Lese-Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.

Bourse de Tunis: Le Tunindex clôture mardi dans le vert

L’euphorie se poursuit à la Bourse de Tunis. L’indice de référence a clôturé la séance, de mardi, 16 septembre 2025, sur une embellie de 0,5 % à 12 214,56 points, dans un volume de 10,8 MD, selon l’intermédiaire en Bourse, « Tunisie Valeurs ».

Le titre ATB s’est offert la meilleure performance de la séance. Dans un flux relativement soutenu de 411 mille dinars, l’action a signé une avancée de 6 % à 3,600 D.

Le titre BH ASSURANCE a figuré parmi les plus grands gagnants de la séance. Dans un maigre volume de 3 mille dinars, l’action de l’assureur a inscrit une hausse de 4,4 % à 65,800 D.

Le titre BH LEASING s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action a reculé de –4,3 % à 3,810 D faisant savoir que la valeur a été transigée à hauteur de 2 mille dinars seulement sur la séance.

Le titre UADH a, également, été mal orienté sur la séance. L’action a régressé de -3,2 % à 0,600 D notant que la valeur a amassé un volume limité de 7 mille dinars sur la séance.

Le titre ASSURANCES MAGHREBIA a chapeauté le palmarès des échanges de la séance. L’action s’est maintenue à l’équilibre à 50 D, en alimentant le marché avec des capitaux de l’ordre de 3,1 MD.

L’article Bourse de Tunis: Le Tunindex clôture mardi dans le vert est apparu en premier sur WMC.

Cinéma méditerranéen : “13e Round” de Mohamed Ali Nahdi sélectionné au 5e Festival d’Annaba

Le projet de long métrage “13e Round”, de Mohamed Ali Nahdi été retenu pour le Prix du “meilleur projet en phase de postproduction” du 5e festival d’Annaba du film méditerranéen qui se tient dans la ville algérienne 24 au 30 septembre 2025. Les quatre autres projets de fiction en lice pour la même compétition sont “Un numéro infini” de Carlo Lavagna (Italie), “Lueur Grise” de Michele Tyan (Liban), “Chroniques des années du Siège” d’Abdallah Al Khatib (Palestine) et “Les Derniers jours de R.M.” d’Amine Sidi-Boumediène (Algérie) indique commissariat du Festival.

Cette compétition sélectionne 10 projets de plusieurs pays est destinée à soutenir le développement et la postproduction de films soulignent les organisateurs.

Les cinq projets en compétition retenus pour le Prix du “Meilleur projet en phase de développement” sont “Le successeur invisible” de Robert Budina (Roumanie), “Al Bastardiya..Il était une fois à Tripoli” de Abdallah El Ghali (Liban-Egypte), “Dogmas” de Salah Issaad (Algérie), “Minus 40” de Wassim Khayar (Palestine) et “La Peste blanche” de Karim Bensalah (Algérie).

L’article Cinéma méditerranéen : “13e Round” de Mohamed Ali Nahdi sélectionné au 5e Festival d’Annaba est apparu en premier sur WMC.

Technologies de sécurité : 150 exposants attendus au SENA2025 au Kram

Le Salon International des Équipements, Technologies et Services de la Sécurité (SENA2025) ouvre ses portes du 15 au 19 octobre au Palais des Expositions du Kram, a annoncé la Chambre Syndicale Nationale des Entreprises de Sécurité Électronique (CSENSE).

Organisée par la CSENSE, relevant de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), cette sixième édition s’annonce comme un événement majeur pour le secteur. Elle réunira 150 exposants et accueillera plus de 20 mille visiteurs professionnels, faisant de SENA2025 une plateforme centrale de rencontre et d’interaction pour les acteurs locaux, africains et internationaux de la sécurité.

L’événement comptera également sur la participation de 45 délégations officielles, confirmant son envergure et son importance croissantes sur la scène internationale.

L’article Technologies de sécurité : 150 exposants attendus au SENA2025 au Kram est apparu en premier sur WMC.

Partenariat BNA–UTSS : une alliance pour renforcer la solidarité sociale en Tunisie

La Banque Nationale Agricole (BNA) et l’Union Tunisienne de Solidarité Sociale (UTSS) ont signé, lundi 15 septembre 2025 au siège de la banque à Tunis, une convention de partenariat visant à renforcer la solidarité sociale et à soutenir les catégories vulnérables à travers des programmes dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’inclusion sociale.

L’accord, paraphé par le directeur général de la BNA, Ahmed Ben Moulehom, et la présidente de l’UTSS, Naïma Jlassi, s’inscrit dans le cadre de la stratégie de responsabilité sociale et sociétale de la banque, conformément à la loi tunisienne n°2018-35 du 11 juin 2018, qui rend obligatoire la responsabilité sociale des entreprises (RSE) pour toutes les structures établies en Tunisie.

La convention vise à instaurer une coopération globale entre les deux institutions afin de concevoir et déployer des initiatives sociales ciblées, tout en promouvant une culture de cohésion et de solidarité nationale.

