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La Tunisie condamne l’agression sioniste contre le camp de Jénine en Cisjordanie

La Tunisie condamne avec la plus grande fermeté l’agression sioniste contre le camp de Jénine en Cisjordanie.

« C’est une attaque qui démontre, une fois de plus, l’obstination des forces d’occupation et leur volonté de saboter les efforts de la paix, en ouvrant un nouveau front et en exportant le modèle d’extermination appliqué dans la bande de Gaza vers les autres territoires palestiniens occupés », a fustigé la Tunisie dans un communiqué publié, jeudi 30 janvier, par le ministère des Affaires étrangères.

La Tunisie appelle de fait la communauté internationale à agir afin de freiner les forces d’occupation sionistes et les conduire à arrêter, sans tarder, leurs opérations militaires dans les villes et les camps de la Cisjordanie, notamment à Jénine.

Le but est donc « de garantir la pérennité de l’accalmie et d’empêcher une nouvelle explosion de la situation dans les territoires palestiniens occupés », selon la même source.

La Tunisie réaffirme son soutien inconditionnel au peuple Palestinien frère dans sa lutte pour la récupération de ses droits légitimes, imprescriptibles et inaliénables.

Elle réitère également sa position constante en faveur du droit des Palestiniens à l’autodétermination et à l’établissement de leur État indépendant, pleinement souverain, sur l’ensemble de leur territoire, avec Al-Quds pour capitale.

Les forces d’occupation, soutenues par des bulldozers, des avions et des véhicules militaires blindés, mènent l’opération « Mur de fer » dans la ville palestinienne de Jénine depuis le 21 janvier, deux jours après le début de la trêve conclue dans la bande de Gaza entre l’entité sioniste et la résistance.

Le camp de Jénine (établi en 1953 dans la ville de Jénine) est situé en Cisjordanie occupée, qui a connu une escalade de la violence, tuant au moins 863 Palestiniens jusqu’à présent, selon le ministère de la Santé à Ramallah.

Avec TAP

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Ben Arous : Avancement à 72% du projet d’assainissement de la ville de Khlidia

Le projet d’assainissement de la ville de Khlidia, relevant de la délégation de Mornag (Gouvernorat de Ben Arous), a progressé à 72% après l’accélération du rythme des travaux, selon le directeur régional de l’assainissement, Chedhli Ben Gharssallah.

Il a souligné, à l’Agence TAP, que l’avancement concerne la réalisation de la station principale d’assainissement située dans la zone de « Henchir Boural », dont la mise en œuvre a atteint des étapes avancées.

Le projet d’assainissement de la ville de Khlidia comprend, selon les études techniques, une station principale couvrant une superficie de deux hectares avec une capacité de traitement quotidien estimée à 2500 m3 d’eaux usées et une tonne d’eaux polluées.

Il comprend également l’installation et l’extension d’un réseau de canalisations de 26 mille 570 mètres de canalisations en plastique, 3800 mètres de canalisations de pompage, ainsi que le raccordement de près de 1200 habitations réparties sur quatre quartiers de la ville au réseau d’assainissement, en plus de la construction et de l’équipement de cinq stations de pompage.

Le projet d’assainissement de la région de Khlidia, avec ses différentes composantes, s’inscrit dans le cadre du programme national d’assainissement des petites villes de moins de 10 mille habitants.

Ce projet est financé par un prêt de la Banque africaine de développement (BAD) et de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), à hauteur de 24 millions de dinars.

Selon la même source, les travaux devraient être parachevés d’ici la fin de l’année en cours.

Avec TAP

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Manouba : Enquête ouverte après l’agression contre un membre du conseil local à Oued Ellil

Le procureur de la République près le tribunal de première instance à Manouba a ordonné, jeudi 30 janvier, l’ouverture d’une enquête sur un incident de violence aggravée dont a été victime le membre du conseil local à Gobaâ (Oued Ellil), a indiqué le porte-parole dudit tribunal.

Il a ajouté dans une déclaration à l’agence TAP, que la brigade de recherche et d’investigation de la Garde nationale à Manouba a été chargée de l’affaire.

