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La séance boursière termine en baisse

La séance boursière de mardi 2 septembre 2025 s’est clôturée sur une note négative, avec l’indice de référence qui a reculé de -0,34% pour atteindre 11 871,76 points, dans un volume d’échanges substantiel de 18 millions de dinars, selon l’intermédiaire en Bourse « Tunisie Valeurs ».

Deux transactions de bloc ont porté sur le titre SAH LILAS, totalisant un montant de 2,3 millions de dinars. Le titre TUNIS RE a signé la meilleure performance de la séance, gagnant 6% à 8,900 D sans faire l’objet de transactions. De son côté, ASSURANCES MAGHREBIA VIE a progressé de 5,3% à 6 D avec un flux de 310 mille dinars.

En revanche, LAND’OR a connu la plus forte baisse du Tunindex, chutant de -5,9% à 10,150 D avec des échanges de 464 mille dinars. CIMENTS DE BIZERTE a également reculé de -4,1% à 0,470 D, sans enregistrer de flux significatifs durant la séance.

Enfin, UNIMED s’est imposée comme la valeur la plus échangée, avec un volume important de 11,2 millions de dinars, malgré une légère baisse de -0,8% à 8,640 D.

Avec TAP

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Un jour de congé accordé à tous les fonctionnaires pour célébrer le Mouled

La présidence du gouvernement informe que, à l’occasion de la fête du Mouled célébrée le jeudi 4 septembre prochain, tous les agents de l’État, des collectivités locales ainsi que des établissements publics à caractère administratif bénéficieront d’un jour de congé exceptionnel.

Avec TAP

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La BT réalise un bénéfice net semestriel de 85 MDT

La Banque de Tunisie (BT) a publié ses résultats financiers pour le premier semestre 2025, clos le 30 juin. Le résultat net s’élève à 85 MDT, en augmentation de 4,7 % par rapport au premier semestre 2024 (81,2 MDT). Cette hausse intervient malgré une baisse du résultat d’exploitation, qui s’élève à 134,9 MDT contre 141 MDT un an plus tôt. L’impôt sur les bénéfices a été de 44,9 MDT.

Les produits d’exploitation de la banque ont progressé de 4 %, passant de 439,5 MDT à 457,3 MDT. Le Produit Net Bancaire (PNB) affiche une légère hausse, à 261,1 MDT contre 259 MDT.

Parallèlement, les charges d’exploitation sont en augmentation à 196,1 MDT, contre 180,5 MDT.

Quant aux dotations aux provisions, elles s’élèvent à 37,6 MDT.

L’établissement enregistre une croissance significative des dépôts clients, qui atteignent 6,79 milliards de dinars, soit une progression de 11,2 % sur un an.

Les capitaux propres s’établissent à 1,4 milliard de dinars, contre 1,3 milliard à la même période en 2024.

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Semi-conducteurs : l’IA propulsera le marché mondial à plus de 1 000 milliards de dollars

Le marché mondial des semi-conducteurs devrait doubler et dépasser 1 000 milliards de dollars d’ici 2030, principalement grâce à la croissance de l’intelligence artificielle. Selon une étude de Counterpoint Research (cabinet AI 360), publiée lundi 1er septembre, la transition de l’IA générative (GenAI) vers l’IA agentique, puis vers l’IA physique, entraînera une demande sans précédent en puissance de calcul, mémoire et connectivité, tant au niveau du cloud que des périphériques.

À court terme, les investissements massifs dans l’infrastructure GenAI, principalement de la part des hyperscalers, constituent le moteur de l’économie. Les applications, initialement axées sur le texte, s’étendent rapidement à l’audio, à l’image et à la vidéo, créant une croissance exponentielle de la demande en GPU, accélérateurs, mémoires HBM et DDR, ainsi qu’en interconnexions optiques. Les semi-conducteurs constituent l’épine dorsale de l’économie de l’IA, alimentant plateformes, modèles et applications.

Selon les analystes, la prochaine vague sera celle de l’IA agentique, avec des applications qui vont au-delà de la production de contenu et s’étendent aux conversations complexes, à la recherche sémantique et à la création multimédia intégrée. Comme l’explique Counterpoint, « nous assistons à l’essor de l’économie du jeton, où le jeton devient la nouvelle monnaie ». Cette transition nécessite d’énormes ressources de calcul et de mémoire, entraînant une augmentation exponentielle de la consommation de semi-conducteurs.

