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Le temps est légèrement nuageux

Le ciel sera globalement peu nuageux, puis des orages locaux accompagnés de pluies se développeront dans l’après-midi sur les régions ouest du Centre et du Sud, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM). Des chutes de grêle sont également attendues de manière ponctuelle.

Le vent soufflera du secteur nord au Nord et au Centre, et du secteur est au Sud, avec une intensité relativement forte dans le Golfe de Tunis, tandis qu’il sera faible à modéré ailleurs. Dans l’après-midi, il se renforcera à l’extrême sud et localement sur les côtes Est, puis sous les orages, les rafales pourront temporairement dépasser 70 km/h.

La mer sera agitée dans le Golfe de Tunis et moutonneuse à localement agitée sur les côtes Est.

Les températures maximales varieront entre 30 et 35 degrés Celsius sur les régions côtières et les hauteurs, et entre 36 et 40 degrés dans le reste du pays.

Avec TAP

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Marche du PDL le 13 août à Tunis : mobilisation contre la violence et pour la libération des prisonnières politiques

Le Parti Destourien Libre (PDL) a annoncé, à l’issue de sa conférence de presse du 5 août 2025, l’organisation d’une « semaine de colère » en solidarité avec sa présidente, Abir Moussi. Celle-ci est détenue arbitrairement depuis octobre 2023 et mène une grève de la faim pour défendre les droits des femmes et protester contre la violence politique, morale et économique dont elle est victime, ainsi qu’en soutien aux prisonnières d’opinion.

Face à l’interdiction par les autorités d’une chaîne humaine prévue le 7 août devant l’Instance générale des prisons et de la réinsertion, ainsi que d’un sit-in les 9 et 10 août devant la prison civile de Bulla Regia , le PDL dénonce un double standard de la part des autorités.

Le parti rappelle également l’organisation d’une marche féminine le 13 août 2025, à l’occasion de la fête nationale de la femme, placée sous le slogan « Assez de violence contre les femmes ! » et « Liberté pour la prisonnière politique et toutes les prisonnières d’opinion ». Le cortège partira à 9h du gouvernorat de Tunis (rue Habib Thameur) pour rejoindre le ministère de la Femme, où une manifestation ouverte à tous est prévue.

Le PDL informe avoir accompli toutes les démarches légales nécessaires pour ces événements et appelle les autorités à assurer la sécurité des manifestants, faciliter leur accès aux lieux et garantir le bon déroulement des actions sans entrave.

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L’UGTT organise une marche le 21 août et menace une grève générale après l’attaque de son siège

L’Union générale tunisienne du travail (UGTT) organisera un rassemblement national place Mohamed Ali, suivi d’une marche pacifique sur l’avenue Bourguiba, le jeudi 21 août prochain. Cette mobilisation fait suite à l’agression de son siège, attribuée par la centrale syndicale à des « partisans du pouvoir » scandant des slogans hostiles.

Dans un communiqué publié après sa réunion et relayé par « Echaab News », la commission administrative nationale de l’UGTT tient le pouvoir pour responsable de cette hostilité, réaffirmant son droit de poursuivre en justice les responsables. Elle met en garde contre toute récidive, qu’elle considère comme un « prélude à une spirale de chaos ».

La commission dénonce également une « campagne systématique de dénigrement » orchestrée par le pouvoir, accusant les syndicalistes de corruption dans une tentative populiste de discréditer l’UGTT.

Elle reste en session permanente pour suivre la situation et pourrait appeler à une grève générale lors du Conseil national prévu les 7, 8 et 9 septembre 2025, si le dialogue social ne reprend pas, que les accords ne sont pas respectés et que les violations des droits syndicaux persistent.

Enfin, l’UGTT appelle ses membres à renforcer leur unité et leur vigilance pour protéger l’organisation, son indépendance et les droits des travailleurs.

Avec TAP

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Tunisie – Près de 240 MDT alloués à la rénovation des écoles

En prévision de la rentrée scolaire 2025-2026, une enveloppe de 239 millions de dinars (MDT) sera affectée à la rénovation, la création et la maintenance des établissements scolaires publics. C’est ce qu’a annoncé le ministère de l’Education, lundi 11 août.

Ce montant s’inscrit dans le cadre du plan stratégique du ministère, placé sous le thème « Une école publique attractive ». Pour ce faire, un système numérique a été créé pour recenser et hiérarchiser les travaux à réaliser, dont la majorité est programmée pour être finalisée durant les vacances d’été.

