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AIIB 2025 : la Tunisie en quête de financements chinois pour ses projets d’infrastructure et d’énergie

Des hommes d’affaires et des investisseurs chinois actifs notamment dans les secteurs des énergies alternatives, des mines, des industries pharmaceutiques et chimiques, des infrastructures et de l’eau ont exprimé leur volonté d’élargir leurs activités en Tunisie et de mieux connaître les opportunités d’investissement qu’elle offre.

Ce groupe d’investisseurs a été reçu, à la résidence de l’ambassadeur de Tunisie à Pékin, par le ministre de l’Economie et de la Planification, Samir Abdelhafidh, en marge de sa participation à la réunion annuelle de la Banque asiatique d’Investissement dans les infrastructures (AIIB), qui s’est tenue du 24 au 26 juin 2025, à Pékin, sous le thème : “La connectivité pour le développement, la coopération pour la prospérité”.

Cette rencontre a permis au ministre de donner un aperçu du climat et des opportunités d’investissement en Tunisie, mettant en exergue les atouts compétitifs du pays, notamment sa position géographique stratégique au sein de l’espace euro-méditerranéen et africain, ainsi que ses ressources humaines hautement qualifiées.

En marge de sa participation à ces réunions, le ministre s’est entretenu avec le vice-ministre des Finances chinois, Liao Min, avec lequel il a convenu de renforcer davantage la coopération tuniso-chinoise dans tous les domaines, notamment économique.

Il a également rencontré le président de la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures, Jin Liqun.

Les discussions ont porté sur les perspectives de renforcement de la coopération financière entre la banque et la Tunisie, ainsi que sur les moyens de tirer parti des mécanismes offerts par l’institution pour le financement de projets de développement, notamment dans des secteurs prioritaires comme les infrastructures, l’eau, le transport et les énergies renouvelables.

Les deux parties ont convenu, à cet effet, d’organiser prochainement une mission technique de la banque en Tunisie afin d’examiner de près les programmes et projets de développement prévus.

Par ailleurs, le ministre s’est entretenu avec le vice-président de l’Agence chinoise de coopération internationale pour le développement, Liu Junfeng, le vice-gouverneur de la Banque chinoise de développement, Wang Pen, ainsi qu’avec Yang Dongning, vice-présidente de la Banque de Chine d´export-import (China Eximbank).

Ces entretiens ont porté sur les moyens de renforcer la coopération et de tirer profit des mécanismes financiers et techniques disponibles au sein de ces institutions afin de soutenir les efforts de développement en Tunisie.

Concernant les rencontres avec le secteur privé, Abdelhafidh a rencontré plusieurs responsables de l’entreprise internationale, « Huawei », notamment son directeur général, Jean Sun.

La réunion a permis d’explorer les opportunités d’élargissement des investissements de l’entreprise en Tunisie.

Créée en 2016, la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (AIIB) compte aujourd’hui 110 pays membres.

Il s’agit d’une banque multilatérale de développement dont les activités sont principalement axées sur le financement de projets de développement, en particulier dans le domaine des infrastructures.

La Tunisie en est devenue officiellement membre en 2022.

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Impôt sur la Fortune Immobilière : déclaration obligatoire avant le 30 juin 2025 en Tunisie

Le ministère des Finances a appelé les contribuables assujettis à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) à régulariser leur situation avant le 30 juin 2025, sous peine de pénalités de retard et sanctions légales.

Dans un communiqué, le ministère précise que cet impôt concerne les personnes physiques dont le patrimoine immobilier atteignait au moins trois millions de dinars tunisiens au 1er janvier 2025, incluant les biens de leurs enfants mineurs à charge.

Les contribuables doivent impérativement déclarer leurs actifs immobiliers et s’acquitter des sommes dues auprès de la recette des finances de leur lieu de résidence principale avant cette échéance.

L’IFI, fixé à un taux de 0,5% de la valeur nette des propriétés, a été institué par l’article 23 de la loi de finances 2023. Le ministère souligne l’urgence pour les personnes éligibles de se conformer à cette obligation pour éviter toute poursuite.

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Prévisions Météo en Tunisie : Un Éclaircissement du Ciel et des Températures en Hausse

ChaleurTunis, le 27 juin – L’Institut National de la Météorologie (INM) annonce un temps globalement clair à peu nuageux pour la Tunisie ce vendredi 27 juin. Le vent, soufflant du secteur Nord au Centre et du secteur Est au Sud, sera modéré à localement fort sur les zones côtières, tandis qu’il restera faible à modéré dans le reste du pays.

La situation maritime sera contrastée : la mer sera peu agitée dans le golfe de Gabès, mais agitée à très agitée sur les autres côtes.

Côté températures, une hausse est attendue. Les maximales oscilleront entre 30 et 35 degrés Celsius sur les régions côtières. À l’intérieur des terres, le mercure grimpera entre 36 et 41 degrés, atteignant même les 43 degrés dans l’extrême Sud-Ouest.

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Irrigation et climat : 12 pays africains formés en Tunisie à l’IRA de Médenine

Les travaux de la session de formation sur la conception, l’exploitation et la maintenance des systèmes d’irrigation modernes pour l’adaptation au changement climatique dans l’agriculture africaine, ont été clôturés, jeudi, à l’Institut des Régions Arides (IRA) de Médenine.

