Festival de lâASBU : la programmation dĂ©voilĂ©e Ă Yasmine-Hammamet
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Le prĂ©sident fondateur de lâUnion professionnelle dâindustrie cinĂ©matographique et audiovisuelle (UPICA), Mohamed Ali Ben Hamra, a annoncĂ© dans un communiquĂ© sur son compte officiel que lâARP examine un projet de loi pour la rĂ©forme du secteur cinĂ©matographique en Tunisie.
Voici la traduction du texte :
Un projet de loi trĂšs attendu est actuellement Ă lâĂ©tude Ă lâAssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple. Il vise une refonte complĂšte du cadre juridique rĂ©gissant un secteur restĂ© marginalisĂ© pendant de longues dĂ©cennies.
Selon les experts entendus lors de la sĂ©ance, la Tunisie a Ă©tĂ© pionniĂšre dans lâorganisation du secteur cinĂ©matographique dĂšs les annĂ©es 1960. Cependant, celui-ci a connu un fort dĂ©clin Ă partir des annĂ©es 1990, en raison dâun arsenal juridique devenu obsolĂšte. Le projet de loi en question entend rĂ©pondre aux attentes des professionnels, en modernisant les textes, en simplifiant les procĂ©dures et en relançant une dynamique dans ce secteur stratĂ©gique au fort potentiel Ă©conomique et culturel. Les intervenants ont soulignĂ© que lâobjectif est de construire une industrie cinĂ©matographique rentable, gĂ©nĂ©ratrice dâemplois, crĂ©atrice de valeur ajoutĂ©e et intĂ©grĂ©e durablement au tissu Ă©conomique national.
Lâun des axes majeurs du projet porte sur la restructuration du Centre national du cinĂ©ma et de lâimage, Ă travers la clarification de ses missions, de ses sources de financement et du statut de ses agents. Il est proposĂ© de soumettre les agents du Centre aux dispositions de la loi n°85 relative au statut gĂ©nĂ©ral des agents des Ă©tablissements et entreprises publics. Les experts ont Ă©galement appelĂ© Ă la crĂ©ation de mĂ©canismes de financement alternatifs, notamment Ă travers la mise en place dâun fonds spĂ©cial dĂ©diĂ© Ă lâinvestissement dans les secteurs du cinĂ©ma et de lâaudiovisuel, inscrit dans la loi de finances 2026.
Les dĂ©putĂ©s prĂ©sents ont saluĂ© les mesures proposĂ©es pour dynamiser la production nationale, encourager lâinvestissement privĂ© et renforcer la prĂ©sence tunisienne dans les festivals internationaux. Toutefois, plusieurs parlementaires ont exprimĂ© leur regret face au recul du cinĂ©ma tunisien, quâils jugent Ă©vitable en lâabsence dâune rĂ©elle volontĂ© politique et dâune vision stratĂ©gique claire. Ils ont insistĂ© sur la nĂ©cessitĂ© de lever les obstacles structurels qui freinent les jeunes crĂ©ateurs, notamment en matiĂšre dâaccĂšs au financement, de lourdeurs administratives liĂ©es aux autorisations de tournage et de difficultĂ©s dâimportation du matĂ©riel technique.
La commission a conclu ses travaux en rĂ©affirmant son engagement Ă accĂ©lĂ©rer lâadoption du projet de loi, dĂšs la fin des auditions et des consultations avec les diffĂ©rentes parties concernĂ©es.
Donner un nouveau souffle Ă un secteur culturel stratĂ©gique longtemps nĂ©gligĂ©, malgrĂ© son potentiel pour porter haut lâimage de la Tunisie sur les scĂšnes rĂ©gionale et internationale. Ă travers ce projet, la Tunisie ambitionne de rĂ©concilier son riche passĂ© cinĂ©matographique avec les dĂ©fis actuels de lâĂ©conomie culturelle. GrĂące Ă une rĂ©forme structurelle, une gouvernance claire et des mĂ©canismes de financement innovants, le pays espĂšre relancer une industrie capable de crĂ©er, dâemployer et de rayonner Ă nouveau.
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Une coupure de la distribution de lâeau potable sera enregistrĂ©e ce soir Ă Hergla, Laaribette et partiellement Ă Chott Meriem (gouvernorat de Sousse), a annoncĂ© la SociĂ©tĂ© nationale dâexploitation et de distribution des eaux (SONEDE).
Cette interruption est due Ă une panne soudaine survenue au niveau du canal principal alimentant ces zones.
La reprise de lâapprovisionnement en eau potable se fera progressivement Ă partir de vendredi Ă 7h00.
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Lors dâun entretien accordĂ© Ă la chaĂźne KAN 11, le Premier ministre israĂ©lien a Ă©tĂ© interrogĂ© sur le nombre de missiles iraniens neutralisĂ©s depuis le dĂ©but du conflit. Il a rĂ©pondu que lâĂ©lĂ©ment crucial nâest pas le nombre de missiles visĂ©s, mais celui des lanceurs dĂ©truits.
