Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Football: Lionel Messi prolonge avec l’Inter Miami jusqu’en 2028

La star argentine Lionel Messi a officialisé la prolongation de son contrat avec l’Inter Miami jusqu’en 2028, a annoncé le club américain jeudi 24 octobre 2025. Initialement, son contrat courait jusqu’en décembre 2025. Cette décision confirme l’attachement de Messi à la ville et au projet du club floridien.

Dans une vidéo diffusée sur le compte X de l’Inter Miami, le joueur apparaît signant son nouveau contrat, souriant au milieu du chantier du futur stade Freedom Park, sous la légende : « Il est chez lui ».

Les mots de Messi et de Beckham

« Je suis heureux de pouvoir rester ici et de poursuivre ce projet », a déclaré Messi (38 ans) dans le communiqué officiel. Pour David Beckham, copropriétaire de l’Inter Miami, cette prolongation témoigne de « son engagement envers la ville, le club et le football », ajoutant que le champion du monde 2022 « est toujours aussi impliqué et veut toujours gagner. »

Parcours et performances récentes

Arrivé à Miami en juillet 2023, Messi avait quitté le Paris SG, où il avait remporté deux titres de champion de France après un passage contrasté. Auparavant, il avait brillé au FC Barcelone (2004–2021), avec 10 championnats d’Espagne et 4 Ligues des champions à son actif.

Cette saison, l’Inter Miami a terminé troisième de la Conférence Est et se qualifie de nouveau pour les playoffs, affrontant Nashville vendredi pour le premier tour. La prolongation assure à Messi de rester actif en club jusqu’à la Coupe du monde 2026, prévue aux États-Unis, au Canada et au Mexique du 11 juin au 19 juillet.

Une prolongation sans option supplémentaire

Le nouveau contrat de Messi ne comporte pas d’option pour une saison additionnelle. Il confirme néanmoins son rôle central dans le projet sportif de l’Inter Miami et la visibilité croissante du football nord-américain.

L’article Football: Lionel Messi prolonge avec l’Inter Miami jusqu’en 2028 est apparu en premier sur WMC.

Stade tunisien et ES Sahel : comment se qualifier en phase de groupes CAF ?

Les deux clubs tunisiens engagés en Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) abordent un week-end crucial. Après des défaites à l’extérieur 2-0 pour chacun, le Stade tunisien et l’Etoile sportive du Sahel doivent remporter leurs rencontres à domicile pour espérer se qualifier en phase de groupes. La marge d’erreur est réduite, et la pression est forte.

Stade tunisien : viser la remontada

Le Stade tunisien accueille l’Olympique de Safi samedi 25 octobre 2025 à 17h00 au stade Hamadi Agrebi de Rades. Leader du championnat local, le club du Bardo vise un large succès pour compenser la défaite au Maroc.

Malgré la 8ᵉ place de Safi dans son championnat national, le club marocain a montré sa puissance en battant Nigelec 6-0 au tour précédent. Les Tunisiens comptent sur la cohésion de leur collectif et l’impact de recrues comme Amine Habboubi et le Sénégalais Amadou Ndiaye. Le duo offensif Wael Ouerghemmi – Firas Ifia devra également briller.

Pour réussir, le Stade tunisien doit contrôler le milieu, se montrer efficace devant le but et éviter les erreurs défensives observées lors du match aller. Safi dispose de joueurs techniques, tels que Slaheddine Rahouli et Moussa Koné, capables de créer le danger à tout moment.

ES Sahel : sous pression maximale

L’Etoile sportive du Sahel reçoit le Nairobi City Stars dimanche 26 octobre 2025 à 18h00 à l’Olympico. Le club de Sousse est en crise en championnat (12ᵉ avec 9 points) et doit l’emporter par au moins trois buts pour se qualifier.

L’expérience continentale du club (4 titres en 1995, 1999, 2006 et 2015) est un atout dans ce contexte. Les joueurs, dont Raki Laouani, savent qu’un échec plongerait le club dans une crise profonde, sportive et administrative. La stratégie passera par un jeu offensif et une pression constante pour exploiter les failles adverses, à l’image de leur remontée contre Ahli Madani (3-0).

Enjeu majeur pour les deux clubs

Pour les deux représentants tunisiens, ces matches dépassent la simple qualification. Il s’agit de relancer leur saison et de répondre aux attentes de leurs supporters après des débuts européens difficiles.

L’article Stade tunisien et ES Sahel : comment se qualifier en phase de groupes CAF ? est apparu en premier sur WMC.

Al Ittihad – Al Hilal : à quelle heure et sur quelle chaîne suivre la rencontre ?

Le choc du championnat saoudien oppose Al Ittihad à Al Hilal, deux géants du football local. Les Jaunes de Djeddah cherchent à consolider leur position en tête du classement, tandis que les Blues de Riyad espèrent repartir avec les trois points pour rester dans la course au titre.

Ce duel promet une confrontation intense, avec des individualités capables de faire la différence à tout moment.

Diffusion télé : Le match sera diffusé en direct sur DAZN

Compétition : Saudi Pro League – 6ᵉ journée
Date et heure : vendredi 24 octobre 2025 à 20h00
Lieu : Stade King Abdullah, Djeddah.

L’article Al Ittihad – Al Hilal : à quelle heure et sur quelle chaîne suivre la rencontre ? est apparu en premier sur WMC.

Festival international du cinéma de la femme de Gaza : “The Voice of Hind Rajab”, de Kaouther Ben Hnia en ouverture

Huit films tunisiens figurent dans la sélection officielle de la 1ère édition du Festival international du cinéma de la femme de Gaza, qui se tiendra du 26 au 31 octobre 2025 à Deir el-Balah, dans la ville de Gaza.

