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France – Censure du gouvernement Barnier : une crise politique inédite

Le gouvernement de Michel Barnier a été renversé par une motion de censure déposée par le NFP. Ce qui n’était pas arrivé depuis 1962. 

Cette motion de censure, soutenue par une alliance inattendue entre la gauche et l’extrême droite, a obtenu 331 voix, bien au-delà des 288 nécessaires pour son adoption. Barnier, qui n’a occupé le poste de Premier ministre que pendant trois mois, dirigera désormais un gouvernement démissionnaire, le temps que le président de la République nomme un nouveau PM – qui pourrait reconduire Barnier lui-même.

En effet, Emmanuel Macron, de retour d’Arabie saoudite, doit rapidement nommer un nouveau Premier ministre pour éviter un vide politique. D’après les médias français, les discussions autour des candidats potentiels seraient déjà en cours, avec des noms comme Sébastien Lecornu (ministre des Armées) ou François Bayrou (le président du Modem) qui émergent dans les consultations.

La situation actuelle souligne la fragilité du gouvernement et la nécessité d’une coalition solide pour faire face à une Assemblée nationale hostile.

Toujours selon certains médias français, les réactions à cette censure sont variées : certains députés de gauche voient cela comme un moment historique, tandis que d’autres, comme Marine Le Pen, parlent d’un « moment de vérité pour un gouvernement jugé sans légitimité ».

Barnier lui-même a reconnu que cette censure compliquera davantage la gestion du budget et les défis politiques à venir.

Ce qu’il s’est passé en 1962

En 1962, les députés avaient voté une motion de censure contre le gouvernement de Georges Pompidou, en réaction à la proposition de Charles de Gaulle d’instaurer le suffrage universel direct pour l’élection du président de la République.

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CNRD : Adoption en plénière du PLF 2025

Le Projet de Loi de Finances(PLF) 2025 a été adopté, mercredi soir, dans sa totalité, par le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD).

Le PLF 2025 dont l’examen par le CNRD a démarré, le 3 décembre 2024, a été adopté au cours d’une séance plénière présidée par Imed Derbali et en présence de la ministre des Finances, Sihem Nemsia, avec 65 voix pour, 8 voix contre et 4 abstentions.

Le PLF 2025 a été adopté, lundi soir(2 décembre 2024) dans sa totalité, par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) avec 87 voix pour, 21 voix contre et 13 abstentions.

Avec TAP

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Séminaire d’information dédié au régime des sociétés exportatrices agréées

Le Conseil des Chambres Mixtes (CCM), en collaboration avec la douane tunisienne, a organisé un séminaire d’information dédié au régime des sociétés exportatrices agréées, dans le contexte des nouvelles dispositions européennes relatives aux règles d’origine.

Cette initiative vise à préparer les entreprises tunisiennes aux changements réglementaires qui entreront en vigueur en 2025.

Contexte et objectifs du séminaire

Les règles d’origine déterminent la nationalité des produits, influençant ainsi les tarifs douaniers et les accords commerciaux. L’Union européenne a introduit de nouvelles dispositions en la matière, impactant les exportateurs tunisiens. Le séminaire, animé par le colonel major Mohamed Rabiaa Belhaj, a réuni 200 représentants des sociétés membres du CCM, offrant une plateforme pour comprendre ces évolutions et leurs implications.

Points clés abordés

· Présentation des nouvelles réglementations européennes : Les participants ont été informés des modifications apportées aux règles d’origine par l’UE et de leur impact sur les exportations tunisiennes.

· Régime des sociétés exportatrices agréées : Ce statut permet aux entreprises de certifier l’origine de leurs produits, facilitant ainsi les procédures douanières. Les critères d’éligibilité, les avantages et les obligations associées ont été détaillés.

· Procédures de mise en conformité : Les étapes pour adhérer au programme et se conformer aux nouvelles exigences ont été expliquées, avec un accent sur les délais et les documents requis.

Engagement de la douane tunisienne

Les responsables de la douane ont exprimé leur volonté d’assister les entreprises dans cette transition, en offrant des formations et un soutien technique pour surmonter les défis liés à l’adhésion au nouveau régime. Ils ont également souligné l’importance de la collaboration entre le secteur public et privé pour assurer une mise en œuvre efficace des nouvelles dispositions.

Perspectives pour 2025

Avec la généralisation et l’obligation des nouvelles procédures prévues pour 2025, il est essentiel pour les entreprises tunisiennes de se préparer dès maintenant. L’adoption proactive de ces mesures permettra de maintenir et de renforcer leur compétitivité sur le marché européen.

En conclusion, ce séminaire a offert une occasion précieuse aux entreprises tunisiennes de se familiariser avec les nouvelles règles d’origine européennes et de se préparer aux changements à venir, tout en bénéficiant du soutien de la douane tunisienne et du CCM.

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Maintien de la certification MSI 20000 de Novation City

COFICERT annonce le maintien de la certification de Novation City à la norme internationale MSI 20000 dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions.

Après la remise d’un premier certificat MSI 20000 en octobre 2021, COFICERT reconduit le certificat de Novation City, technopole de référence financé en partie par la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC).

Novation City est un partenariat public-privé, soutenu par des groupes industriels de premier plan et des institutions bancaires et financières, ayant pour vocation d’être un hub d’innovation de référence venant renforcer les activités à haute valeur ajoutée dans la filière mécatronique. Cette participation stratégique de la CDC constitue une des valeurs phare de son portefeuille.

La certification, obtenue suite à une évaluation financière réalisée sur la base des derniers exercices atteste de la conformité de Novation City aux exigences du cahier des charges de la norme. Ce projet s’inscrit dans la vision de la CDC d’améliorer et de consolider les bonnes pratiques en matière de gouvernance financière des structures qu’elle finance.

Le certificat de conformité MSI 20000 a été remis à la Direction de Novation City par une délégation officielle de COFICERT France, menée par Anne Guerbé, vice-présidente de l’organisme, qui était également accompagnée par Cristian Mocanu et Souheil Skander.

Diffusée et régulée par l’IGSF, la norme MSI 20000 renseigne sur la qualité de la situation financière des entreprises et des institutions. L’approche d’évaluation repose sur deux axes, la mesure de la solidité financière d’une part et celle de la performance financière d’autre part.

Le certificat MSI 20000 se présente comme un indicateur de référence pour les opérateurs économiques et financiers en quête de repères fiables et indépendants en matière de solvabilité, de rentabilité et de résilience.

La certification MSI 20000 vient confirmer la qualité de la situation financière de Novation City et envoie un message fort et rassurant quant à la dynamique et aux perspectives de développement du pôle. Cette certification renforce le positionnement et l’image de marque de Novation City auprès de ses partenaires et en particulier de son écosystème financier (investisseurs, bailleurs de fonds, etc.).