La troisième vague : l’IA physique

À moyen et long terme, l’accent se porte sur l’IA physique. Cette évolution implique l’intégration de l’intelligence artificielle dans des systèmes physiquement autonomes, tels que les humanoïdes, les robots industriels et les véhicules. Counterpoint prédit qu’à ce stade, la demande stimulera davantage la consommation de semi-conducteurs, car des équipements de pointe seront nécessaires pour garantir l’autonomie en temps réel.

Bien qu’environ 80 % des revenus du marché de l’IA en 2024 proviennent des semi-conducteurs pour infrastructures et périphériques, l’étude prédit qu’à l’avenir, la plus grande part de la valeur proviendra des applications et des API de la chaîne de valeur de l’IA. Counterpoint souligne que l’« économie des jetons » fonctionnera comme l’essor des applications mobiles au cours de la dernière décennie, créant des écosystèmes de services et d’applications qui multiplieront la valeur commerciale.

Perspectives et défis

Les prévisions de revenus dépassant 1 000 milliards de dollars d’ici 2030 reflètent l’ampleur des changements technologiques et économiques induits par l’IA. Les gains de productivité, l’automatisation et les économies de coûts sont des facteurs clés qui accéléreront son adoption. Cependant, cette transition s’accompagne également de défis : une empreinte énergétique élevée, la nécessité de chaînes d’approvisionnement résilientes et les risques potentiels d’une dépendance excessive à l’égard de quelques grands acteurs.

« Le passage de l’IA de génération à l’IA agentique et physique n’est pas seulement une évolution technologique, mais aussi une profonde mutation économique. Le défi pour le secteur sera de capitaliser sur l’explosion de la demande tout en assurant la pérennité et l’équilibre sur un marché qui s’approche du billion », explique l’entreprise.

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Anis Montacer, ambassadeur de la mode tunisienne au BRICS+ Fashion Summit à Moscou

Anis Montacer, fondateur de la Tunis Fashion Week et de Sea Design Lab, a brillamment représenté la Tunisie lors du prestigieux BRIC+ Fashion Summit, qui s’est tenu dans la capitale russe, Moscou, du 28 au 30 août 2025.

Rassemblant des membres d’associations de mode, des entreprises textiles, des experts, des créateurs et des acheteurs venus de plus de 100 pays, cet événement s’est imposé comme une plateforme internationale incontournable favorisant les échanges, les partenariats et la réflexion sur l’avenir de l’industrie mondiale de la mode.

La mode émergente au cœur des discussions

L’édition 2025 du sommet a particulièrement mis en avant les industries émergentes et la montée en puissance de Moscou comme nouvelle capitale mondiale de la mode. Des intervenants venus de Chine, Brésil, Tunisie, Indonésie, Afrique du Sud, Inde, Italie et bien d’autres pays ont contribué à établir des collaborations concrètes entre créateurs et institutions, ouvrant la voie à de nouvelles perspectives de croissance et de coopération internationale.

Le programme s’est articulé autour de thématiques stratégiques telles que :

  • la création durable,
  • l’innovation,
  • la formation professionnelle,
  • l’expansion des échanges commerciaux,
  • et les défis des pays du BRICS+ dans un contexte de mondialisation élargie.

Une scène internationale multiculturelle

Des créateurs russes et des marques issues de 10 pays, dont le Brésil, la Chine, l’Inde, l’Espagne et l’Afrique du Sud, ont été mis à l’honneur, donnant naissance à une nouvelle communauté de la mode, résolument multiculturelle et inclusive, au cœur même de la Russie.

Anis Montacer : « La mode est un langage universel »

Dans son discours prononcé lors du sommet, Anis Montacer a souligné la portée diplomatique et culturelle de la mode : « J’ai été honoré de représenter la Tunisie au BRICS+ Fashion Summit. Ce sommet a confirmé que la mode est un langage universel, reliant les peuples, les cultures et les continents. »

Il a insisté sur le rôle stratégique que peut jouer la Tunisie, forte de son héritage textile et artisanal, en positionnant l’esthétique nord-africaine comme moderne, innovante et pertinente à l’échelle mondiale. « La Tunis Fashion Week, tout comme Sea Design Lab, œuvre à donner une visibilité internationale à nos créateurs et à bâtir des passerelles durables entre l’Afrique, l’Europe et le reste du monde. »

Selon lui, la mode africaine n’est pas une tendance passagère, mais bien une révolution silencieuse, fondée sur l’humain, la planète et la culture : « Le défi n’est pas d’imiter les standards occidentaux, mais de les réinventer à travers nos récits et nos savoir-faire. »