Selon la même source, le concerné, répondant au nom de Sadok Touili, membre sur la localité de Gobaâ à Oued Ellil s’était présenté, jeudi 30 janvier, à la caserne de la Garde nationale à Manouba portant des traces de violence pour déposer plainte, indiquant qu’il avait été agressé à l’intérieur d’un café situé à proximité de son domicile.

Dans une déclaration à TAP, Touili a expliqué que l’agresseur lui avait proféré des injures, pour sa « qualité de membre du conseil local », après qu’il ait « signalé des dossiers de corruption dans la région », selon ses dires.

L’agression s’est ensuite poursuivie avec l’aide d’autres personnes, ce qui lui a prévalu des blessures et des contusions au niveau du visage et des mains, d’après lui.

Dans ce même contexte, les réseaux sociaux ont fait état de l’indignation des membres des conseils locaux de la région et d’autres gouvernorats contre cette agression attestée par des illustrations des blessures, exprimant leur solidarité avec la victime.

Avec TAP

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Le projet du Code forestier sera prochainement soumis au Parlement

Le projet du Code forestier sera soumis, dans les prochains mois, à l’examen de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD), a indiqué le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh.

Ben Cheikh, qui répondait à des questions de députés du CNRD, lors d’une séance de travail tenue jeudi 30 janvier, a souligné, le rôle et la contribution du secteur forestier dans l’impulsion de l’économie nationale.

En Tunisie, la révision du Code forestier, qui date de 1988, s’inscrit dans le cadre d’une réforme législative, touchant le Code des eaux, le Code des énergies renouvelables et aussi les Code des mines et celui des hydrocarbures.

Selon la Direction générale des forêts (DGF), il s’agit d’une prise de conscience de la nécessité de réorganiser et de faire évoluer la règlementation forestière pour développer, entre autres objectifs, le rôle du domaine forestier dans le développement économique et social, notamment, des populations vivant aux environs des forêts.

Le Code forestier révisé sera aussi plus sévère, en ce qui concerne les atteintes aux forêts, les incendies volontaires et tout autres dépassements.

La nouvelle version du Code permettra également l’exploitation des produits forestiers aussi bien par les industriels que par les jeunes promoteurs issus des régions forestières.

En Tunisie, les forêts et parcours naturels couvrent près d’un tiers de la superficie totale du pays et s’étendent, soit environ 5,7 millions d’hectares, dont 1,3 million d’hectares de forêts et 4,4 million de parcours naturels, selon le Fonds mondial pour la nature (WWF).

Les forêts abritent 8 à 10% de la population totale, soit environ 800 à 1 million de personnes et renferment 44 aires protégées et 41 zones classées sites Ramsar. L’estimation de la contribution du secteur des forêts et parcours au PIB national s’élève à 1,5%.

Avec TAP

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Météo : Températures comprises la nuit entre 6 et 13 °C

Ciel partiellement nuageux sur le tout le pays puis brume locale en fin de nuit sur les zones basses et les régions côtières.

Vent de secteur sud sur le nord et le centre et de secteur est sur le sud, relativement fort prés des côtes est et faible à modéré ailleurs.

Mer moutonneuse à localement très agitée.

Températures comprises la nuit entre 8 et 13 °C et aux alentours de 6 °C sur les hauteurs ouest.

Avec TAP

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Bourse : Le marché termine la séance proche de l’équilibre

Le marché boursier a terminé la séance de jeudi 30 janvier, proche de l’équilibre (+0,06 %) à 10232,7 points, dans un modeste volume de 3,7 MD, a fait savoir l’intermédiaire en Bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre STIP s’est placé au top line. Dans un volume anémique de mille dinars, l’action de l’unique producteur de pneus en Tunisie s’est appréciée de 4,5 % à 2,800 D.

Le titre AIR LIQUIDE a, également, été bien orienté sur la séance. L’action de la filiale tunisienne du géant français des gaz liquéfiés a progressé de 3,4 % à 103,890 D. La valeur a drainé un flux relativement faible de 70 mille dinars sur la séance.

Le titre BNA a chapeauté le palmarès des échanges. L’action de la banque étatique a fait du quasi-surplace à 8,280 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 730 mille dinars, soit 20% du flux de la cote.

Le titre ENNAKL AUTOMOBILES s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du concessionnaire automobile des marques de Wolfsburg a reculé de 2,6 % à 11,190 D. Sur la séance, la valeur a été échangée à hauteur de mille dinars seulement.

