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Ronaldo-Rodríguez : les clauses financières derrière l’annonce des fiançailles

Cristiano Ronaldo, l’athlète le mieux payé de l’histoire avec un revenu annuel estimé à 250 millions d’euros en Arabie saoudite, a conclu un contrat prénuptial avec Georgina Rodríguez. Cet accord, signé en novembre 2017 après la naissance de leur premier enfant, Alana Martina, garantit à Georgina Rodríguez une pension de 114 000 dollars (environ 97 000 euros) par mois, soit une somme annuelle dépassant le million d’euros, en cas de divorce.

Le contrat prévoit également la conservation par Georgina Rodríguez de la propriété de la villa du couple, située à La Finca. D’une valeur estimée à 5,64 millions de dollars, cette résidence de 4 000 m² présente le monogramme « CR » sur ses poignées de porte.

Ces dispositions contractuelles interviennent suite à l’annonce officielle de leurs fiançailles, faite par Georgina Rodríguez sur les réseaux sociaux au cours de l’été 2025. Le couple, dont la fortune totale est estimée à 2,23 milliards de dollars selon la presse, s’est rencontré en 2016 dans une boutique Gucci à Madrid où Georgina Rodríguez travaillait comme vendeuse. Leur relation a été officialisée début 2017. Ils parent aujourd’hui cinq enfants.

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Sommet de l’Alaska : l’Ukraine en vitrine, l’Arctique en coulisses

La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska ne relève pas simplement de la diplomatie bilatérale. Elle a discrètement inauguré un nouvel espace de compromis géostratégique, bien au-delà du théâtre ukrainien.

Loin des communiqués officiels, ce sommet a dessiné les contours d’une entente implicite autour d’un redéploiement des priorités : désescalade en Ukraine, consolidation dans l’Arctique.

Le choix de l’Alaska, territoire à forte charge stratégique et symbolique, n’est pas anodin. Cette ancienne terre russe devenue avant-poste américain sur le cercle polaire a servi de décor à un échange feutré mais stratégique.

À son arrivée, Poutine aurait été accueilli par un dispositif de dissuasion non revendiqué : le survol discret d’un avion furtif américain, un message clair, à la fois ferme et respectueux, dans la tradition des signaux codés entre puissances nucléaires. Le ton était donné : équilibre, non-affrontement.

Dans cette atmosphère de test réciproque, les déclarations ambivalentes de Trump sur l’Ukraine ont résonné comme un autre signal. En évoquant l’idée d’un compromis où « tout le monde doit perdre un peu », il préparait l’opinion à une sortie de crise où la Russie conserverait certains acquis, en échange d’un apaisement ailleurs, notamment dans l’Arctique.

Ce glissement s’inscrit dans un contexte plus large : une éventuelle transition politique à Kiev. Le nom de Vadym Prystaïko, militaire expérimenté et diplomate aguerri, circule comme alternative potentielle à un Zelensky fragilisé. Un profil plus acceptable pour Washington comme pour Moscou, et peut-être déjà validé dans les coulisses du sommet.

La nature même de la rencontre en dit long : pas d’agenda public, pas de conférence de presse, des échanges confinés à des cercles restreints. Ce silence organisé suggère un accord politiquement inavouable à ce stade, mêlant redéfinition des lignes en Ukraine et reconnaissance mutuelle dans les territoires arctiques.

Enfin, les semaines entourant le sommet ont vu un changement d’orientation dans les rapports stratégiques occidentaux, centrés sur la militarisation de l’Arctique et la nécessité d’une coopération, même tacite, avec Moscou. Un déplacement géopolitique progressif, des plaines du Donbass vers les glaces polaires.

Loin de signer un traité ou de produire un choc diplomatique, le sommet de l’Alaska a joué un rôle plus subtil : ajuster les sphères d’influence, expérimenter un nouveau mode de régulation entre superpuissances, et préfigurer un monde régi moins par les déclarations que par les équilibres implicites.

Ce n’est peut-être pas en Ukraine, mais dans le silence stratégique de l’Arctique, que s’esquisse le prochain chapitre des relations russo-américaines.