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A propos de :

Novation City, également connue sous la dénomination de Pôle de Compétitivité de Sousse, est une société de droit privé créée en 2009 sur la base d’un partenariat Public-Privé dans le but de développer un hub d’innovation, soutenu par des institutions bancaires et financières et des groupes industriels de premier plan, pour renforcer les activités à haute valeur ajoutée dans la filière mécatronique.

MSI 20000

MSI 20000 est la norme internationale dédiée à la qualité de la situation financière des entreprises. Le processus de certification MSI 20000 analyse les données relatives à la situation financière d’une entreprise. Les cahiers des charges de la norme MSI 20000 s’articulent autour de deux axes d’évaluation : la solidité et la performance financière ; deux composantes au cœur de la rentabilité, la solvabilité et la pérennité des entreprises. La norme est régie à l’échelle internationale par l’IGSF (International Group for Sustainable Finance).

IGSF

L’IGSF est une ONG à but non lucratif, basée au Luxembourg, dont les activités ont pour objectif de canaliser et d’organiser les efforts internationaux en matière de normalisation financière et extra-financière.

L’IGSF, en tant qu’entité de normalisation, œuvre principalement sur deux volets : d’une part, l’organisation technique des normes en matière de gouvernance financière et extra-financière et, d’autre part, la diffusion des normes et des bonnes pratiques en général. Les thématiques couvertes au sein de l’IGSF traitent notamment des enjeux en matière de gouvernance financière, de lutte contre la criminalité financière ou encore de responsabilité sociétale des entreprises ou organisations de tout type.

COFICERT

COFICERT est un organisme de certification français, spécialisé dans les certifications financières et extra-financières, intervenant dans plus de 40 pays. COFICERT opère historiquement avec, et aux côtés, des organismes de certification et de normalisation internationaux. L’organisme rassemble des experts qualifiés en matière de gouvernance, de lutte contre la criminalité financière et de finance durable.

L’activité de COFICERT couvre les thématiques suivantes : la solidité et la performance financière (MSI 20000), la responsabilité sociétale des entreprises (ESG 1000), la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (AML 30000), la gouvernance des organisations (ISO 37000) et la lutte contre la corruption (ISO 37001).

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Accélération de l’aménagement du poste frontalier de Melloula

Le ministre des Transports, Rachid Amri a appelé à accélérer la réalisation du projet d’aménagement du poste frontalier terrestre de Melloula, dont le taux d’avancement des travaux est estimé à 68%, au moment ou plusieurs projets de transport ont été concrétisés dans les gouvernorats de Jendouba et de Béja.

M. Amri a souligné, lors d’une visite effectuée aux gouvernorats de Béja et de Jendouba, que son département œuvre à renforcer la connectivité entre les différentes régions du pays, à travers la modernisation du système de transport, afin d’améliorer les indicateurs de développement sociaux-économique.

Il a recommandé de lancer un appel d’offres relatif au projet de construction d’un centre de contrôle technique des véhicules à Jendouba dans un délai ne dépassant pas le 15 janvier 2025, et la mise en service d’un atelier de maintenance des bus relevant de la Société régionale de transport de Béja en juin 2025.

Il a également souligné l’impératif de l’entrée en service du projet de la station de transport terrestre à Béja le 25 juillet 2025, ainsi que l’accomplissement des travaux d’aménagement de la gare ferroviaire de Béja pour le 20 mars 2025.

Il a aussi exhorté la Société régionale de transport de Jendouba à lancer, le 25 janvier 2025, l’exploitation du système d’aide à l’exploitation et à l’information voyageurs( SAEIV), ainsi que le système de contrôle par GPS, en plus de l’installation du système de management de l’énergie (SME) et les systèmes de planification des ressources des entreprises.

Le ministre a appelé à renforcer le contrôle dans les deux directions régionales de l’Agence Technique des Transports Terrestres (ATTT) à Jendouba et à Béja, et à la lutte contre les dépassements en matière des examens d’obtention des permis de conduire, en plus d’orienter les clients pour réaliser certaines opérations techniques en dehors des centres de contrôle technique.

Avec TAP

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Bourse de Tunis :Le Tunindex enchaîne une huitième séance dans le vert(+0,19%)

Le marché boursier a enchaîné une huitième séance dans le vert. L’indice de référence a progressé, mercredi, de 0,19 % à 9900,21 points portant sa performance depuis le début de l’année à 13,1%, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le volume demeure faible totalisant 2,6 MD sur la séance boursière.

Le titre ESSOUKNA s’est offert la meilleure performance de la séance. Sans générer de flux, l’action du prometteur immobilier s’est appréciée de 4 % à 1,550 D.

Le titre BNA a retrouvé des couleurs sur la séance. L’action de la banque publique a signé une progression de 3,7 % à 8,190 D.

Figurant parmi les valeurs les plus dynamiques de la séance, BNA a drainé des échanges de 427 mille dinars.

Le titre TAWASOL GROUP HOLDING a figuré parmi les plus fortes baisses de la séance. L’action a reculé de 4,4 % à 0,650 D notant que la valeur a été transigée à hauteur de 11 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre SOTUMAG a, également, terminé la séance sur une note morose. L’action a baissé de 4,4 % à 6,300 D, sachant que la valeur a mobilisé un volume réduit de 14 mille dinars sur la séance.

Avec TAP

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PLF 2025 : Adoption des articles 67 jusqu’à 83

Les députés du Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont adopté, mercredi, lors d’une plénière consacrée à l’examen du projet de loi de finances (PLF) 2025, les articles 67 jusqu’à 83.

Les députés ont adopté l’article 67 dans sa version initiale, en retirant la proposition d’amendement. Ils ont, par ailleurs, adopté les articles 68 jusqu’à 79, sans réclamer d’amendement, outre les articles 81 et 82 dans leurs versions amendées.

La révision proposée pour l’article 81 relatif au forage sans autorisation des puits profonds stipule l’application d’un taux de 10 % de la valeur de forage de puits profonds, réalisés sans l’obtention d’une autorisation, et ce quelque soit son mode de fonctionnement (à partir de l’énergie électrique ou solaire), pour les petits agriculteurs.

La ministre des Finances Sihem Boughdiri Nemsia a souligné que le problème des puits anarchiques qui menacent la durabilité des ressources en eau profondes dans le pays, font l’objet de suivi de l’Etat, à travers la prise de mesures urgentes en la matière pour garantir la sécurité de l’eau et l’équilibre environnemental.

Elle a souligné que cette révision engendrera des dépenses supplémentaires sur le budget de l’Etat.

Avec TAP

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Démarrage des Market days de l’Africa Investment Forum : l’Afrique est bancable !

La capitale marocaine Rabat vit du 4 au 6 décembre au rythme des Market days de l’Africa Investment Forum (AIF). Un rendez-vous incontournable qui réunit de nombreux investisseurs représentants des pays africains, et ce, sous la thématique : « Tirer parti de partenariats innovants pour passer à l’échelle supérieure ».