Le titre POULINA GROUP HOLDING a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action de la plus grande société holding en Tunisie a régressé de 1,1 % à 8,500 D. PGH a amassé un flux réduit de 35 mille dinars sur la séance.

Avec TAP

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Mobilité électrique en Tunisie : Les préalables d’une transition inévitable

En Tunisie, où le transport accapare près de 36% du total de l’énergie finale consommée et contribue de 26% aux émissions des GES (Gaz à effet de serre), les autorités ont entamé des démarches pour renforcer les parcs mobiles public et privé par des voitures électriques ou hybrides (combinant moteur à combustion et moteur électrique).

Le pays projette, ainsi, d’alimenter le marché local de 5000 voitures électriques et 60 bornes de recharge publiques, dans les différentes régions, d’ici 2026. Il ambitionne, à moyen terme, d’atteindre 50 000 véhicules électriques et 5 000 bornes de recharge en 2030.

Cette transition vers l’écomobilité, bien qu’elle soit une meilleure alternative pour la protection de l’environnement et la réduction de la dépendance des énergies fossiles, entraînera la perte de certains emplois et métiers, notamment dans le domaine de réparation et d’entretien automobile. Certains métiers devront s’adapter au changement, à travers la mise à niveau et la formation, selon des études et des experts.

En effet, comparés aux moteurs électriques, les moteurs thermiques et ceux à combustion, comportent beaucoup moins de pièces et, nécessitent, ainsi, beaucoup moins de main-d’œuvre. Les voitures électriques sont également, respectueuses de l’environnement, car moins polluantes que celles à moteur à combustion, qui émettent des GES, tels que le dioxyde de carbone et l’azote.

Interrogé par l’agence TAP, sur les conditions et les revers de cette transition, le président de la Chambre Syndicale Nationale de la Mécanique Automobile relevant de l’UTICA, Youssef Rabeh a souligné que l’Etat devrait préparer, avant tout, l’infrastructure nécessaire pour la réussir (transition écologique). « Il est encore très tôt de parler de perte d’emplois ou d’émergence de nouveaux métiers, mais il faut, quand même, préparer le terrain, à travers la formation des professionnels et du personnel et la mise en place d’un réseau de bornes de recharge », a-t-il dit.

Les Tunisiens ne semblent toujours pas enthousiastes à l’idée d’acquérir et d’utiliser des véhicules électriques en raison de leurs prix et leurs coûts de maintenance, jugés très élevés.

Dans un sondage réalisé par l’institut « Emrhod Consulting » pour observer et décrypter l’évolution du marché de l’automobile en Tunisie, 49% des personnes sondées ont indiqué que le prix d’achat est le principal critère qui influence leur choix du véhicule. 47% ont dit qu’ils opteront pour un moteur thermique contre seulement 17% pour un véhicule hybride rechargeable et 14% pour un véhicule électrique.

Revenant sur l’impact de cette mue vers l’éco-mobilité, Youssef Rebeh a encore déclaré à TAP, que certains métiers, dont celui du mécanicien, (encore classique en Tunisie), vont perdre peu à peu de la main d’œuvre, étant boudés par les jeunes. « La réparation des voitures électriques est délicate et les mécaniciens sont appelés à être performants. Il faut les former tout en préparant les métiers d’avenir dans le secteur de l’automobile, tels que les ingénieurs en sécurité opérationnelle, les ingénieurs en électronique de puissance et les ingénieurs en électronique de moteur », a-t-il encore dit.

« Nous avons déjà entamé des formations dans plusieurs régions, dont Bizerte, Zaghouan et Sfax (Jbeniana), dans le cadre du Programme de formation et intégration professionnelles en Tunisie, conduit par la Coopération suisse », a encore indiqué Rebeh. Pour lui, les concessionnaires automobiles tunisiens doivent également s’adapter à l’ère des véhicules électriques et former leurs techniciens.

L’évolution technologique impose l’adaptation :

Bien que les véhicules électriques nécessitent des réparations mécaniques, tout comme les véhicules à combustion, la réparation ou le remplacement de leurs batteries et de leurs systèmes électriques peuvent s’avérer plus complexes et plus coûteux.