Rappelons que la RSE, définie comme l’intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leurs activités et leurs relations avec les parties prenantes, est désormais encadrée juridiquement en Tunisie, obligeant les entreprises à contribuer activement au développement durable et à l’intérêt général.

L’annonce a été relayée sur la page officielle Facebook de la BNA, confirmant la tenue de la cérémonie de signature et les objectifs du partenariat. Aucun détail financier ou calendrier opérationnel n’a été communiqué à ce stade.

L’article Partenariat BNA–UTSS : une alliance pour renforcer la solidarité sociale en Tunisie est apparu en premier sur WMC.

Campagne céréalière 2024/2025 : bilan national et préparation stratégique pour 2025/2026

Une journée nationale d’évaluation de la campagne céréalière 2024/2025 et de préparation de la campagne à venir se tiendra jeudi 18 septembre 2025 à l’Institut national agronomique de Tunis, à l’initiative du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

Cet événement a pour principal objectif d’analyser les performances agricoles passées et d’anticiper les besoins techniques et logistiques pour la saison prochaine.

Il sera également l’occasion de passer en revue les rendements obtenus, les difficultés techniques rencontrées par région, ainsi que les défis liés à la collecte et au stockage des céréales.

Le ministère profitera de cette occasion pour détailler, avec ses partenaires, le plan d’action pour la prochaine campagne, notamment en ce qui concerne la disponibilité des semences, des engrais et des mécanismes de financement.

Selon les dernières données de l’Office national des céréales (ONC), arrêtées au 4 août 2025, 11,823 millions de quintaux de céréales avaient été collectés, dont 11,115 millions de quintaux (96 %) avaient déjà été évacués vers les circuits de consommation.

L’article Campagne céréalière 2024/2025 : bilan national et préparation stratégique pour 2025/2026 est apparu en premier sur WMC.

Tunisie: Les entreprises allemandes maintiennent leur confiance malgré les freins administratifs

Malgré un contexte économique mondial incertain et des obstacles administratifs persistants, les entreprises allemandes présentes en Tunisie maintiennent leur confiance dans le potentiel du pays, c’est ce qui ressort d’une enquête annuelle présentée, mardi, par la Chambre tuniso-allemande de l’Industrie et du Commerce (AHK Tunisie),

Selon ces résultats, 73 % des entreprises interrogées prévoient de maintenir ou d’augmenter leurs investissements entre 2025 et 2026, tandis que 84 % anticipent une croissance de leur activité.

Cette confiance s’accompagne d’un certain optimisme quant à l’évolution de la situation économique tunisienne. En effet, 69 % des entreprises prévoient une stabilité ou une amélioration de la conjoncture en 2026, même si cette proportion recule par rapport à 2024, où 80 % des répondants se montraient confiants.

Les investisseurs allemands soulignent plusieurs atouts majeurs qui confortent la Tunisie dans son rôle de destination d’investissement, dont la proximité géographique de l’Europe qui facilite les échanges commerciaux.

La disponibilité d’une main-d’œuvre qualifiée et compétitive, notamment dans les secteurs industriel et technologique et apport qualité/prix des facteurs de production figurent également parmi les atouts.

Selon l’étude, cette confiance est, cependant, ternie par des obstacles administratifs en nette augmentation.

La même source souligne que 75 % des entreprises interrogées rencontrent des difficultés liées à l’administration, aux services douaniers ou à la Banque centrale, contre 45 % en 2024. Les questions autour du code des changes sont particulièrement problématiques.

D’autre part, les entreprises allemandes restent prêtes à investir et à renforcer leur présence en Tunisie, mais appellent les autorités à agir rapidement pour lever les barrières administratives, qui empêchent les investisseurs de tirer pleinement profit des avantages et des opportunités qu’offre la Tunisie .

En facilitant l’environnement des affaires, la Tunisie pourrait non seulement attirer davantage d’investissements, mais aussi stimuler la création d’emplois et favoriser le transfert de compétence, conclut l’étude.

L’article Tunisie: Les entreprises allemandes maintiennent leur confiance malgré les freins administratifs est apparu en premier sur WMC.

Tunisie–France : une convention pour dynamiser l’écosystème des startups et des technologies

La Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF) et l’association “Tunisia Technoparks” ont signé, lundi, à Tunis, une convention de partenariat visant à renforcer les synergies entre le monde académique, les startups et les entreprises tunisiennes et tuniso-françaises.

Ce partenariat vise à promouvoir l’innovation, la propriété intellectuelle, la recherche, le numérique, les nouvelles technologies et l’entrepreneuriat au service du développement économique de la Tunisie, indique la CCITF, mardi, dans un communiqué.

Signé par le président de Tunisia Technoparks, Hichem Turki et le président de la CCITF, Khélil Chaibi, cet accord entend renforcer l’écosystème entrepreneurial tunisien et dans la valorisation des échanges entre la Tunisie et la France dans les domaines technologique.

Il prévoit la mise en place d’actions de sensibilisation et de formation, l’organisation conjointe d’événements, ainsi que l’accompagnement des startups à travers des programmes de mentorat et d’accélération.