La date choisie pour l’ouverture du festival coïncide avec la Journée nationale de la femme palestinienne, qui commémore la première conférence des femmes palestiniennes, tenue à Al Qods en 1929.

Organisé en partenariat avec le ministère de la Culture palestinien et plusieurs institutions arabes et étrangères, le festival présentera près de 80 films issus de 28 pays : Italie, France, Irak, Égypte, Maroc, Syrie, Liban, Algérie, Tunisie, Koweït, Suède, Sultanat d’Oman, Qatar, Jordanie, Canada, Soudan, Kenya, Yémen, Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Allemagne, Belgique, Australie, Finlande, Danemark, Argentine, Iran et Palestine.

Il a été fondé par Ezzaldeen Shalh, cinéaste et docteur en cinéma, ancien président du Festival du film de Jérusalem et de l’Union internationale du cinéma arabe. L’artiste, qui a perdu sa maison et une partie de sa famille, vit désormais sous une tente.

La présidente d’honneur du festival est Monica Maurer, cinéaste et chercheuse qui œuvre depuis des décennies à la préservation de la mémoire visuelle palestinienne.

Le programme comprend des documentaires, des courts métrages et des longs métrages de fiction qui racontent la vie, les voix et les luttes des femmes.

Sept films tunisiens figurent dans les quatre sections compétitives, dont deux longs métrages : la fiction Pour Ilef, premier long métrage de Saber Baccouch, adaptation éponyme du roman du réalisateur et écrivain, et le documentaire Nadine d’Abdallah Yahia.

Dans la section des courts métrages figurent les fictions Mima de Dorra Sfar et Les Clés de l’absence d’Amine Mejri, ainsi que trois documentaires : Des femmes sur scène de Zeinab Bent Salah, Épouvantails de la zone rouge de Jaleleddine Faouzi et Ma mère de Najoua Kaslim (coproduction Tunisie–Suède).

Le film d’ouverture (hors compétition) sera The Voice of Hind Rajab (La Voix de Hind Rajab) de Kaouther Ben Hania, candidat de la Tunisie aux Oscars 2026. Ce drame puissant, mêlant fiction et documentaire, est un huis clos de 89 minutes inspiré de faits réels bouleversants. Il raconte l’histoire de Hind Rajab, une fillette palestinienne de six ans piégée dans une voiture sous les bombardements à Gaza après avoir perdu sa famille.

Écrit et réalisé par Kaouther Ben Hania, The Voice of Hind Rajab est un docufiction lauréat du Lion d’argent (Grand Prix du Jury) et de six prix parallèles à la 82e Mostra de Venise, où il a fait sa première mondiale.

Cette coproduction tuniso-française a été saluée par la critique internationale comme « le film le plus puissant et le plus urgent du festival de cette année ». Des stars hollywoodiennes telles que Brad Pitt, Joaquin Phoenix et Rooney Mara en sont les producteurs exécutifs. Le film est porté par un casting palestinien composé d’Amer Hlehel, Clara Khoury, Motaz Malhees et Saja Kilani.

La Voix de Hind Rajab sera projeté pour la première fois dans le monde arabe.

Les 80 œuvres sélectionnées constituent autant de fenêtres ouvertes sur le monde pour une population résiliente. Les projections se tiendront dans un espace à ciel ouvert transformé en salle de cinéma, accessible à des spectateurs de tous âges.

Présidé par la réalisatrice et scénariste française Céline Sciamma, le jury des films de fiction comprend le réalisateur marocain Mohamed El Younsi, l’actrice italienne Jasmine Trinca, l’écrivain-réalisateur palestinien Fajr Yacoub et l’actrice-metteuse en scène algérienne Moni Boualam.

La cinéaste palestinienne Annemarie Jacir, réalisatrice du film Palestine 36, en lice pour les Oscars 2026, préside le jury du documentaire, aux côtés du producteur bahreïnien Bassim Al Thawadi, de la productrice italienne Graziella Bildesheim (présidente du Réseau audiovisuel des femmes européennes), du réalisateur koweïtien Abdulaziz Al-Sayegh et de la monteuse cubaine Maricet Sancristobal.

« La Palestine traverse la période la plus difficile de son histoire, au milieu de la guerre génocidaire dans la bande de Gaza… Des familles entières ont été rayées des registres d’état civil, des femmes et des enfants ont été pris pour cibles, et chaque victime porte sa propre histoire », indique le site du festival.

Le Festival international du cinéma de la femme de Gaza a été créé pour mettre en lumière les récits cinématographiques des expériences féminines.

Annoncé pour la première fois à Venise, le festival se tiendra grâce au soutien d’un large réseau d’associations de solidarité internationale.

L’article Festival international du cinéma de la femme de Gaza : “The Voice of Hind Rajab”, de Kaouther Ben Hnia en ouverture est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : l’INP organise à Kairouan une session internationale dédiée à la restauration des manuscrits

Une session de formation internationale en conservation et restauration des manuscrits se tiendra du 27 octobre au 5 novembre à Kairouan, a annoncé l’Institut national du patrimoine (INP).

La formation aura lieu au laboratoire national de la conservation et de la restauration des manuscrits.

Cette session, qui réunit des stagiaires de plusieurs pays arabes et africains, a pour objectif de partager les expertises et de faire connaître l’expérience pionnière de la Tunisie dans ce domaine. Elle vise également à renforcer la coopération régionale pour la préservation du patrimoine écrit arabe et africain.

La formation prévoit des conférences scientifiques ainsi que des ateliers pratiques animés par des experts reconnus. Y participeront des stagiaires originaires du Burkina Faso, du Niger, de la Côte d’Ivoire, du Mali et de la Libye.

L’article Tunisie : l’INP organise à Kairouan une session internationale dédiée à la restauration des manuscrits est apparu en premier sur WMC.