Une vision du luxe ancrée dans la culture

Anis Montacer appelle à une reconnaissance mondiale du savoir-faire artisanal africain : « Imaginez un avenir où une veste tunisienne brodée est vendue à New York ou à Moscou, non comme une curiosité exotique, mais comme une pièce de dialogue culturel mondial. Ce n’est pas un rêve – cela se produit déjà, grâce aux créateurs tunisiens et aux innombrables brodeuses anonymes qui portent des histoires culturelles entières dans leurs mains. »

Pour lui, la mode est bien plus qu’un secteur économique : c’est une forme de diplomatie culturelle et un moteur d’innovation durable : « La broderie tunisienne et le travail des designers tunisiens montrent que la durabilité n’est pas une tendance : c’est une philosophie profondément enracinée dans nos traditions. »

In fine, il lance un appel à l’action : « Construisons des ponts entre artisans et designers, entre l’Afrique et le reste du monde, entre tradition et modernité. Ce faisant, nous ne sauverons pas seulement les métiers d’art de l’extinction; nous redéfinirons le luxe comme une célébration de la culture, de l’humanité et de la créativité. »

La Tunisie abritera la prochaine édition du BRICS+ Fashion Summit

Après avoir accueilli la China Fashion Week ainsi que deux créateurs russes (Vestiaire et Buro Unique) lors de l’édition 2024 de la Tunis Fashion Week au Lac salé de Chott el-Jérid, l’événement se prépare à recevoir en 2026 le BRICS+ de la mode, avec la participation de plus de 50 pays, des organisateurs de Fashion Weeks d’Espagne, d’Italie, de Grèce et de Malte, ainsi que de nombreux designers français et européens.

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Le journaliste Marouan Hedouaji retrouvé sans vie

Le corps de Marouan Hedouaji, journaliste et père de deux enfants, a été découvert mardi 2 septembre 2025 à l’intérieur de son véhicule. La voiture avait basculé dans le canal Medjerda et était en cours de récupération au moment de la découverte.

D’après les informations communiquées par son entourage, sa dernière présence attestée remontait au soir du dimanche du 31 août. Il avait alors raccompagné sa sœur à son domicile situé à Fouchana, avant de reprendre la route en direction du quartier d’El Zahrouni où il résidait.

Son absence prolongée avait conduit sa famille à signaler sa disparition.

A rappeler que Marouan Hedouaji a exercé sa profession au sein de la chaîne Al Janoubia ainsi que dans plusieurs autres médias. Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a évoqué son parcours professionnel et ses qualités relationnelles, saluant un collègue reconnu pour son comportement respectueux et sa bienveillance envers ses pairs.

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La BTE réduit sa perte semestrielle de moitié, à 5,4 millions de dinars

5,4 millions de dinars. Tel est le montant de la perte nette enregistrée par La BTE au titre du premier semestre 2025. Ce résultat, bien que toujours négatif, représente une amélioration significative de 51,3 % par rapport à la perte de 11,3 millions de dinars subie à la même période en 2024. Cette performance s’inscrit dans un contexte de croissance du produit net bancaire et des dépôts clients.

Le produit net bancaire de la BTE a atteint 34,8 millions de dinars au premier semestre 2025. Tout en affichant une hausse de 8,6 %, en comparaison avec les 32,1 millions de dinars de l’année précédente. Cette progression est principalement attribuable à une augmentation de 9,6 % des revenus d’intérêts, renforcée par une contribution de 2,9 millions de dinars générée par le portefeuille commercial.

Une expansion notable des dépôts clients

Parallèlement, le volume d’affaires de la BTE a connu une forte hausse. Les dépôts clients se sont établis à 1 198 millions de dinars, en croissance de 15,7 % par rapport à l’encours de 1 035 millions de dinars enregistré à fin juin 2024. Cette expansion a été portée par les dépôts à vue, qui s’élèvent à 738,9 millions de dinars, et les dépôts à terme, qui atteignent 459 millions de dinars.

La réduction de la perte semestrielle s’explique en grande partie par une baisse des dotations nettes aux provisions, passées à 6,4 millions de dinars contre 10,7 millions de dinars un an plus tôt.

En revanche, les charges de personnel, qui s’élèvent à 21,5 millions de dinars, et les frais généraux, de 9,1 millions de dinars, continuent de peser sur la structure de coûts de l’établissement.

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Sous Trump, 1,2 million d’immigrés ont disparu des radars de l’emploi

Plus de 1,2 million d’immigrants ont « disparu » de la population active américaine entre janvier et fin juillet 2025, selon les données préliminaires analysées par le PewResearch Center.

