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Bilan électrique 2025 : STEG domine avec 94 % de la production, énergies renouvelables à 6 %

La production nationale d’électricité a enregistré, à fin octobre 2025, une hausse de 4% pour se situer à 17499 gigawattheures (GWh)  (y compris autoproduction renouvelable) contre 16782 GWh à fin octobre 2024, selon le rapport sur “la conjoncture économique (octobre 2025)” que vient de publier l’Observatoire national de l’énergie et des mines.

La production destinée au marché local a enregistré une hausse de 2%. Ainsi les achats d’électricité principalement de l’Algérie ont couvert 11% des besoins du marché local à fin octobre 2025.

La STEG conserve toujours la part du lion dans la production électrique avec 94% de la production nationale à fin octobre 2025.

La production d’électricité à partir des énergies renouvelables s’est située à 6%. Par ailleurs, environ 400  mégawatt (MW ) de toitures photovoltaïques ont été installées à fin octobre 2025 dans le secteur résidentiel et 70 MW sur la moyenne et la haute tension dans les secteurs industriel, tertiaire et agriculture.

La pointe a enregistré une baisse de 1% pour se situer à 4837 MW à fin octobre 2025 contre 4888 MW à fin octobre 2024. Les ventes d’ électricité ont enregistré une légère hausse de 1% entre fin octobre 2024 et fin octobre 2025.

Les ventes des clients de la haute tension ont enregistré une augmentation de 18%, celles des clients de la moyenne tension ont enregistré une quasi-stabilité.

L’Observatoire National de l’énergie et des mines a noté  que pour les ventes basse tension destinées majoritairement au secteur résidentiel (près de 75% en moyenne), les statistiques basées sur la facturation bimestrielle, dont près de la moitié est estimée, ne permettent pas d’avoir une idée exacte sur la consommation réelle. Les industriels restent les plus grands consommateurs d’électricité avec 57% de la totalité de la demande des clients haute tension et moyenne tension (HT&MT) à fin octobre 2025.

Plusieurs secteurs ont enregistré une hausse des ventes principalement les ventes de l’industrie du papier et de l’édition (+11%) , le pompage d’eau et service sanitaire(+10%) et les industries extractives (+7%) contre une baisse du pompage agricole (-5%) et les industries du textile et de l’habillement (-3%).

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Pétrole brut tunisien : champs Ashtart, Nawara et Barka enregistrent les plus fortes baisses

La production nationale de pétrole brut s’est située à 1006 kilotonnes(kt), à fin octobre 2025 enregistrant, ainsi, une baisse de 11% par rapport à fin octobre 2024, selon le rapport sur “la conjoncture économique (octobre 2025)” que vient de publier l’Observatoire National de l’Energie et des Mines.

Cette régression a touché la plupart des champs à savoir à savoir Ashtart (-28%), Nawara (-41%), Barka (-82%), Adem (-17%), Gherib (-20%), El Hajeb/Guebiba (-13%), El Borma(-4%), Halk el Manzel (-11%) et Miskar (-7 %).

D’autres champs ont enregistré, cependant, une amélioration de production à savoir Ezzaouia (+45%), Gremda/El Ain (+370%), D.S.T (+35%), Bir Ben Tartar (+3%) et Cercina (+1%).

La moyenne journalière de la production de pétrole est passée de 29.1 mille barils/j à fin octobre 2024 à 25.6 mille barils/j, à fin octobre 2025, selon la même source

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Tunisie – Énergie primaire : pétrole et gaz dominent toujours, les renouvelables à la traîne

Le bilan d’énergie primaire fait apparaître, à fin octobre 2025, un déficit de 5,3 Mtep enregistrant, ainsi, une hausse de 16% par rapport à fin octobre 2024, et ce, en comptabilisant la redevance, selon le rapport sur “la conjoncture économique (octobre 2025)” que vient de publier l’Observatoire National de l’Energie et des Mines.

Le taux d’indépendance énergétique, qui représente le ratio des ressources d’énergie primaire par la consommation primaire, a baissé à 35%, à fin octobre 2025 contre 41% à fin octobre 2024.

Sans comptabilisation de la redevance, le taux d’indépendance énergétique se limiterait à 27%, à fin octobre 2025 contre 31% durant la même période de 2024.

Les ressources d’énergie primaire se sont situées à 2,9 Mtep, à fin octobre 2025, enregistrant ainsi une baisse de 9% par rapport à la même période de l’année précédente. Cette régression est due principalement à la diminution de la production nationale du pétrole brut et du gaz naturel.

Les ressources d’énergie primaire restent dominées par la production nationale de pétrole et du gaz qui participent tous les deux à hauteur de 70% de la totalité des ressources d’énergie primaire.

La part de l’électricité renouvelable (production STEG et privée et autoproduction) reste timide et ne représente que 3% des ressources primaires. A signaler que la redevance sur le transit du gaz algérien a enregistré une baisse de 12%, à fin octobre 2025 par rapport à fin octobre 2024.

Pour la demande d’énergie primaire, elle a enregistré entre fin octobre 2025 et fin octobre 2024 une hausse de 6%. La demande du gaz naturel a augmenté de 8%, celle des produits pétroliers a enregistré une hausse de 3% et la production d’électricité à partir des sources renouvelables a augmenté de 12%.

La structure de la demande en énergie primaire a enregistré un léger changement, en effet, la part de la demande des produits pétroliers est passé de 49%, à fin octobre 2024 à 48% durant la même période de 2025.

