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CPI : rejet de la demande israélienne de suspendre les mandats d’arrêt contre Netanyahou et Gallant

La Cour pénale internationale (CPI) a rejeté la demande d’Israël visant à annuler ou suspendre les mandats d’arrêt émis contre le Premier ministre Benjamin Netanyahou et l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant.

Cette décision intervient malgré les contestations d’Israël, qui conteste la compétence de la Cour et considère ces mandats comme illégaux et infondés. La chambre d’appel de la CPI a estimé que la requête israélienne ne reposait sur aucun fondement juridique solide, refusant ainsi de suspendre les mandats délivrés pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre présumés à Gaza.

Le maintien de ces mandats constitue une étape importante dans la procédure judiciaire internationale, obligeant théoriquement tous les États parties à la CPI à arrêter Netanyahou et Gallant s’ils se présentent sur leur territoire, bien qu’Israël ne soit pas membre de la Cour et en rejette la juridiction.

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Rencontre du Groupe parlementaire avec le ministère des AE sur les relations avec l’Amérique

Le Groupe de coopération parlementaire avec les pays du continent américain a tenu ce mercredi 16 juillet, une séance de travail avec les représentants du ministère des Affaires étrangères, chargés des dossiers de coopération avec ces pays.

À cette occasion, Sawsen Mabrouk, vice-présidente de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), a souligné que cette rencontre visait à renforcer la coordination entre le Parlement et le ministère des Affaires étrangères, dans un esprit de complémentarité entre les pouvoirs législatif et exécutif. Elle a insisté sur la nécessité d’assurer une cohérence entre la diplomatie parlementaire et la diplomatie officielle.

De leur côté, les représentants du ministère ont rappelé que le département des Affaires étrangères constitue l’organe exécutif de la politique extérieure, définie par le président de la République. Cette politique repose sur les principes fondamentaux de la diplomatie tunisienne : souveraineté nationale, indépendance de décision, coopération basée sur le respect mutuel et non-ingérence dans les affaires internes des États.

Ils ont mis en avant le rôle stratégique des États-Unis en tant que partenaire commercial historique de la Tunisie et marché porteur pour ses exportations, qui ont atteint 2 013,5 millions de dinars. Les relations tuniso-américaines couvrent plusieurs domaines stratégiques. Sur le plan académique, ils ont reconnu une diminution des bourses américaines accordées aux étudiants tunisiens, tout en précisant que les efforts diplomatiques ont permis à la Tunisie de réintégrer plusieurs programmes de coopération universitaire.

La coopération tuniso-canadienne a également été mise en lumière, notamment dans les domaines de l’enseignement supérieur, de l’autonomisation des femmes et de la formation professionnelle. Les représentants du ministère ont insisté sur l’importance de renforcer la présence économique et culturelle tunisienne au Canada, via une participation accrue aux salons et événements, ainsi que par la signature de nouveaux mémorandums d’entente. Ils ont salué le rôle du Comité d’appui à la coopération tuniso-canadienne, composé de membres de la diaspora tunisienne, dans le développement des relations bilatérales.

Par ailleurs, l’état des relations avec les pays d’Amérique latine a été présenté. Le ministère a souligné le potentiel économique de cette région, notamment avec le Brésil et l’Argentine. Il a insisté sur la nécessité de relancer les exportations de phosphate vers le Brésil, ainsi que de développer la coopération avec des pays comme le Venezuela et Cuba, dans les secteurs de la santé, de la pharmacie, du sport et de l’enseignement supérieur.

De leur côté, les députés ont plaidé pour une diversification des partenariats internationaux et un élargissement des relations extérieures, en tenant compte des mutations de la carte économique mondiale. Ils ont appelé à s’ouvrir davantage à de nouveaux espaces, en particulier ceux qui soutiennent les causes justes.

Les parlementaires ont également abordé la question des taxes américaines sur les produits tunisiens et les difficultés rencontrées par la communauté tunisienne à l’étranger, du fait d’une représentation diplomatique jugée insuffisante.

Enfin, ils ont réaffirmé l’urgence de relancer la production et les exportations de phosphate, compte tenu de leur impact sur la balance commerciale et la coopération internationale, au service des intérêts stratégiques de la Tunisie.

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Mission économique prochaine en Afrique du Sud en octobre 2025 (CCIS)

Une mission économique multisectorielle sera organisée, du 21 au 26 octobre 2025, à Johannesburg et Durban en Afrique du Sud, à l’initiative de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Sfax (CCIS).