Il a, en outre, affirmĂ© quâIsraĂ«l avait rĂ©ussi Ă Ă©liminer « plus de la moitiĂ© » des lanceurs iraniens en lâespace dâune semaine.
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La sĂ©lection tunisienne de handball juniors (U21) sâest inclinĂ©e face Ă son homologue serbe (33-38), lors de la deuxiĂšme journĂ©e du premier tour du Championnat du monde de la catĂ©gorie (Groupe G), disputĂ©e, jeudi 19 juin, Ă Kielce, en Pologne.
Le Sept national, dĂ©jĂ battu, mercredi 18 juin, par la Suisse (31-41), affrontera lâAllemagne ce samedi en clĂŽture du premier tour.
Mercredi 18 juin :
Tunisie â Suisse : 31-41
Jeudi 19 juin :
Tunisie â Serbie : 33-38
Samedi 21 juin (20h00) :
Tunisie â Allemagne
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Le ministĂšre des Affaires sociales a annoncĂ©, dans un communiquĂ© publiĂ©, jeudi 19 juin, quâun accord a Ă©tĂ© conclu avec le syndicat des agents de la Compagnie tunisienne de navigation (CTN), en vertu duquel la grĂšve initialement prĂ©vue les 20, 21 et 22 juin 2025 a Ă©tĂ© annulĂ©e. Cet accord fait suite Ă une rĂ©union de la commission centrale de conciliation, tenue au siĂšge du ministĂšre, en prĂ©sence du ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar.
Cette rĂ©union a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă lâexamen du prĂ©avis de grĂšve dĂ©posĂ© par lâUnion gĂ©nĂ©rale tunisienne du travail (UGTT), relatif Ă la dĂ©cision de grĂšve des agents de la CTN.
Pour rappel, la Fédération générale du transport avait annoncé, fin mai, que les agents de la CTN observeraient une grÚve du 20 au 22 juin 2025 pour protester contre la non-application des accords conclus dans le procÚs-verbal du 12 août 2024, portant notamment sur la prime de navigation et la régularisation de la situation des contractuels.
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Dans le cadre de sa campagne estivale de sensibilisation, le ministÚre de la Santé a publié une série de recommandations visant à prévenir les piqûres de scorpions et les morsures de serpents.
Parmi les principales consignes figurent la nĂ©cessitĂ© de prendre des mesures prĂ©ventives, notamment en veillant Ă la propretĂ© de lâenvironnement : arrachage des mauvaises herbes, Ă©limination des dĂ©chets, rĂ©paration des fissures dans les murs et les toitures.
Le ministĂšre a Ă©galement insistĂ© sur lâimportance de dĂ©poser les ordures mĂ©nagĂšres loin des habitations et dâencourager lâĂ©levage de volailles et de canards, connus pour ĂȘtre des prĂ©dateurs naturels des reptiles.
Il est en outre recommandĂ© de porter des chaussures, surtout la nuit, et de vĂ©rifier lâabsence de scorpions ou de serpents dans les vĂȘtements et les lits avant leur utilisation.
En cas de piqûre ou de morsure, le ministÚre appelle à conduire rapidement la personne atteinte vers le centre de soins le plus proche, tout en évitant les traitements traditionnels, susceptibles de provoquer des complications.
Cette campagne sâinscrit dans le cadre des efforts du ministĂšre pour rĂ©duire les risques sanitaires liĂ©s Ă ces incidents, qui peuvent sâavĂ©rer dangereux, selon un document dâinformation transmis Ă lâagence TAP.
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Avec 67 % de la demande, le Cap Bon sâimpose comme la premiĂšre destination des Tunisiens en matiĂšre de location estivale, selon la plateforme digitale spĂ©cialisĂ©e dans le secteur immobilier, « Mubawab ».
Pour ce qui est des appartements, Hammamet Nord concentre à elle seule 33 % de la demande, suivie par la Cité El Wafa (23 %), indique la plateforme dans son guide consacré à la location estivale en 2025.
Les appartements S+1 les plus abordables sây trouvent en moyenne Ă 135 D/nuit, notamment Ă Hammamet Sud, dâaprĂšs ce guide qui sâest basĂ© sur les annonces publiĂ©es entre juin 2024 et mai 2025 sur le portail, consolidĂ©es avec les donnĂ©es fournies par les agences immobiliĂšres partenaires.
Quant aux villas, Hammamet Nord reste en tĂȘte avec 40 % des requĂȘtes, loin devant KĂ©libia (16%), Yasmine Hammamet (14%) et Hammamet Sud (14%). Les villas avec piscine dominent le marchĂ©.
« En termes de segmentation, les logements S+1 et S+2 constituent le cĆur de la demande locative, tandis que les villas avec piscine reprĂ©sentent le segment haut de gamme. »
à Hammam El Ghezaz, le marché locatif est plus spécifique : les logements de type S+1 y sont absents, et seuls les S+2 et S+3 génÚrent une réelle activité.
Le Sahel affiche les loyers les plus plus élevés :
Sâagissant du Sahel, il ne concentre que 13 % des recherches nationales, mais il se distingue par des loyers parmi les plus Ă©levĂ©s du pays.