Les projets concernent toutes les délégations régionales et incluent la construction de nouvelles écoles, l’ajout de salles de classe, la modernisation des espaces administratifs ainsi que l’amélioration des environnements pédagogiques.

En outre, le ministère prévoit la généralisation des laboratoires mobiles dans les collèges et lycées, afin d’améliorer les conditions d’apprentissage des élèves et de travail pour les enseignants.

À travers cet investissement, le département réaffirme sa volonté de consolider l’égalité des chances entre tous les élèves, quel que soit leur lieu de scolarisation.

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Taboubi face aux soupçons de corruption : Pas d’accusations sans preuves !

« Toute partie disposant de dossiers ou d’informations sur des soupçons de corruption visant l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ou ses dirigeants est appelée à saisir la justice », a souligné, ce lundi 11 août 2025, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi.

Dans une déclaration précédant le démarrage des travaux de la commission administrative extraordinaire de l’UGTT tenue à Tunis pour discuter des derniers développements, notamment suite à l’attaque ayant ciblé l’organisation syndicale jeudi dernier, Taboubi a assuré que « l’UGTT n’est pas au-dessus de la loi ».

Le secrétaire général de la centrale syndicale a affirmé que le bureau exécutif accepte la critique constructive, mais rejette « la diffamation et les fausses accusations».

Le responsable syndical a dénoncé la campagne de dénigrement et de diabolisation menée contre des dirigeants de l’UGTT rappelant que les manifestants rassemblés, jeudi dernier, devant le siège de la centrale ont tenté de faire intrusion aux locaux de l’organisation et ont brandi des slogans hostiles revendiquant le gel de son activité.

Autorisations de manifester : l’UGTT dénonce le « deux poids, deux mesures »…

A cette occasion, Taboubi a rappelé le rôle historique de l’UGTT dans le mouvement national et la lutte pour l’indépendance, soulignant qu’elle a été fondée sur « l’esprit patriotique et le sens des responsabilités ».

Il a, en outre, critiqué « le deux poids, deux mesures » dans la délivrance des autorisations de manifestations, affirmant que parfois les activités de l’UGTT ne sont pas autorisées alors que « la voie reste libre » pour ses opposants.

Sous-traitance

Taboubi a souligné que l’UGTT a longtemps revendiqué la suppression de la sous-traitance et défendu les droits des travailleurs en situation précaire notamment les enseignants suppléants et les docteurs chômeurs.

La grève n’est pas une fin en soi, mais…

Déplorant l’absence de dialogue avec le gouvernement, il a réaffirmé que la grève n’est pas une fin en soi pour l’UGTT, mais un moyen de pousser à la négociation. « Plus de 97 % des préavis de grève dans le secteur public ont abouti à des solutions avant leur exécution », a-t-il précisé, accusant toutefois les autorités de chercher aujourd’hui « à forcer l’escalade pour affaiblir l’Union ».

Au-delà de l’UGTT…

Selon lui, les campagnes visant les dirigeants syndicaux s’inscrivent dans une tentative plus large de « museler les composantes de la société civile ».

Il a assuré que l’UGTT continuera à défendre les droits et les libertés « dans le respect de la loi, des institutions de l’État et dans le rejet de la violence » signalant que la commission administrative nationale prendra les décisions appropriées pour riposter.

Avec TAP

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Face à la campagne de dénigrement la visant, l’UGTT répondra par une grève

La grève figure parmi les mesures que pourrait adopter l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) pour répondre à la campagne de dénigrement dont elle fait l’objet, ainsi qu’à l’attaque survenue jeudi dernier. C’est ce qu’a indiqué, lundi 11 août, Sami Tahri, secrétaire général adjoint de la centrale syndicale.

Tahri a précisé que toute décision éventuelle sera prise par la commission administrative extraordinaire, à l’issue de ses travaux.

« Consciente de la nécessité d’éviter toute confrontation dans un contexte national délicat, l’UGTT agira avec responsabilité et prendra les décisions qui s’imposent », a-t-il affirmé devant des journalistes en marge de l’ouverture des travaux de ladite commission à Tunis.

Il a également rappelé le rôle historique joué par la centrale syndicale en 2012, notamment à travers son initiative du dialogue national, qui avait permis de désamorcer la crise politique et d’éviter l’escalade.