La part du gaz naturel a augmenté, par contre, de 50 % à fin octobre 2024 à 51% à fin octobre 2025.

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Tunisie : le déficit de la balance commerciale énergétique quasi stable à 9,1 milliards de dinars

Le déficit de la balance commerciale énergétique en tenant compte de la redevance du gaz algérien exportée a enregistré, à fin octobre 2025, une quasi stabilité pour se situer à 9148 millions de dinars(MD), à fin octobre 2025 contre  9168 MD, au cours de la même période de l’année écoulée, selon le rapport sur “la conjoncture économique (octobre 2025)” que vient de publier l’Observatoire National de l’Energie et des Mines.

Les exportations des produits énergétiques ont enregistré une baisse en valeur de 29% accompagnée par une baisse des importations en valeur de 7%.

L’observatoire a précisé que les échanges commerciaux dans le secteur de l’énergie sont très sensibles à trois facteurs à savoir les quantités échangées, le taux de change dollar/dinar ( $/DT) et les cours du Brent.

En effet, au cours du mois d’octobre 2025, les cours du Brent ont enregistré une baisse de 11$/bbl par rapport au mois d’octobre 2024. A noter que bbl est une mesure de capacité américaine valant environ 158,98 litres.

Au cours de la même période, le taux de change du dinar tunisien par rapport au dollar a enregistré une baisse de 5% par rapport au Dollar américain, principale devise d’échange des produits énergétiques en comparaison avec la même période de l’année dernière.

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Météo du mardi : vent de sud-ouest et températures jusqu’à 20 degrés

Vent
Vent Météo

Tunis, 16 décembre – Le temps sera marqué mardi par des nuages parfois denses sur la plupart des régions du pays, selon les prévisions de l’Institut national de la météorologie (INM). Des pluies éparses sont attendues le matin sur les régions de l’Est et du Sud, avec un caractère temporairement orageux.

Le vent soufflera de secteur Sud-Ouest. Il sera relativement fort près des côtes et sur le Sud-Est, et faible à modéré ailleurs. La mer sera très agitée et deviendra progressivement houleuse au cours de la journée, ce qui pourrait affecter les activités maritimes.

Les températures maximales varieront entre 12 et 16 degrés dans les régions de l’Ouest. Dans le reste du pays, elles oscilleront entre 17 et 20 degrés, selon la même source.

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« La plage n’est pas une propriété privée » : une campagne contre les atteintes au littoral tunisien

« La plage, c’est un droit… pas une propriété privée ! » C’est le cri d’alerte lancé par la TunSea Academy, qui dénonce la privatisation progressive du littoral tunisien.

Dans de nombreuses zones côtières, des cabanes et installations balnéaires initialement conçues comme temporaires se transforment en véritables barrières permanentes, bloquant ainsi l’accès libre au domaine public maritime. « Aujourd’hui cabane… demain un mur ! », souligne la campagne de sensibilisation, qui met en garde contre les conséquences graves de cette dérive : privation des familles de leur droit à la mer, défiguration du paysage côtier et multiplication d’empiétements illégaux sur un espace qui, par nature, appartient à tous.

Face à cette menace, TunSea Academy appelle à l’application rigoureuse de la loi et propose des mesures concrètes : respecter le caractère strictement temporaire des aménagements balnéaires, garantir des passages libres et accessibles à l’ensemble de la population, et protéger le droit fondamental d’accès à la plage, inscrit dans le patrimoine commun des Tunisiens.

« La plage appartient à tout le monde… aujourd’hui et demain », martèle l’organisation, qui mène cette initiative dans le cadre du projet ROSE – Renforcement des Organisations de la Société Civile Émergente, financé par l’Union européenne.

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Entrepreneuriat en Tunisie : Riyeda 2026 mise sur l’innovation, le financement et l’inclusion régionale

La 13ᵉ édition de Riyeda, le grand rendez-vous national de l’entrepreneuriat et de la jeunesse, se tiendra les 28 et 29 janvier 2026 à la Cité de la Culture à Tunis, sous le thème « L’entrepreneuriat, une cause nationale ».

Face à l’incapacité persistante du secteur public à absorber la masse croissante de diplômés, l’événement vise à positionner l’entrepreneuriat comme un levier central de transformation économique et sociale.

Structurée autour de quatre axes stratégiques — inspiration, financement, inclusion territoriale et innovation sectorielle —, cette édition a pour objectif de générer des opportunités concrètes.

Plus de 800 rendez-vous d’affaires (B2B) seront organisés pour faciliter l’accès au financement, tandis que des objectifs clairs de diversité ont été fixés : 50 % de participation féminine et 20 % de participants issus des régions intérieures.

L’innovation sera encouragée dans neuf secteurs clés, parmi lesquels l’industrie, l’agriculture, le numérique, l’économie verte ainsi que les industries culturelles et créatives. Au programme figurent des panels, des ateliers pratiques, des espaces d’exposition, des sessions de pitch, des activités de networking, une Podcast Zone et diverses animations.

Riyeda 13 mettra également en lumière huit communautés thématiques de l’écosystème entrepreneurial : industrie ; recherche et innovation ; artisanat, art et métiers ; industries culturelles et créatives ; agribusiness et agro-industrie ; ainsi que les domaines de l’environnement, du climat et de la durabilité — autant de piliers porteurs d’une vision d’avenir ancrée dans les réalités locales.

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Kaïs Saïed appelle à soutenir les agriculteurs et à mieux valoriser la récolte d’huile d’olive

Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, lundi, 15 décembre courant, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri, et le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh.