L’objectif de cette mission est « d’explorer de nouvelles opportunités d’affaires et de renforcer la coopération économique entre la Tunisie et l’Afrique du Sud. Organisée en collaboration l’Ambassade de Tunisie à Pretoria, cette mission se veut une opportunité permettant aux entreprises de développer leur réseau, d’identifier de nouveaux marchés et de concrétiser des partenariats stratégiques en Afrique du Sud », a indiqué la CCIS.

Y prendront part, des entreprises œuvrant dans les secteurs clés à savoir les produits agricoles et alimentaires (notamment l’huile d’olive, les dattes et les pâtes alimentaires), les engrais agricoles, les matériaux de construction, les composants automobiles, l’énergie, les technologies, les industries artisanales, le tourisme, les produits médicaux et paramédicaux et les produits chimiques.

Au programme figurent des rencontres institutionnelles, du 21 au 22 octobre à Johannesburg, avec les responsables des ministères sud-africains du Commerce, de l’Industrie et de la Concurrence, ainsi que le Ministère de l’Agriculture. Des rencontres B2B ciblées avec des entreprises locales sont prévues parallèlement, à des visites de sites stratégiques et d’entreprises économiques en vue de maximiser les opportunités d’affaires.

La délégation prendra part, du 23 au 25 octobre, à Durban, au « Kwazulu-Natal Investment Conference », un événement majeur regroupant plus de 1000 entreprises. Un espace d’exposition sera mis à disposition pour la présentation des échantillons des produits des participants. Le programme à Durban inclura, également, des visites de terrain et des rencontres B2B avec des entités clés régionales.

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Proposition de loi créant l’Instance des Affaires de l’État

Soixante-et-un députés issus de divers blocs parlementaires ont présenté, lundi 14 juillet, une proposition de loi organique portant création d’une instance juridictionnelle appelée « Instance des Affaires de l’État », composée de 68 articles répartis sur quatre axes.

Le texte de cette initiative législative a été publié ce mercredi 16 juillet, sur le site officiel de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), après que le bureau du Parlement a décidé de le transmettre à la Commission de la législation générale.

Selon les auteurs de la proposition, l’Instance des Affaires de l’État est définie comme une institution juridictionnelle dotée de la personnalité juridique, de l’autonomie administrative, financière et de l’autogestion, rattachée à la Présidence du gouvernement.

Elle remplacera la fonction actuelle du « chargé général du contentieux de l’État », désignation qui sera supprimée de toutes les dispositions législatives et réglementaires en vigueur.

L’article 5 de la proposition accorde à cette instance le pouvoir d’intenter des actions en justice devant les tribunaux et les instances en Tunisie comme à l’étranger, lorsque l’État ou les établissements publics à caractère administratif sont partie au litige.

L’article 14 lui confère une fonction consultative, en matière d’avis sur les textes législatifs, réglementaires et les conventions internationales qui lui sont soumis, ainsi que sur les propositions de modifications nécessaires.

Les articles 15 et 16 attribuent à l’instance les compétences en matière de conciliation et de médiation, tandis que l’article 20 lui donne le pouvoir d’exécuter les jugements et mandats d’exécution prévus par la loi.

L’article 24 précise la composition de l’instance, comprenant : le président de l’instance, les présidents des chambres juridictionnelles, les conseillers rapporteurs généraux, les conseillers rapporteurs en chef, les conseillers rapporteurs et les conseillers rapporteurs adjoints.

L’instance comprendra également un Conseil supérieur, un Comité d’inspection interne et un Secrétariat général.

Dans le document explicatif accompagnant la proposition, les députés soulignent que la personnification du chargé général du contentieux de l’État en tant que simple haut fonctionnaire, sans création d’une véritable institution dédiée, a empêché l’émergence d’une entité autonome.

Son rattachement au ministère des Domaines de l’État et des Affaires foncières, en tant que direction générale, aurait par ailleurs nui à sa mission de défense optimale des intérêts de l’État.

Ils affirment que cette initiative vise à remédier aux insuffisances actuelles, fruit d’une expérience accumulée sur près d’un demi-siècle dans la gestion du contentieux de l’État.

Ils précisent que l’octroi d’un statut juridictionnel à la nouvelle instance ne crée pas une juridiction parallèle à la justice civile, administrative ou financière, mais vise à affirmer clairement son rôle judiciaire et à améliorer son efficacité.

