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Lancement imminent d’une unité de production de composants automobiles de PRETTL en Tunisie

Le préparatifs de lancement en Tunisie d’une unité de production de composants automobiles du groupe allemand « PRETTL », spécialisé dans la fabrication de câbles automobiles ont été au centre d’une rencontre, mercredi 2 avril 2025, entre le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, et le président exécutif du groupe, Rolf PRETTL. Selon le ministère, ce projet créerait quelque 500 postes d’emploi au cours des prochains mois.

A l’occasion de cette rencontre, qui a eu lieu au siège du ministère, le président exécutif du groupe, Rolf PRETTL, a exprimé sa satisfaction quant à l’avancement des préparatifs du lancement de ce projet en Tunisie, soulignant que « le climat d’investissement favorable », la situation géographique du pays et la qualification des ressources humaines ont motivé le choix de son groupe à s’implanter en Tunisie.

Pour sa part, le ministre de l’Industrie a assuré que son département se tient prêt à apporter l’accompagnement nécessaire à la partie allemande afin qu’elle puisse lancer ses activités dans les meilleurs délais et conditions.

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Novation City- INCIT : Signature d’un accord de partenariat stratégique

Le Pôle de Compétitivité de Sousse (Novation City) et le Centre International pour la Transformation Industrielle (INCIT) ont signé, mercredi, un accord de partenariat stratégique sur la transformation industrielle numérique en Afrique, et ce, en marge de la Foire de Hanovre, qui se tient du 30 mars au 4 avril 2025, en Allemagne, sur le thème des Technologies Industrielles.

D’après un communiqué, publié par le ministère de l’Industrie, des mines et de l’énergie, ce partenariat permettra de renforcer le rôle de la Tunisie en tant que pôle régional de transformation numérique industrielle dans le continent africain.Il permettra, en outre, au pôle de renforcer la compétitivité de la Tunisie dans le domaine de l’Industrie 4.0 et d’améliorer l’attractivité des investissements industriels étrangers en Tunisie.

Par la même occasion, le pôle de compétitivité de Sousse a été reconnu comme le premier centre mondial à déployer le programme OPERI (Operational Excellence Readiness Index), visant à évaluer l’excellence opérationnelle des entreprises industrielles ; et aussi comme le premier centre de formation en Afrique, après avoir obtenu les certificats Smart Industry Readiness Index (SIRI)

Il convient de noter que SIRI se présente comme la première évaluation indépendante de la maturité numérique au monde pour les entreprises industrielles. Le département de l’Industrie a précisé, aussi, que cet accord de partenariat, qui regroupe d’autres pays africains, outre la Tunisie, dont l’Algérie, le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Cameroun et le Sénégal, s’inscrit dans le cadre de suivi du programme de travail, conçu par le Protocole d’intention signé lors de la Foire de Hanovre 2024, et dont la finalité est de faire de l’Afrique un pôle d’excellence industrielle et numérique.

Il importe de noter que l’INCIT est une institution environnementale, sociale et de gouvernance qui promeut la transformation de l’industrie manufacturière. Il œuvre à soutenir la transformation industrielle et à appuyer l’industrie manufacturière mondiale pour qu’elle devienne plus résiliente, plus productive et mieux positionnée pour réussir à l’avenir.

Avec TAP

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Le Tunindex affiche une légère progression de 0,1 %

Au terme d’une séance peu dynamique (un flux de transactions de 3,8 MD), le Tunindex a affiché, mercredi, une légère progression de 0,1 % à 10 984,10 point, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs .

Le titre BTE s’est placé au top line. L’action de la banque mixte s’est appréciée de 4,5 % à 5,400 D. La valeur n’a pas drainé de capitaux sur la séance.

Le titre ENNAKL a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. L’action du concessionnaire automobile a gagné 3,9 % à 11,950 D. La valeur a amassé des échanges de 11 mille dinars sur la séance.

Du côté des baisses, le titre HANNIBAL LEASE a accusé une régression de 4,5 % à 7,050 D. L’action du loueur a brassé un volume de 97 mille dinars sur la séance.

Mal orienté, le titre CIL s’est délesté de 4,3 % à 26,000 D. L’action du leaseur a été échangée à hauteur de 30 mille dinars sur la séance.

Le titre BIAT a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de la banque a brassé un flux global de 316 mille dinars. La valeur s’est maintenue à l’équilibre à 98,500 D sur la séance.

Avec TAP

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La Tunisie à l’Exposition universelle 2025… Cap sur Osaka !

Lancement officiel de la participation tunisienne à Expo 2025 Osaka, Kansai, Japon, et ce, vendredi 4 avril 2025 à la Maison de l’Exportateur-Tunis.

 

La Tunisie se prépare à marquer de son empreinte l’Exposition universelle Expo Osaka 2025, qui se tiendra du 13 avril au 13 octobre 2025 sur l’île artificielle de Yumeshima, au Japon. Placé sous le thème « Concevoir la société du futur, Imaginer notre vie de demain », cet événement d’envergure mondiale attend près de 28 millions de visiteurs issus de 160 pays.