Cette session qui a débutée le 16 juin courant, a réuni 13 cadres spécialisés représentant 12 pays africains.

Selon le directeur général de l’Agence Tunisienne de Coopération Technique (ATCT), Mohamed Blidi, cette formation visait à développer les compétences locales en matière de préservation et de valorisation optimale des ressources hydriques.

Il a ajouté qu’elle a permis d’aborder plusieurs thématiques scientifiques liées au développement et à la modernisation des techniques d’irrigation face aux changements climatiques, à la bonne gestion de l’eau, ainsi qu’à la présentation de l’expérience tunisienne dans ce domaine, dans l’objectif de la transférer et de la généraliser aux pays africains participants.

Cette session s’inscrit dans le cadre de la coopération Sud-Sud et du partenariat entre l’ATCT, l’Union Africaine de recherche et développement sur les céréales vivrières semi-arides (UA-SAFGRAD), le Fonds Arabe d’Assistance Technique aux Pays Africains (AFTAAC) et l’Institut des Régions Arides (IRA) de Médenine.

La journée de clôture a été marquée par la mise en place des bases d’un partenariat et d’une coopération durables, reposant sur le rôle central de l’Agence tunisienne de coopération technique dans la valorisation des expertises tunisiennes auprès des organisations continentales et internationales, en vue de partenariats efficaces et d’une ouverture mutuellement bénéfique, au service du développement économique et scientifique de la Tunisie et des pays africains concernés.

La cérémonie de clôture a été ponctuée par la remise de certificats aux participants, en présence du directeur général de l’Agence Tunisienne de Coopération Technique, Mohamed Blidi, du directeur général de l’Institut des Régions Arides de Médenine, Sghaier Najari, du coordinateur et représentant du Fonds arabe d’assistance technique aux pays africains, Ahmed Elmekass, et de la ministre plénipotentiaire représentant le Fonds, Chirine Abdel Mejid.

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Tunisie : 2ᵉ en Afrique du Nord dans l’Indice de transition énergétique 2025

La Tunisie a avancé de 27 places dans le dernier classement des performances de 118 pays dans le monde, en matière d’indicateurs de transition énergétique. Selon le dernier rapport “Energy Transition Index (ETI) 2025, le pays qui était en 2024, au 89ème rang mondial, s’est classé 62ᵉ en 2025 et 2ᵉ dans la région d’Afrique du nord et Moyen-orient.

Avec un score global de 54,6 points et un bon classement au niveau régional, la Tunisie a témoigné, ainsi, de ses avancées consolidées sur la voie de la transition énergétique, d’après ce rapport publié au mois de juin courant, par le Forum économique mondial (WEF).

Selon l’indice du WEF, qui fait l’évaluation des performances de 118 pays selon 43 indicateurs, reposant sur trois grands axes : la sécurité énergétique, la durabilité et l’équité d’accès à l’énergie, la Tunisie s’est distinguée surtout par son aptitude et la préparation de son système énergétique à aller de l’avant sur la voie du déploiement des énergies renouvelables et de la transition énergétique.

Il s’agit en premier lieu, de la sécurité, la durabilité et l’équité de son système énergétique, en dépit des besoins de renforcement de la gouvernance et de l’amélioration des aspects d’innovation et d’investissement.

Sur le plan régional, la Tunisie, avec son score de 54,6 points, s’est forgée une place de choix dans la région MENA, en étant la deuxième juste derrière l’Arabie Saoudite (60ᵉ avec 55,0 points) et avant les Emirats arabes Unis (UAE) (48ᵉ avec 58,4 points).

Par rapport à d’autres pays africains, la Tunisie se place derrière un leader continental, qui est le Nigeria (61ᵉ, score ~54,8), et devance des pays tels que la Namibie (64e rang mondial), Maurice (69e), le Maroc (70e), l’Égypte (74e), l’Afrique du Sud (79e), le Kenya (88e) et l’Algérie (89e). La Côte d’Ivoire, quant à elle, ferme le Top 10 africain en se positionnant au 90e rang mondial.

Dans le détail, le score de la Tunisie en termes de Performance du système (sécurité, durabilité, équité) est 59,7 alors qu’en termes de Préparation à la transition (gouvernance, infrastructure, innovation, investissements…), son score est à 46,9.

“Jusqu’à ce jour, la capacité d’énergie solaire installée en Tunisie est estimée à environ 700 MW (toutes énergies confondues, solaire, éolien, hydro…) et sera portée, d’ici la fin de 2025, à 1000MW”, a indiqué à l’agence TAP, Nefaâ Baccari, directeur de l’Energie solaire au sein de l’Agence Nationale de la maitrise de l’énergie (ANME).

Commentant l’Indice de Transition énergétique, Baccari a qualifié le classement de la Tunisie d’important” et d’attendu”, “compte tenu des efforts déployés depuis environ 9 ans pour réaliser la transition énergétique espérée”. Ces efforts ont porté, entre autres, d’après le responsable, sur la création et l’actualisation du cadre règlementaire et la simplification des procédures.

