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Algérie Poste : 500 000 DA/jour dans votre téléphone portable !

500 000 dinars algériens. C’est notre chiffre du jour. Et c’est le plafond journalier maximal fixé par Algérie Poste pour le paiement électronique via le code QR.

Pour vous donner une idée sur ces 500 000 dinars algériens, ce montant est l’équivalent de 11 350 dinars tunisiens, ou environ 3 310 euros journaliers.

Et l’institution financière publique algérienne d’expliquer dans un communiqué : « Ce plafond élevé permet aux utilisateurs d’effectuer des achats de manière sécurisée et fluide via leur téléphone portable, sans avoir à transporter d’argent liquide ni à utiliser directement leur carte bancaire ». Vous avez saisi la différence avec d’autres pays de la région.

D’ailleurs, en Algérie la mesure est qualifiée de « bond qualitatif dans la modernisation des moyens de paiement et l’amélioration du niveau d’inclusion financière », relaie algerie360.com.

L’institution assure que « ce service sera progressivement généralisé à l’échelle nationale, dans le cadre du déploiement du service BaridPay, qui permet aux commerçants d’accepter les paiements via le code QR ». A noter que ce processus a effectivement débuté le 14 juin 2025.

Pour l’heure, la généralisation du service dans sa première phase se concentre sur les petits commerces, tels que les pharmacies et les points de vente locaux, considérés comme « la colonne vertébrale du commerce quotidien dans les quartiers et les zones résidentielles ».

Dans une deuxième phase, l’utilisation de ce service d’Algérie Poste sera étendue progressivement à divers secteurs commerciaux, y compris les grandes surfaces, les restaurants et les prestataires de services.

A souligner que cette initiative s’inscrit dans le contexte de la transformation numérique entreprise en Algérie, « qui comprend la modernisation des infrastructures financières et la facilitation de l’utilisation des moyens de paiement modernes pour les citoyens et les commerçants », écrit Algerie360.com.

Voilà un exemple qui pourrait inspirer d’autres institutions financières au Maghreb et ailleurs en Afrique.

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COP30 : les négociations bloquent sur l’argent du Nord vers le Sud

Les négociations climat organisées à Bonn en amont de la COP30, prévue en novembre à Belém (Brésil), se sont récemment achevées sur un constat amer : peu d’avancées, beaucoup de frustrations. Alors que l’urgence climatique s’aggrave, les discussions piétinent, en décalage flagrant avec les besoins du terrain, selon Le Monde.

Les 196 délégations présentes n’ont pas réussi à progresser sur l’ensemble des points à l’ordre du jour. Si des ébauches de textes ont été adoptées pour préserver le processus multilatéral, les avancées concrètes restent limitées. Les engagements pris à la COP28 de Dubaï, notamment sur la sortie des énergies fossiles, peinent à se traduire en actes. Seuls 25 pays – dont la Norvège, la Somalie et Belize – ont soumis à ce jour à l’ONU leur plan climatique mis à jour, pourtant attendu depuis février. La date limite a, ainsi, été repoussée à septembre prochain.

Les grandes puissances émettrices comme la Chine, l’Inde et l’Union européenne (UE) manquent toujours à l’appel – cette dernière étant divisée sur une cible de réduction des émissions de 90 % d’ici 2040.

Autre sujet de discorde : les financements climatiques

Les pays du Sud réclament plus de fonds publics pour faire face aux effets du réchauffement, dénonçant l’insuffisance des 300 milliards de dollars promis d’ici 2035 à la COP29 de Bakou. La demande de l’Inde d’inscrire à l’agenda de la COP30 un point sur les obligations financières des pays riches a tout simplement été rejetée par ces derniers.

Dans ce climat de blocage, ONG et pays vulnérables lancent un cri d’alarme : ils estiment qu’il est urgent de reconnecter ces débats à la réalité des populations. « Le climat ne répond pas aux discours mais aux réductions d’émissions », a rappelé Alden Meyer, expert du think tank E3G.

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Sarra Zaafrani Zenzeri à la conférence internationale sur le financement du développement (Espagne)

La présidence du gouvernement a annoncé, dans un communiqué sur sa page officielle, que la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, effectue une visite officielle en Espagne pour participer à la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement.

 

la cheffe du gouvernement, Sarra Zaafrani Zenzeri, effectue, du 29 juin au 1er juillet 2025, une visite officielle à Séville, en Espagne, pour participer aux travaux de la quatrième Conférence internationale sur le financement du du développement organisée par le Royaume d’Espagne et l’Organisation des Nations unies.

 

Sarra Zaafrani Zenzeri effectue ce déplacement au nom du président de la République, Kaïs Saïed, qui a reçu une invitation du Roi d’Espagne Felipe VI.