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Mahjoub Lotfi Belhedi

Chercheur en réflexion stratégique optimisée IA // Data Scientist & Aiguilleur d’IA

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Un projet de 435 emplois : la reconstruction de l’Hôtel du Lac est lancée

La démolition de l’Hôtel du Lac, un bâtiment emblématique jugé en état de péril imminent, a officiellement commencé le 15 août. Une décision de justice, motivée par l’état catastrophique et dangereux de la structure, a ordonné cette opération.

Le président du conseil local de Bab Bhar, Moez Ben Othman, a confirmé ces informations sur les ondes de la Radio nationale, précisant que la situation représentait un danger nécessitant une action immédiate.

Le site, désormais détenu par des investisseurs privés, accueillera un nouveau complexe hôtelier moderne. Le projet, porté par un promoteur et déjà validé par les autorités, prévoit l’utilisation de techniques de construction contemporaines tout en s’inspirant de l’architecture de l’ancien établissement. La phase de travaux, comprenant la démolition et la reconstruction, est estimée entre huit et neuf mois, avec une fin prévue pour le deuxième trimestre de l’année prochaine. Selon les estimations communiquées par M. Ben Othman, le futur établissement devrait générer environ 435 emplois une fois opérationnel, contribuant significativement à la dynamique économique locale.

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India Exim Bank décaisse 40 M$ pour des projets ouest-africains

La Banque d’import-export de l’Inde (India Exim Bank) a signé, le 18 août, à Londres, un accord de crédit commercial de 40 millions de dollars avec la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO (BIDC).

Paraphé par le président de la BIDC, Dr George Agyekum Donkor, et le directeur général de la succursale londonienne d’India Exim Bank, Ashok Kumar Vartia, cet accord vise à financer des projets structurants en Afrique occidentale, dans les pays membres de la CEDEAO (Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest).

À cette occasion, Dr Donkor a salué cet engagement, soulignant l’importance d’investissements accrus dans des secteurs clés tels que l’énergie, la santé, l’agriculture et les infrastructures, afin de stimuler la croissance économique et améliorer les conditions de vie dans la région, rapporte Agence Ecofin.

De son côté, Ashok Kumar Vartia a qualifié cet accord de « nouvelle étape » dans le soutien de l’Inde aux projets africains.

Trupti Mhatre, directrice générale d’India Exim Bank, insistera sur le rôle de cette ligne de crédit à long terme dans le renforcement des partenariats entre l’Inde et l’Afrique dans son ensemble, ajoute la même source.

À noter enfin qu’India Exim Bank entretient une coopération active avec la BIDC depuis 2006, avec six lignes de crédit totalisant 1,14 milliard de dollars à ce jour.

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Rentrée scolaire : la production nationale couvre 95% du marché

À l’approche de la rentrée scolaire, le marché  des fournitures bénéficie cette année d’une stabilité remarquable des prix et d’une offre abondante, comme l’a confirmé Samir Mouelhi, vice-président de la Chambre des fabricants de cahiers scolaires, lors de son passage dans l’émission Ahla Sbeh, mercredi 20 août 2025.

Les cahiers scolaires subventionnés affichent des prix inchangés depuis six ans, avec des montants fixés respectivement à 430 millimes pour le modèle de 24 pages, 930 millimes pour celui de 48 pages et 1400 millimes pour le cahier de 72 pages.

Pour soutenir cette stabilité, le ministère du Commerce a augmenté de 25% le quota de cahiers subventionnés, passant de 4000 à 5000 tonnes cette année. La Société nationale de cellulose et de papier alfa (SNCPA) a d’ores et déjà distribué 2000 tonnes, assurant un approvisionnement fluide et suffisant. Parallèlement, les cahiers non subventionnés sont proposés à des prix inférieurs à ceux de l’an dernier, grâce aux efforts conjoints des industriels et des détaillants ainsi qu’à la baisse du prix du papier à l’international.

Fait marquant : près de 95% des cahiers disponibles sur le marché sont produits localement, preuve du dynamisme et de la qualité de la production nationale, qui exporte déjà avec succès vers plusieurs marchés européens et africains.

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Tunisie-Canada : la science et l’académique, piliers d’un partenariat à renforcer

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, mardi, en son département, Alexandre Kofi Alain Joseph Bilodeau. Le diplomate lui a remis une copie de ses lettres de créance en sa nouvelle qualité d’ambassadeur du Canada en Tunisie.