Ce chiffre comprend les personnes qui se trouvent dans le pays illégalement ainsi que les résidents titulaires d’un permis de séjour, selon un rapport de l’Associated Press publié lundi 1er septembre.

Les immigrants représentent près de 20 % de la main-d’œuvre américaine, et les données montrent que 45 % des travailleurs dans l’agriculture, la pêche et la foresterie sont des immigrants, selon Stephanie Cramer, chercheuse au PewResearch Center. Environ 30 % des travailleurs du secteur de la construction sont des immigrants, et 24 % des travailleurs du secteur des services le sont également, a-t-elle ajouté.

Cette perte survient alors que le pays connaît le premier déclin de sa population immigrée globale depuis que le nombre de personnes illégalement présentes aux États-Unis a atteint un sommet record de 14 millions en 2023.

« On ne sait pas précisément dans quelle mesure la baisse observée depuis janvier est due aux départs volontaires pour saisir d’autres opportunités ou éviter une expulsion, une relocalisation ou d’autres problèmes techniques », a déclaré Mme Cramer. « Cependant, nous ne pensons pas que les chiffres préliminaires indiquant une migration nette négative soient si éloignés de la réalité que cette baisse ne soit pas réelle ».

Pia Orenius, économiste à la Réserve fédérale de Dallas, a déclaré que les immigrants contribuent à au moins 50 % de la croissance de l’emploi aux États-Unis. « L’afflux de migrants à la frontière, à notre connaissance, a pratiquement cessé, et c’est de là que venaient des millions d’immigrants ces quatre dernières années », a-t-elle déclaré. « Cela a eu un impact considérable sur la création d’emplois ».

Les entrepreneurs du secteur agricole rapportent que les récoltes et les cultures « ont été gaspillées » en raison du manque de travailleurs pour les récolter.

Parallèlement, les emplois dans le secteur de la construction ont chuté dans environ la moitié des zones métropolitaines américaines, selon une analyse des données gouvernementales sur l’emploi réalisée par l’Associated General Contractors of America. La perte la plus importante, soit 7 200 emplois, a été enregistrée dans la région de Riverside-San Bernardino-Ontario, en Californie. La région de Los Angeles-Long Beach-Glendale a perdu 6 200 emplois.

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Au sein de Microsoft, il n’est pas bon de protester contre Israël

Microsoft a licencié quatre de ses employés à la suite de manifestations internes dénonçant les liens de l’entreprise avec Israël. Alors que l’offensive militaire se poursuit dans la bande de Gaza.

Parmi les personnes renvoyées figurent Anna Hattle et Riki Fameli, qui avaient organisé cette semaine un sit-in dans les bureaux de Brad Smith, président de Microsoft. Elles ont été informées de leur licenciement par message vocal, selon le collectif “No Azure for Apartheid“, à l’origine de plusieurs actions de protestation, rapporte L’Orient Le Jour.

Le collectif a dernièrement annoncé que deux autres salariés, en l’occurrence Nisreen Jaradat et Julius Shan, ayant participé à l’installation de campements au siège de l’entreprise, avaient eux aussi été congédiés.

Dans un communiqué, Microsoft a justifié ces licenciements par « des violations graves de ses politiques internes ». Tout en précisant que les récentes manifestations sur ses sites avaient « soulevé d’importantes préoccupations en matière de sécurité ».

Un mouvement interne de contestation

Le groupe No Azure for Apartheid, dont le nom fait référence à la plateforme cloud de Microsoft, exige la fin de toute collaboration avec Israël ainsi que des réparations envers les Palestiniens.

« Nous sommes ici parce que Microsoft continue de fournir à Israël les outils nécessaires pour commettre un génocide tout en trompant et en égarant ses propres employés sur cette réalité ». C’est ce qu’a déclaré Anna Hattle dans un communiqué.

Hattle et Fameli faisaient partie des sept manifestants arrêtés mardi, après avoir occupé le bureau du président de l’entreprise. Les cinq autres interpellés sont des anciens employés ou des personnes extérieures à la société.

Interrogé sur les événements, Brad Smith a déclaré que Microsoft respectait « la liberté d’expression qui prévaut dans ce pays, dès lors qu’elle s’exerce dans le respect de la loi ».

Un partenariat technologique controversé

La polémique s’inscrit dans un contexte tendu autour des relations entre Microsoft et Israël. Une enquête journalistique conjointe, publiée ce mois-ci par The Guardian, +972 Magazine et Local Call, a révélé que l’armée israélienne utilisait le cloud Azure de Microsoft pour stocker des millions de conversations téléphoniques de Palestiniens, en Cisjordanie et à Gaza.

