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La règle de la première vente sauve, en partie, les importateurs américains

Les entreprises internationales sont en train de s’adapter avec les droits de douane de Trump, indépendamment de la fin de la saga actuelle.

La solution est venue des juristes qui ont eu la brillante idée de recourir à un texte de loi vieux de plusieurs décennies, connu sous le nom de « règle de la première vente ».

Une règle vieille de 37 ans

Ce principe date de 1988, mais il est revenu à la une lors du premier mandat du président américain Donald Trump et, maintenant, pendant son dernier régime tarifaire.

En fait, dans le cadre de la législation douanière américaine, cette règle permet aux importateurs américains d’utiliser le prix de la première vente dans un certain nombre de transactions pour calculer les droits de douane. Ainsi, un industriel chinois vend un tricot à un vendeur de Hong Kong pour 5 dollars. Ce dernier le vend ensuite à un détaillant américain pour 10 dollars. Ce dernier vend ensuite le t-shirt aux consommateurs pour 40 dollars. En vertu de la règle de la première vente, le détaillant américain peut payer les droits d’importation sur le prix initial de 5 dollars de la marchandise, plutôt que sur les 10 dollars gonflés par le vendeur. Ce qui élimine le coût associé au profit de l’intermédiaire.

La pratique n’est pas évidente

Pour en bénéficier, il faut répondre à un certain nombre de critères :

  • Il doit y avoir au moins deux ventes : une à un producteur étranger et une ou plusieurs à un intermédiaire.
  • Les ventes doivent être effectuées dans des conditions de pleine concurrence par des parties indépendantes et sans aucun lien entre elles.
  • Il doit être prouvé que l’article était destiné aux États-Unis et qu’il n’y a pas simplement abouti.
  • Le prix de la première vente doit être documenté.

La pratique est donc plus compliquée qu’on ne le pense. En règle générale, les droits de douane imposés par défaut par les douanes américaines sont basés sur le prix d’importation d’une marchandise. Ce qui fait peser sur l’importateur la charge de la preuve du coût initial de l’article. Ce n’est pas toujours quelque chose qu’un vendeur est prêt à révéler.

In fine, c’est un arbitrage. Car si l’importateur n’utilise pas la règle, le coût final augmentera. Et si son concurrent en profite, il perd cet avantage. Pour cette raison, les entreprises semblent recourir à cette faille dans le cas des biens de consommation de grande valeur et les produits de luxe, où les marges sont plus importantes.

L’utilisation de la règle de la première vente, bien que parfaitement légale, pourrait néanmoins saper les efforts de l’administration Trump pour stimuler les recettes tarifaires et la délocalisation de la fabrication. Une autre saga à suivre.

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Maladie d’Alzheimer : un test sanguin révolutionnaire validé par la FDA

La FDA a approuvé en mai 2025 le premier test sanguin pour détecter la maladie d’Alzheimer. Il s’agit d’un test qui  mesure dans le sang le ratio de deux protéines, pTau217 et β-amyloïde 1-42, dont les niveaux sont associés à la présence de plaques amyloïdes dans le cerveau, marqueurs caractéristiques de la maladie.

Destiné aux patients âgés de 55 ans et plus présentant des signes de déclin cognitif, ce test offre une alternative moins invasive, plus rapide et plus accessible que les méthodes actuelles telles que l’IRM. Il ne remplace pas ces examens mais complète le diagnostic, car un résultat positif nécessite une confirmation clinique pour éviter les faux positifs ou négatifs.

Ce test pourrait aussi, à terme, faciliter un dépistage plus précoce, ce qui est crucial puisque des traitements récents comme le lecanemab.

Selon les médias français,  il devrait d’abord être utilisé dans les centres mémoire, où les patients présentant des troubles cognitifs sont orientés pour un diagnostic approfondi.

La validation du test s’appuie sur une étude clinique portant sur 499 échantillons de plasma, avec une précision élevée : 91,7 % de valeur prédictive positive et 97,3 % de valeur prédictive négative par rapport aux examens PET ou au liquide céphalo-rachidien. Ce progrès ouvre la voie à un diagnostic plus accessible et un meilleur suivi des patients atteints d’Alzheimer.

En somme, ce test sanguin marque une avancée majeure dans le diagnostic de la maladie d’Alzheimer, en offrant un outil simple, fiable et moins invasif, susceptible d’améliorer la prise en charge et le traitement précoces des patients.