Jeudi dernier, des manifestants s’étaient rassemblés sur la Place Mohamed Ali, devant le siège de l’UGTT à Tunis, réclamant la suspension de ses activités et scandant des slogans hostiles à ses dirigeants. D’après l’organisation syndicale, certains d’entre eux auraient tenté de pénétrer dans ses locaux.

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Le marché boursier a terminé la séance du lundi 11 août en petite forme, avec une baisse du Tunindex de 0,01 % à 11 863,37 points dans un volume réduit de seulement 2,4 millions de dinars (MDT).

Le titre SOTUMAG s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 24 mille dinars, l’action a signé une avancée de 5,7 % à 8,030 DT.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre MAGASIN GENERAL a figuré parmi les plus fortes hausses de la séance. L’action a inscrit une hausse de 4,4 % à 7,660 DT.

Le titre SOTETEL s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste des réseaux de télécommunications a reculé de 6 % à 5,800 DT. La valeur a drainé un volume global de 192 mille dinars sur la séance.

Toujours au registre des baisses, le titre MPBS a régressé de 2,3 % à 8,200 DT. L’action du spécialiste des panneaux de bois a amassé un flux limité de 12 mille dinars sur la séance.

Le titre UNIMED a chapeauté le palmarès des échanges. L’action du fleuron national des produits stériles a progressé de 1,6 % à 9,530 DT, en alimentant le marché avec des capitaux de 542 mille dinars.

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Maroc – Tourisme : 600 millions de dollars pour booster l’attractivité

Le gouvernement marocain a alloué 600 millions de dollars au développement des attractions touristiques. Et ce, non seulement en créant de nouvelles installations, mais aussi en améliorant l’hospitalité hôtelière et en organisant des visites culturelles pour les visiteurs.

La plateforme espagnole Travel and Tour World, spécialisée dans l’actualité des voyages et du tourisme, a rapporté dimanche 10 août que le Maroc a accueilli 8,9 millions de touristes au cours des six premiers mois de 2025. Soit une augmentation de 19 % par rapport à la même période de 2024.

Les revenus du tourisme au Maroc ont également augmenté pour atteindre 54 milliards de dirhams (environ 5,15 milliards de dollars) au premier semestre 2025. Ce qui correspond à une croissance de 10 %, selon le site marocain Al Oumk.

Travel and Tour World explique que les expatriés marocains sont un facteur clé de la demande touristique, représentant 52 % des arrivées.

Toujours selon la plateforme, le Maroc vise à accueillir 26 millions de visiteurs d’ici 2030, en s’appuyant sur sa dynamique actuelle et sur l’organisation prochaine d’événements majeurs, notamment la Coupe d’Afrique des Nations et la Coupe du Monde de la FIFA 2030.

Le gouvernement marocain a également lancé sa « Feuille de route du tourisme 2023-2026″. Laquelle vise à améliorer l’expérience des visiteurs dans tous les aspects. Et ce, en investissant dans des infrastructures modernes, en agrandissant les aéroports de Marrakech et de Casablanca. Tout en améliorant la qualité des services hôteliers, des activités culturelles et des aventures touristiques.

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Quand la Méditerranée sera-t-elle touchée par un tsunami ?

Posée ainsi, cette question est qualifiée en grammaire d' »interrogation totale ». Comprendre par-là qu’il est certain qu’un tsunami aura bien lieu en Méditerranée. Par contre, on ne sait pas quand.

Le site Santé Journal des Femmes explique : « La Méditerranée est une mer fermée où l’activité tectonique est bien réelle. Le contact entre la plaque africaine et la plaque eurasienne, notamment dans sa partie orientale, peut entraîner des mouvements sismiques sous-marins susceptibles de provoquer des vagues inhabituelles. Ces événements géologiques restent très rares, mais bien documentés, comme ceux enregistrés en 1887 ou plus récemment en 2003 ». Dans le cadre d’un programme coordonné par l’UNESCO, des chercheurs ont récemment analysé le risque de tsunami dans cette région à partir d’un catalogue historique d’événements marins, rapporte la même source. « Ils se sont appuyés sur une échelle d’intensité en 12 niveaux et sur des modèles mathématiques comparables à ceux utilisés pour les séismes. L’objectif : évaluer la probabilité de survenue d’un événement de ce type à l’échelle régionale, indépendamment de la hauteur des vagues ».

Leurs travaux ont été publiés dans la revue Pure and Applied Geophysics. Ils estiment une probabilité qu’une vague de plus d’un mètre déferle sur les côtes de la Méditerranée dans les trente prochaines années « proche de 100 % ».

