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L’OMS honore Kaïs Saïed pour son engagement en faveur de l’accord mondial sur les pandémies

À l’occasion de la clôture de la première réunion du groupe de travail sur l’annexe de l’accord de l’OMS sur les pandémies, tenue à Genève les 9 et 10 juillet 2025, l’Organisation mondiale de la santé a remis au président de la République, Kaïs Saïed, le blason symbolique de l’accord.

Cette distinction salue le rôle central joué par le chef de l’État tunisien dans l’initiation, la promotion et la défense de cet accord historique, adopté le 20 mai 2025 lors de la 78e Assemblée mondiale de la santé. Il marque une avancée majeure vers un système de santé mondial plus résilient et une meilleure préparation collective face aux futures crises sanitaires.

Selon un communiqué du ministère de la Santé, la Tunisie figure parmi les premiers pays à avoir plaidé pour l’élaboration d’un cadre international juridiquement contraignant en matière de pandémies. Dès le 7 avril 2020, le président Kaïs Saïed avait proposé au Directeur général de l’OMS la création d’un accord international dans ce sens, proposition réitérée le 30 mars 2021 via une déclaration conjointe avec 26 autres pays et l’OMS.

Cette initiative visait à tirer les leçons de la pandémie de COVID-19, qui a révélé de profondes lacunes en matière de coopération sanitaire mondiale, notamment les inégalités dans l’accès aux vaccins et l’impact dévastateur sur les vies humaines.

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Tunisie–États-Unis : Vers un renforcement du partenariat économique

Le ministre du Commerce et du Développement des exportations, Samir Abid, a reçu ce jeudi 10 juillet David Hamod, président de la Chambre de commerce nationale américano-arabe (NUSACC), dans le cadre d’une rencontre axée sur le développement des relations économiques tuniso-américaines.

A noter que cette rencontre intervient au lendemain de l’annonce par l’administration Trump des droits de douane de 25% sur les produits et services entrant sur le territoire des Etats-Unis.

Ont également pris part à cette réunion des représentants du secteur privé, des entreprises américaines, de l’ambassade des États-Unis à Tunis, ainsi que des responsables du ministère et de divers organismes d’appui tels que le CEPEX, la FIPA, le ministère de l’Agriculture et le Conseil bancaire et financier.

Les échanges ont porté sur les moyens de renforcer la coopération économique et commerciale bilatérale, à travers la dynamisation du rôle de la Chambre de commerce, la création de partenariats stratégiques, le transfert de technologies, et le développement de projets conjoints. Le ministre a également mis l’accent sur l’importance d’accroître les exportations tunisiennes vers le marché américain et d’élargir le volume des échanges commerciaux.

Samir Abid a salué l’engagement de la NUSACC envers la Tunisie, exprimant la volonté du gouvernement tunisien de consolider cette relation dans divers secteurs porteurs, souligne la TAP.

De son côté, David Hamod a réaffirmé l’intérêt croissant des entreprises américaines pour la Tunisie, mettant en avant son potentiel en matière d’investissement, ses capacités de production compétitives, ainsi que son rôle stratégique de passerelle économique entre l’Europe et l’Afrique.

La rencontre a aussi permis de souligner l’importance de tirer parti des accords bilatéraux et multilatéraux dont la Tunisie est signataire, pour favoriser l’implantation d’acteurs américains sur son territoire et renforcer les flux économiques entre les deux pays.

Toutefois et contre toute attente, la question des nouveaux tarifs douaniers de Trump sur les exportations tunisiennes n’a pas été évoquée, selon la dépêche de l’agence TAP

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ZOOM – Tempêtes géopolitiques – Les entreprises tunisiennes à l’épreuve d’un monde fracturé

Guerre économique, cyberattaques, criminalité organisée, intelligence artificielle incontrôlée, changement climatique : la géopolitique s’invite brutalement dans les stratégies d’entreprise. Pour les entreprises tunisiennes, souvent tournées vers les marchés extérieurs et déjà fragilisées par une conjoncture interne incertaine, il ne s’agit plus seulement de survivre, mais de se réinventer face à une mutation globale des risques.

 

Longtemps perçus comme lointains, les risques géopolitiques sont désormais omniprésents dans le quotidien des entreprises. La guerre en Ukraine, au Moyen Orient, les tensions commerciales sino-américaines, la militarisation croissante des économies, les pénuries de matières premières, les attaques contre les infrastructures numériques ou encore les dérèglements climatiques bouleversent la stabilité des marchés.