« El Kantaoui » capte Ă lui seul 27 % des requĂȘtes, suivi par « Chott Meriem » (17 %).
Les villas avec piscine dans cette région (El Kantaoui, Chott Meriem et Monastir Ville) affichent des tarifs culminant à 1750 D/nuit.
Pour les petits appartements, Mahdia Ville propose les options les plus Ă©conomiques, avec des loyers Ă partir dâune moyenne de 170 D/nuit.
Le segment S+2 prĂ©sente une large amplitude tarifaire, avec une moyenne de 450 DT/nuit Ă El Kantaoui, contre un ticket dâentrĂ©e de 280 D Ă Mahdia.
En ce qui concerne lâĂźle de Djerba, elle prĂ©sente un marchĂ© polarisĂ©, avec 66 % des recherches concentrĂ©es sur la seule zone touristique, loin devant Midoun (15 %) et Tezdaine (13 %).
Les villas avec piscine y affichent un tarif moyen de 620 D/nuit, pouvant atteindre des pointes Ă 1 250 DT (en fonction du standing et de la capacitĂ© dâaccueil).
Les alternatives restent plus accessibles : Midoun abaisse la moyenne Ă 480 D, tandis quâAghir reste lĂ©gĂšrement au-dessus avec une moyenne de 530 D.
Les villas sans piscine, quant Ă elles, sont proposĂ©es Ă des prix bien infĂ©rieurs (320 D en moyenne), mais elles suscitent nettement moins dâintĂ©rĂȘt.
Sâagissant de Bizerte, elle reste encore peu prisĂ©e Ă lâĂ©chelle nationale, avec seulement 9 % des recherches.
Bizerte Nord attire 71 % des requĂȘtes, suivi par Ras Jebel (18 %).
Les appartements se louent en moyenne entre 150 D/nuit au centre-ville et 180 D/nuit sur la cĂŽte au nord.
Les villas avec piscine y affichent également des prix moyens compétitifs : 750 D à Rafraf et 870 D à Bizerte Nord. Sans piscine, les loyers chutent entre 290 et 350 D.
LâenquĂȘte menĂ©e par « Mubawab » a Ă©galement concernĂ© les demandes des Tunisiens rĂ©sidant Ă lâĂ©tranger. Il en ressort que ces derniers orientent, massivement leurs recherches vers trois destinations phares : Hammamet Nord, Djerba et KĂ©libia.
Leurs pays de provenance sont la France (34 %) et lâAlgĂ©rie (29 %), suivies par lâArabie saoudite, le Qatar, lâItalie et lâAllemagne.
Sur la plateforme, 67 % de la demande en matiÚre de location estivale concernent les appartements, dont 31% ciblent des résidences avec piscine . La villa, de son cÎté, attire 28 % des utilisateurs, et parmi ceux-ci, 86 % recherchent spécifiquement des villas avec piscine.
Du cĂŽtĂ© de lâoffre, la rĂ©partition suit une tendance similaire : 52 % des biens disponibles sont des appartements, contre 34 % de villas, dont 82 % disposent dâune piscine. En revanche, la villa sans piscine devient un bien rare, reprĂ©sentant seulement 18 % des annonces et 14 % de la demande.
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La Bourse de Tunis a terminĂ© la sĂ©ance de jeudi 19 juin, sur une note positive. Lâindice de rĂ©fĂ©rence, le Tunindex, a progressĂ© de 0,6 % pour atteindre 11 191 points, dans un volume dâĂ©changes limitĂ© Ă 4,5 millions de dinars (MD). Une transaction de bloc portant sur le titre AMEN BANK a dynamisĂ© la sĂ©ance, reprĂ©sentant une enveloppe de 1 MD, selon lâanalyse quotidienne de lâintermĂ©diaire en Bourse, Tunisie Valeurs.
Le titre CELLCOM sâest illustrĂ© en tĂȘte du palmarĂšs. Lâaction du distributeur de « smart devices » a grimpĂ© de 4,3 % Ă 1,930 D, dans un volume modeste de 8 mille dinars.
MONOPRIX figure Ă©galement parmi les meilleures performances. Le titre du spĂ©cialiste de la grande distribution a gagnĂ© 4 % pour sâĂ©tablir Ă 5,450 D, avec des Ă©changes sâĂ©levant Ă 19 mille dinars.
Ă lâinverse, STIP a accusĂ© la plus forte baisse de la sĂ©ance. Lâaction du fabricant de pneus a reculĂ© de 4,1 % Ă 2,790 D, sans gĂ©nĂ©rer de volume dâĂ©change.
Parmi les replis notables, le titre UADH a perdu 4 % à 0,480 D. Le holding automobile du groupe Loukil a enregistré un volume limité de 23 mille dinars.
Enfin, AMEN BANK a été la valeur la plus échangée de la séance, avec un volume de 1,1 MD. Malgré cette activité soutenue, le titre a cédé 0,8 % pour clÎturer à 37,600 D.