La partie de la  Méditerranée la plus exposée serait son bassin oriental, notamment la Grèce, la Turquie, Chypre, ou encore le Liban. « Une période de survenue estimée entre 2045 et 2054 est évoquée dans le cadre de simulations probabilistes; sans qu’il s’agisse d’une prédiction géologique formelle ».

A rappeler que Centre d’alerte aux tsunamis (CENALT) en France, rattaché au CEA, est chargé de la surveillance sismique et marine. « Des outils technologiques comme les marégraphes ou les balises GNSS sont utilisés pour observer d’éventuelles anomalies ». Mais d’autres systèmes d’alerte, notamment pour transmettre rapidement des informations aux autorités locales en cas d’activité inhabituelle, sont également testés par d’autres pays.

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Égypte : l’inflation chute à 13,9 % en juillet

L’inflation annuelle des prix à la consommation en milieu urbain en Égypte est tombée à 13,9 % en juillet contre 14,9 % en juin. C’est ce qu’il ressort des données de l’agence officielle égyptienne des statistiques (CAPMAS – pour Central Agency for Public Mobilization and Statistics), telles que publiées dimanche 10 août.

Les prix des aliments et des boissons en zone urbaine ont enregistré une baisse globale de 3 % par rapport à juin 2025. Mais ils sont en hausse de 3,4 % comparativement à juillet 2024 en Égypte.

Sur une base mensuelle, l’inflation urbaine a légèrement reculé de 0,5 % en juillet par rapport au mois précédent. Et ce, principalement en raison de la diminution des prix de la viande et de la volaille (-4,9 %), des fruits (-11 %) et des légumes (-7 %). À l’inverse, les prix du pain et des céréales ont progressé de 0,4 % et ceux des produits de la mer de 0,2 %.

L’inflation annuelle en Égypte a fortement chuté depuis le record historique de 38 % atteint en septembre 2023. Une baisse favorisée par un plan de soutien financier de 8 milliards de dollars conclu avec le Fonds monétaire international (FMI) en mars 2024.

L’inflation sous-jacente, qui exclut les produits volatils tels que les carburants et certains types d’aliments, a toutefois progressé à 11,6 % sur un an en juillet; contre 11,4 % en juin, indique la Banque centrale.

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Microsoft complice à son insu du génocide à Gaza ?

200 millions. C’est notre chiffre du jour et il fait froid dans le dos. Et c’est le nombre « d’heures d’appels interceptés à Gaza et en Cisjordanie » qui auraient été stockées sur des serveurs Microsoft avant d’être utilisées par l’armée israélienne.

C’est en tout cas ce qui ressort d’une enquête menée conjointement par The Guardian et le média israélien Local Call et publiée le 6 août 2025, rapporte Midi Libre.

De son côté, reprenant l’enquête, 20 Minutes écrit : « En tout, ce sont 11 500 téraoctets de données militaires israéliennes, soit environ 200 millions d’heures d’audio qui ont été collectées ».

Alors, qu’est-ce qui incrimine Microsoft dans cette affaire ? L’enquête souligne que cela fait quelques années déjà que l’État hébreu contrôle les infrastructures de télécommunications lui permettant d’intercepter les appels palestiniens. Ainsi, ajoute l’investigation, « l’opération entre le PDG de Microsoft et l’agence de surveillance militaire aurait été actée en 2021 ».

L’enquête révèle que « les données amassées auraient servi à planifier des bombardements sur Gaza et servir de base à des arrestations et autres opérations militaires en CisjordanieCe stockage représenterait l’une des plus vastes et des plus intrusives collections de données de surveillance d’un même groupe de population au monde ».

Comme souvent dans pareil cas, la firme fondée par Bill Gates affirme ne pas avoir eu connaissance de la nature des fichiers détenus dans cet espace de stockage, assurant toutefois « faire un effort en interne pour réexaminer la manière dont ils sont utilisés par l’armée israélienne dans le cadre géopolitique actuel ».

Pour rappel, la multinationale a bloqué les e-mails contenant les mots « Gaza » et « Génocide ».

Mais contrairement à McDonald’s ou d’autres produits américains liés à Israël, là il est difficile, voire carrément impossible de boycotter Microsoft. Sinon, pour le remplacer par quoi ?