“Nous allons récolter, enfin, les fruits de ces efforts et ressentir l’impact des actions entreprises, d’année en année, jusqu’à la concrétisation des objectifs de transition énergétique”, s’est-il félicité, ajoutant que la finalité est de soutenir “tout effort visant à atteindre les objectifs de transition énergétique à l’horizon 2035 et ceux de la neutralité carbone en 2050”.

Il y a lieu de rappeler que l’indice de transition énergétique prend également en compte la capacité des pays à opérer leur transition énergétique, en s’appuyant sur des critères comme le cadre réglementaire, les investissements, l’innovation, les infrastructures, ainsi que le capital humain.

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Budget : La clôture des budgets est aussi importante que leur discussion

BUDGETLa commission parlementaire des finances et du budget vient de créer l’évènement. Elle a refusé d’entériner, comme cela a été le cas depuis l’accès du pays à l’indépendance, le projet de loi relatif à la clôture du budget de l’Etat 2022. La clôture du budget étant l’ultime étape du processus de gestion du budget annuel de l’Etat. Cette étape, qui intervient après trois autres étapes (élaboration par l’exécutif, adoption par le Parlement et exécution par le gouvernement), est une sorte d’évaluation du budget.

C’est la plus importante étape en ce sens où elle vérifie si les objectifs budgétaires fixés  ont été atteints ou non. En plus clair encore, elle contrôle si les prévisions du budget correspondent ou non aux dépenses programmées et exécutées.

Les vertus de la clôture du budget

Perçue dans ce sens, logiquement, la clôture du budget devrait faire l’objet d’un débat parlementaire aussi important que le marathon budgétaire traditionnel des mois de novembre et décembre de chaque année. Il s’agit d’en analyser le contenu et d’y détecter les injustices et les abus. L’objectif est de faire pression sur les gouvernants pour les amener à rendre compte aux populations et contribuer à plus d’équité dans la répartition et la mise à exécution des budgets.

“La clôture du budget devrait faire l’objet d’un débat parlementaire aussi important que le marathon budgétaire traditionnel.”

 

Elle permet aux responsables de l’exécutif de s’expliquer, en public, sur la manière dont l’argent public a été utilisé et surtout s’il a été dépensé pour atteindre l’objectif pour lequel il a été programmé.

Du temps des régimes autoritaires de Bourguiba, de Ben Ali et des islamistes (troïka), cette étape était délibérément occultée, voire passée sous silence. Elle ne faisait l’objet d’aucun débat parlementaire. Seule un dépêche insipide de quatre lignes diffusée par l’Agence officielle Tunis Afrique presse (TAP) informait généralement l’opinion publique que le budget de l’Etat a été clôturé.

Du temps des dictatures, la clôture du Budget était un secret d’Etat

Même les médias, à défaut de moyens d’investigation et de maîtrise de l’outil budgétaire, n’ont jamais accordé de l’intérêt à cette étape qui est souvent accompagnée par un rapport d’évaluation du budget élaboré par une des meilleures institutions de contrôle de l’Etat, la Cour des Comptes. Ce rapport, truffé d’informations exclusives sur les dépassements et les abus des hauts cadres de l’Etat en charge de l’exécution du budget (ministres, secrétaires d’Etat, directeurs généraux, premiers responsables d’offices et d’établissements publics, gouverneurs ….), est généralement classé, de fait, comme un «secret d’Etat ».

“Le rapport de la Cour des Comptes, truffé d’informations exclusives, est généralement classé comme un « secret d’État ».”

 

Conséquence : en l’absence de véritable contrepouvoir pouvant leur demander des comptes et forts de l’impunité que leur conféraient les régimes clientélistes d’antan, ces hauts cadres manageaient le budget selon leur humeur, intérêt et alliances avec les lobbys. Il le gérait comme un butin à partager entre les proches et clients du régime.

Même les consultations locales, régionales et sectorielles organisées à la veille de l’adoption du budget ce ne sont que des mises en scène de mauvaise facture. Le dernier mot revient toujours à ces hauts cadres  dont les plus influents et les plus pernicieux nichent au ministère des finances et au premier ministère.

Les dégâts sont énormes  

Résultat : d’importants pans de la société, particulièrement, dans les zones enclavées sont privés d’équipements collectifs. De grands projets structurants sont suspendus ou bloqués. Les domaines de l’Etat sont pillés en toute impunité…

Et même le degré minimal de développement réalisé jusque là, il n’était pas pérenne. Il permettait juste à la population de survivre. Dans les régions, les gouverneurs s’ingénient à faire profiter les chefs lieux des gouvernorats de l’essentiel du budget et à en exclure les délégations et localités.

C’est pour toutes ces raisons, nous pensons que le rejet provisoire du projet de loi portant clôture du budget 2022, constitue non seulement une première mais également un tournant dans la gestion du budget.

“Le rejet provisoire du projet de loi portant clôture du budget 2022 constitue non seulement une première mais également un tournant.”