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RĂ©uni jeudi 19 juin, au palais du Bardo sous la prĂ©sidence de Brahim Bouderbala, le bureau de lâAssemblĂ©e des reprĂ©sentants du peuple (ARP) a fixĂ© au lundi 7 juillet la tenue dâune sĂ©ance plĂ©niĂšre consacrĂ©e Ă un dĂ©bat avec le ministre de lâEnseignement supĂ©rieur et de la Recherche scientifique.
Par ailleurs, trente-neuf questions écrites adressées aux membres du gouvernement ont été transmises à leurs destinataires.
Le bureau a mandatĂ© son prĂ©sident pour fixer la date dâune sĂ©ance plĂ©niĂšre consacrĂ©e Ă lâexamen du projet de loi portant ratification de lâaccord de prĂȘt conclu le 24 septembre 2024 entre la Tunisie et lâAgence française de dĂ©veloppement (AFD), destinĂ© Ă moderniser lâOffice national de la protection civile.
Le projet de loi approuvant lâaccord de garantie signĂ© le 12 mars 2025 entre la Tunisie et la SociĂ©tĂ© internationale islamique de financement du commerce (ITFC) a, quant Ă lui, Ă©tĂ© transmis Ă la Commission des finances. Cet accord concerne un contrat conclu avec la SociĂ©tĂ© tunisienne dâĂ©lectricitĂ© et de gaz (STEG) pour lâimportation de gaz naturel.
Enfin, deux initiatives parlementaires ont Ă©tĂ© renvoyĂ©es Ă la Commission de lâorganisation de lâadministration et de la bonne gouvernance. Il sâagit dâun projet dâamendement de la loi organique n° 2017-10 relative Ă la protection des lanceurs dâalerte, ainsi que dâune proposition de crĂ©ation dâune nouvelle municipalitĂ© regroupant les localitĂ©s dâ« El-Mansoura â Rabta â Telmine â Tennib â Tanbar » dans le gouvernorat de KĂ©bili.
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Le Forum tunisien pour les droits Ă©conomiques et sociaux (FTDES) a renouvelĂ©, jeudi 19 juin, son appel Ă la proclamation dâun Ă©tat dâurgence environnementale dans le golfe de Monastir. Lâorganisation plaide en faveur de mesures urgentes, mais aussi de solutions Ă moyen et long terme, afin de prĂ©server les Ă©cosystĂšmes menacĂ©s et de sauver les filiĂšres de production locales gravement affectĂ©es par la pollution persistante.
Constatant la persistance des rejets polluants, quâils soient domestiques ou industriels, issus des stations dâĂ©puration de lâOffice national de lâassainissement (ONAS) ainsi que des usines opĂ©rant dans la rĂ©gion de Sayada-Lamta-Bouhjar, le Forum tunisien pour les droits Ă©conomiques et sociaux (FTDES) a tirĂ© la sonnette dâalarme. Il dĂ©plore les nuisances olfactives Ă©manant de ces installations, la mort rĂ©currente de nombreuses espĂšces marines (poissons, crabesâŠ) ainsi que la coloration jaunĂątre de la mer dans cette zone, symptĂŽme dâune dĂ©gradation Ă©cologique alarmante.
Le FTDES a rappelĂ© le calvaire des habitants des villes du Golfe de Monastir, notamment Ă Ksibet El-MĂ©diouni, Lamta et Sayada, dĂ©nonçant lâinaction des autoritĂ©s face Ă la pollution engendrĂ©e par la station dâĂ©puration de Sayada-Lamta-Bouhjar. Hors service depuis plusieurs annĂ©es, cette station est Ă lâorigine de graves rĂ©percussions environnementales, Ă©conomiques et sociales.
Le Forum a Ă©galement pointĂ© du doigt le non-respect des engagements pris avec la sociĂ©tĂ© civile, notamment ceux portant sur la fermeture de la station et sa reconversion en station de pompage. Lâabsence de mise en Ćuvre de ces accords a suscitĂ© un mĂ©contentement grandissant au sein des communautĂ©s locales.
Réaffirmant le droit des citoyens à un environnement sain, le FTDES a exhorté les autorités environnementales à assumer pleinement leurs responsabilités juridiques et morales, en mettant un terme à cette situation critique et en poursuivant les responsables des violations environnementales.
Enfin, le Forum a mis en garde contre les consĂ©quences dâune telle inertie politique : le maintien de cette pollution chronique dans le Golfe de Monastir ne fera que renforcer le malaise social, alimenter le sentiment dâinjustice et dâexclusion, et Ă©roder davantage la confiance des citoyens envers les institutions de lâĂtat et leur capacitĂ© Ă garantir les droits fondamentaux.
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Ces initiatives visent principalement Ă rapprocher la recherche scientifique du tissu socioĂ©conomique tunisien, en facilitant la mobilitĂ© des jeunes chercheurs et en promouvant lâentrepreneuriat fondĂ© sur la recherche. Lâun des dispositifs phares prĂ©sentĂ©s concerne le programme MOBIDOC, soutenu Ă la fois par des fonds europĂ©ens et par le ministĂšre tunisien de lâEnseignement supĂ©rieur, Ă hauteur de 8 millions de dinars.
