombreux entrepreneurs n’ayant pas pu s’inscrire dans les délais impartis pour bénéficier de ce dispositif. Les inscriptions se font exclusivement via le lien suivant : https://acces-financement.emploi.gov.tn/.

Ce programme, mené en partenariat avec la Banque tunisienne de solidarité et l’Agence française de développement (AFD) dans le cadre du projet de soutien à la formation et à l’insertion professionnelle (PAFIP), vise à encourager l’entrepreneuriat, soutenir la réalisation et le développement des projets des entrepreneurs, ainsi qu’à assurer leur pérennité.

Il offre aux entreprises bénéficiaires la possibilité de préserver leurs emplois et de créer de nouvelles opportunités, en facilitant le rééchelonnement de leurs dettes et l’accès à de nouveaux prêts à des conditions avantageuses.

Avec TAP

L’article Prolongation des inscriptions au programme d’appui aux PME en difficulté est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Plus de 40% des commissaires aux comptes dénoncent des faits délictueux

Plus de 41% des commissaires aux comptes ont signalé des faits délictueux au procureur de la République au cours des trois dernières années, révèle une enquête menée auprès de 60 professionnels par le Centre tunisien de gouvernance d’entreprise (CTGE) lors de la 7ème édition du Forum de la gouvernance.

Une étude complémentaire réalisée auprès de 60 entreprises non financières non cotées s’inscrit dans le cadre d’une appréciation de l’application de la loi 2005-96 du 18 octobre 2005, relative au renforcement de la sécurité des relations financières, dont les résultats ont été présentés à Tunis.

Fayçal Derbel, président du CTGE, souligne l’importance de réviser cette loi, jugée inefficace en l’absence d’une application rigoureuse, malgré la solidité de ses principes et la clarté de ses objectifs. Cette loi avait pour ambition d’inscrire la Tunisie dans le mouvement international de transparence et de sécurité financière, offrant une réponse forte aux dérives économiques survenues à l’époque.

Cependant, vingt ans après sa promulgation, le bilan reste préoccupant, avec plus de dix scandales financiers majeurs recensés ces dix dernières années, dont la faillite d’une banque, d’une compagnie aérienne et de trois sociétés cotées en bourse en une seule année.

Parmi les dérives relevées figurent également des arnaques financières. Derbel cite notamment des intermédiaires en bourse qui ont escroqué de nombreux épargnants via leurs employés, ainsi qu’un courtier spécialisé dans l’exportation d’huile d’olive, qui a fui le pays après avoir laissé des dettes colossales, mettant en péril des centaines d’huileries et créant un important préjudice économique.

Avec TAP

L’article Plus de 40% des commissaires aux comptes dénoncent des faits délictueux est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ostéoporose touche une femme sur cinq, un fléau silencieux !

Une femme sur cinq souffre de l’ostéoporose silencieuse, selon les dernières statistiques du département des maladies articulaires et osseuses de l’hôpital universitaire de La Rabta, d’après une déclaration médiatique faite ce samedi matin par la cheffe de service, Dr. Héla Sahli. 

Lors d’une journée de sensibilisation consacrée au dépistage de l’ostéoporose chez les femmes âgées de 60 ans et plus, Dr. Héla Sahli a expliqué que cette pathologie est devenue répandue, touchant davantage les femmes que les hommes, sans présenter de symptômes avant l’apparition de douleurs ou autres.

Elle a souligné, à l’occasion de cette journée coïncidant avec la célébration de la Journée mondiale de l’ostéoporose du 20 octobre, qu’un grand nombre de personnes sont atteintes sans s’en rendre compte, jusqu’à ce qu’elles subissent une fracture suite à une simple entorse, qui normalement ne cause pas de complications chez les sujets en bonne santé.

Le médecin a recommandé la nécessité de mesurer la densité osseuse à l’aide d’un appareil spécialisé, accompagné des analyses de laboratoire appropriées, notamment chez les personnes âgées (60 ans et plus) ou chez celles présentant un risque accru, afin de détecter précocement la maladie et de suivre un traitement adapté.

Les femmes ménopausées sont plus exposées à l’ostéoporose que les autres, a indiqué Dr. Sahli. De même, les personnes souffrant de maladies neurologiques, d’arthrite, de maladies intestinales ou celles sous traitement prolongé par des médicaments contenant des corticostéroïdes sont également plus à risque.

Elle a mis en garde contre le retard dans le dépistage de la maladie, qui peut provoquer des fractures graves, notamment au niveau du bassin.

