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Tunisie : Fin de cavale pour 6 takfiristes condamnés pour terrorisme (DGGN)

Six takfiristes recherchés et condamnés dans des affaires de terrorisme, ont été arrêtés au cours de plusieurs opérations menées par des brigades spécialisées de différentes régions du pays.

C’est ce qu’indique un communiqué de la Direction générale de la garde nationale (DGGN) qui précise que les opérations en question ont été menées à Ben Arous, Monastir, Kairouan, Sfax et Mahdia, où des takfiristes condamnés par contumace pour appartenance à une organisation terroriste ont été localisés et arrêtés.

Ces derniers ont été placés en détention en attendant la suite des procédures, ajoute encore la DGGN.

Y. N.

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Trafic de drogue : Arrestation de 2 dealers opérant entre la Marsa et Gammarth

La police judiciaire a arrêté deux trafiquants de cocaïne et de cannabis opérant entre la Marsa et Gammarth dans la banlieue nord de Tunis.

C’est ce qu’a fait savoir la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué publié ce jeudi 30 janvier 2025, en précisant que l’enquête a été menée sur la base d’informations et d’investigation ayant permis d’identifier les deux suspects.

Ces derniers ont été arrêtés en possession d’une quantité de cocaïne et de cannabis et ont été placés en détention sur ordre du ministère public, qui a également ordonné la poursuite de l’enquête, ajoute encore la même source.

Y. N.

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Depuis sa cellule de prison, Abir Moussi adresse une lettre aux Tunisiens

Abir Moussi présidente du Parti destourien libre (PDL) et avocate de son état a adressé depuis sa cellule une lettre aux Tunisiens, qui a été relayée ce jeudi 30 janvier 2025 par son comité de défense.

« Je sais que vous suivez avec intérêt l’évolution du massacre judiciaire et politique commis contre moi. Je sais aussi que vous êtes conscients que je suis en train de payer le prix de mes positions, de mes déclarations et de mes combats et mon engagement en faveur de l’État national… » lit-on dans la lettre d’Abir Moussi qui a également remercié ses partisans et « tous ceux qui l’on soutenue et lui ont exprimé leur amour en manifestant à plusieurs reprises afin d’exiger sa libération ».

La présidente du PDL, qui dans sa lettre a remis en question l’indépendance de la justice, a annoncé ne plus reconnaître la légitimité des procès la visant et rejeter ainsi toute décision fondée sur le décret-loi 54 de 2022, qu’elle qualifie d’anticonstitutionnel et liberticide.

Elle a par ailleurs indiqué avoir demandé à ses avocats de ne plus la représenter devant les tribunaux et de signaler les abus aux instances nationales et internationales des droits de l’homme et des libertés, citant notamment « le refus d’un parloir spécial avec sa fille, une atteinte flagrante à ses droits politiques, sociaux et économiques, une détention arbitraire et son exclusion de la scène politique …»

Rappelons que la Cour de cassation a rejeté, hier, le pourvoi en cassation intenté par le comité de défense de la présidente du PDL, en détention depuis octobre 2023 , dans le cadre de l’affaire l’opposant à l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie) et risque, selon son comité de défense, une peine pouvant atteindre 20 ans de prison.

Y. N.

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Basket-Tournoi international de Dubaï : La Tunisie se qualifie pour la demie-finale

L’équipe nationale de Tunisie de basketball s’est qualifiée, ce jeudi 30 janvier 2025, pour la demie-finale du Tournoi international de Dubaï.

La Tunisie s’est imposée ce jeudi en quart de finale face au club jordanien Ittihad Oman sur le score de 93 à 83, annonce la Fédération tunisienne de basketball.

La Fédération qui a félicité les joueurs pour leur performance a rappelé que la Tunisie a enregistré, à ce jour, trois victoires et une seule défaite.

Y. N.

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RD Congo : Les Tunisiens appelés à la vigilance et à éviter les zones de tension

L’Ambassade de Tunisie à Kinshasa est en contact permanent avec tous les ressortissants tunisiens résidant en République Démocratique du Congo et suit de près leur situation, affirme le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué publié ce jeudi 30 janvier 2025.

La Tunisie suit avec une grande inquiétude la récente escalade sécuritaire survenue à l’Est de la République Démocratique du Congo, ayant entraîné la perte de vies humaines et plusieurs blessés parmi les casques bleus de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en République Démocratique du Congo (MONUSCO).

Tout en exprimant ses sincères condoléances aux familles des victimes, la Tunisie considère que cette grave évolution risque de saper les efforts de paix en République Démocratique du Congo et pourrait constituer une menace pour la sécurité et la stabilité de la région entière.