En effet, pas moins de 2 000 investisseurs en provenance de 83 pays en plus de 200 institutions majeures se réuniront pendant trois jours en vue de mener des négociations et tisser des partenariats conséquents. Des thématiques clés sont au cœur des débats, à l’instar de l’énergie, la santé ou encore les infrastructures.

 

Les grosses pointures de la finance africaine à l’initiative !

Les Market days de l’Africa Investissement Forum (AIF), dans leur 6ème édition, traduisent une initiative de neuf institutions de financement. Il s’agit de la Banque africaine de développement (BAD), la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), l’Africa50, la Banque européenne d’investissement (BEI), la Banque de développement de l’Afrique australe, la Banque islamique de développement (BID), l’Africa Finance Corporation, l’Afreximbank, ainsi que la Banque du commerce et du développement.

Créé en 2018, l’AIF constitue la première plateforme d’investissement et de partenariats relevant du continent africain.

Lors du coup d’envoi de l’événement à Rabat, le président du groupe de la BAD, Akinwumi Adesina, a prononcé un discours dans lequel a déclaré : « l’objectif de l’Africa Investment Forum est d’aider les investisseurs à prendre des décisions éclairées sur les projets en Afrique. Notre mission reste la même : mettre en relation les investisseurs et les opportunités, mobiliser des capitaux et accélérer la clôture financière des projets ».

En outre, il n’a pas manqué de mettre l’accent sur l’impressionnant bilan réalisé par l’AIF, réalisant une mobilisation de 180 milliards de dollars d’intérêts d’investisseurs pour l’Afrique tout au long des cinq premières éditions.

Et Akinwumi Adesina de poursuivre : « Il a finalisé des transactions d’une valeur de trente milliards de dollars et continue d’accélérer de nombreux autres projets vers leur clôture financière ».

 

Accords d’une valeur de plus de 15 milliards de dollars, un record !

Les différents participants aux Market days de l’AIF s’attendent à quatre principales actions, à savoir : un focus sur les PME et un réseautage exclusif, un accès à des projets bancables, la conclusion d’accords en temps réel ainsi que des initiatives phares.

Notons d’ailleurs que lors de l’AIF de l’édition 2023, le projet d’ammoniac vert en Afrique du Sud, considéré comme l’un des projets phares, avait été évalué à 5,7 milliards de dollars. Il vise la production de près de 940 000 tonnes d’ammoniac vert à horizon 2028, à même de contribuer significativement aux efforts en matière d’énergie renouvelable dans la région.

L’année 2024 s’annonce tout autant fructueuse, Akinwumi Adesina s’en réjouit et déclare: « Je félicite nos partenaires de l’AIF et leur personnel pour leur collaboration et leur travail exceptionnel. Cette année, les partenaires de l’AIF ont conclu des accords d’une valeur de plus de 15 milliards de dollars, un record. Au cours des trois prochains jours, nous aurons 41 réunions de conseil d’investissement consacrées aux opportunités de projets à travers l’Afrique ».

Il conclura son mot d’ouverture en affirmant que l’Afrique est bancable.

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Toyota RAV4 : les 30 ans d’un pionnier

.  Le Toyota RAV4 fête son trentième anniversaire : trois décennies d’un concept inédit, d’un modèle emblématique de la marque,

·  Parmi les premiers SUV compacts, il définit une formule à succès, qui représente désormais une vente sur deux en Europe (source : ACEA),

·  5 générations de RAV4, émaillées d’innovations pour accompagner tous les instants de la vie de plus de 14 millions d’automobilistes dans le monde, dont plus de 2,5 millions en Europe et 120 000 roulant aujourd’hui en France.

Salon de Genève 1994 : sur le stand Toyota trône un modèle d’un nouveau genre, dont on ne soupçonne pas encore l’extraordinaire potentiel qui ne cessera de se développer jusqu’à aujourd’hui. Le RAV4 (Recreational Active Vehicle with 4WD : véhicule de loisirs avec quatre roues motrices) est révélé au monde, en pleine époque de hype pour les petits modèles japonais créatifs et design, particulièrement appréciés en Europe. Mais celui-ci n’entre dans aucune des catégories connues jusqu’alors. Il y avait sur le marché de nombreux 4×4, mais ils étaient lourds et rustiques, conçus pour le tout-terrain uniquement avec leur châssis séparé et leur pont arrière rigide. On trouvait aussi de petits modèles routiers dotés d’une transmission intégrale, comme la Toyota Corolla break AWD, mais ils conservaient un style classique.

Le RAV4, lui, ouvrait une nouvelle porte : avec son design ludique et original, son gabarit ultra compact, sa position de conduite en hauteur et sa conception technique de berline routière avec sa structure monocoque et ses roues indépendantes, il constituait un nouveau compromis encore jamais vu.

« Toyota inventait alors la catégorie des petits SUV avec son Recreational Active Vehicle 4 roues motrices. Une véritable révolution: à l’aise aussi bien dans la ville qu’en dehors, offrant des sensations de véhicule fun à conduire, compacte et agile », décrit Frank Marotte, PDG de Toyota France.

Le design particulièrement expressif du premier RAV4, très explicite sur les capacités de l’auto, a grandement contribué à son succès. Tatsuya Sonoda est certainement un des meilleurs experts pour en parler. Après différentes expériences au design chez Toyota Motor Corporation depuis 1998, dont un passage au centre de design TEDD (Toyota Europe Design Development) à Sofia-Antipolis près de Nice pour travailler sur des projets en avances de phase, il a été nommé designer en chef de la cinquième génération du RAV4. Aujourd’hui, il est le General Manager de la Division Design, où il supervise le design extérieur et intérieur de plus de 35 modèles.

« Une première génération qui connut un succès immédiat, avec 53 000 exemplaires écoulés dans le monde dès la première année, un chiffre amené à doubler, puis à tripler dans les deux années à suivre ».

« Le RAV4 a été conçu comme un SUV pouvant être utilisé non seulement en tout-terrain, mais aussi en ville, » explique-t-il. « L’accent a été mis sur le confort et la facilité d’utilisation, à l’instar d’une voiture particulière, plutôt que sur des performances tout-terrain extrêmes. Il s’agissait d’une nouvelle approche de la conception d’un véhicule de loisirs, inédite jusqu’à présent. Le design est axé sur le plaisir des yeux, avec des courbes audacieuses et des lignes uniques. Il s’adapte aussi bien aux paysages naturels qu’aux environnements urbains, avec un dessin qui suggère l’action avec un avant arrondi, des côtés avec de grandes moulures de protection et un arrière nettement surélevé ».

Une première génération qui connut un succès immédiat, avec 53 000 exemplaires écoulés dans le monde dès la première année, un chiffre amené à doubler, puis à tripler dans les deux années à suivre. Cette première version fête en 2024 son trentième anniversaire, l’âge de la maturité pour entrer en catégorie véhicule de collection – entrer dans l’histoire, en d’autres mots. Un anniversaire qui s’aligne aussi sur celui de Toyota France (TFR), créé la même année, ouvrant trois décennies de succès.

