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Ligue Europa : Les résultats complets de la 4e journée

La 4ᵉ journée de la Ligue Europa, disputée jeudi, a offert son lot de confirmations et de rebondissements. Plusieurs clubs européens de renom ont connu des fortunes diverses, entre victoires éclatantes, nuls stratégiques et revers inattendus.

Les clubs grecs et espagnols en réussite
Le PAOK Salonique s’est illustré par une large victoire face aux Young Boys de Berne (4-0), tandis que le Panathinaïkos s’est imposé à l’extérieur contre Malmö (1-0). En Espagne, le Bétis Séville a pris le dessus sur Lyon (2-0), confirmant sa bonne dynamique européenne, alors que le Celta Vigo a dominé le Dinamo Zagreb (3-0).

Lyon et Nice en difficulté
Les clubs français ont vécu une soirée contrastée. Lyon a concédé une défaite nette face au Bétis (2-0) et Lille s’est incliné sur la pelouse de l’Étoile rouge de Belgrade (1-0). Nice, de son côté, n’a pas résisté à Fribourg (1-3), tandis que le FC Utrecht a tenu Porto en échec (1-1).

Succès italiens et performances solides
L’AS Rome a maîtrisé son déplacement en Écosse, battant les Glasgow Rangers (0-2). Le FC Bologne a été tenu en échec par Brann Bergen (0-0), tout comme le Viktoria Plzen face à Fenerbahçe (0-0) et Sturm Graz contre Nottingham Forest (0-0).

Les clubs du Nord s’imposent
Le FC Bâle a battu le FCSB (3-1), et Midtjylland a pris le dessus sur le Celtic Glasgow (3-1). Le RB Salzbourg s’est imposé contre Go Ahead Eagles (2-0), alors que Stuttgart a dominé Feyenoord (2-0) et Genk a remporté un match spectaculaire à Braga (3-4).

🏆 Chiffres clés

4-0 — Victoire la plus large : PAOK Salonique contre Young Boys.

3-4 — Score le plus prolifique : Braga – Genk.

3 — Clubs français battus sur quatre engagés.

6 — Matchs terminés sur un nul.

1 — Victoire portugaise seulement (Porto tenu en échec).

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🚨 Transparence fiscale : la Tunisie avance… ou recule ?

Caisse Enregistreuse
Caisse Enregistreuse

Souvent perçue comme un simple outil de transaction, la caisse enregistreuse incarne bien plus qu’un terminal de paiement. Elle structure le quotidien des commerçants, sécurise les flux financiers, facilite la gestion des stocks et garantit la transparence vis-à-vis des clients comme des autorités fiscales. Dans un contexte où la traçabilité, la rapidité et la fiabilité sont devenues des exigences incontournables, elle joue un rôle stratégique dans la fluidité des opérations et la crédibilité de l’établissement.

Qu’il s’agisse d’un petit commerce de quartier ou d’une grande enseigne, la caisse enregistreuse est le point de convergence entre gestion, relation client et conformité réglementaire.

Depuis des années, la traçabilité des opérations commerciales est au cœur des préoccupations fiscales en Tunisie. Et pour cause, non seulement la contrebande et ses acteurs animent des pans non négligeables de l’économie nationale mais aussi dans les secteurs de la consommation sur place — cafés, restaurants, bars, gargotiers — la fraude est facilitée par l’absence de facturation systématique.

Les clients, souvent des particuliers, n’exigent pas de facture, ce qui permet à certains établissements d’émettre des centaines de tickets sans les enregistrer en comptabilité.

Résultat : des recettes réelles largement sous-déclarées.

« Plus qu’un terminal de paiement, la caisse enregistreuse structure le quotidien des commerçants, sécurise les flux financiers et renforce la transparence fiscale. »

Une réforme attendue… et retardée

Face à ce constat, une loi a été adoptée en 2016, du temps de feu Slim Chaker, pour imposer l’usage de caisses enregistreuses dans toutes les activités de consommation sur place. Mais il a fallu attendre 2019 pour que le décret d’application voie le jour. Ce décret précise les obligations des deux parties : l’administration fiscale et les entreprises concernées. Il définit aussi les caractéristiques techniques des caisses, qui doivent être connectées à une plateforme du ministère des Finances, garantissant l’enregistrement simultané des opérations.

Les données saisies ne peuvent être modifiées ou annulées, et toute réparation ou changement doit être signalé à l’administration. En cas de panne, la durée de réparation ne doit pas excéder trois jours. Des sanctions sont prévues pour les contrevenants.

 Un calendrier progressif

L’arrêté fixant les dates d’entrée en vigueur publié le 14 octobre 2025 instaure l’obligation d’équiper les établissements de consommation sur place de caisses enregistreuses. Cette mesure sera mise en œuvre de manière progressive :

  • dès le 1er novembre 2025, elle concerne les restaurants touristiques, les salons de thé ainsi que les cafés classés en deuxième et troisième catégorie ;
  • Entre le 1er juillet 2026 et 2028, l’obligation s’étendra ensuite aux autres catégories d’établissements, avec une généralisation prévue d’ici 2028. Extension s’étendra aux autres établissements, jusqu’aux plus petits gargotiers.

Personne n’échappera à cette obligation. Le temps d’adaptation a été accordé, mais l’objectif est clair : mettre fin à l’opacité fiscale dans un secteur lucratif où l’État ne perçoit qu’une fraction des recettes réelles.

« Dans les cafés et restaurants, l’absence de facturation systématique permet encore d’émettre des centaines de tickets non déclarés. »

Une incohérence législative ?

Mais alors que cette réforme avance, une autre mesure phare est sur le point d’être supprimée : l’article 45, qui interdit les paiements en espèces au-delà de 5 000 dinars, notamment dans les transactions immobilières. Cet article impose la mention des références de paiement (chèque, virement, etc.) dans les actes de cession, garantissant une traçabilité essentielle.

Supprimer cet article serait un recul grave. Il a été contesté à ses débuts, mais il est désormais intégré aux pratiques courantes. Promoteurs et particuliers s’y sont habitués.

Pourquoi revenir en arrière ? Pour relancer une activité bloquée ? Cela reviendrait à légaliser l’illicite sous prétexte de crise économique. Qui en a eu l’idée et pourquoi l’avoir proposé ? Dans quel intérêt ? Et quels risques que la Tunisie, après l’abrogation de l’article en question soit de nouveau intégrée sur la liste grise du GAFI ?

« Revenir sur la limite des paiements en espèces affaiblirait la traçabilité et profiterait à ceux qui opèrent hors du cadre légal. »

Un signal dangereux

Dans un pays qui prétend défendre la transparence, lutter contre la corruption et garantir l’équité, la suppression de l’article 45 enverrait un signal contradictoire. Ce sont ceux qui disposent de liquidités non déclarées qui en profiteraient. Une telle proposition ne devrait même pas être envisagée.