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Festival de musique et de gastronomie pakistanaises : un pont culturel à Tunis

Dans le cadre du renforcement des liens culturels entre la Tunisie et le Pakistan, l’Ambassade de la République islamique du Pakistan à Tunis a organisé un festival célébrant la musique et la gastronomie pakistanaises. Et ce à l’occasion du 67e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Tunisie et le Pakistan.

Cet événement s’est tenu le mercredi 28 mai 2025, de 18h30 à 21h00, au Centre du Palais Saïd des Arts, de la Culture et des Lettres, offrant une soirée haute en couleurs et en saveurs.

Au programme

Le groupe pakistanais Sawaal, qui mêle rock et musique soufie.
Des spécialités culinaires préparées par le chef pakistanais Mohammed Razaq.
Une touche tunisienne avec l’artiste Haitham El Hadiri et ses chants soufis

Au-delà des aspects économiques, la coopération culturelle et sociale occupe une place centrale dans les relations bilatérales entre la Tunisie et le Pakistan. Les échanges de visas, bien que limités (environ 1 000 visas délivrés à des Pakistanais pour la Tunisie et 200 Tunisiens ayant visité le Pakistan en 2024), témoignent d’un intérêt grandissant pour le tourisme et les échanges culturels.

Des festivals et événements sont régulièrement organisés pour promouvoir la musique et la gastronomie des deux pays, favorisant ainsi une meilleure compréhension mutuelle et un rapprochement entre les peuples.

Rencontré à cet événement, Ayaz Khan, un jeune pakistanais vit en Tunisie depuis dix ans. Il déclare: « J’aime beaucoup la Tunisie et je n’ai rencontré aucun problème durant ces dix années ».

Des traditions culinaires et culturelles qui rapprochent

Ce qui attire particulièrement Ayaz Khan en Tunisie, ce sont les similitudes culturelles et culinaires entre la Tunisie et le Pakistan. « Comme en Tunisie, nous avons la kamounia , un plat également présent au Pakistan. Il y a beaucoup de points communs, notamment avec des plats comme le «kafteji . La cuisine tunisienne et pakistanaise partagent plusieurs ressemblances », explique-t-il.

Au-delà de la gastronomie, Ayaz souligne également le caractère chaleureux des Tunisiens : « La plupart sont amicaux et joyeux. Ils aiment partager et créer des liens, c’est une qualité que j’apprécie beaucoup.  »

Une culture proche malgré les différences

Interrogé sur les différences et ressemblances entre la Tunisie et le Pakistan, il souligne que « beaucoup de choses sont similaires, car nos cultures sont proches. Les deux pays sont musulmans, et cela se ressent dans plusieurs aspects. La nourriture est comparable, même si elle présente quelques différences.  »

Même constat pour son ami Ghariz, il trouve que la Tunisie lui ressemble beaucoup, notamment dans l’architecture et la culture. « La Tunisie a aussi un côté européen, ce qui la rend très belle », ajoute-t-il.

Pour les Pakistanais qui souhaitent découvrir la Tunisie, Ayaz Khan recommande vivement la visite :  « La Tunisie regorge d’endroits magnifiques, que ce soit en ville ou dans les sites historiques. Il y a beaucoup à découvrir.

Concernant l’obtention du visa pour le Pakistan, il précise que son obtention est facile, l’octroi ne dépasse pas  72 heures, et non seulement des jours comme certains le pensent. Et tout se fait en ligne.

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Tunisie-Pakistan : des relations en pleine évolution

Les relations économiques entre la Tunisie et le Pakistan connaissent une dynamique encourageante, même si le volume des échanges reste encore modeste.

En 2023-2024, la Tunisie a principalement exporté de l’huile d’olive, du phosphate et des produits chimiques vers le Pakistan. Pour renforcer ces liens, des délégations commerciales ont circulé entre les deux pays, plusieurs protocoles d’accord ont été signés, et une commission mixte économique est en cours de préparation afin de faciliter la conclusion de nouveaux partenariats, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de l’industrie et de l’énergie.

Culture et société : un pont entre les peuples

Au-delà de l’économie, la coopération culturelle et sociale occupe une place centrale. Des festivals et événements sont régulièrement organisés pour promouvoir la musique et la gastronomie des deux pays, favorisant ainsi une meilleure compréhension et un rapprochement entre les peuples. Ces échanges culturels contribuent à renforcer les liens humains et à enrichir la relation bilatérale. Comme fut le cas de l’après midi au palais de Ksar Saïd, à l’occasion du 67e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Tunisie et le Pakistan.

