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Été 2025 | Nabeul : De nouvelles dessertes de bus vers les plages

La Société régionale de transport du gouvernorat de Nabeul (SRTGN) a annoncé le lancement de dessertes estivales à partir de ce dimanche 6 juillet.

Ces dessertes partiront notamment depuis les zones de la régions éloignées des plages, indique un communiqué de la Société régionale, en précisant par ailleurs que la ligne (102) Nabeul/Tunis /Confort bénéficiera d’un renforcement, avec un départ toutes les 30 minutes.

La même source a précisé que ces mesures visent à faciliter les déplacements, notamment pour les usagers souhaitant accéder aux zones balnéaires et profiter de l’été.

Y. N.

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École d’Été | Cité des sciences de Tunis : «Space for Youngsters»

La Cité des sciences de Tunis accueille du 10 au 12 juillet 2025 «Space for Youngsters», adressé aux collégiens de 12 à 15 ans.

Ce programme est organisé dans le cadre du programme École d’Été de la CST en vue d’éveiller l’intérêt des jeunes au monde du spatial, de leur faire vivre des expériences ludiques et inspirantes et de leur permettre d’apprendre et de rêver dans le monde de l’apesanteur.

Au programme, des ateliers théoriques et pratiques, des mesures dans le domaine spatial, des simulations dans le domaine spatial entre autres activités liées aux thèmes de l’univers spatial, les navettes spatiales, l’exploration interplanétaire et l’apesanteur.

Y. N.

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Avec 10 médailles dont 7 en or, les Tunisiennes brillent à Olomouc (Photos)

Les Tunisiennes ont brillé au 1er Grand Prix féminin de para-athlétisme de World Para Athletics qui s’est déroulé à Olomouc, en République tchèque, du 3 au 4 juillet 2025.

L’équipe tunisienne, qui participé à ce Grand-Prix qui a rassemblé 173 athlètes de 46 nations, a remporté un total de 10 médailles, dont 7 en or et 3 en argent comme suit :

  • Raoua Tlili : L’Or au lancer de disque (F41) & L’Or au lancer du poids (F41);
  • Maroua Brahmi : L’Or au lancer de massue (F32) & L’Or au lancer de poids (F32);
  • Sonia Mansour : L’Or au 100 mètres (T37/T38) & L’Or au 400 mètres (T37/T38);
  • Raja Jebali : L’Or au lancer de poids (F40);
  • Jihène Aziz : L’Argent au lancer du poids (F45/F46) avec un nouveau record personnel;
  • Fethia Amaimia : L’Argent au lancer de disque (F41);
  • Yousra Ben Jemaa : L’Argent au lancer de javelot (F33/F34).

Notons que ce 1er Grand Prix féminin de para-athlétisme est organisé exclusivement pour les femmes dans le cadre des efforts de World Para Athletics pour augmenter la participation des femmes dans le para-athlétisme.

Y. N.

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Real Madrid vs Dortmund en live streaming : Coupe du Monde des Clubs

Quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs 2025, Real Madrid-Borussia Dortmund, un choc explosif au MetLife Stadium d’East Rutherford ce samedi 5 juillet à 22h00 heure Paris. Sous la houlette de Xabi Alonso, les Madrilènes, portés par le retour tonitruant de Kylian Mbappé et l’émergence de la pépite Gonzalo Garcia (3 buts dans le tournoi), visent un nouveau sacre après une saison 2024-2025 sans titre majeur.

Real Madrid vs Dortmund en live streaming : Quart de finale Coupe du Monde des Clubs

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Zones touristiques | La Poste tunisienne : Des bureaux ouverts jusqu’à 21h

Afin de faciliter les transactions durant la période estivale, la Poste tunisienne a décidé d’ouvrir neuf bureaux, situés dans des zones touristiques, jusqu’à 21h.

Cette mesure se poursuivra jusqu’à la fin du mois d’août 2025 et concerne neuf bureaux, répartis dans plusieurs régions du pays comme suit :

Du lundi au samedi :

  • Yasmine Hammamet : de 18h à 21h
  • Mrezgua : de 18h à 21h
  • Kélibia : de 18h à 21h
  • Hammam Sousse Plage : de 17h à 21h
  • Kantaoui : de 17h à 21h

Du lundi au dimanche :

  • Tabarka : de 17h à 21h

Du lundi au vendredi :

  • Mahdia (zone touristique) : de 17h30 à 21h
  • Monastir : de 18h à 20h
  • Djerba-Houmet Souk : de 18h à 21h.

Y. N.

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Le ténor tunisien Hassen Doss en concert à El Jem

Le ténor tunisien Hassen Doss revient au Festival international de musique symphonique d’El Jem avec un concert exceptionnel, accompagné par l’Orchestre et le Chœur El Manar, sous la direction de la cheffe d’orchestre Salma Masmoudi.