En réaction, Microsoft a annoncé qu’il confierait un audit indépendant à la firme d’avocats Covington & Burling LLP, afin d’évaluer l’usage de ses technologies dans ce cadre.

Une vague plus large de protestations dans les entreprises

Microsoft n’est pas la seule entreprise confrontée à des manifestations internes autour de la guerre à Gaza. En avril dernier, lors de la célébration des 50 ans du groupe, un employé pro-palestinien avait interrompu un discours du patron de l’IA de Microsoft, Mustafa Suleyman, pour protester contre les liens de l’entreprise avec Israël. Lui et un autre manifestant avaient également été licenciés.

Les mobilisations pro-palestiniennes se multiplient dans les entreprises technologiques et les universités; alors que la crise humanitaire à Gaza s’aggrave. Les images de civils palestiniens affamés, notamment d’enfants, ont provoqué une indignation mondiale.

Il faut rappeler que le dernier cycle de violences israélo-palestinien a débuté en octobre 2023, après une attaque du Hamas ayant causé la mort de 1 200 personnes et la prise d’environ 250 otages, selon les autorités israéliennes.

En réponse, l’armée israélienne a lancé une vaste offensive contre Gaza, faisant des dizaines de milliers de morts palestiniens, entraînant des accusations de génocide et de crimes de guerre devant des juridictions internationales — des allégations qu’Israël rejette catégoriquement.

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Stéphane Varret est le nouveau DG d’Orange Tunisie

Orange Tunisie annonce la nomination de Stéphane Varret au poste de directeur général. Il remplace Thierry Millet, récemment nommé directeur général d’Orange Money Group.

Fort de plus de 20 ans d’expérience au sein du groupe Orange, Stéphane Varret a occupé des fonctions stratégiques en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, dans les domaines de la finance, du développement et de la transformation d’entreprise.

Depuis mars 2023, il occupait le poste de directeur de la Stratégie et du développement d’Orange Middle East and Africa (OMEA), couvrant 17 pays. À ce poste, il a piloté la déclinaison du plan stratégique « Lead the Future » à l’échelle régionale; ainsi que des projets d’envergure dans les domaines de la connectivité longue distance, des infrastructures (towercos, satellites) et des services financiers mobiles. Il a également conduit plusieurs opérations de croissance externe, dont la joint-venture Orange-Vodacom en RDC.

Diplômé d’un master en économie (Université Paris II Panthéon), d’un master en management d’entreprise (ISC Paris) et d’un senior executive program en finance et gestion (ESCP Europe), Stéphane Varret allie une formation académique solide à une expertise reconnue dans la conduite de projets complexes. Il a notamment été Directeur Financier puis Directeur Général Adjoint d’Orange Côte d’Ivoire, ainsi que CFO d’Orange Espagne, où il a joué un rôle déterminant dans le retour à la croissance et la fusion stratégique avec Masmovil.

Son expérience internationale et sa connaissance fine des enjeux stratégiques du secteur seront des atouts majeurs pour accompagner le développement d’Orange Tunisie, dans un contexte d’innovation, de transformation numérique de recherche de l’excellence opérationnelle et du développement rapide des services très haut débit.

Marié et père de trois enfants, Stéphane Varret prend ses nouvelles fonctions à compter du 1er septembre 2025.

Avec communiqué

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Henda Ben Ayed rejoint le conseil d’administration de BMCE Capital Securities

Henda Ben Ayed, également connue sous le nom Henda Ben Ayed Bradai, est la directrice générale adjointe de BMCE Capital Tunisie. Elle est aussi membre du conseil d’administration de BMCE Capital Securities.

Elle est diplômée de l’École supérieure de commerce de Tunis et dispose d’une expérience notable au sein du groupe BMCE.

Elle joue un rôle clé dans la gestion et le développement de la société, avec des responsabilités notamment dans le domaine commercial et le back-office.

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Le chômage dans la zone euro s’élève à 6,2 % en juillet

Le taux de chômage dans la zone euro s’élevait à 6,2 % en juillet 2025, selon les données d’Eurostat publiées lundi 1er septembre. 

Au niveau de l’UE, le taux de chômage est tombé à 5,9 % en juillet, contre 6,0 % en juin 2025 et juillet 2024.

Eurostat estime que 13,025 millions de personnes dans l’UE, dont 10,805 millions dans la zone euro, étaient au chômage en juillet 2025.