À cette occasion, le ministre a exprimé la disponibilité totale de son administration pour accompagner le nouvel ambassadeur dans l’accomplissement de sa mission. Le ministre a réaffirmé la volonté de la Tunisie de consolider les relations historiques unissant les deux pays et d’approfondir leur coopération bilatérale sur plusieurs fronts. Il a cité en priorité les énergies renouvelables, l’intelligence artificielle, les sciences et technologies, ainsi que le tourisme. Il a tenu à souligner le rôle fondamental des domaines scientifique et académique, qu’il a présentés comme le « pilier de la coopération tuniso-canadienne ».

De son côté, l’ambassadeur Bilodeau a réitéré l’engagement du Canada à renforcer et à élargir le partenariat économique, commercial, technique et scientifique. Il a exprimé sa volonté de s’appuyer sur les programmes fructueux déjà mis en œuvre conjointement pour bâtir de nouvelles perspectives de collaboration.

Avec TAP

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Santé : un investissement de 358 millions de dinars pour quatre hôpitaux

Le mardi 19 août, le ministre de l’Équipement et de l’Habitat, Slah Zouari, a présidé une réunion de coordination visant à accélérer le lancement des travaux de construction de quatre hôpitaux régionaux de catégorie « B ». Ces établissements seront implantés à Jelma (gouvernorat de Sidi Bouzid), Haïdra (Kasserine), Makthar (Siliana) et Ghardimaou (Jendouba), pour un coût global de 358,7 millions de dinars.

M. Zouari a insisté sur la nécessité de simplifier les procédures administratives afin que les chantiers puissent démarrer dans les plus brefs délais. Il a également appelé l’entreprise contractante au strict respect des délais convenus et à une exécution des travaux de haute qualité. Pour garantir une mise en œuvre fluide des projets, le ministère a mobilisé le groupement d’entreprises koweïtien en charge des travaux, le bureau d’études techniques et ses cadres

Le ministère de l’Équipement pilote la réalisation de ces infrastructures en tant que maître d’ouvrage délégué pour le compte du ministère de la Santé. Le budget de l’État tunisien et le Fonds koweïtien pour le développement économique arabe (KFAED) assurent le financement par le biais d’une enveloppe conjointe.

Étaient présents à cette réunion le directeur général des Bâtiments civils, les représentants du groupement d’entreprises koweïtien, le bureau d’études, plusieurs cadres du ministère de l’Équipement, ainsi que des représentants des ministères de la Santé, de l’Économie et de la Planification.

Avec TAP

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Croissance à contre-courant : que cache la chute libre des paiements par chèque en Tunisie ?

Alors que le quotidien économique demeure difficile en Tunisie, avec une inflation étouffante et des entreprises en difficulté, le taux de croissance du PIB a dépassé toutes les attentes, et de loin.

 

Beaucoup s’interrogent comment le pays est parvenu à réaliser une telle performance au moment où la quasi-disparation des chèques de la circulation a négativement impacté la demande interne. La réponse est pourtant simple.

La consommation fondue est celle auprès du marché parallèle

Nous ne disposons pas encore des statistiques de paiements pour le deuxième trimestre 2025, mais les chiffres du premier trimestre donnent déjà un aperçu significatif de la tendance. En volume, l’utilisation des chèques a chuté de 48,3% sur les trois premiers mois de l’année, l’équivalent de 17,115 milliards de dinars.

 

Lire aussi: Habib Zitouna : La réforme des chèques a impacté négativement 70% des entreprises

 

Certes, le recours aux chèques a partiellement repris depuis, et les données qui seront publiées prochainement devraient témoigner d’une amélioration après l’effondrement constaté au premier trimestre. Sur l’ensemble de l’année, nous estimons la baisse à environ 25% par rapport à décembre 2024, ce qui correspond à près de 32 milliards de dinars retirés de la circulation. Ce montant ne serait ni compensé par les autres moyens de paiement ni intégralement remplacé par des transactions en espèces.

 

Sur l’ensemble de l’année, nous estimons la baisse du recours aux chèques à environ 25% par rapport à décembre 2024, ce qui correspond à près de 32 milliards de dinars retirés de la circulation.