Ce programme offre Ă de jeunes doctorants et docteurs une double formation : scientifique, au sein des laboratoires, et professionnelle, en entreprise. Ce modĂšle de formation duale vise Ă amĂ©liorer lâemployabilitĂ© et Ă encourager lâintĂ©gration des chercheurs dans lâĂ©conomie rĂ©elle.
Selon M. Abdelly, la durée moyenne des projets est de 36 mois pour les doctorants et 24 mois pour les docteurs. Et chaque participant est accompagné sur les volets technologique, managérial et de propriété intellectuelle.
Ă ce jour, 859 projets ont Ă©tĂ© financĂ©s via ce programme, impliquant 425 partenaires issus dâentreprises, de centres de recherche et dâinstitutions, et mobilisant 165 structures de recherche. Les principaux secteurs ciblĂ©s sont lâagriculture, lâagroalimentaire et la santĂ©. PrĂšs de 80 % des projets sont portĂ©s par des jeunes chercheurs, avec une couverture territoriale Ă©tendue Ă lâensemble du pays. Bien que le Grand Tunis reste la rĂ©gion la plus reprĂ©sentĂ©e avec 47 % des projets.
Lâimpact du programme est notable. Plusieurs jeunes chercheurs ont créé leurs startup. Certains intĂ©grant directement le monde entrepreneurial, dâautres poursuivant leurs projets en tant que spin-offs universitaires.
LâANPR soutient Ă©galement le dĂ©veloppement des bureaux de transfert technologique (BTT), aujourdâhui au nombre de 25, et prochainement 27, rĂ©partis sur tout le territoire. Ces BTT jouent un rĂŽle essentiel dans la veille technologique, la protection des actifs intellectuels et la mise en relation entre chercheurs et entreprises.
Lâintervention de Chedly Abdelly a aussi mis en lumiĂšre des initiatives nouvelles visant Ă renforcer le lien entre jeunesse et science, telles que la crĂ©ation de « villages de la science » et de plateformes de diffusion scientifique dans les 24 gouvernorats, ainsi que des conventions avec des offices universitaires et des associations locales pour sensibiliser les jeunes aux mĂ©tiers scientifiques.
Parmi les programmes internationaux mentionnĂ©s figure PROMESSE, qui a permis lâaccompagnement de 20 spin-offs, dont 13 rien quâĂ lâuniversitĂ© de Sfax. Ce programme, cofinancĂ© Ă lâĂ©chelle internationale, propose un parcours structurĂ© depuis lâidĂ©ation jusquâĂ la mise en marche, avec la formation des porteurs de projets Ă la rĂ©daction de business plans viables.
Autre initiative : le projet PP, axĂ© sur la valorisation des rĂ©sultats de la recherche publique Ă travers les marchĂ©s publics. Face au faible niveau de maturitĂ© technologique de certains rĂ©sultats de recherche, lâANPR a misĂ© sur la constitution dâalliances entre laboratoires, startups et entreprises, notamment dans les domaines de la sĂ©curitĂ© alimentaire, de lâĂ©nergie et de lâeau.
M. Abdelly a Ă©galement insistĂ© sur les projets de coopĂ©ration transfrontaliĂšre, comme le programme PROMO avec la TSI, focalisĂ© sur les biotechnologies agricoles, ou le projet sur lâĂ©galitĂ© de genre dans les structures de recherche, qui a dĂ©bouchĂ© sur la mise en Ćuvre dâun plan dâĂ©galitĂ© Ă lâĂ©chelle de lâagence.
Enfin, la spĂ©cialisation intelligente rĂ©gionale a Ă©tĂ© citĂ©e comme axe stratĂ©gique pour aligner lâoffre de formation et de recherche sur les besoins spĂ©cifiques des rĂ©gions. LâANPR y voit un levier pour transformer les forces locales en projets structurants. Des masters ont Ă©tĂ© conçus sur mesure avec des partenaires maghrĂ©bins et europĂ©ens, et les chercheurs sont incitĂ©s Ă ancrer leurs travaux dans les rĂ©alitĂ©s Ă©conomiques locales.
Lâarticle Chedly Abdelly prĂ©sente MOBIDOC : 859 projets pour rapprocher recherche et entreprises est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.
« Plusieurs textes lĂ©gislatifs doivent ĂȘtre rĂ©visĂ©s afin de regagner la confiance des hommes dâaffaires tunisiens et dâattirer de nouveaux investisseurs Ă©trangers », a dĂ©clarĂ© le dĂ©putĂ© Ă lâAssemblĂ©e des ReprĂ©sentants du Peuple (ARP), Dhafer Seghiri, lors de la rencontre « 90 minutes avec lâIACE », organisĂ©e, mercredi 18 juin, sur le thĂšme : « Les propositions Ă©conomiques de lâARP ».
Seghiri a, Ă cet Ă©gard, soulignĂ© la nĂ©cessitĂ© dâadopter dans les plus brefs dĂ©lais des textes Ă caractĂšre Ă©conomique, tels que le Code des changes, afin de sâaligner sur les Ă©volutions Ă©conomiques mondiales, de stimuler le dĂ©veloppement et de relancer lâĂ©conomie nationale.