Par rapport à juin 2025, le nombre de chômeurs a diminué de 165 000 personnes dans l’UE et de 170 000 dans la zone euro.

Par rapport à juillet 2024, le nombre de chômeurs a diminué de 105 000 dans l’UE et de 161 000 dans la zone euro.

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Gaza, entre génocidaires sanguinaires et promoteurs immobiliers avides

Commençons par le commencement. Lors de sa campagne électorale de 2024, Trump a déclaré qu’il mettrait rapidement fin à la guerre de Gaza, s’il était élu. Non seulement il n’a pas levé le petit doigt pour arrêter cette guerre, devenue génocidaire bien avant son arrivée à la Maison Blanche, mais il a tout fait pour aider Netanyahu à la poursuivre malgré son caractère horrible et sans précédent dans l’histoire moderne.

Juste deux jours après son investiture, Gaza s’imposa comme une priorité à Trump. Non pas à l’homme politique élu à la tête de la plus grande puissance du monde, mais au promoteur immobilier à la recherche d’opportunités de nature à accroître sa fortune.

« Gaza, un immense chantier de démolition »

Voici ce qu’il a dit le 22 janvier 2025, deux jours après son entrée à la Maison Blanche : « J’ai regardé une photo de Gaza, on dirait un immense chantier de démolition. Il faut la reconstruire autrement. Gaza est un endroit exceptionnel au bord de la mer, avec un climat idéal. Tout y est parfait. On peut y faire de belles choses ».

En ce même mois de janvier, quelques jours avant de céder le pouvoir, l’administration Biden, qui a soutenu à bout de bras la guerre génocidaire de Netanyahu, présenta son propre plan sur Gaza. Le secrétaire d’État de l’époque, Antony Blinken, a présenté son plan d’après-guerre. Il prévoyait « la mise en place d’une administration intérimaire pour Gaza, supervisée par les Nations unies et assurée par des Palestiniens sélectionnés et des pays partenaires qui cèderaient à terme le pouvoir à une Autorité palestinienne réformée ».

Bien qu’il n’y ait aucune différence entre Trump et Biden en termes de soutien aveugle à Israël, il y a tout de même une immense différence entre le premier qui ne sait pas grand-chose en dehors des transactions immobilières, et le second qui a fait une très longue carrière politique.

Trump, l’obsession des opportunités immobilières de Gaza

Durant les sept mois qu’il a déjà passés à la Maison Blanche, l’obsession des opportunités immobilières de Gaza ne semble pas avoir quitté le président américain. La preuve est fournie par cette réunion du 23 août à la Maison Blanche à laquelle Trump a convié le secrétaire d’État Marco Rubio, Steve Witkoff (un promoteur immobilier milliardaire, promu diplomate), l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair (un criminel de guerre co-responsable avec George W. Bush de la mort d’un million d’Irakiens et de la tragédie de l’Irak), ainsi que le gendre de Trump, Jared Kushner (détenteur d’importants intérêts privés dans le Grand Moyen-Orient).

La réunion a eu pour thème les voies et moyens permettant de faire de Gaza la « Riviera du Moyen-Orient ». Rien de mystérieux dans tout cela, sauf l’invitation à cette réunion du criminel de guerre Tony Blair pour donner son « expertise ». Il va sans dire que l’unique « expertise » que le monde lui reconnaît fut largement démontrée en 2002-2003 par son rôle diabolique dans la destruction de l’Irak et le massacre d’un million de ses habitants…

Vu son rôle dévastateur en Irak, l’unique explication de sa présence dans cette réunion à la Maison Blanche serait de contribuer par son « expertise » à l’accélération tant désirée par Trump et Netanyahu à la dévastation et l’évacuation totales de l’enclave palestinienne.

Dans son édition du 31 août, le Washington Post a fait état d’un « prospectus de 38 pages » qui envisage « une relocalisation de l’ensemble des habitants de Gaza, soit par des départs volontaires vers un autre pays, soit dans des zones restreintes et sécurisées à l’intérieur de l’enclave pendant la reconstruction ».

Toujours selon ce prospectus, « chaque Palestinien choisissant de partir recevrait une indemnité de 5 000 dollars en espèces et des subventions pour couvrir quatre années de loyer ailleurs, ainsi qu’une année de nourriture ».

Points communs entre GHF et Great

Baptisée Great (Gaza Reconstitution, Economic Acceleration and Transformation), cette proposition semble être la suite logique de la « Gaza Humanitarian Fondation » (GHF) que les États-Unis et Israël ont mis en place pour « distribuer la nourriture » aux affamés. Mais en réalité, comme le monde entier le constate quotidiennement, il s’agit d’un piège pour attirer les Palestiniens à portée de tir de la soldatesque israélienne. Plus de Palestiniens tués que d’affamés nourris par cette Fondation-piège.