Un spectacle grandiose où opéra, patrimoine arabe et compositions originales fusionnent en une soirée symphonique inoubliable, portée par plus de 130 artistes sur scène.

Le concert est prévu pour le 6 août 2025 à l’Amphithéâtre d’El Jem et les billets sont en vente en ligne sur le site du festival ( ou sur teskerti).

Le transport est assuré par bus depuis Tunis et las réservation est également possible en ligne (le retour assuré après le concert)

Communiqué

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Tunisair | Mesures urgentes pour sauver la compagnie nationale

Le ministère du Transport a annoncé une série de mesures, dont des limogeages et des nominations, suite à la dégradation alarmante des services de la compagnie aérienne nationale Tunisair.

Les nombreux retards et annulations qui ont récemment été enregistrés causant un profond mécontentement des voyageurs et qui ont également terni l’image d’un symbole national, ont fait réagir le gouvernement qui a pris des mesures urgentes, annoncées ce samedi 5 juillet 2025, par ministère du Transport pour tenter de redresser la compagnie aérienne nationale.

Le département du Transport a ainsi annoncé que Habib Mekki a été démis de ses fonctions de président du conseil d’administration et de représentant de l’État au sein du conseil d’administration de Tunisair. Tarek Bouazizi, a été nommé pour le remplacer en tant que représentant du ministère du Transport au conseil d’administration et devra organiser dans les plus brefs délais l’élection d’un nouveau président pour assurer la continuité de l’entreprise.

La même source annonce qu’Issam Hammam, ingénieur en aéronautique, a été chargé de superviser la direction générale technique de Tunisair, en sus de ses responsabilités actuelles.

En parallèle de ces nominations, le ministère a émis une mise en garde stricte aux chefs d’escale et aux représentants de Tunisair à l’étranger. Ils sont désormais tenus d’assurer une prise en charge optimale des passagers dans tous les aéroports affectés par des perturbations et de leur fournir des informations précises et en temps réel.

Le ministère a également précisé que des procédures sont en cours pour identifier toute personne ayant manqué à ses devoirs, « avec un remplacement immédiat par des individus aptes à assumer ces responsabilités et à garantir la pérennité de l’institution », lit-on dans le communiqué qui souligne la détermination des autorités à suivre de près toutes les affaires de corruption financière et administrative ayant contribué à la situation actuelle de Tunisair.

Y. N.

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PSG vs Bayern en live streaming : Coupe du Monde des Clubs

Quart de finale de la Coupe du Monde des Clubs, Paris Saint-Germain Bayern Munich, une occasion pour les Parisiens d’ajouter un autre trophée à cette saison réussie après avoir remporté la Ligue 1 et la Coupe de France et la Ligue des Champions. PSG Bayern, en direct à 18h heure Paris au Mercedes-Benz Stadium à Atlanta USA.

PSG Bayern en live streaming : Quart de finale Coupe du Monde des Clubs


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Carthage, la «Tunisienne» ! (1-2)

Un énorme manque d’intérêt pour l’histoire de notre pays, de la part d’une grande frange de nos concitoyens, est constaté par de nombreux observateurs. Une «distraction» qui serait due peut-être aux difficultés immenses que les Tunisiens endurent pendant des années. Cette apathie teintée de lassitude incite des parties étrangères à se permettre de retoucher des faits historiques et de s’arroger des figures emblématiques de notre patrimoine, dans l’indifférence générale. Ce sujet peut paraitre assez anodin à la base, mais il joue un rôle crucial dans la formation et la cohésion de la conscience nationale tunisienne, qui n’est certes pas figée, elle est à la fois ancrée à un héritage et représente un processus dynamique en constante évolution.

Ridha Ben Slama *

Chaque nation se définit tant par ses caractéristiques identitaires que par les territoires qui sont les siens. Il arrive que la toponymie doublée ou redondante, qui est un phénomène ordinaire lié à l’Histoire, survient et bouleverse la pertinence de ces déterminants. On pourrait évoquer à ce titre la problématique concernant l’emplacement de Cirta, pour le situer à l’actuelle El Kef ou bien à Constantine. Plusieurs chercheurs soutiennent que les descriptions de Cirta dans les textes anciens correspondent incontestablement à la topographie du Kef, au nord-ouest de la Tunisie actuelle. D’autres, guidés par une approche plutôt «sélective», considèrent que Cirta était située sur l’emplacement de l’actuelle ville de Constantine, au nord-est de l’Algérie actuelle. D’autres encore pensent que le site de Sicca, nom antique du Kef, pourrait être le même que celui de Cirta…

Fausses controverses toponymiques et géographiques

Somme toute, la plupart des historiens situent Cirta sur le site de l’actuelle ville du Kef, qui s’appellera d’ailleurs plus tard Sicca Veneria et Colonia Iulia Veneria Cirta Nova.