Lors de cette réunion, cite un communiqué, le chef de l’Etat a mis l’accent sur la nécessité d’aplanir les difficultés rencontrées par les petits agriculteurs, s‘agissant notamment, du pressage, du stockage et de la commercialisation de l’huile d’olive, appelant les différentes parties prenantes dans le secteur oléicole à conjuguer leurs efforts en vue de tirer meilleur bénéfice de la récolte oléicole record de cette année.

Il a, dans ce contexte, recommandé d’identifier de nouvelles mesures, de mettre en place des lignes de financement avantageuses et d’œuvrer à dénicher de nouveaux marchés pour l’exportation de l’huile d’olive tunisienne, recommandant à ce propos de fixer un prix de référence qui soit en mesure de permettre aux agriculteurs de bénéficier de leurs pleins droits.

Le président Saïed, a en outre, exhorté les différentes parties opérant dans les secteurs public et privé à œuvrer à concrétiser les aspirations du peuple tunisien, affirmant qu’il n’est plus question de pousser les agriculteurs à renoncer à la récolte des olives, dès lors qu’il s’agit d’une richesse nationale.

Tout citoyen patriote est appelé plus que jamais à préserver cette richesse et à la développer au même titre que les autres richesses nationales du pays, a-t-il encore fait savoir

Toujours selon la même source, la rencontre a été l’occasion de débattre de la situation de plusieurs offices créés depuis les années 60 et qui ont perdu beaucoup de leur rôle, tels que l’Office national de l’huile (ONH) dont la capacité de stockage était estimée à 350 000 tonnes en 1962 avant de baisser progressivement pour atteindre seulement 90 000 tonnes en 2025.

Face à ce recul inquiétant, le président Saïed a appelé à passer « à la vitesse supérieure » afin que cet office puisse accomplir au mieux la mission qui est la sienne.

Par ailleurs, le président de la République a donné ses instructions en vue de mettre à la disposition des agriculteurs dans les différentes régions du pays les variétés de semences locales ainsi les engrais nécessaires.

Tout en insistant sur l’impératif d’atteindre la sécurité alimentaire totale, partie intégrante de la sécurité nationale du pays, le président Saïed a conclu que la sécurité et l’invulnérabilité du pays tout comme la pérennité des institutions doivent prévaloir sur toute autre considération.

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Île de la Galite : un système anti-foudre inédit installé pour protéger ce site naturel protégé

L’île de la Galite vient d’être dotée d’un dispositif de prévention contre les incendies causés par la foudre qui y a été installé par l’association Méditerranée Action Nature (MAN) en partenariat avec l’Agence de Protection et d’Aménagement du Littoral (APAL).

L’île de la Galite est l’une des îles de l’archipel de la GALITE situé au large de la côte septentrionale de la Tunisie, à 25 milles marins (46 kilomètres) au Nord du Cap Negro, à 33 milles (61 kilomètres) au Nord/Nord-Est de Tabarka et à 50 milles (92 kilomètres) au Nord/Nord-Ouest de la rade de Bizerte.

L’archipel est composé de l’île principale de la Galite, d’une superficie de 752 ha ainsi que de plusieurs îlots périphériques : Le Galiton (29,9 ha) et la Fauchelle (13,6 ha) au sud-ouest, les îlots des Chiens au nord-est (Gallo (12,5 ha), Gallina et Pollastro). Cet archipel, aujourd’hui, dépeuplé fut pourtant occupé à maintes reprises, durant l’Antiquité et à l’époque contemporaine. L’aire protégée marine et côtière de La Galite présente un riche patrimoine archéologique et une richesse biologique et écologique exceptionnelle aussi bien marine que terrestre recelant nombre d’espèces rares et menacées.

D’après la MAN, l’équipe de cogestion MAN /APAL a mené à bien, du 8 au 14 décembre 2025, la deuxième phase d’installation de ce dispositif innovant. Ce système, composé de plusieurs paratonnerres de type PDA (Paratonnerre à Dispositif d’Amorçage), installés sur l’ensemble de l’île, constitue une première en Tunisie en milieu insulaire, ainsi qu’une première au sein d’une AMCP (aire marine et côtière protégée).

Les paratonnerres de type PDA, aussi appelés paratonnerres actifs ou ionisants, sont des dispositifs de haute technologie qui créent un traceur ascendant précoce pour capter la foudre de manière plus anticipée et sur une zone plus large que les paratonnerres traditionnels.

Ce projet financé par la Fondation Prince Albert II de Monaco s’inscrit dans le cadre des actions menées pour protéger l’île après l’incendie qui s’y est déclenché en octobre 2021. Ce projet vise la prévention contre les incendies naturels causés par la foudre.

L’association Méditerranée Action Nature est une organisation à but non lucratif œuvrant pour la préservation de l’environnement, la promotion de la gestion des AMP/AMCP en Tunisie et en Méditerranée ainsi que pour la conservation de la biodiversité côtière et marine.

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Leonardo Jardim : démission surprise à Cruzeiro après dix mois

L’entraîneur portugais Leonardo Jardim a quitté ses fonctions à la tête du club brésilien de Cruzeiro, dix mois après son arrivée, invoquant des raisons liées à sa santé physique et mentale. L’annonce a été faite lundi, au lendemain de l’élimination de l’équipe en demi-finale de la Coupe du Brésil.

Dans un communiqué publié sur le réseau social X, le club de Belo Horizonte a confirmé que le technicien de 51 ans ne dirigerait pas l’équipe lors de la saison 2026. « L’entraîneur Leonardo Jardim ne restera pas à la tête de l’équipe pour la saison 2026 », indique le texte, précisant que le Portugais quitte également le club accompagné de ses adjoints.