Cette mesure ne relève pas d’un simple impératif fiscal : elle répond à une exigence internationale cruciale. En effet, la Tunisie court le risque d’être réintégrée sur la liste grise du GAFI, un groupe de juridictions sous surveillance renforcée pour leurs lacunes dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

Une telle réintégration, bien qu’exempte de sanctions directes, pourrait gravement affecter la réputation du pays, freiner les investissements, et inciter les institutions financières à redoubler de prudence dans leurs opérations. La traçabilité des transactions, notamment en espèces, devient ainsi un enjeu de souveraineté économique et de crédibilité internationale.

La grande question est qui dessine les politiques économiques de la Tunisie et comment ?

Une question qui mérite réponse, le peuple a le droit de savoir !

Amel Belhadj Ali

Chiffres clés

  • 2016 : Année de la loi initiée par Slim Chaker pour encadrer la facturation dans les commerces de consommation.
  • 2019 : Le décret d’application établit la connexion obligatoire au ministère des Finances.
  • 2025–2028 : Mise en œuvre progressive selon les catégories d’établissements.
  • 3 jours : Délai maximum de réparation en cas de panne, sous peine de sanction.
  • 5 000 dinars : Seuil au-delà duquel les paiements en espèces sont interdits dans les transactions officielles.

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✈️ Vols annulés, salaires bloqués : ce que le shutdown 2025 a coûté à l’Amérique

Shutdown USALes États-Unis ont connu en 2025 le plus long « shutdown » de leur histoire, avec une paralysie budgétaire de plus de 36 jours. Le blocage, amorcé le 1er octobre, a dépassé le précédent record de 35 jours enregistré en 2019 sous la présidence de Donald Trump.

Un blocage politique sans précédent

L’impasse est née d’un désaccord profond entre républicains et démocrates sur le budget fédéral de 2026. Les points de friction concernaient principalement les dépenses de santé et les programmes de soutien social. L’absence d’accord a entraîné la fermeture partielle de nombreuses administrations et mis des centaines de milliers de fonctionnaires en congé sans solde.

Les services jugés essentiels, tels que les forces de l’ordre, les contrôleurs aériens ou les militaires, ont dû poursuivre leurs activités sans être rémunérés, aggravant les tensions sociales. Parallèlement, plusieurs programmes d’aide, dont le SNAP (aide alimentaire touchant 42 millions d’Américains), ont été suspendus.

Des perturbations massives dans les transports

Le secteur aérien a été l’un des plus touchés. Plus de 60 000 contrôleurs aériens et agents de sécurité ont continué à travailler sans salaire. Le gouvernement a réduit le trafic de 10% dans 40 grands aéroports du pays, de New York à Los Angeles, et annulé environ 4.000 vols pour éviter la saturation du système. Les retards et l’absentéisme ont provoqué une désorganisation durable.

Un coût économique lourd

Les estimations font état de pertes comprises entre 7 et 14 milliards de dollars. La suspension des activités administratives a également perturbé la collecte de données économiques, compliquant l’évaluation de la situation réelle du pays.

Une crise révélatrice

Ce shutdown historique a mis en évidence la fragilité du mécanisme budgétaire américain et son impact direct sur la vie quotidienne : salaires suspendus, aides sociales bloquées et perturbations économiques majeures. Il restera comme un épisode marquant des tensions politiques qui traversent Washington.

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Le Qatar parie sur la côte nord égyptienne avec un projet colossal

EgypteLe Qatar a annoncé un investissement majeur de 30 milliards de dollars en Égypte pour développer une vaste cité touristique et résidentielle sur la côte nord, dans la région d’Alam El Roum, près de Marsa Matrouh. L’accord, conclu entre Qatari Diar — filiale immobilière du fonds souverain du Qatar — et le gouvernement égyptien, vise à stimuler l’économie nationale tout en renforçant les relations bilatérales entre les deux pays.

Un projet urbain d’envergure

Le futur complexe s’étendra sur environ 60 000 acres. Il comprendra des resorts haut de gamme, des quartiers résidentiels, des espaces commerciaux et de loisirs, une marina, plusieurs parcours de golf ainsi que des établissements éducatifs, dont des écoles et universités. L’objectif est de transformer Alam El Roum en une destination touristique intégrée, capable d’attirer des visiteurs internationaux et de générer des revenus annuels estimés à 1,8 milliard de dollars.

Une opération à double dimension financière et stratégique

Le montage financier prévoit un paiement initial de 3,5 milliards de dollars pour l’acquisition du terrain. À cela s’ajoute un investissement en nature de 26,2 milliards pour la construction des infrastructures. Une fois le projet achevé, l’État égyptien devrait percevoir environ 15 % des revenus générés.

Cet investissement s’inscrit dans une dynamique de coopération économique croissante entre Doha et Le Caire. Pour l’Égypte, confrontée à une dette élevée et à un déficit budgétaire, ce partenariat représente une source cruciale de devises et un levier de relance. Pour le Qatar, il s’agit d’une nouvelle étape dans la diversification de ses actifs régionaux et dans le renforcement de son influence au Moyen-Orient.

Une vitrine pour les deux capitales

Alam El Roum pourrait devenir un hub touristique et logistique méditerranéen, contribuant à repositionner la côte nord égyptienne sur la carte internationale du tourisme. Ce projet illustre la volonté des deux États de conjuguer investissements stratégiques et diplomatie économique pour consolider leurs liens.

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FIX’N’GO lance une application mobile innovante pour les automobilistes

FIX’N’GO, leader de l’entretien automobile rapide en Tunisie, annonce le lancement officiel de sa nouvelle application mobile “MYFIXNGO”.

Cette application se présente comme un véritable carnet d’entretien digital pour les propriétaires de véhicules particuliers et les flottes et comprend un ensemble de fonctionnalités permettant aux conducteurs de gérer l’entretien de leur véhicule en toute simplicité générant un gain de temps appréciable.

« A travers cette nouvelle application, FIX’N’GO innove et se rapproche encore plus de ses clients pour leur offrir de nouveaux services connectés et modernes dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue de ses prestations », a déclaré à cette occasion M. Wissem Ammar, Directeur d’Exploitation de FIX’N’GO.

L’application MYFIXNGO permet par ailleurs de bénéficier d’une large panoplie de services allant de l’établissement du planning d’entretien constructeur (selon la marque, le modèle et le kilométrage du véhicule) à la possibilité de demander un devis en ligne tout en prenant un rendez-vous pour son véhicule. Ceci outre la possibilité de mémoriser et suivre l’historique des interventions.

Les clients et automobilistes y trouveront par ailleurs les offres et les promotions régulièrement proposées.