Ce débat autour de la localisation géographique de Sica (Sicca Veneria) et Cirta persiste encore. En d’autres termes, la controverse perdure pour préciser si elles sont deux villes distinctes ou si elles désignent la même cité à différentes époques ou sous différents noms dans l’Antiquité, ainsi que sur l’histoire de ces deux villes au temps de Carthage et de Rome. Les interactions entre Cirta et Sicca sont étudiées, ainsi que leur rôle dans un contexte plus large et sur l’histoire des deux. 

A. Berthier, J. Juillet et R. Charlier estimaient que ce qui est appelé «la Numidie de Jugurtha», reposait sur l’identification, par ces auteurs, du fleuve Mulucha à l’oued Mellègue, principal affluent de la Medjerda, et de Cirta à la ville que les Romains appellent Cirta nova Sicca (Le Kef). Dans une étude collective sur ‘‘Le Bellum Iugurthinum et le problème de Cirta’’, parue en 1950, A. Berthier revient à la charge et procède à une démonstration, faisant du Kef la Cirta de Salluste et non pas Constantine. Cette thèse a été approfondie dans son livre, paru en 1981, intitulé ‘‘La Numidie, Rome et le Maghreb’’ (1), qui se traduit essentiellement par une localisation du domaine du royaume massyle vers l’Est. Elle apporte de nouveaux éléments sur les controverses toponymiques de la géographie décrite par Salluste, relative à son époque.

Il est préconisé de considérer que l’archéologie fonde ses déductions sur un terrain variable et les données qu’on a aujourd’hui peuvent être demain contestée, surtout lorsque les sources historiques anciennes sont écrites majoritairement par des étrangers qui constituent par conséquent des témoins indirects.

Pour «agrémenter» encore les différentes démonstrations, le nom de «Sarim Batim» avait été évoqué aussi comme ancien nom de Constantine. C’est une hypothèse formulée et défendue par Ph. Berger lors du onzième congrès des Orientalistes tenu à Paris en 1897. Il s’était demandé si «l’expression Sarim Batim, que l’on trouve sur quelques inscriptions néo-puniques de Constantine, n’est pas un nom de lieu désignant Cirta», et aussi par André Berthier qui proposait la dénomination de Sarim Batim pour désigner Constantine.

La recherche dans les sources lexicales des langues anciennes affirme que Sarrim, signifie en akkadien «roi, prince, seigneur, maitre» et Batim, signifie «maison»(2). Il a été établi que la langue punique adopte un système consonantique, c’est-à-dire, qu’elle se base sur la transcription des «consonnes». D’où la difficulté d’avoir une seule et unique prononciation. Ainsi, il y a lieu de ne considérer que la racine des deux vocables à savoir SRM et BTM renvoient à «maison royale, maison du prince, ville royale…».

Il convient de souligner que les centaines de fragments trouvés à Constantine portent des inscriptions avec la décoration habituelle de stèles trouvées à Carthage. D’après M. Berthier, parmi les objets l’image de Tanit se rencontre très fréquemment.

Des atteintes au récit historique

Cette controverse, connue sous le nom de «problème de Cirta», fait l’objet de publications et de discussions continues, interminables. S’il ne s’agissait que d’une recherche académique sur la localisation de deux cités et sur leur dénomination, personne ne trouverait rien à en redire. Mais, cette démarche académique à l’origine a eu pour conséquence indirecte une posture équivoque de certains milieux, dont le dessein est de s’attribuer des figures historiques, de s’approprier ou d’utiliser leur image ou leur héritage indument, ce qui implique des atteintes à la conscience nationale et à la construction du récit historique.

Ainsi, on observe depuis quelques temps que les explorations fondées en vue d’établir la véracité historique a ouvert le champ à des tentatives de déformation et de falsifications des faits historiques, d’une manière inqualifiable, qui témoignent d’une vision fantasmée de l’Histoire.

Ces assertions anachroniques qui circulent dans certains médias et réseaux sociaux trahissent une volonté de présenter un récit construit, sélectif et qui sert les visées de ceux qui les promeuvent.

L’idéologie, dans son orientation péjorative, se glisse pour déformer l’histoire en présentant une version biaisée du passé, souvent pour servir des agendas politiques et des arrière-pensées suprématistes. Cette déviation peut prendre la forme d’omissions, de distorsions, de simplifications excessives ou de reconstructions idéologiques du passé. Il faut bien le préciser, il s’agit tout simplement d’une forme de spoliation, à l’instar du transfert illicite d’objets d’art et de biens historiques. Cette action est récupérée par des milieux allogènes qui l’instrumentalisent, elle peut avoir des conséquences graves pour l’affirmation de notre conscience nationale et la mémoire de notre pays.

Il est donc essentiel de «remettre les pendules à l’heure» comme on dit, de clarifier et de mettre fin à toute ambigüité à ce sujet, en se référant à la rigueur scientifique autant que faire se peut.

Au commencement était Carthage…   

Il convient tout d’abord de rappeler ce que représentait Carthage sur le continent et pour toute la Méditerranée.