Arrivé à Cruzeiro en février dernier, Leonardo Jardim était pourtant lié à la Raposa pour encore une saison, avec une option de renouvellement. L’ancien entraîneur de l’AS Monaco, avec lequel il avait remporté le titre de champion de France en 2017, a expliqué que sa décision reposait sur des considérations strictement personnelles.

Une décision motivée par des alertes de santé

Lors d’un point de presse, Leonardo Jardim a évoqué des « signaux d’alerte » qui l’ont conduit à prendre cette décision. « Les raisons sont personnelles », a-t-il déclaré, soulignant la nécessité de préserver sa santé physique et mentale. Il a également indiqué avoir été confronté récemment à des problèmes de santé touchant un proche.

Son départ intervient dans un contexte sportif délicat pour Cruzeiro. Le club a été éliminé par Corinthians en demi-finale de la Coupe du Brésil, un revers survenu la veille de l’annonce officielle de la démission du technicien portugais.

Une transition attendue sur le banc

Leonardo Jardim avait succédé à Fernando Diniz, ancien sélectionneur du Brésil en 2023, dont le passage à la tête de Cruzeiro avait été de courte durée. Selon les médias brésiliens, la direction du club envisagerait de confier l’équipe à Tite, 64 ans, lui aussi ancien sélectionneur des quintuples champions du monde. Cette information reste toutefois à confirmer par le club .

Aucune précision supplémentaire n’a été communiquée concernant le calendrier de nomination du prochain entraîneur ni les modalités exactes de la transition sportive.

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Liga : Barcelone conforte son fauteuil de leader

La 16e journée du Championnat d’Espagne de football a permis au FC Barcelone de consolider sa position en tête du classement, tandis que le Real Madrid reste à l’affût et que la lutte demeure serrée pour les places européennes.

Vendredi, Gérone est allé s’imposer sur la pelouse de la Real Sociedad (2-1), lançant une journée marquée par plusieurs succès à l’extérieur.

Samedi, l’Atlético Madrid a assuré l’essentiel face à Valence (2-1), alors que Majorque a dominé Elche (3-1). Le FC Barcelone a, de son côté, confirmé son statut de leader en battant Osasuna (2-0). Espanyol Barcelone a également réalisé une bonne opération en s’imposant à Getafe (1-0).

Dimanche, le Séville FC a signé la victoire la plus large de la journée en écrasant le Real Oviedo (4-0). Le Celta Vigo s’est imposé face à l’Athletic Bilbao (2-0), tandis que le Real Madrid est revenu d’Alavés avec les trois points après un succès 2-1.

Lundi, la rencontre entre le Rayo Vallecano et le Betis Séville s’est soldée par un match nul (0-0). Le match Levante – Villarreal a, quant à lui, été reporté.

Au classement, le FC Barcelone occupe la première place avec 43 points après 17 matches, devant le Real Madrid (39 points). Villarreal complète le podium avec 35 points mais compte deux matches en moins. L’Atlético Madrid suit en quatrième position avec 34 points.

Espanyol Barcelone occupe la cinquième place (30 pts), tandis que le Betis Séville est sixième avec 25 points. En bas du tableau, le Real Oviedo (19e) et Levante (20e) restent en difficulté.

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Agriculture à Zaghouan : la BTS finance grandes cultures et filière oléicole pour la saison 2025-2026

La commission régionale des crédits saisonniers à Zaghouan a accordé, lors d’une session tenue à la fin de la semaine dernière, une deuxième tranche de financements destinée à soutenir la campagne des grandes cultures 2025-2026 ainsi que la récolte et la transformation des olives.

Le président adjoint de la succursale de la Banque tunisienne de solidarité (BTS), Adel Derouiche, , a précisé à l’agence TAP que 27 agriculteurs ont bénéficié de ces crédits pour un montant global de 304 mille dinars, répartis entre 154 mille dinars alloués à 17 producteurs du secteur oléicole et 150 mille dinars destinés à 10 exploitants de grandes cultures.

Il a rappelé que lors de la première session tenue en novembre dernier, 46 crédits saisonniers avaient été attribués pour un montant total de 505 mille dinars, en vue de soutenir les besoins opérationnels des filières concernées.

À ce jour, le cumul des prêts accordés s’élève à 73 crédits pour un montant global de 809 mille dinars, renforçant ainsi la capacité des agriculteurs de la région à faire face aux exigences des saisons culturales et à optimiser la production agricole.

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Serie A : l’AS Rome s’impose face à Côme et se rapproche du trio de tête

L’AS Rome a renoué avec la victoire lundi soir en battant Côme (1-0) au Stade olympique, en clôture de la 15e journée du Championnat d’Italie. Ce succès permet aux Romains de rester au contact des équipes de tête et de se relancer après deux défaites consécutives en Serie A.

Un succès précieux après deux revers

La Roma, qui restait sur une série négative, a trouvé l’ouverture à l’heure de jeu. Le Brésilien Wesley a inscrit l’unique but de la rencontre à la 60e minute, signant au passage son troisième but de la saison. Cette réalisation a suffi aux hommes de Gian Piero Gasperini pour empocher trois points importants dans la course aux premières places.

Sans livrer un match prolifique offensivement, l’AS Rome a su préserver son avantage jusqu’au coup de sifflet final, mettant fin à une période délicate sur le plan comptable.