L’application inclut de même la géolocalisation des différents centres FIX’N’GO situés à Jbel Jloud, Boumhel, Mnihla, la Soukra, le Kram et depuis peu la station Agil sur la GP9 Tunis-La Marsa.

FIX’N’GO confirme à travers ce nouveau service son adaptation aux nouvelles attentes de ses clients et partenaires et sa stratégie de développement continu.

S’appuyant sur plus de 20 ans d’expérience et sur un engagement qualité reconnu, FIX’N’GO a bâti une solide réputation grâce à sa capacité à allier rapidité, qualité et accessibilité.

Certifiée ISO 9001 depuis 2005, l’entreprise place la satisfaction client au cœur de sa stratégie, une approche qui lui a valu la confiance de milliers de particuliers et d’entreprises, tous secteurs confondus.

Avec chaque intervention, FIX’N’GO propose un contrôle préventif gratuit comprenant plus de 59 points de vérification couvrant les principaux organes du véhicule. Cette démarche vise à garantir la sécurité, la fiabilité et la longévité de chaque voiture qui passe dans ses ateliers. Grâce à ce diagnostic complet, les techniciens peuvent anticiper d’éventuelles anomalies et conseiller le client sur les entretiens préventifs à prévoir, évitant ainsi des pannes coûteuses à long terme.

De grandes flottes professionnelles, incluant véhicules de tourisme et utilitaires, choisissent chaque jour l’enseigne FIX’N’GO pour leur entretien régulier et leurs interventions techniques.

Vidange, pneumatique, électricité, freinage, changement de batterie ainsi que climatisation et diagnostic électronique constituent les principaux services offerts en concordance avec les besoins des véhicules modernes et garantissent une prise en charge rapide, transparente et fiable.

Il est à rappeler que la facture pour chaque intervention réalisée est une garantie des pièces et main d’œuvre offerte aux clients.

Le personnel qualifié est formé pour accueillir et conseiller chaque client avec professionnalisme et attention.

Pour télécharger l’application : https://bit.ly/3JthxAo

 

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📉 Et si la Cour suprême annulait les droits de douane de Trump ? Les investisseurs jubilent

Trump
image ChatGPT

Les marchés américains ont progressé mercredi, stimulés par le scepticisme exprimé par la Cour suprême à l’égard des droits de douane imposés par Donald Trump. Les investisseurs y voient la possibilité d’une décision qui allégerait les coûts des entreprises et soutiendrait la croissance économique.

Un signal fort pour les investisseurs

Le Dow Jones a gagné environ 300 points et le S&P 500 près de 1 %. Les titres des sociétés les plus exposées aux importations, comme General Motors, Ford ou Stanley Black & Decker, ont fortement réagi. Cette dynamique marque un tournant, sept mois après le krach déclenché par l’annonce de ces mêmes taxes.

Le pouvoir présidentiel au cœur du débat

Le différend juridique porte sur l’usage par Trump de la loi sur les pouvoirs économiques d’urgence internationaux, qui lui a permis d’imposer unilatéralement des droits de douane. Plusieurs juges ont exprimé leurs doutes quant à la légitimité de cette approche. Une remise en cause de ce pouvoir serait perçue comme un signe de stabilisation économique.

Des analystes optimistes mais prudents

Pour Cory Johnson, stratège chez Epistrophy Capital Research, la fin des surtaxes renforcerait la compétitivité des entreprises américaines. Daniel Bustamante, directeur des investissements de Bustamante Capital Management, estime qu’une telle décision constituerait « un facteur haussier » pour les marchés.

Une question clé : le remboursement des droits perçus

Selon Michael Reynolds, vice-président de Glenmede, les droits déjà collectés pourraient dépasser 100 milliards de dollars d’ici 2026. Si la Cour suprême en ordonnait la restitution, cela s’apparenterait à une mesure de relance pour les entreprises. Sur la plateforme Polymarket, la probabilité d’une validation des tarifs douaniers est tombée à 27 %, contre 45 % fin octobre.

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KIKO Milano poursuit son expansion en Tunisie et inaugure une nouvelle boutique à Tunis-Lafayette

Dans le cadre de sa stratégie de développement en Tunisie, KIKO Milano, la marque N°1 de maquillage en Italie, annonce l’ouverture d’un nouveau point de vente à Tunis, au cœur du quartier animé de Lafayette.

Cette ouverture vient renforcer la présence de la marque sur le territoire et confirme son succès grandissant auprès des consommatrices tunisiennes.

Avec cette nouvelle adresse, le huitième point de vente de son réseau en Tunisie, KIKO Milano réaffirme sa volonté d’être toujours plus proche des femmes désireuses d’exprimer leur personnalité à travers la couleur, la créativité et l’innovation.

Depuis son implantation en Tunisie, la marque ne cesse de séduire une clientèle variée, fidèle et passionnée. Le lancement du site de vente en ligne www.kikocosmetics.tn a marqué une nouvelle étape dans cette croissance, confirmant un engouement constant tant en boutique que sur le digital.

Le nouveau magasin KIKO Milano Lafayette s’inscrit pleinement dans cette dynamique : un espace moderne, lumineux et immersif, pensé pour offrir une expérience beauté unique fidèle à l’univers de la marque.

Les clientes y retrouveront l’ensemble des gammes de maquillage, soins, accessoires, parfums et produits capillaires, ainsi que les collections en édition limitée qui font le succès international de KIKO Milano.

Comme dans tous les points de vente de la marque, des conseillères beauté expertes accompagnent les clientes dans le choix de leurs produits, en leur proposant des conseils personnalisés selon leurs besoins et leur style.

Conçus à Milan, capitale mondiale de la mode et du design, 99 % des produits KIKO Milano sont fabriqués en Europe, selon les standards les plus exigeants de qualité et de sécurité.

Avec plus de 1 200 références, KIKO Milano propose des produits performants, accessibles et inspirés de l’élégance italienne.

À propos de KIKO Milano

Fondée en 1997, KIKO Milano a pour mission d’encourager l’expression de soi à travers la couleur, la créativité et l’art du maquillage. Présente dans plus de 65 pays, la marque capte les tendances mondiales et y insuffle son style unique, inspiré de ses racines italiennes.

En Tunisie, KIKO Milano est représentée par le groupe UTIC et dispose désormais de huit boutiques :
Carrefour La Marsa, Manar City, Mall of Sousse, Mall of Sfax, Azur City, Tunis City, Le Bardo et, désormais, Tunis-Lafayette, en plus de sa boutique en ligne www.kikocosmetics.tn

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“Tunis Arkana” : le premier roman mystique de Sofiane Ben M’rad explore l’âme de la capitale

Premier roman de l’auteur tunisien Sofiane Ben M’rad, “Tunis Arkana” vient de paraître aux Éditions Sikelli (414 pages). Thriller érudit et mystique, l’ouvrage entremêle histoire, mythologie et symbolisme pour explorer les zones d’ombre de la mémoire tunisienne.