Pour la Tunisie, fortement insérée dans les chaînes de valeur mondiales, ces secousses globales ont des répercussions immédiates : hausses de coûts, incertitudes sur les approvisionnements, blocages logistiques, ralentissement des exportations. Le contexte mondial, plus imprévisible que jamais, rend caduques les anciennes certitudes économiques. Les entreprises tunisiennes ne peuvent plus piloter à vue : elles doivent intégrer cette instabilité comme une composante durable de leur environnement.

 

« Pour la Tunisie, fortement insérée dans les chaînes de valeur mondiales, ces secousses globales ont des répercussions immédiates : hausses de coûts, incertitudes sur les approvisionnements, blocages logistiques, ralentissement des exportations ».

 

Criminalité transnationale et cybermenaces : un péril invisible mais ravageur

La montée en puissance de la criminalité organisée et des cyberattaques reconfigure les rapports de force économiques. Le blanchiment d’argent, estimé à des milliers de milliards d’euros circulant hors radar, contamine les circuits économiques traditionnels. En Tunisie, où les mécanismes de contrôle restent limités, les entreprises, notamment les PME, sont particulièrement vulnérables à ces phénomènes.

Les vols de données, les rançongiciels et les intrusions numériques ciblent les entreprises les plus exposées, souvent peu protégées faute de moyens techniques ou de culture du risque. Ces agressions numériques ne sont pas seulement des incidents techniques ; elles peuvent paralyser l’activité, ternir la réputation et affaiblir la compétitivité à long terme. Dans ce contexte, la cybersécurité n’est plus un luxe mais un impératif stratégique.

 

Intelligence artificielle : arme à double tranchant

L’irruption de l’intelligence artificielle bouleverse les modèles économiques et les rapports de production. Si elle ouvre des perspectives en matière d’automatisation, de productivité et de relocalisation industrielle, elle génère aussi de nouveaux risques, notamment dans le domaine cyber et informationnel.

En Tunisie, le débat est encore balbutiant. Le tissu entrepreneurial n’est pas préparé aux enjeux éthiques, techniques et réglementaires que pose l’IA. Le manque de formation, l’absence d’une stratégie nationale de souveraineté numérique et la forte dépendance aux technologies étrangères empêchent d’exploiter ce levier de transformation dans des conditions maîtrisées. Sans un cadre de régulation proactif et un effort massif de montée en compétence, l’IA risque de devenir un facteur de déséquilibre plutôt qu’un levier de résilience.

 

« En Tunisie, le débat est encore balbutiant. Le tissu entrepreneurial n’est pas préparé aux enjeux éthiques, techniques et réglementaires que pose l’IA. Le manque de formation, l’absence d’une stratégie nationale de souveraineté numérique et la forte dépendance aux technologies étrangères empêchent d’exploiter ce levier de transformation dans des conditions maîtrisées ».

 

Le changement climatique, un facteur déstabilisant global

Le climat s’impose désormais comme un facteur de risque systémique pour l’entreprise. La montée des températures, la raréfaction de l’eau, la dégradation des sols et la multiplication des événements extrêmes désorganisent les chaînes de production, en particulier dans des secteurs vitaux comme l’agriculture, le textile ou le tourisme, piliers de l’économie tunisienne.

Plus qu’un enjeu environnemental, il s’agit d’un enjeu économique majeur. Le coût de l’inaction climatique pourrait se révéler supérieur à celui de l’adaptation. Pourtant, nombre d’entreprises tunisiennes continuent d’opérer sans plan de transition écologique ni gestion anticipée des risques liés au climat. L’intégration des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance) reste marginale alors qu’elle devient incontournable pour accéder aux financements internationaux ou aux marchés européens.

Vers une souveraineté économique à reconstruire ?

L’un des messages forts des colloques à venir est la nécessité pour les entreprises de se repositionner dans un monde fragmenté. La dépendance excessive aux fournisseurs chinois, notamment en matière de technologies ou d’équipements industriels, expose les économies à des vulnérabilités critiques. Pour la Tunisie, c’est un signal d’alerte.