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Les entreprises américaines rachètent pour 984 milliards de dollars d’actions

Les entreprises américaines rachètent leurs actions à un rythme record, dans un contexte de bénéfices solides et de flux de trésorerie massifs, propulsant les indices boursiers américains vers des sommets.

Les entreprises américaines ont annoncé 983,6 milliards de dollars de rachats d’actions depuis le début de l’année, soit le chiffre le plus élevé pour un début d’année depuis 1982, selon les données de Birinyi Associates. Ces rachats devraient dépasser 1 100 milliards de dollars d’ici fin 2025, un nouveau record, indique une enquête du Wall Street Journal publiée dimanche 10 août.

Les grandes entreprises technologiques, comme Apple et Alphabet (la société mère de Google), sont en tête de liste des entreprises ayant acheté le plus d’actions, aux côtés de banques géantes comme JPMorgan, Bank of America et Morgan Stanley.

En mai, Apple a annoncé un plan de rachat d’actions de 100 milliards de dollars, malgré les avertissements selon lesquels les droits de douane auraient un impact sur les coûts de production. Alphabet a lancé un programme de 70 milliards de dollars, tandis que JPMorgan a promis 50 milliards de dollars d’achats d’actions, Bank of America 40 milliards de dollars et Morgan Stanley 20 milliards de dollars.

Entre regain de confiance et craintes d’inflation des prix

Les analystes estiment que cette évolution reflète la confiance des entreprises dans leurs performances financières, la plupart des sociétés du S&P 500 ayant dépassé les attentes au deuxième trimestre. Cependant, certains avertissent que cette vague pourrait contribuer à des valorisations boursières excessivement élevées, notamment dans le contexte des tensions commerciales et des politiques tarifaires susceptibles d’impacter les bénéfices futurs.

« Les entreprises affichent une excellente santé financière, même avant la publication de solides résultats », a déclaré Jeffrey Rubin, président de Birinyi Associates. « La situation est meilleure qu’elle n’y paraît. »

Warren Buffett hors course…

En revanche, le célèbre investisseur Warren Buffett a choisi d’adopter une approche attentiste, sa société Berkshire Hathaway n’ayant effectué aucun achat d’actions au cours du deuxième trimestre, pour la quatrième fois consécutive, malgré la détention de 344 milliards de dollars en liquidités.

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, a également mis en garde contre les rachats excessifs, appelant à un équilibre entre les rendements rapides et les investissements à long terme.

Malgré la controverse, de nombreux analystes estiment que cette vague continuera de soutenir les marchés, notamment grâce à la bonne performance des sociétés cotées. Bill Fitzpatrick, de Logan Capital Management, a déclaré : « Ces achats reflètent la bonne santé financière du consommateur américain. Ce qui est un indicateur positif pour l’économie. »

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Intégration des sous-traitants du service postal : situation en attente

Une dizaine d’agents sous-traitants du service postal ont organisé une manifestation devant le ministère des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Objectif : exprimer leur attente prolongée concernant leur intégration officielle. Cette revendication fait suite à une décision favorable du président de la République.

L’un des porte-parole présents, Mohamed Saidani, a fait savoir dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com que ces agents, dont l’ancienneté varie de six mois à vingt ans, ont soumis l’ensemble des documents requis et suivi les démarches administratives. Ils assurent des missions essentielles, notamment des chauffeurs couvrant l’ensemble du territoire national, souvent dans des conditions difficiles.

Malgré la reconnaissance de leur statut par la commission liée au travail, les autorités n’ont pas encore mis en œuvre les mesures d’intégration prévues. Cette situation engendre une incertitude professionnelle, des tensions sociales et des difficultés économiques pour les agents concernés. Le ministère des Affaires sociales a été informé, mais aucun progrès tangible n’a été communiqué à ce jour. Par ailleurs, la question du cadre juridique régissant la sous-traitance dans ce secteur reste à clarifier.

Les agents demandent une réponse claire et rapide des autorités afin de sécuriser leur statut, leurs droits et d’assurer leur stabilité professionnelle.

Nous avons tenté de joindre le ministère des TIC, en tant qu’instance responsable du secteur, qui  est sollicité pour intervenir, accélérer le processus et établir un cadre réglementaire approprié. Nous attendons leur réponse..