Le roman, paru le 31 octobre, est désormais disponible dans les librairies de la capitale.

Troisième titre publié par Sikelli, Tunis Arkana se présente comme « un véritable tour de force : éveiller en chacun de nous une conscience plus profonde de notre mémoire collective », souligne l’éditeur.

Et si Tunis cachait plus qu’une histoire, mais une âme ? Dans “Tunis Arkana”, la Capitale devient le théâtre d’un voyage où le réel côtoie l’invisible, et où les secrets du passé refont surface sous la plume d’un conteur moderne.

Le roman imagine Tunis comme une porte vers l’invisible. Deux amis, au détour d’un voyage ordinaire, se retrouvent entraînés dans une aventure où le passé ressurgit, chargé de secrets et de révélations interdites. À travers la voix d’un vieil érudit, les siècles s’entremêlent : l’Europe des Lumières rencontre la Régence de Tunis, les sciences occultes croisent la mémoire des saints.

De Tripoli à la Zitouna, du Bardo à Byzance, Tunis Arkana fait voyager le lecteur dans un labyrinthe d’histoires et d’âmes où l’Histoire se confond avec la légende. « Chaque ville a son secret. Mais Tunis, elle, en a plusieurs », résume le récit.

L’intrigue s’ouvre sur une expérience mystérieuse menée dans un château allemand par un savant en quête d’un secret perdu. Cette quête le conduit, à travers une vision fulgurante, jusqu’à Tunis. Des siècles plus tard, un narrateur contemporain et son ami Tahar croisent le chemin de Slim Ben Raïes, conteur et gardien de secrets oubliés, qui leur révèle l’existence d’un trésor spirituel et historique caché à Tunis.

Entre princes, corsaires, francs-maçons et espions, le roman revisite les affrontements discrets entre Orient et Occident. Tunis Arkana mêle récit d’aventure et méditation sur la foi, la transmission et l’identité, offrant une réflexion sur la mémoire enfouie des villes et des civilisations.

Fin connaisseur de l’histoire ancienne et contemporaine de la Tunisie, Sofiane Ben M’rad signe un texte ambitieux, où le mystère se conjugue à la rigueur historique.

Fondée en 2025, la maison Sikelli se veut généraliste et ouverte à la diversité des voix littéraires et intellectuelles. Son nom rend hommage à Jawhar al-Siqilli (Sicile, 911 – Le Caire, 992), général sicilien et fondateur du Caire au Xe siècle. Par ce choix, l’éditeur inscrit son projet dans un héritage historique et universel, tout en affirmant son ancrage dans la création contemporaine.

 

 

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Ligue 1 : l’Espérance de Tunis creuse l’écart en tête après la 13e journée

L’Espérance Sportive de Tunis a consolidé sa position de leader du championnat de Ligue 1 après sa large victoire (4-0) face à la Jeunesse Sportive d’Omrane, jeudi au stade de Radès, en clôture de la 13ᵉ journée. Youcef Belaïli a ouvert le score sur penalty (51e), suivi de Chiheb Jebali (61e), Koussay Maâcha (70e) et Houssem Tka (90+3). Avec ce succès, les Sang et Or totalisent désormais 30 points, trois longueurs d’avance sur leurs poursuivants.

Club Africain et Stade Tunisien au coude-à-coude

Au Bardo, le Club Africain et le Stade Tunisien se sont neutralisés (0-0). Ce nul maintient les deux formations à égalité de points (27) au classement, respectivement à la deuxième et troisième place. Le Club Africain conserve toutefois un léger avantage grâce à une meilleure différence de buts (+11).

Les poursuivants se tiennent de près

Le CS Sfaxien a signé un succès précieux à Béja (1-0) grâce à Iyed Belwafi (41e), consolidant sa quatrième place avec 20 points. L’Union Sportive de Monastir, revenue de Métlaoui avec un nul (2-2), reste également à 20 unités. Dans cette rencontre animée, Naby Sylla a inscrit un doublé pour l’ES Métlaoui (43e et 90+2), tandis que Fakhreddine Ben Youssef (73e) et Adnene Yaakoubi (75e) ont permis à l’USM d’égaliser.

L’Étoile et la Marsa assurent, Kairouan respire

À Sousse, l’Étoile Sportive du Sahel a dominé l’ES Zarzis (1-0) grâce à Houssem Dagdoug (7e). De son côté, l’AS Marsa s’est imposée (2-0) face au CA Bizertin, avec des réalisations de Yousri Arfaoui (14e) et Ahmed Hadhri (45e). La JS Kairouan a battu l’AS Gabès (2-1), offrant un bol d’air à son équipe désormais à 13 points.

Classement serré dans la deuxième moitié

Derrière le trio de tête, la lutte reste intense. L’ES Zarzis (20 pts) et l’ES Métlaoui (19 pts) suivent de près. En bas du tableau, l’Olympique de Béja et l’AS Gabès ferment la marche avec 8 points chacun, tandis que l’AS Soliman reste en difficulté (10 pts).

Classement provisoire (top 5)

Espérance ST – 30 pts

Club Africain – 27 pts

Stade Tunisien – 27 pts

CS Sfaxien – 20 pts

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ATB, valeur la plus échangée, légèrement en retrait à la Bourse

Le marché a terminé la séance boursière dans le vert. L’indice de référence a pris 0,4 % à 12 729,7 points dans un volume limité de 4,0 MD, selon l’analyse de l’intermédiaire en bourse “Tunisie Valeurs”.

Le titre ICF s’est offert la meilleure performance de la séance. L’action de la société s’est hissée de 5,1 % à 90,990 D, dans un volume soutenu de 362 mille dinars.

Le titre LAND’OR s’est retrouvé dans le palmarès des meilleures performances. L’action du fromager s’est bonifiée de 4,7 % à 12,340 D, dans un flux de 200 mille dinars.

Sans faire l’objet de transactions sur la séance, le titre OFFICEPLAST s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste des fournitures bureautiques et scolaires a trébuché de –4,5 % à 1,910 D.

Du côté des baisses, le titre ESSOUKNA a accusé une glissade de –4,3 % à 2,480 D. L’action du promoteur immobilier a drainé un volume limité de 10 mille dinars sur la séance.

ATB a été la valeur la plus échangée de la séance en amassant un volume de 665 mille dinars. Le titre s’est effrité de –0,3 % à 3,650 D.