 

Un show-car pour tester le public

Bien en amont de la version de série, le petit RAV Four Concept présenté au Salon de Tokyo 1989 fut un premier test public, pensé pour estimer le potentiel d’un tel véhicule. Avec ses phares ronds, ses vastes protections de plastique brut striées, sa calandre asymétrique cachant un treuil sous une pièce marquée “à utiliser en cas d’urgence uniquement”, sa partie arrière ouverte, ses marchepieds, bavettes, protections métalliques de châssis et ses pneus crantés, il se positionne de manière plus off-road que le RAV4 qu’il inspirera.

D’ailleurs, une petite moto-cross Yamaha est installée au chausse-pied dans l’habitacle tout en rouge et noir en harmonie avec sa carrosserie (une version argentée sera aussi montrée par la suite) sur une des photos de presse de l’époque. On note une montre analogique façon chrono intégrée sur la planche de bord, une radio avec lecteur de DAT (système de mini-cassettes numériques haute définition), un filet de retenue pour les objets, un volant trois branches et un compte-tours qui trône au milieu de l’instrumentation : sport, baroudeur et high-tech sont au programme.

Une étude de style qui rencontre un beau succès d’estime auprès du public comme des médias. Cela pousse la marque à continuer d’étudier cette piste pas encore clairement marquée, qui peine à faire l’unanimité en interne à propos de la rentabilité de la mise en production d’un tel projet. Ce sont surtout les retours enthousiastes des marchés japonais et européens qui finissent par convaincre les décideurs de la marque de valider le lancement du projet définitif en 1991, sous la direction de l’ingénieur en chef Masakatsu Nonaka. Le résultat est présenté en avant-première au Salon de Tokyo 1993, où le RAV4 est présenté sous la forme d’un concept – en réalité en version presque définitive – donnant un aperçu très précis du modèle de production quelques mois avant son lancement. Son dessin très fun est le fruit d’une collaboration entre les studios de design japonais et américains de Toyota.

« Ce sont surtout les retours enthousiastes des marchés japonais et européens qui finissent par convaincre les décideurs de la marque de valider le lancement du projet définitif en 1991, sous la direction de l’ingénieur en chef Masakatsu Nonaka ».

 

Une fiche technique de citadine sportive

Une construction monocoque et quatre roues indépendantes sont incongrues dans un 4×4 de l’époque, tandis qu’une garde au sol exacerbée, une transmission intégrale permanente avec un autobloquant Torsen à l’arrière (optionnel), un blocage de différentiel central (en version manuelle) et une roue de secours extérieure sont loin du monde des routières.

Le RAV4 réunit tout cela en une seule voiture. Dans un gabarit ultra-compact de 3,69 m, il se gare comme une citadine, tandis que sa largeur de 1,69 m lui permet de se faufiler dans le trafic, bien en sécurité avec ses solides protections courant sur ses flancs.

Enfin, sa hauteur de 1,65 m lui donne une nouvelle perspective très agréable pour surplomber son environnement, et sa garde au sol élevée, en plus de rassurer en vue d’une éventuelle escapade hors bitume, assure une hauteur d’assise confortable pour monter à bord et descendre. Le train avant McPherson et la suspension arrière à double triangulation et bras tiré assurent un comportement routier vif et efficace inconnu avec les 4×4 de l’époque, en conjugaison avec une monte pneumatique 16 pouces à flancs hauts contribuant au confort général.

« Le RAV4 réunit tout cela en une seule voiture. Dans un gabarit ultra-compact de 3,69 m, il se gare comme une citadine, tandis que sa largeur de 1,69 m lui permet de se faufiler dans le trafic, bien en sécurité avec ses solides protections courant sur ses flancs ».

Sous le capot, le 2.0 essence double arbre 16 soupapes et injection d’une puissance de 129 ch assure de belles performances (170 km/h et 10,1 s de 0 à 100 km/h) à ce poids plume de 1 150 kg, qui justifie pleinement son premier nom de Fun Cruiser (abandonné finalement au lancement). Il bénéficie d’un équipement complet pour l’époque, avec la direction assistée, les vitres et rétroviseurs électriques, une radio et, selon les versions, le freinage ABS, un airbag et des jantes alliage. 4 couleurs sont proposées au départ.

À son bord, on profite d’un habitacle très lumineux, solidement construit et avec des tissus fantaisie qui changent des classiques garnitures sombres de l’époque. Les astucieux sièges sont modulables et peuvent se transformer en lits : le RAV4 est bien un véritable véhicule de loisirs et d’évasion. Ses deux toits amovibles légers en aluminium (avec emplacement de rangement dans la porte de coffre) permettent de profiter de la vie en plein air, un plaisir poussé encore plus loin par la version découvrable à toit souple qui apparaîtra quelques années plus tard. Parmi les évolutions de carrosseries de cette première génération, notons aussi l’apparition dès 1995 d’une version longue à 5 portes (4,10 m, soit + 41 cm) à l’empattement étiré, plus logeable et familiale (5 places, coffre de 409 l VDA).

« Les astucieux sièges sont modulables et peuvent se transformer en lits : le RAV4 est bien un véritable véhicule de loisirs et d’évasion. Ses deux toits amovibles légers en aluminium… permettent de profiter de la vie en plein air, un plaisir poussé encore plus loin par la version découvrable à toit souple qui apparaîtra quelques années plus tard ».

Un restylage viendra rafraîchir le design du RAV4 en 1998, notamment avec des projecteurs cristal pour donner un coup de jeune à la face avant, avec un équipement enrichi à l’occasion. Une version deux roues motrices sera également proposée, elle aussi précurseur pour s’adapter aux usages très souvent purement routiers de ce type de véhicules. Enfin, la fiabilité du RAV4 explique le nombre important de modèles encore en circulation, trente ans plus tard.

 

5 générations pour un SUV de référence

Au fil des générations, le RAV4 a mûri, s’est enrichi en technologies embarquées et équipements de sécurité, il a raffiné son confort et son équipement et a adopté des motorisations de plus en plus efficientes, avec une approche multi-énergies.

« Depuis 30 ans, le RAV4 a été en permanence renouvelé et il reste aujourd’hui la référence dans son segment. Il se classe régulièrement comme le SUV le plus vendu au monde, mais aussi comme l’une des voitures les plus vendues sur la planète, toutes catégories confondues. Plus de 14 millions d’unités ont ainsi été vendues dans le monde depuis 1994 et le RAV4 reste l’un des modèles les plus produits de la marque, derrière Corolla et Camry », décrit Frank Marotte.

Pour sa deuxième génération apparue en 2000, de grands moyens sont mis en place et le RAV4 emploie désormais plus de 70 % de pièces dédiées. Il faut dire que la concurrence a réagi au succès du premier RAV4 et de nombreux modèles rejoignent ce nouveau marché ouvert par le petit SUV signé Toyota. Le RAV4, deuxième du nom, est construit sur une nouvelle plateforme offrant plus d’espace intérieur, gagnant jusqu’à 5,5 cm de longueur pour mieux s’ouvrir à un usage familial, favorisé aussi par la banquette arrière modulable.