Un classement resserré en haut de tableau

Grâce à cette victoire, la Roma conserve la quatrième place du classement avec 30 points. Elle revient à trois longueurs de l’Inter Milan, nouveau leader du championnat après son succès sur la pelouse du Genoa (2-1).

Les Romains se rapprochent également de leurs autres concurrents directs. Ils ne comptent plus que deux points de retard sur l’AC Milan, tenu en échec par Sassuolo (2-2), et un seul sur Naples, battu à Udine (1-0). Dans ce contexte, la lutte pour le podium demeure serrée à l’approche de la suite de la saison.

La Roma, dont le dernier titre de champion d’Italie remonte à 2001, reste ainsi pleinement engagée dans la course aux premières places.

Côme marque le pas après une nouvelle défaite

Pour Côme, cette rencontre s’est soldée par une troisième défaite de la saison, la deuxième consécutive. Le club recule à la septième place du classement avec 24 points, perdant du terrain dans la bataille pour les positions européennes.

La soirée a également été marquée par la sortie sur blessure de l’ailier sénégalais Assane Diao. Le joueur, aligné par l’entraîneur Cesc Fabregas, a quitté le terrain dès la 31e minute, sans autre précision sur la nature de sa blessure.

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Premier League : le point complet sur le classement après la 16e journée

La 16e journée du championnat d’Angleterre de football, disputée du samedi 13 au lundi 15 décembre, a confirmé la position d’Arsenal en tête du classement. Les Gunners ont conservé leur leadership à l’issue d’un week-end marqué par plusieurs résultats nets et un match spectaculaire à Old Trafford.

Arsenal, City et Villa assurent en haut de tableau

Arsenal s’est imposé à domicile face à Wolverhampton (2-1) et totalise désormais 36 points après 16 rencontres. Manchester City reste son principal poursuivant avec 34 points, après une victoire convaincante sur la pelouse de Crystal Palace (3-0).

Aston Villa continue également sa progression. Le club s’est imposé à l’extérieur contre West Ham (3-2) et occupe la troisième place avec 33 points. Chelsea complète le top 4 grâce à son succès face à Everton (2-0), portant son total à 28 points.

Liverpool gagne, Manchester United concède un nul spectaculaire

Liverpool a battu Brighton (2-0) à Anfield, consolidant sa place dans le groupe des équipes à 26 points. Manchester United, également à 26 unités, a concédé un match nul spectaculaire contre Bournemouth (4-4), lundi soir, au terme d’une rencontre riche en buts.

Crystal Palace, battu par Manchester City, conserve malgré tout la cinquième place avec 26 points, à égalité avec Manchester United, Liverpool et Sunderland, ce dernier ayant dominé Newcastle (1-0).

Succès marquants et revers lourds

Nottingham Forest a signé l’une des performances notables de la journée en s’imposant largement face à Tottenham (3-0). Fulham s’est imposé à Burnley (3-2), tandis que Brentford et Leeds United se sont neutralisés (1-1).

Ces résultats maintiennent un équilibre relatif en milieu de tableau, où plusieurs équipes restent proches au classement.

Une lutte intense en bas de classement

Dans la zone de relégation, Wolverhampton ferme la marche avec seulement 2 points en 16 matches, après sa défaite contre Arsenal. Burnley, battu à domicile, reste avant-dernier avec 10 points. West Ham, malgré une prestation offensive, s’incline face à Aston Villa et occupe la 18e place avec 13 points.

À ce stade de la saison, la hiérarchie reste ouverte, tant pour les places européennes que pour la lutte pour le maintien.

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Tunisie : l’ARP débat du projet de loi sur le statut de l’artiste et les professions artistiques

L’Académie parlementaire de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a organisé lundi une journée d’étude consacrée au projet de loi n° 055-2023 relatif à l’artiste et aux professions artistiques, en présence d’un grand nombre d’artistes et de représentants d’organisations artistiques de divers horizons.

Ce projet de loi, présenté par plus de 130 députés en décembre 2023, a été transmis par le Bureau de l’Assemblée à la Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat le 15 février 2024.

Lors de la présentation du projet de loi, le président de la Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat à l’ARP, Bedis Belhaj Ali, a indiqué que l’idée initiale de ce projet de loi relatif aux artistes et aux professions artistiques a émergé du ministère des Affaires culturelles en 2014. Plusieurs réunions, ateliers de travail et débats ont été ensuite organisés avec la participation de professionnels et de divers intervenants du secteur, qui ont abouti à une version consensuelle adoptée par 133 députés. Cette version a ensuite été présentée à l’ARP et le Comité a entamé ses travaux en février 2024, avec l’audition de nombreuses structures et syndicats représentant le secteur.

Bedis Belhadj Ali a ajouté que cette loi vise à réglementer le secteur artistique, la profession artistique et la pratique artistique en général, le plus important acquis sera la mise en place, dans ce projet, d’un système de couverture sociale spécifique aux professionnels des arts, qui est un système social solidaire inspiré du système de la sécurité sociale des avocats, auxquels s’y ajoutent la question des droits d’auteur et de la propriété intellectuelle et de la rediffusion des œuvres artistiques, qui ne procurent actuellement aucun revenu aux artistes.

Cette journée d’étude fait suite à une douzaine de réunions et d’auditions organisées pour examiner le contenu de ce projet depuis sa soumission au Comité. Les auditions précédentes ont réuni des députés à l’origine de la proposition, des représentants du ministère des Affaires culturelles, des représentants de structures professionnelles à l’instar de syndicats, et d’amicales et d’experts juridiques.