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Tunisie : renforcer l’inclusion des personnes handicapées en Afrique

“La Tunisie est prête à établir des partenariats avec les pays africains dans les domaines de la formation, des études et des recherches à travers des programmes conjoints, globaux et durables au profit des personnes en situation de handicap”, a souligné, jeudi à Doha (Qatar), le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, selon un communiqué du département.

S’exprimant lors d’une rencontre organisée par l’Union africaine sur la promotion des droits des personnes handicapées, en marge du 2ème Sommet mondial pour le développement social tenu à Doha du 4 au 6 novembre en cours, le ministre a indiqué que la promotion des droits humains, en particulier ceux des personnes en situation de handicap en Afrique nécessite aujourd’hui d’accélérer la ratification du Protocole africain relatif aux droits des personnes handicapées.

“Ce protocole qui tient compte des spécificités de nos sociétés, de nos cultures ainsi que de nos systèmes socio-économiques permettra l’adoption de politiques nationales inclusives garantissant la participation des personnes en situation de handicap à la vie publique”, a-t-il dit.

Lahmar a, par ailleurs, exprimé la disposition de la Tunisie à partager son expertise législative et institutionnelle avec les pays africains, à travers la mise en place de partenariats efficaces et l’échange de bonnes pratiques dans les domaines de la réadaptation, de l’inclusion, de l’éducation spécialisée et de l’emploi, contribuant ainsi à l’amélioration de la qualité des services destinés aux personnes en situation de handicap.

Il a, en outre, rappelé que la Constitution tunisienne consacre le droit des personnes en situation de handicap à la protection contre toutes formes de discrimination et garantit leur intégration dans la société, à travers un arsenal législatif complet reposant sur une approche fondée sur les droits humains et la justice sociale.

“Celle-ci assure l’accès à l’éducation, à l’enseignement spécialisé, à la formation, à l’emploi, aux soins de santé, à la réadaptation, ainsi qu’aux infrastructures de loisir, culturelles et sportives, en harmonie avec la Convention relative aux droits des personnes handicapées, ratifiée par la Tunisie en 2008”, a-t-il expliqué.

Il a également indiqué que la Tunisie a mis en place des lignes de financement et des crédits sans intérêts au profit des personnes en situation de handicap, afin de créer des emplois décents et des projets favorisant leur autonomie et garantissant une vie digne, loin de toute forme de marginalisation ou d’exclusion.

Le ministre a précisé que le pays œuvre à développer ses politiques sociales et à améliorer la qualité des services destinés à toutes les catégories, notamment les personnes handicapées, à travers la mise en place d’un système national d’information visant à développer un registre national du handicap, permettant de disposer d’indicateurs précis pour élaborer des politiques publiques plus ciblées et efficaces, outre le lancement prochain de cartes de handicap numériques, garantissant davantage de transparence, d’efficacité et de rapidité dans le traitement de leurs demandes.

L’événement de l’Union africaine, organisé sous le thème « Un développement social sans inclusion : promouvoir les droits des personnes handicapées comme une nécessité continentale », vise à appeler au renforcement des droits des personnes en situation de handicap comme impératif continental, conformément aux principes des droits humains, et à soutenir leur inclusion sociale et économique, ainsi que leur participation effective à la vie communautaire, en cohérence avec les objectifs de l’Union africaine visant à promouvoir la paix, la sécurité, la démocratie et les droits de l’homme sur le continent.

Le ministre des affaires sociales, Issam Lahmar, a également pris part à l’événement arabe intitulé : « Vers une inclusion sociale globale : vie autonome des personnes en situation de handicap et éradication de la pauvreté », ainsi qu’à l’événement régional parallèle intitulé : « La voie vers un développement social inclusif : de l’autonomisation à la vie indépendante ».

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Nabeul : Sidi Jedidi modernise routes, siège municipal et éclairage

Les travaux d’un certain nombre de projets programmés au sein de la nouvelle commune de Sidi Jedidi, relevant de la délégation de Hammamet (gouvernorat de Nabeul), enregistrent une progression notable, entre la phase d’exécution et celle d’étude.

Parmi ces projets figure l’achèvement du nouveau siège municipal, dont le coût total dépasse deux millions de dinars pour une inauguration prévue dans les prochaines semaines, selon le secrétaire général chargé de la gestion de la commune, Fadhel Abbas.

Sur le même plan, les travaux d’aménagement de plusieurs routes ont été achevés dans les zones de Sidi Jedidi et Sidi Hammad, tandis que d’autres interventions d’un coût total de 1,3 MD sont prévues prochainement dans les zones de Latrech et Mziriâa, dès l’achèvement du transfert du réseau d’eau potable.

Le responsable a indiqué que l’étude du projet de terrain sportif à proximité de Sidi Jedidi est achevée, précisant que l’appel d’offres sera lancé en décembre 2025, en vue d’un démarrage des travaux au début de l’année prochaine.

Dans cette même dynamique, la municipalité de Sidi Jedidi a procédé l’extension du réseau d’éclairage public dans l’ensemble des zones et villages rattachés, pour un coût avoisinant 1 MD.

S’agissant de l’assainissement, il a précisé que les travaux devraient débuter au second semestre de 2026, le bureau d’études mandaté par l’ONAS poursuivant l’examen des solutions techniques pour raccorder l’ensemble des zones de la commune au réseau d’égouts.

Par ailleurs, la municipalité œuvre à l’obtention du label de qualité “Marhba”, destiné à améliorer l’accueil et les services rendus aux citoyens, un projet dont la mise en œuvre sera confiée prochainement à un bureau d’études spécialisé.

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Zaghouan : l’ONAS investit 33 millions de dinars dans une station de traitement à Djebel Oust

Une enveloppe de 33 millions de dinars a été allouée par L’Office National d’Assainissement (ONAS), pour la construction et l’équipement d’une station d’épuration et du traitement des eaux usées dans la ville de Djebel Oust (gouvernorat de Zaghouan), sur une superficie de 4,5 hectares.

Il s’agit de la deuxième station programmée par l’ONAS cette année, après le démarrage des travaux, en août dernier, d’un projet similaire à Bir Mcherga, dont le coût s’élève à environ 31 millions de dinars, a indiqué, à l’Agence TAP, le directeur régional de l’ONAS, Mahmoud Hedhili.

Le projet comprend la réalisation d’une station de pompage pour le transfert des eaux usées issues des quartiers et cités de Djebel Oust vers la station de traitement, à travers un réseau de canaux de drainage de 4 km, ainsi que le raccordement de certaines habitations au réseau, selon la même source.

Le responsable a indiqué que le projet en est à la phase de finalisation du marché, précisant que les travaux devraient démarrer avant la fin de l’année et que les eaux traitées seront destinées à la réutilisation agricole.