La proposition est accompagnée d’un tableau comparatif démontrant l’existence d’instances similaires spécialisées dans le contentieux de l’État, à caractère juridictionnel, dans plusieurs pays occidentaux et arabes, notamment les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie, le Liban, la Jordanie et l’Égypte.

 

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Abir Moussi alerte sur des « risques d’assassinat »

Abir Moussi, présidente du PDL, alerte l’opinion publique sur les graves atteintes à sa sécurité et à sa santé dans la prison de Jendouba, où elle est incarcérée.
Dans une lettre rendue publique, elle affirme être une cible prioritaire d’organisations hostiles, exposée à un risque d’assassinat « blanc », en raison d’un accès trop facile à sa cellule et d’un contexte sécuritaire dégradé.

Abir Moussi dénonce l’absence de mesures de protection adéquates et évoque des conditions pointe la surpopulation dans sa cellule exiguë, où sont entassées d’autres détenues, notamment, des migrantes originaires d’Afrique subsaharienne. Selon elle, cette promiscuité crée un risque sanitaire majeur, avec la possible propagation de maladies infectieuses.
Abir Moussi accuse les autorités de négligence délibérée, rappelant la levée de sa protection parlementaire en 2021. Elle demande à être transférée dans une cellule plus sécurisée (de type « Célabon ») et refuse d’être, selon ses termes, un bouc émissaire ou une victime politique annoncée.

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Bizerte : Journée d’information sur le projet d’aménagement du littoral à Bizerte-Est

Une journée d’information consacrée à l’étude du modèle directeur d’aménagement de la zone côtière à Bizerte-Est a été organisée, mercredi 16 juillet.

A cette occasion, le gouverneur de la région, Salem Ben Yaâcoub, a souligné que le projet d’aménagement de la zone côtière à Bizerte-Est, couvre les délégations de Zarzouna, Menzel Jemil, Ras Djebel, Gar El Meleh et Utique.

Il vise, a-t-il ajouté, à identifier les potentialités dont disposent ces régions, à partir d’études de cas et d’une réflexion collective, afin d’y créer un capital socio-économique tout en préservant leurs spécificités écologiques.

De son côté, la directrice générale de l’aménagement du territoire au ministère de l’Equipement, Basma Ksantini, a insisté sur la dimension participative dans l’élaboration de cette étude conçue comme une évaluation socio-économique du projet d’aménagement de la zone côtière à Bizerte-est.

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Démission de la députée Syrine Mrabet

 La députée, Syrine Mrabet, a annoncé, mercredi 16 juillet son départ de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP). Élue à Ezzouhour – Sijoumi, elle a adressé sa démission au président de l’ARP, invoquant des « raisons personnelles » qu’elle n’a pas mentionnées.

Syrine Mrabet, membre du bloc Al-Ahrar et responsable de la communication au bureau de l’ARP, s’est fait remarquer ces derniers mois par ses positions engagées sur des sujets sensibles, notamment la réforme de la loi électorale et l’accès des femmes à la cryoconservation d’ovocytes.

Son départ intervient alors qu’elle siégeait activement à la commission de la législation. Ancienne présidente du Club Olympique des Transports — première femme à diriger ce club historique — elle avait débuté son mandat parlementaire en 2023 avec une visibilité croissante, marquée par des interventions médiatisées.

Avant de quitter l’ARP, Syrine Mrabet s’était, en outre, distinguée par le retrait d’une proposition de loi relative à la création de la Cour constitutionnelle. Elle s’était par ailleurs prononcée en faveur de la rémunération des membres de la deuxième chambre, lors des discussions sur le budget de l’État.

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Le Centre national de santé publique lance un projet sur l’intégration du genre dans les données sanitaires

Le Centre national de santé publique a récemment annoncé le lancement d’un projet de recherche visant à intégrer l’approche du genre dans l’analyse des données sanitaires liées aux taux de prévalence des maladies et de mortalité en Tunisie. Ce projet est mis en œuvre en partenariat avec l’Institut national de nutrition et de technologies alimentaires, et avec le soutien de l’organisation internationale « Vital Strategies« .

Ce projet de recherche a pour thème « Analyse intégrée des disparités entre les sexes dans la prévalence des maladies, les taux de mortalité et les facteurs de risque en Tunisie ».

Il s’inscrit dans le cadre des orientations des politiques de santé modernes, qui tendent à formuler des politiques plus efficaces, en mettant l’accent sur la justice et l’efficience, grâce à l’adoption de données précises tenant compte des disparités structurelles entre les femmes et les hommes dans l’accès aux services de santé et dans la lutte contre les maladies, selon un communiqué du Centre.