Attachée aux principes de la légalité internationale et engagée dans les opérations de maintien de la paix depuis les années 1960, la Tunisie appelle à préserver la souveraineté de la République Démocratique du Congo, à circonscrire cette escalade et à respecter l’Accord de cessez-le-feu conclu, le 31 juillet 2024, dans le cadre du processus de Luanda.

La Tunisie réaffirme son soutien aux efforts africains et onusiens visant à mettre fin aux opérations militaires, dans le but d’épargner les victimes innocentes et d’éviter une aggravation de la situation humanitaire.

Elle confirme que tous les membres de la communauté tunisienne en République Démocratique du Congo, y compris le contingent tunisien auprès de la MONUSCO sont en sécurité.

Le Ministère informe que l’Ambassade de Tunisie à Kinshasa est en contact permanent avec tous les ressortissants tunisiens résidant en République Démocratique du Congo et suit de près leur situation, tout en les invitant à prendre les mesures de prudence et de vigilance requises, et à éviter les zones de tension.

Communiqué

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La DGGN dément la rumeur sur des «affrontements armés» à Makthar

La Direction générale de la garde nationale (DGGN) a démenti la rumeur diffusée, ce jour, sur les réseaux sociaux évoquant des affrontements armés qui auraient éclaté à Makthar.

Dans un communiqué publié ce jeudi 30 janvier 2025, la DGGN a démenti cette rumeur selon laquelle les présumés heurts auraient fait un mort et plusieurs blessés, tout en affirmant qu’aucun incident similaire n’a été enregistré.

La même source a par ailleurs affirmé que les mesures légales nécessaires seront prises contre les auteurs de cette rumeur et toute personne impliquée dans sa diffusion et a appelé les citoyens à faire preuve de vigilance et à vérifier les informations avant de les partager.

La DGGN a également appelé à se référer à des sources officielles afin d’éviter la propagation de rumeurs pouvant nuire à la sécurité publique.

Y. N.

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Exposition à la Bibliothèque nationale : « Le Coran vu d’ailleurs »

L’Institut de recherche sur le Maghreb contemporain (IRMC) de Tunis, en partenariat avec l’Institut national du Patrimoine (INP) et la Bibliothèque nationale de Tunisie (BNT), annonce l’ouverture d’une exposition majeure, intitulée « Le Coran vu d’ailleurs ».

Celle-ci se tiendra du 15 février au 30 avril 2025 à la Bibliothèque nationale de Tunisie et promet d’être un événement incontournable pour les passionnés d’histoire, de culture et de patrimoine.

Cette exposition itinérante, qui a également lieu à Nantes, Vienne et Grenade, est le fruit d’un programme de recherche ambitieux financé par le European Research Council (ERC), intitulé European Qur’an (EuQu). Son objectif est de questionner la place du Coran et de l’Islam dans la pensée philosophique, religieuse et culturelle européenne depuis le Moyen Âge.

Ce projet novateur met en lumière la circulation du Coran entre le Maghreb et l’Europe, en dévoilant des manuscrits exceptionnels rarement exposés au public. Ces pièces précieuses, issues de l’héritage islamique, témoignent de l’influence du Coran au-delà de ses frontières géographiques et culturelles.

L’originalité de cette exposition réside dans sa capacité à inverser les perspectives traditionnelles. Plutôt que de se concentrer uniquement sur la circulation du Coran dans le monde musulman, « Le Coran vu d’ailleurs » explore son impact et son rôle dans la pensée européenne à travers les siècles. L’exposition invite ainsi les visiteurs à repenser les relations entre l’Europe et le monde islamique, tout en illustrant l’histoire complexe des échanges culturels, intellectuels et spirituels qui ont marqué cette dynamique.

En termes de mise en valeur, l’exposition se distingue par son approche esthétique et pédagogique. Grâce à l’utilisation de supports multimédias modernes (écrans interactifs, cartes, vidéos immersives, etc.), les visiteurs pourront plonger au cœur de cette exploration historique d’une manière interactive et ludique. La scénographie, pensée pour sublimer l’architecture de la Bibliothèque nationale de Tunisie, a été conçue pour capter l’attention d’un large public, notamment des jeunes générations.

En mettant l’accent sur la circulation des idées et des savoirs entre les cultures, l’exposition vise à déconstruire les frontières traditionnelles entre l’Orient et l’Occident. « Le Coran vu d’ailleurs » est un appel à l’ouverture, au dialogue interculturel et à la réflexion sur les valeurs partagées. Elle offre aux visiteurs une occasion unique de découvrir des facettes méconnues de la circulation Coran, tout en explorant les influences croisées entre l’Islam et la pensée européenne, du Moyen Âge à nos jours.