 

Il intervient dans le sillage de la réforme de la Constitution de 2022 et surtout de la création du Conseil national des régions et des districts (CNRD). Et pour cause. Selon la loi qui régit cette chambre haute, une des missions principales du CNRD consiste, justement, à veiller à la transparence de l’exécution du budget de l’Etat et à sa répartition équitable entre les localités et les tunisiens partout où ils se trouvent.

Néanmoins, cette noble mission impartie au CNRD n’est pas suffisante. Elle gagnerait à être renforcée par une autre ambition nationale: la diffusion, à grande échelle « d’une culture du résultat » chez les gestionnaires publics et par l’amélioration de la reddition des comptes.  L’ultime but étant de conférer aux interventions des structures publiques l’efficacité requise dans le respect de la loi, l’intégrité et la transparence. A bon entendeur.

Abou SARRA

EN BREF

  • La commission parlementaire des finances a refusé la clôture du budget 2022, une première historique.
  • Cette étape, souvent ignorée, permet d’évaluer l’atteinte des objectifs budgétaires et l’utilisation des fonds publics.
  • Sous les anciens régimes, la clôture budgétaire et le rapport de la Cour des Comptes restaient confidentiels, favorisant abus et opacité.
  • Ce rejet inédit s’inscrit dans la réforme constitutionnelle de 2022 et la création du Conseil national des régions et des districts.
  • Il vise à instaurer plus de transparence et d’équité dans la gestion budgétaire.

 

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L’excellence tunisienne en marche : l’équipe nationale de Kendo en route vers le Japon

Après un podium européen, la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA) accompagne les préparatifs de l’équipe nationale tunisienne de Kendo pour une immersion exceptionnelle au Japon, entre entraînements de haut niveau et compétition internationale.

Quelques semaines après avoir brillé lors du Championnat d’Europe de Kendo, l’équipe nationale tunisienne se prépare à franchir une nouvelle étape historique : un déplacement au Japon, berceau de leur discipline. Ce voyage, prévu dans les prochaines semaines, s’inscrit dans un programme de perfectionnement sportif intensif, fruit d’un partenariat entre la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA), Microcred Tunisie et l’équipe Tunisienne de Kendo.

Les jeunes athlètes tunisiens auront l’opportunité de s’entraîner au sein de dojos prestigieux au Japon, aux côtés de maîtres reconnus mondialement. Ces séances d’entraînement viseront à renforcer leur technique, affiner leur sens du combat, et s’imprégner de l’esprit profond du Kendo japonais, fondé sur le respect, la rigueur et la maîtrise de soi.

Le séjour comprendra également la participation à une grande compétition internationale, rassemblant les meilleures sélections venues d’Asie, d’Europe et d’Amérique. Une expérience unique, aussi bien sur le plan sportif que culturel, pour cette équipe qui n’a cessé de progresser ces dernières années.

« Accompagner ces jeunes vers le Japon, c’est leur offrir une passerelle vers l’excellence, mais aussi les encourager à rêver grand pour la Tunisie.» – Fondation Abdelwaheb Ben Ayed

Ce projet s’inscrit dans une vision partagée par FABA et Microcred : faire émerger une jeunesse tunisienne engagée, compétente et inspirante, capable de porter haut les valeurs du pays sur la scène mondiale.

Alors que les derniers préparatifs battent leur plein – visas, planification logistique, préparation physique et mentale -, l’enthousiasme est palpable chez les athlètes comme chez les encadrants. Tous s’apprêtent à vivre une aventure sportive et humaine inoubliable.

Suivez les temps forts de leur départ et de leur séjour au Japon sur :

  • fondation-faba.tn
  • Instagram / Facebook : @faba

 

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Orange Tunisie poursuit son engagement aux côtés de la génération Z avec le Challenge PFE 2025

Suite au succès de sa première édition, Orange Tunisie a relancé cette année le Challenge PFE (Projet de Fin d’Études), un concours visant à encourager la créativité et l’innovation des jeunes étudiants de la génération Z. Cette initiative reflète l’engagement constant de l’opérateur à soutenir et valoriser les compétences des jeunes talents tunisiens.

Le Challenge PFE a débuté fin 2024 avec la publication du PFE Book, un recueil de projets innovants partagé sur LinkedIn et diffusé auprès des universités partenaires. Parmi les 2538 candidatures reçues, 120 stagiaires ont été sélectionnés pour leur potentiel et leur créativité. Dès leur arrivée, ils ont bénéficié de sessions d’intégration « Welcome Day » pour découvrir la culture et les valeurs d’Orange Tunisie.

En avril 2025, les étudiants ont participé à un bootcamp dédié aux soft skills, abordant des thématiques clés telles que la prise de parole en public, la préparation du pitch, la communication interpersonnelle et la simulation d’entretiens de recrutement.

Après une phase de présélection, 26 stagiaires ont présenté leurs projets devant plusieurs comités d’experts, qui ont retenu les huit plus prometteurs.

Lors de la cérémonie de clôture, ces finalistes ont eu l’opportunité de défendre leurs idées devant le Directeur Général, des membres du COMEX, des experts, des collaborateurs d’Orange Tunisie et leurs collègues stagiaires. Cet événement a permis de mettre à l’honneur l’ensemble des participants et de récompenser les trois lauréats qui se sont distingués par l’originalité et la qualité de leurs projets.