Ses deux moteurs essence 1.8 (123 ch) et 2.0 (150 ch) gagnent en puissance, tandis que la transmission intégrale permanente adopte un visco-coupleur central et, en option, un différentiel arrière Torsen pour gagner en capacités tout-terrain. La gamme de motorisations est rejointe en 2001 par un Diesel D-4D 2.0 de 116 ch à injection directe, reconnaissable à sa prise d’air sur le capot pour alimenter son échangeur.

La troisième génération (2006) inaugure à nouveau une plateforme inédite bien plus rigide, uniquement en carrosserie 5 portes, gagnant encore en longueur pour offrir des prestations familiales toujours renforcées. Une version à empattement allongé est même proposée sur certains marchés, notamment aux USA, où le RAV4 connaît un immense succès. Ses aspects pratiques améliorés sont soulignés par la disparition de la roue de secours sur la porte arrière, ce qui permet d’adopter un hayon, autrement plus facile à manier au quotidien.

En parallèle, il continue à raffiner les capacités de sa transmission intégrale désormais non permanente, avec un nouveau système de couplage à commande électronique qui fonctionne automatiquement selon la vitesse du véhicule, la position de l’accélérateur, l’angle de braquage du volant et l’accélération calculée en G. Le RAV4 reçoit en outre une assistance de contrôle de vitesse en descente (Downhill Assist Control) et une assistance au démarrage en côte (Hill-start Assist Control) et sa garde au sol est portée à 200 mm. Sous son capot, il propose un vaste choix de motorisation avec, selon les marchés, des moteurs essence de 2.0, 2.4, 2.5 et un 3.5 V6, ainsi qu’un nouveau 2.2 Diesel, et sa direction reçoit désormais une assistance électrique.

La quatrième génération (2013) est celle de l’entrée dans l’ère moderne et celle de l’électro-mobilité. Plus longue de 23,5 cm, elle offre 47 % d’espace en plus pour les bagages avec un vaste volume de 547 l. Sa technologie de traction intégrale se raffine encore avec le nouveau système intelligent de contrôle dynamique du couple (Dynamic Torque Control AWD System) qui ajoute deux nouvelles fonctions visant à une meilleure efficacité en virages et une conduite plus fun avec le mode Sport. Mais surtout, elle ajoute à sa gamme de motorisations classiques essence 2.0 et 2.5 et Diesel 2.0 et 2.2 une inédite version hybride auto-rechargeable, dès 2016. Avec une puissance totale généreuse de 197 ch avec son 2.5 à cycle Atkinson et ses deux moteurs électriques en version AWD, elle permet de belles performances avec une accélération de 0 à 100 km/h en juste 8,3 s, tout en offrant des valeurs de consommation inédites dans son segment, avec 4,9 l/100 km et 115 g/km d’émissions de CO2 (version 2 roues motrices).

La cinquième génération (2018), toujours sur le marché aujourd’hui, est celle de la consécration. Présenté au Salon de New York 2018, le RAV4 actuel devient le SUV le plus vendu au monde en 2018 et 2019 (où il atteint la quatrième place des ventes mondiales de véhicules de tourisme – tous modèles et marques confondus). L’Amérique du Nord est son plus gros marché, avec plus de 500 000 unités annuelles. Le RAV4 dépasse en 2020 la barre des 10 millions d’exemplaires produits depuis le lancement de son tout premier modèle.

Le RAV4, cinquième du nom, est basé sur la nouvelle plateforme TNGA (Toyota New Global Architecture), avec sur le marché européen une motorisation Toyota Hybrid Dynamic Force de quatrième génération basée sur un nouveau moteur essence 2.5, avec une puissance, une réactivité et une efficience en hausse, permettant d’offrir les meilleures valeurs de consommation et d’émissions de la catégorie. Il reçoit en 2020 une version hybride rechargeable Plug-In Hybrid, cumulant une forte puissance de 306 ch (6,2 s de 0 à 100 km/h), de remarquables valeurs d’émissions de CO2 (moins de 30 g/km) et de consommation et permettant des évolutions en mode tout électrique sur plus de 65 km, une distance exceptionnelle au moment de son lancement.

Côté design, le RAV4 a connu au fil des générations une évolution forte, mais il est toujours resté fidèle à ses principes, explique le designer en chef de la cinquième génération, Tatsuya Sonoda : « Au cours des 25 dernières années, bien que la taille et certains aspects aient été modifiés, les valeurs du RAV4 n’ont pas beaucoup changé au cours de son histoire. Que ce soit en ville ou dans la nature, il est agréable à regarder et à conduire. Il sait vous procurer l’excitation et le frisson qui vous donnent une envie d’évasion et c’est cette valeur unique qui fait le charme du RAV4 ».

Enfin, depuis 2023, une nouvelle version est venue rejoindre la gamme du RAV4 : le RAV4 GR SPORT. Son style et ses équipements expriment la sportivité et la sophistication inspirées par TOYOTA GAZOO Racing et sa mission de créer des voitures toujours meilleures grâce au sport automobile. Il se reconnaît facilement grâce à son look plus sportif avec ses jantes en alliage 19’’ et ses éléments de design exclusifs. Mais il ne se contente pas de soigner son apparence, sa sportivité se perçoit aussi dans son comportement grâce à une suspension spécifique, avec de nouveaux ressorts et des réglages d’amortisseurs plus rigides.

« Au cours des 25 dernières années, bien que la taille et certains aspects aient été modifiés, les valeurs du RAV4 n’ont pas beaucoup changé au cours de son histoire. Que ce soit en ville ou dans la nature, il est agréable à regarder et à conduire. Il sait vous procurer l’excitation et le frisson qui vous donnent une envie d’évasion et c’est cette valeur unique qui fait le charme du RAV4 »

 

Une finition spéciale 30 YEARS pour célébrer l’anniversaire du RAV4

Pour les 30 ans du RAV4, sa gamme se voit complétée d’une nouvelle finition 30 YEARS. Positionnée entre les finitions RAV4 Dynamic et RAV4 Lounge, elle est dotée de nombreux équipements et bénéficie d’un avantage client de 1 000 €. Il s’agit d’un véritable cœur de gamme richement doté. Le RAV4 30 YEARS est proposé à partir de 47 000 €. Par rapport à la finition Dynamic, le RAV4 30 YEARS ajoute toute une liste d’équipements à forte valeur ajoutée :

– Personnalisation intérieure et extérieure 30 YEARS

– Jantes alliage 18’’ Tanami

– Avertisseur d’angles morts et de circulation arrière

– Chargeur à induction

– Toyota Smart Connect Plus®

– Sellerie Premium noir (composée de matière synthétique)

– Siège conducteur à réglages électriques avec support lombaire électrique

– Sièges avant chauffants (2 niveaux)

 

Un RAV4 100 % électrique pour la Californie

Sur le stand Toyota du Salon de Tokyo 1993, un étrange concept nommé EV-50 reprend la forme générale et certains des éléments de style du RAV4 présenté à ses côtés, mais avec un nom différent : EV-50. Nous sommes en plein boum des concepts électriques au Japon et, avec une aérodynamique plus poussée, celui-ci propose sa propre vision d’un modèle urbain 100 % électrique (115 km/h maxi, 110 km d’autonomie). Son moteur à induction est alimenté par des batteries au plomb et il intègre de nombreuses technologies avancées pour l’époque, dont un système de freinage régénératif, une pompe à chaleur et un système de ventilation alimenté par des panneaux solaires pour abaisser la température à bord lorsque le véhicule est parqué, tandis que le chargeur embarqué permet de se brancher sur une prise domestique.