Le contenu riche et varié de l’exposition, ainsi que sa capacité à toucher un public pluriel, en font un événement culturel de premier plan. Nous invitons les journalistes et les médias à venir découvrir cette expérience immersive et éducative, et à faire rayonner ce projet exceptionnel qui met en lumière l’héritage commun des civilisations et la force de l’échange culturel.

Communiqué

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Manouba-Déficit financier à la Steg : Des employés placés en garde à vue

Suite à la découverte d’un déficit dans les recettes financières de la direction régionale de la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (Steg), le Parquet de la Manouba a ordonné l’ouverture d’une enquête.

A ce propos, Wael Amdouni substitut du procureur de la République près le tribunal de première instance de la Manouba et son porte-parole a précisé dans une déclaration, ce jeudi 30 janvier 2005 à Mosaïque FM, que l’enquête a été ouverte suite à une plainte déposée par le représentant légal de la Steg.

L’enquête a été confiée à la brigade centrale de la garde nationale de Laouina et trois employés de la Steg, ont pour le moment été arrêtés et placés en garde à vue et d’autres agents font l’objet d’avis de recherche.

Y. N.

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La Tunisie table sur 11 millions de touristes en 2025

Un programme de promotion du secteur touristique tunisien sera annoncé prochainement. Il prévoit d’accueillir au moins 11 millions de touristes en 2025.

C’est ce qu’a déclaré le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Soufiane Tekaya, en marge de la cérémonie de clôture d’un projet de promotion du tourisme durable, précisant que le ministère qu’il dirige élabore actuellement un programme complet pour 2025 axé sur le tourisme balnéaire, culturel, environnemental et de santé.

Ce programme, annoncé prochainement, sera développé dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP) et sera spécifique à chaque région et district.

Des mesures seront également adoptées en matière de liaisons aériennes pour atteindre les objectifs fixés, a précisé Tekaya.

Le transport aérien constitue le principal obstacle au développement du secteur touristique, a souligné le ministre, indiquant que le développement de nouvelles liaisons entre la Tunisie et les aéroports européens favorisera l’augmentation du nombre de visiteurs, notamment avec l’ouverture de nouvelles unités touristiques. à Sousse, Djerba, Tabarka et Tozeur.

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Terna Innovation Zone au service du secteur énergétique en Tunisie

Le pôle d’innovation dans le secteur de l’énergie baptisé Terna Innovation Zone, et favorisant l’échange d’expertises entre la Société tunisienne de l’électricité et du Gaz (Steg) et la société italienne d’électricité Terna, a été inauguré, mercredi 28 janvier 2025, à Tunis.

«Il s’agit d’un projet qui s’inscrit dans le cadre de l’orientation de la Steg et Terna, vers la consolidation de l’innovation dans le domaine de l’énergie», a souligné, Wael Chouchane, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, chargé de la Transition énergétique.

Dans une déclaration aux médias, lors de la présentation de Terna Innovation Zone, Chouchane a réaffirmé que celle-ci sera une plateforme d’échange d’expériences entre les deux sociétés et consolidera l’innovation dans le secteur énergétique en Tunisie, en soutenant les expertises et les idées. «Elle sera un laboratoire d’idées et de projets», a-t-il soutenu.

«Ce projet aura un grand rôle en matière de réduction du déficit énergétique enregistré en Tunisie et estimé à 59%, à la fin de 2024», a encore noté Chouchane.

D’après lui, ce pôle va aussi consolider davantage la sécurité énergétique de la Tunisie en raison de l’échange d’électricité avec les pays voisins dont, l’Italie, l’Algérie et la Libye, dans le cadre du projet Elemed, ce qui renforcera la productivité du réseau tunisien, a-t-il encore expliqué.

Terna Innovation Zone, est un projet de responsabilité sociale des entreprises, qui encourage l’innovation technologique et favorise le développement des compétences partagées. Il vient renforcer les liens entre les deux pays et contribuer à la réalisation des objectifs du plan Mattei pour l’Afrique, une initiative lancée par le gouvernement italien dans l’objectif d’établir un véritable partenariat entre l’Italie et l’Afrique, avec des avantages réciproques dans les domaines économique, social, environnemental et culturel, et fondé sur la convergence des intérêts nationaux. Il s’agit du premier pôle d’innovation en Afrique géré par le groupe italien et visant à renforcer le partenariat stratégique entre l’Italie et la Tunisie.

D’après Tap.