Diplomatie et coopération stratégique 

A cet effet,  l’ambassadeur pakistanais en Tunisie, Javed Ahmed Umrani, a rappelé l’histoire de solidarité et de soutien mutuel qui unit les deux pays depuis leurs indépendances. Il a souligné que cette coopération se traduit aujourd’hui par des visites de haut niveau, la création de commissions mixtes et l’ouverture de nouvelles ambassades, notamment pour renforcer la présence pakistanaise en Afrique.

 

Il  a également mis en lumière le rôle stratégique de la Tunisie, considérée comme un pont entre l’Europe, l’Afrique et le monde arabe. Il a insisté sur la volonté commune d’explorer de nouvelles pistes de collaboration, notamment dans les domaines de la défense et de l’éducation. « Notre ambassade en Tunisie s’engage pleinement à renforcer les relations économiques, culturelles et sociales entre nos deux pays. Nous multiplions les initiatives pour accroître les échanges commerciaux, promouvoir la musique et la gastronomie, et encourager les partenariats universitaires. Les progrès sont visibles, même si le potentiel reste à exploiter pleinement « , a-t-il déclaré à leconomistemaghrebin.com

Paix régionale et géopolitique : la position du Pakistan

Sur le plan régional, et plus particulièrement concernant les relations entre le Pakistan et l’Inde, l’ambassadeur a réaffirmé dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com que le Pakistan privilégie une approche pacifique.  » Le Pakistan maintient une position résolument pacifique et œuvre, avec ses partenaires et représentants à travers le monde, pour la stabilité et la paix en Asie du Sud. Nous croyons que la coopération et la compréhension mutuelle sont les clés d’un avenir commun prospère », a-t-il conclu.

 

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Incendie à la Société TIFERT : Fatma Thabet promet d’ouvrir une enquête

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub, s’est engagée à ouvrir une enquête concernant l’incendie qui s’est déclaré, dans la matinée du mercredi 28 mai 2025, dans l’unité de réfrigération de la Société Tuniso-Indienne des Engrais (TIFERT), située dans la délégation de Skhira (gouvernorat de Sfax).

La ministre s’est rendue sur les lieux de l’incendie, survenu à 10h44, pour constater les dégâts et s’enquérir de l’état de santé des employés et cadres de la société, indique un communiqué du département de l’Industrie.

Accompagnée du gouverneur de la région, Mohamed El Hajri, la ministre a salué les efforts des équipes techniques de la société TIFERT, qui ont su réagir rapidement et efficacement, ce qui a permis d’éviter la propagation du feu et faciliter l’intervention de la protection civile qui a maîtrisé totalement l’incendie à 11h30.

Le département de l’industrie a affirmé son engagement à assurer la sécurité des travailleurs ainsi que la protection des différentes unités de production et équipements tout en appelant toutes les parties à respecter les mesures de sécurité et de prévention des incendies et à renforcer les systèmes de prévention.

Avec TAP

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Tunisie – ARP : vers une révision du Code pénal, notamment de l’article 96

La Commission de législation générale de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a examiné une version unifiée de deux projets de loi visant à modifier certaines dispositions du Code pénal. La séance s’est tenue en présence des députés auteurs des propositions, et s’est appuyée sur l’apport d’experts dans le cadre d’ateliers de travail.

L’attention s’est portée en particulier sur l’article 96 du Code pénal, dont la révision est jugée prioritaire. Les députés ont souligné l’importance d’une réforme réfléchie, respectueuse des objectifs législatifs et des normes de rédaction juridique.

Les articles 96 et 98 sont en cours d’examen, tandis que l’abrogation de l’article 97 est également envisagée. Ces propositions visent à encourager les agents publics à assumer des responsabilités sans crainte d’abus ou de poursuites excessives.

L’article 96, tel que modifié en dernier lieu, prévoit une peine de dix ans d’emprisonnement et une amende pour tout agent public usant de sa fonction pour obtenir un avantage indu ou causer un préjudice à l’administration. Cet article a été invoqué dans plusieurs affaires judiciaires impliquant d’anciens ministres et hauts fonctionnaires, ce qui nourrit les débats sur la nécessité de son amendement.

Les gouvernements successifs ont reconnu la nécessité de réviser ce cadre juridique. La démarche actuelle marque donc une étape concrète dans cette réforme attendue.

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Présidence de la BAD: pour qui votera la Tunisie?