Ce concept préfigurait d’une certaine manière le futur RAV4 électrique américain qui a rapidement rejoint l’offre thermique lancée Outre-Atlantique en 1996. Destiné au leasing sur le marché californien, ce RAV4 EV est équipé d’une batterie NiMH lui offrant une autonomie de 120 miles (190 km) pour une recharge en 5 heures. Sa vitesse de pointe est limitée à 130 km/h, ce qui lui suffit pour se fondre dans le trafic des highways. Un modèle qui a conquis un peu plus de 1 000 clients américains, dont un certain Tom Hanks, tandis que quelques centaines d’exemplaires ont été écoulés au Japon.

Une seconde version 100 % électrique conçue avec Tesla sur la base de la troisième génération du RAV4 a été dévoilée sous forme de concept au Salon de Los Angeles 2010, puis en version finale en 2012. Elle recevait une batterie lithium-ion de 41,8 kWh, proposant 160 km d’autonomie. Près de 2 500 exemplaires destinés intégralement au marché californien ont été produits essentiellement entre 2012 et 2014.

Le RAV4 en chiffres

– Génération 1

Production totale : 870 000 (1994-2000)

Dimensions (L x l x h) : 3,69 x 1,69 x 1,65 m (3 p.), 4,10 m (5 p.)

Motorisation, performances :

4 cylindres essence 129 ch, 170 km/h, 10,1 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 150 kg (3 p.)

– Génération 2 :

Production totale : 1 150 000 (2000-2006)

Dimensions (L x l x h) : 3,75 x 1,73 x 1,68 m (3 p.), 4,15 m (5 p.)

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 150 ch, 185 km/h, 10,6 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 116 ch, 170 km/h, 12,1 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 330 kg (3 p.)

– Génération 3 :

Production totale : 1 680 000 (2006-2012)

Dimensions (L x l x h) : 4,40 x 1,82 x 1,69 m

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 152 ch, 185 km/h, 10,6 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 177 ch, 200 km/h, 9,3 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 465 kg

– Génération 4

Production totale : 3 420 000 (2013-2018)

Dimensions (L x l x h) : 4,60 x 1,85 x 1,68 m

Motorisations, performances :

4 cylindres essence 151 ch, 185 km/h, 9,9 s de 0 à 100 km/h

4 cylindres Diesel 143 ch, 195 km/h, 9,6 s de 0 à 100 km/h

Hybride AWD 197 ch, 180 km/h, 8,3 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 520 kg

– Génération 5

Production totale : 5 890 000 (2018 – aujourd’hui)

Dimensions (L x l x h) : 4,60 x 1,85 x 1,68 m

Motorisations, performances :

Hybride 218 ch, 180 km/h, 8,4 s de 0 à 100 km/h

Hybride AWD 222 ch, 180 km/h, 8,1 s de 0 à 100 km/h

Hybride Rechargeable 306 ch, 180 km/h, 6 s de 0 à 100 km/h

Poids : à partir de 1 590 kg.

Dingo, un photographe culte pour une voiture culte

Les photographes dont on reconnaît les clichés d’un coup d’œil sont rares. C’est sans nul doute le cas du Français Dingo, qui cultive un style inimitable depuis de nombreuses décennies et ses débuts au magazine Auto Verte, puis Option Auto, suivis d’un nombre incalculable de collaborations avec des médias (960 couvertures à son actif !) et des marques.

Une véritable personnalité qui déborde d’idées qui peuvent parfois sembler irréalisables. Mais impossible n’est pas Dingo… Des montages analogiques des débuts au travail numérique d’aujourd’hui, une séance photo signée Dingo implique une véritable réflexion de mise en scène, de déco et d’accessoirisation, avec des modèles dédiés et des situations parfois complexes. Un style et une méthode uniques, dont les coulisses ont été dévoilées de manière exceptionnelle lors de l’exposition consacrée au photographe au Mondial de l’Auto 2018.

Son travail sur les cinq générations de RAV4 au travers de cinq photos iconiques a été pensé avec un principe récurrent de miroir entre chaque génération historique et le RAV4 actuel. Les modèles qui habitent les images sont habillés exactement selon les modes de chaque époque du modèle de référence, tandis que les accessoires sont typiques des tendances fortes contemporaines de ces décennies. Les paysages sont pensés pour être symptomatiques des usages des différentes générations de RAV4.

« La dernière itération du RAV4 y est entourée de personnages modernes, avec une solo-wheel, une prise de photo au smartphone et look décontracté-chic d’aujourd’hui ».

Par exemple, la première génération joue le chic urbain, avec un appareil photo argentique, des costumes d’époque et un skate-board. En regard, la dernière itération du RAV4 y est entourée de personnages modernes, avec une solo-wheel, une prise de photo au smartphone et look décontracté-chic d’aujourd’hui. Il en est de même à chaque fois, avec un fil rouge de cliché en cliché et, toujours, un immense soin du détail. Résultat, une série hommage au succès du RAV4 qui résume en un coup d’œil 30 ans d’histoire automobile.

Avec communiqué

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Un incendie dans un hôtel abandonné à Nabeul

Deux camions de pompiers ont réussi à maîtriser un incendie qui s’est déclaré, mercredi 4 décembre, dans une vieille carcasse de bus garée dans l’entrepôt d’un hôtel abandonné et fermé à Nabeul. C’est ce qu’indique un responsable de la protection civile de la ville cité par Mosaïque FM, qui rassure cependant qu’il y a plus de peur que de mal, car l’hôtel en question est vide, étant fermé depuis plusieurs années.

Concernant les causes de l’incendie, elles restent inconnues pour l’heure, mais les autorités de sécurité ont été chargées d’enquêter sur l’incident.

Toujours selon la même source, l’hôtel appartiendrait à une personne privée.

Affaire à suivre.

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Leila Belkhiria Jaber élue au bureau exécutif de la Zlecaf

Lors de la session générale élective du réseau continental des organisations de femmes entrepreneurs de la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) qui s’est tenue le 3 décembre, Leila Belkhiria Jaber, présidente de la chambre nationale des femmes entrepreneurs relevant de l’Utica, a été élue membre du premier bureau exécutif du réseau, représentant les pays de la région nord-africaine.