Le moment n’est-il pas venu de réfléchir à une stratégie de relocalisation industrielle ciblée, capable de renforcer les maillons faibles des chaînes de valeur, de créer des emplois qualifiés et de réduire la dépendance stratégique ?

Une telle ambition ne nécessite-t-elle pas une coordination étroite entre les acteurs publics et privés, un investissement massif dans l’innovation locale et une volonté politique claire pour bâtir un tissu productif véritablement souverain ?

Décentraliser, anticiper, s’armer intellectuellement

Face à la complexité croissante du monde, un changement de paradigme s’impose dans la gouvernance des entreprises. Partout ailleurs, les groupes qui recentrent leurs activités sur des marchés dominants tout en décentralisant leur gouvernance démontrent que l’agilité stratégique constitue désormais un levier essentiel de résilience.

Pour les entreprises tunisiennes, cela implique de sortir d’une culture décisionnelle rigide et centralisée, d’investir dans l’intelligence économique, de doter les comités de direction d’une lecture géopolitique de leur environnement et d’internaliser les capacités d’analyse du risque. L’entreprise de demain sera celle qui saura penser à long terme, anticiper les ruptures et agir avec discernement dans un univers instable.

 

« Face à la complexité croissante du monde, un changement de paradigme s’impose dans la gouvernance des entreprises. Partout ailleurs, les groupes qui recentrent leurs activités sur des marchés dominants tout en décentralisant leur gouvernance démontrent que l’agilité stratégique constitue désormais un levier essentiel de résilience ».

 

L’entreprise, acteur géopolitique

La mutation actuelle du capitalisme social responsable mondial fait émerger une nouvelle figure de l’entreprise : non plus simple opérateur économique, mais acteur stratégique de la souveraineté et de la sécurité. En Tunisie, ce tournant reste à opérer. Les entreprises ne peuvent plus attendre que l’État les protège seules. Elles doivent intégrer la géopolitique à leurs réflexions stratégiques, investir dans leur propre résilience, et construire les alliances nécessaires pour affronter ce siècle incertain.

Dans cette nouvelle ère de conflits diffus et d’instabilités systémiques, il ne suffit plus d’innover. Il faut désormais anticiper, protéger et décider en toute conscience d’un monde devenu, pour longtemps, imprévisible.

 

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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BAC 2025: taux de réussite global à 52,59%

Le ministère de l’Éducation a annoncé ce jeudi 10 juillet 2025 un taux de réussite global au baccalauréat 2025 de 52,59%, toutes sessions confondues (principale et contrôle), contre 47,41% d’échecs.

La session principale affiche un taux de réussite de 37,08%, tandis que la session de contrôle atteint 48,83%.

Le meilleur élève de la République est Mohamed Nasraoui, de la filière Mathématiques au Lycée pilote Mohamed Faraj Chahedli à Ariana, avec une moyenne exceptionnelle de 19,95/20

 

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Air Horizont ouvre Porto-Enfidha en vol direct

La grande nouveauté de la semaine : un vol direct entre la Tunisie et le Portugal est désormais possible grâce à l’inauguration d’une nouvelle liaison aérienne entre l’aéroport international Enfidha-Hammamet et Porto, opérée par la compagnie AIR HORIZONT.

Le vol a été assuré par un Boeing 737-400 de 149 places. AIR HORIZONT opérera cette route une fois par semaine, chaque mercredi, du 9 juillet au 10 septembre 2025, afin de faciliter l’accès à la Tunisie pour les touristes portugais, notamment durant la haute saison estivale.

Cette ouverture marque une étape importante dans le renforcement des connexions aériennes entre les deux pays,  particulièrement vers les marchés européens émergents. AIR HORIZONT devient ainsi la deuxième compagnie à proposer des vols directs entre le Portugal et Enfidha-Hammamet, après TAP Air Portugal.

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Minerais africains au cœur du mini-sommet à la Maison Blanche

Le président américain Donald Trump a organisé, du 9 au 11 juillet 2025, un mini-sommet à la Maison Blanche réunissant cinq présidents africains issus de pays riches en minerais : Mauritanie, Sénégal, Gabon, Liberia et Guinée-Bissau. Officiellement axée sur le commerce, les investissements et la sécurité, cette rencontre vise surtout à renforcer la présence américaine en Afrique.