Dès l’antiquité, Aristote (384-322 av. J.-C) inclut l’exemple de Carthage parmi ceux des meilleures constitutions dans son livre II et au livre V de sa Politique (335 av. J.-C. environ). Le mérite de cette constitution aurait été, d’après Socrate, celui de l’équilibre entre les pouvoirs. D’autres auteurs anciens font également allusion à son organisation(3).

L’État carthaginois était une puissance maritime, il étendit sa prééminence en établissant des comptoirs et en exerçant un contrôle commercial le long des côtes, maintenant une influence politique souvent indirecte dans l’intérieur des terres, notamment en s’appuyant sur ses relations avec les chefs tribaux. Vers 510Av. J-C, Rome reconnaissait par traité le monopole commercial de Carthage dans la Méditerranée occidentale. Le caractère maritime et commercial de la puissance carthaginoise n’a pas pour autant atténué son assise terrienne. La ville continentale prise par les troupes carthaginoises (Général Hannon, IIIe siècle av. J.-C.) est l’ancienne Theveste (Tebessa) qui appartenait aux Gétules.

À Carthage, différentes populations ont non seulement cohabité, mais un véritable brassage humain s’était effectué : carthaginois évidemment, tribus autochtones (massyle, gétule, musulame…), grecs, italiens et ibères, ce qui a contribué au rayonnement de la civilisation punique. Elle est renommée notamment par son navigateur-explorateur Hannon, par son agronome Magon et par ses grands militaires et stratèges de génie Hamilcar Barca et son fils Hannibal. Elle est connue par l’écrivain Apulée, fondateur de la littérature latine africaine, par Saint-Cyprien et par Saint-Augustin qui y fit sa formation et de fréquents séjours.

Grâce à sa résonance historique et littéraire, la civilisation de Carthage a toujours nourri l’imaginaire universel. En substance, l’État tunisien est sans conteste le prolongement historique et culturel de l’État carthaginois, alors que d’autres entités étatiques régionales n’ont vu le jour que très récemment.

* Écrivain.

A suivre…

Notes :

1- Préface d’André Wartelle; Paris: Picard, 1981; in-8°, 224 pages, 12 figures, 8 cartes.

2- Hein Bernd et All. Les langues africaines. Ed. Karthala. 2004. en p.110.

3- Diodore de Sicile, Trogue Pompée/Justin, dont la source est encore une fois Timée, Polybe, Appien, et Tite-Live surtout.

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Quand Israël cherche à jeter les Palestiniens à la mer

Elle, Israélienne, responsable, suggère de tuer deux millions de Palestiniens de Gaza… Un conseil: ne pas s’énerver, ne pas se scandaliser… pour ne pas être accusé d’antisémitisme. Car, en France, en Allemagne et dans d’autres pays occidentaux, démocratiques et férus de droits humains, toute empathie envers les Palestiniens, fussent-ils victimes de crimes de guerre et de génocide, pourrait valoir à son auteur quelques ennuis… et pas seulement judiciaires.

Abdelaziz Dahmani *

Au café, je m’approche d’une table de copains. Effervescence de discussions partagées, thèmes : Gaza, Wimbledon, la Coupe du Monde des Clubs et le célèbre Tour de France cycliste qui démarre aujourd’hui. L’un d’eux me lance : «Quoi de neuf ?».

Moi, furibard, perdant le contrôle de mes nerfs : «Auriez-vous vu ou écouté cette ignoble, inhumaine personnalité israélienne, une députée de l’extrême droite à la Knesset, qui a dit: ‘‘À Gaza, les Palestiniens, il faut les tuer, tous, toutes, y compris les bébés et les enfants. Personne parmi eux n’est innocent !’’, y compris, vous l’avez entendu, les bébés, les enfants… Oui, tout brûler, tout saccager».

Dans sa haine sordide, cette responsable israélienne a oublié de parler de bombe atomique, et hop, tout raser, pourquoi pas? La seule bombe qui suscite les inquiétudes du monde, de Bruxelles à Los Angeles, c’est la bombe iranienne, non encore fabriquée. L’Israélienne, qui existe en grandes quantités depuis les années 1970, et qui est aujourd’hui aux mains d’un sanguinaire appelé Benjamin Netanyahu, ne dérange, elle, personne dans les capitales occidentales.  