Leila Belkhiria occupe également le poste de vice-présidente de la  Fédération des femmes chefs d’entreprise du COMESA pour le marché commun d’Afrique orientale et australe (COMFWB).

La Tunisie est activement engagée dans l’initiative commerciale liée à la Zlecaf et se distingue comme l’un des principaux pays opérant sous le système du certificat d’origine préférentiel Zlecaf. Depuis mai 2023, plus de 130 opérations d’exportation ont été réalisées dans ce cadre.

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Turquie : petite baisse de l’inflation à 47,1% en novembre

Les prix à la consommation en Turquie ont augmenté à un rythme plus rapide que prévu au mois en novembre, réduisant ainsi les attentes selon lesquelles la Banque centrale pourrait commencer à réduire les taux d’intérêt dès décembre.

L’inflation annuelle a ralenti à 47,1% en novembre contre 48,6% le mois précédent, soit un chiffre supérieur à l’estimation médiane de 46,6%, selon une enquête Bloomberg auprès des analystes publiée mardi 3 décembre 2024.

Sur une base mensuelle, l’indice préféré de la Banque centrale, les prix ont augmenté de 2,24%, contre 2,88% en octobre, a annoncé mardi Turkstat. L’estimation médiane d’une enquête distincte menée par Bloomberg auprès d’économistes était de 1,92%.

Le ralentissement de ces derniers mois a été alimenté par le secteur des services et est considéré comme ouvrant la voie au gouverneur de la Banque centrale, Fatih Karahan, pour commencer à inverser le resserrement de l’année dernière qui a porté le taux d’intérêt de référence à 50%. Le comité de politique monétaire, dirigé par Karahan, a déclaré le mois dernier que l’amélioration des attentes pourrait bientôt justifier une baisse des taux, mais les données de novembre pourraient fournir une raison de maintenir les taux de la banque inchangés.

La baisse des coûts d’emprunt pourrait donner un coup de pouce indispensable à la plus grande économie non pétrolière du Moyen-Orient, entrée dans une récession technique au troisième trimestre de cette année en raison de la politique de la Banque centrale.

La prochaine décision de la Banque centrale turque sur les taux d’intérêt est prévue pour le 26 décembre.

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Le SNJT dénonce l’emprisonnement des journalistes Bessaies et Zeghidi

Le premier juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis a décidé d’émettre deux mandats de dépôt à l’encontre des chroniqueurs et présentateurs de télévision Mourad Zeghidi et Borhen Bessaies pour « des soupçons de blanchiment d’argent », a indiqué, mercredi, le syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT).

Le syndicat dénonce, dans une déclaration, la « poursuite de l’emprisonnement des journalistes » et les atteintes à « la présomption d’innocence ».

Le syndicat se dit « surpris par cette décision », qui intervient à quelques jours de la fin de peine de Mourad Zeghidi. Ce dernier a été condamné au sens de l’article 24 du décret n°54 portant sur les rumeurs et les fausses nouvelles.

Le SNJT réaffirme son « soutien total aux journalistes emprisonnés ou poursuivis en justice pour avoir exercé leur métier ».

Le syndicat appelle à la libération de Mourad Zeghidi, Borhen Bessaies, Chadha Hadj Mbarek, Sonia Dahmani et Mohamed Boughalleb. Le syndicat continuera de « mener toutes les actions légitimes pour défendre les journalistes emprisonnés jusqu’à leur remise en liberté ».

Avec TAP

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Appel aux ouvriers des chantiers : accès à la plateforme avant le 22 décembre

La présidence du gouvernement a annoncé mercredi, dans un communiqué, que la liste des postes vacants dans les structures publiques définies par les ministère sera publiée sur la plateforme numérique dédiée à la régularisation de la situation des travailleurs des chantiers (moins de 45 ans) sur le site hadhaer.gov.tn.

La Présidence du gouvernement a invité les ouvriers de chantiers de moins de 45 ans de la troisième tranche à accéder à la plateforme numérique du 3 au 22 décembre pour sélectionner les postes de travail de leur choix parmi les postes proposés qui correspondent à leur niveau d’études. (le nombre maximum d’options est de 10).

La même source a précisé que ces listes seront affichées dans les sièges des gouvernorats.

La Présidence du gouvernement a également expliqué le processus d’accès à la plateforme et les modalités de répertorier, classer, mettre à jour, supprimer et modifier leurs choix en cas de besoin. La date limite d’accès à la plateforme est fixée au 22 décembre.

Avec TAP

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L’UE annonce vingt-six grands projets en Afrique, dont certains en Tunisie en 2025

Le programme Global Gateway pour l’année 2025 avance un total de 46 grands projets, dont 26 seront réalisés en Afrique. L’objectif étant de mobiliser pas moins de 300 milliards d’euros en vue de stimuler les investissements internationaux. Parmi les projets annoncés, certains seront réalisés en Tunisie, et ce, dans des domaines tels que l’agriculture durable, l’irrigation intelligente, l’hydrogène, ainsi que les énergies renouvelables.

 

Le Conseil de l’Union européenne (UE) a présenté un total de 46 grands projets dans le cadre du programme Global Gateway au titre de 2025. L’ambition est de taille : mobilisation d’une enveloppe de 300 milliards d’euros sur la période de 2021 à 2027, à l’échelle internationale. L’objectif ultime est d’engager des investissements d’envergure, aussi bien privés que publics, dans de multiples domaines, à l’instar de l’éducation, de l’énergie verte, des infrastructures, de la recherche pour le développement durable.

 

La Tunisie, partie prenante dans le programme du Global Gateway

L’Afrique a été consacrée “grande favorite“ dans la sélection du programme avec 26 grands projets qui seront menés dans des secteurs clés. Celui du climat et de l’énergie a raflé la plus grosse mise avec 16 grands projets. Le digital, la santé et le transport se sont vus attribuer chacun 3 projets. Un seul projet sera, cependant, mené dans le secteur de l’éducation et de la recherche.

S’agissant de la Tunisie, elle est listée dans plusieurs projets importants dont certains impliquent l’Algérie. En effet, il est question du projet de Southern Hydrogen Corridor qui se fera sur quatre étapes ; du projet Medlink visant à décarboner les secteurs énergétiques de l’Afrique du Nord et de l’Europe, à travers le développement d’une production d’énergie renouvelable à grande échelle (solaire photovoltaïque, éolien et BESS) et d’infrastructures de transmission dédiées ; du projet de développement d’un système d’irrigation intelligent grâce à la promotion des pratiques agricoles côtières durables dans le golfe de Tunis.

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Les défis économiques de l’hydrogène : entre coût élevé et perspectives

L’expert des industries du gaz et de l’hydrogène à l’OPAEP, l’ingénieur Wael Moati, a confirmé, mardi 3 décembre 2024, que le coût élevé constitue l’un des défis les plus importants auxquels sont confrontées l’expansion de la production d’hydrogène et son utilisation comme source d’énergie.