 

Ce trou est tout simplement ce que nous observons de manque de dynamique économique. Les chèques donnaient un effet de levier à une consommation auprès d’agents économiques qui ne déclarent pas l’intégralité de leurs revenus. C’est également pour cette raison qu’il n’est pas reflété dans le PIB car c’est de l’économie souterraine. D’ailleurs, une bonne partie de ces chèques n’étaient pas nominatifs. Désormais, le passage obligatoire par des comptes bancaires, donc une parfaite traçabilité et association à des revenus déclarés, a rendu ce type de pratiques beaucoup plus risqué.

Faut-il recalculer le PIB ?

Si l’on considère que 75% du montant retiré de la circulation par la disparition progressive des chèques servait à financer des activités de l’économie parallèle, on peut estimer que cette dernière représente environ 15% du PIB — une proportion cohérente avec les caractéristiques de l’économie tunisienne. En appliquant un taux moyen de TVA de 13%, cela correspond à un manque à gagner fiscal d’environ 3 milliards de dinars.

 

À notre avis, le PIB courant de la Tunisie dépasse aujourd’hui 200 milliards de dinars. Pour 2025, il est attendu autour de 185 milliards de dinars si on croise les données de la loi de finances 2025. Mais ces chiffres ne reflètent qu’une partie de la réalité économique du pays : celle qui est visible, formelle et déclarée.

 

Alors, pourquoi ne pas envisager un recalcul du PIB intégrant l’économie informelle ? D’autres pays l’ont déjà fait. Le Nigeria, par exemple, a révisé son PIB cette année en y incluant des pans entiers de l’activité jusque-là non comptabilisés — ce qui lui a permis d’augmenter de plus de 30% la valeur ajoutée nationale.

 

Alors, pourquoi ne pas envisager un recalcul du PIB intégrant l’économie informelle ? D’autres pays l’ont déjà fait. Le Nigeria, par exemple, a révisé son PIB cette année en y incluant des pans entiers de l’activité jusque-là non comptabilisés — ce qui lui a permis d’augmenter de plus de 30% la valeur ajoutée nationale.

 

Un tel exercice permettrait non seulement de mieux refléter la réalité économique, mais aussi de redéfinir les indicateurs macroéconomiques fondamentaux, comme le ratio dette/PIB ou les besoins réels de financement du budget. Certes, le principal défi réside dans la collecte de données fiables et représentatives, mais il faudra bien un jour franchir ce cap si l’on veut bâtir des politiques économiques sur une base solide.

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TICAD9 : Sarra Zaafrani Zenzri propose l’organisation d’un forum économique Tunisie-Japon en 2026

En marge de sa participation à la 9e Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD 9), qui se tient du 20 au 22 août 2025 à Yokohama, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzri, a rencontré le président de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), Akihiko Tanaka.

À cette occasion, elle a proposé l’organisation d’un forum économique tuniso-japonais au cours de l’année 2026, soit en Tunisie, soit au Japon, et ce, afin de renforcer le partenariat bilatéral et d’explorer de nouvelles perspectives de coopération, notamment dans les domaines liés aux technologies émergentes. Ce projet s’inscrit dans le cadre des priorités de développement de la Tunisie pour la période 2026-2030, selon l’agence TAP.

Les deux responsables ont également passé en revue les projets en cours et qui sont financés par la JICA. Zenzri a saisi cette occasion pour souligner la nécessité d’évaluer ces programmes pour surmonter les obstacles identifiés, tout en évoquant la possibilité de lancer de nouvelles initiatives.

Concernant l’enseignement supérieur et la formation professionnelle, les deux parties sont convenues de renforcer la coopération, notamment à travers l’augmentation du nombre de bourses offertes aux étudiants tunisiens par le Japon, ajoute la même source.

La cheffe du gouvernement s’est félicitée de la qualité du partenariat avec la JICA et a plaidé pour un renforcement des échanges d’expertises et des sessions de formation spécialisées. Elle a mis en avant le potentiel des compétences tunisiennes, qui pourrait positionner la Tunisie comme un centre régional de coopération tuniso-japonaise

De son côté, Akihiko Tanaka a salué les résultats positifs des projets menés en Tunisie, estimant qu’ils constituent une base solide pour élargir la coopération à d’autres domaines.