De nombreux chefs d’État et de gouvernement du monde entier, ainsi que des représentants d’institutions financières internationales majeures, participent à cette conférence.

Cette rencontre a pour objectif de débattre des enjeux liés au développement sous toutes ses dimensions, en particulier économiques et sociales, ainsi que de la réforme du système mondial de financement.

La cheffe du gouvernement est accompagnée par la ministre des Finances, Mechket Slama Al Khaldi, ainsi que par plusieurs responsables de la présidence du gouvernement et des ministères des Affaires étrangères, des Finances, de l’Économie.

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Les fondamentaux de la croissance restent solides pour l’Indonésie

Au cours des dernières décennies, l’Indonésie s’est distinguée par ses performances exceptionnelles en matière de croissance économique et de stabilité. Entre 2000 et 2024, l’économie indonésienne a enregistré un taux de croissance moyen de 5 %. Il s’agit là d’une performance remarquable pour le quatrième pays le plus peuplé du monde, qui a su faire face à une période difficile marquée par la crise financière mondiale et la pandémie de Covid-19.

À la fin de l’année dernière, un ralentissement de l’activité économique a commencé à se manifester, dans un contexte d’incertitude post-électorale, de baisse des prix des matières premières et d’un resserrement de la politique monétaire. Cette année, le « Jour de la Libération » proclamé par le président Trump a imposé des droits de douane généralisés à ses partenaires commerciaux dans le monde entier, menaçant de provoquer d’importantes perturbations dans l’économie mondiale. Les États-Unis ont imposé un tarif de 32 % sur les produits indonésiens, ce qui constitue une menace significative pour son secteur exportateur. Ces tarifs ont ensuite été « suspendus », alors que la nation d’Asie du Sud-Est travaille à un accord incluant des tarifs préférentiels sur les produits américains, un meilleur accès à ses minéraux critiques et des importations de carburant américain plus importantes.

L’Indonesia Activity Tracker (IAT) est un baromètre opportun qui permet de mesurer l’élan de l’économie indonésienne, en résumant les informations issues des principaux indicateurs d’activité à haute fréquence. Après avoir atteint un pic de croissance de 5,3 % en glissement annuel en octobre, le rythme de croissance a commencé à se modérer, jusqu’à se stabiliser autour du taux moyen de long terme de 5 %.

Malgré cette stabilisation apparente, une incertitude importante demeure sur la scène mondiale. À notre avis, en dépit de vents contraires considérables, les perspectives macroéconomiques restent positives pour l’Indonésie. Dans cet article, nous examinons les trois principaux facteurs qui soutiennent nos perspectives.

Premièrement, la consommation restera un moteur robuste de la croissance cette année. La consommation représente 55 % de l’économie indonésienne et constitue donc un facteur majeur déterminant la performance économique du pays. La vigueur de la consommation est soutenue par un marché du travail résilient, qui a connu une reprise remarquable depuis la pandémie de Covid-19. Le taux de chômage est passé d’un pic de 7,1 % en 2020 à 4,8 % selon les dernières données de 2025, atteignant son niveau le plus bas depuis 1998. Pour soutenir les dépenses des ménages, le gouvernement indonésien a annoncé ces derniers mois une série de mesures de relance, notamment des réductions substantielles des tarifs d’électricité pour 79 millions de foyers, une aide alimentaire pour 18,3 millions de familles à faible revenu, ainsi que des transferts d’argent pour les travailleurs à faible revenu. La résilience du marché du travail, associée aux politiques de soutien du gouvernement, apportera un appui considérable à la consommation cette année.

Indicateur d’Activité de l’Indonésie

(% de variation en glissement annuel)Source: Capital Economics, QNB analysis


Source: Capital Economics, QNB analysis

Deuxièmement, une inflation maîtrisée et la stabilisation de la roupie indonésienne (IDR) ont permis à la Banque d’Indonésie de mettre en œuvre des mesures monétaires expansionnistes. Le taux d’inflation annuel est resté confortablement contenu cette année, proche de la limite inférieure de la fourchette cible de 1,5 à 3,5 % définie par la politique monétaire.

De plus, la roupie a retrouvé une certaine stabilité, s’appréciant d’environ 3,5 % depuis son point le plus bas historique enregistré le 9 avril. Une faible inflation et une IDR plus stable ont permis à la Banque d’Indonésie de réduire son taux directeur de 25 points de base en mai pour le fixer à 5,5 %, soit la troisième baisse depuis septembre dernier. En outre, la banque centrale a mis en œuvre une série de mesures destinées à stimuler le crédit dans l’économie, notamment la réduction des exigences de réserves, l’augmentation des plafonds de financement externe pour les banques locales, l’engagement à acheter pour 9,3 milliards USD d’obligations gouvernementales sur le marché secondaire, ainsi que l’allocation de 7,9 milliards USD pour le programme de logements abordables de l’État, entre autres. Ainsi, les conditions monétaires sont réunies pour stimuler l’élan économique.