Diplomatie : la Tunisie et l’Australie veulent intensifier leur coopération économique et académique

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti a reçu, jeudi, Matt Skelly, ambassadeur du Commonwealth d’Australie en Tunisie avec résidence à Malte, qui lui a remis une copie de ses lettres de créance l’accréditant ambassadeur d’Australie en Tunisie.

À cette occasion, le ministre s’est félicité des liens d’amitié et de partenariat unissant les deux pays depuis l’établissement des relations diplomatiques en 1977, appelant à les renforcer dans les différents domaines d’intérêt commun, notamment sur les plans économique, commercial et des investissements, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

Le ministre a également mis l’accent sur les perspectives de coopération avec l’Australie dans plusieurs secteurs tels que l’agriculture, la gestion rationnelle de l’eau, les énergies renouvelables et les mines ainsi que les opportunités de nouer des partenariats en particulier dans les domaines de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et du développement des communautés locales.

Il a, en outre, appelé à l’organisation de visites de délégations d’hommes d’affaires des deux pays ainsi qu’à la tenue d’événements économiques en Tunisie et en Australie afin d’explorer les opportunités de partenariat et développer les échanges bilatéraux, soulignant le rôle que peut jouer la communauté tunisienne établie en Australie dans le renforcement de cette coopération.

S’agissant des prochaines échéances, notamment la tenue de la troisième session des consultations politiques entre les deux pays, le ministre a insisté sur la nécessité de les organiser dans les meilleurs délais et à un haut niveau politique.

Pour sa part, le diplomate australien a exprimé, lors de cette rencontre, la volonté de son pays de développer les relations bilatérales dans divers domaines et d’explorer les meilleures voies pour renforcer la coopération et identifier de nouvelles opportunités de partenariat entre les deux pays.

Il a aussi fait part de l’intérêt manifesté par les entreprises australiennes pour l’investissement en Tunisie, notamment dans les secteurs des mines, des énergies renouvelables et de la prospection pétrolière et gazière, ainsi que pour la mise en place de programmes permettant aux compétences tunisiennes de s’inspirer de l’expérience australienne, en particulier dans le domaine de la lutte contre les changements climatiques, dans le cadre d’une initiative australienne à l’égard des pays africains confrontés à ces défis.

L’article Diplomatie : la Tunisie et l’Australie veulent intensifier leur coopération économique et académique est apparu en premier sur WMC.

Machines agricoles italiennes : l’Italie confirme sa position en Tunisie et irrigue la ferme du futur

TUNIS — Le séminaire « Solutions italiennes pour la ferme du Futur », du 22 octobre au Novotel Lac, confirme la dynamique de rapprochement commercial et technologique entre l’Italie et la Tunisie dans le secteur agricole. Organisé par l’Agence ICE de Tunis en collaboration avec FEDERUNACOMA et le Bureau des Biens d’Équipement de Rome, l’événement a été inauguré par l’Ambassadeur d’Italie, la direction de l’ICE et une représentante de l’APIA tunisienne.

L’Italie demeure le premier fournisseur de machines agricoles pour la Tunisie, avec une part de marché de 30,5 % en 2024 (+35,7 % par rapport à 2023).

Huit entreprises italiennes à la rencontre du marché tunisien

Huit fabricants italiens — ANNOVI REVERBERI, ARGO TRACTORS, CIFARELLI, CIMA, MASCAR, RM, SELVATICI et SIMOL — ont pris part au cycle de deux jours. La délégation doit rencontrer plus d’une centaine d’opérateurs locaux (importateurs, distributeurs et acteurs de terrain) pour nouer des partenariats commerciaux et explorer des solutions adaptées aux exploitations tunisiennes, majoritairement familiales et privées.

L’ambassadeur Alessandro Prunas rappelle que « l’innovation et la durabilité sont au cœur de la coopération agricole italo-tunisienne », dans la continuité du programme TANIT.

Agenda : séminaire technique et visites professionnelles

La première journée (22 octobre) a été consacrée à un séminaire technique impliquant acteurs italiens (FEDERUNACOMA, AICS, CIHEAM) et institutions tunisiennes (INAT, APIA, CTAB). Les sessions ont mis l’accent sur l’innovation, la durabilité et l’adaptation des machines aux besoins locaux. La deuxième journée (23 octobre) était consacré aux visites chez des distributeurs et importateurs tunisiens de poids (MATEB, Domaine Neferis, HMT, Groupe Loukil, SOCOOPEC, OIS Tracteur, SOSEC), pour des démonstrations et rencontres B2B.

Chiffres clés du secteur agricole tunisien

La présentation conjointe d’APIA fait apparaître un profil agricole solide mais vulnérable :

  • Superficie totale de la Tunisie : 16 millions d’ha ;
  • terres labourables : 5,3 Mha (4,5 Mha cultivées) ;
  • forêts et parcours : 5,7 Mha.
  • 92 % des surfaces cultivées sont pluviales, seulement 8 % irriguées.
  • Le secteur agricole et agro‑alimentaire représente environ 13 % du PIB.
  • Produits phares : huile d’olive (place mondiale notable ; 2ᵉ producteur mondial sur le premier semestre 2025), dattes, fruits et légumes, produits de la pêche.
  • Croissance des échanges : sur les 9 premiers mois de 2024, les exportations depuis la Tunisie vers l’Italie dans l’agro-industrie ont atteint 1,1 Md€ (+17,4 % vs 2023).

Défis et perspectives : innovation et services

Au‑delà de la qualité technique des machines italiennes — unanimement saluée — les intervenants ont insisté sur la nécessité de structurer le service après‑vente. « Le véritable enjeu commercial se déplace désormais de l’excellence du produit vers l’excellence du service », a rappelé Bernard Prevete, directeur du bureau ICE de Tunis. Disponibilité de pièces, assistance technique sur l’ensemble du territoire et formation des réparateurs locaux figurent parmi les priorités pour transformer la vente en relation durable.