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Gafsa : préparation de la caravane médicale militaire à Belkhir

Une réunion de travail s’est déroulée, mardi 19 aout, au gouvernorat de Gafsa pour préparer l’organisation d’une caravane médicale militaire gratuite dans la délégation de Belkhir, prévue le 7 septembre.

Présidée par le gouverneur Selim Frouja et réunissant les représentants de la santé militaire et de la direction régionale de la santé, la rencontre a permis de détailler le dispositif. Selon Taha Maatoug, directeur régional de la santé, la caravane couvrira 12 spécialités médicales, allant de la médecine générale à la pédiatrie, et mobilisera 32 cadres médicaux et paramédicaux, dont 16 médecins.

Installée dans un établissement scolaire, la caravane proposera des consultations gratuites, la distribution de médicaments, ainsi que des analyses médicales rapides. Des équipes de la santé publique et des ambulances assureront la prise en charge des cas urgents.

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Coopération Tunisie-Canada renforcée avec le nouvel ambassadeur

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu, mardi 19 aout, au siège du département, Alexandre Kofi Alain Joseph Bilodeau qui lui a remis une copie de ses lettres de créance en qualité d’ambassadeur du Canada en Tunisie.

Le ministre a indiqué que son département est prêt à collaborer avec le nouvel ambassadeur pour faciliter sa mission. Mohamed Ali Nafti a également réitéré la volonté de la Tunisie de consolider les relations historiques avec le Canada et de renforcer la coopération bilatérale dans différents domaines d’intérêt commun, notamment ceux des énergies renouvelables, de l’intelligence artificielle, des sciences et technologies, et du tourisme, sans oublier les domaines scientifiques et académiques qui constituent le « pilier de la coopération tuniso-canadienne ».

De son côté, l’ambassadeur Bilodeau a réaffirmé l’engagement du Canada à poursuivre et à élargir la coopération économique, commerciale, technique et scientifique, en capitalisant sur les programmes fructueux déjà menés conjointement.

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Les ressources en gaz naturel ont baissé de 9%

Les ressources en gaz naturel (production nationale + forfait fiscal) ont atteint 1 000 ktep à fin juin 2025, en recul de 9 % sur un an, selon l’Observatoire national de l’énergie et des mines (ONEM). La production du gaz commercial sec a diminué de 5 %, tandis que le forfait fiscal sur le transit du gaz algérien a reculé de 14 %, s’établissant à 424 ktep.

Les champs Hasdrubal et Nawara ont enregistré des baisses respectives de 11 % et 31 %, alors que le Gaz commercial du sud a progressé de 9 %. Les achats de gaz algérien ont, eux, augmenté de 23 % pour atteindre 1 290 ktep, portant l’approvisionnement national total à 2 302 ktep (+10 %).

La demande totale de gaz naturel a suivi la même tendance, avec une hausse de 10 % à 2 293 ktep-pci. Le secteur électrique reste le principal consommateur (69 %), suivi des usages finaux (+4 %). La consommation spécifique des moyens de production électrique a augmenté de 11 % sur un an, à 209 tep/GWh.

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Entretiens tuniso-jordaniens sur le partenariat et la Palestine

La Tunisie et la Jordanie ont réaffirmé, mardi 19 aout, à Tunis, leur soutien constant à la cause palestinienne et ont examiné les prochaines échéances bilatérales lors d’une rencontre entre le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, et l’ambassadeur de Jordanie à Tunis, Abdallah Abou Romman.

Ben Ayed a salué « les excellentes relations » entre la Tunisie et la Jordanie et « la diversité des domaines de coopération » entre les deux pays. Il a souligné l’importance d’une « bonne préparation des prochaines échéances bilatérales » afin de renforcer la coopération et consolider le partenariat au service des deux peuples.

Les deux responsables ont également évoqué l’évolution de la situation régionale, en particulier les attaques menées par l’occupation contre Gaza, et ont réaffirmé leurs efforts communs pour contrer « les plans visant à déraciner le peuple palestinien de sa terre », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

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Production nationale de pétrole en baisse de 9% à fin juin 2025 (Observatoire de l’Énergie)

La production nationale de pétrole brut a atteint 629 kt à fin juin 2025, en baisse de 9 % sur un an, selon le dernier rapport de l’Observatoire national de l’énergie et des mines (ONEM). La production journalière est passée de 29,6 à 27 mille barils.