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QNB Tunisia s’engage pour la protection des océans à travers la campagne internationale du Groupe QNB « Le Pacte Bleu »

Dans le cadre de l’initiative internationale « Le Pacte Bleu » lancée par le Groupe QNB, QNB Tunisia a organisé une série d’activités de sensibilisation à l’importance de la protection de l’environnement marin, dédiées aux enfants des collaborateurs de la banque.

Placée sur le thème « Les Petits Gardiens de la Mer », cette action vise à éveiller dès le plus jeune âge une conscience écologique, à travers des ateliers ludiques et créatifs conçus pour stimuler l’imagination des enfants. Et ce, tout en les sensibilisant aux enjeux environnementaux marins.

Encadrés par des spécialistes de l’association « Abysse Plongée », les enfants ont participé à des activités éducatives et artistiques, réalisant de magnifiques œuvres inspirées du monde marin. Ces moments de partage ont permis d’explorer, de manière pédagogique, les défis liés à la préservation des océans et à la protection de la biodiversité marine.

Le point fort de l’événement fut la signature symbolique du Pacte Bleu par les enfants, marquant leur engagement à adopter des gestes simples mais significatifs pour la sauvegarde de l’environnement marin. Par ce geste, ils deviennent de véritables ambassadeurs de demain, porteurs d’un message fort en faveur de la planète.

D’après communiqué

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Salma Baccar : « J’espère que nous ne reviendrons jamais en arrière »

Aujourd’hui, les outils du monde virtuel sont à double tranchant. D’un côté, ils représentent une forme incontournable d’évolution à l’échelle internationale, servant aussi bien d’expression que de transmission de valeurs et de pensées. Mais d’un autre côté, ils peuvent rapidement devenir des instruments de violence. Dans certains courts-métrages, des filles sont agressées via des messages qui peuvent briser quelqu’un, voire le conduire au suicide. Comme nous l’avons encore vu lors de la cérémonie de clôture du concours vidéo pour sensibiliser les jeunes à la cyberviolence contre les femmes. Lequel avait lieu le jeudi 7 août 2025. Il était organisé par le Conseil de l’Europe, en partenariat avec le Ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Seniors. Rencontrée lors de cet événement, Salma Baccar, la réalisatrice et la présidente du Syndicat indépendant des réalisateurs-producteurs (SIRP) estime que les paroles blessantes sont particulièrement dangereuses. Elle précise dans ce contexte : « Si une personne manque de force intérieure ou de maturité pour résister, cela devient très difficile. C’est un réel piège. On pourrait penser qu’il suffit de bloquer l’agresseur; mais cela demande une lucidité que n’ont pas forcément les jeunes. Surtout à un âge où ils sont vulnérables. Contrairement aux adultes, qui peuvent rire de telles remarques, les jeunes ne disposent pas toujours d’outils de défense. Et ces attaques peuvent conduire à la dépression, voire au suicide, comme cela a malheureusement été le cas. On a ainsi entendu parler de jeunes écolières qui se sont suicidées. L’enquête révélant que la clé se trouvait dans leur téléphone, là où elles étaient agressées. »

Par ailleurs, elle a aussi évoqué la violence conjugale, qui est une autre forme importante de violence, notamment psychologique. Pour changer cela, il faut avant tout briser le mur du silence. Salma Baccar souligne à cet effet : « C’est une étape cruciale, que ce soit pour les femmes battues ou pour les jeunes filles harcelées qui ont peur d’en parler, même à leurs parents. C’est ce silence qui est le plus dangereux. Une fois ce mur brisé, la moitié du combat est déjà gagné. Malheureusement, certaines victimes ont tendance à se culpabiliser, alors qu’elles sont les victimes et non les coupables. Ce manque de prise de conscience doit être combattu : il faut dire que cette agression est celle de l’autre, jamais la faute de la victime. Ce message doit provenir aussi bien de la famille, de l’éducation à l’école, que des médias, même à travers de petites initiatives modestes comme celles que nous avons vues aujourd’hui. »

Quant au message adressé en ce 13 août,  à l’occasion de la Journée nationale de la femme tunisienne, elle conclut : « J’espère que nous ne reviendrons jamais en arrière. Il est essentiel que les lois continuent d’évoluer grâce à des actions sociales et culturelles qui sensibilisent autant les hommes que les femmes. Une société ne peut prétendre à la démocratie ni à la liberté si la moitié de sa population est privée de parole. »

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Le pétrole chute en prévision de la rencontre Trump-Poutine

Les prix du pétrole ont chuté, lundi 11 août 2025, dans les échanges asiatiques, prolongeant leurs pertes de plus de 4 % la semaine dernière. Et ce, alors que les investisseurs attendent l’issue des discussions entre les États-Unis et la Russie prévues le 15 août en Alaska.