Tunisia Technoparks est une association qui fédère les pôles de compétitivité en Tunisie et accompagne le développement des startups, les PME innovantes et les projets de R&D.

L’article Tunisie–France : une convention pour dynamiser l’écosystème des startups et des technologies est apparu en premier sur WMC.

Tunisie : Réduction de 62 % de l’usage des HCFC et élimination totale des CFC

La Tunisie a réussi à réduire de 62,4 % l’usage des substances Hydrochlorofluorocarbones (HCFC) nuisibles à la couche d’ozone et utilisées dans plusieurs secteurs, tel que celui de la réfrigération et de la climatisation, par rapport au niveau de référence ( 725 Tonnes Métriques)

Le pays a ainsi, évité, la production près de 819 000 tonnes de CO2 équivalent, et ce depuis la ratification en 1989 du Protocole de Montréal relatif à des substances qui appauvrissent l’ozone, a indiqué, mardi, le Coordinateur de l’unité nationale d’ozone à l’Agence Nationale de Protection de l’Environnement (ANPE), Youssef Hammami.

S’exprimant lors d’un séminaire de célébration de la Journée Internationale de la protection de la couche d’Ozone, organisé, à Tunis, sous le thème « De la science à l’action mondiale – 40 ans de protection de l’ozone », le responsable a rappelé que « la Tunisie est également parvenue à l’élimination totale des chlorofluorocarbures CFC, entre 1995 et 2010, conformément aux engagements du Protocole de Montréal ainsi qu’à la suppression du bromure de méthyle dans la fumigation des dattes grâce à une innovation scientifique nationale menée en partenariat avec l’ONUDI et l’INAT ».

Les efforts nationaux visant à protéger la couche d’ozone ont également permis le renforcement des compétences nationales avec la formation et la certification de plus de 600 techniciens, 141 formateurs en réfrigération et climatisation et 256 agents de la douane, appuyés par un système national de certification garantissant des pratiques conformes aux standards environnementaux.

Par ailleurs, la Tunisie a ratifié l’amendement de Kigali en 2021 et entamé en janvier 2024, la mise en œuvre d’une stratégie nationale de réduction des HFC (hydrofluorocarbures), et ce à travers le projet KIP : Kigali Implementation Plan » visant une baisse de 23 % de la consommation nationale d’ici 2030, notamment via la conversion de lignes de production et l’amélioration de l’efficacité énergétique » a-t-il ajouté, expliquant qu’il s’agit de substances qui ne sont pas nocives à la couche d’ozone mais qui ont un fort impact sur le réchauffement climatique.

L’année 2025, marque le 40ème anniversaire de la Convention de Vienne (adoptée en1985), suivie de l’adoption du Protocole de Montréal en 1987. Ratifiés par 198 Parties, ces traités incarnent un modèle réussi de coopération internationale, ayant permis l’élimination de 99 % des substances qui appauvrissent la couche d’ozone et évité environ 135 milliards de tonnes d’émissions équivalent CO2 entre 1990 et 2010, tout en protégeant la santé humaine et les écosystèmes.

L’article Tunisie : Réduction de 62 % de l’usage des HCFC et élimination totale des CFC est apparu en premier sur WMC.

BCT – Paiements en chiffres : lettres de change +155 %, chèques –66,8 %

Les données de la BCT ont fait ressortir, en matière de télécompensation, une hausse vertigineuse du nombre de lettres de change utilisées (+155 % à 2,1 millions de lettres), représentant une enveloppe globale de 25,6 milliards de dinars, contre une chute du nombre de chèques (-66,8 % à 4 millions de chèques), soit un montant total de 27,6 milliards de dinars, c’est ce qui ressort du bulletin « Paiements en chiffres », publié mardi, par la Banque Centrale de Tunisie (BCT).

De même, les virements sont en hausse (+9,7 %) à 18,5 millions d’opérations, mobilisant une enveloppe à hauteur de 37,6 milliards de dinars.

Cartes bancaires et DAB/GAB

Par ailleurs, plus de 77,7 millions d’opérations réalisées par cartes bancaires ont été enregistrées en Tunisie, durant le premier semestre 2025, mobilisant une enveloppe globale de l’ordre de 13,8 milliards de dinars. Il convient de noter que 38 % de l’ensemble de ces opérations ont servi pour des paiements, en hausse de 9 % par rapport à la même période de l’année dernière, contre 62 % des opérations réservées au cash-out (retrait de billets de monnaie auprès des DAB).

La BCT a fait état, ainsi, de l’accroissement du nombre de cartes bancaires octroyées aux Tunisiens de 5,3 %, à 5 782 mille cartes. Quant au nombre de distributeurs automatiques (DAB/GAB), il a régressé de 0,5 %, à 3 289 appareils.

E-paiement, TPE et sites marchands

Pour ce qui est des opérations d’E-paiement et de paiement de proximité (TPE), elles ont enregistré une hausse en nombre, respectivement de 20,8 % (à 8,4 millions d’opérations) et de 16 % (à 21,3 millions d’opérations), au cours des six premiers mois de 2025.