Ăvoquant le projet de loi sur la libertĂ© Ă©conomique et la lutte contre lâĂ©conomie de rente, il a indiquĂ© que ce texte vise Ă consacrer la libertĂ© Ă©conomique, Ă limiter la criminalisation des activitĂ©s Ă©conomiques, Ă garantir la libertĂ© dâinvestissement et Ă protĂ©ger la concurrence loyale.
Dans ce cadre, il a estimĂ© quâil est aujourdâhui indispensable dâaccĂ©lĂ©rer la mise en place dâune lĂ©gislation favorisant lâinvestissement et lâinitiative privĂ©e, de renforcer les mĂ©canismes dâappui financier, de parachever la transition vers une administration numĂ©rique pour lutter contre la corruption, et dâadopter des peines alternatives en cas dâinfractions financiĂšres, afin de prĂ©server lâactivitĂ© des entreprises concernĂ©es.
« ParallĂšlement, il faut allĂ©ger les procĂ©dures, limiter la bureaucratie administrative, activer le rĂŽle des organismes de contrĂŽle et de conseil, et revoir le rĂŽle de lâĂtat dans lâinvestissement », a-t-il ajoutĂ©. Selon lui, lâĂtat doit investir davantage dans des secteurs stratĂ©giques comme le phosphate, lâagriculture et le tourisme pour favoriser la crĂ©ation de richesses.
Le dĂ©putĂ© a Ă©galement appelĂ© Ă une meilleure coordination entre les diffĂ©rents dĂ©partements et structures de lâĂtat impliquĂ©s dans lâinvestissement, afin dâaccĂ©lĂ©rer les rĂ©formes. Il a recommandĂ© de promouvoir le secteur logistique (ports, aĂ©roportsâŠ) pour soutenir les filiĂšres Ă©conomiques, notamment dans le cadre des projets de partenariat public-privĂ©.
Ă noter que le projet de loi sur la libertĂ© Ă©conomique et la lutte contre lâĂ©conomie de rente a Ă©tĂ© dĂ©posĂ© Ă lâARP en novembre 2024. Il a Ă©tĂ© examinĂ© par la Commission des finances et du budget en mai 2025.
Une rĂ©union de concertation avec les diffĂ©rentes parties prenantes (patronat, ministĂšre des Finances, etc.) est prĂ©vue Ă lâARP au cours du mois de juillet 2025.
Pour rappel, lâIACE (Institut Arabe des Chefs dâEntreprises) est un think tank international indĂ©pendant qui Ćuvre Ă la promotion de lâentreprise et Ă lâamĂ©lioration de lâenvironnement des affaires, en formulant des recommandations de rĂ©formes avec la contribution de chefs dâentreprise, dâuniversitaires et dâacteurs de la sociĂ©tĂ© civile.
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LâOrganisation arabe de la famille et du dĂ©veloppement social prĂ©voit dâorganiser une confĂ©rence rĂ©gionale internationale dĂ©diĂ©e aux dĂ©fis auxquels la famille arabe est confrontĂ©e. Lors de cet Ă©vĂ©nement, les grandes lignes du futur programme de lâorganisation seront dĂ©finies, a annoncĂ©, jeudi 19 juin, Wafa Kilani, prĂ©sidente de lâorganisation et ministre des Affaires sociales du Gouvernement dâunitĂ© nationale libyen.
Dans une dĂ©claration aux mĂ©dias, en marge dâune rĂ©union extraordinaire de lâorganisation tenue Ă Tunis, au siĂšge du ministĂšre de la Famille, de lâEnfance et des Personnes ĂągĂ©es, Kilani a expliquĂ© que cette confĂ©rence rĂ©gionale et internationale devrait aboutir Ă un ensemble de recommandations visant Ă renforcer le rĂŽle de la famille arabe dans la sociĂ©tĂ©. Ces recommandations seront soumises Ă un sommet arabe consacrĂ© Ă la famille, auquel plusieurs premiĂšres dames de pays arabes participeront.
Elle a soulignĂ© que lâOrganisation arabe de la famille prĂ©voit, durant cette pĂ©riode, de mettre en Ćuvre de nombreux accords de partenariat dĂ©jĂ signĂ©s, afin de mieux promouvoir la famille arabe. Elle sâemploie Ă©galement Ă conclure de nouveaux accords avec plusieurs pays et organisations arabes.
Elle a rappelĂ© que lâOrganisation arabe pour la famille a rĂ©cemment obtenu le statut de membre observateur aux rĂ©unions de la Ligue des Ătats arabes consacrĂ©es Ă la famille et aux affaires sociales, ce qui renforcera lâefficacitĂ© des programmes de lâorganisation destinĂ©s Ă relever les dĂ©fis auxquels la famille arabe est confrontĂ©e.