L’APIA affirme que « les projets durables et les financements verts constituent une priorité pour renforcer la compétitivité du secteur agricole tunisien ».

Déclarations et messages clés

L’Ambassadeur d’Italie, Alessandro Prunas, a mis en avant les synergies entre entreprises et institutions italiennes et tunisiennes, ainsi que le rôle du programme TANIT dans le cadre du « Piano Mattei ». Il a souligné l’importance de l’innovation et de la durabilité comme leviers de la coopération bilatérale. Côté tunisien, l’APIA accompagne l’investissement privé agricole et met l’accent sur les projets durables, l’accès aux financements verts et l’accélération des filières à haute valeur ajoutée.

Bernard Prevete souligne que « le véritable enjeu commercial se déplace désormais de l’excellence du produit vers l’excellence du service », insistant sur la formation et la disponibilité des pièces.

Vers la ferme du futur : durabilité, formation et opportunités

L’événement illustre une opportunité pour moderniser l’agriculture tunisienne : irrigation économe en eau, motorisation adaptée, solutions de précision et énergies renouvelables.

L’APIA, engagée dans des processus d’accréditation auprès du Fonds Vert pour le Climat, se positionne pour catalyser des investissements qui combinent performance économique et résilience climatique. Pour les industriels italiens, la Tunisie offre un marché porteur — mais exigeant — où après‑vente, formation et adaptation locale feront la différence.

Les organisateurs ont souligné que les « Solutions italiennes pour la ferme du Futur » est plus qu’un salon B2B : c’est un signal de renforcement des chaînes de valeur euro‑méditerranéennes autour d’un enjeu majeur — nourrir durablement et efficacement — et d’un appel à construire des partenariats service‑oriented.

Le succès dépendra désormais de la capacité des acteurs à transformer échanges commerciaux en coopération industrielle et en transferts de compétences durables.

CHIFFRES CLES

  • 30,5 % — L’Italie conserve une part dominante du marché tunisien des machines agricoles. Cette position reflète la solidité des échanges techniques et commerciaux bilatéraux. Elle confirme l’ancrage italien dans la modernisation agricole du pays.
  • 1,1 Md€ — Les exportations tunisiennes vers l’Italie dans l’agro-industrie ont progressé de 17,4 % sur un an. Cette tendance illustre la vitalité du commerce bilatéral et la montée en gamme des produits tunisiens.
  • 13 % — Le secteur agricole et agroalimentaire représente une part importante du PIB tunisien. Il demeure un levier essentiel de croissance et d’emploi, mais reste vulnérable au climat et à l’accès à l’eau.
  • 92 % — Les surfaces cultivées tunisiennes dépendent presque entièrement des pluies. L’irrigation limitée (8 %) met en avant la nécessité d’investir dans des technologies économes en eau.
  • 8 entreprises — Les fabricants italiens présents à Tunis cherchent à renforcer leur ancrage local par des partenariats et des services de proximité.

L’article Machines agricoles italiennes : l’Italie confirme sa position en Tunisie et irrigue la ferme du futur est apparu en premier sur WMC.

Inetum et la CCITF unissent leurs forces pour bâtir un écosystème numérique compétitif en Tunisie

La Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) et Inetum, groupe international de transformation numérique, ont signé, lundi 21 octobre à Tunis, un partenariat stratégique visant à renforcer les capacités numériques des entreprises adhérentes à la CCITF.

L’accord, paraphé par le président de la CCITF, Khelil Chaibi et le PDG du groupe Inetum, Jacques Pommeraud, prévoit la mise en place de programmes de formation sur des thématiques clés telles que l’intelligence artificielle, la cybersécurité, le cloud computing, la data analytics et les solutions d’entreprise intelligentes. Il comprend également l’organisation conjointe d’événements (séminaires, ateliers, conférences) dédiés à la transformation numérique et au renforcement des compétences professionnelles.

Ce partenariat vise à créer des synergies durables entre les sphères économique, technologique et institutionnelle afin de bâtir un écosystème d’innovation inclusif et compétitif. Au-delà du renforcement des compétences, cet accord a également pour objectif de soutenir l’internationalisation des entreprises tunisiennes et franco-tunisiennes, en valorisant les talents locaux et en consolidant la coopération bilatérale dans le secteur du numérique.

« Ce partenariat avec Inetum traduit notre conviction que la digitalisation et l’innovation technologique constituent des leviers essentiels pour le développement économique en Tunisie », a souligné Chaibi lors de la cérémonie de signature.

L’article Inetum et la CCITF unissent leurs forces pour bâtir un écosystème numérique compétitif en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : une récolte exceptionnelle de dattes à Kébili, pilier du secteur agricole national

Le secteur des dattes contribue de manière significative au produit intérieur brut (PIB) agricole et aux exportations alimentaires. Ses exportations ont atteint environ 128 mille tonnes au cours de la campagne écoulée, pour une valeur de près de 850 MD (millions de dinars), ce qui place les dattes au deuxième rang des exportations agricoles après l’huile d’olive, a souligné, jeudi, à Douz, le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh.

Dans son discours prononcé à l’ouverture de la campagne de la récolte des dattes à la ferme de Smida, dans la région de Zaafrane (délégation de Douz-Sud), le ministre a indiqué que le secteur des dattes contribue aussi à la relance et à la dynamisation de l’activité économique, en fournissant plus de 2 millions de jours de travail par an et des revenus à près de 50 mille familles, sans oublier son rôle dans la valorisation des ressources naturelles, la préservation des équilibres environnementaux et la dynamisation du tourisme saharien.