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Budget 2026 : les députés déplorent l’absence d’investissement et alertent sur la crise agricole

La séance plénière commune des deux chambres parlementaires a repris ses travaux, jeudi matin, au Palais du Bardo, avec l’examen des projets du budget de l’État et de la loi de finances pour l’année 2026, en présence d’un certain nombre de membres du gouvernement.

Certains députés ont estimé, au cours des débats, que les chiffres avancés dans la déclaration du gouvernement concernant les projets de budget de l’État et de la loi de finances pour 2026 “restent que de simples slogans tant que l’investissement est absent des orientations budgétaires”.

Ils ont fait remarquer que les discussions sur la réforme de la loi sur les changes, de la loi sur l’aménagement du territoire et d’un certain nombre de lois relatives à l’investissement ne resteront que des espoirs tant que les mesures de soutien à l’économie convenues dans le cadre du budget 2025 n’auront pas été mises en œuvre.

D’autres députés ont axé une partie des débats sur la situation des agriculteurs, soulignant la nécessité de les placer au cœur des politiques économiques du gouvernement.

Ils ont notamment rappelé que les petits agriculteurs n’ont pas encore bénéficié des crédits qui leur avaient été alloués dans le dernier budget, évoquant la question des exportations d’huile d’olive « qui occupait les premières places au niveau mondial et qui connaît aujourd’hui un déclin en raison du manque d’intérêt accordé à ce secteur agricole vital ».

Ils ont, dans ce contexte, demandé d’accorder une plus grande attention au secteur de l’huile d’olive, à travers la modernisation des machines et l’accord de facilités et de prêts aux producteurs.

S’agissant de la situation sociale, des députés ont déclaré que “le citoyen n’a pas constaté dans son quotidien une amélioration des indicateurs économiques et n’a vu aucun impact positif sur son pouvoir d’achat”.

Les députés se sont également interrogés sur la manière dont le développement pouvait être réalisé dans les régions de l’intérieur alors que la part du budget qui leur était allouée ne dépassait pas 29,9 %.

D’autres élus ont critiqué la déclaration du gouvernement et se sont interrogés sur la faisabilité d’un taux de croissance de 3,3 % alors que plus de 90 % du budget provient des recettes fiscales, soulignant que le développement nécessite une relance économique globale.

 

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Football – Ligue 2 : les arbitres désignés pour la 8ᵉ journée

La Direction nationale d’arbitrage a dévoilé la liste des arbitres retenus pour diriger les rencontres de la 8ᵉ journée du championnat de Ligue 2 de football professionnel, programmées vendredi 7 et samedi 8 novembre 2025. Toutes les rencontres débuteront à 14h30.

Poule A : six rencontres vendredi, une samedi

Dans la Poule A, six affiches se joueront vendredi.
À Hammam-Lif, Fadi Boukhris dirigera le match opposant le CS Hammam-Lif au CS Chebba.
À Menzel Bourguiba, Walid Hedhli sera au sifflet pour SA Menzel Bourguiba – US Tataouine.
Le duel ES Hammam-Sousse – US Boussalem sera encadré par Iheb Ben Kilani, tandis qu’à Mahdia, Akrem Naïli arbitrera EM Mahdia – AS Agareb.
À Chebika, Wael Ajengui officiera pour BS Bouhajla – CS Msaken, et à Sfax (stade du 2-Mars), Sofiene Jebara dirigera OC Kerkennah – Olympique Mégrine.

Un seul match de la Poule A aura lieu samedi 8 novembre : à Radès, le CS Ben Arous recevra le Sfax Railways Sports sous la direction de Jasser Guirat.

Poule B : deux matches vendredi, quatre samedi

Dans la Poule B, deux rencontres sont prévues vendredi. À Moknine, Nizar Riahi arbitrera SC Moknine – AS Jelma, tandis qu’à Bouchemma, Anouer Akrouti sera chargé de ES Bouchemma – CS Redeyef.

Le programme de samedi est plus fourni avec quatre affiches.
À l’Ariana, Abdessalem Mani dirigera AS Ariana – Jendouba Sport.
À Korba, Houcème Boularès sera au sifflet pour CS Korba – AS Kasserine.
À Kalaa, Seif Ouertani conduira Kalaa Sport – AS Sakiet Edaier, tandis qu’à Sidi Bouzid, Hassène Selmi arbitrera Olympique Sidi Bouzid – US Ksour Essef.
Enfin, à Gafsa, Mahmoud Ksia sera désigné pour EGS Gafsa – Stade Gabésien.

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De l’exil à la révolution : le cinéma tunisien au cœur du Festival du film franco-arabe 2025

La Tunisie sera à l’honneur lors de la quatorzième édition du Festival du film franco-arabe (FFFA) de Noisy-le-Sec, qui se déroule du 7 au 16 novembre 2025 en banlieue parisienne (Noisy-le-Sec et Romainville).

Lancé pour faire connaître et promouvoir les cinéastes et les cinématographies des pays arabes ainsi que les cultures franco-arabes, le festival propose cette année, dans le cadre du “Focus Tunisie”, plus d’une dizaine de films témoignant de la vitalité du cinéma tunisien contemporain, de sa capacité à interroger l’exil, la jeunesse, la mémoire et les marges, tout en inventant de nouvelles formes narratives.

Dans le programme intitulé “Le cinéma tunisien : de l’exil à la révolution et à la diaspora”, une dizaine de films donnera à voir et à découvrir des expériences aussi riches que variées. “Les Ambassadeurs” (1975) de Naceur Ktari livre un regard sur l’expérience des immigrés tunisiens en France, explorant l’exil et les fractures sociales, affirmant que filmer, c’est déjà résister. Et il n’est pas le seul à défendre cette idée. Après 2011, la Révolution libère la parole : « Tunisia Clash » (2015) de Hind Meddeb capte l’énergie contestataire des jeunes rappeurs, figures d’une jeunesse en quête de visibilité et de liberté.

Ailleurs, le cinéma tunisien explore la diaspora et l’enfance exilée : Kaouther Ben Hania suit dans “Zaineb n’aime pas la neige ” (2016) la jeune Zaineb entre la Tunisie et le Canada, tandis que la réalisatrice et scénariste belgo-tuniso-danoise Maja-Ajmia Yde Zellama, évoque dans son film “Têtes brûlées” (2025), le deuil et la résilience d’Eya, jeune fille diasporique, révélant les tensions entre identité et appartenance. Khedija Lemkecher, avec Belles de Nuit (2024), interroge le rapport entre réalité et représentation pour explorer les désirs et les contraintes des jeunes des quartiers populaires. Alaeddine Slim, avec Agora (2024), s’intéresse quant à lui à la temporalité et à la mémoire collective, transformant l’image en un espace à la fois critique et poétique.