La chute a touché la majorité des champs de production de pétrole brut, notamment Nawara (-54 %), Barka (-79 %), Ashtart (-19 %) et El Hajeb/Guebiba (-19 %). En revanche, certains gisements ont enregistré des hausses notables, tels que Gremda/El Ain (+179 %), Ezzaouia (+83 %) et D.S.T (+69 %).

Demande : légère hausse

La demande nationale de produits pétroliers a progressé de 1 %, atteignant 2248 ktep. Elle a été portée par l’essence (+2 %), le jet aviation (+3 %), le coke de pétrole (+3 %) et le GPL (+8 %). Les carburants routiers, qui représentent 63 % de la consommation totale, ont légèrement augmenté (+1 %).

À l’inverse, la part du fuel a reculé de 4 % à 3 % sur un an, tandis que le gasoil est resté quasi stable.

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Bourse : le marché termine en légère baisse (-0,1 %)

La Bourse de Tunis a clôturé en légère baisse, l’indice de référence perdant 0,1 % à 11 807,6 points, sur un volume réduit de 3,8 millions de dinars, selon Tunisie Valeurs.

TUNISIE LEASING ET FACTORING a signé la meilleure performance de la séance, gagnant 4,6 % à 31,8 D, pour un flux de 243 000 D. CIMENTS DE BIZERTE, sans transaction durant la séance, a progressé de 4,1 % à 0,510 D.

À l’inverse, BH LEASING a reculé de 4,3 % à 4,500 D, tandis qu’ESSOUKNA a perdu 3,8 % à 2,550 D, avec un flux de 55 000 D.

AMEN BANK a concentré le plus gros volume de la séance, représentant 21 % des échanges (813 000 D), et a terminé stable à 43 D.

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Tataouine : reprise des travaux au poste frontalier de Dehiba après 9 ans

Les travaux de réaménagement du poste frontalier de Dehiba, entre la Tunisie et la Libye, ont repris début août 2025, mettant fin à près de neuf années de suspension. Initialement lancé en 2016 et prévu pour 2017, le projet avait été interrompu à 80 % d’avancement en raison de divers obstacles.

Selon un responsable du poste, le chantier progresse désormais régulièrement sous la direction d’un nouvel entrepreneur, après l’obtention des autorisations administratives le 28 juillet 2025. La finalisation, prévue sur 420 jours, représente un investissement de 18,2 millions de dinars et vise à réorganiser le flux de passage : séparation des voies d’entrée et de sortie, et circuits distincts pour camions et véhicules légers.

Actuellement, le poste ne dispose que d’une seule voie, générant de longues files d’attente. La réhabilitation devrait améliorer la fluidité du trafic et renforcer la fonctionnalité du poste pour les déplacements transfrontaliers et le commerce bilatéral. Chaque jour, environ 1 200 voyageurs, 600 véhicules légers et 150 à 200 camions y transitent, soulignant son rôle stratégique dans le développement économique local.

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L’Irak commence à importer des produits de transport durables

Le ministère irakien des Transports a annoncé, le 18 août 2025, des négociations avec la Turquie pour importer des bus électriques, en plus d’élaborer des plans pour introduire des trains respectueux de l’environnement dans le projet de route de développement.

Le directeur des médias et des relations publiques du ministère, Maytham Al-Safi, a déclaré : « Le projet de route de développement est un investissement de développement global, et le port de Faw est la pierre angulaire du projet, car il sera la première station reliant l’Irak au monde, ainsi que l’Est à l’Ouest ».

Et d’ajouter : « Le port de Faw sera le terminal principal et devrait être le plus proche de l’Europe. Il est prévu d’ouvrir la première phase dudit port fin 2025 ou début 2026 », selon l’Agence de presse irakienne (INA).