Le ministre a indiqué que la région de Kébili représente un pilier fondamental de la production de dattes en Tunisie, en produisant environ 298 mille tonnes de dattes, soit 75 % de la production nationale, en plus d’assurer environ 80 % de la production nationale de la variété «Deglet Nour » grâce à l’étendue de ses oasis (plus de 40 mille hectares).

Pour sa part, le commissaire régional au développement agricole, Oussama Rahmani, a fait savoir que la récolte de cette saison est exceptionnelle en termes de quantité et de qualité, grâce aux efforts conjoints des agriculteurs et des services administratifs pour la protéger des parasites et des aléas climatiques. Cette récolte est estimée à environ 298 mille tonnes, dont 284 mille tonnes de «Deglet Nour ».

Il a, toutefois, déploré les difficultés rencontrées en termes de commercialisation, étant donné que le nombre de collecteurs dans la région reste faible, ce qui ralentit l’opération de collecte et pourrait avoir un impact négatif sur le fonctionnement de la chaîne de production.

Le responsable a ajouté que le commencement de la récolte, annoncée aujourd’hui, représente une invitation aux consommateurs, particuliers ou commerçants, à se rendre dans la région pour s’approvisionner en dattes.

De son côté, le président de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP), Moez Ben Zaghdane, a déclaré que le secteur des dattes est confronté à de nombreuses difficultés et défis, dont la rareté de l’eau et le problème de la multiplication des puits non autorisés. Un problème qui doit être résolu, selon le responsable, car ces puits sont utilisés pour irriguer les nouvelles oasis qui représentent une locomotive pour la production des dattes.

À cela s’ajoute une série d’autres défis liés principalement aux changements climatiques et à la prolifération des maladies et des parasites, a-t-il enchaîné.

Il ne faut également pas oublier les défis de l’après-production, a-t-il ajouté, indiquant que le prix du kilo de dattes exportées a été d’environ 6 dinars, la campagne écoulée, ce qui est peu gratifiant aussi bien pour l’économie, que pour les exportateurs et les agriculteurs, d’où la nécessité de trouver de nouveaux marchés afin de mieux valoriser la production nationale de dattes et d’augmenter le volume des exportations afin que tous les acteurs de la filière puissent en tirer profit ».

L’article Tunisie : une récolte exceptionnelle de dattes à Kébili, pilier du secteur agricole national est apparu en premier sur WMC.

Green Forward Industrie : un projet pour booster l’économie circulaire et les emplois verts en Tunisie

Le projet Green Forward Industrie (GFI) financé par l’UE, a été lancé en Tunisie, par l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel, en collaboration avec l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), le ministère de l’Industrie, de l’Énergie et des Mines, et le ministère de l’Environnement, a annoncé jeudi, l’ONUDI.

L’événement GFI tenu le 22 octobre, “marque une étape décisive dans la transformation industrielle verte de la Tunisie en présentant aux parties prenantes les objectifs du projet : démontrer des modèles commerciaux innovants, économes en ressources et circulaires au sein des PME des secteurs de l’automobile, de l’électricité et de l’électronique, des industries vitales pour l’économie d’exportation de la Tunisie”, selon l’organisation onusienne.

« Dans le secteur industriel, l’économie circulaire n’est pas seulement une option, c’est une opportunité et une nécessité. Elle repose sur un principe simple mais puissant : réduire, recycler et valoriser. En outre, les constructeurs automobiles recyclent intégralement leurs véhicules en fin de vie. Je rappelle que le secteur automobile en Tunisie compte 300 entreprises qui assurent 120 000 emplois. Ce secteur contribue au PIB à hauteur de 6 %, avec 3 milliards de dinars d’exportations », a déclaré à cette occasion, la Cheffe de cabinet du ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Afef Chachi Tayari.

Dans le cadre de ce dialogue, un exercice de cartographie sectorielle a été lancé afin d’identifier les chaînes de valeur présentant le plus grand potentiel de circularité. Menée par “Beyond Solutions”, cette cartographie éclairera la sélection de projets pilotes qui seront mis en œuvre début 2026, présentant des modèles commerciaux circulaires qui favorisent la création d’emplois verts et la compétitivité internationale.

Le Représentant de l’ONUDI en Tunisie, Lassaad Ben Hassine a indiqué qu’en «s’appuyant sur les progrès réalisés dans le cadre du programme SwitchMed, le projet Green Forward Industrie tire parti de l’expertise technique de l’ONUDI pemplour aider les PME tunisiennes à adopter des modèles commerciaux circulaires, à débloquer de nouvelles opportunités d’exportation et à renforcer leur position dans les chaînes de valeur mondiales».

Le projet GFI s’inscrit dans le cadre plus large de l’Initiative Green Forward, un effort régional financé par l’Union européenne et mis en œuvre en Égypte, en Algérie, en Jordanie, au Liban, en Libye, au Maroc, en Palestine et en

Tunisie. Il soutient l’adoption de pratiques d’économie circulaire à travers des réformes politiques, le renforcement des capacités institutionnelles et une assistance technique au niveau des PME.

« Avec Green Forward Industrie, nous franchissons une nouvelle étape de notre partenariat stratégique avec la Tunisie. L’Union européenne est fière de soutenir l’adoption de modèles d’économie circulaire dans un secteur aussi clé que l’automobile, dont 80 % des exportations sont destinées au marché de l’UE. Cette initiative vise non seulement à réduire l’empreinte environnementale de l’industrie, mais aussi à renforcer sa compétitivité et donc à créer des emplois verts pour les jeunes et les femmes», a souligné l’Ambassadeur de l’UE en Tunisie, Giuseppe Perrone.