De son cĂŽtĂ©, la ministre tunisienne de la Famille, de la Femme, de lâEnfance et des Personnes ĂągĂ©es, Asma Jebri, a indiquĂ© que cette rĂ©union extraordinaire constitue une initiative pour renforcer les opportunitĂ©s dâĂ©change dâexpĂ©riences et dâexpertises arabes autour dâun sujet commun entre les pays arabes, Ă savoir la famille, considĂ©rĂ©e comme une valeur sociale centrale pour Ă©tablir une sociĂ©tĂ© cohĂ©rente et Ă©quilibrĂ©e.
La ministre a saluĂ© lâattachement des pays arabes membres Ă maintenir le siĂšge du secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de lâOrganisation arabe de la famille et du dĂ©veloppement social en Tunisie, une initiative tunisienne lancĂ©e depuis 1977.
Elle a affirmĂ© que la Tunisie restera fidĂšle Ă ses choix nationaux constants et engagĂ©e dans le rĂŽle social de lâĂtat, Ă travers lâattention portĂ©e aux questions familiales, et Ă travers sa volontĂ© dâĂ©lever la place de la famille dans les politiques publiques nationales et dans les prioritĂ©s de lâaction arabe commune.
Elle a prĂ©cisĂ© que les structures gouvernementales et non gouvernementales doivent sâen tenir Ă une approche constante de protection et de prĂ©servation de la famille contre tout ce qui pourrait porter atteinte Ă ses valeurs et nuire Ă ses fondements. Elle a saluĂ© le rĂŽle pionnier de lâorganisation dans lâenrichissement des programmes et plans dâaction, ainsi que dans lâĂ©laboration dâune vision participative contribuant Ă mettre en place une stratĂ©gie arabe de soutien Ă la cohĂ©sion familiale et de protection de la famille contre les diffĂ©rents risques qui la menacent, en harmonie avec les objectifs et indicateurs de dĂ©veloppement dans les diffĂ©rents pays arabes.
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Mme Taha cumule plus de deux dĂ©cennies dâexpĂ©rience au sein du systĂšme des Nations Unies, acquise Ă travers divers postes dans des agences, fonds et programmes, ainsi que dans des missions de maintien de la paix et des missions politiques spĂ©ciales.
Avant sa nomination en Tunisie, elle occupait les fonctions de cheffe dâĂ©quipe et ConseillĂšre principale pour la paix et le dĂ©veloppement auprĂšs des Nations Unies au Kenya.
Entre 2015 et 2019, elle a exercĂ© Ă New York, au siĂšge de lâONU, dans les DĂ©partements des affaires politiques et de la consolidation de la paix (DPPA) et des opĂ©rations de paix (DPO). Elle y dirigeait le programme rĂ©gional Moyen-Orient et Afrique du Nord, couvrant les missions politiques spĂ©ciales et les opĂ©rations de maintien de la paix.
Mme Taha a Ă©galement servi dans plusieurs missions onusiennes, notamment au Liban (FINUL, UNSCOL) et au Soudan (MINUS, MINUAD), oĂč elle a Ă©tĂ© assistante spĂ©ciale et conseillĂšre auprĂšs des ReprĂ©sentants spĂ©ciaux du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral entre 2007 et 2015.
De 2003 Ă 2007, elle a Ă©tĂ© ReprĂ©sentante dâInterpeace et responsable de programme pour le Bureau des Nations Unies pour les services dâappui aux projets (UNOPS) dans les territoires palestiniens occupĂ©s.
Au dĂ©but de sa carriĂšre, elle a travaillĂ© en tant que chercheuse Ă lâInstitut des Nations Unies pour la recherche sur le dĂ©sarmement (UNIDIR), en Suisse, entre 2001 et 2002.
Titulaire dâun master en relations internationales et politiques publiques de lâUniversitĂ© McMaster (Canada) et dâun master en sociologie de lâUniversitĂ© de Jordanie, Mme Taha est mariĂ©e et mĂšre dâun fils.
DâaprĂšs site ONU
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Le chargĂ© de la gestion de la municipalitĂ© de Sidi Bouzid, Mohamed Salah Khaskhoussi, a dĂ©clarĂ© Ă lâAgence TAP que la municipalitĂ© poursuit la mise en Ćuvre de la derniĂšre phase des travaux de lâabattoir municipal. Laquelle consiste en lâinstallation dâune station dâĂ©puration dâun coĂ»t estimĂ© Ă 2,5 millions de dinars.
Ces travaux devraient ĂȘtre achevĂ©s dâici la fin de lâannĂ©e, permettant Ă lâabattoir municipal de Sidi Bouzid dâentrer en service dĂ©but 2026.
En outre, la mĂȘme source prĂ©cise que le coĂ»t total de lâabattoir, qui a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© selon des normes garantissant les conditions dâhygiĂšne, dĂ©passe les 5 MD. Il comprend deux ailes destinĂ©es Ă lâabattage, des blocs sanitaires, ainsi que des Ă©quipements modernes rĂ©pondant Ă toutes les exigences sanitaires et techniques.