Les contrats à terme sur le brut Brent ont chuté de 33 cents, soit 0,5 %, à 66,26 dollars le baril. Tandis que les contrats à terme sur le brut américain West Texas Intermediate (WTI) ont chuté de 39 cents à 63,49 dollars le baril.

Les attentes d’une éventuelle fin des sanctions qui ont restreint l’approvisionnement en pétrole russe sur les marchés mondiaux ont augmenté. Et ce, après que le président américain Donald Trump a déclaré qu’il rencontrerait son homologue russe, Vladimir Poutine.

Cette décision intervient alors que les États-Unis intensifient leur pression sur la Russie, évoquant la possibilité de nouvelles sanctions contre Moscou si un accord de paix n’est pas conclu.

« Si les pourparlers de paix échouent et que le conflit s’éternise, le marché pourrait rapidement monter en flèche. Ce qui pourrait entraîner de fortes augmentations des prix du pétrole ». C’est ce qu’a déclaré Sugandha Sachdeva, fondateur de SS Wealth Street, un cabinet de recherche basé à New Delhi.

Sous l’influence de prévisions économiques sombres, le brut Brent a chuté de 4,4 % au cours de la semaine se terminant vendredi. Tandis que le brut West Texas Intermediate a chuté de 5,1 %.

« L’orientation à court terme dépendra de plusieurs événements clés. Avec notamment la rencontre entre les présidents américain et russe le 15 août. Mis aussi les déclarations des responsables de la Réserve fédérale et la publication des données de l’IPC américain », conclut M. Sachdeva.

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La prochaine baisse des taux d’intérêt de la BCE aura lieu décembre

Les responsables de la Banque centrale européenne (BCE) devraient attendre jusqu’en décembre, pour procéder à une nouvelle baisse des taux d’intérêt. Laquelle sera probablement la dernière mesure. C’est ce que révèlent les résultats d’une enquête Bloomberg publiés ce lundi 11 août.

Plus précisément, les économistes réduisent de trois mois leurs prévisions de nouvelle baisse des coûts d’emprunt, par rapport à une enquête réalisée en juillet dernier. Selon leurs estimations, le taux de dépôt restera à 1,75 % pendant neuf à dix mois; avant que la BCE ne décide de changer de cap et d’inverser sa politique monétaire.

Les responsables de la BCE ont indiqué à plusieurs reprises qu’ils adoptaient une approche attentiste. Et ce, pour évaluer l’impact des tarifs douaniers de Donald Trump sur l’économie.

Ainsi, d’ici décembre 2025, les décideurs politiques de la zone euro auront un aperçu des performances de l’économie au troisième trimestre. Car les nouvelles prévisions leur offriront un premier « avant-goût » des tendances de croissance et d’inflation.

Mais aux États-Unis, les messages sont similaires. En effet, la Fed adopte une position attentiste jusqu’à présent cette année.

A cet égard, notons que la BCE a maintenu ses taux d’intérêt inchangés le mois dernier. Et ses responsables ont depuis déclaré qu’il n’était guère nécessaire de procéder à de nouvelles baisses, du moins pour l’instant. Les traders ont revu à la baisse leurs prévisions des taux en septembre. Tout en estimant désormais à un peu plus de 50 % la probabilité d’une baisse de 25 points de base d’ici la fin de l’année.

Si les décideurs politiques ne saisissent pas l’occasion d’agir à nouveau en décembre; les marchés financiers pourraient conclure que la BCE en a fini avec la baisse des taux d’intérêt.

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Un sommet en Alaska, pour quoi faire ?

Russes et Américains se sont mis d’accord pour la tenue d’un sommet sur la guerre d’Ukraine le 15 août prochain aux Etats-Unis, plus précisément en Alaska. Le sommet et l’endroit choisis pour le tenir en ont étonné plus d’un.

Le sommet ne va pas avoir lieu au cœur du territoire américain, mais sur une portion lointaine qui faisait partie de la Russie jusqu’en 1867, année où le tsar Alexandre II vendit ce bout de territoire, plusieurs milliers de kilomètres loin de Moscou, pour la modique somme de 7,200 millions de dollars. Donc, en se déplaçant pour le sommet, Poutine ne sera qu’à 85 kilomètres loin de son pays, soit la largeur du détroit de Béring qui sépare le territoire russe des Etats-Unis.