Troisièmement, l’Indonésie continue de développer un portefeuille solide de projets d’infrastructure à grande échelle et d’investissement en capital (CAPEX) qui soutiendra les flux d’investissements et renforcera la capacité de production. L’investissement dans les infrastructures devrait rester l’une des principales priorités de la nouvelle administration. D’importants projets sont en cours dans des secteurs tels que les transports (routes, chemins de fer, aéroports et ports), l’énergie (y compris les énergies renouvelables et une grande raffinerie), ainsi que les infrastructures nécessaires au fonctionnement de nouvelles usines de fabrication. De plus, le fonds souverain nouvellement lancé, Danantara, a reçu le mandat de cibler des projets dans le traitement des ressources naturelles et le développement de l’intelligence artificielle. L’investissement public viendra renforcer le maintien d’un niveau sain d’investissement global, qui devrait rester supérieur à 30 % du PIB et contribuer à un rythme de croissance économique soutenu.

 

Dans l’ensemble, bien que des vents contraires significatifs devraient entraîner un ralentissement non négligeable de la croissance économique, les fondamentaux macroéconomiques de l’Indonésie demeurent solides, portés par une consommation résiliente, des mesures de relance monétaire, et un portefeuille robuste de projets d’infrastructure et d’investissement.

Source: IMF World Economic Outlook, QNB analysis

D’après analyse QNB

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Deux étrangers condamnés à 40 ans de prison pour trafic de drogue

La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a condamné deux ressortissants étrangers à 40 ans de réclusion.

Ces derniers ont été reconnus coupables d’avoir introduit des stupéfiants sur le territoire tunisien dans le but de les revendre, notamment dans des boîtes de nuit et à des jeunes, moyennant rémunération, rapporte un média de la place. Cette condamnation est aussi assortie d’une amende de 200 000 dinars.

Ils ont été poursuivis pour appartenance à un réseau de trafic de drogue et pour détention de substances classées dans le tableau B, en vue de leur commercialisation.

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L’APAL à la tâche dans 46 plages de Nabeul

L’Agence de protection et d’aménagement du littoral (APAL) poursuit ses interventions estivales sur 46 plages du gouvernorat de Nabeul, dans le cadre de son programme national de nettoyage lancé le 15 mai et prévu jusqu’à fin septembre 2025.

Un programme national pour des plages propres

Sous le slogan « Profite de l’été et garde la plage propre », l’initiative vise à renforcer les efforts des municipalités côtières en matière d’hygiène et à préserver l’attrait touristique du littoral tunisien.
Selon Nabil Mokhtar, coordinateur du programme et chef du service des études et de l’aménagement des plages à l’APAL, 46 plages sont concernées à Nabeul : 23 plages touristiques et 23 plages publiques, sur un total de 133 plages réparties le long des 192 km de côtes tunisiennes.

Des actions coordonnées et régulières

Les opérations de nettoyage et de tamisage sont menées en collaboration avec les municipalités locales et le commissariat régional au tourisme, et financées conjointement par l’APAL et le Fonds de protection des zones côtières (FPZC).

Une commission spécialisée se réunit avant chaque saison estivale pour identifier les plages les plus fréquentées, afin de cibler les interventions. Les plages touristiques bénéficient ainsi de 17 à 23 interventions par été, contre 9 à 11 pour les plages publiques.

Des déchets en majorité plastiques

Chaque intervention permet de ramasser d’importantes quantités de déchets, dont environ 85 % sont en plastique — une menace sérieuse pour la biodiversité marine, mais aussi pour la santé des citoyens.

En parallèle, l’APAL mène des campagnes de sensibilisation pour encourager les estivants à adopter des comportements respectueux de l’environnement : jeter ses déchets dans les conteneurs prévus, éviter de les abandonner sur le sable, et prendre conscience que tout détritus laissé sur la plage finit souvent… dans la mer.

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Un Tunisien au Conseil des Sages de SOS Villages d’Enfants

Mohamed Megdiche, président de SOS Villages d’Enfants Tunisie, a été élu membre du Conseil des Sages de la Fédération internationale SOS Villages d’Enfants, représentant la région Afrique de l’Ouest, du Centre et du Nord. L’élection s’est tenue lors de l’Assemblée générale élective à Vienne (Autriche), du 26 au 28 juin 2025.

Selon une publication officielle de l’association tunisienne, cette élection marque une avancée significative pour la Tunisie : « Cette présence permettra de faire entendre la voix du modèle tunisien dans le domaine de la protection des enfants sans soutien familial ».