La Tunisie votera, jeudi 29 mai à Abidjan (Côte d’Ivoire), pour le candidat ou la candidate qu’elle aura choisi pour remplacer le président sortant de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, parmi Amadou Hott (Sénégal), Samuel Munzele Maimbo (Zambie), Sidi Ould Tah (Mauritanie), Abbas Mahamat Tolli (Tchad) et Bajabulile Swazi Tshabalala (Afrique du Sud), lors des Assemblées annuelles de la Bad (26-30 mai).

La Tunisie est représentée par le ministre de l’Économie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, gouverneur du groupe de la République tunisienne à la BAD qui votera donc au nom de la Tunisie.

Lire aussi: Assemblées annuelles 2025 de la BAD : qui pour succéder à Adesina?

Le nombre total des votes est de 81 gouverneurs du monde et non pas uniquement de l’Afrique.

Conformément à l’article 36 de l’Accord portant création de la BAD, « est élu président de la Banque le candidat qui obtient à la fois au moins 50,01 % de voix attribuées à tous les pays membres régionaux et au moins 50,01 % des voix attribuées à tous les pays membres, régionaux et non régionaux. Le président du Conseil des gouverneurs proclame élu président de la Banque africaine de développement le candidat ayant obtenu la double majorité requise. Il l’invite à se présenter devant le Conseil des gouverneurs en qualité de président élu de la Banque.

Si aucun candidat n’obtient la double majorité requise au premier tour du scrutin, il est procédé à un deuxième tour ou à plusieurs autres tours jusqu’à ce que l’un des candidats obtienne ladite double majorité, étant entendu qu’au deuxième tour ou aux tours suivants, le candidat ayant obtenu le plus petit nombre de voix des Etats membres au tour précédent ne sera plus autorisé à participer en tant que candidat au deuxième ou aux tours suivants du même scrutin ».

Adesina a fait deux mandats de 5 ans. Sa présidence se termine le 1er septembre 2025.

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Incendies : La Tunisie s’équipe en zones critiques

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzeddine Ben Cheikh, évoque la mise en place, par la Direction générale des forêts, de centres saisonniers évolutifs dans les zones les plus vulnérables aux incendies et un plan d’intervention opérationnel malgré la nécessité de soutenir davantage ses capacités à protéger le système forestier contre les incendies.

Lors d’une réunion de la Commission nationale des préparatifs pour la lutte contre les incendies estivaux de 2025, co-présidée par le ministre de l’Intérieur, Khaled Nouri, et Ben Cheikh, un ensemble de mesures ont été présentées pour renforcer la protection des forêts et des cultures agricoles.

Ben Cheikh a souligné les efforts réalisés pour développer l’infrastructure dans les zones forestières, notamment l’ouverture de pistes agricoles, la réhabilitation des tours de contrôle, la création de points d’eau et l’entretien des équipements, répartis selon le couvert forestier.

Des campagnes de sensibilisation ont été organisées avec la société civile pour promouvoir une culture de prévention et renforcer l’implication citoyenne. Il a aussi mentionné la réhabilitation avancée du Centre national de protection des forêts à Radès et la création d’un centre de vigilance moderne pour l’alerte précoce et la coordination rapide.

Malgré ces avancées, des défis persistent, tels que le manque de ressources humaines et d’équipements lourds pour faire face à des incendies multiples. Le ministre a réaffirmé l’engagement de son département à soutenir la Direction générale des forêts par des formations, des partenariats et un renforcement de la coordination interinstitutionnelle.

La réunion a conclu sur la nécessité de renforcer la coopération entre les ministères de l’Agriculture et de l’Intérieur, en adoptant des mesures proactives et en évaluant la préparation des différentes structures impliquées sur le terrain.

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Phosphate: Fatma Thabet appelle à accélérer la réalisation des composantes du projet TSP

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Fatma Thabet Chiboub, a appelé, mercredi 28 mai 2025, lors d’une réunion consacrée au suivi du projet de l’usine de triple superphosphate d’El Mdhilla2, à accélérer la réalisation des composantes dudit projet.

La réunion a porté, également, sur les conventions conclues entre le Groupe Chimique Tunisien (GCT) et les différentes entreprises et entrepreneurs pour achever la réalisation de ce projet.

Chiboub a souligné que le projet de l’usine de triple superphosphate d’El Mdhilla2, qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie du GCT, vise à préserver sa position de leader dans la production d’engrais à base de phosphate triple super(TSP) et à résoudre les problématiques entravant sa progression. L’objectif est de booster le développement régional et national.