En effet, 25% des femmes âgées victimes de fractures du bassin dues à l’ostéoporose décèdent dans les six mois suivant leur alitement, selon des études mondiales.

Elle a appelé à préserver la santé osseuse en consommant des aliments riches en calcium et en vitamine D, complétés par des suppléments si nécessaire, ainsi qu’en pratiquant une activité physique d’au moins 150 minutes par semaine.

Les patients atteints d’ostéoporose doivent prendre leurs médicaments de façon rigoureuse et correcte, selon les prescriptions de leur médecin.

L’article Ostéoporose touche une femme sur cinq, un fléau silencieux ! est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Intenses précipitations et orages attendus samedi et dimanche

Ce samedi, des précipitations s’annoncent dans les régions du Sud, avant de gagner le centre et le Nord-Ouest, où elles seront temporairement orageuses et parfois très fortes, selon un bulletin de l’Institut National de la Météorologie (INM). Les cumuls de pluie devraient varier entre 40 et 60 mm, avec des pointes locales jusqu’à 80 mm, particulièrement dans les gouvernorats de Sfax, Gabès et Mahdia, où des épisodes de grêle sont possibles. Un vent violent, pouvant souffler jusqu’à 80 km/h, accompagnera ces averses orageuses.

Dimanche 19 octobre 2025, de nouvelles pluies toucheront la majorité des régions, avec des orages temporaires et des averses abondantes surtout l’après-midi dans les zones du Nord-Ouest, du Centre et du Sud-Est.

Avec TAP

L’article Intenses précipitations et orages attendus samedi et dimanche est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le Smart Invest Summit 2026 aura lieu à Tunis les 28 et 29 janvier 2026

Le Smart Invest Summit 2026, grande conférence internationale axée sur l’investissement intelligent et l’innovation, se déroulera les 28 et 29 janvier 2026 au Palais des Congrès de Tunis, sous le thème « Smart Invest, Smart Future ». Cet événement a pour ambition de positionner la Tunisie en tant que hub stratégique de l’investissement en Afrique et de promouvoir une vision ambitieuse pour le continent à l’horizon 2050.

Rassemblant investisseurs internationaux, fonds d’investissement, startups, entrepreneurs, décideurs économiques, institutions et diplomates, le sommet offrira une plateforme complète dédiée au networking, au financement et à la coopération. Le programme proposera des conférences thématiques, des sessions de pitch, des rendez-vous B2B via une application spécialisée, des expositions sectorielles ainsi qu’une soirée tunisienne exclusive.

Selon un site officiel, le sommet repose sur trois objectifs principaux : connecter les acteurs de l’écosystème entrepreneurial, encourager l’innovation à travers des projets disruptifs, et accélérer les partenariats stratégiques B2B et B2G. Cette initiative s’inscrit dans la cadre de la « Vision Afrique 2050 », qui valorise l’intelligence économique, la coopération panafricaine et le leadership des jeunes.
La première journée sera dédiée à des plénières et ateliers sectoriels portant sur la Santé, l’Énergie, la FinTech et la Cybersécurité, tandis que la deuxième journée mettra l’accent sur les pitchs de startups et les rencontres d’affaires, avec comme point d’orgue la signature d’accords concrets.

Organisé comme un événement incontournable pour les acteurs de l’investissement et de l’innovation, le Smart Invest Summit 2026 vise à catalyser une croissance durable en Tunisie et sur le continent africain.

Avec TAP

L’article Le Smart Invest Summit 2026 aura lieu à Tunis les 28 et 29 janvier 2026 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le pétrole enregistre une perte hebdomadaire de 3 %…

Les prix du pétrole ont enregistré de légères hausses lors de la négociation de vendredi 17 octobre, mais ont enregistré une perte hebdomadaire d’environ 3 % après que l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a prévu une surabondance de l’offre et que les présidents américain, Donald Trump, et russe, Vladimir Poutine, ont convenu de se rencontrer à nouveau pour discuter de la fin de la guerre en Ukraine.

Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent ont augmenté de 23 cents, soit 0,38 %, pour s’établir à 61,29 dollars le baril, tandis que les contrats à terme sur le pétrole brut West Texas Intermediate (WTI) américain ont augmenté de 8 cents, soit 0,14 %, pour atteindre 57,54 dollars.

Les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) concernant une offre excédentaire croissante en 2026 ont été l’un des facteurs principaux limitant la hausse des prix du brut. L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) rapporte que les stocks américains de brut ont augmenté de 3,5 millions de barils pour atteindre 423,8 millions de barils la semaine dernière, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 288 000 barils, ce qui a pesé sur les prix.