Par ailleurs, le Centre a récemment organisé une session de formation intitulée « Analyse basée sur le genre dans l’élaboration des politiques », axée sur le renforcement des capacités des acteurs du domaine de la santé pour analyser les données d’un point de vue genre, comme étape fondamentale pour comprendre les disparités en matière de santé.

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La grève des agents de la pharmacie centrale annulée

La réunion de conciliation tenue, mercredi 16 juillet, au siège de l’administration générale de gestion des conflits du travail et de promotion des relations professionnelles a réuni les représentants de l’UGTT et du syndicat de base des agents de la pharmacie centrale, d’une part, et les représentants du gouvernement et de la direction générale de la pharmacie centrale, d’autre part. Elle a abouti à l’annulation de la grève des agents de la pharmacie centrale, initialement prévue demain, jeudi 17 juillet 2025.

Auparavant, l’UGTT avait publié un préavis de grève des agents de la pharmacie centrale en date du 14 mai dernier, avant son report au 18 juin 2025, puis au 17 juillet 2025.

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Monastir : Lancement imminent des études de réhabilitation de la Médina

Les études du projet de réhabilitation de la Médina à Monastir seront, bientôt, lancées moyennant une enveloppe de 381 mille dinars.

Dans ce cadre, la directrice du département technique de la municipalité de Monastir, Wafa Gandouz, a déclaré à l’Agence TAP qu’un bureau d’études a été mandaté pour élaborer les principales phases de mise en œuvre du projet, dans un délai de 150 jours.

Elle a précisé que les travaux, dont l’achèvement est prévu pour mai 2027, porteront notamment sur l’aménagement des espaces publics et municipaux, la création d’une Maison de l’artisan créateur, ainsi que l’embellissement des ruelles avoisinantes.

L’étude de faisabilité avait été lancée en 2020 et finalisée en 2022, en vue d’élaborer les premières esquisses du projet et de définir son plan de financement.

La municipalité de Monastir et huit autres municipalités avaient remporté le prix du concours de régénération des centres anciens initié par le ministère de l’équipement et de l’habitat.

Ce prix d’une valeur de 4 millions 892 mille dinars est alloué par l’Etat Tunisien, la Banque européenne et l’Agence française de développement (AFD) pour financer les travaux de réhabilitation de la Médina de Monastir.

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Hammamet : RUST et Alsarah & The Nubatones en concert

Le théâtre de plein air de Hammamet a accueilli, mardi 15 juillet soir, un nouveau spectacle aux sonorités multiples dans une soirée en deux parties avec Rust, duo libano-syrien composé de Petra Hawi et Hany Manja, et « Alsarah & The Nubatones » du Soudan.

La performance de Rust a transporté les spectateurs dans un univers où la tradition rencontre l’innovation et où la beauté de la musique arabe se mêle si bien aux sonorités modernes et occidentales.

Le duo bouscule les notions traditionnelles musicales et crée une identité sonore propre à lui. RUST est reconnaissable pour son style distingué, son empreinte visible, son chant unique et son florilège de sonorités électroniques, marqué par un registre oriental, fait de reprises et de compositions.

RUST transpose sur scène un univers fait de lumière, d’instruments divers, de clins d’œil anecdotiques, de danse.

« L’entente humaine prime avant tout, tout comme l’humain qui est au centre de nos préoccupations, toujours », a déclaré le duo dont la musique mêle Tarab, mélodique et poétique avec des sonorités électroniques modernes.

Petra Hawi, musicienne et chanteuse libanaise et Hany Manja, musicien né à Damas et producteur de musique électronique sont les cofondateurs de RUST dont la création remonte à Octobre 2020.

Basé à Beyrouth, le duo s’inspire de la génération précédente de musiciens innovants, en ajoutant à leurs compositions originales, leurs voix remarquables.

Le groupe soudanais « Alsarah & The Nubatones » a pris la relève pour une prestation s’inscrivant dans un registre totalement différent. Dotée d’une voix d’ange porteuse d’espoir et de patrimoine musical riche, Alsarah et son groupe chantent un monde de paix rêvé, sans frontières, tout en scandant l’identité et les origines.

Dans une performance ponctuée d’humour, Alsarah a interprété des morceaux tels que Men Ana, Salam Nubia, Sudani et New Habibi. Ses textes en arabe font l’effet d’une poésie vibrante, dansante. Un intermède musical de Oud qui enchante le public et le transporte dans un ailleurs musical.