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Habib Kazdaghli présente à Marseille son ouvrage sur l’histoire des juifs en Tunisie

Mercredi 29 janvier 2025, la librairie Transit de Marseille a accueilli l’historien tunisien Habib Kazdaghli pour la présentation de son ouvrage ‘‘Les Juifs, nos frères en la patrie’’ (préfacé par Lucette Valensi, éditions Santillana, Tunis 2025). La rencontre a permis au public de découvrir une approche novatrice de l’histoire des minorités dans les pays musulmans autour de la Méditerranée.

Djamal Guettala

Les communautés minoritaires des pays musulmans ont souvent été étudiées à travers le prisme de leurs propres descendants ou de chercheurs adoptant une perspective ethno-religieuse cloisonnée. Ces travaux, bien que riches, avaient tendance à isoler chaque groupe sans le mettre en relation avec ses voisins. De plus, l’histoire de ces communautés était fréquemment présentée sous un prisme victimaire, insistant sur l’oppression subie, d’abord sous le régime de la dhimma, puis dans des États modernes pratiquant la discrimination et l’exclusion.

Un regard historique audacieux

Les historiens des narrations nationales, quant à eux, ont généralement minimisé ou ignoré la place de ces minorités dans l’histoire des pays majoritairement musulmans.

Habib Kazdaghli, historien tunisien de tradition musulmane, rompt avec cette approche. Son travail ne vise pas à embellir ou à réécrire l’histoire, mais à la recomposer en intégrant pleinement les minorités dans le récit national.

En inscrivant l’histoire des minorités – et notamment celle des Juifs de Tunisie – dans l’histoire nationale, il met en lumière la richesse du passé tunisien. Comme il le souligne : «La Tunisie a vu défiler sur son sol des Berbères, des Phéniciens, des Arabes, des Juifs, des Andalous, des Maltais, des Siciliens, des Français. La Tunisie est un creuset de rencontres entre l’Orient et l’Occident. C’est un travail de recherche rigoureux qui a mis en lumière des dimensions culturelles, sociales et économiques qui, au fil des siècles, ont contribué à façonner l’identité tunisienne. Et je mets en valeur la présence juive en Tunisie.»

Cette approche brise un tabou en intégrant les minorités dans la mémoire collective nationale, au-delà des frontières religieuses et ethniques.

L’importance de cette démarche a d’ailleurs été mise en avant par Kapitalis, qui a consacré un article au livre ‘‘Les Juifs, nos frères en la patrie’’ sous le titre «Habib Kazdaghli et l’identité plurielle de la Tunisie», publié le 28 novembre 2024. Cet article souligne le rôle fondamental de l’historien dans la redécouverte et la valorisation de la diversité qui a façonné la Tunisie au fil des siècles.

Un échange enrichissant avec le public

Après la présentation de son ouvrage, Habib Kazdaghli a répondu aux nombreuses questions du public. Parmi les points abordés, il a insisté sur un enjeu fondamental du métier d’historien : la surveillance exercée à la fois par les autorités religieuses et politiques. Il a rappelé que les historiens, en particulier ceux qui s’intéressent aux minorités et aux récits alternatifs, sont souvent confrontés à des pressions qui cherchent à orienter ou à limiter leur travail.

Cette tension entre la quête de vérité historique et les contraintes imposées par le pouvoir ou les dogmes religieux est un défi constant dans les sociétés contemporaines. Habib Kazdaghli a souligné que son travail repose sur des recherches de terrain rigoureuses, menées avec une démarche académique qui vise à dépasser ces pressions et à offrir une lecture objective et documentée du passé.

L’échange s’est terminé par une séance de dédicaces, permettant aux participants de prolonger la discussion avec l’auteur et d’acquérir un exemplaire personnalisé de son ouvrage.

Cette soirée à la librairie Transit a offert une réflexion précieuse sur l’histoire des minorités et leur place dans les récits nationaux. Elle a également mis en avant l’importance d’une historiographie ouverte et inclusive, qui dépasse les cloisonnements identitaires pour proposer une lecture plus nuancée du passé.

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La plateforme TunisCheque ne viole-t-elle pas les données personnelles ?

Plusieurs observateurs, journalistes et experts dont moi-même (voir d’autres articles publiés à ce sujet par l’auteur dans Kapitalis) ont largement commenté et analysé la nouvelle loi sur les chèques sous tous les angles : économique, social et même politique, mais aucun n’a abordé cet angle de protection des données personnelles, qui, à l’ère de la démocratie et des droits de l’homme, est particulièrement important.

Sadok Zerelli *

Afin de planter le décor, je rappelle que le pilier de cette nouvelle loi sur les chèques est une plateforme électronique, TuniCheque, que la Banque Centrale a mis en place avant l’entrée en vigueur de cette loi, que tout bénéficiaire d’un chèque peut théoriquement consulter 24h sur 24h et tous les jours de la semaine, pour s’assurer en temps réel que le tireur du chèque dispose bien d’une provision suffisante pour couvrir le montant du chèque et la bloquer en sa faveur.