Le Conseil des Sages est un organe stratégique de la Fédération, composé de 13 membres représentant différentes régions du monde. Il joue un rôle consultatif et d’orientation auprès de l’organisation.

La Fédération internationale SOS Villages d’Enfants est présente dans 138 pays et vient en aide, chaque année, à environ 2,9 millions d’enfants, à travers des programmes de soutien familial, d’éducation et de protection.

En Tunisie, l’association a connu un développement rapide : de 900 enfants pris en charge en 2019, elle soutient aujourd’hui près de 6 000 bénéficiaires en 2025. Cette progression est le fruit de réformes structurelles majeures dans les domaines de la prise en charge, de la réinsertion et du suivi familial.

Avec TAP

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Hammamet : 36 spectacles pour la 59e édition du Festival international

Du 11 juillet au 13 août 2025, le Centre Culturel International de Hammamet accueillera la 59e édition du Festival International de Hammamet (FIH), sous le slogan évocateur « Continuous Vibes ». Cette nouvelle édition promet un véritable voyage artistique à travers 33 soirées et 36 spectacles issus de 15 pays, mêlant musique, théâtre et danse dans un cadre emblématique : la Maison de la Méditerranée pour la Culture et les Arts.

Une ouverture vibrante et un hommage poignant

Le festival s’ouvrira avec « Ragouj – Le Spectacle », adaptation scénique de la série ramadanesque à succès. Mis en scène par Abdelhamid Bouchnak et accompagné des compositions de Hamza Bouchnak, ce spectacle mêlera musique live — interprétée par un orchestre de 40 musiciens — et chorégraphies signées Oumaima Manai. Ce moment inaugural sera également un hommage au rappeur tunisien Ahmed Laabidi, alias Kafon, disparu le 10 mai 2025.

Une programmation éclectique et internationale

Porté par la diversité, le FIH 2025 fera dialoguer les genres et les cultures : tarab, flamenco, raï, gnawa, jazz, électro, salsa, musiques africaines, mais aussi musique symphonique et classique. Parmi les têtes d’affiche, citons Lotfi Bouchnak, Saber Rebai, Balti, Ghazi Ayadi (Tunisie), Wael Jassar (Liban), Cheb Mami (Algérie), Naïka (Haïti/France), Noël Kharman (Palestine), Nass El Ghiwane (Maroc), Yuri Buenaventura (Colombie), ou encore Bassekou Kouyaté (Mali).

Des projets innovants viendront enrichir cette offre musicale, à l’image de « Sinouj Odyssey » de Benjemy, « Osool » de Yacine Boularès, ou « 24 Parfums – Les Étoiles Symphoniques » de Mohamed Ali Kammoun.

Théâtre, danse et mémoire collective

Le théâtre tunisien sera à l’honneur avec quatre créations majeures, dont « Mère des pays » de Hafedh Khalifa, fresque historique sur Abou Zakaria El Hafsi, et « Ad Vitam » de Leila Toubel, performance engagée et personnelle. Fadhel Jaziri, pour sa part, signera « Au violon », une plongée dans la mémoire musicale tunisienne, tandis que « La Dame de Kerkoine », pièce historique aux accents punico-phéniciens, évoquera les guerres antiques entre Carthage et Rome.

La danse ne sera pas en reste, avec notamment « Arboune » d’Imed Jemaa, un spectacle introspectif sur la condition de l’artiste tunisien dans l’ère post-Covid.

Un clin d’œil à la chanson française

La soirée « Symphonica » fera la part belle au patrimoine musical français, rendant hommage à Dalida, Charles Aznavour et Édith Piaf, avec les interprétations de la chanteuse tunisienne Zeineb Oueslati et du Français Philippe Cavaillé, connu pour ses reprises d’Aznavour.

Une clôture symbolique et féminine

Le festival s’achèvera le 13 août, date coïncidant avec la Journée nationale de la femme tunisienne, par un concert de tarab dédié à la femme, signé par Nabiha Karaouli.