  • L’exil est au cœur de la musique des deux formations musicales :

Chez Rust, une chanson comme Diaspora est née du sentiment complexe d’exil et cette douleur que le duo essaye « d’enjoliver à travers la musique ». Heny Manja souligne cette crise identitaire permanente toujours ressentie des suites d’un exil.

« Je vis depuis 30 ans exilée », a déclaré l’artiste Alsarah, avant d’enchainer : « Ce qu’on vit quand on quitte un endroit pour un autre est indissociable d’un autre sentiment pesant, celui de la nostalgie. Nous sommes victimes d’une mémoire qui nous joue des tours. »

Les artistes de RUST et Alsarah & The Nubatones étaient tous sous le charme de Hammamet et son théâtre de plein air où se déroule le festival international de Hammamet dans sa 59ème édition du 11 juillet au 13 août 2025.

« Nous sommes plus que ravis d’être ici. L’endroit est féerique. Le public est d’un enthousiasme indescriptible », a déclaré Petra Hawi. Emu, Hany Manja a déclaré « Merci de nous faire sentir chez nous ici, en Tunisie ».

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Législatives partielles : Ouverture des accréditations à Degache, El Hamma et Tamaghza

L’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE) a annoncé, mercredi 16 juillet, l’ouverture des demandes d’accréditation des représentants des candidats aux élections législatives partielles dans la circonscription Degache – El Hamma du Jérid – Tamaghza.

Dans un communiqué, l’ISIE précise que tous les candidats définitivement retenus et souhaitant désigner des représentants pour observer le scrutin peuvent déposer leurs demandes auprès du siège de la section régionale de Tozeur, situé au 16, rue Abou El Kacem Chebbi, et ce, tous les jours ouvrables (sauf le dimanche), durant les horaires administratifs, jusqu’au 9 août 2025.

Cette procédure s’inscrit dans le cadre des dispositions de la décision n°18/2023 du 7 décembre 2023, fixant les conditions et modalités d’accréditation des représentants des candidats.

Les documents requis pour la demande d’accréditation sont disponibles en téléchargement sur le site officiel de l’instance.

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Les débiteurs de l’OTAN peuvent-ils supporter des coûts exorbitants?

Le sommet de l’OTAN, fin juin, a pleinement satisfait Donald Trump, avec l’accord des 32 membres de l’alliance militaire sur une augmentation des dépenses de défense à 5 % du PIB d’ici 2035. Il les y incite depuis des années. Cependant, il a retourné sa colère habituelle contre un membre : l’Espagne. Face à la forte opposition du Premier ministre Pedro Sanchez, le gouvernement espagnol a trouvé un moyen de contourner cet engagement, affirmant mardi 15 juillet qu’il pourrait remplir ses obligations de défense en dépensant beaucoup moins.

Sanchez a soutenu que l’objectif de 5 % – qui se décompose en 3,5 % pour la défense et 1,5 % pour les infrastructures liées à la défense – était déraisonnable et qu’un tel réaménagement des dépenses publiques pourrait nuire à l’économie. Finalement, l’Espagne a conclu un accord avec l’OTAN lui offrant une option de retrait. Cela a soulevé des questions quant à la capacité de nombreux États membres à honorer leurs engagements de dépenses.

Budgets serrés

« Le choix de donner la priorité à la défense dans un contexte de coupes budgétaires publiques est politiquement difficile et nécessitera beaucoup de persuasion pour être accepté par l’électorat, et par tous les gouvernements en place », a déclaré, à DW, Fenella McGerty, chercheuse principale en économie de la défense à l’Institut international d’études stratégiques (IISS). Elle a rappelé que lorsque l’Espagne a annoncé une augmentation de ses dépenses de défense en avril, Sanchez a tenu à souligner que cela n’augmenterait pas la dette du pays et n’affecterait pas les dépenses sociales.

Ilke Toygur, directrice du Centre de politique mondiale de l’Université IE de Madrid, estime que la position de l’Espagne s’appuyait en partie sur une « discussion ouverte » sur le fait que la priorisation des dépenses de défense affecterait d’autres domaines clés des budgets nationaux et pourrait entraîner des conséquences désastreuses. « Si l’on ne comprend pas l’importance de la lutte contre le changement climatique ou d’autres questions sociales, comme le logement ou le soutien à la santé ou à l’éducation, l’augmentation des dépenses de défense aura l’effet inverse de celui recherché par les dirigeants européens », a-t-elle déclaré à DW.