J’insiste bien sur le mot «théoriquement» parce dans la réalité, l’efficacité d’un tel système de lutte contre l’émission de chèques sans provision est loin d’être garantie et dépend de plusieurs facteurs d’ordre aussi bien technique que socio-économique.

Sur le plan technique, il ne sera pas facile pour les experts en informatique de la BCT ou de tout autre cabinet spécialisé, de connecter les systèmes informatiques de toutes les banques, protégés certainement chacun par une batterie de clés de sécurité et de programmes codés pour lutter contre les virus informatiques potentiels et les «hackers», ces jeunes surdoués en informatique, quelquefois des  adolescents même, capables de vider des comptes bancaires à distance et sans sortir de leurs chambres.

D’ailleurs, il est légitime pour tous les clients de toutes les banques de s’inquiéter à ce sujet et de se demander si la nouvelle plateforme électronique mise en place par la BCT et à laquelle quiconque peut se connecter est vraiment bien protégée et inviolable par ces hackers en herbe.

Une efficacité douteuse

Mais supposons que ce problème technique est bien surmonté et faisons confiance à nos informaticiens, il reste que pour que le bénéficiaire d’un chèque puisse la consulter, il faut que le système Internet fonctionne toujours et ne tombe pas en panne (ce qui arrive malheureusement encore de temps à autre chez nous), qu’il dispose d’un smartphone, ce que beaucoup de commerçants, paysans, personnes âgées… n’ont pas, et qu’il dispose là où il se trouve d’un réseau wifi qui est loin de couvrir toutes les régions et coins reculés du pays. Encore, je ne parle du minimum de connaissances qu’il faut avoir pour télécharger l’application de la BCT, savoir s’y connecter et la manipuler, ce que beaucoup de personnes analphabètes ou personnes âgées ne sauront pas faire.

Mais soyons aussi optimistes que les députés qui ont imaginé ce système et voté cette loi et supposons que tout se passera dans le meilleur des mondes, que cette plateforme électronique fonctionnera bien sur tout le territoire, qu’elle sera accessible en temps réel à tous les bénéficiaires d’un chèque et à tout moment, qu’elle ne risque pas d’être saturée ni de tomber en panne, ni d’être victime d’un virus informatique ou d’un hacker …

Il n’en demeure pas moins que cette plateforme constitue une violation flagrante de la part de la BCT qui y a libre accès et de tout l’Etat en tant que tel, en particulier les autorités fiscales qui peuvent consulter les soldes créditeurs des comptes de tous les clients de toutes les banques et connaître ainsi leurs véritables revenus et richesses, des données strictement personnelles garanties tant par la Constitution de 1959, que celle de 2014 ou celle de 2022, sans parler des conventions européennes et internationales ratifiées par la Tunisie, en particulier la convention 108 du Conseil de l’Europe 

Une plateforme inconstitutionnelle

En effet, l’article 9 de la constitution de 1959 stipule ceci : «L’inviolabilité du domicile, le secret de la correspondance et la protection des données personnelles sont garantis, sauf dans les cas exceptionnels prévus par la loi».

L’article 24 de la constitution de 2014 et l’article 30 de la constitution de 2020 stipulent ceci :

«L’État protège la vie privée, l’inviolabilité du domicile et le secret des correspondances, des communications et des données personnelles».

D’autre part, plusieurs textes législatifs et réglementaires ont mis en place une Instance nationale de protection des données personnelles (INDPP), chargée justement de cette mission, même si ses avis ne sont pas toujours respectés, y compris par l’Etat. Je cite en particulier les textes suivants :

La question que tout un chacun est en droit de se poser est la suivante : est-ce que nos législateurs ont pris la précaution de consulter cette INPDP pour avoir son avis sur la compatibilité de cette plateforme électronique que la BCT a mis en place en vertu de cette loi ? La réponse est non puisqu’il n’y a aucune mention de la INDPP dans le préambule de cette nouvelle loi sur les chèques.

Non consultation des parties prenantes

Ont-ils consulté l’Association de défense des consommateurs pour avoir son avis sur l’impact possible de cette loi sur la capacité de paiement et de transaction des ménages? La réponse est non, sinon on l’aurait su!

Ont-ils consulté l’Utica pour avoir son avis sur l’impact de cette loi sur les commerçants, les entreprises en particulier les PME? La réponse est non à tel point que le silence de cette organisation censée défendre les intérêts de ses adhérents est assourdissant!