Donald Trump a souligné le potentiel économique important de ces pays, riches en ressources stratégiques telles que l’or, le manganèse, l’uranium, les terres rares, le pétrole et le gaz naturel, essentiels notamment pour les technologies modernes comme les véhicules électriques et les appareils électroniques. Les présidents africains ont mis en avant leurs ressources minières et leur stabilité politique, espérant attirer des investissements américains.

 

Lire aussi : Trump drague cinq États africains !

 

Parallèlement, Washington a tenté de convaincre ces pays d’accueillir des migrants expulsés des États-Unis, dans le cadre d’une politique migratoire stricte. Ce sommet marque une nouvelle approche américaine, davantage axée sur les intérêts économiques et stratégiques que sur l’aide au développement traditionnelle.

Il convient de noter que la rencontre intervient quelques jours après la dissolution de l’USAID, l’agence américaine de développement international, qui bénéficiait à de nombreux pays africains. Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une politique de réduction drastique de l’aide internationale menée par l’administration Trump, qui a transféré les missions de l’USAID au département d’État tout en annulant la majorité de ses programmes.

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Le Bitcoin atteint 112 000 dollars pour la première fois

Le prix du Bitcoin a augmenté de plus de 3 % mercredi 9 juillet, atteignant 112 000 $ pour la première fois, portant ses gains depuis le début de l’année à 20 %.

La hausse de la monnaie a été soutenue par l’investissement institutionnel continu dans les fonds négociés en Bourse Bitcoin et par une hausse des actions technologiques américaines.

Les cryptomonnaies alternatives ont également enregistré des gains, menées par Ether, Solana et XRP, qui ont ajouté plus de 100 milliards de dollars à la capitalisation boursière des crypto-monnaies en 24 heures.

Selon Rashed Al-Khazai, expert en cryptomonnaies et actifs numériques, cité par Al Business, les cryptomonnaies ont connu un fort retour à la liquidité grâce au sentiment général d’investissement largement positif. Ce qui est suffisant pour soutenir la hausse des prix; à moins que quelque chose de nouveau n’émerge sur la scène géopolitique.

Il a ajouté que la correction rapide observée sur le marché des cryptomonnaies reflète le véritable sentiment envers le Bitcoin parmi les investisseurs individuels et institutionnels.

Et de poursuivre : « Nous avons assisté à une injection massive de liquidités sur les marchés des cryptomonnaies, en particulier Bitcoin, Ethereum et Solana, dans les premières heures qui ont suivi l’annonce du cessez-le-feu dans le récent conflit entre l’Iran et Israël. Le mouvement a été si rapide que le Bitcoin a été l’un des premiers actifs à connaître un fort retour de liquidités, comparé à tous les autres actifs traditionnels tels que l’or, les actions et les indices ».

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Kaïs Saïed ordonne des mesures urgentes pour protéger le littoral

Le président de la République, Kaïs Saïed, a ordonné ce jeudi, lors d’une rencontre au palais de Carthage avec le ministre de l’Environnement, Habib Abid, la mise en œuvre de mesures urgentes pour mettre un terme à la dégradation continue de l’environnement et protéger le littoral dans toutes les régions du pays. Cette décision intervient en attendant l’élaboration d’une nouvelle stratégie visant à stopper le gaspillage des biens publics et toutes les formes de pollution environnementale.

Selon la présidence, Kaïs Saïed a rappelé que le droit à un environnement sain est un droit fondamental inscrit dans la Constitution, et que l’État doit garantir ce droit en mobilisant les moyens nécessaires pour éradiquer la pollution.

Le chef de l’État a également effectué, dans la nuit de mercredi à jeudi, une visite surprise dans le gouvernorat de Monastir pour constater la situation environnementale critique dans le golfe de Monastir. Il s’est rendu sur la plage de Ksibet El Mediouni, récemment touchée par une catastrophe écologique, puis à la station d’épuration Sayada-Lamta-Bouhjar à Lamta, avant de visiter la localité de Sayada.

Par ailleurs, il a inspecté la dégradation des décharges d’eaux usées dans le gouvernorat de Nabeul, notamment à El Amoud el Mrigueb, dans les délégations de Menzel Temime et Aïn Grenz, ainsi que la situation catastrophique à Oued El Hejar, dans la délégation de Kélibia. Le député local Fadhel Ben Torkia a souligné que cette région est devenue une véritable décharge pour les déchets et eaux usées provenant des usines voisines, aggravant la pollution et la détérioration de l’environnement.
Avec TAP

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Session de contrôle du bac 2025 : moins de la moitié des candidats admis (48,8%)

Enfin, le verdict est tombé : le ministère de l’Éducation dévoile les résultats officiels du baccalauréat 2025 de la session contrôle. 