Trump et Poutine ont convenu de tenir un autre sommet sur la guerre en Ukraine dans les deux prochaines semaines en Hongrie. Cet événement intervient alors que le cessez-le-feu se poursuit dans la bande de Gaza.

Parmi les raisons de la baisse des prix figurent l’escalade des tensions commerciales entre les États-Unis et la Chine, qui a accru les inquiétudes concernant un ralentissement de l’économie et une baisse de la demande énergétique.

Rappelons enfin que l’augmentation plus importante que prévu des stocks de pétrole brut est en grande partie due à une baisse de la production des raffineries en raison des travaux de maintenance effectués durant l’automne.

L’article Le pétrole enregistre une perte hebdomadaire de 3 %… est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Le Smart Invest Summit 2026, à en janvier 2026

Le Smart Invest Summit 2026, grande conférence internationale dédiée à l’investissement intelligent et à l’innovation, se tiendra les 28 et 29 janvier 2026 au Palais des Congrès de Tunis, sous le slogan « Smart Invest, Smart Future ». L’événement vise à positionner la Tunisie comme hub stratégique pour l’investissement en Afrique et à promouvoir une vision ambitieuse pour le continent à l’horizon 2050.

Réunissant investisseurs internationaux, fonds d’investissement, startups, entrepreneurs, décideurs économiques, institutions et diplomates, le sommet offrira une plateforme complète de networking, de financement et de coopération. Au programme : des conférences thématiques, des sessions de pitch, des rencontres B2B via une application dédiée, des expositions sectorielles et une soirée tunisienne exclusive.

Selon un site dédié à cet événement, le sommet poursuit trois objectifs clés : connecter les acteurs de l’écosystème entrepreneurial, stimuler l’innovation via des projets disruptifs, et accélérer les partenariats stratégiques B2B et B2G. Il s’inscrit dans la « Vision Afrique 2050 », fondée sur l’intelligence économique, la coopération panafricaine et le leadership des jeunes.

La première journée sera consacrée à des plénières et ateliers sectoriels (Santé, Énergie, FinTech, Cybersécurité), tandis que la deuxième journée mettra l’accent sur les pitchs de startups et les rencontres d’affaires, avec pour point d’orgue la signature d’accords concrets.

Organisé comme un rendez-vous incontournable pour les acteurs de l’investissement et de l’innovation, le Smart Invest Summit 2026 ambitionne de catalyser une croissance durable en Tunisie et en Afrique.

L’article Le Smart Invest Summit 2026, à en janvier 2026 est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Les institutions financières internationales disposées à financer des projets de développement en Tunisie

Le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, s’est entretenu, en marge de sa participation aux Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI), qui se tiennent du 14 au 18 octobre 2025 à Washington, avec le président du groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD), Dr. Sidi Ould Tah.

 

La réunion a été l’occasion de souligner l’attachement des deux parties à renforcer davantage leurs relations de partenariat. Ils ont également évoqué l’avancement des programmes et des projets dont la banque contribue au financement, indique un communiqué publié samedi 18 octobre 2025 par le département de l’Economie.

 

Dr. Sidi Ould Tah a souligné l’engagement de la Banque à continuer à soutenir la Tunisie dans la réalisation de ses programmes et projets de développement.

Le ministre de l’Economie a également rencontré le vice-président de la Banque Asiatique d’Investissement pour les Infrastructures de base (AIIB), Ludger Schuknecht. La réunion a permis de mettre en valeur les perspectives et les opportunités offertes pour tirer profit des mécanismes financiers disponibles afin de réaliser des projets d’infrastructure de base en Tunisie.

Samir Abdelhafidh, s’est d’autre part entretenu avec le président de la Banque Islamique de Développement, Dr. Mohamed Slimane Eljasser. Cette rencontre a permis d’évoquer l’avancement d’un nombre de programmes et projets financés par la Banque et les perspectives disponibles pour renforcer la coopération financière et technique, outre les domaines sur lesquels la Tunisie travaillera lors de la prochaine période dans le cadre du plan quinquennal de développement 2026-2030.

De son côté, Dr Mohamed Ben Slimane Eljasser  a exprimé la disposition de son département d’étudier les propositions que la Tunisie présente pour la réalisation des projets dont la banque contribue au financement.