Il a expliqué que des projets stratégiques existent dans le secteur des transports respectueux de l’environnement, notamment le projet de développement routier, et que des trains modernes et respectueux de l’environnement seront construits. Il a ajouté que ces trains seront électriques, conformément au système européen, ce qui contribuera à une amélioration qualitative du niveau de services en Irak…

Concernant la coopération avec le secteur privé, Al-Safi a souligné que « le ministère n’a aucune réserve quant aux partenariats avec le secteur privé, à condition que les droits du secteur public soient garantis ». Il a noté que « le ministère des Transports met en œuvre de nombreux projets avec le secteur privé, dont les plus importants sont la Société générale de gestion des transports privés et le Projet national de taxis, ainsi que des partenariats avec Iraqi Airways, les aéroports, les ports et d’autres acteurs ».

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Baisse de 8 % des ressources d’énergie primaire à fin juin 2025

Les ressources d’énergie primaire se sont situées à 1.8 Mtep à fin juin 2025, enregistrant ainsi une baisse de 8 % par rapport à la même période de l’année 2024.

Selon le rapport sur la conjoncture énergétique pour mai 2025, publié par l’Observatoire national de l’énergie et des mines, cette baisse est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 70 % de la totalité des ressources d’énergie primaire.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG et privée et autoproduction) reste timide et ne représente que 3 % des ressources primaires. La demande d’énergie primaire a enregistré entre fin juin 2025 et fin juin 2024 une hausse de 6 % : la demande du gaz naturel a augmenté de 10 % et celle des produits pétroliers a enregistré une légère hausse de 1 %.

La structure de la demande en énergie primaire a enregistré un léger changement, ajoute la même source, précisant que la part de la demande des produits pétroliers est passée de 51 % à fin juin 2024 à 49 % durant la même période de 2025. La part du gaz naturel a augmenté, par contre, de 48 % à fin juin 2024 à 50 % à fin juin 2025.

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître à fin juin 2025, un déficit de 2.8 Mtep, enregistrant ainsi une hausse de 17 % par rapport à fin juin 2024. Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, s’est situé à 38% à fin juin 2025 contre 44% à fin juin 2024.

Sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 29 % à fin juin 2025, contre 33 % durant la même période de 2024.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 38 % accompagnée par une baisse des importations en valeur de 15 %.

Le déficit de la balance commerciale énergétique est passé de 5 577 MDT à fin juin 2024 à 5 188 MDT à fin juin 2025, soit une baisse de 7 % (en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée).

Les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs à savoir les quantités échangées, le taux de change $/DT et les cours du Brent , qualité de référence sur laquelle sont indexés les prix du brut importé et exporté ainsi que les produits pétroliers, précise la même source.

Et de rappeler qu’ au cours du mois de juin 2025, les cours du Brent ont enregistré une baisse de 11 $/bbl par rapport au mois de juin 2024 : 82.6$/bbl en juin 2024 contre 71.5 $/bbl en juin 2025 et 64 $/bbl courant le mois de mai 2025.

Au cours de la même période, le Dinar tunisien a enregistré une baisse de 6% par rapport au Dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière.

Avec TAP

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Tunisie : réserves de change à 105 jours d’importation

Les réserves de change de la Tunisie ont atteint un niveau confortable de 105 jours d’importation, représentant un montant de 24,231 milliards de dinars à la date du 18 août 2025. Cette nette amélioration est principalement attribuable à la hausse des transferts des Tunisiens résidant à l’étranger, qui ont atteint environ 4,6 milliards de dinars au premier semestre 2025 (+8,2% par rapport à 2024), et à une croissance soutenue des recettes touristiques, évaluées à près de 3,899 milliards de dinars au 20 juillet.

Par ailleurs, les recettes en devises du pays affichent une croissance dans leur ensemble, enregistrant une hausse de 10,5% en dollars et de 9,3% en euros.

Le renforcement des réserves de change a également été favorisé par une baisse significative des importations de produits de base, réduisant la pression sur la balance commerciale. Selon l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), les importations d’huiles végétales ont chuté de plus de 30% fin juillet, à 349,4 millions de dinars, tandis que celles de sucre ont reculé de 36%, s’établissant à 175,3 millions de dinars. Sur les sept premiers mois de l’année, les importations de céréales ont diminué de 20,5%, générant une économie de devises d’environ 407 millions de dinars, dans un contexte de récolte nationale attendue à environ 20 millions de quintaux.

 

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