Selon le communiqué du ministère, les statistiques définitives de la session de contrôle du baccalauréat soulignent que sur les 45 979 candidats présents, 22 453 ont décroché leur diplôme, soit un taux de réussite global de 48,83%, tandis que 51,17% ont échoué.

Par filière, les sciences techniques dominent avec un excellent taux de réussite de 62,94%, suivies de près par les sciences expérimentales à 62,30%.

Parallèlement la filière sport affiche également de bons résultats avec 61,50% de réussite. À l’inverse, les sections lettres et mathématiques enregistrent des performances plus faibles, avec respectivement 37,25% et 44,17% de réussite. La filière économie et gestion reste légèrement sous la moyenne, à 47,74%.

Enfin, les sciences de l’informatique ferment la marche avec le taux le plus bas, à seulement 32,90%.

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Condamnation de Mohamed Boughalleb à deux ans de prison

Le journaliste Mohamed Boughalleb a été condamné à deux ans de prison le 10 juillet 2025, en vertu du décret-loi 54. Arrêté en mars 2024 après une plainte d’une enseignante universitaire, il avait comparu devant la chambre criminelle de Tunis en juin 2025. Sa demande de libération avait été acceptée en février 2025.

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L’UE est proche d’un accord commercial avec les États-Unis

La Commission européenne a accepté la nouvelle date limite du 1er août, même si ses représentants ont déclaré plus tôt cette semaine que cette date ne changerait pas et serait fixée au 9 juillet.

Comme l’a indiqué Olaf Gill, porte-parole de la Commission pour le commerce, « nous travaillons à la conclusion d’un accord avec les États-Unis, qui ont décalé la date limite. Nous cherchons à parvenir à un accord avant le 1er août et nous pensons en être proches. Nous continuons à œuvrer pour un accord acceptable par les deux parties ».

Et d’ajouter : « Notre objectif est de parvenir à un accord, peut-être même dans les prochains jours. Nous avons montré notre volonté de parvenir à un accord de principe et la Commission a étroitement consulté nos États membres et l’industrie afin de garantir une grande cohérence dans l’approche globale de l’UE ».

Selon lui, « parvenir à un accord dépend désormais de la volonté de trouver une solution acceptable pour les deux parties. Nous défendons nos principes. Nous poursuivons nos travaux de bonne foi et nous nous préparons à tous les scénarios ».

Les négociations arrivent leur apogée. A noter que le commissaire européen au Commerce, Maros Šefković, a eu lundi 7 courant une conversation téléphonique avec le secrétaire d’Etat américain au Commerce, Howard Lutnick, et un autre avec le représentant américain au Commerce, Jamieson Greer.

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Changement au sein du réseau d’agents de STAR Assurances

STAR Assurances, fidèle à son engagement d’excellence et de transparence envers ses assurés, informe le public et sa clientèle d’un ajustement au sein de son réseau de distribution.

Nous confirmons que Monsieur Oussama Cheikh ne fait plus partie du réseau d’agents agréés de STAR Assurances. Cette décision s’inscrit dans notre démarche continue de garantir à nos assurés un service de la plus haute qualité et une conformité irréprochable à nos standards professionnels.

Afin d’assurer la continuité et le suivi personnalisé de leurs dossiers, nous invitons les clients ayant souscrit leurs contrats par l’intermédiaire de Monsieur Oussama Cheikh à se présenter directement au siège de STAR Assurances, auprès de notre Département de la Relation Clients, situé au 9, rue de Palestine, Cité des affaires, Kheireddine 2060, La Goulette.

Nos équipes dédiées sont à leur entière disposition pour les accompagner dans toutes les opérations et questions relatives à leur contrat.

Il est impératif de n’effectuer aucun paiement ou transaction avec l’ancien agent. Toutes les opérations (paiement de primes, modifications de contrat, déclarations de sinistres, etc.) doivent désormais être gérées exclusivement et directement avec le siège de STAR Assurances.