Samir Abdelhafidh s’est également entretenu avec le vice-président de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD), Matteo Patrone, une occasion au cours de laquelle les deux parties ont évoqué la portée de la coopération de voisinage outre les domaines prioritaires sur lesquels la Tunisie se focalisera pendant la prochaine période.

Matteo Patrone a exprimé la disposition de la Banque de poursuivre l’appui à la Tunisie soit à travers la contribution au financement des projets publics ou en fournissant l’appui au secteur privé.

Une réunion a également eu lieu avec le vice-président de la Société Financière Internationale  (IFC), Ethiops Tafara, portant sur les principaux programmes de coopération financière et technique avec les deux secteurs public et privé, tout en évoquant les potentialités disponibles pour les renforcer davantage.

L’article Les institutions financières internationales disposées à financer des projets de développement en Tunisie est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Transparence financière en Tunisie : une loi de 2005 à l’épreuve des scandales

Le Centre tunisien de gouvernance des entreprises (CTGE) relevant de l’IACE a tenu son 7e forum ce samedi, date anniversaire des vingt ans de la promulgation de la loi n°2005-96 relative à la transparence financière. À cette occasion, Fayçal Derbel, Président du CTGE, a présenté les résultats d’une enquête inédite dressant un constat sévère sur l’application du texte, malgré des ambitions initiales louables.

La loi de 2005, inspirée des législations internationales, était une réponse courageuse aux dérives de l’époque, symbolisées par l’affaire Bâtard, qui avait ébranlé la confiance dans les marchés financiers. Son objectif était de rétablir la crédibilité de l’information financière et de renforcer la responsabilité des dirigeants et des commissaires aux comptes. Elle introduisait des mécanismes modernes comme le commissariat collégial, la rotation des commissaires ou la création de comités d’audit.

Pourtant, vingt ans plus tard, M. Derbel dresse un bilan alarmant : « Les dérives financières se sont multipliées, d’un grand scandale avant la promulgation de la loi à plus de dix scandales durant les dix dernières années ». Il cite une banque et une compagnie aérienne en faillite, des sociétés cotées ayant fait faillite la même année, une affaire d’escroquerie pyramidale ayant fait plus de 50 000 victimes, ou encore un courtier exportateur d’huile d’olive ayant laissé des dettes de centaines de millions de dinars. Pour le président du CTGE, ce constat démontre l’« impuissance » du dispositif juridique sans une « application rigoureuse et sans culture de la supervision ».

L’enquête du CTGE : un regard cru sur la profession et les entreprises

Pour objectiver ce diagnostic, le CTGE a mené une enquête auprès de 60 professionnels (experts-comptables) et de 60 sociétés non financières et non cotées. Les résultats, qui seront publiés prochainement dans le détail, révèlent plusieurs points de vigilance.

Chez les experts-comptables, si 74,5 % déclarent avoir refusé des missions par souci d’indépendance, 55 % n’ont pas mis en place de procédure formalisée d’analyse des risques liés à cette indépendance. Plus inquiétant, 78,4 % des professionnels n’ont été soumis à aucun contrôle périodique et indépendant au cours des trois dernières années.

L’exercice du métier est également révélateur : 36 % des commissaires aux comptes déclarent avoir identifié des défaillances majeures dans le contrôle interne des sociétés qu’ils auditent. Cependant, 96 % d’entre eux affirment n’avoir jamais saisi l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC) via des déclarations de soupçon, alors que 41,2 % ont procédé à des révélations de faits de lèse-majesté économique au parquet.

Le principal défi identifié par la profession est unanime : le risque pénal. Les professionnels se sentent pris « entre le marteau et l’enclume », risquant la diffamation s’ils révèlent des irrégularités ou des sanctions s’ils ne le font pas.

Des pratiques d’entreprise qui interrogent la gouvernance

Du côté des entreprises, l’enquête note une confiance affirmée dans le Registre National des Entreprises (RNE), avec 81 % y ayant recours pour communiquer leurs informations financières et 89 % pour s’informer sur leurs partenaires.

En revanche, le processus de désignation du commissaire aux comptes interpelle : 49 % des sociétés le choisissent sur la base de « recommandations » et seulement 15 % dans le cadre d’une rotation de cabinet, pourtant obligatoire. Seulement 9 % des entreprises déclarent avoir changé de commissaire aux comptes en raison d’un soupçon de conflit d’intérêt.