S’agissant des sites marchands actifs, ils sont restés stables (+0,1 %) à 1 127 sites, par rapport au premier semestre 2024. Le nombre de TPE (terminal de paiement électronique) installés a progressé, quant à lui, de 3,6 %, à 40,6 mille appareils.

Paiement mobile

Sur un autre registre, la BCT a fait savoir que 4,2 millions de transactions ont été effectuées par mobile, durant le premier semestre 2025 (représentant une enveloppe de près de 1,3 milliard de dinars), dont 59,4 % ont servi pour des opérations de paiement et 33 % pour des opérations de transfert.

L’article BCT – Paiements en chiffres : lettres de change +155 %, chèques –66,8 % est apparu en premier sur WMC.

Flottilles pour Gaza : de la mémoire du Mavi Marmara aux 39 navires de la Flottille Soumoud

SUMUD pour GAZAUne flottille internationale a pris la mer depuis plusieurs ports, dont la Tunisie. Selon le site officiel de la Global Sumud Flotilla, 39 navires sont actuellement en route vers Gaza. Cette mobilisation s’inscrit dans une série d’initiatives visant à briser le blocus israélien imposé depuis 2007. Les organisateurs espèrent que cette traversée attirera l’attention mondiale et permettra d’ouvrir un couloir humanitaire.

Les origines du mouvement (2008)

Le Free Gaza Movement avait lancé en 2008 les premières missions maritimes. Deux bateaux avaient alors atteint Gaza avec succès, transportant des fournitures médicales et des activistes. Cette percée symbolique a marqué le point de départ d’une mobilisation citoyenne internationale par la mer.

Le traumatisme du Mavi Marmara (2010)

Le 31 mai 2010, l’assaut du navire Mavi Marmara par l’armée israélienne fait neuf morts et 28 blessés parmi les militants. L’opération, menée en haute mer, choque l’opinion mondiale et est condamnée par de nombreux États. L’ONU juge l’intervention « excessive et déraisonnable », même si le rapport Palmer estime que le blocus reste légal. Cet épisode donne au mouvement une visibilité inédite.

Une mobilisation persistante malgré les interceptions

Depuis 2010, plusieurs flottilles ont tenté de rejoindre Gaza, souvent interceptées avant d’atteindre leur objectif. Ces initiatives sont portées par des coalitions internationales composées de médecins, artistes, parlementaires et militants. Leurs missions visent à acheminer de l’aide humanitaire et à mobiliser l’opinion publique contre le blocus.

La Flottille Soumoud (2025)

En 2025, le mouvement prend une ampleur inédite avec la Flottille Soumoud. Initialement annoncée avec plus de 60 navires et 1 000 participants, elle compte aujourd’hui 39 bateaux en route, selon les chiffres communiqués officiellement. Les départs ont eu lieu depuis la Tunisie, mais aussi l’Espagne, l’Italie et la Grèce. Des personnalités comme Mandla Mandela et Adèle Haenel participent à cette mobilisation, qui se veut à la fois humanitaire et politique.

Une diplomatie populaire en mer

Au-delà des cargaisons de vivres ou de médicaments, ces flottilles représentent une forme de diplomatie citoyenne. Elles démontrent la volonté de citoyens venus de 44 pays de défendre la dignité humaine malgré des obstacles géopolitiques majeurs. En choisissant la mer, les organisateurs affirment leur engagement pour une résistance pacifique et une solidarité universelle.

L’article Flottilles pour Gaza : de la mémoire du Mavi Marmara aux 39 navires de la Flottille Soumoud est apparu en premier sur WMC.

Flottille Sumud pour Gaza : départ de 20 navires depuis les ports tunisiens

SUMUD GAZA
image d’illustration

Vingt navires ont pris le large depuis différents ports tunisiens, dont Sidi Bou Saïd, pour rejoindre la Flottille Sumud pour Gaza. Objectif affiché : briser le blocus israélien imposé à la bande de Gaza. À bord, des militants venus de plusieurs pays se sont embarqués pour porter un message de solidarité.

Le symbole du navire « Deir Yassin »

Parmi les bateaux engagés, l’un porte le nom de « Deir Yassin ». Ce choix rappelle le massacre éponyme et incarne la volonté des organisateurs de mettre la mémoire et l’histoire au service de la cause palestinienne.

Une mobilisation internationale

La flottille rassemble des activistes originaires de Tunisie, d’Algérie, du Royaume-Uni ou encore des États-Unis. Au total, des participants issus de 44 nationalités prennent part à l’initiative. Plusieurs figures du mouvement maghrébin de solidarité figurent également parmi les embarqués.

Nouvelle stratégie après l’échec terrestre

Cette action marque un changement de stratégie. Après l’échec de la caravane terrestre, les organisateurs ont opté pour la voie maritime. Ils espèrent que la pression internationale permettra à au moins une partie de la flottille d’atteindre Gaza.

Un message adressé aux habitants de Gaza

Dans leurs déclarations, les militants reconnaissent les retards et les difficultés rencontrés. Mais ils affirment leur détermination à poursuivre, en réaffirmant leur promesse d’espoir et leur volonté de rencontrer la population de Gaza.