STAR Assurances réaffirme son engagement constant aux côtés de ses clients pour leur
offrir la sérénité et la protection qu’ils attendent et les remercie de leur compréhension
et de leur confiance continue.

Pour toute question ou pour prendre rendez-vous, merci de contacter le Département de la Relation Clients au siège de STAR Assurances au 70 255 000 ou par e-mail à contact@star.com.tn

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Textile: exportations en léger recul, mais en forte hausse vers l’Algérie et l’Europe

Au cours des cinq premiers mois de l’année 2025, les recettes des exportations dans le secteur de l’habillement ont légèrement diminué de 3%, s’établissant à 3,1 milliards de dinars, selon les données récemment publiées par le Centre Technique du Textile (Cettex).

Cette baisse s’explique principalement par une réduction des exportations de vêtements en maille de 10,02% et des vêtements en chaîne et trame de 0,32%.

En revanche, les exportations de textile ont connu une forte progression de 30,2%, portée notamment par une augmentation significative des ventes vers l’Algérie (+132,70%) et les Pays-Bas (+5,70%).

Concernant les importations destinées au marché intérieur, la Cettex indique que les importations de tissus et de vêtements ont respectivement augmenté de 14,7% et 5,32%, tandis que celles des fibres et des fils ont reculé, respectivement de 7,92% et 0,75%.

Pour rappel, les exportations globales du secteur textile et habillement ont progressé de 2,61%, atteignant près de 4 milliards de dinars à fin mai 2025, alors que les importations de la filière ont augmenté de 5,41%, s’élevant à 3,1 milliards de dinars.

Enfin, près de 87% des exportations totales du secteur sont destinées au marché européen, avec des clients majeurs tels que la France, l’Italie, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique, l’Espagne, le Portugal, ainsi que le Royaume-Uni et les États-Unis.

Avec TAP

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Chine : les tarifs douaniers arbitraires ne servent personne

La Chine estime que les tarifs « arbitraires », tels que la taxe de 50 % sur le cuivre annoncée par le président américain Donald Trump, invoquant la sécurité nationale, « ne servent les intérêts de personne ».

« Nous nous sommes toujours opposés à l’expansion excessive du concept de sécurité nationale. Nous avons également toujours pensé qu’imposer arbitrairement des droits de douane ne servait les intérêts de personne », a souligné Mao Ning, porte-parole du ministère des Affaires étrangères cité par l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 10 juillet.

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi une taxe de 50 % sur le cuivre. Il a indiqué sur les réseaux sociaux que les tarifs entreraient en vigueur le 1er août, affirmant que la décision avait été prise après une évaluation de la sécurité nationale.

Le président américain a également assuré que les négociations commerciales avec la Chine et l’Union européenne se déroulaient bien.

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Ooredoo et le Festival de Carthage : un partenariat ancré dans la promotion de la culture

Ooredoo Tunisie, leader des télécommunications et fervent défenseur de la culture tunisienne, a annoncé aujourd’hui le renouvellement de son partenariat en tant que sponsor officiel du prestigieux Festival International de Carthage. Pour la quatrième année d’affilée, Ooredoo s’associe à l’événement culturel le plus attendu du pays, consolidant ainsi son rôle de promoteur clé des arts et du patrimoine.

Cette année, le partenariat s’inscrit parfaitement dans la dynamique de la campagne estivale de l’opérateur. L’invitation est ainsi lancée à tous les Tunisiens pour activi sifek en musique, s’imprégner de la magie des soirées de Carthage et partager les émotions inoubliables des concerts live. La 59ème édition du festival, qui se tiendra du 19 juillet au 21 août 2025, promet une programmation riche et diversifiée qui fait écho à l’engagement de Ooredoo de connecter les gens à leurs passions.

« Notre partenariat avec le Festival International de Carthage est plus qu’un simple sponsoring; il fait partie de notre identité et de notre engagement indéfectible envers la richesse de la culture tunisienne », a déclaré M. Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie. « Chez Ooredoo, nous aspirons à être au cœur des moments qui rassemblent les Tunisiens, et le festival de Carthage en est l’occasion par excellence. Nous invitons tout le monde à profiter de la programmation exceptionnelle de cette année.»