Habib Latrech, Directeur des Ressources Humaines d’Orange Tunisie, a déclaré : « Avec cette deuxième édition du Challenge PFE, nous avons eu l’opportunité de célébrer la créativité et l’innovation de nos jeunes talents tout en réaffirmant notre engagement en tant qu’entreprise humaine et responsable, tournée vers l’avenir et au service de la génération Z. Nous sommes fiers de leur avoir offert des opportunités concrètes de développement et d’épanouissement professionnels. »

Rendez-vous pris pour la 3ème édition !

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Siliana : 47% de la récolte céréalière achevée avec 790 000 quintaux collectés

Le taux d’avancement de la récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana a atteint 47%, après la collecte de 790 mille quintaux.

Le chef du service des grandes cultures au commissariat régional au développement agricole, Mohamed Taher Azzouz a indiqué, jeudi, à l’Agence TAP, que les quantités de céréales collectés s’élèvent jusqu’à présent à 511 mille quintaux d’orge, 52 mille quintaux de blé tendre et 227 mille quintaux de blé dur.

Il a ajouté que certains centres de collecte ont connu un volume de stockage dépassant leur capacité, soulignant que 160 mille quintaux de céréales sont déjà stockés dans les silos de l’Office des céréales dans la région.

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Tunisie : coopération entre Culture et Protection civile pour préserver les trésors patrimoniaux

Dans le cadre du renforcement des efforts du ministère des affaires culturelles pour la protection et la préservation du patrimoine national, et dans le but de mieux se préparer face aux risques menaçant les biens culturels, une deuxième session de formation consacrée à l’élaboration d’un Plan de Sauvegarde des Biens Culturels (PSBC) s’est tenue au musée de Carthage, du 17 au 20 juin 2025, en collaboration avec l’Office national de la protection civile et avec la participation de plusieurs experts du domaine.

Cette session, informe le ministère des affaires culturelles sur sa page officielle, a permis de se familiariser avec les principes de gestion des risques dans les institutions culturelles, en particulier dans les réserves et les espaces d’exposition des musées. Les participants ont pu approfondir leur compréhension du cadre juridique, tant national qu’international, de la protection du patrimoine en situation d’urgence, et développer une méthodologie adaptée pour sa sauvegarde, notamment à travers les techniques d’évacuation et d’intervention en cas de catastrophe.

Les différents types de menaces pesant sur les biens culturels ont été analysés (séismes, incendies, inondations, actes de vandalisme ou de vol…), et un plan précis d’inventaire des biens culturels nationaux classés et exposés au risque a été établi, outre l’organisation des procédures opérationnelles nécessaires à leur sauvegarde.

L’objectif de cette formation est de renforcer la coopération entre les structures culturelles et les unités de la protection civile, ainsi que de consolider les compétences des spécialistes du patrimoine, en leur fournissant les outils et méthodes pratiques nécessaires à l’élaboration, pour la première fois en Tunisie, d’un plan opérationnel global et rigoureux pour la protection des biens culturels conservés dans les réserves et les ateliers de restauration, dans le cadre des travaux de rénovation du musée de Carthage. Ces plans seront également intégrés aux systèmes de sécurité et de prévention propres aux futurs espaces d’exposition et de stockage du musée, ajoute la même source.

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HIDE Tunis : un nouvel institut d’ingénierie numérique en anglais ouvre ses portes

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mondher Belaïd, a affirmé, mercredi, lors de l’inauguration officielle du siège de l’Institut Supérieur d’Ingénierie Numérique de Tunis (Higher Institute of Digital Engineering of Tunis, HIDE), le soutien total de son ministère à cette nouvelle institution universitaire.

Selon un communiqué du département, Belaïd a assuré que tous les moyens seront mobilisés pour garantir le succès et le rayonnement de cet établissement d’enseignement supérieur.

À cette occasion, le ministre a salué l’effort de toutes les parties ayant contribué à la création de cet institut, qu’il considère comme un pilier essentiel de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans le pays.

Créé par décret en date du 8 juillet 2024, l’Institut Supérieur d’Ingénierie Numérique, rattaché à l’Université de Tunis, a pour vocation d’assurer un enseignement en ingénierie informatique exclusivement en langue anglaise.

En 2024-2025, l’établissement a accueilli 60 étudiants inscrits dans un cycle préparatoire intégré en ingénierie.

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Tunisie : le montant de la Zakât al-Maal 1447 fixé à 27 002 dinars

Le montant de la “Zakât al-Maal” pour l’année 1447 de l’hégire est fixé à 27002 dinars et 976 millimes, a annoncé mardi le Mufti de la République, Cheikh Hichem Ben Mahmoud. La “Zakât al-Maal” ou l’aumône obligatoire est versée, annuellement, en vertu des règles de solidarité de l’Islam.

Elle est versée sur la valeur des biens ayant atteint ou dépassé le “Nissab” selon un taux de 2,5 pour cent.

Le “Nissab de la Zakat al-Maal” désigne la fortune minimale au-delà de laquelle l’acquittement de l’aumône sur la fortune devient obligatoire.