Il a souligné, dans un article de blog sur son compte Facebook, que le coût élevé de la production d’hydrogène avait été évoqué par l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP) il y a plus de 3 ans, et l’a comparé à différents types de sources d’énergie.

Les commentaires de l’expert interviennent après que l’ingénieur président de Saudi Aramco, Amin Al-Nasser, a confirmé que le problème de l’hydrogène est son coût élevé et que toutes les attentes indiquent une production de seulement 10 à 20 millions de tonnes d’ici 2030.

Ainsi, M. Al-Nasser a déclaré, lors de sa participation au Forum de l’Initiative verte saoudienne, mardi 3 décembre 2024, que le plus grand défi technique dans le domaine de l’hydrogène est qu’il n’est toujours pas suffisant pour réduire le coût.

Le coût de production de l’hydrogène

Wael Moati a déclaré que l’OPAEP a adopté l’échelle d’un million d’unités thermiques britanniques (au lieu de kilogrammes) pour mesurer le coût de la production d’hydrogène. Et ce, afin de faciliter et mettre en évidence la comparaison entre l’hydrogène de tous types et d’autres sources telles que le gaz.

Exemple :

  • Coût de production de gaz en moyenne : 5 à 6 dollars par million d’unités thermiques britanniques, actuellement vendues 15 dollars.
  • Coût de production de l’hydrogène gris : 8 $ par million de Btu (non souhaitable à l’échelle internationale en raison des émissions de sa production).
  • Coût de production de l’hydrogène vert : 32 $ par million de Btu, mais peut atteindre 50 $, soit 7 fois le coût du gaz.

Wael Moati a expliqué que la production d’hydrogène à partir du charbon (hydrogène noir) entraîne le rejet de 19 kg de dioxyde de carbone pour chaque kg d’hydrogène; et à partir du gaz (hydrogène gris) environ 10 kg de dioxyde de carbone. Quant à l’électrolyse de l’eau grâce à l’électricité générée à partir de sources d’énergie renouvelables (hydrogène vert), ce processus ne s’accompagne d’aucune émission de dioxyde de carbone.

« Toutefois, l’option d’exporter de l’hydrogène reste sur la table tant qu’il y aura des (acheteurs) prêts à payer le prix élevé », estime l’expert de l’OPAEP.

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Textile : vers une réforme urgente !

L’industrie textile est devenue un enjeu crucial pour les acteurs de ce secteur stratégique. Haithem Bouajila, président de la FTTH, a déclaré ce mercredi 4 décembre 2024, sur les ondes de Mosaïque FM, que le secteur du textile, comme d’autres, a souffert pendant des années des cadres juridique, législatif et administratif, ainsi que d’un climat des affaires peu favorable. Il a souligné que certaines mesures entravent la flexibilité et l’expansion des entreprises du secteur.

Bouajila a également précisé que la majorité des informations concernant les cotisations fiscales des entreprises exportatrices sont erronées. Cependant, il a noté qu’une communication constructive est en cours avec l’Instance tunisienne d’investissement, l’Agence tunisienne de promotion de l’investissement extérieur et la Direction générale du textile et de l’habillement au ministère de l’Industrie, ainsi qu’avec le ministère des Affaires sociales. Cette collaboration vise à surmonter les défis actuels, mais les acteurs du secteur attendent toujours la mise en œuvre de mesures gouvernementales positives pour améliorer les cadres juridique et législatif.

En ce qui concerne la loi de finances 2025, il a mentionné qu’il pourrait y avoir des mesures favorables, notamment une réduction de l’impôt progressif pour certaines catégories sociales. Toutefois, certaines dispositions relatives aux entreprises exportatrices sont perçues comme un frein à l’investissement dans le secteur textile en raison de l’augmentation des taux d’imposition.

Haithem Bouajila a fait savoir que ces entreprises paient 15% d’impôt sur les bénéfices, 3% depuis trois ans comme impôt exceptionnel et 10% sur la répartition des bénéfices. Selon lui, cette instabilité fiscale effraie les investisseurs étrangers et augmente les coûts pour les entreprises tout en réduisant leur compétitivité à l’international.

Le président de la FTTH a appelé à une coopération entre les secteurs public et privé pour établir des mesures pratiques et réalisables qui garantissent la justice fiscale nécessaire au secteur textile.

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Noureddine Taboubi appelle à un dialogue constructif pour faire face aux défis sociaux

Le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi, a affirmé que le monde traverse des changements géopolitiques rapides qui impactent la réalité sociale dans le monde arabe, y compris en Tunisie. Et ce, lors de la commémoration du 72e anniversaire de l’assassinat de Farhat Hached. 

En outre, il a souligné  dans une déclaration aux médias que la Tunisie est actuellement en proie à des bouleversements au sein de ses organisations politiques et sociales, ce qui nécessite des révisions et la création d’une nouvelle dynamique pour s’adapter à ces évolutions.

Taboubi a également noté que les autorités politiques et exécutives ont fermé la porte au dialogue, notamment face à la dégradation du pouvoir d’achat. Il a insisté sur la nécessité de trouver des solutions basées sur une maturité politique afin de surmonter les complexités actuelles en ouvrant un dialogue sérieux avec l’Union. Il a précisé que l’Union elle-même est en phase de transformation, influencée par divers facteurs, et qu’il est essentiel d’effectuer des révisions dans tous les domaines.

Par ailleurs, Noureddine Taboubi a indiqué que l’Union travaille discrètement pour résoudre les problèmes sociaux nationaux et qu’il ne faut pas lui demander plus que ses capacités, car tout le monde est partenaire dans la situation actuelle.

Il a également fait savoir que la loi de finances actuelle est principalement une loi fiscale qui aura des conséquences sociales, tout en rappelant l’importance de respecter le système des droits universels et de lutter contre toutes les mesures qui restreignent les libertés.

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Pluies attendues, mercredi, sur les différentes régions du pays (INM)

Des pluies temporairement orageuses et localement abondantes sont attendues, mercredi, sur les régions côtières nord, a annoncé l’Institut national de la météorologie (INM), dans un bulletin de suivi.

Les précipitations concerneront, l’après-midi, le reste des régions du nord et le centre, et la nuit, les zones du sud-est. Les quantités maximales varieront entre 30 et 50 mm, pour atteindre, localement, 70 mm à l’extrême nord, avec chute de grêle par endroits. La chute de pluies se poursuivra, jeudi, sur la plupart des régions, notamment à l’extrême nord-ouest. Le vent soufflera fort puisque sa vitesse sera comprise entre 60 et 80 km/h, avec des phénomènes de sable au sud. La vitesse du vent peut atteindre 100 km/h dans les régions côtières et sur les hauteurs. L’INM a indiqué, en outre, que les températures enregistreront une baisse considérable, surtout sur les hauteurs.

Avec TAP

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