L’affiche de 2025 présente une pléiade de stars locales, régionales et internationales, promettant de satisfaire tous les goûts musicaux. Ooredoo est particulièrement enthousiaste à l’idée de contribuer à la tenue des spectacles les plus attendus sur la scène légendaire de l’amphithéâtre romain, qui accueillera notamment la star syrienne sensationnelle Nassif Zaitoun, l’icône de la chanson libanaise Najwa Karam, la star tant aimée Nancy Ajram, ainsi que l’artiste de renommée mondiale Saint Levant parmi bien d’autres grands noms qui enchanteront la scène de Carthage.

Le soutien de Ooredoo au Festival International de Carthage témoigne de sa conviction profonde dans le pouvoir de la culture pour inspirer et unir les communautés. Tout au long du festival, Ooredoo sera présent avec diverses animations et initiatives pour enrichir l’expérience des festivaliers, leur permettant ainsi d’activer pleinement leur été et de créer des souvenirs mémorables.

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Arabie saoudite : Richard Attias & Associated vers la Bourse

Selon un rapport, Richard Attias et Associates, l’organisateur de la Future Investment Initiative Summit en Arabie saoudite, envisage une introduction en Bourse.

Richard Attias, le fondateur et président de RA&A, a indiqué à Bloomberg que sa société de conseil et d’organisation d’événements collaborait actuellement avec des banques, y compris Evercore Inc, en vue d’une possible entrée sur le marché boursier dès l’année prochaine.

Une destination commerciale mondiale

Le Forum d’Investissement International est généralement perçu comme un événement majeur au Royaume, attirant les dirigeants internationaux et les spécialistes du domaine pour échanger sur les chances et les enjeux actuels dans le contexte financier mondial.

Par ailleurs, Richard Attias a joué un rôle central en tant qu’intervenant lors des événements de la FII, où l’Arabie saoudite a dévoilé les aspirations de sa Vision 2030. Cette initiative vise à établir le pays comme une destination commerciale mondiale d’ici la fin des années 2020. Selon Bloomberg, en se référant à Attias, « après toute opération éventuelle, il demeurerait actionnaire et continuerait à être le président du conseil d’administration. Rien n’a été décidé de manière concluante ».

Actuellement, Sanabil, qui est l’entité d’investissement du Fonds d’investissement public du Royaume, détient approximativement 75 % de RA&A, tandis qu’Attias possède le reste. Il occupe actuellement le poste de président du conseil exécutif de l’institut FII, une organisation sans but lucratif administrée par le fonds souverain d’Arabie saoudite. En février, le sommet des priorités de l’institut FII s’est tenu à Miami, avec la participation du président américain Donald Trump qui a donné un discours lors de l’événement.

Un effet social sur le long terme

Le discours principal de Trump a mis en évidence l’importance d’investissements stratégiques qui produisent à la fois des bénéfices financiers et un effet social sur le long terme. « C’est un grand privilège aujourd’hui d’être le premier président américain à prendre la parole devant le Future Investment Initiative Institute », avait-il déclaré lors de cette rencontre. L’édition 2023 de l’IIF a attiré plus de 500 participants et organisé plus de 200 sessions. Parmi elles figuraient des séances plénières, des réunions en comité restreint et des conclaves traitant de sujets tels que la stabilité économique, les frictions géopolitiques et le développement équitable.

Depuis sa création en 2017, l’Institut FII tient chaque année des manifestations à Riyad. Au fil des années, ce programme est devenu une référence majeure dans le domaine de la finance.

Créé en 2008, RA&A a actuellement plus de 100 employés à travers le monde. Selon leur profil LinkedIn, ils offrent des idées, établissent des connexions et mettent en place des plateformes pour orienter leurs clients, qui se composent d’entreprises, de gouvernements, d’ONG et d’organisations sans but lucratif.

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Légère baisse des exportations de textile en mai, mais forte progression vers l’Algérie

Au cours des cinq premiers mois de 2025, les recettes issues des exportations de la filière habillement ont reculé de 3 %, atteignant environ 3,1 milliards de dinars, selon les dernières données publiées par le Centre Technique du Textile (CETTEX).

Ce repli s’explique principalement par la baisse des exportations de vêtements en maille (-10,02 %) et, dans une moindre mesure, de vêtements en chaîne et trame (-0,32 %).

À l’inverse, le segment textile a affiché une performance remarquable avec une croissance des exportations de 30,2 %, portée notamment par l’essor des ventes vers l’Algérie (+132,7 %) et, dans une moindre mesure, vers les Pays-Bas (+5,7 %).