Billetterie en ligne

Cette année, l’accès au festival se fait exclusivement via la billetterie en ligne, accessible sur le site officiel : festivaldehammamet.com


Programme complet :

  • 11 juillet : « Ragouj – Le Spectacle » (Tunisie)

  • 12 juillet : « La Nuit des Chefs » – Orchestre Symphonique Tunisien (Tunisie)

  • 13 juillet : Hind Ennaira (Maroc), Djazia Satour (Algérie)

  • 14 juillet : Naïka (Haïti / France)

  • 15 juillet : RUST (Syrie/Liban), Alsarah and The Nubatones (Soudan)

  • 16 juillet : « Mère des pays » – Hafedh Khalifa (Tunisie)

  • 17 juillet : « Jathb », Soudeni (Tunisie)

  • 18 juillet : « Ad Vitam » – Leila Toubel (Tunisie)

  • 19 juillet : Yuri Buenaventura (Colombie)

  • 20 juillet : Noël Kharman (Palestine)

  • 21 juillet : « Sinouj – Odyssey » – Benjemy (Tunisie)

  • 22 juillet : « Dialogue des cordes 2 » – Kamel Ferjani (Tunisie)

  • 23 juillet : Addict Ameba (Italie)

  • 24 juillet : Siilawy (Jordanie)

  • 25 juillet : « 24 Parfums » – Mohamed Ali Kammoun (Tunisie)

  • 26 juillet : Wael Jassar (Liban)

  • 27 juillet : Nass El Ghiwane (Maroc)

  • 28 juillet : « La Dame de Kerkoine » – Wajdi Gaidi et Houssem Sahli (Tunisie)

  • 29 juillet : Al Shami (Syrie)

  • 30 juillet : Las Migas (Espagne)

  • 31 juillet : Lotfi Bouchnak (Tunisie)

  • 1er août : « Habit Zamani » – Ghazi Ayadi (Tunisie)

  • 2 août : Saber Rebai (Tunisie)

  • 3 août : Robyn Bennett (USA / France)

  • 4 août : Balti (Tunisie)

  • 5 août : Koum Tara (Algérie / France)

  • 6 août : « Arboune » – Imed Jemaa (Tunisie)

  • 8 août : Cheb Mami (Algérie)

  • 9 août : « Sinfonica – Spécial Tubes Français » (Tunisie / France)

  • 10 août : « Au violon » – Fadhel Jaziri (Tunisie)

  • 11 août : Bassekou Kouyaté and Ngoni Ba (Mali)

  • 12 août : « Osool » (Tunisie / France)

  • 13 août : Nabiha Karaouli (Tunisie)

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Kerkennah : possibles perturbations ce week-end

La Société Nouvelle de Transport Kerkennah (SONOTRAK) a annoncé ce vendredi 28 juin, d’éventuelles perturbations dans les traversées maritimes entre Sfax et l’archipel de Kerkennah, à compter de la soirée du samedi 28 juin, et durant toute la journée du dimanche 29 juin.

Dans un communiqué, l’entreprise évoque des « conditions météorologiques défavorables » susceptibles d’entraîner des modifications dans les horaires prévus. Cette alerte fait suite au bulletin météorologique spécial n°119, émis par l’Institut national de la météorologie (INM), signalant des vents violents et une mer agitée près des côtes.

SONOTRAK appelle les usagers à rester attentifs aux mises à jour, précisant que tout changement sera communiqué en temps réel.

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Été 2025 : canicule et sécheresse en vue

L’été 2025 s’annonce plus chaud et plus sec que la normale, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Des températures supérieures aux moyennes saisonnières sont attendues sur tout le territoire entre juin et août, accompagnées de très faibles précipitations. 

Dans son bulletin des prévisions saisonnières pour juin-juillet-août 2025, l’INM annonce un été qui sera marqué par des températures nettement supérieures aux normales saisonnières, calculées sur la période de référence 1991-2020. Les températures moyennes estivales devraient osciller entre 24,3 °C et 32,3 °C, avec peu d’espoir de fraîcheur.

La tendance à un été sec se confirme également : les précipitations resteront très faibles, avec des cumuls ne dépassant pas 65 mm sur toute la saison. L’ensemble du pays est concerné par ce déficit hydrique, qui pourrait accentuer les risques de sécheresse et d’incendies.

Voici les températures prévues pour juillet et août 2025

Juillet :

  • Températures moyennes entre 25 °C et 33,5 °C

  • Températures maximales moyennes : 30,5° C à 41,2 °C

  • Précipitations très faibles : moins de 15 mm.

Août :

  • Températures moyennes entre 25,3 °C et 33,2 °C

  • Températures maximales moyennes : 31,3°C à 40,7 °C

  • Cumul pluviométrique : généralement inférieur à 30 mm.

Avec ces conditions, l’été 2025 pourrait donc battre de nouveaux records de chaleur et renforcer les épisodes de sécheresse. Vigilance recommandée pour les secteurs agricoles, forestiers et sanitaires.

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La Corse dit “oui” à la reconnaissance de l’État palestinien – avant la France

L’Assemblée de Corse a voté ce vendredi 27 juin 2025 une motion symbolique mais forte : la reconnaissance officielle de l’État palestinien dans les frontières de 1967. Elle devance ainsi l’État français et appelle aussi à l’application du mandat d’arrêt international contre Benjamin Netanyahou.