Les Palestiniens qualifiés d’animaux à abattre

Un autre voisin de la même table, presque effrayé, me demande de «mieux contrôler mes paroles». «Non, lui dis je, la déclaration de cette vermine immonde est devenue publique, reprise par des radios , télévisions, sûrement aussi par les journaux.» Lui : «Oui, certes, c’est vrai, d’autres dirigeants israéliens ont dit pire, ou la même suggestion de tuer tous les Palestiniens, et comme ignoble justification, ils disent que les Palestiniens sont des monstres, des animaux à abattre. Le slogan « Mort aux Arabes » est même tombé en Israël dans la banalité, souvent scandé, répété des centaines de fois, y compris par ceux qui le hurlant dans les parages de la mosquée Al-Aqsa, troisième lieu saint de l’islam. Al-Aqsa que Ben G’vir, membre de l’actuel gouvernement hébreu, voudrait détruire…»

Une rasade de menthe à l’eau fraîche et ce copain reprend : «Oui, fait gaffe. L’information que tu évoques, de cette membre de la Knesset, est bien sûr reprise par les radios, les télévisions, par des journalistes professionnels. Mais c’est dit sur un ton calme, neutre, passif, sans aucune passion, ni émotion, de la pure information, même si ces journalistes évoquent des scènes immondes de bébés squelettiques qui, peaux collées sur des os, attendent la mort.»

Toujours ce copain, il me fixe du regard et ajoute: «Toi, Aziz, tu parles avec un ton de révolte, de passion, et c’est là ta faute! Tu peux être accusé aisément d’antisémitisme!»

Et là, j’ai éclaté de rire ! Si évoquer les massacres, les horreurs, le génocide, les crimes de guerre en continu, dernier épisode de plus de 630 jours, l’apartheid permanent… on devient antisémite! Alors, oui, ok, nous voilà à travers le monde, déjà d’un nombre de plus de 3 milliards de personnes à être classés antisémites. Simples révoltés contre l’innommable, choquant les bons «sémites», adorateurs de leur dernier Hitler, et élitistes hautins, dominateurs, et leurs cireurs de bottes, y compris médiatiques. Ils continuent à croire, plus que le Père Noël, qu’Israël, reste l’exception, le peuple élu, le préféré de Dieu, le chouchou des mentalités restées coloniales, le manipulateur, réduisant les présidents américains à leurs uniques services, et son armée, Tsahal, qui n’aurait jamais perdu son honneur d’«armée la plus morale et la plus éthique du monde»… 20 ou 30 000 enfants palestiniens, le plus grand nombre, froidement, délibérément assassinés, c’est un «détail», dirait l’autre… Sic et re-sic !

Réduire les Palestiniens en poussières à jeter!

Ce Israël, exemplaire, seule démocratie propre, éthique, morale, et bla-bla-bla, a son chantre, version française et sûrement d’autres, un certain BHL… Son côté superbe, son toupet, son culot, sa mégalomanie triomphante, conseiller de chefs de sales guerres, continue à impressionner les bobos et les gogos. Mais dans le noir de sa conscience, dort-il tranquille? Et un beau bébé palestinien, en train de mourir de soif, sous les bruits des bombes et obus israéliens, en silence, loin des micros, trouble-t-il un peu sa conscience? Mystère. Ou, silencieusement, est-il d’accord avec cette horrible et ignoble députée israélienne, qui voudrait passer à la moulinette, ou au hachoir, faute d’hériter d’Allemagne, des fours à Gaz, réduire Palestine et Palestiniens en poussières à jeter… à la mer. Sans, nouveaux Nazis, aucun état d’âme, au nom du fanatisme… religieux… tuer, éliminer. Deux millions d’humains. Mystères …

Journaliste.

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Le droit international est désormais une épée aux mains des puissants

Au cours de ce mois de juin 2025, quatre juges de la Cour pénale internationale (CPI) ont été sanctionnées par les États‑Unis : gel de leurs avoirs, interdiction de voyager. Leur seul tort ? Avoir autorisé des enquêtes et ordonné des mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu, pour crimes de guerre présumés — une simple application du droit international. Elles ont été punies pour avoir fait ce qu’un tribunal implanté en 2002, ratifié par 125 pays, est censé faire : juger les crimes contre l’humanité. (Ph. Les Nations unies sont de plus en plus marginalisées et impuissantes face aux diktats des puissances).

Khemais Gharbi *

À vingt ans, j’adorais le mot «droit international». Il brillait dans ma tête comme une étoile fixe, un rempart invisible contre les horreurs du passé. J’y voyais une conscience supérieure, née des cendres des guerres, une promesse faite à l’humanité tout entière : plus jamais cela. Le monde, croyais-je, s’était doté d’un langage commun, impartial, sacré. Au-dessus des intérêts, au-dessus des armes.

Mais à quatre-vingts ans, ce même mot me paraît usé, affadi, comme un drapeau qu’on hisse à moitié, ou qu’on range selon la météo.

Le droit international n’est plus cette boussole morale que je rêvais adolescent. Il est devenu l’ombre portée du pouvoir : clair quand il sert les forts, flou quand il dérange, absent quand il condamne les alliés.