Un pavillon tunisien de 300 m² pour rayonner sur la scène internationale

Le Pavillon Tunisie, d’une superficie de 300 m², sera une vitrine de l’expertise, de la culture et de l’innovation tunisiennes. Conçu pour offrir une expérience immersive, il mettra en lumière trois axes stratégiques :

  1. Gestion et optimisation des ressources en eau :
    • Présentation de solutions innovantes pour la préservation de cette ressource vitale.
    • Mise en avant des technologies tunisiennes en matière d’économie d’eau et d’agriculture durable.
  2. Agriculture responsable et patrimoine culinaire :
    • Promotion des produits locaux sains et de l’héritage gastronomique tunisien.
    • Célébration d’un modèle agricole alliant tradition et modernité, symbole d’un équilibre entre bien-être et patrimoine.
  3. Science et médecine : une avancée tunisienne :
    • Démonstration des avancées biomédicales et des technologies de santé accessibles.
    • Valorisation de la recherche tunisienne et de son rôle dans l’innovation médicale.

Une participation ambitieuse pour renforcer les liens économiques et culturels

Organisée par le Centre de promotion des exportations (Cepex), cette participation s’inscrit dans une stratégie globale visant à :

  • Consolider le partenariat économique avec le Japon, l’un des principaux investisseurs en Tunisie.
  • Promouvoir les Objectifs de développement durable (ODD), en alignement avec la vision nationale.
  • Positionner la Tunisie comme un hub technologique et logistique entre l’Afrique et le reste du monde, grâce à sa position géographique stratégique.

Par ailleurs, le Pavillon Tunisie sera l’occasion de :

  • Séduire les visiteurs internationaux en mettant en avant la richesse du patrimoine culturel et historique, de l’ère carthaginoise à l’époque contemporaine.
  • Promouvoir le tourisme tunisien, en présentant le pays comme une destination alliant authenticité et modernité.
  • Faciliter le transfert de connaissances vers d’autres pays africains, renforçant ainsi le leadership régional de la Tunisie.

Un avant-goût qui sera dévoilé lors de l’événement du 4 avril 2024

Pour lancer officiellement la participation tunisienne, le Cepex organise, ce 4 avril 2024, à la Maison de l’Exportateur, à 9 jours seulement de l’inauguration effective du pavillon au Japon, un événement placé sous le patronage de Samir Abid, ministre du Commerce et du Développement des exportations, et en présence de Mourad Ben Hassine, commissaire général de la Tunisie à l’Expo 2025 Osaka et PDG du Cepex.

 

Au programme :

  • 09h30 – Accueil des invités
  • 10h00 – Mot de bienvenue de M. Mourad Ben Hassine, commissaire général de la Tunisie à Expo 2025 Osaka
  • 10h15 – Mot d’ouverture de M. Samir Abid, ministre du Commerce et du Développement des exportations
  • 10h30 – Allocutions officielles (partenaires officiels, comité national, comité de soutien…)
  • 10h45 – Projection de la vidéo 3D du pavillon national
  • 11h00 – Présentation des composantes du pavillon tunisien par l’architecte
  • 11h15 – Projection de la vidéo retraçant les coulisses des préparatifs – Expo 2025 Osaka, Japon
  • 11h30 – Présentation des événements parallèles (journée nationale, journée économique, etc.)
  • 11h45 – Point de presse.

 

Une participation qui promet d’être exceptionnelle

Entre tradition millénaire et innovation visionnaire, la Tunisie montrera au monde sa capacité à construire un avenir meilleur. Le Pavillon Tunisie ne sera pas seulement un espace d’exposition, mais une véritable invitation au voyage, à la découverte et à la coopération.

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Salsabil Klibi: La Cour constitutionnelle, clé de l’État de droit

Salsabil Klibi, présidente de l’Association tunisienne de droit constitutionnel et professeure de droit constitutionnel, a souligné ce mercredi 2 avril 2025 sur les ondes de Mosaïque FM l’importance cruciale de se concentrer sur la Cour constitutionnelle en Tunisie pour réformer le système législatif.

Elle a insisté sur le rôle central de la Cour constitutionnelle dans l’établissement d’un État de droit, en tant qu’institution garantissant la suprématie de la Constitution. Elle a également évoqué le manque d’enthousiasme pour mettre en place cette cour, notant que les attaques contre cette structure sont courantes dans le monde entier.

Salsabil Klibi a exprimé sa déception quant au retard dans l’établissement de la Cour constitutionnelle, trois ans après l’adoption de la Constitution de 2022. Elle a remarqué que le président de la République n’a pas abordé ce sujet dans ses déclarations récentes, et qu’il n’y a pas de discussion à ce sujet dans les milieux politiques officiels ou parmi les députés, bien qu’il s’agisse d’une exigence urgente.

La Constitution de 2022 précise l’indépendance de la Cour constitutionnelle, composée de neuf membres choisis parmi les plus anciens présidents des chambres judiciaires et administratives. Les membres élisent leur président selon des modalités légales, et tout membre atteignant l’âge de la retraite est remplacé par le suivant en ancienneté. Enfin, il est interdit de cumuler son mandat avec toute autre fonction.

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Italie : 20 millions d’euros pour le retour volontaire de migrants en Algérie, Tunisie et Libye

La question de la migration irrégulière en Tunisie et dans la région méditerranéenne reste un sujet sensible et complexe.

Les médias italiens, à l’instar de l’agence de presse Nova, ont fait savoir que  l’Italie, en tant que partenaire clé de la Tunisie, a récemment renforcé son engagement dans la gestion de la migration, notamment à travers des accords bilatéraux et des initiatives de coopération internationale.

De son côté, le ministre italien des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Antonio Tajani, a présidé une réunion importante avec le vice-ministre Edmondo Cirielli. Lors de cette réunion, un programme d’une valeur de 20 millions d’euros a été approuvé en collaboration avec l’Organisation internationale pour les migrations. L’objectif de ce programme est de faciliter le retour volontaire d’environ 3 300 migrants algériens, tunisiens et libyens vulnérables vers leurs pays d’origine.