La Tunisie, une terre de création et un écran de projection en soutien à la Palestine
Né d’un désir de dialogue entre les rives de la Méditerranée et célébrant la pluralité des voix et des regards, le festival a choisi de mettre les projecteurs sur un cinéma tunisien “en plein essor”. En 2024, la Tunisie, lit-on dans le dossier de presse du festival, a connu une effervescence sans précédent : une trentaine de longs métrages, autant de documentaires et une centaine de courts ont vu le jour. Porté par une génération de cinéastes audacieux, souvent récompensés dans les plus grands festivals internationaux, ce cinéma reflète l’énergie d’un pays au carrefour de la mémoire révolutionnaire, de l’élan artistique et des défis politiques.

“Terre de création foisonnante et de résistance historique”, la Tunisie incarne les aspirations universelles à la liberté, à la dignité et à la justice”, écrit Wiam Berhouma, maire adjointe déléguée à la culture, à l’éducation populaire et à la transmission de la mémoire de Noisy-le-Sec.

“Devant une actualité asphyxiante, saturée par les bombes israéliennes qui tombent sur Gaza, l’histoire de la Tunisie est liée de longue date à celle de la résistance palestinienne” lit-on dans l’édito de Mathilde Rouxel Directrice artistique du festival. La Tunisie a-t-elle noté, est devenue “un écran de projection en soutien à la Palestine, un lieu où où l’on pense et où l’on montre un cinéma engagé”.

Dans ce contexte, les films de cette programmation accompagnent ce mouvement des cinéastes tunisiens qui croient en l’image comme forme de résistance contre la simplification et la banalisation des horreurs du monde”, ajoute la directrice artistique du festival. Grâce à ce focus, leurs films, documentaires et fictions, dialogueront avec ceux venus d’autres pays.

Dans ce registre, sera organisée une table ronde “Tunisie/Palestine : mémoire commune et luttes contemporaines” qui sera accompagnée  de la projection de trois courts métrages :” Where Can I Start a Film About Palestine?” un documentaire de Maxime Naudet Anoudou (France/Tunisie, 2025), et deux films témoignant de l’engagement de ceux qui veulent faire des images en solidarité avec la Palestine pour combattre l’oubli en l’occurrence “Silence” de Fares Ben Khalifa (Tunisie, 2016) et “Home”, film d’animation d’Ines Ben Halima (Tunisie, 2016).

Hind Meddeb, marraine de l’édition 2025

Hind Meddeb, marraine de cette 14ème édition, porte en elle l’héritage d’un père poète, Abdelwahab, et d’une mère linguiste, Amina : un amour des mots et une exigence de vérité. Son terrain, pourtant, reste la rue, la jeunesse insurgée, les marges où l’Histoire s’écrit à voix haute. Depuis ses premiers films, elle fait du cinéma un espace de résistance : “Electro Chaâbi” explore la révolution musicale des faubourgs du Caire, “Tunisia Clash” suit des rappeurs tunisiens défiant la censure, et “Soudan, souviens-toi” recueille la mémoire des jeunes révolutionnaires soudanais. Trois œuvres que le festival met à l’honneur dans ce focus sur la Tunisie, pays d’origine d’une partie de son histoire et de son cinéma

Le Cinéma tunisien au programme “hors les murs”

L’année 2024 a vu émerger une génération de jeunes cinéastes venus de régions éloignées de Tunis et des écoles de cinéma. Les films de cette sélection portent la fougue des premiers gestes et la liberté du regard neuf. Dans ces zones où le cinéma se fait rare, chaque image tournée devient une découverte, une expérience à partager. Au programme “Bamssi”, un documentaire de Mourad Ben Amor (Tunisie/Belgique),  “The Image of Ants”, poème visuel de Mohamed Rachdi et “Epouvantails de la zone rouge”, un documentaire de Jalel Faizi.

La programmation de la 14ème édition du FFFA comporte des films inédits, des avant-premières, des projections pour la jeunesse, des rencontres avec cinéastes etc. Pluridisciplinaire, le festival, dont le cinéaste Costa-Gavras est parrain d’honneur,  s’ouvre aussi à la musique, au théâtre, aux arts plastiques et à la littérature, dans les lieux culturels de Noisy-le-Sec et au-delà, dans le cadre du programme hors les murs.

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Ghar El Melh : les cultures « Ramli » menacées par le changement climatique et l’urbanisation

Dans une frange du littoral tunisien, relevant de la belle région de Bizerte (Nord de la Tunisie), un système agricole ingénieux, unique au monde et adapté à une zone humide riche en biodiversité, risque de disparaître. Il s’agit de pratiques agricoles ancestrales dans le sable, qui ont façonné non seulement les paysages de la ville côtière de Ghar El Melh, mais aussi les traditions, les rites et le rapport des natifs de cette ville avec la terre et la mer. C’est pour cela que beaucoup d’exploitants agricoles militent aujourd’hui pour sauver un héritage national et mondial.

Bien qu’elles soient encore pratiquées par environ 180 agriculteurs et reconnus (certifiés), depuis le 15 juin 2020, par la FAO en tant que patrimoine mondial “SIPAM”, Système Ingénieux du Patrimoine Agricole Mondial, ces pratiques sont désormais, menacées par l’urbanisation sauvage, le changement climatique et le retard d’intervention pour le déblocage d’une conduite d’eau entre la lagune et la mer, sur laquelle est basé tout un système d’irrigation naturelle. L’absence de relève, en raison de la désaffection des jeunes pour l’agriculture artisanale, est aussi une menace pour ces cultures originales et écologiques

“Les potagers périurbains dites “Ramli”, sont cultivés dans des parcelles de sable irriguées, grâce à un phénomène osmotique. Les pommes de terre, l’oignon, les laitues, les aubergines, l’haricot et autres cultures maraîchères, poussent dans des sols sablonneux et sont irrigués en utilisant l’eau de mer qui s’infiltre et remonte à la surface”, explique Mohamed Blanco, guide sur les lieux, de l’ONG, Tunisian Campers.

Il s’adressait à des journalistes en visite à Ghar el Melh, dans le cadre d’une formation de six mois en journalisme environnemental, organisée par le PAMT2 (Programme d’Appui aux Médias Tunisiens 2 (PAMT2), financé par l’UE, en partenariat avec le Projet d’Appui à la Gouvernance Environnementale et Climatique pour une Transition Ecologique en Tunisie (PAGECTE), la Start-up Tunisian Campers et le ministère de l’Environnement.

“L’eau salée, humidifiée par la marée, irrigue les racines des plantes après son dessalement grâce au phénomène de migration des sels vers le haut et la capacité des plantes à filtrer l’eau. La remontée de la nappe phréatique grâce à la marée permet d’alimenter les cultures en eau douce, tout en limitant le recours à l’irrigation artificielle”, enchaîne le jeune guide de randonnées éco-responsables.