À 80 ans, on n’a plus besoin de longues démonstrations. Il suffit d’observer. J’ai vu, au fil des années, ce mot prononcé avec solennité dans certains débats — jusqu’à dix-sept fois dans une seule émission évoquant l’Ukraine ou l’Iran. Et j’ai vu, dans les mêmes studios, le silence peser sur Gaza, où le droit semble avoir déserté les ruines, les enfants amputés, les files d’attente mitraillées. Une seule fois, ce mot sacré y fut murmuré. Une seule fois. Comme une gêne.

Et quand un tribunal, fût-il international, ose rappeler la règle… il est sanctionné.

Ironie récente, amère vérité

Au cours de ce mois de juin 2025, quatre juges de la Cour pénale internationale ont été sanctionnées par les États‑Unis : gel de leurs avoirs, interdiction de voyager. Leur seul tort ? Avoir autorisé des enquêtes et ordonné des mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahu, pour crimes de guerre présumés — une simple application du droit international. Elles ont été punies pour avoir fait ce qu’un tribunal implanté en 2002, ratifié par 125 pays, est censé faire : juger les crimes contre l’humanité.

Les juges sanctionnées par Washington — Solomy Balungi Bossa, Luz del Carmen Ibáñez Carranza, Reine Alapini‑Gansou, Beti Hohler — n’ont enfreint aucune règle, sauf celle que la puissance veut préserver. Washington a dénoncé leurs décisions comme «illégitimes» et menaçantes pour la «souveraineté» américaine et israélienne.

À qui le droit appartient-il ?

C’est là que mon regard de vieil homme se fige. Le droit international, tel qu’on le voit s’appliquer aujourd’hui, n’est ni un droit, ni vraiment international. C’est un décor. Une mise en scène. Une épée qu’on prête à certains, qu’on retire à d’autres. Une illusion de justice quand elle est commode; un silence assourdissant quand elle dérange.

À vingt ans, j’aurais crié. Aujourd’hui, j’écris. Non pas par résignation, mais par lucidité. Car ce n’est pas le droit lui-même que je renie, mais l’usage inégal qu’on en fait. Il faudrait le rendre à son peuple, à sa source, à ses victimes. Il faudrait oser le nommer quand il protège les faibles, non quand il justifie les forts.

Le droit international n’est pas perdu. Il est juste pris en otage.

Mais les mots, eux, demeurent. Et tant que des juges auront le courage de dire la vérité — même au prix de leur liberté — il restera une flamme quelque part.

Et le regard d’un vieil homme pour l’entretenir.

Ecrivain et traducteur.

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Promouvoir le travail des femmes dans les secteurs Stim en Tunisie

Les données du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour l’année universitaire 2023/2024, les femmes représentant désormais 66% des chercheurs dans les centres de recherche publics en Tunisie et notre pays classe au deuxième rang mondial en termes de pourcentage de femmes titulaires de diplômes universitaires dans les disciplines Stim (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), avec une part de 58%.

C’est ce qu’a rappelé la ministre de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées, Asma Shiri Jabri, à la clôture de la première journée de l’événement intitulé «Wyse, les femmes et les jeunes dans l’emploi Stem», qui s’est tenu les 3, 4 et 5 juillet 2025, à la Cité des Sciences de Tunis, en présence de l’ambassadrice des Pays-Bas à Tunis, Joséphine Frantzen.

Shiri Jabri a déclaré que les secteurs Stem sont des piliers fondamentaux de la transformation numérique et technologique, soulignant la nécessité d’efforts collectifs pour encourager les femmes et les jeunes à surmonter les barrières culturelles, éducatives et structurelles qui peuvent entraver leur participation active dans ces secteurs.

La responsabilité partagée est essentielle dans ce domaine, ce qui implique de renforcer les politiques publiques, de promouvoir une formation adéquate, de développer des environnements professionnels inclusifs et de mettre en avant les modèles et les réussites féminines dans les disciplines Stem, a déclaré la ministre.

L’événement est organisé par Onu Femmes, le Fonds pour l’emploi des jeunes, l’ambassade des Pays-Bas, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et plusieurs entreprises du secteur privé, dans le but de créer une plateforme de dialogue réunissant des décideurs publics et privés, des experts, des chercheurs, des représentants de la société civile et des organisations internationales.

I. B.

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A Tunis, la cuisine italienne à l’honneur au salon Ifsa Africa

L’excellence et la créativité de l’art culinaire italien seront bien représentées au salon agroalimentaire International Food Show Africa (Ifsa), qui se tiendra à Tunis du 9 au 11 juillet 2025 au Palais des expositions du Kram, sous l’égide du ministère du Commerce et du Développement des exportations, en collaboration avec celui de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

Fares Ghezal, coordinateur des relations extérieures de l’Ifsa, l’a annoncé à l’agencve italienne Ansa.

Enumérant quelques points forts de cette troisième édition, ce dernier a cité le concours, qui aura pour thème l’art et la culture italo-tunisienne du cake design, organisé par Katia Malizia, présidente de la Fédération internationale Excellences Edible Art, le concours mondial de la meilleure pizza, pour lequel les concurrents utiliseront la farine du moulin Caputo, et le concours de la meilleure huile d’olive, faisant partie du prestigieux Evo World Ranking.