En effet, selon l’agence de presse Nova.it, la Tunisie et l’Italie ont réaffirmé leur engagement à lutter contre la migration irrégulière lors d’une récente visite du ministre des Affaires étrangères Mohamed Ali Nafti à Rome.

Par ailleurs, les deux pays ont signé des accords pour soutenir la migration organisée et circulaire, visant à traiter les causes profondes de la migration et à renforcer la coopération économique.

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Classement OCDE 2024 : la Tunisie dans le top 10 des pays facilitant le commerce

Selon le dernier rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), intitulé « Indicateurs de facilitation du commerce : suivi des politiques jusqu’en 2025 », la Tunisie figure parmi les dix pays les plus performants en matière de réformes commerciales au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA).

Avec un taux de près de 5% d’amélioration de sa performance moyenne entre 2022 et 2024, elle occupe la 4e place du classement, derrière la Jordanie, le Koweït et le Qatar.

 
Le rapport souligne que cette position reflète les avancées significatives réalisées par la Tunisie en matière de simplification des procédures douanières et de modernisation des infrastructures commerciales.

Cependant, des lacunes subsistent dans certains domaines clés, tels que :

  • Les décisions anticipées (advance rulings),
  • La coopération entre les agences frontalières,
  • L’automatisation des processus, qui reste un défi majeur pour plusieurs économies de la région, y compris la Tunisie.

La Jordanie en tête, le Maroc et l’Égypte en bas du classement

Avec un taux de près de 10%, la Jordanie domine le palmarès des pays les plus réformateurs en 2024, suivie du Koweït (8%) et du Qatar (6%). Les Émirats arabes unis (5es, +4%) et l’Arabie saoudite (6e, +3%) complètent le top 6, tandis que le Maroc et l’Égypte ferment la marche avec des scores légèrement supérieurs à 1%.

Performance globale : Oman et les Émirats en tête

Si le classement des pays les plus performants diffère légèrement, les principaux acteurs restent les mêmes. Oman, le Maroc et les Émirats arabes unis arrivent en tête, tandis que la Tunisie se maintient dans le top 10, aux côtés du Qatar, de l’Arabie saoudite et de la Jordanie.

Une région en progression, mais inégale

Le rapport note que près des deux tiers des économies MENA ont amélioré leur coopération interagences, la transparence de l’information et la simplification des procédures. Toutefois, les écarts entre les pays leaders et les moins performants soulignent la nécessité d’accélérer les réformes, notamment dans le domaine du numérique.

Perspectives

Pour consolider sa position, la Tunisie devra intensifier ses efforts en matière de digitalisation des procédures et de coordination entre les administrations frontalières, deux leviers essentiels pour améliorer sa compétitivité commerciale à l’horizon 2025.

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Salon de Hanovre 2025 : la Tunisie renforce ses partenariats

En marge du Salon de Hanovre 2025, l’un des plus grands événements industriels mondiaux, la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, a mené une série de rencontres avec des dirigeants d’entreprises internationales.

Ces échanges, tenus du 31 mars au 2 avril, visaient à renforcer les coopérations technologiques et industrielles pour accélérer la transition numérique et l’adoption de l’Industrie 4.0 en Tunisie.

Des discussions avec des leaders mondiaux de l’industrie et de la technologie

Accompagnée de Wasfi Chihi, ambassadeur de Tunisie en Allemagne, la ministre a échangé avec des responsables d’entreprises spécialisées dans l’industrie intelligente, l’automatisation et les technologies de pointe. Parmi les entités rencontrées :

  • Easy Software (Royaume-Uni) : solutions numériques et logicielles.
  • Altair Engineering (multinationale) : technologies avancées et industrie intelligente.
  • Microsoft : solutions cloud et transformation digitale.
  • VDMA (Allemagne) : association des industries mécaniques.
  • ZVEI (Allemagne) : fédération des secteurs électrique et électronique.
  • FESTO (Allemagne) : automatisation industrielle (300 000 clients dans le monde).
  • Siemens (Allemagne) : industrie, énergie, infrastructures et santé.
  • Schneider Electric (France) : gestion de l’énergie et automatisation (135 000 employés).
  • BOSCH (Allemagne) : maisons intelligentes, industrie 4.0 et mobilité connectée (468 filiales).

Exploration des innovations de l’industrie 4.0

La ministre a visité la plateforme « Industrie 4.0 Plattform Industrie », un réseau allemand regroupant 350 acteurs issus de 150 organisations. Cette initiative accompagne la transformation numérique en proposant des solutions concrètes pour l’industrie du futur.

Renforcement des partenariats et positionnement de la Tunisie

Ces rencontres ont permis d’examiner les dernières avancées technologiques et d’explorer des opportunités de coopération. La ministre a souligné :

  • l’importance des partenariats avec l’Allemagne et d’autres pays leaders,
  • le rôle de la Tunisie comme destination d’investissement, grâce à :
    • son positionnement géographique,
    • son capital humain qualifié,
    • son engagement pour l’innovation et le développement durable.

Une présence tunisienne marquée par l’innovation

La Tunisie est représentée par un pavillon dédié, mettant en avant 10 startups innovantes, avec la participation de :

  • l’Agence de promotion de l’industrie et de l’innovation (APII).
  • la FIPA (promotion des investissements).
  • les pôles technologiques tunisiens.