La journée d’étude parlementaire a été marquée par les interventions de Rached Chelli, membre du Bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), de Nourhene Bouzayane, représentante du syndicat de base des professions des arts dramatiques, de Jamel Aroui, représentant du Syndicat national indépendant des professionnels des arts dramatique, de Maher Hammami, président du Syndicat Tunisien des Métiers de la Musique et des Métiers Voisins, de Wissam Gharsallah, Secrétaire général de l’Union des artistes plasticiens tunisiens et de Mourad Ben Cheikh, réalisateur et membre de la Coopérative des artistes, créateurs et techniciens du secteur culturel.

Les interventions des représentants des structures professionnelles ont porté sur divers aspects du projet de loi tels que le rappel de l’historique de l’élaboration de la loi sur l’artiste, fruit d’une dizaine d’années de réflexion collective et d’expérience partagée par les acteurs du secteur culturel ; et soutien et la mise en relief de ses dispositions au vu de son contenu visant à préserver la dignité des artistes en garantissant leurs droits économiques et sociaux. Selon eux, cela contribuerait à mettre fin à la précarité de la situation des artistes tunisiens. Ils ont toutefois critiqué la définition de l’artiste professionnel figurant dans la loi, ainsi que les conditions d’octroi ou de retrait de la carte professionnelle.

Ils ont insisté sur le fait que cette carte devrait être réservée uniquement à ceux qui exercent une activité artistique et dont le revenu principal provient de ce travail, et non à ceux qui se tournent vers les arts depuis d’autres secteurs.

//Aperçu du projet de loi//

Ce projet de loi, tel qu’énoncé dans son article Un, vise à réglementer le statut juridique de l’artiste, en garantissant ses droits, en définissant ses devoirs et en lui assurant la pleine reconnaissance qu’il mérite en société eu égard au rôle essentiel qu’il joue dans le développement de la vie culturelle, sociale et économique. Il vise également à réglementer les professions artistiques, en permettant à ses membres de bénéficier d’un cadre juridique qui préserve leur dignité, régit leurs champs d’activité et assure leur bien-être matériel, social et professionnel.

Parmi les objectif de ce texte juridique figurent le soutien au droit à la création et à la contribution au développement de la production littéraire et artistique sous toutes ses formes et contenus, afin de soutenir la culture nationale dans son authenticité, sa diversité, son ouverture et son renouvellement.

Cette proposition comprend 45 articles répartis en cinq chapitres. Le premier porte sur les dispositions générales de l’activité artistique et le second concerne l’exercice de l’activité artistique. Il comprend notamment la définition de l’artiste professionnel et présente un cadre conceptuel relatif aux professions artistiques et aux conditions d’obtention de la carte professionnelle, ainsi que les caractéristiques du contrat artistique, les dispositions spécifiques applicables aux artistes étrangers et aux enfants. Le troisième chapitre porte sur la promotion des professions artistiques, le quatrième sur les infractions et les sanctions. Le dernier chapitre concerne les dispositions transitoires.

Selon l’exposé des motifs présenté par les députés à l’origine du projet de loi, ce dernier vise à renforcer le cadre législatif régissant l’activité artistique en vue de reconnaître la noble mission de l’artiste et l’importance de son rôle dans le développement de la vie culturelle, sociale et économique, ainsi que dans le rayonnement culturel et civilisationnel de son pays, outre, la nécessité de lui fournir des cadres juridiques appropriés qui permettent l’organisation des professions artistiques en harmonie avec la spécificité de la pratique culturelle, et au diapason de l’évolution des domaines artistiques et en permettant le renforcement des droits de ceux qui y travaillent.

//Des artistes discutent du contenu de la loi et de la situation des artistes en Tunisie//

Lors des discussions sur le projet de loi et la situation générale des artistes tunisiens, la plupart des participants au débat public ont globalement salué le texte, tout en soulignant qu’il pourrait être amélioré lors de sa présentation en séance plénière.

Plusieurs artistes ont soulevé la question de la carte d’artiste professionnel et des conditions d’obtention. Certains ont jugé ces conditions trop larges, permettant à des non-professionnels d’en bénéficier, tandis que d’autres craignent qu’elles ne limitent la participation future d’artistes talentueux non diplômés des Instituts des arts.

Des artistes ont également insisté sur l’importance d’adapter la législation aux réalités actuelles, afin que cette loi, une fois promulguée, ne soit pas en contradiction avec des lois sectorielles non mises à jour depuis de nombreuses années.

Plusieurs participants ont critiqué l’absence de représentant du ministère des affaires culturelles à cette journée et ont plaidé pour la création d’un Ordre des artistes chargée des démarches administratives liées à l’organisation du travail d’artiste pour faciliter son activité.

Plusieurs interventions ont également mis en évidence l’absence du cinéma dans le texte de loi, d’autant plus que la réalisation cinématographique possède des caractéristiques uniques qui la distinguent des autres formes d’art. Il s’agit d’une forme d’art collaborative qui inclut de nombreux acteurs et comprend plusieurs étapes avant, pendant et post-production.

Parmi d’autres points soulevés figurent le manque de prospection de la loi quant aux possibilités futures, aux spécificités de la collaboration à distance entre artistes, à l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’art et à la nécessité de numériser le patrimoine musical tunisien afin de le protéger du plagiat.

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Loi de finances 2026 : Ce qui change pour la PME et l’entrepreneur

La Loi de finances 2026 mise sur l’allègement des coûts et l’accès au financement, plutôt que sur des aides directes massives.