L’investissement total du projet Mdhilla 2 est estimé à environ 1051 millions de dinars, lequel est composé de 4 lots.

Ces lots consistent en la création d’une unité de production d’acide sulfurique et d’une unité de production d’acide phosphorique.

e projet prévoit, également, l’installation de diverses unités, telles qu’une unité de fusion et de filtration du soufre et la mise en place d’une unité de production de phosphate triple super.

Avec TAP

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Plan 2026-2030 : la Tunisie change de méthodologie

Le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaouad, a annoncé, mercredi 28 mai, l’adoption d’une nouvelle méthodologie pour l’élaboration du « Plan de développement 2026-2030« , qui, a-t-il dit, incarne la vision du président du président de la République, Kaïs Saïed. Cette approche, fondée sur une planification ascendante, accorde un rôle central aux conseils locaux, régionaux et des districts pour définir les priorités économiques.

Lors d’une séance de travail réunissant des représentants du ministère de l’Économie et de la Planification, ainsi que des cadres ministériels, Chaouad a souligné que cette méthodologie mise sur un développement « réel, inclusif et équitable », en renforçant le rôle social de l’État et en réduisant les déséquilibres régionaux.

Hasna Jiballah, secrétaire d’État chargée des Sociétés communautaires, a jugé préférable d’impliquer l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) à la révision du rapport final du plan pour accélérer son approbation. Les participants ont salué cette initiative, estimant qu’elle favorisera une meilleure coordination entre les différentes structures publiques.

La réunion a également permis de présenter les fiches projets et d’échanger sur les mécanismes de mise en œuvre, avec pour objectif d’améliorer l’efficacité des politiques publiques et d’impliquer davantage les instances élues dans la proposition de programmes de développement.

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Thameur Saad: « l’initiative unificatrice a pour objectif de revitaliser la scène politique actuelle »

Ce mercredi 28 mai 2025, lors de l’émission Midi Show, Thameur Saad, membre du bureau politique du PDL a déclaré que  » l’initiative politique unificatrice des partisans de l’État civil, lancée par le parti samedi dernier, est une idée  de la présidente du parti, Abir Moussi. Et le parti s’est chargé de l’encadrer et d’en définir les grandes orientations. »

Il a ajouté que plusieurs partis politiques, organisations et personnalités nationales reconnues participent à cette initiative. Les réactions après la première réunion, qui s’est tenue à la fin du week-end dernier, ont été qualifiées de  » très positives ». Le parti a reçu de nombreux appels de la part de partis, d’organisations et de personnalités souhaitant rejoindre cette dynamique.

Thameur Saad a également révélé que la « commission élargie de rédaction « , composée de neuf membres, est en train de finaliser la charte de l’initiative, qui sera rendue publique dans environ dix jours. La signature de ce document constituera un engagement formel à respecter les dispositions qu’il contient.

 

Il a précisé : « Cette initiative vise à préparer les prochaines élections législatives et présidentielles, en établissant des principes et des fondements clairs ». Il a insisté sur le fait que  » cette initiative ne se limite pas à un simple regroupement de l’opposition, contrairement à ce que certains pensent, mais constitue une tentative de redynamiser la scène politique actuelle ».

Abir Moussi détenue illégalement selon Thameur Saad

Par ailleurs, Thameur Saad a affirmé que la présidente du parti, Abir Moussi, est « détenue sans autorisation légale » dans le cadre de l’affaire engagée contre elle par l’ISIE.  Selon lui, sa détention se poursuit « après l’expiration de la durée de sa peine », alors qu’elle aurait dû être libérée mardi 27 mai.

Il a expliqué que  « la défense n’a reçu aucune justification légale concernant cette situation ». Il a également souligné que « les mandats de dépôt en prison liés aux autres affaires la concernant ont également expiré « . Enfin, il a précisé que « la détenue a adressé deux notifications à la défense et à l’administration pénitentiaire, signalant qu’elle est consciente de l’expiration de sa peine, mais elle n’a reçu aucune autorisation de sortie « . 

 

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Souveraineté alimentaire : la Tunisie dévoile ses solutions agricoles à Dakar

Elles sont six entreprises tunisiennes opérant dans le secteur technologique privé qui participent à la 2e édition de la « Semaine de l’Agritech Tunisienne » au Sénégal, qui se tient du 25 au 29 mai à Dakar.