Cette participation vise à :

  • Valoriser l’expertise tunisienne.
  • Renforcer la visibilité internationale des entreprises locales.
  • Attirer des investissements stratégiques dans les secteurs technologiques et industriels.

Cette initiative s’inscrit dans la stratégie du ministère pour moderniser l’industrie tunisienne et s’inspirer des meilleures pratiques mondiales.

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Les hommes les plus riches du monde en 2025, selon Forbes

Au 1er avril 2025, Elon Musk conserve sa place de personnalité la plus riche du monde avec une fortune estimée à 340 milliards de dollars, malgré une baisse de 19 milliards liée à la chute des actions Tesla. C’est ce qu’a révélé le magazine Forbes en date du 1er avril 2025. Il est suivi par Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, avec 206,9 milliards de dollars, et Mark Zuckerberg, PDG de Meta, qui occupe la troisième position avec 199,3 milliards de dollars.

 

Classement des dix hommes les plus riches au monde:

 

  • Elon Musk (Tesla, SpaceX, X) – 340 milliards $
  • Jeff Bezos (Amazon) – 206,9 milliards $
  • Mark Zuckerberg (Meta) – 199,3 milliards $
  • Larry Ellison (Oracle) – 175 milliards $
  • Warren Buffett (Berkshire Hathaway) – 165,9 milliards $
  • Bernard Arnault (LVMH) – 161,1 milliards $
  • Larry Page (Google) – 129,3 milliards $
  • Sergey Brin (Google) – 123,9 milliards $
  • Amancio Ortega (Zara) – 112 milliards $
  • Steve Ballmer (Microsoft) – 110 milliards $

Critères de classement:

Forbes évalue les fortunes selon trois critères principaux : la richesse nette estimée, la présence médiatique et l’influence dans leurs domaines respectifs.

Ce classement met en avant une prédominance américaine avec huit personnalités sur dix issues des États-Unis. Les deux exceptions sont Bernard Arnault (France) et Amancio Ortega (Espagne).

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Dons importants de la diaspora tunisienne aux Villages d’enfants SOS

Mohamed Moudich, président de l’Association des Villages d’enfants SOS, a déclaré à la Radio nationale que les contributions destinées aux enfants de l’association effectuées par le biais du site internet ont atteint un total de 1,120 million de dinars.

En outre, jusqu’au dimanche 30 mars 2025, les dons reçus par SMS se montaient à 400 000 dinars, rapporte un site de la place.

Mohamed Moudich a ajouté que la communauté tunisienne en France est celle qui fait le plus de dons, suivie de près par la communauté vivant au Canada, et en 3e position viennent les Tunisiens vivant en Allemagne.

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Droits de douane… protecteurs des emplois, pas des frontières!

Dans une interview publiée par le site des Nations unies (news.un.org), la directrice de la Division du commerce international à ONU Commerce et développement (ou Conférence des Nations unies pour le commerce et le développement – CNUCED), Luz Maria de la Mora, se demande si les droits de douane sont « protecteurs d’emplois ou destructeurs de commerce ».

En guise d’introduction, on lit ceci : « Le terme “droits de douane“ a été propulsé des pages économiques à la une des journaux ces derniers mois, des grandes économies les augmentant ou menaçant d’autres nations de le faire. Mais les droits de douane ne sont pas seulement une arme utilisée dans des manœuvres géopolitiques : utilisés efficacement, ils peuvent aider les pays les plus pauvres à développer leur économie ».

On apprend que la CNUCED fait le point, chaque mois, sur l’actualité du commerce mondial. C’est ainsi qu’en mars dernier – actualité oblige –, l’accent était mis sur les droits de douane.

Un rapport établi sur le sujet révèle que «… si le commerce mondial a atteint le chiffre record de 33 000 milliards de dollars l’an dernier, les perspectives pour 2025 restent incertaines, la montée des tensions, les politiques protectionnistes et les conflits commerciaux annonçant de probables perturbations dans les mois à venir ».

Outre son titre de directrice de la Division du commerce international à la CNUCED, Luz Maria de la Mora est responsable de la publication Point sur le commerce mondial. Elle faisait partie de l’équipe de négociation mexicaine qui a négocié l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) en 1992.

A ONU Info, elle assure que « les droits de douane en eux-mêmes ne constituent pas nécessairement un problème : le problème réside dans l’incertitude résultant de la remise en cause des règles du commerce international par les grands acteurs économiques ».

L’importance des avantages des droits de douane

Pour de la Mora, « les droits de douane, qui sont essentiellement une taxe sur les importations, font partie intégrante d’un système commercial international en place depuis près de huit décennies », explique-t-elle.

Elle poursuit en rappelant que tout d’abord il y a eu « l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, également connu sous le nom de GATT, en 1948, remplacé par l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 1995. Ces organisations ont essentiellement créé un ensemble de règles, garantissant aux producteurs, aux investisseurs et aux exportateurs que les droits de douane ne changeraient pas chaque année ».

Lire aussi : OMC : appels à une réforme du système commercial mondial

À la question “pourquoi les droits de douane les plus importants sont appliqués entre pays en développement ?“, Luz Maria de la Mora a répondu : « Les pays en développement ont généralement tendance à appliquer des niveaux de protection plus élevés, et ce, pour plusieurs raisons. L’une d’elles est par exemple la volonté de développer une industrie particulière comme les secteurs de l’automobile ou de la chimie. Une façon de favoriser le développement et la croissance d’une industrie est de la protéger – par des droits de douane – de la concurrence étrangère. L’inconvénient est que la production de ces biens pour le marché intérieur est plus coûteuse, ce qui peut également décourager la concurrence ».