Les systèmes électroniques des véhicules électriques, y compris les moteurs électriques et les commandes, nécessitent une intervention spéciale, et les systèmes de freinage requièrent également des réparations spécifiques. Selon les professionnels, les réparations et la maintenance seront les mêmes pour certaines composantes, mais l’adaptation aux nouvelles technologies et à l’ère de l’électrique est nécessaire.

« Ferid », garagiste à la zone d’El Manar 2 (Grand Tunis) n’est pas très optimiste quant à l’avenir de certains métiers. Ce sexagénère, qui a vécu 17 ans en Europe, a affirmé, à l’agence TAP, que le métier de mécanicien est menacé de disparition.

« L’Etat a beaucoup perdu, quand il a mis fin aux parcours de formation professionnelle au sein des collèges secondaires. Cette formation avait l’avantage de perfectionner les jeunes dans des métiers adaptés au marché de l’emploi », estime-t-il.

Faute de main d’œuvre, « Ferid » se charge, lui même, des tâches confiées d’habitude à des apprentis dans son atelier de réparation. « Ce genre de métiers manuels n’a plus le vent en poupe auprès des jeunes qui, même quand ils sont formés dans des centres privés, préfèrent travailler comme serveurs aux cafés ou livreurs ».

Le marché automobile tunisien gagnerait à muter vers l’électrique, selon le propriétaire de l’atelier de réparation, qui emploie 9 personnes. Mais, il y’a toujours « ce problème de bornes de recharge ». Il faut donc préparer l’infrastructure avant de chercher à s’inscrire dans cette tendance mondiale vers la mobilité électrique.

La Tunisie avait déjà pris des mesures, dans la Loi de finances de 2024, pour promouvoir la mobilité électrique et encourager les Tunisiens à acquérir des véhicules exploitant les énergies alternatives.

Ainsi, les voitures touristiques et utilitaires hybrides rechargeables ont bénéficié d’une réduction de la TVA de 19 à 7% et une exonération des droits de douane. Les droits de douane appliqués aux bus et aux camions hybrides rechargeables a été également, réduits de 43 à 10%.

Pour encourager les particuliers à s’engager sur cette voie de l’écomobilité, la TVA appliquée aux « Wallbox », chargeurs domestiques des voitures et motos, a été aussi réduite, en vertu de la Loi de finances 2024, de 19 à 7%. La voiture particulière représente 60% du parc automobile tunisien.

Avec TAP

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L’état d’urgence prolongé en Tunisie jusqu’à fin 2025

Le décret n°74 du 29 janvier 2025, publié dans le Journal Officiel (JORT), prolonge l’état d’urgence sur tout le territoire national jusqu’au 31 décembre 2025.

Cette mesure, en vigueur dès le 31 janvier, intervient après plusieurs reconductions successives depuis sa première instauration en 2015, à la suite de l’attaque terroriste contre un bus de la Garde présidentielle. Une tragédie qui avait fait 12 morts et 16 blessés.

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Ouverture des candidatures pour la participation au programme d’encouragement à l’excellence scientifique au titre de l’année 2025 (Ministère de l’enseignement supérieur)

Le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (direction générale de la recherche scientifique) a annoncé l’ouverture des candidatures pour la participation au programme d’encouragement à l’excellence scientifique au titre de l’année 2025.

Le ministère a précisé dans un communiqué publié sur son site électronique, que le programme d’encouragement à l’excellence est ouvert à toutes les spécialités scientifiques et cible les chercheurs compétents ayant un excellent cursus scientifique dans leurs domaines de recherche en vue de créer une dynamique concurrentielle incitant à l’excellence scientifique.

Les candidatures sont ouvertes aux candidats ayant le grade de professeur de l’enseignement supérieur ou les grades équivalents du corps enseignant, avec une ancienneté de pas moins de 5 ans à partir de la date de la clôture des candidatures avec la participation de deux chercheurs en post doctorat.

Le ministère a fixé la date limite du dépôt des candidatures au 31 mars 2025 sous format papier ou le dépôt des candidatures en ligne à travers le lien suivant:

httpss://forms.gle/4Ghd6uRWqcTZYpYQ7

Avec TAP

 

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Sousse : 4138 procès-verbaux d’infractions économiques dressés au cours de 2024 (directeur régional du commerce)

Les services de contrôle économique à Sousse ont procédé à la rédaction de 4138 procès-verbaux d’infractions au cours de l’année 2024, à l’issue de 24.178 visites de contrôle, selon le directeur régional du commerce, Faouzi Taleb.