Ont-ils consulté l’UGTT pour avoir son avis sur l’impact possible de cette loi sur le pouvoir de paiement et d’achat des salariés et des travailleurs, déjà mis à rude épreuve par la persistance d’une inflation galopante et le blocage des salariés? La réponse est non!

Ont-ils consulté l’Association professionnelle dans banques pour avoir son avis sur l’impact de cette loi sur le secteur bancaire qui va subir de plein fouet les conséquences de cette loi en termes de retraits de dépôts par les clients qui n’auront plus la liberté de dépenser leur argent à leur guise et en fonction de leurs besoins, de baisse de leurs chiffres d’affaires et de pénalités à partager avec leurs clients, selon la nouvelle loi, dans certains cas d’émission de chèques qui s’avéreront sans provision? La réponse est non!

Ont-ils consulté l’Association des économistes tunisiens pour prendre en compte leurs avis sur l’impact possible de cette loi sur la consommation des ménages qui est le moteur de la croissance économique ou ceux des experts en droit commercial pour avoir leur avis sur la conformité des dispositions de cette loi au droit commercial tel qu’il est enseigné sur les bancs de nos universités? La réponse est non!

Une crise de légitimité

En fait, et c’est vraiment regrettable de le constater, tout se passe comme si nos législateurs, conscients de leur faible représentativité populaire, puisque que neuf Tunisiens sur dix en âge voter ne les ont pas élus (selon l’Isie, le taux de participation aux dernières élections législatives n’a pas dépassé 11%), ils font preuve d’une grande boulimie législative en élaborant des lois les unes après les autres (loi sur le statut de la BCT, loi sur les chèques, bientôt une loi en préparation sur le code de change, une autre sur les effets de commerce, etc.) pour se donner une légitimité et justifier ainsi leur existence et leurs salaires! Ce faisant, Ils oublient que ne s’improvise pas économiste ou expert financier qui veut comme ne s’improvise pas médecin ou ingénieur qui veut. Ils oublient aussi que la politique n’est pas un jeu et que chacun des mots et chacune des phrases des lois qu’ils élaborent peut mettre en péril la vie de centaines de milliers d’entreprises et le niveau de vie de millions de familles

La conclusion que je tire personnellement de ce triste constat est d’ordre académique et n’intéresse probablement pas la majorité des lecteurs, mais je la donne quand même : le nom originel des sciences économiques en tant que discipline universitaire était jusqu’aux années 1950 «économie politique» parce que justement la frontière entre l’économique et le politique est très mince et que le développement économique, avant d’être une affaire de dotations en ressources naturelles et humaines, est avant tout une affaire d’élections libres et de démocratie.

En clair : pas de démocratie pas de développement économique !

* Economiste, consultant international.

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Saïed : «Le peuple tunisien a amorcé une nouvelle phase de son histoire»

«Le peuple tunisien a choisi sa propre voie et amorcé une nouvelle phase de son histoire, en contribuant en toute souveraineté à l’instauration de ses propres institutions».

C’est ce qu’a fait savoir le président de la république Kaïs Saïed, lors de sa rencontre mercredi 29 janvier 2025, au Palais de Carthage, avec le chef du gouvernement Kamel Maddouri, faisant ainsi allusion au processus politique qu’il avait lui-même initié par la proclamation de l’état d’exception, le 25 juillet 2021, la dissolution de l’assemblée élue en 2019, l’abolition de la constitution de 2014, l’adoption d’une nouvelle constitution en 2022, la mise en place d’une assemblée bicamérale avec un focus spécial sur les régions, et l’inauguration d’une nouvelle ère marquée par son empreinte personnelle.

Selon un communiqué de la présidence de la république, le chef de l’Etat a souligné une nouvelle fois le devoir qui incombe à chaque responsable en poste de suivre l’esprit et les objectifs qui sous-tendent le texte de la Constitution ainsi que ses dispositions claires et explicites, tout en appelant à ce que l’action gouvernementale soit menée dans esprit de parfaite harmonie.

«Chaque responsable en poste doit prendre conscience de cet enjeu et œuvrer à satisfaire les attentes légitimes de son peuple», a-t-il souligné.

I. B.

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Le TABC organise une conférence sur ses nouvelles initiatives stratégiques

Le Tunisia Africa Business Council (TABC) organise une conférence pour présenter ses nouvelles initiatives stratégiques pour soutenir le développement et l’internationalisation des entreprises tunisiennes.