L’article Flottille Sumud pour Gaza : départ de 20 navires depuis les ports tunisiens est apparu en premier sur WMC.

Gaza s’invite au Tour d’Espagne : Madrid dit non à l’impunité

Tour EspagneLe dimanche 14 septembre 2025, Madrid a connu un moment inédit. La 21e et dernière étape du Tour d’Espagne n’a pas eu lieu comme prévu. Des milliers de manifestants pro-palestiniens ont envahi le parcours, contraignant les organisateurs à interrompre la compétition. Leur cible : la présence de l’équipe Israel-Premier Tech, perçue comme un outil de normalisation des violences à Gaza.

Une mobilisation massive

Sur la Gran Vía, artère emblématique de la capitale, les barrières ont été renversées et les drapeaux palestiniens déployés. Les slogans « Ce n’est pas une guerre, c’est un génocide ! » ou encore « Boycott Israël ! » ont rythmé la manifestation. La foule, composée de familles, de jeunes et de personnes âgées, a défilé dans une ambiance pacifique mais déterminée, bloquant l’arrivée des coureurs.

Une fracture politique

L’événement a immédiatement trouvé un écho dans la sphère politique espagnole. Le Premier ministre Pedro Sánchez a salué le courage des manifestants, affirmant son admiration pour leur solidarité avec la Palestine. À l’inverse, le maire de Madrid, José Luis Martínez-Almeida, a dénoncé une « honte internationale » et a accusé certains responsables politiques d’avoir encouragé cette mobilisation. Ce contraste souligne la polarisation croissante autour du conflit de Gaza et de la place de l’Espagne sur la scène internationale.

Une sécurité mise à l’épreuve

Malgré un dispositif de plus de 1 500 policiers, la contestation a pris le dessus. La course a été écourtée de plus de 50 kilomètres et les cérémonies protocolaires annulées. Le Tour d’Espagne 2025 s’est donc terminé dans la confusion, loin des images de fête habituelles, mais marqué par une démonstration de mobilisation citoyenne.

Le sport face à la politique

Ce 14 septembre, Madrid n’a pas seulement été le décor d’une course cycliste. Elle est devenue l’expression d’un refus collectif d’associer le sport à une forme de propagande. Les manifestants ont rappelé que l’espace public appartient à la société civile, et que la solidarité avec les peuples opprimés peut se manifester jusque sur les pavés d’une grande compétition internationale.

L’article Gaza s’invite au Tour d’Espagne : Madrid dit non à l’impunité est apparu en premier sur WMC.

Nouvelle convention pour protéger les investisseurs et consolider la stabilité du secteur financier

Une convention de coopération et d’échange d’informations a été signée le 15 septembre courant, entre le Conseil du Marché Financier et l’Autorité de Contrôle de la Microfinance, annonce, mardi, le CMF.

La convention consacre “l’engagement des deux autorités à protéger les droits des investisseurs et des clients des institutions soumises à leur contrôle, tout en veillant au respect des législations en vigueur, notamment en matière de lutte

contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme et la prolifération des armes”.

Cette convention a pour objet “d’établir un cadre opérationnel de coopération entre les deux instances dans les domaines de la régulation et de la supervision, portant, notamment, sur l’échange d’informations et de données nécessaires à l’accomplissement des missions de contrôle, la réalisation de missions de supervision conjointes, l’organisation de programmes communs de formation et l’échange d’expertises techniques. Elle prévoit, également, la concertation sur les

textes législatifs et réglementaires ainsi que sur l’application des normes internationales en vigueur”.

La signature de cette convention s’inscrit dans “la volonté commune des deux autorités de développer la coopération institutionnelle et de consolider la solidité du secteur financier, contribuant ainsi au renforcement de la stabilité et à une

meilleure protection des investisseurs sur le marché financier ainsi que des bénéficiaires des services de la microfinance et du crowdfunding”.

La convention de coopération par été signée par le Directeur Général de l’Autorité de Contrôle de la Microfinance, Mahmoud Montassar Mansour et le Président du Collège du Conseil du Marché Financier Délégué, Hatem Smiri, dans le cadre du “renforcement de la coordination entre les autorités de régulation financière et de la consécration des principes de transparence et d’efficacité dans le contrôle des institutions du marché financier, des institutions de microfinance et des plateformes de crowdfunding”.

L’article Nouvelle convention pour protéger les investisseurs et consolider la stabilité du secteur financier est apparu en premier sur WMC.

Le CEPEX organise des rencontres professionnelles au Rwanda pour booster les échanges tuniso-rwandais

Des rencontres professionnelles et de partenariat seront organisées par le Centre de Promotion des Exportations (CEPEX), à Kigali au Rwanda, du 20 au 23 Octobre 2025.

Cet événement représente, selon le CEPEX, une occasion propice pour les entreprises tunisiennes pour découvrir le marché rwandais et nouer des relations d’affaires et de partenariats avec des opérateurs économiques de ce pays de hauts plateaux d’Afrique centrale.