« Le projet Green Forward Industrie arrive à un moment décisif. Il s’agit non seulement d’une réponse aux enjeux environnementaux, mais aussi d’un levier de croissance, d’emploi et d’attractivité pour notre économie. Au nom du patronat tunisien, je réaffirme notre entière disponibilité à soutenir cette initiative, à mobiliser nos entreprises et à travailler la main dans la main avec nos partenaires nationaux et internationaux pour que la Tunisie devienne un modèle d’économie circulaire dans la région», a affirmé le membre du bureau exécutif de l’UTICA, Slim GHORBEL.

De 2024 à 2028, le projet Green Forward Industrie mettra en œuvre deux composantes principales, à savoir “démontrer des modèles commerciaux circulaires et améliorer l’accès des PME au financement ” et “promouvoir le partage des connaissances sur l’efficacité des ressources et l’économie circulaire”.

L’article Green Forward Industrie : un projet pour booster l’économie circulaire et les emplois verts en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : la hausse des importations d’équipement, un signe de reprise économique selon l’IACE

L’Institut Arabe des Chefs d’entreprises a estimé que la hausse des importations des produits d’équipement de 22,1%, à fin septembre 2025 (+1,2% en 2024) et des produits intermédiaires de 5,4%, durant la même période (-4,4% en 2024), peut être expliquée par «l’augmentation de besoin en intrants nécessaires à la production », ce qui constitue «un signal prometteur de l’amélioration de la croissance économique de la Tunisie».

«L’évolution de ces intrants traduit bien un passage d’une logique d’autosuffisance à une logique d’interdépendance où les importations sont à la fois un atout stratégique et un levier pour dynamiser les exportations», selon dans une note publiée jeudi, par l’IACE sous l’intitulé « Importations : les dessous d’un trend contrasté ».

L’Institut a fait état, de l’amélioration des indicateurs du secteur minier, notant que «la CPG ambitionne de porter la production à 5 millions de tonnes d’ici la fin de l’année». « Une reprise durable de la production du phosphate introduirait un soulagement significatif au solde commercial et pourrait même pallier le manque à gagner dû à d’éventuelles baisses du prix de l’huile d’olive »…«la croissance soutenue de ce secteur à grand potentiel ne peut être espérée sans résoudre les tensions sociales, les problèmes de transport de la marchandise et les retombées écologiques qui font ravage dans les régions».

En fait, l’IACE a souligné que l’économie tunisienne, portée par la hausse des importations de biens d’équipement et la reprise du secteur minier « semble retrouver un souffle productif, malgré une vulnérabilité persistante aux aléas de la demande mondiale ».

Toutefois, l’Institut a appelé à la prudence car cet optimisme demeure fragile, étant donné qu’ «il pourrait rapidement s’éclipser si les vents de la conjoncture favorable se retournaient et si les pré-requis d’une reprise pérenne ne sont pas satisfaits ».

Partant, il a considéré qu’il est impératif « d’accorder au secteur agricole l’importance qui lui est due, et d’accélérer la transition énergétique », afin de «garantir une performance durable».

Pour rappel, le déficit de la balance commerciale s’est encore creusé pour atteindre 16,728 milliards de dinars, au cours des neuf premiers mois de l’année 2025, contre 13,497 milliards durant la même période de 2024».

L’article Tunisie : la hausse des importations d’équipement, un signe de reprise économique selon l’IACE est apparu en premier sur WMC.

Tennis : Un dixième Masters 1000 prévu en Arabie saoudite dès 2028

L’ATP a annoncé jeudi la création d’un dixième tournoi Masters 1000, prévu à partir de 2028 en Arabie saoudite, en partenariat avec Surj Sports Investment, la filiale sportive du fonds public saoudien (PIF). Cette nouvelle étape marque une expansion majeure du circuit masculin, qui comptera désormais dix tournois de cette catégorie.

Un tournoi sur dur en début de saison

Le nouveau Masters 1000 sera disputé sur surface dure et programmé en début de saison, dans une ville encore à définir. Il s’étendra sur une semaine, a précisé le président de l’ATP, Andrea Gaudenzi, lors d’une conférence de presse à Paris.

Les deux tournois ATP actuellement organisés dans le Golfe, Doha et Dubaï, ont lieu en février. Le futur tournoi saoudien pourrait se tenir à une période proche, bien qu’il ne soit pas obligatoire pour les joueurs, contrairement à la plupart des Masters 1000.

Investissement confidentiel, ambitions affichées

Le montant investi par Surj n’a pas été communiqué. Son directeur général, Danny Townsend, a toutefois souligné que « le tennis a démontré ces dernières décennies qu’il générait un retour sur investissement pour ses financeurs ».

L’ATP et Surj étudient trois options pour la ville hôte. Cette annonce confirme la montée en puissance de l’Arabie saoudite dans le sport mondial, notamment dans le tennis où le royaume accueille depuis 2024 les Masters WTA à Riyad, rassemblant les huit meilleures joueuses de la saison.

Une première historique pour le circuit ATP

Créée en 1990, la catégorie Masters 1000 regroupe les tournois les plus prestigieux après les quatre Grands Chelems : Indian Wells, Miami, Monte-Carlo, Madrid, Rome, l’Open du Canada, Cincinnati, Shanghai et Paris.

Jusqu’ici, jamais leur nombre n’avait atteint dix. Cette extension survient alors que plusieurs joueurs dénoncent un rythme de compétition de plus en plus soutenu, le circuit s’étendant de janvier à novembre.

L’article Tennis : Un dixième Masters 1000 prévu en Arabie saoudite dès 2028 est apparu en premier sur WMC.