En attendant une improbable réaction d’un monde inhibé et paralysé face à cette catastrophe, Gaza continue de résister seule face à la démence des génocidaires sanguinaires et des promoteurs immobiliers avides.

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Le chiffre d’affaires d’OTH atteint 544,6 millions de dinars malgré un contexte tendu

Le chiffre d’affaires consolidé de One Tech Holding (OTH) s’est élevé à 544,6 millions de dinars (MDT) au premier semestre 2025. Il enregistre une légère progression de 0,7 % par rapport aux 540,6 millions de dinars réalisés à la même période en 2024.

Cette performance d’OTH est principalement portée par les ventes à l’exportation, qui ont atteint 453,4 millions de dinars contre 440,6 millions de dinars un an plus tôt. Tandis que les ventes locales ont reculé à 70 millions de dinars après 77,9 millions en 2024.

Les achats de matières et approvisionnements ont augmenté de 1,6 % pour s’établir à 403,3 millions de dinars. Et les charges de personnel se sont élevées à 60,3 millions contre 59,9 millions l’année précédente. Les dotations aux amortissements et provisions ont quant à elles reculé à 17,1 millions de dinars, après 19,1 millions en 2024. Retour sur les chiffres de OTH.

Malgré une hausse de certains coûts, le résultat d’exploitation s’est établi à 36,6 millions de dinars, en léger repli par rapport aux 38,3 millions de dinars du premier semestre 2024. Le résultat net consolidé affiche une progression de 3 %, passant de 25,1 à 25,9 millions de dinars. Après déduction de la quote-part des minoritaires de 1,2 million de dinars, le résultat net part du groupe atteint 24,7 millions de dinars. Soit une hausse de 3,1 % comparé aux 23,9 millions enregistrés un an auparavant.

Cette amélioration de la rentabilité nette s’explique notamment par une baisse des charges financières nettes, réduites à 5,2 millions de dinars contre 7,7 millions en 2024; ainsi que par des gains non récurrents et des produits financiers venant compenser partiellement l’augmentation des coûts d’exploitation.

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BCT: forte progression des BTA face au recul des BTC

Au 29 août 2025, l’encours total des Bons du Trésor atteint 30,15 milliards de dinars, marquant une progression globale de 12,82 % sur un an. Cependant, cette évolution masque des dynamiques opposées entre les deux types principaux de titres : les Bons du Trésor à court terme (BTC) reculent fortement; tandis que les Bons du Trésor Assimilables (BTA) connaissent une croissance soutenue.

Il convient de noter que ces titres, utilisés par l’État pour financer ses besoins budgétaires, reflètent le niveau d’endettement public ainsi que la confiance des investisseurs dans la solvabilité du pays.

Notons par ailleurs que les BTC affichent généralement des taux d’intérêt plus élevés que les BTA.

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Nouvel ordre mondial : Xi Jinping fait passer son message en uniforme

Le président chinois Xi Jinping organise, mercredi 3 septembre, un grand défilé militaire. Et ce, alors qu’il cherche à repositionner la Chine comme le gardien d’un ordre international post-américain, à une époque de profonde incertitude géopolitique. 

Vingt-six dirigeants mondiaux, dont le président russe Vladimir Poutine et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, se réuniront à Pékin (Chine) le 3 septembre pour l’événement du « Jour de la Victoire », marquant les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Ce spectacle hautement chorégraphié vise à projeter la puissance militaire et l’influence diplomatique de la Chine dans un contexte de doutes sur le rôle mondial des États-Unis. Alors que le président Donald Trump réduit l’aide étrangère, se retire des institutions internationales et mène une guerre commerciale de grande envergure contre ses alliés et ses rivaux.

L’apparition conjointe inédite de Xi, à côté de Poutine et de Kim, supervisant la présentation d’équipements de pointe comme des missiles hypersoniques et des drones, pourrait bien être l’image déterminante du défilé, un « Axe du bouleversement » défiant l’Occident.

« La présence de Vladimir Poutine, de Massoud Pezechkian (de l’Iran) et de Kim Jong-un souligne le rôle de la Chine en tant que première puissance autoritaire du monde », a déclaré Neil Thomas, expert en politique chinoise au Centre d’analyse de la Chine de l’Asia Society Policy Institute.