Il a ajouté, à l’Agence TAP, que 167 équipes ont assuré les missions de contrôle économique, parallèlement à celles menées par la cellule permanente active au marché de gros de fruits et légumes de Sousse et de Hammam Sousse.

La saisie des quantités de produits de consommation d’une valeur de 338 mille 111 dinars, est intervenue pour des infractions liées aux pratiques de monopole, a précisé la même source.

Les agents de contrôle économique ont également procédé à la saisie de 2000 articles de produits de nettoyage et 4484 articles de produits d’hygiène corporelle non-conformes aux normes de qualité.

La majorité des infractions concernent le secteur des produits agricoles frais (1629 infractions), le secteur des volailles et des œufs (316 infractions).

Des infractions ont aussi été notées dans le secteur des poissons (103 infractions), de la viande (142 infractions), et des produits alimentaires généraux (1481 infractions).

Durant l’année 2024, 211 infractions ont été relevées dans le secteur des boulangeries et pâtisseries, 347 infractions dans le secteur du tabac, 146 infractions dans le secteur des restaurants, 81 infractions dans le secteur des fournitures scolaires, 108 dans le secteur des cafés, et 26 autres dans le secteur du prêt-à-porter et des chaussures.

Avec TAP

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Six individus arrêtés pour suspicion d’appartenance à une organisation terroriste

Six individus, recherchés pour suspicion d’appartenance à une organisation terroriste ont été arrêtés, annonce, ce jeudi 30 janvier, la Direction générale de la Garde nationale dans un communiqué.

Des avis de recherche ont été émis contre les individus en question pour suspicion d’appartenance à une organisation terroriste, a encore souligné la même source.

Selon la direction, les individus arrêtés, sont condamnés à des peines de prison allant de deux à trois ans. Des mesures nécessaires ont été prises à leur encontre après concertation du ministère public.

La Garde nationale a appelé les citoyens à coopérer et à signaler toute information suspecte au 71 860 135, afin de renforcer la sécurité publique.

Avec TAP

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Jeunesse – MJS : Mourali participe aux travaux du Conseil des ministres arabes de la Jeunesse et des Sports et à la réunion de son Comité exécutif

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, a participé aux travaux de la 48e session du Conseil des ministres arabes de la Jeunesse et Des Sports et de la 71e session de son Comité exécutif, qui ont débuté ce jeudi à Bagdad, en Irak.

Les travaux du Comité exécutif, présidés par Achraf Sobhi, ministre de la Jeunesse et des Sports égyptien, ont porté notamment sur :

. La Création d’un fonds au sein de la Ligue Arabe pour reconstruire les installations sportives détruites à Gaza et au Sud du Liban. La proposition a été accueillie favorablement par les membres du Comité exécutif et sera soumise au Conseil des ministres des affaires extérieures arabes.

. La discussion des projets réalisés durant la période précédente et des projets à venir et qui concernent les secteurs de la jeunesse et du sport au sein de la Ligue Arabe, parmi lesquels la stratégie arabe pour la jeunesse, la paix et la sécurité en 2025, qui sera inscrite à l’ordre du jour du sommet arabe.

. Le rapport et les recommandations de la 45e session du Conseil d’administration du Fonds arabe pour les activités de jeunesse et de sport, dont l’initiative de création de l’Union de la jeunesse arabe, le forum arabe des jeunes inventeurs, la rencontre arabe des jeunes sur les mécanismes et les perspectives du travail bénévole chez les jeunes dans le monde arabe, le forum arabe du camping et du scoutisme, le Forum de la jeunesse arabe et l’autonomisation des jeunes.

. Le programme Bagdad, capitale de la jeunesse arabe pour l’année 2025, ainsi que le Prix de l’excellence et de la créativité pour les jeunes talents de cette année.

. La création du centre arabe de soutien aux initiatives de jeunesse dans la ville d’Oran, en Algérie.