« Organisé par STECIA International dans le cadre du programme Digital Tunisia, avec le soutien de l’Agence française de développement (AFD) via Qawafel, l’événement se veut un jalon stratégique pour une agriculture africaine moderne, connectée et résiliente », rapporte le site pressafrik.com.

Cette initiative, qui se tient sous le sceau d’une coopération gagnant-gagnant entre la Tunisie et le Sénégal, écrit le site, « vise à faire émerger des solutions concrètes aux enjeux agricoles par la technologie, l’expertise locale et les partenariats régionaux », assurent les organisateurs.

En clair, Digital Tunisia se veut un catalyseur de transformation agricole sur le continent africain. Et mise sur « les synergies régionales et les besoins concrets des territoires »…

Toujours selon la même source, l’événement s’inscrit également dans « la vision du New Deal technologique impulsé par le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, alignée sur les ambitions de l’Agenda 2050 en matière de souveraineté alimentaire et de digitalisation du secteur agricole ».

Le programme de la Semaine de l’Agritech prévoit plusieurs temps forts, à savoir : une journée de rencontres B2B, des ateliers de co-innovation avec des startups sénégalaises, des visites de terrain dans les régions de Dakar et Thiès, ainsi que des échanges structurés avec les institutions et réseaux agricoles locaux, détaillent les organisateurs.

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Bourse de Tunis : le Tunindex clôture la séance sur une note quasi stable

Le marché boursier a terminé la séance sur une tendance globalement stable, affichant une légère progression de +0,08% pour atteindre 11 419,44 points, selon l’analyse de l’intermédiaire « Tunisie Valeurs ».

Les volumes échangés ont été relativement soutenus durant la séance, totalisant 11,2 millions de dinars (MD). Ce chiffre inclut une transaction de bloc sur le titre Poulina Group Holding, qui a représenté 1,1 MD à elle seule.

Le titre Tunisie Leasing et Factoring a de nouveau dominé le palmarès de la Bourse de Tunis. Son action a bondi de 6% pour atteindre 25,290 dinars, attirant des échanges de 502 mille dinars.

Poulina Group Holding a également figuré parmi les plus grands bénéficiaires de la séance. Son action a progressé de 1,2% à 15,340 dinars, générant des flux de capitaux de 3,3 MD.

À l’inverse, le titre Sotemail a subi la plus forte correction à la baisse, reculant de 4,3% à 2,690 dinars, sans toutefois attirer de flux significatifs.

Le titre Attijari Leasing a également terminé la séance dans le rouge, perdant 1,9% à 26,990 dinars, avec un volume d’échanges très faible de 4 mille dinars seulement.

Enfin, la STA s’est distinguée comme la valeur la plus dynamique de la séance. Son action a peu bougé, clôturant à 24,410 dinars, mais a tout de même animé le marché avec des transactions totalisant 3,4 MD.

Avec TAP

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Finale Ligue Conférence : où regarder Chelsea vs Betis Séville?

Chelsea et le Betis Séville se disputent, mercredi 28 mai 2025 à Wroclaw (Pologne), le trophée de la Ligue Conférence, avec un premier titre européen en ligne de mire pour les Espagnols, ou une dernière note sucrée pour les Anglais.

La riche armada des « Blues », gonflée d’ambition avec ses Cole Palmer, Moises Caicedo et Enzo Fernandez, se présente en Pologne avec l’étiquette de favori face à des Andalous à l’effectif bien moins garni, malgré Isco ou encore Antony.

Au cours des trois derniers mois, le club au maillot vert et blanc s’est imposé face au Real Madrid (2-1) et a tenu tête au FC Barcelone (1-1) dans le championnat d’Espagne, qu’il vient de terminer à la sixième place.

Le ticket pour la Ligue Europa promis au vainqueur de la Ligue Conférence n’intéresse par le Betis – qui l’a déjà obtenu par la Liga -, ni Chelsea – quatrième de Premier League et donc qualifié pour la Ligue des champions.

Il s’agit donc, pour les deux adversaires, de terminer la saison sur une bonne note, avec une ligne en plus au palmarès.

Les Andalous sont en quête d’un premier titre européen. Chelsea, de son côté, espère devenir la première équipe victorieuse des trois compétitions continentales de club, après avoir déjà gagné la Ligue des champions à deux reprises en 2012 et 2021, et la Ligue Europa également par deux fois  (2013 et 2019).

A Wroclaw, il y aura un drôle de duel sur le banc entre Manuel Pellegrini, du côté espagnol, et Enzo Maresca, du côté anglais, deux entraîneurs au passé commun et qui sont restés très proches.