«L’année dernière, nous avons accueilli 100 entreprises de 17 pays africains», a rappelé Ghezal, anticipant également la tenue d’un concours très important et d’une conférence sur le pain arabe.

«Des boulangers de plus de 17 pays africains participeront au concours, ainsi que des chefs du monde entier. L’Ifsa souhaite devenir la plateforme de développement du commerce intra-africain, mais aussi mondial, pour permettre aux entreprises du monde entier de se tourner vers le marché africain et aux entreprises africaines de s’ouvrir au monde entier», a-t-il déclaré.

Ifsa Afrique vise à rapprocher les nations africaines en leur fournissant les moyens de créer de la valeur ajoutée dans le secteur agroalimentaire, tout en facilitant les aspects logistiques et financiers du commerce intra-africain, en concrétisant les différents accords commerciaux conclus sur le continent, notamment ceux du Comesa et de la Zlecaf.

À travers une série d’expositions, de conférences et d’événements de réseautage, Ifsa Africa souhaite agir comme catalyseur de croissance, en favorisant les échanges commerciaux et le partage des connaissances, et en accélérant la transformation du secteur vers une plus grande durabilité.

Dans cette perspective, a souligné Ghezal, l’Italie peut être la porte d’entrée de la Tunisie vers le marché européen et la Tunisie, la porte d’entrée des industries italiennes vers le marché africain.

D’après Ansamed.

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Tunisie l Reprise du travail des internes dans les hôpitaux publics

La crise des hôpitaux publics provoquée par la grève, depuis le 1er juillet, des médecins résidents et internes, s’est momentanément calmée avec l’accord conclu, hier, vendredi 4 juillet, entre l’Organisation tunisienne des jeunes médecins (OTJM) et le ministère de la Santé.

Les autorités, qui font face à une grave crise financière, semblent avoir accepté, à l’insu de leur plein gré, la plupart des demandes des jeunes médecins, tout en mesurant leur impact sur les déséquilibres budgétaires de l’Etat.

Cet accord, conclu après une séance de négociation de 12 heures entre les représentants administratifs et syndicaux, a satisfait les jeunes médecins et ouvert la voie à la reprise du travail dans les hôpitaux publics, à la grande satisfaction des citoyens.

Le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom), qui a joué un rôle de médiateur et a contribué à promouvoir un climat de dialogue constructif, s’est dit satisfait du résultat, qualifiant l’accord de progrès dans la résolution des problèmes professionnels et sociaux des jeunes médecins.

Parmi les points clés, l’accord prévoit le règlement des arriérés de paiement et l’amélioration des salaires.

Déjà, la veille, le président de l’OTJM, Wajih Dhakkar, avait annoncé que, dans un geste de bonne volonté en faveur du processus de dialogue, l’organisation avait décidé de suspendre la grève des stagiaires et de les exhorter à regagner leurs postes, une décision qui a contribué à créer les conditions favorables à la conclusion d’un accord.

Reste que les problèmes structurels dont souffrent les hôpitaux publics sont loin d’être encore résolus : manque de médecins spécialistes, rareté (et vétusté) des équipements, conditions de travail difficiles qui exposent parfois les médecins à la colère et aux agressions lors de l’exercice de leur fonction.

I. B.

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Projet Elmed l Le câble sous-marin reliant l’Italie et la Tunisie bientôt fonctionnel

L’opération de pose du câble sous-marin entre l’Italie et la Tunisie sera achevée d’ici fin juillet. Il servira à l’interconnexion électrique entre les deux pays.

La pose du câble sous-marin du projet Elmed, l’interconnexion électrique entre la Tunisie et l’Italie considérée comme stratégique pour la sécurité énergétique de la Méditerranée, sera achevée d’ici fin juillet.

C’est ce qu’a rapporté le journal La Presse, qui cite les déclarations du directeur général de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg), Fayçal Trifa, lors d’une audition à la commission des finances du Parlement.

Selon M. Trifa, les travaux de pose du câble, commencés ces derniers mois, sont à un stade avancé et devraient être achevés d’ici fin juillet. Présentant l’avancement du projet, le directeur général de la Steg a indiqué que les plis relatifs aux offres techniques ont été ouverts et qu’il ne reste plus qu’à attendre l’approbation de la Banque mondiale pour procéder à l’ouverture des offres financières, prévue en septembre. Des retards initiaux ont été signalés en raison d’un manque d’expertise locale, qui a nécessité le recours à des cabinets de conseil étrangers, ainsi que de problèmes liés aux transferts de terres.

Un câble sous-marin de 200 kilomètres

Le projet Elmed (Ligne Électrique Méditerranéenne), porté par Terna et Steg, vise à relier la station de conversion de Mlaâbi, en Tunisie, à celle de Partanna, en Sicile, via un câble sous-marin à haute tension continue d’environ 220 kilomètres de long, dont 200 en mer.