Le problème de la dette

En outre, des doutes importants subsistent quant à la capacité de certains États membres à respecter les niveaux convenus. Selon les derniers chiffres de l’OTAN relatifs aux dépenses de défense à partir de 2024, tous les membres de l’Alliance, sauf huit, atteignaient l’objectif actuel de 2 %. Certains ont entre-temps rattrapé leur retard. Cependant, les pays les plus en retard en matière de dépenses militaires – l’Espagne, la Belgique, le Canada, l’Italie et le Portugal – sont également confrontés au problème d’une dette publique élevée, approchant ou dépassant 100 % de leur produit intérieur brut (PIB).

Le coût élevé de la sécurité

Alors que des dirigeants comme Sanchez et d’autres s’inquiètent des emprunts et des coupes budgétaires potentielles, les experts affirment que ce scénario est en préparation depuis longtemps. Fenella McGerty a rappelé que le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, avait déclaré dès décembre 2024 que l’augmentation des dépenses de défense européennes aurait inévitablement un impact sur les dépenses de retraite, d’éducation et de santé.

Mais la hausse des dépenses militaires comporte ses propres risques économiques. Alors que l’Europe s’empresse de développer son propre secteur de l’armement, la hausse de l’inflation dans le secteur de la défense, les retards dans les chaînes d’approvisionnement et les problèmes de main-d’œuvre signifient que des fonds toujours plus importants sont nécessaires pour atteindre les mêmes objectifs.

Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), avait averti en mars que l’augmentation des dépenses de défense pourrait elle-même contribuer à l’inflation. Un nouveau rappel que, pour de nombreux pays, la hâte de rendre l’Europe plus sûre aura un prix élevé.

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Bourse : Le marché termine la séance en légère hausse (+0,021%)

Le marché boursier a clôturé la séance du mercredi 16 juillet, sur une note positive. Le benchmark a pris 0,21% à 11 768,68 points dans un volume modeste de 3,1 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre DELICE HOLDING s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux de 236 mille dinars, l’action du spécialiste en produits laitiers s’est envolée de 6 % à 25,430D.

Le titre MPBS a bien performé sur la séance. L’action du spécialiste en bois a signé une avancée de 5,9 % à 7,860 D. La valeur a drainé des échanges de l’ordre de 64 mille dinars sur la séance.

STIP a accusé la plus forte baisse de la séance. L’action du spécialiste en pneumatique s’est délestée de 4,3 % à 2,680 D, en drainant un volume réduit de 18 mille dinars sur la séance.

Le titre TUNISAIR a terminé la séance en territoire négatif. L’action du transporteur aérien national a abandonné 2,7 % à 0,360 D, et ce, dans un volume de transactions de 5 mille dinars.

TUNISIE LEASING a été la valeur vedette de la séance. L’action du loueur a terminé la séance en territoire positif (une progression de 0,4 % à 28,600 D) en alimentant le marché avec des capitaux de 373 mille dinars.

 

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Préparatifs de la flottille maghrébine Soumoud contre le blocus de Gaza

La Coordination de l’action commune pour briser le blocus de Gaza a annoncé, mercredi 16 juillet, le lancement des préparatifs opérationnels et logistiques de la « Flottille maghrébine Soumoud », initiative maritime placée sous le slogan « Nos voiles vers Gaza, notre but, lever le blocus ».

Lors d’une conférence de presse tenue au siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT), les organisateurs ont indiqué que cette flottille maghrébine s’inscrit dans le droit fil de la deuxième action conjointe qui comprend Freedom Flotilla, Global March to Gaza et des partenaires d’Asie orientale (Sumoud NusantaraK). Le départ effectif interviendra « dès que possible » après le départ du navire Handhala qui a pris le large samedi dernier au départ du port Syracuse, en Italie, à destination de Gaza.

Totalement maritime, l’opération prévoit une participation internationale élargie avec des départs du bassin méditerranéen — ports d’Europe du Sud et d’Afrique du Nord — en direction de Gaza entre la fin de l’été et le début de l’automne, ont précisé les intervenants.

Une commission maghrébine de la flottille pilotera la contribution régionale, avec des représentations de Tunisie, d’Algérie et de Libye, dans l’attente de l’adhésion formelle de délégations mauritanienne et marocaine.

La flottille a pour objectif de mobiliser les peuples et les soutiens internationaux pour remettre la cause palestinienne au devant de la scène internationale, dénoncer le génocide commis à Gaza, et défier le blocus imposé par l’entité sioniste « et les systèmes internationaux qui la soutiennent ».