Les entreprises tunisiennes qui pourraient prendre part à cet évènement sont principalement celles qui exercent dans les domaines de l’agroalimentaire, les industries mécaniques et électriques: composants automobiles, équipements industriels, maintenance et réparation, équipements électriques et électroniques, systèmes énergétiques intégrés et la robotique.

Il s’agit également des solutions IT :e-commerce, la cybersécurité, le paiement mobile, l’e-santé et l’e-banking.

D’autres domaines sont aussi concernés par ce déplacement, dont le secteur de la santé et du bien être: produits médicaux et para-médicaux, appareils et dispositifs médicaux, produits cosmétiques et aussi les industries diverses : détergents, produits en plastique, emballage, matériaux de construction.

La Tunisie et le Rwanda oeuvrent à accroitre le niveau de leurs échanges commerciaux dans le cadre des mécanismes offerts par le marché commun de l’Afrique orientale et australe (COMESA) et la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Les deux pays sont engagés aussi à renforcer les échanges économiques bilatéraux et à explorer les possibilités de coopération bilatérale dans des domaines prometteurs, tels que les énergies renouvelables et la transition énergétique.

Déjà, des projets de coopération dans le domaine de la distribution d’électricité et d’eau au Rwanda ont été réalisés en partenariat avec les services de STEG International et SONEDE International.

L’article Le CEPEX organise des rencontres professionnelles au Rwanda pour booster les échanges tuniso-rwandais est apparu en premier sur WMC.

Prévisions météo pour le 16 septembre : entre nuages et hausse des températures

Orages
Orages

TUNIS – La météo de ce mardi 16 septembre en Tunisie s’annonce partagée entre un ciel peu nuageux sur la majorité du territoire et des températures en hausse. Le temps sera clair en matinée, des nuages feront leur apparition localement dans l’après-midi, notamment sur l’ouest des régions du centre et du sud.

Un ciel partagé et des températures contrastées

Les prévisions indiquent un temps majoritairement ensoleillé en début de journée. Cependant, des formations nuageuses sont attendues en cours d’après-midi. Ce phénomène sera plus perceptible dans les zones ouest du centre et du sud du pays.

Côté températures, les contrastes seront marqués entre les différentes régions. Les maximales se situeront entre 30 et 34 °C sur les zones côtières et en altitude, tandis qu’elles atteindront 35 à 39 °C ailleurs. Cette disparité thermique est typique de la saison dans le pays.

Vent et état de la mer : un renforcement en fin de journée

Concernant le vent, il sera de secteur nord dans le nord et le centre du pays, et de secteur est dans le sud. Initialement faible à modéré, il devrait prendre de la force en fin de journée. Ce renforcement sera particulièrement notable près des côtes nord et sur les hauteurs.

L’état de la mer, quant à lui, restera globalement peu agitée. Une petite dégradation est néanmoins à prévoir dans la zone de Serrat, au nord-ouest de la Tunisie, où la mer deviendra progressivement agitée à mesure que le vent se lèvera.

L’article Prévisions météo pour le 16 septembre : entre nuages et hausse des températures est apparu en premier sur WMC.

DOSSIER | Former, innover, s’ouvrir : la nouvelle feuille de route de l’enseignement supérieur

Université Tunis El ManarFormer des enseignants à la hauteur des défis numériques et pédagogiques, tout en ouvrant davantage les universités tunisiennes sur l’international : telles sont aujourd’hui les priorités affichées par la Direction générale de l’Enseignement supérieur.

D’un côté, un investissement massif est consacré au développement des compétences pédagogiques et digitales des enseignants. L’objectif est clair : intégrer l’innovation, moderniser les pratiques, renforcer l’assurance qualité et stimuler une véritable culture de l’excellence dans les établissements.

De l’autre, la Tunisie cherche à accroître l’attractivité de ses universités en direction des étudiants et chercheurs étrangers, à travers la co-diplomation, la mobilité académique et de nouveaux partenariats scientifiques alignés sur les standards internationaux.

Dans ce mouvement, les filières technologiques et numériques occupent une place de choix. Elles se multiplient dans les universités tunisiennes, comme en témoigne l’Annuaire national des offres de formation, reflet de cette volonté d’arrimer le pays aux grandes transformations mondiales.

A.B.A

 

L’article DOSSIER | Former, innover, s’ouvrir : la nouvelle feuille de route de l’enseignement supérieur est apparu en premier sur WMC.

DOSSIER | Tunisie – Réformes universitaires : le temps des grandes mutations

UniversitésFace aux avancées scientifiques mondiales et aux bouleversements technologiques, l’université tunisienne s’engage dans une refonte profonde de son système de formation et de gouvernance. Transition numérique, développement durable, intelligence artificielle, ouverture internationale et employabilité des diplômés deviennent les piliers d’un enseignement supérieur en pleine mutation.

Dans un contexte marqué par l’accélération de la recherche scientifique et l’irruption du numérique, l’université tunisienne repense ses programmes. Les nouvelles spécialités, l’intégration des outils numériques et la coopération internationale structurée sont désormais cette transformation.