Elle doit être versée aux personnes nécessiteuses ou celles qui sont lourdement endettées, tel que stipulé dans le Coran (verset 60 de la sourate al-Tawba), lit-on dans un communiqué du cabinet du Mufti (Diwan al-Ifta). Sa vocation est de favoriser le partage et la solidarité avec les plus démunis.

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Tunisie–UNICEF : élargissement des écoles de la deuxième chance et lutte contre le décrochage scolaire

Le ministre de l’éducation, Noureddine Nouri, a réaffirmé, mercredi, l’engagement de son département à renforcer davantage la coopération avec le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), notamment dans les domaines liés à l’amélioration des infrastructures éducatives.

Lors d’un entretien tenu au siège du ministère avec une délégation du Conseil d’administration de l’UNICEF, conduite par son président, Jonibek Ismoil Hikmat, représentant permanent du Tadjikistan auprès des Nations Unies, l’accent a été mis sur la solidité du partenariat entre la Tunisie et l’UNICEF et sur les efforts conjoints déployés pour le développement des capacités, l’échange d’expertise et l’amélioration des conditions de vie scolaire.

Selon un communiqué du ministère de l’éducation, les discussions ont également porté sur les actions concrètes engagées, telles que le soutien au transport scolaire, l’amélioration de l’accessibilité pour les élèves en situation de handicap et les programmes de lutte contre le décrochage scolaire.

A cette occasion, il a été convenu d’élargir le réseau des écoles de la deuxième chance à travers les différentes régions du pays.

Les membres de la délégation de l’UNICEF ont, de leur côté, exprimé leur satisfaction quant aux efforts réalisés à l’échelle nationale et aux résultats obtenus. Ils ont souligné leur volonté de poursuivre l’appui apporté à la Tunisie afin de promouvoir les meilleures pratiques éducatives et garantir un environnement d’apprentissage sain, équitable et motivant pour tous les enfants.

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Tunisie : lancement du projet TEC-EAU pour renforcer l’offre en eau par des technologies innovantes

Un nouveau projet de développement intitulé « TEC-EAU » visant à renforcer l’offre en eau en Tunisie à travers l’utilisation de technologies innovantes vient d’être lancé par le ministère de l’Agriculture, des ressources hydrauliques et de la pêche et l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

Ce projet qui s’inscrit dans un contexte de rareté et de pression croissante sur les ressources en eau ambitionne d’évaluer la faisabilité de quatre solutions technologiques, a indiqué la FAO dans un communiqué publié, jeudi.

En effet les solutions en question permettront d’optimiser la mobilisation de l’eau et de diminuer l’évaporation dans les bassins d’eau, incluant petits et grands barrages.

Il prévoit d’identifier et de tester l’application de films monomoléculaires sur les barrages, de piloter des panneaux photovoltaïques flottants sur les retenues, outre l’exploration des opportunités d’ensemencement des nuages et l’augmentation de la recharge des nappes grâce à la technique des barrages souterrains dans le contexte tunisien.

Ces actions s’inscrivent dans une démarche visant à renforcer l’offre en eau et à favoriser la production d’énergie renouvelable en Tunisie, tout en tenant compte des spécificités locales telles que les ressources disponibles, le climat et les capacités techniques.

Le Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Agriculture, Hamadi Habaieb a mis en exergue l’importance des partenariats institutionnels et la relation entre science et recherche qui constituent un levier essentiel pour accompagner la Tunisie dans sa transition vers une gestion durable et résiliente de ses ressources hydriques, a rapporté la même source.

De son côté, le représentant de la FAO en Tunisie, Mohamed Amrani a réaffirmé l’engagement de l’organisation pour soutenir les initiatives innovantes en faveur de toutes les parties prenantes notamment aux agriculteurs, à travers des expériences de recherche pilotes qui serviraient de modèle à d’autres pays.

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Gafsa : la production de tomates de transformation atteint 63 000 tonnes en 2025

Dans le gouvernorat de Gafsa, la production des tomates de transformation est estimée cette saison à 63 000 tonnes contre 50 000 tonnes l’année dernière.

Cette hausse de la production s’explique notamment par l’extension des superficies cultivées, a indiqué à l’Agence TAP, le chef de service de la production végétale au commissariat régional au développement agricole (CRDA) de Gafsa, Kais Chelbi.

En effet, la culture de la tomate destinée à la transformation s’étend cette année dans la région sur une superficie totale de 630 hectares dont 90% (550 hectares) se trouvent dans les délégations de Sidi Aïch et Gafsa. Le reste est réparti entre les délégations de Sened, Zanouch, Belkhir et Gafsa Sud.

D’après la même source la récolte de cette année ne souffre d’aucune maladie et se distingue par une bonne qualité, ajoutant que le rendement moyen a atteint 100 tonnes par hectare.

Malgré la performance de la production, le secteur fait face à plusieurs défis dans la région. Parmi eux, le manque de structuration des agriculteurs en groupements ou organisations professionnelles, la cherté des intrants et du matériel agricole, la faiblesse des prix de vente à la production, des problèmes logistiques liés au transport et à la commercialisation du produit, en particulier en dehors du circuit des entreprises contractuelles, a fait remarquer la même source.