Elle avance une deuxième raison pour laquelle les pays en développement appliquent des droits de douane : «… dans certains cas, les gouvernements ont besoin de recettes. Les droits de douane sont une taxe, et une taxe est un revenu qu’un gouvernement peut consacrer aux dépenses sociales, à la santé, à l’éducation ou aux infrastructures. Mais là encore, cela se traduit par des coûts plus élevés pour les consommateurs sur les biens importés ».

Les avantages de l’ALENA pour le Mexique

Une autre question concerne la controverse autour de l’ALENA. De la Mora explique que «… l’ALENA était une proposition très audacieuse à l’époque, et ce, pour plusieurs raisons. Il s’agissait du premier accord de libre-échange entre pays en développement et pays développés, une expérience inédite. La quasi-totalité des droits de douane entre les trois pays ont été supprimés ».

Selon elle, cet accord de libre-échange a totalement transformé l’économie mexicaine, notamment avec l’augmentation des investissements dans le secteur manufacturier, ce qui a permis la création de nombreux emplois.

Conséquence : le Mexique est devenu un acteur majeur dans le secteur automobile, occupant même la 4e position mondiale en la matière. « Il a prouvé que l’intégration peut améliorer l’efficacité de l’économie et créer davantage d’opportunités », dit-elle.

Des perdants et des gagnants

Et ONU Info d’insister : “Ceux qui critiquent l’ALENA affirment que la réduction des droits de douane a entraîné une baisse de la protection pour certains secteurs et que des travailleurs en ont été pénalisés. Êtes-vous en train de dire qu’en fin de compte, les travailleurs de chaque pays en ont bénéficié ?“.

La directrice de la Division du commerce international à la CNUCED répond en disant : « Bien sûr, dans toute zone de libre-échange, il y a toujours des gagnants et des perdants. Je ne dis pas que tout était rose et que certains secteurs et entreprises ont disparu. Mais la transformation observée dans les régions et les zones du pays qui ont réussi à s’intégrer à la chaîne d’approvisionnement nord-américaine est vraiment très encourageante. Globalement, on constate un effet positif ».

Elle estime toutefois que «… la politique commerciale doit aller de pair avec des politiques garantissant la formation des perdants. Une intervention gouvernementale est nécessaire pour maintenir les travailleurs sur le marché du travail ».

Les décisions unilatérales créent de l’incertitude

Poursuivant sur la même lancée, le site se demande, vu que de nombreux accords commerciaux internationaux sont remis en question, si nous nous ne nous dirigeons pas vers “une guerre commerciale mondiale“.

Dans sa réponse, Luz Maria de la Mora admet le fait que « de nombreux acteurs importants du commerce mondial, comme les États-Unis, l’Union européenne et la Chine, imposent des droits de douane ou des mesures qui ne sont pas toujours conformes à leurs engagements envers l’OMC. Cela crée de l’incertitude et un malaise au sein du secteur privé ».

Plus loin, elle ajoute : « Lorsque les États membres prennent des décisions unilatérales, sans passer par l’OMC ou le système des Nations unies, cela peut créer de l’incertitude, ce qui peut entraîner un ralentissement des décisions d’investissement dans le secteur privé, du commerce, de la croissance économique et de la création d’emplois… ».

Appel au maintien du multilatéralisme

Dans ces conditions, “si l’économie mondiale connaît un ralentissement, qui risque d’en souffrir le plus ?“, interroge ONU Info. Et la réponse de Luz Maria de la Mora ne souffre aucune hésitation : « Les pays en développement ». En ce sens que « quatre-vingt-quinze pays en développement dépendent de leurs exportations. Ce qui les rend à la merci des fluctuations des prix internationaux et de la croissance de l’économie mondiale ».

Pour la directrice de la Division du commerce international à la CNUCED, « ces pays ont besoin d’un système commercial international efficace, offrant des certitudes, où ils savent à quelles réglementations ils sont soumis et où les règles ne sont pas modifiées sans préavis, sans négociation, sans avertissement préalable. C’est pourquoi il est si important que le multilatéralisme reste en place ».

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Mohamed Ali Nafti rencontre les Tunisiens en Suède et au Danemark

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, en visite de travail les 1er et 2 avril, en Suède, à l’invitation de son homologue suédoise, Maria Malmer Stenergard, a rencontré, en marge de cette visite, des membres de la communauté tunisienne.

Il a, à cette occasion, insisté sur l’importance du rôle des Tunisiens établis à l’étranger dans « la contribution aux efforts nationaux pour le développement et la promotion de l’image de la Tunisie à l’étranger », indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué publié mercredi.

Le ministre a, lors de cette rencontre, qui a réuni en particulier des étudiants et des compétences tunisiennes résidant en Suède et au Danemark, réaffirmé l’engagement de son département à « continuer d’améliorer la qualité des services fournis par les missions diplomatiques et consulaires tunisiennes à l’étranger. »

Il a, dans ce sens, passé en revue « les différentes initiatives lancées pour moderniser les services consulaires fournis aux membres de la communauté tunisienne, initiatives qui concerneront également la Suède et le Danemark. »

Avec TAP

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Le secteur du bâtiment à restructurer en urgence

Le secteur du bâtiment en Tunisie est largement dominé par l’informel, représentant jusqu’à 70% des activités. C’est ce que précise Mahdi Fakhfakh, président de la chambre nationale syndicale des entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics. Il met aussi en garde contre les risques encourus par les citoyens cherchant des prestations à bas prix. Lesquels peuvent se retrouver victimes d’arnaques après avoir versé une avance.