Cet événement, qui se tiendra le1er février 2025, à l’hôtel Radisson Blu (ex-Laïco), à partir de 9h30, en marge de l’AGO de TABC, sera l’occasion pour présenter Fita Pitch Days qui aura lieuà l’occasion de la 8e édition de la conférence internationale Fita2025 (6-7 mai 2025 à Tunis). Il s’agit de présenter les entreprises porteuses de projets ambitieux aux investisseurs, bailleurs de fonds et experts. Les meilleurs projets bénéficieront de conseils, retours d’expérience et opportunités de financement.

Ce sera aussi l’occasion pour Provesta de présenter la plateforme GenAI, créée dans le cadre du projet Qawafel, soutenu par l’AFD et Expertise France. Cette plateforme innovante basée sur l’intelligence artificielle générative est un outil évolutif pour la prospection commerciale sur les marchés cibles. Elle est disponible initialement pour les opérateurs économiques tunisiens, avec des services élargis à l’avenir.

Autre initiative stratégique du TABCle Tucad (Tunisian Consortium for African Development) pour soutenir les entreprises tunisiennes dans leur expansion en Afrique avec des services d’accompagnement stratégique, financier et technique; et une expertise dans la structuration et l’exécution de projets complexes sur le continent africain. 

L’IAIF (Fonds d’investissement inter-africain) sera présenté par le Ceo de GMP Capital. C’est un fonds spécialisé de 100 millions USD pour promouvoir le développement économique durable en Afrique L’Africa Ceo Platform (ACP), lancée en 2023, a évolué en 2024 avec de nouvelles fonctionnalités, notamment une base de 25 000 contacts de plus de 100 pays; un networking BtoB et BtoG tout au long de l’année; un accès à des événements internationaux, appels d’offres et news économiques; et de nouveaux modules (statistiques avancées, gestion des contacts, chat interactif – appels téléphoniques, visio et discussions de groupe).

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Capsule didactique pour expliquer le fonctionnement de Tunicheque

Dans le cadre de la mise en service de la plateforme électronique unique des transactions par chèque, Tunicheque, prévue pour le 3 février 2025, Sibtel et la Banque centrale de Tunisie ont mis à la disposition du public une capsule didactique destinée à informer le public sur son fonctionnement.

La capsule explique aux usagers le mode de fonctionnement de la plateforme et les démarches à suivre en vue se conformer à la nouvelle loi sur les chèques. 

Voir la capsule.

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Que se passe-t-il à la RD Congo ?

Alors que les rebelles du M23 soutenus par le Rwanda se sont emparés de la ville de Goma dans l’est de la République démocratique du Congo et qu’ils continuent d’avancer, des Congolais ont attaqué, mardi 28 janvier 2025, les ambassades américaine, française et rwandaise à Kinshasa en signe de protestation contre le soutien actif rwandais aux rebelles et au manque de fermeté de la communauté internationale et surtout des grandes puissances avec le Rwanda.

Imed Bahri

La RDC bien que très vaste pays de plus de 100 millions d’habitants ne s’est pas encore remis de sa deuxième guerre civile qui s’est terminée au début des années 2000 puis des conflits qui lui ont succédé notamment la fin chaotique de la présidence de Joseph Kabila.

C’est un État central assez précaire et une armée inefficace qui sont confrontés à un mouvement rebelle soutenu par le Rwanda qui certes est un petit pays par la taille mais qui est riche et dont le président Paul Kagame entend jouer un rôle politique régional influent car le but de la déstabilisation de la RDC a des motifs économiques et géopolitiques.

Kagame profite des faiblesses de son voisin pour renforcer son importance sauf que ceci menace la région d’embrasement et d’une instabilité dont l’Afrique n’a pas besoin étant donné qu’elle souffre de guerres, de terrorisme, de corruption et de réchauffement climatique.

Deux ans de violences renouvelées

Le magazine britannique The Economist a publié une enquête intitulée «Le plan imprudent du Rwanda pour redessiner la carte de l’Afrique» sur le dangereux conflit actuel en RDC après que le Mouvement rebelle du 23 mars a pris le contrôle, lundi, de la ville de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu à l’est du pays. 

L’enquête estime que la prise de Goma représente l’aboutissement de plus de deux ans de violences renouvelées menées par ce mouvement ce qui indique la faiblesse de l’État congolais.

Selon The Economist, Goma est depuis longtemps un refuge pour ceux qui fuient la violence ailleurs dans le pays, l’une des régions les plus sanglantes du monde avec plus de 100 groupes armés en compétition pour le contrôle du territoire, le pillage et l’influence politique.

Le magazine décrit le dernier développement comme un indicateur inquiétant que le Rwanda, sponsor du Mouvement du 23 mars, pourrait se préparer à utiliser sa puissance pour redessiner la carte de la région risquant ainsi une autre guerre africaine catastrophique.