Avec TAP

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Mohamed Louzir : « Il faut redonner confiance aux investisseurs pour relancer la croissance »

La Chambre Tuniso-Française de Commerce et d’Industrie (CTFCI) a dévoilé, le 30 janvier 2025, les résultats de son Baromètre économique 2024, réalisé entre octobre et décembre de l’année écoulée. Mohamed Louzir secrétaire général de la CTFCI dévoile les détails du baromètre.

Cette enquête annuelle, qui mesure la perception des entreprises sur la conjoncture économique, a recueilli 243 réponses, contre 180 en 2023, ce qui renforce la représentativité des résultats. « L’enquête reflète les réalisations de l’année 2024 et les attentes des entreprises pour 2025 », indique Mohamed Louzir, secrétaire général de la CTFCI dans une déclaration à l’économiste maghrébin
Malgré une dynamique de croissance toujours présente, les chiffres révèlent un ralentissement notable. En effet, 42 % des entreprises déclarent avoir enregistré une croissance de leur chiffre d’affaires en 2024. Un signe positif, mais qui cache une réalité plus nuancée. « Nous observons un essoufflement. La croissance en 2024 est inférieure à celle de 2023, et les attentes exprimées fin 2023 étaient plus optimistes que les performances finalement enregistrées », analyse Louzir.
L’évolution de la croissance d’une année sur l’autre confirme cette tendance : la progression du chiffre d’affaires entre 2023 et 2024 est inférieure de 5 % à celle constatée entre 2022 et 2023.

Investissement : un moteur en panne

Autre sujet de préoccupation : l’investissement. « Nous continuons d’investir, mais il y a un essoufflement », reconnaît Louzir. Ce ralentissement suit la tendance nationale, où le taux d’investissement en Tunisie a chuté, affectant directement la croissance du pays, qui n’a pas dépassé 1,2 % en 2024. « Le moteur de l’investissement n’est pas au rendez-vous, et cela se traduit par une croissance atone », souligne-t-il. Pourtant, tout n’est pas négatif : malgré ce contexte incertain, les entreprises adhérentes de la CTFCI ont continué à investir en 2024 et envisagent de poursuivre leurs efforts en 2025.

Un regain de confiance dans la stabilité du pays

L’un des éléments les plus marquants de l’étude est la perception d’une amélioration de la stabilité économique et politique. « Les entreprises considèrent qu’il y a plus de stabilité économique, sociale et politique qu’auparavant », explique Louzir. Cette évolution pourrait être liée aux élections de 2024, qui ont apporté une certaine visibilité aux agents économiques. « Les investisseurs cherchent avant tout la stabilité. Aujourd’hui, ils se sentent plus sécurisés sur l’avenir et sur les paramètres économiques du pays », précise-t-il.

Une pression fiscale jugée étouffante

Malgré cet optimisme relatif, un frein majeur ressort de l’étude : la pression fiscale. Elle est perçue comme le principal obstacle à la croissance et suscite une inquiétude grandissante chez les chefs d’entreprise.
« Tout le monde en Tunisie estime payer trop d’impôts », affirme Louzir. La loi de finances 2024 a accentué ce sentiment en introduisant des hausses d’impôts considérables :
– Augmentation des taux de l’IRPP et de l’impôt sur les sociétés.
– Introduction d’un taux de 40 % pour certaines catégories de revenus.
– Fiscalité des entreprises atteignant un niveau supérieur à 35 %, soit le plus élevé d’Afrique et supérieur à certains pays de l’OCDE.
« Nous devons élargir la base fiscale au lieu d’augmenter la pression sur les mêmes acteurs. Il faut encourager l’investissement et redonner confiance aux investisseurs, locaux comme étrangers », recommande Louzir.