Réunie en session plénière, l’Assemblée de la collectivité de Corse a adopté une motion intitulée : « Soutien au peuple palestinien et violations du droit international par l’État israélien dans la bande de Gaza ». Le texte affirme clairement : « La Corse reconnaît officiellement l’État de la Palestine dans les frontières de 1967 », rapporte 20minutes.fr.

Il s’agit d’une prise de position forte, bien que principalement symbolique, dans un contexte où la France, par la voix d’Emmanuel Macron, n’a fait qu’envisager une telle reconnaissance.

Ce geste politique survient dans un contexte particulier, en ce sens que, sur le plan intérieur, la Corse poursuit ses discussions avec Paris pour obtenir un statut d’autonomie renforcée, selon 20minutes.fr.

En tout cas, par ce vote, elle prend une longueur d’avance sur l’État français en matière de diplomatie symbolique, et pourrait peut-être pousser Macron à franchir le pas.

A noter que la motion a été présentée par Marie-Antoinette Maupertuis, présidente de l’Assemblée de Corse, avec le soutien des partis nationalistes Fa Populu Inseme et Core in Fronte. Elle a été adoptée à une large majorité.

Une demande claire sur Netanyahou

Autre point saillant de la motion : elle appelle les autorités françaises à appliquer le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), émis le 21 novembre 2024 à l’encontre de Benjamin Netanyahou, le Premier ministre israélien. Ainsi, le texte demande explicitement que toute personne poursuivie par la CPI soit arrêtée si elle entre sur le territoire français.

Pour rappel, Michel Barnier, alors Premier ministre, avait affirmé que la France respecterait « rigoureusement » ses obligations internationales en ce sens.

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Tunisair ajuste ses horaires en raison de perturbations du trafic aérien

Tunisair, la compagnie aérienne nationale, a annoncé ce samedi  28 juin 2025 que certains de ses vols subiront des modifications d’horaires en raison de perturbations généralisées du trafic aérien.

La compagnie précise avoir mis en place des mesures pour atténuer les désagréments causés, et souligne que ses services s’efforcent de tenir les passagers concernés informés par SMS et courriel.

Avec TAP

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L’augmentation de l’inflation en France et en Espagne n’inquiète pas la BCE

L’inflation a augmenté en France et en Espagne, mais pas suffisamment pour inquiéter les responsables de la Banque centrale européenne (BCE), qui sont optimistes quant au fait que l’objectif de 2% dans l’UE sera progressivement atteint cette année.

Les prix en France ont augmenté de 0,8% sur un an en juin, contre une baisse de 0,6% en mai, au-dessus de leur plus bas niveau depuis plus de quatre ans et légèrement au-dessus des attentes, a annoncé vendredi 27 juin l’Insee. En Espagne, ils ont augmenté de 2,2%, et ce, conformément aux estimations des analystes.

Ces chiffres reflètent une inflation relativement faible dans les 20 pays de la zone euro, ce qui a permis à la BCE de baisser ses taux d’intérêt à huit reprises en un an. Après un possible repli sous l’objectif en 2026, la Banque centrale estime qu’une économie plus forte, portée par une hausse des dépenses militaires et d’infrastructures, ramènera la croissance des prix à 2% en 2027.

La hausse de l’inflation en France a été tirée par les services (+2,4%, contre 2,1% en mai). En revanche, les prix manufacturiers ont baissé de 0,2% pour le deuxième mois consécutif, tandis que la baisse des prix de l’énergie a été moins marquée.

La deuxième économie de la région perd du terrain alors que le paysage politique instable, dans lequel le gouvernement minoritaire du Premier ministre, François Bayrou, tente de faire passer des réductions de dépenses, nuit au sentiment des entreprises et des ménages.

Des données distinctes de l’Insee ont montré que la croissance mensuelle des dépenses de consommation a ralenti à 0,2% en mai, contre 0,5% en avril, en raison d’une baisse des dépenses en produits alimentaires et industriels. Ce chiffre est toutefois légèrement supérieur à la prévision médiane de 0,1% d’une enquête Bloomberg.

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Décret 54 en révision : La commission législative lance les auditions des initiateurs

 Yasser Ghorari, président de la commission du Législation générale, a confirmé, ce samedi, dans une déclaration à Mosaïque FM, que la dernière réunion de la commission a acté l’organisation d’une audition des initiateurs de la révision du décret-loi 54, avant d’entamer des consultations avec les autres parties concernées.