Concernant le marché intérieur, les importations de tissus et de vêtements ont progressé respectivement de 14,7 % et 5,32 %, alors que les achats de fibres et de fils ont légèrement reculé, de 7,92 % et 0,75 % respectivement.

4 milliards de dinars à l’export

En cumul, les exportations globales du secteur textile-habillement ont enregistré une hausse modérée de 2,61 % à fin mai 2025, frôlant les 4 milliards de dinars, tandis que les importations totales ont grimpé de 5,41 %, atteignant 3,1 milliards de dinars.

Le secteur continue de s’appuyer sur son principal débouché : près de 87 % des exportations sont destinées à l’Europe (France, Italie, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Espagne, Portugal…), ainsi qu’au Royaume-Uni et aux États-Unis.

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CHO group brille à l’international

Le groupe tunisien CHO renforce son influence sur la scène internationale avec l’élection de Wajih Rekik, directeur général de CHO America, au poste de premier vice-président de la North American Olive Oil Association (NAOOA).

Cette nomination consacre la stratégie du groupe, initiée et mise en place par son fondateur Abdelaziz Makhloufi, qui vise à positionner l’huile d’olive tunisienne comme une référence mondiale.

Il faut admettre que cela a bien réussi, quand on se réfère en tout cas aux nombreuses récompenses récoltées par l’huile d’olive tunisienne dans son ensemble, et CHO Group en particulier.

 

Wajih Rekik, Premier vice-président de la NAOOA

 

En effet, cette reconnaissance met en lumière l’essor d’une filière oléicole tunisienne structurée, fondée sur la qualité, la traçabilité et une chaîne de valeur entièrement locale. Et CHO Group incarne justement cette dynamique en exportant une production certifiée sous le label “Made in Tunisia“, tout en bénéficiant du soutien des institutions nationales pour la promotion des exportations.

Pour revenir à cette l’élection du Tunisien Wajih Rekik à ce poste clé au sein de la NAOOA, cela renforce sans doute la crédibilité de la Tunisie sur le marché international de l’huile d’olive. Cette distinction confirme par ailleurs la montée en puissance des produits agricoles tunisiens, de plus en plus perçus comme durables et haut de gamme.

In fine, il s’agit d’une victoire pour l’économie nationale, qui gagne en visibilité grâce à des acteurs comme CHO Group.

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Etats-Unis : les taux d’intérêt divisent les responsables de la Fed

La plupart des responsables de la Réserve fédérale (Fed) sont favorables à une baisse des taux, mais les avis divergent quant à l’ampleur des mesures que la Banque centrale devrait prendre, comme le montre le compte rendu de sa réunion de juin. Il est à noter que seuls « certains » responsables présents à la réunion des 17 et 18 juin ont déclaré envisager une baisse des taux dès ce mois-ci.

« Alors que certains participants ont noté que les tarifs douaniers entraîneraient une augmentation ponctuelle des prix et n’affecteraient pas les attentes d’inflation à long terme, d’autres ont noté le risque que les tarifs douaniers puissent avoir des effets plus persistants sur l’inflation », indique le compte rendu publié mercredi 9 juillet.

Dix des 19 responsables s’attendent à au moins deux baisses de taux d’ici la fin de l’année. Sept en revanche n’en prévoyaient aucune en 2025, tandis que deux en prévoyaient une seule.

En particulier, ledit compte rendu montre que les décideurs politiques ont largement adopté une attitude attentiste quant à l’évolution future des taux d’intérêt. Les membres du Comité fédéral de l’open market (Federal Open Market CommitteeFOMC), ont voté à l’unanimité pour maintenir le taux directeur de la Fed dans une fourchette de 4,25 % à 4,5 %, où il se situe depuis décembre 2024.

Certains responsables ont déclaré que la prochaine baisse des taux pourrait intervenir dès ce mois-ci, tandis que d’autres pensaient qu’il ne serait pas approprié de ne pas procéder à des baisses cette année…

Cela survient alors que le président Trump accroît la pression sur le président de la Fed, Jerome Powell, pour qu’il réduise les taux d’intérêt. Ce dernier a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne céderait pas à la pression lorsqu’il s’agit de définir la politique monétaire.

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