Un potentiel économique à exploiter

Malgré ces défis, la Tunisie dispose d’atouts considérables qui pourraient favoriser son redressement économique.
« Nous avons des talents de grande qualité, notamment dans les technologies de l’information, un positionnement géographique stratégique entre l’Europe et l’Afrique, et un fort potentiel dans les énergies renouvelables », énumère Louzir.
Les entreprises estiment que la Tunisie peut jouer un rôle clé dans le développement des énergies solaires et éoliennes. Toutefois, l’exploitation de ce potentiel reste entravée par un manque d’exécution et d’initiatives stratégiques.
« Il ne suffit pas d’avoir du potentiel, encore faut-il le concrétiser. Nous devons retenir nos talents, accompagner nos startups pour qu’elles se développent localement et créer un environnement propice à l’investissement », insiste-t-il.
Quelles perspectives pour 2025 ?
Alors que 2025 approche, les entreprises tunisiennes évoluent entre pragmatisme et ambition. Si certaines améliorations sont perceptibles, notamment en termes de stabilité, la pression fiscale et le manque d’investissements risquent de freiner la relance.
Pour les chefs d’entreprise interrogés, les solutions sont claires :
– Alléger la fiscalité pour stimuler la croissance.
– Créer un environnement plus attractif pour les investissements.
– Mieux valoriser les ressources locales, notamment humaines et énergétiques.
« La Tunisie a tout pour réussir, mais elle doit donner aux investisseurs – qu’ils soient locaux ou étrangers – les moyens de croire en son avenir », conclut Louzir.

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La Tunisie extrêmement préoccupée par la situation à l’Est de la RDC

*La Tunisie, exprime sa profonde préoccupation face à la situation sécuritaire qui prévaut à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC). La Tunisie suit avec « inquiétude » l’escalade de la situation à l’est de la République démocratique du Congo (RDC), qui a fait plusieurs morts et blessés dans les rangs des Forces onusiennes de maintien de la paix en RDC (Monusco), lit-on dans un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères.

La Tunisie adresse ses sincères condoléances aux familles des victimes, mettant en garde contre les conséquences de ce regain de violences sur les efforts de paix dans ce pays ainsi que sur la stabilité de toute la région.

D’autre part, le ministère des Affaires étrangères a assuré que les membres de la communauté tunisienne en RDC, y compris les forces tunisiennes de maintien de la paix sont sains et saufs, ajoutant que l’ambassade tunisienne à Kinshasa est en contact permanent avec eux.

Dans le même contexte, la Tunisie a appelé à la retenue et au respect de la souveraineté de la République démocratique du Congo, tout en se conformant à l’accord du cessez-le-feu conclu, le 31 juillet 2024, dans le cadre du processus de Luanda.

Face à ce regain de violence, la Tunisie a réaffirmé son attachement aux principes du droit international et sa disposition à contribuer aux efforts onusiens de maintien de la paix, auxquels elle participe depuis les années 60, ajoute le communiqué.

Avec TAP

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Convention entre l’OTEF et l’établissement de la Radio tunisienne pour la diffusion à partir du mois d’avril 2025 d’un programme intitulé « Radio Bac »

L’organisation tunisienne pour l’éducation et la famille (OTEF) et l’établissement de la Radio tunisienne ont signé, mercredi 30 janvier, une convention portant sur la diffusion d’un programme radiophonique visant à offrir un soutien scolaire aux candidats au Baccalauréat dans plusieurs matières.

L’OTEF a précisé, dans son communiqué, qu’en vertu de cette convention, un nouveau programme intitulé « Radio Bac » sera produit et diffusé sur « Radio jeunes » relevant de l’établissement de la Radio Tunisienne, à partir du mois d’avril 2025 jusqu’à la fin des cours de rattrapage, qui précédent l’épreuve du baccalauréat et sera assuré par plusieurs enseignants.

Les deux parties œuvrent à travers cette convention, à renforcer le processus éducatif et d’encadrement des élèves, en vue de consolider l’action participative et la noble mission éducative.

Selon le même communiqué, cette convention est le fruit d’une coopération établit en mai dernier entre l’OTEF et Radio Jeunes.

L’OTEF avait coordonné avec plusieurs enseignants de différentes spécialités pour assister à l’émission « Radio Bac » et offrir des cours de soutien scolaire aux candidats du baccalauréat, lit-on dans le même communiqué, ajoutant que cette initiative a eu un écho favorable de la part des parents.

Avec TAP

 

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Agriculture : Le taux de remplissage des barrages tunisiens a atteint 32% au 30 janvier 2025

Le taux de remplissage des barrages tunisiens s’est établi à 32% au 30 janvier 2025, a fait savoir, jeudi 30 janvier, le PDG de la SONEDE, Abdelhamid Mnaja, ajoutant que les dernières précipitations ont contribué à améliorer le niveau des réserves en eau dans le pays.