Par ailleurs, il a indiquĂ© que, dans le but de rapprocher les services des citoyens, un nouveau siĂšge pour lâarrondissement municipal de la dĂ©lĂ©gation de Hichria sera construit. Un budget de 700 mille dinars lui a Ă©tĂ© allouĂ©, et le projet est actuellement en phase dâĂ©laboration de lâappel dâoffres.
Enfin, la mĂȘme source a annoncĂ© la construction dâun bĂątiment dĂ©diĂ© aux archives de la municipalitĂ© de Sidi Bouzid, qui regroupera tous les services municipaux. Un budget de 400 mille dinars a Ă©tĂ© allouĂ© Ă ce projet, dont les Ă©tudes sont Ă un stade avancĂ©; et ce, dans le but de moderniser davantage les services municipaux.
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LâInstance supĂ©rieure indĂ©pendante pour les Ă©lections (ISIE) et lâĂcole nationale dâadministration (ENA) ont signĂ©, jeudi 19 juin, une convention-cadre de coopĂ©ration. Elle vise Ă renforcer le partenariat entre les deux institutions.
SignĂ©e au siĂšge de lâautoritĂ© Ă©lectorale par son prĂ©sident, Farouk Bouasker, et la directrice gĂ©nĂ©rale de lâENA, Khaoula Abidi, cette convention prĂ©voit lâĂ©laboration et la mise en Ćuvre de programmes communs de formation, en prĂ©sentiel et Ă distance; et ce, au profit des cadres et agents de lâISIE. Câest ce quâindique un communiquĂ© de lâISIE.
Ces formations porteront sur la gestion administrative moderne, la gouvernance et le leadership public. Lâobjectif est dâancrer la culture de la bonne gouvernance dans les domaines administratif et financier. Tout en promouvant les meilleures pratiques comme levier de rĂ©forme de lâadministration.
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LâOACA prĂ©cise que cette carte Ă dĂ©compte peut ĂȘtre achetĂ©e auprĂšs des caisses situĂ©es au parking du terminal ou au guichet unique de lâaĂ©rogare fret.
Le coĂ»t dâachat de la carte Ă©lectronique, lors de la premiĂšre acquisition, est de 30 dinars, comprenant 15 dinars pour la carte (support) et un rechargement initial minimal de 15 dinars de crĂ©dit prĂ©payĂ©.
La carte est rechargeable et utilisable dans les trois terminaux de lâaĂ©roport Tunis-Carthage.
LâOACA souligne que lâutilisation de cette carte facilitera la circulation dans les parkings, amĂ©liorera la qualitĂ© des services Ă lâaĂ©roport et permettra aux usagers de gagner du temps Ă la sortie.
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« Ce spectacle nâest ni esthĂ©tique, ni naturel, câest un vĂ©ritable signal dâalarme environnemental ». Câest ce quâa affirmĂ© Hamdi Hached, lors dâune intervention sur les ondes dâExpress Fm.
Ce dernier a expliquĂ© que le changement de couleur des eaux cĂŽtiĂšres est dĂ» Ă une prolifĂ©ration excessive, soudaine et anormale de certaines espĂšces dâalgues microscopiques. Certaines sont toxiques et se dĂ©veloppent Ă des tempĂ©ratures Ă©levĂ©es. En cause Ă©galement : les nutriments dĂ©versĂ©s dans la mer (comme le phosphate et les nitrates).
LâinvitĂ© de lâĂ©mission prĂ©cise que les impacts inquiĂ©tants de ce phĂ©nomĂšne commencent par une baisse du taux dâoxygĂšne dans lâeau. Ce qui entraĂźne la suffocation des poissons et des organismes marins. Et vont jusquâaux risques sanitaires pour lâhomme, notamment lors de la baignade ou de la consommation de poissons contaminĂ©s.
Lâexpert en climat ajoute dans ce contexte : « Le plus inquiĂ©tant, câest que cela commence Ă se rĂ©pĂ©ter rĂ©guliĂšrement. Ainsi, ce qui Ă©tait un cas exceptionnel devient une menace saisonniĂšre permanente. »
En effet, Hamdi Hachad indique que le problĂšme devient presque annuel sur les cĂŽtes de Kssibet El Medouini. Et ce, en raison du rejet dâeaux usĂ©es non traitĂ©es dans la mer. Il appelle donc Ă une intervention urgente pour une surveillance continue des eaux. Mais aussi Ă la rĂ©alisation dâanalyses de terrain afin de dĂ©terminer le type dâalgues. Tout en assurant un contrĂŽle des sources de pollution terrestre, quâil sâagisse dâeaux partiellement traitĂ©es ou de dĂ©chets agricoles et industriels.
à noter que plusieurs habitants de Kssibet El Medouini, dans le gouvernorat de Monastir, ont demandé une solution à la situation environnementale de la plage de la ville.
Plusieurs rĂ©sidents protestant contre lâĂ©tat de la plage ont dĂ©clarĂ© Ă lâAgence Tunis Afrique Presse que la ville « souffre dâune catastrophe environnementale continue due aux eaux non traitĂ©es provenant de la station dâĂ©puration de Lamta ainsi que des dĂ©chets des usines de la zone industrielle, notamment les usines de teinture textile ».
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