L’augmentation du nombre de dirigeants des pays d’Asie centrale, d’Asie occidentale et d’Asie du Sud-Est participant au défilé de cette année par rapport au dernier en 2015 met en évidence les progrès de Pékin dans la diplomatie régionale, a ajouté M. Thomas.

Le Premier ministre slovaque, Robert Fico, et le Serbe Aleksandar Vucic, tous deux critiques des sanctions contre la Russie en raison de sa guerre en Ukraine, sont les seuls dirigeants occidentaux présents.

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La BNA affiche un PNB en hausse de 7,7 % à 537 MDT

55 millions de dinars (MDT) de bénéfice net ont été dégagés par BNA Bank au premier semestre 2025, en progression de 16,8 %.

Le PNB s’élève à 537 MDT, en hausse de 7,7 %.

Les créances sur la clientèle atteignent 13,85 milliards de dinars enregistrant une hausse de 1,9 %. Tandis que les dépôts clients s’établissent à 12,96 milliards de dinars enregistrant une hausse de 2,2 % ; avec une forte croissance des dépôts à vue de 19,8 %.

Les revenus du portefeuille d’investissement de BNA BANK ont bondi de 44,7 % pour atteindre 348,3 millions de dinars. Les charges d’exploitation ont augmenté de 6,6 % à 682,2 millions de dinars, portées par les frais de personnel (+6,9 %) et les charges générales d’exploitation (+11,7 %).

Après ajustement comptable, le résultat net est de 137,3 millions de dinars, en hausse de 49,6 %. La banque affiche une solvabilité robuste avec un ratio de 21,83 %, un ratio Tier One de 19,17 % et un ratio de liquidité de 206,97 %, tous supérieurs aux exigences réglementaires.

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Importations alimentaires : le top 5 des pays africains les plus dépendants 

Depuis 1964, la CNUCED (Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement), basée à Genève en Suisse, s’engage pour un commerce mondial plus équitable et un développement économique inclusif. Théoriquement du moins. A travers ses analyses, rapports stratégiques et actions de terrain, elle soutient les pays en développement dans leur intégration à l’économie globale. Son dernier rapport, « The State of Commodity Dependence 2025 », publié en juillet, dresse toutefois un état des lieux préoccupant. A savoir la dépendance croissante de certains pays africains aux importations alimentaires.

Entre 2021 et 2023, les importations alimentaires de l’Afrique ont atteint 97 milliards de dollars, soit en hausse de 19 % par rapport à la période 2012-2014. Une augmentation qui souligne la vulnérabilité du continent face aux chocs extérieurs — flambée des prix, crises sanitaires ou perturbations logistiques.

Une facture alimentaire qui explose

Voici les pays africains les plus dépendants des importations :

  1. Égypte – 16,43 milliards $

  2. Algérie – 9,99 milliards $

  3. Maroc – 8,71 milliards $

  4. Afrique du Sud – 6,07 milliards $

  5. Nigeria – 5,59 milliards $.

A noter que l’Algérie et le Maroc figurent parmi les plus dépendants en ce qui concerne les céréales, les produits laitiers, les huiles, le sucre et la viande.

Vers une souveraineté alimentaire ?

Face à ce constat, la CNUCED appelle à une transformation structurelle. Il est urgent, selon l’organisme onusien, d’investir massivement dans l’agriculture locale, de renforcer les filières agroalimentaires nationales et de diversifier les économies.

L’objectif est d’atteindre une autonomie alimentaire durable, de réduire la vulnérabilité face aux marchés internationaux et de garantir la sécurité alimentaire des populations. Car en cas de crise — pénurie, pandémie, conflit —, ce sont des millions de personnes qui pourraient se retrouver en situation critique.

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La Belgique reconnaîtra l’État de Palestine

Le ministre belge des Affaires étrangères, Maxime Prévot, a annoncé que la Belgique reconnaîtra l’État de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies, rejoignant ainsi des pays comme la France et la Grande-Bretagne.

Cette décision s’inscrit dans un contexte de tensions accrues et de drame humanitaire en Palestine, notamment à Gaza. En plus de cette reconnaissance, la Belgique a pris « des sanctions fermes » contre le gouvernement israélien et condamne fermement tout antisémitisme ou glorification du terrorisme par les partisans du Hamas.

Le gouvernement belge souhaite ainsi renforcer la pression sur Israël et le Hamas, tout en soutenant une solution à deux États, conformément à la Déclaration de New York. Cette initiative s’inscrit dans un appel plus large de plusieurs gouvernements occidentaux invitant d’autres pays à suivre ce mouvement.

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