Intervenant le 2 avril 2025 sur les ondes de Jawhara FM dans l’émission « Sbeh El Ward », il salue la réforme du Code du travail. Tout en insistant sur la distinction entre la sous-traitance et le travail intérimaire. Il explique en effet que les entrepreneurs recourent souvent dans le secteur du bâtiment à de la sous-traitance; et ce, en raison du cadre légal en vigueur.

Par ailleurs, une plateforme a été mise en place au sein du ministère de l’Équipement. Et ce, afin de structurer l’employabilité dans le secteur, Elle permet ainsi de suivre l’insertion des ingénieurs chez les entrepreneurs.

En outre, la chambre syndicale a sollicité l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) sur les questions de conformité aux normes de sécurité; mais aussi de qualité et de savoir-faire, obtenant un retour favorable.

Au final, Mahdi Fakhfakh souligne l’importance de la formalisation de ce secteur. Lequel emploie actuellement 500 000 personnes, avec un potentiel de création d’emplois pouvant atteindre le million.

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L’innovation technologique au cœur de l’agriculture durable

L’intelligence artificielle révolutionne l’agriculture africaine, améliorant les rendements de millions d’agriculteurs, notamment au Kenya, grâce à des applications comme Virtual Agronomist et FarmShield. Ces outils permettent d’optimiser les cultures en analysant les sols et en prévoyant les menaces. Aux États-Unis, l’USDA NIFA estime que 20 à 40 % des récoltes sont perdues chaque année à cause des parasites, soulignant la nécessité de ces technologies.

L’innovation technologique par l’IA comble aussi le manque de formation agricole en Afrique, où les agents de vulgarisation sont rares. ISDA a ainsi introduit un modèle de « fermier principal » pour partager les connaissances et accroître les rendements. Cependant, l’accessibilité financière et technique reste un défi majeur pour de nombreux agriculteurs.

L’intégration de l’IA soulève aussi des inquiétudes sur la disparition des pratiques agricoles traditionnelles. Certains craignent une uniformisation des méthodes, tandis que d’autres soulignent l’importance d’un équilibre entre innovation technologique et préservation des savoir-faire indigènes. De plus, le développement de ces technologies exige des infrastructures énergétiques, soulevant la question de leur impact environnemental. Malgré ces défis, l’IA offre un avenir prometteur à l’agriculture africaine en améliorant la productivité et les revenus. Son succès dépendra toutefois de la formation des agriculteurs et du respect des contextes culturels et écologiques locaux.

Emergence de startups agricoles innovantes en Tunisie

Elles visent à moderniser et optimiser le secteur. Parmi elles :

  • Ezzayra : solutions digitales pour la gestion agricole (irrigation, cartographie, supervision).

  • iFarming : technologie IoT pour une irrigation intelligente et économe en eau.

  • Dooda : production d’aliments et d’engrais à base d’insectes pour une agriculture durable.

Lors du SIAT 2024, plusieurs startups ont été primées :

  • Alder Green Solution : monétisation du carbone via des pratiques agricoles durables.

  • ECOFEED : production d’aliments pour animaux à partir de déchets agricoles et de crabe bleu.

  • Progress Box et IrWise : innovations pour la gestion des ressources agricoles, notamment l’eau.

Ces startups contribuent à une agriculture plus moderne, efficiente et respectueuse de l’environnement.

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Et si Trump lorgnait sérieusement un troisième mandat?

Donald Trump, 78 ans, vient d’affirmer qu’il y avait « des méthodes » pour briguer un nouveau mandat; alors que la Constitution américaine l’en empêche. Un scénario improbable? Il faut s’attendre à tout de la part du fantasque milliardaire républicain.

Faut-il prendre au sérieux l’imprévisible Donald Trump quand il déclare « ne pas plaisanter » à propos de son souhait de se présenter pour un troisième mandat de président des États-Unis?

Pourtant, le 22ᵉ amendement de la Constitution américaine– inspiré par la tradition instaurée par George Washington, qui aura refusé de briguer un troisième mandat et  introduit après Franklin D. Roosevelt, seul président à avoir été élu quatre fois (1932, 1936, 1940, 1944)- stipule sans ambigüité aucune que : « Nul ne pourra être élu à la charge de président plus de deux fois, et nul qui a exercé la charge de président pendant plus de deux ans d’un mandat pour lequel une autre personne a été élue président ne pourra être élu à la charge de président plus d’une fois ». En résumé, cet amendement interdit à toute personne d’occuper la présidence pendant plus de deux mandats de quatre ans.

Contourner la Constitution?

Le 45e président des Etats-Unis compte-t-il braver l’une des plus anciennes constitutions en vigueur au monde?

Plutôt contourner le texte fondamental d’une manière sournoise : « Il existe des méthodes pour faire ça ». C’est ce qu’il a déclaré dimanche 30 mars lors d’une interview téléphonique avec la chaîne NBC. Tout en assurant que « beaucoup de gens veulent [qu’il le] fasse ». Avant d’ajouter qu’il était actuellement « bien trop tôt pour y penser ».