Au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, la mise en place des formations suit un circuit rigoureux : les propositions émanent des départements et conseils scientifiques, sont validées par l’université de tutelle, puis soumises à la Direction générale de la rénovation universitaire via la plateforme d’habilitation.

Les spécialités doivent impérativement répondre aux besoins nationaux, sectoriels et régionaux, tout en intégrant les priorités stratégiques fixées par le ministère.

Le virage du numérique

La transition numérique s’impose comme l’axe central de la réforme. Elle ne se limite pas à l’introduction de quelques outils mais touche l’ensemble des disciplines et des pratiques pédagogiques.

Exemples d’actions :

  • compétences numériques transversales : généralisation du certificat C2I et 2CN (décret n°631/2022).
  • révision des cursus : introduction de modules en programmation, data, cybersécurité, cloud, etc.
  • développement de filières spécialisées : ingénierie logicielle, réseaux, sciences des données, technologies éducatives.
  • enseignement hybride : généralisation de plateformes numériques (Moodle, Google Classroom, Université virtuelle).
  • formation des enseignants : pédagogie numérique, scénarisation des cours en ligne, usage d’outils interactifs.
  • innovation pédagogique : simulation, études de cas, classes inversées, pédagogie par projets.

Développement durable : une priorité transversale

La réforme universitaire s’aligne également sur les objectifs du développement durable. Les campus deviennent des lieux de sensibilisation et de recherche appliquée en faveur de l’environnement.

Axes stratégiques :

  • modules transversaux sur l’économie verte, la responsabilité sociétale et l’éthique.
  • filières spécialisées en énergies renouvelables, gestion durable de l’eau, urbanisme écologique, adaptation climatique.
  • projets de recherche appliquée : efficacité énergétique, recyclage, agriculture intelligente.
  • vie estudiantine : clubs et initiatives « campus vert », campagnes écologiques.
  • projet ARESSE : création d’un référentiel métiers-compétences pour l’environnement.

Intelligence artificielle et sciences de demain

La Tunisie ne veut pas rester en marge de la révolution de l’IA. Le système universitaire met en place des formations adaptées pour anticiper les besoins du marché de l’emploi.

Nouvelles initiatives :

  • Masters spécialisés en IA, machine learning, big data, traitement automatique du langage.
  • Projets de fin d’études et start-up en santé, industrie 4.0, fintech, etc.
  • Formations continues pour accompagner les reconversions professionnelles.

Partenariats et internationalisation

Les universités tunisiennes s’ouvrent désormais à une dynamique internationale de cocréation de programmes et de reconnaissance académique. Erasmus+, Co-diplômes, thèses en cotutelle… les dispositifs se multiplient pour renforcer l’attractivité du pays.

La réglementation nationale favorise cette orientation :

  • Décret n°631/2022 : les diplômes de licence peuvent être créés sous forme de double diplôme via des conventions.
  • Décret n°2012-1227 (mastère) : habilitation conjointe possible entre établissements tunisiens et étrangers.
  • Décret n°47/2013 (doctorat) : introduction des thèses en cotutelle.
  • Diplômes hors LMD (ingénieur, médecin, architecte, etc.) : ouverture progressive aux Co-diplômes internationaux.

Vers une réforme globale : qualité, employabilité et gouvernance

Au-delà des innovations pédagogiques et scientifiques, la réforme se veut structurelle et durable. Le ministère fixe plusieurs axes de transformation :

 

Objectifs

 

Axes de réforme

Qualité et excellence Transformation numérique, innovation pédagogique, évaluation continue
Modernisation de la gouvernance Gestion plus flexible des programmes, rationalisation de l’offre de formation
Ouverture internationale Attractivité accumulée pour les étudiants étrangers, partenariats renforcés
Assurance qualité Accréditations nationales et internationales, culture d’évaluation

 

L’employabilité au cœur du projet

Le défi majeur reste l’intégration des diplômés dans un marché de l’emploi en mutation.

Principales mesures :

  • Stages et alternance, coaching et accompagnement professionnel.
  • Adaptation de l’offre aux secteurs porteurs : numérique, énergies, santé.
  • Partenariats avec les entreprises pour coconstruire les programmes.
  • Développement de l’esprit entrepreneurial : incubateurs universitaires, statuts « étudiant-entrepreneur », start-ups issues des campus.

Un changement profond et irréversible

L’université tunisienne entre dans une nouvelle ère. Sa transformation, loin d’être un simple ajustement académique, vise à aligner l’enseignement supérieur avec les mutations du monde. En s’appuyant sur le numérique, l’innovation et l’ouverture internationale, elle ambitionne de renforcer sa compétitivité et d’offrir aux jeunes diplômés des perspectives mieux adaptées aux réalités économiques et sociétales.

Amel Belhadj Ali

Source : Document ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique

EN BREF

  • L’université tunisienne s’engage dans une réforme profonde pour s’aligner sur les mutations mondiales.
  • La transition numérique constitue l’axe central : outils digitaux, hybridation, nouvelles filières en IA, cybersécurité, data.
  • Le développement durable devient transversal : économie verte, énergies renouvelables, campus écologiques.
  • L’ouverture internationale s’intensifie : Erasmus+, co-diplômes, thèses en cotutelle, partenariats stratégiques.
  • L’objectif principal reste l’employabilité des diplômés : alternance, incubateurs, entrepreneuriat.
  • Une transformation structurelle visant qualité, excellence et attractivité à l’échelle régionale et mondiale.