Les opérations de cueillette des tomates ont débuté au mois de juin et se poursuivent jusqu’à la fin du mois de juillet. Près de 90 % de la production sera destinée à la transformation industrielle, tandis que le reste servira à la consommation directe et au séchage.

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Droits d’auteur en Tunisie : focus sur les enjeux du cinéma, de l’audiovisuel et de la protection des œuvres

La Direction générale des arts scéniques et audiovisuels a organisé hier mercredi, en partenariat avec l’Organisme tunisien des droits d’auteur et des droits voisins (OTDAV) et le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), une journée d’étude consacrée aux droits d’auteur et aux droits voisins dans le secteur cinématographique et audiovisuel.

Cette rencontre qui s’est déroulée dans la salle Omar Khlifi à la Cité de la Culture Chedly Klibi-Tunis, fa été marquée par la participation du Syndicat indépendant des réalisateurs-producteurs (SIRP), ainsi que de représentants de la Direction Générale des Etudes et de la Législation Fiscales (DGELF) du ministère des Finances, de la Télévision tunisienne, du ministère des Technologies de la communication, en plus de producteurs, réalisateurs, experts, programmateurs, artistes et techniciens.

La rencontre a démarré, selon un selon un communiqué du ministère, avec un exposé sur les principes fondamentaux de la propriété littéraire et artistique. Plusieurs points ont été abordés, notamment la notion d’auteur (c’est-à-dire le créateur de l’œuvre originale), les conditions d’adhésion à l’OTDAV, ainsi que les principales conventions internationales ratifiées par la Tunisie, telles que la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques du 9 septembre 1886, la Convention universelle sur le droit d’auteur (UNESCO, 1952), ainsi que la loi n° 94-36 du 24 février 1994, relative à la propriété littéraire et artistique, telle que modifiée et complétée par la loi n° 2009-33 du 23 Juin 2009.

Le second axe a porté sur les enjeux de la production et de l’exploitation des œuvres audiovisuelles et cinématographiques, notamment les contrats de production, le rôle de l’OTDAV, sa mission de gestion collective, de collecte des revenus issus de la diffusion des œuvres, que ce soit en salle ou sur les plateformes. Le débat a également porté sur le cadre fiscal applicable au secteur, ainsi que sur le Fonds de soutien à la couverture sociale des artistes, financé par une taxe prélevée sur la vente des billets lors des événements culturels.

Concernant l’exploitation des œuvres audiovisuelles et cinématographiques, que ce soit à l’écran ou en salle, les intervenants ont expliqué le rapport entre distributeurs, producteurs, salles de cinéma, plateformes comme YouTube ou IPTV, ainsi que les diffuseurs publics et privés. Ils ont également évoqué les formes d’exploitation illégale, notamment le piratage, le plagiat et les modifications non autorisées des œuvres.

La troisième partie de la rencontre a été consacrée aux modèles de contrats dans le domaine audiovisuel et cinématographique, avec une analyse comparative des pratiques contractuelles en vigueur en France, au Royaume-Uni et au Canada. Il a également été question de la cession des droits, c’est-à-dire le transfert ou la vente des droits liés aux œuvres audiovisuelles (programmes télévisés, radiophoniques ou cinématographiques) d’un auteur ou d’un organisme à un autre.

Les recommandations formulées au terme de la rencontre portent sur l’importance de poursuivre cette initiative afin de couvrir les autres disciplines artistiques, d’organiser des ateliers spécialisés pour la rédaction de contrats relatifs aux œuvres audiovisuelles et cinématographiques et de mettre en place un mécanisme d’enregistrement des contrats. L’accent est mis également sur l’encouragement des artistes à adhérer à l’OTDAV, l’examen des enjeux liés à l’intelligence artificielle et l’élaboration des textes réglementaires pour améliorer la couverture sociale des artistes.

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Mondial des Clubs 2025 : Le Programme Complet des Phases Finales Dévoilé

Coupe du monde des clubs 2025Paris, le 26 juin 2025 – Le coup d’envoi des phases finales du Mondial des clubs aux États-Unis est imminent ! La compétition, qui se déroule dans un format inédit avec 32 équipes, entre dans sa phase la plus excitante. Alors que le tournoi s’apprête à couronner son champion le 13 juillet au MetLife Stadium de New York, le programme des huitièmes, quarts et demi-finales est désormais connu.

Les 32 clubs participants étaient répartis en huit groupes de quatre, et seuls les deux premiers de chaque groupe ont décroché leur billet pour cette étape cruciale. Préparez-vous à des affrontements de haut vol !