Outre la réforme du décret 54, la commission a également fixé des dates pour examiner une initiative législative relative à la protection de la propriété intellectuelle des personnes en situation de handicap, ainsi qu’un projet de loi visant à réprimer les agressions contre les cadres éducatifs. Ghorari a précisé que les travaux sur la modification de l’article 96 du Code pénal se poursuivront dès la semaine prochaine, avec des auditions d’experts et d’universitaires afin de peaufiner le texte. Cette étape marque la phase finale avant la finalisation du rapport de la commission et sa transmission au bureau de l’ARP pour la fixation d’une séance plénière.

Par ailleurs, la commission du Législation générale continue d’étudier les projets de loi relatifs à l’organisation des professions des notaires et des conseillers fiscaux, dans le cadre d’une modernisation globale du secteur. Ces travaux s’inscrivent dans une dynamique législative intense, marquée par la volonté d’adapter le cadre juridique aux évolutions sociales et économiques.

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Chute des dépenses de consommation aux États-Unis en mai

Les dépenses de consommation aux États-Unis ont enregistré leur plus forte baisse en mai, ce qui indique une incertitude accrue autour des politiques économiques de Donald Trump.

Les dépenses de consommation personnelle – ajustées à l’inflation – ont diminué de 0,3%, selon les données du Bureau of Economic Analysis (BEA) publiées vendredi 27 juin.

La mesure de l’inflation de la Fed – la Réserve fédérale -, le PCE de base hors alimentation et énergie, a augmenté de 0,2% en mai, légèrement plus que prévu mais cohérent avec les signes de pressions limitées sur les prix, tandis que le taux d’augmentation annuel s’est établi à 2,7%.

L’inflation s’est modérée jusqu’à présent en 2025, même si de nombreux économistes prévoient une accélération dans les mois à venir, les entreprises répercutant de plus en plus la hausse des tarifs douaniers sur les ménages.

Les dernières données indiquent une demande des ménages atone, notamment dans le secteur des services.

Entre autres choses, les achats de véhicules ont enregistré une « baisse », après le « bond » survenu en mars et avril, lorsque les Américains se sont lancés dans des dépenses frénétiques pour empêcher la mise en place des tarifs douaniers.

Pendant ce temps, les revenus personnels ont chuté en mai du pourcentage le plus élevé depuis 2021. Les salaires ont augmenté de 0,4% pour un deuxième mois, tandis que le taux d’épargne est tombé à 4,5%.

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Formation exclusive : les clés pour réussir les projets de sociétés communautaires

Le ministère de l’Emploi et de la Formation professionnelle a organisé une session de formation intensive les 27 et 28 juin au Centre national de formation des formateurs et d’ingénierie de la formation à l’intention des directeurs régionaux. Cette initiative vise à renforcer leurs compétences dans l’accompagnement des sociétés communautaires, un modèle clé pour la création d’emplois et le développement local.

Selon un communiqué du ministère, la formation a porté sur les fondamentaux des sociétés communautaires, incluant leurs dimensions juridiques, économiques, sociales et environnementales. Les participants ont été formés sur les procédures de création, le rôle du Registre national des entreprises, la gouvernance de ces structures ainsi que leurs aspects fiscaux et financiers.

Intervenant lors de cette session, le ministre Riadh Chaoued a mis en avant le rôle des sociétés communautaires comme modèle socio-économique alternatif pour répondre aux défis de création d’emplois et de richesses. Il a souligné l’importance d’améliorer leur gouvernance et de renforcer l’accompagnement personnalisé afin de lever les obstacles opérationnels.

Le ministre a également insisté sur la nécessité d’un suivi rigoureux basé sur des indicateurs de performance mesurables pour assurer un développement équilibré. Enfin, il a appelé l’ensemble des acteurs concernés à proposer des solutions concrètes aux difficultés rencontrées par certaines sociétés communautaires dans leur fonctionnement.

Cette formation s’inscrit dans le cadre des efforts du ministère pour professionnaliser l’écosystème des sociétés communautaires, considérées comme un levier essentiel pour l’économie sociale et solidaire. Un plan d’action régionalisé devrait être déployé prochainement pour mettre en application les acquis de cette session.

Avec TAP

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BCT : Les réserves en devises couvrent désormais 100 jours d’importation

Les réserves nettes en devises de la Tunisie ont atteint 23,18 milliards de dinars à la date du 27 juin 2025, soit l’équivalent de 100 jours d’importation, selon les derniers indicateurs monétaires et financiers publiés par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

Par rapport au mois précédent (27 mai 2025), ces avoirs ont progressé de 612 millions de dinars, gagnant ainsi deux jours d’importation supplémentaires. Les données de la BCT révèlent également une augmentation des revenus du travail, passant de 3,4 milliards de dinars (au 20 juin 2024) à 3,7 milliards de dinars (au 20 juin 2025).