La nouvelle infrastructure, d’une capacité de transport de 600 MW, permettra des échanges d’électricité bidirectionnels, favorisant l’intégration des énergies renouvelables et renforçant la résilience des réseaux électriques des deux pays.

L’interconnexion constitue également un élément clé du plan de coopération énergétique euro-méditerranéen et du Plan Mattei pour l’Afrique, promu par l’Italie. Financé à hauteur de plus de 850 millions d’euros, le projet Elmed bénéficie d’une contribution de l’UE de 307 millions d’euros au titre du Mécanisme pour l’Interconnexion en Europe (MIE), le reste étant soutenu par Terna et Steg, ainsi que par des institutions financières internationales au sein du partenariat Team Europe. L’achèvement des stations de conversion est prévu d’ici 2027, tandis que la mise en service commerciale de la liaison est prévue pour mi-2028.

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Tunis | Affaire de « complot 2 » : Un verdict attendu le 8 juillet

Le comité de défense Rayen Hamzaoui a annoncé que le verdict dans l’affaire dite de « Complot contre la sûreté de l’État 2 » est attendu pour le 8 juillet 2025.

La même source évoque de longues heures de plaidoiries de dizaines d’avocats, ce vendredi 4 juillet 2025, qui se sont soldées par un report de l’affaire au mardi avec un verdict attendu le jour même.

Rappelons que la chambre criminelle spécialisée dans les affaires de terrorisme près du tribunal de première instance de Tunis avait décidé de reporter le procès à ce jour et de le consacrer aux plaidoiries des avocats.

Parmi les accusés, on compte plusieurs anciens dirigeants et responsables, à l’instar de l’ancien maire de la ville d’Ezzahra Rayen Hamzaoui qui réfute toutes les accusations et affirme n’avoir aucun lien avec cette affaire.

Y. N.

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Tunis | Chafik Jarraya condamné en appel à 16 ans ferme

La Chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière de la Cour d’appel de Tunis, a rendu son verdict dans l’affaire Chafik Jarraya.

Ce dernier a été condamné, hier jeudi 3 juillet 2025, à une peine de seize ans de prison ferme, selon une source proche du dossier de l’homme d’affaires, cité ce jour par Mosaïque FM.

La même source précise que cette condamnation est liée à des affaires de corruption relatives à la vente illégale de biens confisqués et dans laquelle un ancien cadre municipal est également poursuivi.

Y. N.

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Campagne pour libérer les trottoirs et faire respecter la réglementation à Tunis

La municipalité de Tunis a mené une importante campagne visant à lutter contre l’occupation illégale des trottoirs et le non-respect des licences d’exploitation.

Cette opération s’est déroulée notamment dans les arrondissements de Bab Bhar et de la Médina, avec une mobilisation de divers services municipaux et des forces de l’ordre en vue de faire face à toutes les infractions et manquements liés à l’exploitation des trottoirs et à l’installation de parasols sans les autorisations requises, en violation des réglementations et lois en vigueur, ainsi que le non-respect des surfaces autorisées.

Dans ce contexte, la municipalité de Tunis a appelé, dans un communiqué publié ce vendredi 4 juillet 2025, les propriétaires d’établissements ouverts au public à régulariser leur situation dans les meilleurs délais.

Y. N.

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Tunisie | Gare aux crèmes solaires vendues en ligne et sans autorisation !

Le ministère de la Santé a alerté les citoyens sur les dangers des crèmes et écrans solaires vendues sans autorisation, notamment celles commercialisées en ligne ou sur le marché parallèle.

Via un communiqué diffusé ce vendredi 4 juillet 2025, le département de la Santé rappelle qu’avec la montée des températures estivales, protéger sa peau des rayons UV devient une nécessité, tout en insistant sur la nécessité d’utiliser un écran solaire qui respecte les normes de qualité et de sécurité.

Mettant ainsi en garde contre les produits de contrefaçon, pouvant contenir des substances nocives et n’offrant aucune protection adéquate, le ministère appelle à la vigilance contre l’oxybenzone, l’octinoxate, les parabènes et l’octocrylène…

Par ailleurs, le ministère recommande l’utilisation d’écrans solaires à base de composants naturels et sûrs, comme l’oxyde de zinc ou le dioxyde de titane. Il appelle ainsi les citoyens à s’assurer que le produit offre un indice de protection solaire SPF 50, garantissant une protection de 98 % contre les rayons UVB et offrant une double protection contre les UVA et les UVB.

Il est important de lire attentivement les étiquettes, de vérifier la composition, la date de péremption, et de ne pas utiliser de crèmes solaires ouvertes depuis plus de six mois, lit-on encore dans les recommandation du ministère qui recommande de conserver les produits à l’abri de la chaleur et de la lumière.
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