S’adressant aux journalistes, lors d’une conférence de presse organisée par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, le responsable a précisé que les apports globaux aux barrages ont atteint 755 millions de m3 depuis le début de la saison des précipitations contre 768 millions de m3 durant la même période de l’année précédente. Ces apports sont répartis à raison de 694 millions de m3 pour les barrages du nord, 50 millions de m3 pour les barrages du centre et 11 millions de m3 pour les barrages du Cap Bon.

Il a indiqué que la SONEDE œuvre à résoudre la problématique de manque d’eau dans plusieurs régions et à accélérer l’achèvement des travaux pour la mise en exploitation de la station de dessalement de Sousse d’une capacité de 50 000 m3/jour. La société travaille également à renforcer le transfert des eaux vers les régions du Sahel à partir de barrage Nebhana (Kairouan), à construire des puits artésiens dans plusieurs régions notamment le Kef, Siliana, Médenine, Tataouine et Tozeur et à raccorder plusieurs puits profonds.

À cet égard, a-t-il déclaré, la société a mis en place une cellule active 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour surveiller les forages illégaux de puits. Cette cellule a établi 1 041 procès, saisi 269 machines de forage et pris la décision de remblayer 186 puits, dont 11 ont déjà été remblayés.

La cellule a également supprimé 2 342 raccordements anarchiques à des groupements hydrauliques et révélé 1 698 infractions liées au vol d’eau dans les réseaux publics d’irrigation et 480 infractions liées à l’irrigation de propriétés agricoles, a-t-il ajouté.

Avec TAP

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Ramadan : le prix de l’huile d’olive fixé à 12,5 dinars

Le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche  annonce que le prix du litre de l’huile d’olive sera disponible à 12,5 dinars, et à 37 dinars pour la bouteille de trois litres.

Cette annonce intervient lors d’une conférence de presse, jeudi 30 janvier 2025, consacrée aux préparatifs du Ramadan.

Le ministère a également indiqué qu’environ 250 000 litres d’olive extra vierge sont disponibles.

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Dermatose nodulaire contagieuse : 163 foyers détectés dans 17 gouvernorats

Environ 163 foyers de dermatose nodulaire contagieuse bovine ont été détectés en Tunisie jusqu’au 5 décembre 2024. Ces foyers sont répartis sur 17 gouvernorats, a fait savoir le Chargé de gestion de la Direction Générale des Services Vétérinaires, Wahib Mehri, lors d’une conférence de presse tenue, jeudi 30 janvier, à Tunis, par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Il a ajouté que 196 infections par cette maladie, provoquant la mort de 16 bovins, indiquant que le ministère de l’Agriculture a pris plusieurs mesures à cet égard.

Il s’agit, de la création d’une cellule de suivi pour surveiller l’émergence de nouveaux foyers, l’élaboration d’un plan d’intervention pour prévenir la propagation de la maladie, ainsi que la mise en œuvre d’une campagne de vaccination pour tout le cheptel (420 821 têtes), avec un taux de vaccination de 94,2% jusque-là.

Avec TAP

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Manouba : Ouverture d’une enquête pour soupçons de corruption et détournement de fonds publics à la STEG

Le procureur de la République près le tribunal de première instance à Manouba a ordonné, jeudi 30 janvier, l’ouverture d’une enquête judiciaire contre un groupe d’employés du district de la société tunisienne d’électricité et de gaz (STEG) à Manouba, pour soupçons de corruption administrative et détournement de fonds publics.

Les prévenus sont soupçonnés d’abus de fonction, de préjudice à l’administration, de faux et usage de faux et de manipulation de données informatiques, dans le but de nuire à la situation financière d’autrui et d’obtenir des avantages matériels, selon le porte-parole dudit tribunal.

Cela fait suite à la décision du procureur de la République, mardi 28 janvier, de maintenir en garde à vue, trois agents, de faire comparaitre deux autres agents devant le juge, et d’émettre des mandats d’amener contre trois autres employés, aux suites de l’enquête menée, fin 2024, par la première brigade des recherches et investigations de la Garde nationale à l’Aouina, ayant révélé des soupçons de détournement récurrent de sommes importantes au sein de la filiale.

Avec TAP

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