Huitièmes de Finale : Les Premiers Chocs (Heure de Tunis)

Le bal des huitièmes de finale débutera dès le 28 juin. Voici les affiches déjà confirmées, avec des duels qui promettent d’être électriques :

  • Vendredi 28 juin, 17h00 : Palmeiras – Botafogo à Philadelphie (Match 49)
  • Vendredi 28 juin, 21h00 : Benfica – Chelsea à Charlotte (Match 50)
  • Samedi 29 juin, 17h00 : Paris SG – Inter Miami à Atlanta (Match 51)
  • Samedi 29 juin, 21h00 : Flamengo – Bayern à Miami (Match 52)

D’autres rencontres suivront avec les vainqueurs des groupes encore à déterminer :

  • Dimanche 30 juin, 20h00 : 1er groupe E – Fluminense à Charlotte (Match 53)
  • Lundi 1er juillet, 02h00 : 1er groupe G – 2e groupe H à Orlando (Match 54)
  • Lundi 1er juillet, 20h00 : 1er groupe H – 2e groupe G à Miami (Match 55)
  • Mardi 2 juillet, 02h00 : Borussia Dortmund – 2e groupe E à Atlanta (Match 56)

Quarts de Finale : La Course au Dernier Carré

Les équipes victorieuses des huitièmes se retrouveront pour les quarts de finale les 4 et 5 juillet :

  • Jeudi 4 juillet, 20h00 : Vainqueur Match 53 – Vainqueur Match 54 à Orlando (Match 57)
  • Vendredi 5 juillet, 02h00 : Vainqueur Match 49 – Vainqueur Match 50 à Philadelphie (Match 58)
  • Vendredi 5 juillet, 17h00 : Vainqueur Match 51 – Vainqueur Match 52 à Atlanta (Match 59)
  • Vendredi 5 juillet, 21h00 : Vainqueur Match 55 – Vainqueur Match 56 dans le Grand New York (Match 60)

Demi-finales et Grande Finale : Vers la Consécration

Les demi-finales se tiendront les 8 et 9 juillet, toutes deux dans le Grand New York, promettant des affrontements épiques pour une place en finale :

  • Lundi 8 juillet, 20h00 : Vainqueur Match 57 – Vainqueur Match 58
  • Mardi 9 juillet, 20h00 : Vainqueur Match 59 – Vainqueur Match 60

Le point culminant de ce Mondial des Clubs nouvelle formule aura lieu le 13 juillet à 20h00 (heure de Tunis), avec la grande Finale au mythique MetLife Stadium, dans le Grand New York. Qui succédera aux précédents champions dans ce tournoi élargi ? La réponse dans quelques semaines !

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Quel temps fera-t-il en Tunisie ce jeudi 26 juin : un avant-goût de canicule ?

TempératureTunis, le 26 juin – L’Institut National de la Météorologie (INM) prévoit un temps majoritairement ensoleillé pour ce jeudi sur l’ensemble de la Tunisie. Le ciel sera dégagé à peu nuageux, offrant une journée propice aux activités de plein air.

Côté vent, il soufflera initialement du secteur sud avant de basculer vers l’est. Sa force sera généralement faible à modérée, mais une légère intensification est attendue près des côtes nord et localement dans le sud du pays. Cette brise contribuera à modérer la perception de la chaleur, notamment sur le littoral. La mer, quant à elle, sera peu agitée sur la majorité des côtes, devenant localement agitée dans les régions du nord.

Les températures maximales s’annoncent estivales, comme il est de coutume en cette période. Elles oscilleront entre 33 et 37 degrés Celsius le long des côtes et sur les zones en altitude. Pour le reste du pays, le mercure grimpera pour atteindre des valeurs comprises entre 38 et 42 degrés Celsius. Une attention particulière est requise pour l’extrême sud, où les températures pourraient s’envoler jusqu’à 44 degrés Celsius, accompagnées localement de coups de sirocco, un vent chaud et sec qui peut rendre l’atmosphère particulièrement étouffante. Il est recommandé de prendre les précautions nécessaires face à ces fortes chaleurs.

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BTP et développement : l’UTICA propose des solutions à la BAD pour optimiser les projets financés

Une séance de travail s’est tenue mercredi, au siège de l’UTICA, entre le président de la Fédération Nationale des Entrepreneurs de Bâtiments et Travaux publics, Jamel Ksibi, accompagné de responsables de l’organisation patronale, et une délégation d’experts de la Banque Africaine de Développement (BAD), afin d’étudier les propositions de l’Union sur les programmes et projets de la Banque en Tunisie, notamment en rapport avec l’avancement de la mise en œuvre des réformes et de la stratégie de sélection des projets.

D’après l’UTICA, cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une mission d’évaluation menée, en Tunisie, durant la période du 23 au 27 juin 2025, par des représentants de l’unité Evaluation indépendante du développement (IDEV), relevant de la BAD.

L’objectif est d’évaluer la contribution de la septième augmentation générale du capital (AGC-VII), laquelle a été approuvée en octobre 2019 pour soutenir le portefeuille de projets dans les pays membres, ainsi que d’évaluer la stratégie sélective des projets financés, lancée par la BAD, depuis 2021.

Les représentants de l’UTICA ont présenté, à cette occasion, leur vision sur le niveau d’avancement de réalisation des projets financés, en partie, par la BAD. Ils ont évoqué, en outre, les difficultés rencontrées sur le terrain, et ont présenté une série de propositions pratiques visant à assurer l’efficience des interventions de la Banque et à garantir que ces dernières soient adaptées aux priorités de l’économie nationale.

Il convient de noter que l’IDEV est une unité indépendante et impartiale qui œuvre à améliorer l’efficacité des activités de développement de la BAD.

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