👉 Ce qui change :

  • Pour les recrutements de diplômés de l’enseignement supérieur, l’État prend en charge, de façon dégressive, la contribution patronale à la sécurité sociale, réduisant ainsi le coût de l’embauche.
  • Des lignes de financement spécifiques sont mobilisées via les banques publiques et le Fonds national de l’emploi, avec parfois des conditions préférentielles.
  • Les entreprises communautaires bénéficient d’un régime incitatif : exonérations temporaires d’impôt, suspension de TVA sur les investissements, prise en charge de cotisations sociales.

Les PME peuvent bénéficier des amnisties fiscales et douanières pour régulariser des situations antérieures avec abandon de pénalités.

👉 Ce qui change aussi, en pratique :

Les obligations fiscales et déclaratives seront de plus en plus digitalisées (facturation électronique, paiements et notifications en ligne).

📌 À retenir
La Loi de finances 2026 cherche à fluidifier l’activité des PME, en réduisant certains coûts et en facilitant le financement, tout en renforçant progressivement le cadre fiscal numérique.

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Coupe Arabe : la Jordanie élimine l’Arabie Saoudite et rejoint le Maroc en finale

Coupe Arabe : la Jordanie élimine l’Arabie Saoudite et rejoint le Maroc en finaleLa Jordanie s’est qualifiée pour la finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 après sa victoire face à l’Arabie Saoudite (1-0), lundi soir au stade Al Bayt à Doha. Les Jordaniens retrouveront le Maroc lors de l’ultime rencontre du tournoi, programmée le 18 décembre au stade Lusail.

Un succès jordanien construit dans la durée

La demi-finale a été disputée et équilibrée jusqu’à l’heure de jeu. Les hommes de Jamal Sellami ont fait la différence en seconde période grâce à un but de Nizar Al Rashdan, inscrit à la 66e minute. Cette réalisation a suffi pour permettre à la Jordanie de valider son billet pour la finale.

Solide sur le plan défensif, la sélection jordanienne est parvenue à préserver son avantage jusqu’au coup de sifflet final, éliminant ainsi l’Arabie Saoudite sur la plus petite des marges.

Le Maroc impressionne dans l’autre demi-finale

Dans la première demi-finale, le Maroc a confirmé sa solidité en dominant largement la sélection des Émirats arabes unis (3-0). La rencontre s’est disputée au stade international Khalifa, à Al Rayyan.

Les Lions de l’Atlas ont ouvert le score par Karim El Berkaoui à la 28e minute. Après une longue phase de maîtrise, ils ont scellé leur succès en fin de match grâce à Aschraf El Mahdioui (83e) et Abderrazak Hamdallah (90e+2). Cette victoire nette permet au Maroc d’aborder la finale avec confiance.

Une affiche inédite pour le titre

La finale de la Coupe Arabe FIFA Qatar-2025 opposera donc la Jordanie au Maroc, deux équipes qui ont su se montrer efficaces et solides lors des demi-finales. La rencontre se tiendra le 18 décembre au stade Lusail, enceinte emblématique du tournoi.

Aucune indication supplémentaire n’a été donnée concernant l’organisation ou les modalités de cette finale. Les deux sélections tenteront de conclure leur parcours par un sacre continental dans cette compétition.

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Budget 2026 : le déficit ne dit pas tout

La lecture traditionnelle du budget de l’État se concentre sur le déficit budgétaire. Pour 2026, celui-ci s’établit autour de 11 milliards de dinars. Cette approche décrit un déséquilibre annuel entre recettes et dépenses. Elle ne rend toutefois pas compte de l’ensemble des décaissements auxquels l’État doit faire face. Une lecture en cash-flow met en évidence un besoin de financement global supérieur à 27 milliards de dinars, révélant une contrainte de trésorerie plus large.

Un déficit budgétaire mesuré, mais partiel

Sur le plan budgétaire, les équilibres sont clairement identifiés. Les recettes sont projetées à 52,56 MDT, tandis que les dépenses atteignent 63,58 MDT, générant un déficit d’environ 11 MDT. Cette mesure reflète la situation économique de l’exercice. Elle ne renseigne pas sur les flux financiers réels qui conditionnent la liquidité quotidienne de l’État.

Le poids du remboursement du principal de la dette

L’approche en trésorerie intègre un élément absent du déficit budgétaire : le remboursement du principal de la dette. En 2026, ces remboursements représentent 7,93 MDT pour la dette intérieure et 7,92 MDT pour la dette extérieure, soit près de 16 MDT de sorties de trésorerie. Ces montants ne financent ni les dépenses courantes ni les investissements. Ils correspondent uniquement à des engagements contractés antérieurement.

Un besoin de financement total supérieur à 27 MDT

En cumulant le déficit budgétaire, le remboursement du principal de la dette et les opérations de trésorerie, le besoin de financement global atteint 27,06 MDT. Cette configuration signifie que les recettes courantes sont entièrement absorbées. L’État doit ainsi recourir à l’emprunt pour couvrir ses besoins de liquidité, indépendamment de toute nouvelle politique de dépense.

Une dépendance accrue au financement intérieur

La structure du financement met en évidence une prédominance de l’endettement intérieur. Les emprunts domestiques sont estimés à 19,06 MDT, contre 6,81 MDT pour les emprunts extérieurs. Cette répartition concentre la pression de financement sur le marché local, avec des implications directes pour la liquidité bancaire et la capacité de financement du secteur privé.