L’initiative entend capitaliser sur la première opération conjointe « En route vers Gaza » effectuée par voie terrestre, maritime et aérienne ainsi que sur la caravane maghrébine partie de Tunisie le 9 juin 2025 et qui avait été stoppée près de Syrte (Libye) et contrainte à rebrousser chemin.

Wael Nawar, membre de la coordination, a indiqué que des dizaines de navires partiront des ports du monde entier, l’Europe méridionale et l’Afrique du Nord en particulier, pour participer à cette action.

L’inscription à la « Flottille maghrébine Soumoud » sera ouverte aux militants, citoyens et personnalités publiques ; sportifs, artistes, journalistes, responsables politiques et influenceurs qui sont expressément invités à embarquer « afin de peser médiatiquement et de protéger les convois », compte tenu des risques de blocus ou d’attaque.

Pour des raisons de sécurité, certains détails opérationnels resteront confidentiels à ce stade, a ajouté Nawar, réaffirmant que la navigation se fera au cours de cet été. Le calendrier précis et les modalités de participation seront annoncés à Tunis début août lors d’une conférence de presse avec les partenaires maghrébins et internationaux.

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La Tunisie peaufine sa participation à la Foire africaine d’Alger

La Tunisie participera à la Foire africaine du commerce intra-africain (IATF 2025), prévue du 4 au 10 septembre 2025 à Alger, sous le thème « Une porte vers de nouvelles opportunités », rapporte la radio RTCI.

Sous la présidence du ministre du Commerce, Samir Abid, une réunion de coordination s’est tenue afin de peaufiner la stratégie tunisienne dans le cadre de “Team Tunisia Export”.

La Tunisie disposera, pour l’occasion, d’un pavillon national de 304 m², réunissant 24 entreprises exportatrices : 12 PME, 8 artisans et 4 startups. Un espace sera également consacré aux structures d’appui à l’export, telles que le CEPEX, la FIPA, l’ONTT et l’Office national de l’artisanat.

Les secteurs représentés seront variés : textile, cuir, cosmétiques, construction, artisanat et automobile, ce dernier bénéficiant d’une attention particulière pour séduire les investisseurs.

Cette participation intervient dans un contexte régional positif. En effet, les échanges commerciaux entre la Tunisie et l’Algérie subsaharienne poursuivent leur progression, atteignant 7,7 milliards de dinars en 2024.

Quant aux exportations tunisiennes vers l’Algérie, elles ont enregistré une croissance de 28,8 % en deux ans, témoignant de la solidité des relations économiques bilatérales. Les industries mécaniques dominent ces échanges avec 35,3 % des parts, suivies des industries manufacturières (29,8 %) et des équipements de transport (1,4 %).

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États-Unis : l’inflation s’accélère en juin à 2,7 %

Comme prévu, l’inflation aux États-Unis a connu une accélération notable en juin, l’impact de la politique tarifaire de Trump semble se faire de plus en plus sentir sur l’économie.

Plus précisément, l’indice des prix à la consommation (IPC) de la plus grande économie mondiale a accéléré pour atteindre un taux annuel de 2,7 % en juin, contre 2,4 % un mois plus tôt. En comparaison mai-juin, l’IPC a augmenté de 0,3 %, après la hausse mensuelle précédente de 0,1 %.

Les chiffres de la Fed ont pleinement confirmé les prévisions des économistes (2,7 % sur une base annuelle et 0,3 % sur une base mensuelle).

Dans la mesure plus étroite de l’inflation dite de base, qui ne prend pas en compte les prix volatils de l’énergie et des produits alimentaires frais, la tendance était également à la hausse, mais avec une accélération moindre.

Plus précisément, l’IPC de base a augmenté à un taux annuel de 2,9 % contre 2,8 % en mai, tandis que dans la comparaison mensuelle, les prix de base ont augmenté à un taux de 0,2 % après la hausse mensuelle de 0,1 % en mai.

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ATL réduit ses créances à risque de 4,4 millions de dinars

Arab Tunisian Lease (ATL) a publié ses résultats financiers pour le deuxième trimestre 2025, affichant une progression sur plusieurs aspects clés. Les mises en force ont enregistré une hausse de 1 % par rapport à la même période en 2024, reflétant une légère croissance de l’activité. Par ailleurs, l’engagement de la société a augmenté de 10 % en glissement annuel, témoignant d’un développement soutenu.