En effet, le Chilien de 71 ans a entraîné Maresca lorsqu’il portait le maillot de Malaga, avant d’engager l’Italien comme adjoint à West Ham, en 2018.

L’Italien s’est payé le luxe d’aligner ses remplaçants habituels cette saison en Ligue Conférence, notamment le gardien Filip Jorgensen, qu’il va titulariser mercredi pour la finale.

Malgré cela, la campagne continentale a ressemblé à un long fleuve tranquille pour les Londoniens, à mille lieues du parcours à obstacles franchi par le Betis.

Les Sévillans ont par exemple eu besoin d’un but en prolongation sur le terrain de la Fiorentina (2-2), après leur succès de l’aller (1-0), pour composter leur billet en finale.

Ils aborderont cette dernière avec 48 heures de repos supplémentaire vis-à-vis de Chelsea, qui a joué et gagné son dernier match, dimanche chez Nottingham Forest. De quoi équilibrer, un peu, l’affiche.

La rencontre est à suivre le 28 mai 2025 à partir de 20 heures (heure tunisienne) sur BeIN Sports et sur le lien streaming Live Koora

Avec TAP

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Elon Musk – DOGE : échec et mat !

Que restera-t-il de la création du Département de l’Efficacité gouvernementale (DOGE) et de sa gestion confiée à Elon Musk ?

La création de ce ministère par Donald Trump avait – ou a – pour ambition de « réduire les dépenses publiques et moderniser l’administration fédérale ».

Quatre mois après l’arrivée du milliardaire américano-sud-africain à la tête dudit ministère, il a annoncé, dimanche 25 mai, qu’il quitterait le département pour retourner à ses affaires. Sa démission prendra effet le 30 courant.

Comme le rappellent plusieurs médias américains, l’implication de Musk a été marquée par « des controverses, notamment des licenciements massifs de fonctionnaires et des critiques concernant la transparence et la constitutionnalité de l’initiative ».

D’ailleurs, en février 2025, environ un tiers du personnel du DOGE a démissionné en raison de désaccords éthiques et professionnels, écrit le New York Post.

Sur le plan comptable et financier, le bilan de Musk reste modeste, étant donné que l’objectif était de faire économiser au budget fédéral pas moins de 200 milliards de dollars. Mais selon les chiffres disponibles, on est loin du compte, puisque seuls 90 milliards de dollars ont été “économisés“.

Et sur le plan humain, des milliers de personnes ont perdu leur emploi à la suite des décisions prises par le DOGE sous la houlette de Musk. Ce qui fait de lui l’homme le plus impopulaire de l’administration américaine.

Toutefois, Elon Musk demeurera « une figure influente dans les cercles politiques américains, continuant à conseiller sur des sujets tels que l’intelligence artificielle et la réforme gouvernementale », ajoute pour sa part Business Insider.

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La Russie pourrait restreindre le retour des marques occidentales

Selon certaines informations, la législation permettrait aux entités nationales de refuser le rachat d’actifs à des entreprises étrangères sous certaines conditions.

Le Parlement russe s’apprête à adopter une loi visant à réglementer le droit des entreprises étrangères à récupérer les actifs vendus lors de leur sortie du pays, a rapporté mardi 27 mai le quotidien russe Izvestia. Le projet aurait été approuvé par le ministère des Finances et sera examiné simultanément par la Douma d’État en deuxième et troisième lectures.

En effet, de nombreuses entreprises américaines, européennes et asiatiques se sont retirées de Russie en raison de problèmes d’approvisionnement causés par les sanctions imposées à Moscou par l’Occident après l’invasion russe de l’Ukraine en 2022. D’autres entreprises sont parties en raison du risque de faire face à des sanctions secondaires ou à des pressions en matière de relations publiques.

Lire aussi : La sortie de la Russie a coûté plus de 100 milliards de dollars aux entreprises occidentales

Le projet de loi permettrait donc aux autorités russes ou aux propriétaires actuels de refuser des rachats d’actifs sous certaines conditions. Les motifs de refus incluent : le vendeur étranger est originaire d’un pays ayant imposé des sanctions à la Russie, le prix de rachat est inférieur à la valeur du marché, ou plus de deux ans se sont écoulés depuis la conclusion de l’accord initial, le propriétaire russe ayant rempli ses obligations envers les employés et les créanciers.