Pour rappel, ce n’est pas la première fois que le milliardaire américain de 78 ans- qui vient d’entamer son deuxième mandat, après avoir déjà été président entre 2017 et 2021- fait ce genre de commentaires.

Selon le New York Times, il avait déjà dit à des élus républicains : « J’imagine que je ne me présenterai pas à nouveau à moins que vous ne disiez : — Il est si bon que nous devions trouver un moyen ».

De plus, en janvier, il a déclaré à ses partisans que ce serait « le plus grand honneur de ma vie de servir non pas une fois, mais deux, trois ou quatre fois ». Ajoutant qu’il ne « savait pas » s’il lui était interdit de se présenter à nouveau à la présidentielle. Troublant.

Scénario russe

Mais qui l’empêcherait de s’inspirer du cas de Vladimir Poutine, le dirigeant russe qu’il admire tant?

Souvenez-vous, l’homme fort du Kremlin Poutine utilisa dans le passé un passe-passe juridique pour contourner la Constitution russe qui interdit d’effectuer plus de deux mandats consécutifs à la présidence. Ainsi, après avoir accompli deux mandats (2000-2008), il n’avait plus le droit de se représenter en 2008. Alors que faire? Soutenir son Premier ministre Dmitri Medvedev pour devenir président en 2008; puis, une fois élu, Medvedev nommait immédiatement Poutine Premier ministre. Ce qui lui permis de conserver un contrôle total sur le pouvoir.

En 2012, Medvedev n’a pas cherché à se faire réélire et a laissé la place à Poutine, qui est redevenu président. Ensuite, la durée du mandat présidentiel fut allongée de quatre à six ans, permettant à Poutine de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Génial comme manœuvre politico-judiciaire!

D’ailleurs, interrogé par NBC sur cet éventuel scénario- dans lequel le vice-président, J. D. Vance se présenterait à l’élection présidentielle et lui céderait ensuite sa place- Trump a répondu que c’était « une » méthode. Tout en ajoutant qu’il « en existait d’autres ».

En effet, selon ce scénario un peu tiré par les cheveux, Donald Trump pourrait lors de l’élection de 2028 être le colistier d’un autre candidat à la vice-présidence; peut-être même de son propre vice-président, JD Vance. En cas de victoire, le candidat pourrait prêter serment à la Maison Blanche, puis démissionner immédiatement, laissant Trump prendre le relais par voie de succession! Diabolique.

Ceci-dit, l’hypothèse que Trump soit élu vice-président sur un ticket dont le président s’effacerait à son profit, se heurterait au 12ᵉ amendement qui impose en effet les mêmes conditions d’éligibilité à la fonction de vice-président qu’à celle de président.

A moins d’amender la Constitution américaine, ce qui  semble peu probable. En effet, l’amendement du texte fondamental suppose de réunir une majorité des deux tiers au Congrès avant une ratification par au moins 38 Etats américains. Or, si le parti républicain de Donald Trump contrôle les deux chambres du Congrès; il ne dispose pas de la majorité nécessaire. En outre, le parti démocrate contrôle 18 des 50 assemblées législatives des États.

Débat

Au final, et nonobstant les calculs alambiqués de M. Trump qui aura 82 ans à la fin de son mandat, il convient de relever que l’amendement du 22ᵉ article de la Constitution américaine soulève en Amérique un débat sur son impact sur la démocratie. Car constitue-t-il  une protection contre les abus de pouvoir ou bien une atteinte à la souveraineté populaire?

D’un point de vue favorable à l’amendement, il s’agit d’un garde-fou démocratique empêchant l’émergence d’une présidence perpétuelle. Evitant ainsi une concentration excessive du pouvoir exécutif.

Cependant, en restreignant le choix des électeurs, il peut être perçu comme une entrave à la souveraineté populaire. Dans une démocratie, le fondement du pouvoir réside dans la volonté des citoyens, qui devraient avoir le droit de réélire indéfiniment un président s’ils le jugent compétent et efficace. Or, empêcher un dirigeant populaire de se représenter peut être perçu comme une contrainte. Laquelle va à l’encontre du principe démocratique selon lequel les électeurs sont les seuls juges du maintien ou non d’un chef d’État en fonction.

Evidemment, la deuxième thèse est âprement défendue par les soutiens traditionnels de l’actuel locataire de la  Maison Blanche, en l’occurrence les chrétiens évangéliques, les populistes et l’Amérique rurale. Cela va de soi.

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Alice Walton, de Walmart, femme la plus riche du monde

Alice Walton, héritière des actifs de la chaîne américaine de vente en gros et au détail Walmart, arrive en tête du classement des femmes les plus riches du monde, selon le dernier classement publié le 1er avril par le magazine Forbes.

La fortune de la femme d’affaires de 75 ans est estimée à 101 milliards de dollars. Selon le magazine, la fortune combinée des trois héritiers de Walmart – Rob Walton, Jim Walton et Alice Walton – dépasse les 320 milliards de dollars.

L’héritière de l’empire français des cosmétiques L’Oréal, Françoise Bettencourt-Meyers, se classe deuxième avec une fortune de 81,6 milliards de dollars.

Julia Koch, représentante de l’une des familles les plus riches des États-Unis, est troisième sur la liste avec une valeur nette de 74,2 milliards de dollars.

Cette année, la liste du magazine comprenait 3 028 personnes, dont 406 femmes. Plus de 3 000 personnes, totalisant une fortune record de 16 100 milliards de dollars, figurent sur la liste du magazine. Forbes souligne que c’est la première fois que trois personnes détiennent une fortune supérieure à 200 milliards de dollars. La plus riche d’entre elles est l’entrepreneur américain Elon Musk, avec une fortune de 342 milliards de dollars.