Les racines des événements de Goma remontent à plusieurs décennies. Entre 1996 et 2003, le Rwanda et d’autres puissances régionales se sont disputés le butin laissé par le régime du président Mobutu Sese Seko qui a dirigé la RDC de 1965 à 1997 changeant son nom en Zaïre puis après sa destitution est redevenu RDC. 

Le Rwanda affirme avoir un intérêt dans l’est du Congo à savoir éradiquer les restes de ceux qui ont fui après le génocide de 1994 et protéger les Tutsis, la tribu qui a été subi le génocide cependant The Economist affirme que le Rwanda est depuis longtemps accusé d’utiliser des mandataires pour d’autres raisons également comme le pillage des richesses minérales du Congo et l’attraction de la région dans sa sphère d’influence. Le Rwanda est par conséquent motivé par des raisons matérielles et géopolitiques qu’il n’avoue pourtant pas.

Un accord de paix «mourant»

Le principal mandataire du Rwanda dans la région est le M23 qui tire son nom d’un accord de paix «mourant» signé le 23 mars 2009 entre un ancien groupe dirigé par les Tutsis et le gouvernement congolais. En 2012, le M23 a brièvement occupé Goma pour la première fois avant d’être vaincu par les forces de maintien de la paix de l’Onu.

Le groupe rebelle a ensuite refait surface fin 2022 après que le président Félix Tshisekedi, dirigeant de la RDC, a tenté de remodeler les alliances régionales d’une manière qui aurait marginalisé le Rwanda. Le magazine britannique note dans son rapport que plusieurs atrocités ont été commises au cours des deux dernières années notamment des viols et des meurtres de masse alors que le mouvement rebelle s’est emparé de territoires dans tout le Nord-Kivu.

Bien que le Rwanda ait continué de nier son soutien au M23, un rapport de l’Onu de 2022 a trouvé des preuves solides que les troupes rwandaises combattaient aux côtés du groupe armé qui utilisait des missiles sol-air et des véhicules blindés suggérant qu’il s’agissait plutôt d’une brigade de l’armée rwandaise que d’une simple milice notoire. 

Selon The Economist, la chute de Goma souligne l’échec du président Tshisekedi qui s’était engagé lors de sa prise de fonction en 2019 après avoir succédé au mandat chaotique de Joseph Kabila à apporter la paix et l’ordre dans l’est du Congo. La dernière tentative de négociations de paix visant à stopper l’avancée du M23 sous la médiation de l’Angola a échoué en décembre dernier. Le magazine britannique décrit l’armée congolaise comme corrompue et incompétente notant que ses soldats sont apparus après l’effondrement de la plupart de leurs lignes défensives errant dans des jeeps dans le centre-ville à la recherche d’une issue.

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IFT-Cercle de lecture à Tunis : « Présence africaine dans la littérature contemporaine »

La Médiathèque de l’Institut français de Tunisie (IFT) organise, samedi 1er février 2025 à 14h30, une rencontre autour de la thématique « Présence africaine dans la littérature contemporaine ».

Les livres sélectionnés pour cette session seront réservés aux participants inscrits à la discussion (format papier et numérique).

Sélection du mois :

🔹 Ala El Aswany , Au soir d’Alexandrie, Actes sud, 2024
🔹 Amira Ghenim, Le désastre de la maison des notables, 2024
🔹 Abdallah Taia, Le Bastien des Larmes, Julliard, 2024
🔹 Khalid Lyamlahy, évocation d’un mémorial à Venise, présence africaine éditions, 2023
🔹 Jean Baptiste Lanne, Rives d’où je vous veille, présence africaine éditions, 2023
🔹 Karima Berger, Mektouba, Albin Michel, 2016

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Monastir : Deux délinquants recherchés, arrêtés après un braquage

Deux délinquants faisant l’objet de 5 et de 16 avis de recherche ont été arrêtés, à Monastir, après avoir commis un braquage à l’arme blanche.

C’est ce qu’annonce la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) dans un communiqué publié ce mercredi 29 janvier 2025, en précisant que les deux suspects étaient à bord d’un deux-roues au centre-ville, lorsqu’une brigade de la police judiciaire les a remarqués suite à leur comportement suspect.

Les agents les ont donc interceptés et il s’est avéré, que ces derniers, qui étaient en possession d’une arme blanche, venaient de braquer une femme à qui ils ont volé son sac et son téléphone, ajoute la même source, en affirmant que les braqueurs font l’objet de 5 et de 16 mandats de recherche pour différents délits.

Le ministère public a ordonné leur mise en détention en attendant la suite des procédures.

Y. N.

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