Un budget sous contrainte de trésorerie

La lecture en cash-flow montre que le budget 2026 est fortement conditionné par le service de la dette. Même sans augmentation des dépenses, le fonctionnement financier de l’État nécessite un volume élevé d’emprunts. La marge de manœuvre budgétaire dépend donc étroitement de la capacité à mobiliser des ressources de financement.

Deux lectures complémentaires

Le déficit budgétaire mesure un déséquilibre annuel. Le cash-flow mesure la pression financière immédiate. Sous l’angle des flux de trésorerie, le budget 2026 apparaît comme un exercice de gestion de liquidité, dominé par les échéances de dette, plutôt que comme un budget d’arbitrage des politiques publiques.

CHIFFRES CLÉS

  • 11 MDT : Le déficit budgétaire résulte de l’écart entre 52,56 MDT de recettes et 63,58 MDT de dépenses. Il mesure un déséquilibre annuel.
  • 27,06 MDT : Ce montant agrège déficit, remboursement du principal et opérations de trésorerie. Il traduit la contrainte globale de liquidité.
  • 15,85 MDT : Les remboursements du principal de la dette intérieure et extérieure constituent des sorties de cash incompressibles.
  • 19,06 MDT : Les emprunts intérieurs forment la principale source de financement, concentrant la pression sur le marché local.
  • 6,81 MDT : Les emprunts extérieurs complètent le financement, dans une proportion plus limitée.

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Journées de l’Entreprise | IACE : Fethi Zouheir Nouri plaide pour un New Deal de l’investissement productif

Fethi Zouhair Nouri - IACELe moment est venu pour doper la croissance et d’investir plus. Mais aux meilleures conditions de financement.

Fethi Zouheir Nouri, Gouverneur de la BCT a fait une intervention remarquable lors de la clôture des JES de l’IACE. Un diagnostic réaliste suivi d’un projet de New Deal ambitieux et lucide. Amine Ben Ayed, par conviction s’est ravisé en renonçant à son intervention. Il s’ne explique avec un trait d’élégance ‘’J’adhère totalement au propos de Mr le Gouverneur’’. Le discours fut intensément ressenti de tous. Il faut reconnaitre que l’on s’est éloigné des sentiers battus.

Une nouvelle culture de l’investissement

Le Gouverneur indique que le taux d’investissement dans le pays est à son étiage. A peine 16 % du PIB. Seul trait apaisant, le secteur privé en réalise 58 %. Qu’importe les deux pourcentages sont en-dessous des objectifs souhaitables et souhaités. Et le Gouverneur, de manière didactique, de rappeler que cela est bien contrariant.

Appuyant son propos il fait observer que le pays ne manque ni de talents, ni d’idées, ni de projets. Il concède, toutefois, que l’ordre économique actuel fait planer quelques incertitudes. Et il ajoute courageusement, que certains obstacles au financement, dans notre pays, persistent. Cela fait qu’au final, les chefs d’entreprises repoussent leurs projets à plus tard.

Cette procrastination nous fait du mal à tous. Et d’appeler la communauté d’affaires à investir plus et au système bancaire de financer non point de manière inconsidérée mais de manière professionnelle. La fenêtre de l’investissement ne doit pas rester fermée. Elle doit rester ouverte mais exigeante, précise-t-il.

Les enjeux du moment

Il convient d’aller vers une allocation rationnelle et raisonnable des ressources de façon à privilégier les nouveaux projets productifs. Car ces derniers s’inscrivent dans le moyen et le long terme. le gouverneur a souligné avec contrariété que de 2022 à 2024 les crédits à court terme ont augmenté de plus de 8,3 %. Et, pour leur part, les crédits à moyen et long terme n’ont progressé que de 3 %.

Le bon sens recommande de mettre de l’ordre et de préférer le financement des projets productifs au lieu de la consommation. Et le cœur de cible reste toujours les PME. Il s’agit là d’une question de survie et non d’une simple ambition. Avec gravité le gouverneur affirme que le monde traverse une ère de rupture numérique, énergétique, écologique et géopolitique.

Sous-investir aujourd’hui revient à s’exposer à régresser dans la compétition internationale, demain.

Changer notre façon de faire !

On croyait rêver ! Nous gardons, en mémoire un masque de l’argentier national, austère et constamment sur la réserve. Généralement rivé sur les normes prudentielles. Fethi Zouheir Nouri rompt avec cette posture qu’il juge a-cyclique pour la troquer contre le profil du Mentor de l’expansion en ces temps de disette de l’investissement.

Il faut reconnaitre qu’il en possède la méthode et maitrise le discours. Sans hésitation il affirme, haut et fort, que le risque fait partie du métier. Le moment est venu pour la communauté nationale d’affaires de reconfigurer le schéma de financement des projets.

Auparavant on s’en tenait à un Mix réduit d’autofinancement et d’endettement bancaire. Introduisons l’Equity (Les Fonds propres) de marché. Oui l’écosystème national est équipé en conséquence. pourquoi dés lors ne pas en généraliser la pratique. Cela détendrait les rapports entre opérateurs et banquiers. Ces derniers seront rassurés de voir se redresse le coefficient d’endettement des entreprises.

Et, le gouverneur de pourfendre la crispation sur la question des garanties. Il appelle les investisseurs à jouer le jeu et au lieu de thésauriser de convertir l’essentiel de leur patrimoine en actifs financiers.

Et à l’adresse des banques de signifier que les meilleurs garanties sont dans l’entretien d’entreprises prospères. Le tour est joué. C’est ni plus ni moins qu’un New Deal, fort avisé et de circonstance que le Gouverneur en peu de mots, vient d’esquisser.

Ali DRISS

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