Les autorités russes pourraient également bloquer les rachats d’actifs si une entreprise opère dans des secteurs jugés essentiels à la stabilité socio-économique du pays, notamment la défense ou la finance, rapporte le média. Dans ce cas, le rachat d’actifs nécessiterait l’approbation présidentielle.

Les nouvelles mesures seront votées en juin et pourraient concerner au moins 18 entreprises étrangères bénéficiant d’une option de rachat, dont Renault et McDonald’s. Le projet de loi stipulerait également que les entreprises étrangères dont le rachat est refusé pourraient bénéficier d’une indemnisation, dont le montant serait déterminé par le gouvernement. Toutefois, si les anciens propriétaires ne remplissaient pas leurs obligations avant leur départ, l’indemnisation pourrait être réduite par décision de justice.

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Forte demande étrangère pour la main-d’œuvre tunisienne

Les compétences tunisiennes sont de plus en plus recherchées à l’étranger, notamment dans les secteurs suivants :

Construction : maçons, électriciens, ouvriers qualifiés

Hôtellerie & restauration : cuisiniers, serveurs, employés polyvalents

Santé : infirmiers, médecins spécialisés

Industrie manufacturière : main-d’œuvre qualifiée

Transport : conducteurs, personnel logistique

Services aux entreprises & IT : ingénieurs, développeurs, experts en gestion.

Pour les pays demandeurs, on cite entre autres :

Europe (espace Schengen) : France, Allemagne, Italie, Roumanie (qui a rejoint le groupe en janvier dernier)

Pays du Golfe : Émirats arabes unis, Arabie saoudite, Qatar (santé, ingénierie, sécurité).

On estime aujourd’hui que la Tunisie constitue « un vivier stratégique ». En effet, avec une main-d’œuvre qualifiée et adaptable, la Tunisie se positionne comme un acteur clé dans la mobilité professionnelle vers l’Europe et le Moyen-Orient.

Cependant, cette propension des diplômés tunisiens pour l’étranger se fait souvent aux dépens de l’économie et des entreprises tunisiennes, qui, malgré leur volonté, n’ont pas les moyens de les retenir.

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Les indicateurs touristiques au vert dans la région de Gabès

Au cours des 5 premiers mois de l’année, le gouvernorat de Gabès connaît une dynamique touristique notable, marquée par une amélioration significative de l’ensemble des indicateurs du secteur.

Le commissaire régional au tourisme, Béchir Kdiri, cité par la TAP, fait état d’une progression de 13% du nombre des nuitées touristiques, lesquelles sont passées de 22 mille nuitées en 2024 à 26 mille cette année, tandis que le taux d’occupation des unités hôtelières a atteint 14,1%, contre 11% à la même période de l’année précédente.

Quant aux arrivées touristiques, elles sont passées de 56 000 visiteurs en 2024 à 69 000 cette année, témoignant d’un regain d’intérêt pour la destination Gabès.

Béchir Kdiri indique par ailleurs que plusieurs projets sont en cours de concrétisation dans le domaine du tourisme alternatif, entre autres la création d’une maison d’hôtes rurale d’une capacité de 45 lits à El Hamma.

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Mondher Belaïd : « La Tunisie, une destination phare pour les compétences scientifiques »

Lors de la clôture du premier Forum scientifique international « Science et Société », organisé par la Cité des Sciences à Tunis en coopération avec l’Institut français de Tunisie, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd, a réaffirmé l’engagement de la Tunisie en faveur de l’innovation, de la recherche appliquée et de la transition écologique.

Placé sous le thème « Partenariat et perspectives pour un développement durable », cet événement, qui s’est tenu les 26 et 27 mai, a rassemblé des délégations de 20 pays africains et européens. Belaïd a souligné que la Tunisie constitue une destination privilégiée pour les compétences scientifiques, notamment dans les domaines de l’ingénierie, de la technologie, des sciences agricoles et des sciences exactes. Le pays dispose d’un système d’enseignement supérieur et de recherche robuste, avec plus de 200 institutions universitaires, 42 écoles doctorales et un réseau de 522 laboratoires spécialisés.

Renforcer les échanges pour des solutions durables
Le ministre a insisté sur l’importance de l’échange d’expériences pour accélérer les transformations et créer un réseau de savoirs interconnecté. Les travaux du forum ont porté sur trois axes majeurs : la biodiversité, les changements climatiques et l’intelligence artificielle, ainsi que leurs impacts sur la santé et les sociétés. Cette initiative vise à renforcer le dialogue autour des défis mondiaux et à promouvoir des solutions adaptées aux réalités locales et globales.

Avec TAP

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