Par ailleurs, les recettes touristiques ont atteint 3,02 milliards de dinars, confirmant la reprise du secteur. En revanche, les services de la dette extérieure se sont élevés à 7,6 milliards de dinars, selon la même source. Cette amélioration des réserves de change devrait contribuer à renforcer la stabilité financière du pays dans un contexte économique mondial incertain.

Avec TAP

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Une nouvelle équipe à l’ATIP pour relever les défis de la plasturgie

À l’heure où la plasturgie tunisienne se réinvente pour répondre aux enjeux de la décarbonation et de la révolution numérique, l’Association tunisienne des industriels de la plasturgie (ATIP) s’offre un nouveau souffle. Portée par une équipe dirigeante renouvelée, l’ATIP s’engage à guider la filière vers une industrie plus verte et plus intelligente.

Ainsi, les membres de l’ATIP se sont réunis pour écrire un nouveau chapitre de leur histoire. Après six années de présidence, Chekib Debbabi a transmis le flambeau à Rami Kessentini, dirigeant de Plasti-ka. 

La nouvelle équipe, composée de représentants de sociétés phares telles que Clayens, Sartorius, Magriplast, Decoplast, SKG et Amcor, a une ambition claire : faire de la plasturgie tunisienne un modèle de transformation durable.

Depuis sa création en 2019 sous l’impulsion de la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-française, l’ATIP fédère les acteurs majeurs du secteur, en majorité exportateurs et à capitaux franco-tunisiens ou mixtes, œuvrant dans des domaines aussi stratégiques que l’automobile, le médical ou l’aéronautique.

 

 

Mais aujourd’hui, l’enjeu dépasse la simple compétitivité. La filière s’engage résolument sur la voie de la décarbonation, avec des programmes de formation et d’accompagnement pour réduire l’empreinte carbone de la production.

Parallèlement, l’intégration de l’intelligence artificielle dans les processus industriels s’impose comme un levier incontournable pour optimiser la performance, la qualité et la traçabilité.

À travers ces axes stratégiques, l’ATIP entend propulser la plasturgie tunisienne vers l’excellence, en conjuguant savoir-faire, innovation et responsabilité environnementale. Un défi de taille, mais aussi une opportunité pour toute une industrie de se réinventer et de s’inscrire durablement dans les standards internationaux.

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La Tunisie renforce sa coopération avec le Fonds saoudien de développement

La Tunisie renforce sa coopération avec le Fonds saoudien de développement pour soutenir la sécurité alimentaire et la gestion durable de l’eau. C’est ce qui ressort du partenariat fructueux entre la Tunisie et le Fonds saoudien de développement, notamment dans le secteur agricole, considéré comme un pilier fondamental pour garantir la sécurité alimentaire face aux défis posés par le changement climatique.

Il convient de rappeler que cette convention a été signée par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, ainsi que par le directeur général du Fonds saoudien de développement, Sultan Ben Abdelrahman Al-Murshid, en présence du général Faïz Ben Rejeb, directeur général du bureau de Régim Maatoug pour le développement du Sud et du Sahara, et de l’ambassadeur  de l’Arabie saoudite en Tunisie, Abdelaziz Ben Ali Al-Saqr.

Ezzeddine Ben Cheikh, ministre de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche, a fait savoir dans une déclaration sur les ondes de Mosaique fm récemment l’engagement de la Tunisie à accroître la productivité et la durabilité du secteur, tout en modernisant les infrastructures agricoles. Cela passe par des investissements dans des projets d’irrigation, l’optimisation de la gestion de l’eau, l’utilisation accrue des eaux non conventionnelles, ainsi que le dessalement et le traitement des eaux usées. Ces efforts visent à lutter contre la pénurie d’eau et à promouvoir le recours aux énergies alternatives.

En outre, il  a souligné que la réalisation de ces ambitions nécessite une collaboration étroite entre toutes les parties prenantes. Il a assuré que son ministère reste déterminé à apporter le soutien nécessaire et à œuvrer collectivement pour un développement agricole durable.

Le ministre a également mis en avant l’importance de la collaboration historique avec le Fonds saoudien de développement, active depuis 1984. Ce partenariat a permis de financer des projets agricoles majeurs pour un montant global d’environ 776 millions de dinars, dont le projet de développement agricole intégré à Sidi Bouzid, le projet de développement agricole à Ghezala, Joumine et Sejnane dans le gouvernorat de Bizerte (actuellement en seconde phase), ainsi que le projet d’amélioration de l’accès à l’eau potable en zone rurale à Bizerte. 

Ces initiatives seront prochainement complétées par la création d’un pôle oasien à Tataouine, fruit d’un accord de financement entre la Tunisie et l’Arabie Saoudite, qui devrait insuffler une nouvelle dynamique au sud du pays.

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