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Avec 340 Mrds de dollars, Elon Musk reste l’homme le plus riche du monde

Elon Musk, PDG de Tesla et de SpaceX, reste en tête du classement des milliardaires avec une fortune estimée à 340 milliards de dollars, malgré une perte de 19 milliards en mars, dans le dernier classement Forbes. Cette chute s’explique par le recul de 11,5 % de l’action Tesla, fragilisée par des ventes en baisse en Californie et en Europe, ainsi que par des manifestations contre sa gestion du DOGE.

Les dix personnes les plus riches du monde ont vu leur patrimoine cumulé diminuer de 157 milliards en mars, en raison des tensions économiques liées aux tarifs douaniers américains et aux craintes de récession. Leur fortune totale s’élève désormais à 1 730 milliards, selon Forbes. Mais en dépit de la conjoncture internationale, Elon Musk résiste.

Les autres mouvements marquants du classement

  • Jeff Bezos (Amazon) repasse en deuxième position (206,9 milliards), devançant Mark Zuckerberg (Meta), dont la fortune a chuté de 31 milliards après un recul de 14 % de l’action Meta.
  • Warren Buffett est le seul à avoir gagné 5 milliards, grâce à la hausse de 3 % des actions de Berkshire Hathaway.
  • Bill Gates a quitté le top 10 en octobre 2024 après une importante correction de sa fortune.

Elon Musk sous pression face à la concurrence chinoise

Alors que Tesla voit ses parts de marché reculer, le constructeur chinois BYD a annoncé le développement d’un réseau de recharge ultra-rapide (5 minutes), intensifiant la rivalité dans le secteur des véhicules électriques.

Anecdotes du classement

  • Les 10 premières fortunes mondiales sont toutes détenues par des hommes.
  • 8 sur 10 sont américaines, dont Bezos, Buffett et Larry Ellison. Les exceptions : Bernard Arnault (LVMH, France) et Amancio Ortega (Zara, Espagne).

Qui sont les dix personnalités les plus riches au monde?

    1. Elon Musk
    2. Jeff Bezos
    3. Mark Zuckerberg
    4. Larry Ellison
    5. Warren Buffett
    6. Bernard Arnault
    7. Larry Page
    8. Sergey Brin
    9. Amancio Ortega
    10. Steve Ballmer. 

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L’Europe reçoit une quantité record de GNL des terminaux en mars

Fin mars 2025, les débits de gaz naturel liquéfié (GNL) s’élevaient à environ 12,7 milliards de mètres cubes. Soit une augmentation de 17 % par rapport à février et de 19 % par rapport à mars 2024.

Les flux de gaz naturel liquéfié (GNL) des terminaux européens vers le réseau de transport de gaz de l’UE ont établi en mars un record historique. C’est ce qu’indiquent les données de Gas Infrastructure Europe (GIE) publiées le mercredi 2 avril.

Fin mars, les flux s’élevaient à environ 12,7 milliards de mètres cubes. Soit une augmentation de 17 % par rapport à février et de 19 % par rapport à mars 2024. Ce chiffre a établi un nouveau record, dépassant le précédent record de 12,2 milliards de mètres cubes enregistré en mai 2023.

Pour le premier trimestre 2025, les réceptions totales de GNL des terminaux vers le système européen de transport de gaz ont atteint environ 34 milliards de mètres cubes. Soit 9,6 % de plus qu’au cours de la même période en 2024.

Par ailleurs, les données du Réseau européen des gestionnaires de réseaux de transport de gaz (ENTSOG) confirment la hausse. Ainsi, elles montrent qu’au 30 mars le soutirage de gaz des stockages se classe actuellement au premier rang parmi les sources d’approvisionnement en gaz de l’Europe avec une part de 36,6 %.

Les approvisionnements en GNL occupent la deuxième place avec 28,5 %. Tandis que les approvisionnements en mer du Nord (principalement du gaz norvégien) se classent troisième avec 19 % de part. En outre, les livraisons en provenance de l’Est, y compris le gaz russe et ukrainien ainsi que les entreprises européennes prenant du gaz dans les installations de stockage ukrainiennes, ont représenté 4,7 %.

Enfin, les approvisionnements supplémentaires provenaient d’Afrique du Nord (7,2 %) et du Royaume-Uni (1,6 %).

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Migrants tunisiens en Italie : des allégations de prise forcée de drogues avant expulsion

Des migrants irréguliers tunisiens auraient subi des traitements inhumains dans un centre de rétention italien, selon des informations relayées par l’activiste et ancien député Majdi Karbai.

Dans une publication Facebook datée du 1ᵉʳ avril 2025, ce dernier a affirmé que ces personnes étaient droguées de force afin de faciliter leur expulsion vers la Tunisie. Une vidéo, filmée en caméra cachée au centre de Palazzo San Gervasio, montrerait l’administration sous contrainte de médicaments tels que le Rivotril, le Tavor et le Talofen.

Majdi Karbai a dénoncé ces agissements, les qualifiant de « crimes contre l’humanité » et les attribuant aux conséquences de l’accord sur l’immigration entre la Tunisie et l’Italie, qu’il juge injuste. Les images diffusées laissent effectivement voir des individus menottés recevant des substances médicamenteuses. Aucune réaction officielle des autorités italiennes ou tunisiennes n’a été rapportée à ce stade.

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