UBCI : progression soutenue des indicateurs au troisième trimestre 2025

L’Union Bancaire pour le Commerce et l’Industrie (UBCI) a publié ses indicateurs d’activité pour le troisième trimestre 2025, confirmant une dynamique de croissance dans ses principaux agrégats financiers.

Croissance du portefeuille de crédits

Au 30 septembre 2025, l’encours des crédits à la clientèle, net de provisions et d’agios réservés, s’élève à 3 649,541 millions de dinars tunisiens (MTND). Ce volume marque une hausse de 19,21 % par rapport à la même période de 2024, soit une progression de 588,154 MTND.

Évolution positive des dépôts

Les dépôts de la clientèle atteignent 3 960,535 MTND, contre 3 707,111 MTND un an auparavant. Cette augmentation de 6,84 % résulte principalement d’une croissance de 6,03 % des dépôts à vue et de 7,50 % des dépôts d’épargne, traduisant une confiance accrue des clients particuliers et entreprises.

Résultats d’exploitation en hausse

Les produits d’exploitation s’établissent à 423,504 MTND, enregistrant une progression de 10,38 % sur un an. Les charges d’exploitation, quant à elles, s’élèvent à 163,282 MTND, en hausse de 10,28 % par rapport à fin septembre 2024, traduisant un équilibre entre la progression des produits et celle des charges d’exploitation.

Produit net bancaire en progression

Le produit net bancaire (PNB) ressort à 260,222 MTND, soit une hausse de 10,44 % en glissement annuel.

Charges opératoires maîtrisées

Les charges opératoires enregistrent une progression de 8,80 %, principalement liée à l’augmentation des frais de personnel (+11,16 %). Cette évolution reflète les investissements consentis par l’UBCI dans son capital humain et le développement de ses capacités opérationnelles, afin d’accompagner sa dynamique de transformation et de croissance.

Site web : UBCI

L’article UBCI : progression soutenue des indicateurs au troisième trimestre 2025 est apparu en premier sur WMC.

Volley-ball – Nationale A : un programme remanié pour la première journée du championnat

Le championnat de Nationale A de volley-ball démarre ce week-end avec un programme réaménagé pour la première journée de la première phase. Les rencontres se dérouleront les 24 et 25 octobre dans plusieurs salles à travers le pays, réparties entre les poules A et B.

Poule B : un choc attendu à Msaken

La poule B ouvrira le bal ce vendredi 24 octobre, à 17h00, avec une affiche phare entre l’Étoile du Sahel et le CS Sfaxien, à la salle de Msaken. Deux clubs historiques qui entendent bien entamer la saison sur une bonne note.

Le lendemain, samedi 25 octobre, le CS Hammam-Lif accueillera l’UST Sfax à 16h00 dans la salle d’Hammam-Lif. Ce duel complétera le programme de la poule.

Poule A : Espérance – Marsa au menu

La poule A débutera samedi également, avec un rendez-vous très attendu entre l’Espérance de Tunis et l’AS Marsa, à 16h00 à la salle Zouaoui. Une rencontre qui s’annonce disputée entre deux formations habituées aux joutes nationales.

À 17h00, la salle Pépinière accueillera le match opposant Zitouna Sport au MS Boussalem, marquant la clôture de cette première journée pour le groupe A.

Report de deux rencontres

Deux confrontations ont été reportées à une date ultérieure :

SS Bou Saïd – CO Kélibia (poule A)

ASTT Sfax – FH Ghezaz (poule B)

L’article Volley-ball – Nationale A : un programme remanié pour la première journée du championnat est apparu en premier sur WMC.

Partenariat tunisio-japonais : Tunis El-Manar s’allie à l’Université des Communications Électriques du Japon

Un accord de coopération a été signé, ce jeudi à Tunis, entre l’Université Tunis El-Manar et The University of Electro-Communications (UEC) du Japon, en présence de l’Ambassadeur du Japon à Tunis, Takeshi Osuga.

Cet accord vise à favoriser les échanges entre chercheurs, enseignants et étudiants des deux établissements. Il s’inscrit dans le renforcement de la relation tunisio-japonaise dans le domaine technologique.

La signature de ce partenariat intervient après une précédente action de coopération : en avril 2025, l’UEC avait fait don de 1 750 tablettes PC au Ministère de l’Éducation pour soutenir l’enseignement numérique dans les écoles.

L’article Partenariat tunisio-japonais : Tunis El-Manar s’allie à l’Université des Communications Électriques du Japon est apparu en premier sur WMC.

Pollution à Gabès : “Stop Pollution” réclame le démantèlement total du Groupe Chimique Tunisien

La campagne “Stop Pollution” a réitéré son attachement à l’arrêt immédiat de l’activité des unités industrielles du Groupe Chimique Tunisien (GCT), jugées responsables des récentes fuites de gaz et des cas d’asphyxie collective survenus à Gabès.

Dans un communiqué publié, mercredi soir, la campagne a réitéré sa requête d’une décision politique visant la mise en œuvre effective du démantèlement des unités polluantes et l’ouverture d’une enquête urgente pour identifier les responsables des émanations toxiques persistantes.

Le communiqué appelle à l’annulation des projets d’hydrogène vert et d’ammoniac à Gabès et réaffirme la détermination des militants à poursuivre les mobilisations pacifiques jusqu’au démantèlement total des unités polluantes et à la mise en place d’un modèle de développement durable et équitable.

À noter que le tribunal de première instance de Gabès a décidé, jeudi, de reporter l’examen de l’affaire en référé, visant à suspendre la production du Groupe Chimique Tunisien jusqu’à la mise en œuvre effective de la décision de démantèlement.

L’audience a été renvoyée au 13 novembre prochain, à la demande des avocats et des habitants, afin de leur permettre d’élaborer leur dossier de défense, a souligné à l’Agence TAP, le président du conseil régional de l’ordre des avocats de Gabès, Mounir Adouni.