Ali Garsi, agriculteur pratiquant les cultures Ramli milite pour préserver et perdurer les cultures en sable et n’arrête pas d’alerter sur les dangers qui planent sur ce système naturel qui n’existe qu’en Tunisie.

” En l’absence de relève, c’est à nous de faire perdurer ces cultures de plus en plus menacées par plusieurs facteurs”, a-t-il dit. “Le vrai problème aujourd’hui est le blocage de la conduite d’eau entre la lagune et la mer, une conduite sur laquelle se base tout le système d’irrigation cent pour cent naturel. La mouvance du grau, dite en dialecte local “boughaz”, qui fait communiquer la lagune avec la mer et permet l’échange avec la lagune de Sidi Ali El Mekki, se bloque désormais chaque 48 heures alors qu’elle se bloquait chaque 2 ou 3 ans avant, et ce en raison de l’ensablement accru”.

“L’élévation attendue du niveau de la mer devrait, aussi, impacter la zone et submerger les zones humides. De même, le changement climatique pourrait entrainer un déficit hydrique et une carence en eau douce et pousser les exploitants agricoles à abandonner ou à recourir à une irrigation d’appoint surtout durant les périodes sèches”, a développé Garsi.

La solution pour préserver la zone humide consiste, d’après lui, en l’aménagement d’une conduite d’eau durable entre la lagune de Ghar El Melh et la Sebkha de Sidi Ali El Mekki et non entre la sebkha et la mer, pour résoudre définitivement la question de l’accumulation du sable et le blocage des échanges et des mouvements de l’eau.

De son côté, Zohra Ennafef, membre du bureau exécutif de l’UTAP et présidente de la Fédération de la femme agricole milite pour assurer l’écoulement des produits agricoles de Ghar El Melh et se révolte contre les atteintes au domaine public maritime.

“Les cultures Ramli risquent de disparaître, non seulement à cause des changements climatiques, mais aussi à cause de l’abandon des terres, le manque de circuits de distribution spécifiques aux produits agricoles des potagers et les tentatives de convaincre les agriculteurs de vendre leurs terres”.

Ennafef œuvre, à cet effet, pour la labellisation des produits de terroir de Ghar El Melh, en tant que patrimoine immatériel unique. “Nos produits sont vendus à des tarifs équivalents aux produits conventionnels, alors qu’ils sont originaux, issus d’un système naturel et écologique et sont d’un goût unique”.

Des labels pour les produits des parcelles “RAMLI” permettront de leur assurer une meilleure plus-value, estime la responsable, soulignant la nécessité d’insérer des Gataayas (parcelles dans les zones humides) dans un circuit éco-culturel local. Déjà, la région n’arrête pas d’accueillir des groupes de touristes locaux et étrangers et ses produits agricoles sont prisés par les visiteurs.

Il y a lieu de rappeler que la ville de Ghar El Melh, qui abrite une zone humide d’environ 15 000 ha, a obtenu le “label Ville des zones humides- Ville RAMSAR” en octobre 2018. Grâce à ce label, elle est devenue la première ville arabe et nord-africaine sur la liste de Ramsar des villes accréditées.

Valoriser sa richesse écologique, ses valeurs sociales et culturelles et sa biodiversité, devient ainsi non seulement un devoir national, mais, aussi, une responsabilité à assumer pour sauvegarder un héritage mondial.

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Journée nationale de l’Arbre : une opération de reboisement à El Menzah 9 ce dimanche

Une journée de reboisement sera organisée, dimanche, au Jardin de l’avenue Tahar Ben Ammar, à El Menzah 9, à l’initiative de l’Association de la Zone Verte, en partenariat avec la Municipalité de la Ville de Tunis et ce à l’occasion de la célébration de la journée nationale de l’Arbre, le 9 novembre courant.

Cette initiative de plantation participative s’inscrit dans les efforts collectifs visant à embellir les espaces verts de la capitale et à améliorer le cadre de vie des habitants. Au programme de cette journée, des ateliers de plantation participative, un aménagement collectif du jardin et un nettoyage et embellissement de l’espace.

Les participants souhaitant prendre part à cette journée sont appelés à apporter leurs outils de jardinage personnels, ainsi que des petites plantes adaptées aux jardins urbains. Des campagnes de reboisement à grande échelle, seront organisées, dans plusieurs régions du pays, à l’occasion de la journée nationale de l’Arbre.

L’objectif étant de renforcer la couverture végétale, de sensibiliser les citoyens notamment les jeunes – à l’importance de la plantation d’arbres, et de lutter contre les changements climatiques.

Les forêts tunisiennes s’étendent sur environ 1,2 million d’hectares, soit près de 8,5 % du territoire national, selon les estimations du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Elles abritent une grande diversité végétale comprenant notamment le pin d’Alep, le chêne-liège, le genévrier et l’acacia, ainsi que des zones d’arbres fruitiers plantés dans le cadre des programmes de reboisement rural.

Malgré leur importance pour la protection des sols, la lutte contre la désertification et la régulation des ressources hydriques, les forêts tunisiennes font face à de nombreux défis : incendies, pâturage excessif, expansion urbaine et agricole, ainsi que les effets du changement climatique et de la sécheresse récurrente.

Selon des données officielles, la Tunisie a perdu environ 56 000 hectares de forêts entre 2016 et 2023, en raison des incendies et de la dégradation naturelle. Cette situation a fait de la réhabilitation du système forestier une priorité nationale.

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B7L9 lance un appel à candidatures pour des projets musicaux au sein de Delia Studio

Le Centre d’art B7L9 à Bhar Lazreg (La Marsa) a annoncé l’ouverture du premier appel à candidatures pour des projets musicaux dans le cadre de Delia Studio. Le dernier délai de dépôt des candidatures est fixé au 18 novembre 2025.

Installé au sein du centre d’art B7L9, le studio est ouvert aux artistes et entièrement équipé pour les accompagner dans des séances d’enregistrement, de répétition et de développement de leurs projets.

En dépit de la vitalité de la scène musicale tunisienne qui regorge de talents, de nombreux artistes émergents se heurtent encore à d’importants obstacles : un accès limité aux studios professionnels et au matériel d’enregistrement, ainsi qu’un manque d’espaces où ils peuvent expérimenter librement et développer leurs projets musicaux.

Cette initiative vise à dynamiser la scène musicale locale et à offrir un véritable tremplin aux jeunes artistes émergents, qu’ils travaillent sur leur premier morceau, l’enregistrement d’un EP ou la mise au point d’un set live. Les projets sélectionnés bénéficieront d’un accès à Delia Studio durant les mois de décembre 2025 et janvier 2026, permettant aux candidats retenus de concrétiser leurs idées et de tisser des liens avec d’autres artistes au fil de cette expérience artistique.

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