Le commissaire aux comptes, maillon surchargé et sous-protégé

Fayçal Derbel a également pointé du doigt la surcharge insupportable pesant sur les commissaires aux comptes, investis selon lui de « plus de 22 tâches » différentes, allant bien au-delà de la simple certification des comptes. Cette accumulation de missions, souvent redondantes, dilue leur efficacité et alourdit leur responsabilité sans renforcer la protection. Face à ce bilan, M. Derbel appelle à une refonte du modèle de sécurité financière. Il prône le passage d’une « logique de conformité formelle à une culture de la responsabilité partagée » et d’un « contrôle dispersé à une supervision coordonnée ».

La recommandation phare est la création d’un organe de supervision indépendant, sur le modèle du PCAOB américain, une proposition qui traîne depuis plus de dix ans en Tunisie. Parmi les autres réformes suggérées par les professionnels figurent le blocage de l’immatriculation au RNE des sociétés n’ayant pas désigné de commissaire aux comptes et l’instauration de conditions académiques et professionnelles pour le poste d’administrateur.

Le  président du CTGE a appelé à transformer « les constats en action » et à faire de la sécurité financière « une réalité vécue et vérifiable » plutôt qu’une « illusion législative ». Le forum s’annonce comme le point de départ d’une réflexion collective pour moderniser les institutions et restaurer la gouvernance comme pilier de la crédibilité économique tunisienne.

Retrouvez notre couverture complète des travaux du forum dans l’édition papier de l’Economiste maghrébin, en kiosque à partir du  22 octobre 2025

 

L’article Transparence financière en Tunisie : une loi de 2005 à l’épreuve des scandales est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Indépendance énergétique : la Tunisie plafonne à 36 % (ONEM)

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, s’est situé à 36 % à fin août 2025 contre 41% à fin août 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines (ONEM).

 

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin août 2025, un déficit de 4,1 millions de tonne équivalent pétrole (Mtep), enregistrant ainsi une hausse de 14 % par rapport à fin août 2024. Ce déficit a été enregistré, en comptabilisant la redevance sur le transit du gaz algérien, laquelle a enregistré une baisse de 11 % à fin août 2025 par rapport à la même période 2024.

 

Le rapport a, également, montré que sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 27 %, à fin août 2025 contre 31 % durant la même période de 2024. Les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,4 Mtep, à fin août 2025, enregistrant ainsi une baisse par rapport à la même période de l’année précédente de 8 %.

 

Cette régression est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

 

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 68 % de la totalité des ressources d’énergie primaire. La part de l’électricité renouvelable (production STEG et privée et autoproduction) reste timide et ne représente que 3% des ressources primaires.

 

En contrepartie, la demande d’énergie primaire a enregistré entre fin juillet 2025 et fin août 2024, une hausse de 5 %.

 

Ainsi, la demande du gaz naturel a augmenté de 8 % et celle des produits pétroliers a enregistré une légère hausse de 1 %. Selon le rapport sur la conjoncture énergétique, la structure de la demande en énergie primaire a enregistré un léger changement. En effet, la part de la demande des produits pétroliers est passé de 49 %, à fin août 2024 à 47 %, durant la même période de 2025. La part du gaz naturel a augmenté cependant de 50 % à fin août 2024 à 52 à fin août 2025.

L’article Indépendance énergétique : la Tunisie plafonne à 36 % (ONEM) est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

S&P abaisse la note de la France de AA- à A+

L’agence de notation S&P Global Ratings a dégradé, vendredi 17 octobre 2025, la note de la France, alors que le gouvernement de Lecornu tente de faire passer un budget de resserrement budgétaire pour faire face à la dette publique élevée.

Dans une évaluation non programmée, l’agence a abaissé la note de la France de AA- à A+, expliquant que l’incertitude autour du budget du pays « reste élevée » malgré la soumission d’un projet de budget pour 2025.

Cette dégradation signifie que la France a perdu sa note double A de deux des trois principales agences de notation en l’espace de quelques semaines, autrement dit, certains fonds aux critères d’investissement extrêmement stricts vont se précipiter pour vendre des obligations d’État françaises.

Grâce à sa nouvelle notation, S&P place désormais la France au même niveau que l’Espagne et le Portugal, six crans au-dessus de la catégorie « junk »…

Reconnaissant le coup porté par la dégradation de la note, le ministre de l’Economie et des Finances, Roland Lescure, a réaffirmé la détermination du gouvernement à atteindre l’objectif de déficit de 5,4% cette année et a déclaré que la France restait déterminée à réduire le déficit en dessous de 3% du PIB d’ici 2029.