La tenue d’un tel sommet a-t-elle un sens ? C’est la question que se posent la plupart des observateurs. Tout d’abord, il faut préciser qu’un sommet qui mérite son nom est un processus qui prend des semaines, voire des mois de préparation entre les deux délégations concernées, composées des ministres des Affaires étrangères et des experts de chaque partie. Ceux-ci discutent en profondeur les aspects politiques et techniques, arrondissent les angles des différends avant de rédiger une version finale de l’accord. C’est seulement à ce stade que les deux chefs d’Etat se réunissent en sommet non pas pour discuter, mais pour apposer leurs signatures.

Or, le sommet de l’Alaska est l’un des plus bizarres de l’Histoire proche ou lointaine. Il a été décidé juste quelques jours après que Trump eut donné à Poutine « un ultimatum de 50 jours pour arrêter la guerre », avant qu’il ne change aussitôt d’avis, affirmant « 50 jours, c’est beaucoup, je lui donne 10 ou 12 jours » !

Quelques jours après, oubliant son « ultimatum raccourci », Trump envoie son représentant Witkoff à Moscou pour rencontrer Poutine. Après cette rencontre, le monde apprend que Trump et Poutine se rencontreront bientôt. Après deux jours d’incertitude sur le lieu de la rencontre, on apprend que le sommet aura lieu le vendredi 15 août en Alaska.

On imagine l’état de choc des élites gouvernantes européennes lorsqu’elles ont appris la nouvelle. Un choc d’autant plus dur que Trump a accepté la condition de Poutine d’exclure de la rencontre le président ukrainien Zelensky.

La plus forte déception est ressentie en Grande-Bretagne, ennemie historique de la Russie. Une déception et une mise en garde exprimées dans un éditorial du quotidien londonien le Daily Telegraph du 9 août en ces termes : « M. Trump ne doit pas prendre le risque de tomber dans le piège des compromis pour une paix décidée à la hâte. Poutine pourrait penser que la guerre d’usure joue en sa faveur. La ligne qui ne doit pas être franchie est que les Etats-Unis acceptent de conclure un accord qui serait favorable pour Poutine et intolérable pour Zelensky. Le prix de cette guerre est terrible, mais une paix injuste serait pire que sa continuation ».

On ne peut pas être plus clair. La Grande-Bretagne, depuis la désastreuse intervention en avril 2022 de son Premier ministre d’alors, Boris Johnson, pour faire échouer l’accord d’Istanbul jusqu’à aujourd’hui, reste la principale force hostile à toute tentative visant à mettre fin au conflit; malgré les terrifiantes pertes humaines subies par l’Ukraine.

L’entourage de Trump n’est pas moins hostile que les Britanniques à tout arrêt de la guerre tant que la Russie est avantagée sur le terrain. On peut légitimement se demander si le président américain a les mains libres pour conclure un accord avec Poutine qui serait inacceptable non seulement pour les Ukrainiens et les Européens, mais aussi pour les néoconservateurs influents dans son entourage, dans le parti républicain et au sein du Congrès. Ceci d’une part.

D’autre part, il est hautement improbable que Poutine fasse la moindre concession ou accepte un cessez-le feu qui ne répondrait pas aux conditions de la Russie qui a la haute main sur le terrain. D’où la question qui se pose avec insistance : un sommet en Alaska, pour quoi faire ?

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Le monde artistique perd un grand maître : Fadhel Jaziri

Le monde artistique est en deuil. Fadhel Jaziri, réalisateur, metteur en scène et figure emblématique de la scène culturelle tunisienne, s’est éteint ce lundi 11 août 2025, après un long combat courageux contre la maladie.

« Malheureusement, l’artiste n’a pas eu le temps de voir aboutir son projet majeur, le Centre des Arts de Djerba, qui, bien que toujours en construction, s’est déjà imposé comme un véritable laboratoire de création et d’innovation artistique ». Ainsi a déclaré son ami proche Fathi Kharrat, en annonçant son décès ce matin.

Il a ajouté : « Malgré son absence physique, Fadhel Jaziri a offert une dernière fois son talent au public à travers son spectacle « Jranti al-‘Aziza », présenté dimanche soir au théâtre en plein air de Hammamet. Ce fut une soirée élégante et mémorable, à l’image de la personnalité noble et passionnée du défunt. »

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