L’article DOSSIER | Tunisie – Réformes universitaires : le temps des grandes mutations est apparu en premier sur WMC.

Signature d’un accord 1,5 million USD entre l’UNESCO et Fondation Sadok Besrour

L’UNESCO et la Fondation Docteur Sadok Besrour (Canada) ont signé le 15 septembre 2025, un accord pour la mise en œuvre du projet Soutenir le rôle de la culture dans le développement durable en Tunisie d’un budget de 1,5 million USD. Cet accord a été signé au siège de l’UNESCO à Paris par le directeur du Bureau régional de l’UNESCO pour le Maghreb, Charaf Ahmimed, et Sadok Besrour, le président de la Fondation qui porte son nom, (France), en présence de l’Ambassadeur et Délégué permanent de la Tunisie auprès de l’UNESCO, Dhia Khaled, indique l’UNESCO dans un communiqué qui souligne que ce partenariat contribuera à renforcer le rôle de la culture comme moteur de développement durable en Tunisie et à encourager les synergies régionales au Maghreb.

Le projet, conduit pendant quatre ans (septembre 2025 – novembre 2029), apportera un appui à la Tunisie dans les domaines de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel lié à l’artisanat, la protection du patrimoine mondial, la formation aux métiers du patrimoine et la promotion de l’économie créative.

La sauvegarde de savoirs et savoir-faire liés à l’artisanat et menacés de disparition sera renforcée grâce à un programme de transmission de 28 maîtes-artisans (7 par année de projet) à 84 apprentis (3 par métier et par an), contribuant ainsi à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de la Tunisie, dont les 9 éléments inscrits sur la Liste de l’UNESCO sont tous liés directement ou indirectement au domaine de l’artisanat.

La sauvegarde du patrimoine mondial bénéficiera d’un appui technique et de renforcement des capacités des acteurs impliqués dans la gestion des 9 sites du patrimoine mondial de la Tunisie. Ce thème inclura également une composante dédiée au dernier site inscrit, celui de Djerba, ainsi qu’un soutien à la finalisation du projet “Route du patrimoine UNESCO” en Tunisie et au développement de la thématique de la sauvegarde des systèmes oasiens.

La formation aux métiers du patrimoine est un besoin fondamental pour lequel le projet entend soutenir les efforts déployés par les institutions nationales tunisiennes, appuyées par un certain nombre d’acteurs internationaux. L’objectif est de former des jeunes comme intervenants qualifiés et futurs formateurs et ainsi de pérenniser cette action.

Pour ce qui est de la promotion de l’économie créative, l’objectif est de mieux faire connaître le potentiel de celle-ci, en particulier au niveau local, auprès des villes de Tunisie, essentiellement via le programme du Réseau des Villes créatives de l’UNESCO (RVCU). Cette activité permettra de renforcer les capacités des acteurs locaux qui pourraient ensuite, s’ils le souhaitent, mettre cela à profit pour la préparation de dossiers de candidature de villes au RVCU pour les cycles de 2027 et de 2029.

La communication en faveur du rôle de la culture dans le développement durable visera à promouvoir l’esprit et les objectifs de ce projet qui est inédit à bien des égards par la nature du partenaire de l’UNESCO (la Fondation), le cadre de coopération qui le porte (établissement d’un fonds général), sa durée (5 ans) et la diversité de son contenu (plusieurs composantes du mandat de l’UNESCO dans le domaine de la culture). Ces particularités servent le plaidoyer que porte l’UNESCO, à savoir promouvoir le rôle de la culture dans le développement durable et encourager les pays à adopter des politiques culturelles (thème de la Conférence mondiale sur les politiques culturelles et le développement durable – MONDIACULT 2025).

L’article Signature d’un accord 1,5 million USD entre l’UNESCO et Fondation Sadok Besrour est apparu en premier sur WMC.

ATB lance la Carte PayLater : Achetez maintenant, Payez plus tard

Fidèle à son rôle de banque citoyenne, l’Arab Tunisian Bank (ATB) innove avec la Carte PayLater, carte à paiement fractionné qui simplifie la vie de ses clients.

Avec un plafond jusqu’à 20.000 DT et la possibilité d’échelonner ses achats en six mensualités, PayLater combine flexibilité, sécurité et transparence pour une gestion sereine du budget.

Ainsi il est désormais possible de profiter de des achats immédiatement tout en répartissant le paiement sur plusieurs échéances de façon simple et transparente.

Disponible dans toutes les agences ATB, la Carte PayLater incarne l’engagement de la banque à offrir des solutions modernes, accessibles et responsables.

Plus d’infos : https://www.atb.tn/produits/carte-pay-later-presentation.php

L’article ATB lance la Carte PayLater : Achetez maintenant, Payez plus tard est apparu en premier sur WMC.

❌