Sur le plan des revenus, les Produits Nets de Leasing ont progressé de 13 % par rapport au T2 2024, soulignant une amélioration de la rentabilité.

En matière de gestion des risques, ATL a renforcé sa maîtrise avec une réduction de 4,4 millions de dinars tunisiens de la masse des créances classées par rapport à fin juin 2024. Le ratio des créances douteuses (NPL) s’est établi à 7,9 % au 30 juin 2025, contre 9,4 % un an plus tôt, confirmant une meilleure qualité du portefeuille.

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Pour dominer le monde de l’IA, Zuckerberg investit massivement

Meta Platforms Inc. mise sur l’avenir de l’intelligence artificielle en investissant massivement dans des supercalculateurs. Redéfinissant par conséquent ses objectifs technologiques face à ses concurrents. Dans ce cadre, Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a révélé, lundi 14 juillet 2025, être en train de travailler à la mise en place de réseaux informatiques d’une capacité de plusieurs gigawatts dans l’optique de créer une « superintelligence« .

Meta Platforms Inc., l’entreprise technologique majeure qui se cache derrière Facebook, renforce ses initiatives dans le secteur de l’intelligence artificielle. Sous la direction de Mark Zuckerberg, la société a déclaré un investissement considérable dans le développement de superclusters spécialisés dans l’intelligence artificielle. Ces installations, dénommées “Prometheus“ et “Hyperion“, ont été élaborées pour gérer d’énormes volumes de travail lors de la formation des modèles d’intelligence artificielle.

L’intention est limpide : surpasser les concurrents tels qu’OpenAI et Google. Ces actions signalent un nouveau chapitre pour Meta, qui est résolue à se positionner en tête du secteur de l’intelligence artificielle.

Une IA capable d’effectuer des percées scientifiques

« Les laboratoires de superintelligence de Meta seront équipés des capacités de calcul les plus avancées du secteur et, de loin, posséderont la plus grande puissance numérique par chercheur ». C’est ce qu’a déclaré le patron du groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) dans une communication sur ses réseaux personnels. Il a ajouté, avec enthousiasme, « avoir hâte de collaborer avec les meilleurs chercheurs pour étendre les limites ».

Ainsi, Mark Zuckerberg fait un clin d’œil aux nombreux recrutements effectués courant les dernières semaines par le géant américain, parmi lesquels l’ancien d’Anthropic Joel Pobar, ainsi que trois ex-chercheurs du bureau zurichois d’OpenAI (Lucas Beyer, Alexander Kolesnikov et Xiaohua Zhai), dont les primes à la signature atteindraient les 100 millions de dollars.

Il faut souligner que depuis l’introduction de ChatGPT par OpenAI, Meta est en retard dans le domaine de l’IA générative. Tous les dirigeants de l’industrie visent une IA qualifiée de « générale » ou de « superintelligence », dotée de capacités cognitives qui surpasseraient celles de l’homme, capables d’effectuer des percées scientifiques et d’inventer elles-mêmes des technologies.

A cet effet, Mark Zuckerberg a déclaré : « Le premier réseau, que nous désignons sous le nom de Prometheus, devrait être opérationnel en 2026. Nous développons également Hyperion, qui sera capable de produire jusqu’à 5 gigawatts au fil du temps ». Les 5 gigawatts sont l’équivalent de la consommation annuelle d’électricité de 1 à 4 millions de ménages américains.

Un investissement dans les talents aussi

Meta ne se limite pas à investir dans l’infrastructure, mais investit aussi dans les compétences. Elle a récemment signé un contrat de 14 milliards d’euros avec Scale AI, mettant en évidence sa détermination à investir et à recruter dans le domaine de l’IA. Meta a inauguré les Meta Superintelligence Labs en juin, une entité inédite rassemblant des chercheurs et des ingénieurs en IA parmi les plus talentueux sous un même toit.

Alexandr Wang, ancien PDG de Scale AI, ainsi que Nat Friedman, ex-PDG de GitHub, supervisent ce projet. Confronté à une réception mitigée des modèles de langage Llama 4 de Meta, Zuckerberg tente de réviser la stratégie de l’entreprise en termes de développement d’IA, dans l’objectif d’atteindre ou dépasser ses rivaux.

Dans cette optique, Meta a recruté des dirigeants de premier plan d’Apple, Anthropic et OpenAI afin de renforcer sa division Superintelligence Labs nouvellement créée.

Développements à suivre.

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