La région de Gabès a connu ces deux dernières semaines une série de protestations réclamant le démantèlement des unités du Groupe Chimique Tunisien, après des cas d’asphyxie liés aux émanations de gaz et sur fond de dégradation environnementale chronique.vg

L’article Pollution à Gabès : “Stop Pollution” réclame le démantèlement total du Groupe Chimique Tunisien est apparu en premier sur WMC.

Ligue Europa : les résultats complets de la 3ᵉ journée

La troisième journée de la Ligue Europa, disputée jeudi soir, a offert son lot de surprises et de confirmations à travers les stades européens.

À noter notamment la défaite de Nice sur le terrain du Celta Vigo (2-1) et celle de Lille face au PAOK Salonique (3-4), au terme d’un match spectaculaire. De son côté, Lyon a assuré l’essentiel en s’imposant 2-0 contre Bâle, tandis que Aston Villa a chuté aux Pays-Bas contre Go Ahead Eagles (2-1).

Parmi les autres résultats marquants, Nottingham Forest a dominé Porto (2-0), Feyenoord s’est imposé face au Panathinaïkos (3-1), et Fenerbahçe a pris le dessus sur Stuttgart (1-0). En revanche, la Roma a été surprise à domicile par Viktoria Plzen (1-2).

Voici tous les résultats :

Celta Vigo (ESP) – Nice (FRA) 2-1

Malmö (SWE) – Dinamo Zagreb (CRO) 1-1

Lille (FRA) – PAOK Salonique (GRE) 3-4

Young Boys (SUI) – Ludogorets (BUL) 3-2

Fribourg (GER) – FC Utrecht (NED) 2-0

Feyenoord (NED) – Panathinaïkos (GRE) 3-1

AS Rome (ITA) – Viktoria Plzen (CZE) 1-2

Nottingham Forest (ENG) – Porto (POR) 2-0

Celtic (SCO) – Sturm Graz (AUT) 2-1

FCSB (ROM) – Bologne (ITA) 1-2

Fenerbahçe (TUR) – Stuttgart (GER) 1-0

RB Salzbourg (AUT) – Ferencváros (HUN) 2-3

Brann Bergen (NOR) – Rangers (SCO) 3-0

Lyon (FRA) – Bâle (SUI) 2-0

Genk (BEL) – Betis Séville (ESP) 0-0

Go Ahead Eagles (NED) – Aston Villa (ENG) 2-1

Sporting Braga (POR) – Étoile rouge de Belgrade (SRB) 2-0.

L’article Ligue Europa : les résultats complets de la 3ᵉ journée est apparu en premier sur WMC.

Résultats de la 2e journée de Ligue Conférence : tous les scores à retenir

La deuxième journée de la Ligue Conférence, disputée jeudi, a livré son lot de confirmations et de surprises. Plusieurs clubs européens ont brillé, tandis que d’autres ont trébuché face à des adversaires moins attendus.

Carton plein pour la Fiorentina et l’AEK Athènes

La Fiorentina s’est largement imposée en déplacement face au Rapid Vienne (3-0), confirmant son statut de prétendante sérieuse dans cette compétition. De son côté, l’AEK Athènes a signé la victoire la plus marquante de la soirée en écrasant Aberdeen (6-0), un score sans appel qui témoigne de la puissance offensive du club grec.

Matchs serrés et surprises notables

À Mayence, les Allemands ont difficilement battu Zrinjski Mostar (1-0), tandis que Samsunspor s’est distingué en surclassant le Dynamo Kiev (3-0). Strasbourg, pour sa part, a dû se contenter d’un nul (1-1) contre Jagiellonia, malgré une domination stérile.

Certaines rencontres ont réservé des résultats inattendus : Lincoln FC, modeste représentant de Gibraltar, a surpris Lech Poznan (2-1), tandis que Shakhtar Donetsk a chuté à domicile face au Legia Varsovie (1-2).

Équilibre général et matchs disputés

La soirée a également été marquée par plusieurs matches nuls, signe d’un niveau homogène entre les formations engagées. Universitatea Craiova et le FC Noah se sont quittés sur un score de parité (1-1), tout comme Sigma Olomouc et Raków Czestochowa (1-1), ou encore Drita et Omonia Nicosie (1-1).

Le match entre Rijeka et le Sparta Prague a été interrompu alors que le score était de 0-0, [cohérence à vérifier] quant à la reprise programmée.

Autres résultats

Parmi les autres rencontres, Lausanne-Sport s’est imposé sur le terrain de Hamrun Spartans (1-0), AZ Alkmaar a pris le dessus sur le Slovan Bratislava (1-0), et Rayo Vallecano a arraché le nul en Suède contre Häcken (2-2).

Cette deuxième journée confirme l’intensité de la Ligue Conférence, où les surprises demeurent nombreuses et les écarts entre clubs européens souvent minces.

L’article Résultats de la 2e journée de Ligue Conférence : tous les scores à retenir est apparu en premier sur WMC.

Manouba : récupération de trois terres domaniales totalisant 30 hectares

Une opération de récupération de trois terres domaniales dans les localités d’Al Ansarine (2) et de Borj Khalsi (1) à Manouba a été réalisée, jeudi 23 octobre.

Selon la commission régionale de suivi des terres domaniales agricoles, ces terrains totalisant 30 ha ont été restituées suite à l’exécution de trois décisions d’évacuation pour exploitation illégale par autrui et non-respect du bail rural.

Le premier terrain agricole situé à Teboulba est de 13 ha alors que les deux autres terrains domaniales s’étendent sur une superficie de 17 ha.

L’article Manouba : récupération de trois terres domaniales totalisant 30 hectares est apparu en premier sur WMC.

❌