« Il est désormais de la responsabilité collective du gouvernement et du Parlement d’assurer l’approbation d’un budget compatible avec ce cadre avant la fin de 2025 », a déclaré R. Lescure dans son communiqué.

L’article S&P abaisse la note de la France de AA- à A+ est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Baisse de 3 % du déficit de la balance commerciale énergétique

Le déficit de la balance commerciale énergétique, en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée, a enregistré à fin août 2025, une baisse de 3 % pour se situer à 7,550 milliards de dinars contre 7,775 milliards de dinars à fin août 2024, selon le rapport sur la conjoncture énergétique publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une régression en valeur de 37 % accompagnée par une baisse des importations en valeur de 11 %. Les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs; à savoir les quantités échangées, le taux de change du dollar par rapport au dinar et les cours du Brent, qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté ainsi que les produits pétroliers.

En effet, au cours du mois d’août 2025, les cours du Brent ont enregistré une baisse de 13 $/bbl par rapport au mois d’août 2024. Au cours de la même période, le taux de change du dinar tunisien par rapport au dollar a enregistré une diminution de 5 % par rapport au Dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière.

L’article Baisse de 3 % du déficit de la balance commerciale énergétique est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Les États-Unis ne fourniront pas de Tomahawks à l’Ukraine

Le président américain Donald Trump a appelé la Russie et l’Ukraine à arrêter immédiatement la guerre là où se trouvent les fronts aujourd’hui. Conséquence, il a refusé de donner à Zelensky les missiles Tomahawks qu’il réclamait.

« Ils doivent s’arrêter là où ils sont », a écrit Trump dans un message publié sur sa plateforme de réseau social Truth Social après sa rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, dans la soirée de vendredi 17 octobre.

« Qu’ils revendiquent tous deux la victoire, que l’Histoire décide ! », a-t-il ajouté. « Plus de meurtres, plus de morts, plus de dépenses de sommes d’argent énormes et insupportables…».

« La rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été très intéressante et cordiale, mais je lui ai dit, comme je l’ai fortement suggéré au président Poutine, qu’il était temps d’arrêter les massacres et de conclure un ACCORD », a noté Trump dans son message sur Truth Social.

De son côté, le président ukrainien a déclaré qu’il était « réaliste » quant à la possibilité de livrer des missiles américains Tomahawks à son pays, soulignant que son homologue américain « n’a pas dit ‘non’, mais pour l’instant il n’a pas dit ‘oui’ ».

Et d’ajouter : « Je pense que la Russie a peur des Tomahawks, vraiment peur, parce que c’est une arme puissante ». Ces missiles permettraient à l’Ukraine de frapper profondément en Russie…

L’espoir de Budapest ?

Trump et Poutine ont convenu de se rencontrer prochainement à Budapest, en Hongrie, lors de leur conversation, qualifiée de « très productive » par la partie américaine, « extrêmement franche et pleine de confiance » par la partie russe.

Donald Trump a estimé « possible » que Vladimir Poutine ait cherché à gagner du temps, en réponse à une question d’un journaliste de l’AFP, mais il a également noté : « Toute ma vie, les meilleurs ont essayé de jouer avec moi. Et je l’ai très bien fait ».

L’article Les États-Unis ne fourniront pas de Tomahawks à l’Ukraine est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’OMS alerte sur la survenue d' »une nouvelle pandémie »!

« La maladie X, un concept entouré de mystère et de prudence, comme l’explique un site spécialisé, ne représente pas une maladie spécifique mais un symbole de l’inattendu, une future pandémie potentielle dont l’impact pourrait surpasser celui des maladies connues ».

Il s’agit d’une invention de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui souligne que c’est « … ce pathogène hypothétique symbolise la nature imprévisible des menaces sanitaires dans un monde connecté à l’échelle planétaire ».

L’organisme onusien en charge de la santé mondiale assure que ce « pathogène rappelle brutalement la nécessité permanente de la vigilance, de la recherche et de la préparation face à des adversaires inconnus ».

Le monde n’en a pas encore fini avec le virus Covid-19 dont l’origine exacte n’est toujours pas déterminée et qui continue de faire des ravages à travers tous les continents.

Donc, ne paniquez pas…  pour le moment, car réellement aucune pandémie ne pointe à l’horizon, toutefois, soyez sous vos gardes, semble suggérer l’OMS, car on n’est jamais à l’abri d’une infection mondiale dans un monde de plus en plus connectée, dans tous les sens.

L’article L’OMS alerte sur la survenue d' »une nouvelle pandémie »! est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