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La BIAT affiche un PNB de 1 195,1 millions de dinars au 30 septembre 2025

La BIAT, Banque Internationale Arabe de Tunisie publie ses indicateurs d’activité trimestriels arrêtés au 30 septembre 2025 qui font ressortir les résultats suivants :

  • Un PNB de 1195,1 millions de dinars ;
  • Des charges opératoires de 538,0 millions de dinars ;
  • Des encours de dépôts de 21 570,2 millions de dinars ;
  • Des encours de crédits nets de 12 888,2 millions de dinars ;
  • Un coefficient d’exploitation de 45,0%.

 

Soutenue par la confiance de ses clients et la qualité de ses services, la BIAT inscrit ses performances financières dans la continuité et témoigne d’une rigueur de gestion et d’une capacité à créer de la valeur durable.

Au-delà des performances financières, la BIAT confirme sa dynamique de digitalisation. Ses plateformes MyBIAT et MyBIAT Corpo connaissent une adoption croissante grâce à de nouvelles fonctionnalités, une ergonomie repensée et un service renforcé de gestion à distance. La banque continue ainsi d’accompagner les usages numériques tout en garantissant la sécurité, la simplicité et la fiabilité des opérations.

L’innovation reste au cœur de la stratégie de la BIAT, comme en témoigne le lancement de la carte de paiement fractionné BIATFLEXY, une solution qui permet aux clients de régler leurs achats en plusieurs fois ou de bénéficier d’un différé de paiement selon la formule choisie. Cette nouveauté illustre la volonté de la BIAT d’offrir davantage de flexibilité et de confort dans la gestion du budget quotidien de ses clients, tout en consolidant son leadership sur le marché des solutions de paiement.

En parallèle, la BIAT poursuit la transformation de son réseau. Le programme de rénovation de ses agences continue son déploiement progressif à travers tout le territoire. Ces espaces modernisés offrent une expérience client fluide, personnalisée et tournée vers le conseil, illustrant la volonté de la banque de rapprocher l’expertise de ses équipes des besoins de chaque client.

La BIAT continue également de soutenir l’internationalisation des entreprises tunisiennes, notamment grâce à une garantie de 50 millions de dollars accordée par la Banque Africaine de Développement pour faciliter les opérations de « trade finance ».

L’année 2025 a par ailleurs consacré l’excellence et le leadership de la BIAT sur la scène financière. La banque a été élue « Meilleure Banque en Tunisie » par le magazine international Euromoney, une distinction prestigieuse qui vient saluer sa performance globale, la solidité de son modèle économique et la qualité de sa relation client. Elle a également été récompensée par Global Finance en tant que « Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie », confirmant l’expertise de ses équipes et son rôle de référence dans les métiers du change et du commerce international.

 

À travers ces réalisations, la BIAT démontre la cohérence de son modèle : une banque performante, innovante et engagée, au service de ses clients, de ses collaborateurs et de l’économie tunisienne. Fidèle à sa mission, elle continue d’allier croissance rentable, excellence opérationnelle et responsabilité sociétale, affirmant son rôle d’acteur majeur dans le développement national.

 

A propos de la BIAT :

Banque universelle, acteur de référence en Tunisie, la BIAT constitue aujourd’hui un groupe bancaire solide avec ses filiales dans les domaines de l’assurance, de la gestion d’actifs, du capital-investissement, de l’intermédiation boursière et du conseil. Implantée sur tout le territoire, la BIAT compte aujourd’hui 206 agences à travers toute la Tunisie. Près de 2500 collaborateurs travaillent au service de tous ses clients : particuliers, professionnels, PME, grandes entreprises et institutionnels.

Très attentive à sa responsabilité sociétale, la BIAT a traduit son positionnement citoyen par de nombreux engagements. La création de la Fondation BIAT pour la jeunesse tunisienne, au printemps 2014, en est emblématique et ancre cet engagement de façon pérenne.www.biat.com.tn

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BNA Assurances affiche un chiffre d’affaires de 136 Mtnd fin septembre 2025

Dernier entrant à la Bourse de Tunis, BNA Assurances a publié ses indicateurs d’activité pour le troisième trimestre de l’exercice 2025.

La compagnie a enregistré une progression de son chiffre d’affaires de 10,6%, atteignant 42,873 Mtnd. Cette croissance est principalement tirée par le segment Vie, dont les primes émises nettes sont passées de 4,705 Mtnd au troisième trimestre 2024 à 7,260 Mtnd cette année.

Du côté des branches Non-Vie, l’Automobile reste le principal moteur de l’activité, avec des primes émises s’élevant à 32,610 Mtnd.

À fin septembre, les primes totales émises se sont établies à 136,021 Mtnd, en hausse de 9,8% sur un an. L’essentiel du volume d’affaires est porté par les segments Automobile (97,928 Mtnd) et Vie (27,843 Mtnd).

Les sinistres réglés ont connu une hausse de 13,8%, atteignant 22,666 Mtnd au troisième trimestre 2025. Cette augmentation est principalement imputable à la branche Automobile, avec 19,244 Mtnd d’indemnisations. Sur les neuf premiers mois de l’année, les indemnisations totales se sont élevées à 72,156 Mtnd.

Les produits de placement ont, quant à eux, atteint 30,693 Mtnd au terme des neuf premiers mois de l’exercice.

En Bourse, le titre évolue à l’équilibre. Les perspectives de croissance de la compagnie sont solides, surtout avec le potentiel de synergie avec un établissement de crédit de la taille de la BNA Bank.

Pour rappel, l’assureur a terminé le premier semestre sur une note positive, avec un bénéfice net de 7,218 Mtnd. Dans le prospectus d’introduction en Bourse, les prévisions évoquent un résultat 2025 de 14,462 Mtnd, un niveau que la compagnie est capable d’atteindre.

 

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Financement des PME: des bailleurs internationaux détaillent leurs offres en Tunisie

L’accès au crédit demeure l’obstacle majeur pour quatre entreprises sur dix dans les économies émergentes, rappelle la Banque mondiale. Un diagnostic qui résonne particulièrement en Tunisie, où la deuxième édition des «Rencontres du Financement» a réuni le 21 octobre 2025 un panel d’institutions financières internationales face à un tissu entrepreneurial en demande de solutions concrètes.

Organisé par la Chambre de commerce et d’industrie tuniso-française, le forum a traité 61 demandes de financement émanant d’entreprises tunisiennes tous secteurs confondus. Quarante-cinq entretiens bilatéraux entre porteurs de projets et financeurs ont été programmés parallèlement aux sessions plénières.

Khelil Chaibi, à la tête de la Chambre, a cadré les enjeux en appelant à repenser les outils de financement. Son intervention a mis l’accent sur l’impératif d’aligner les mécanismes financiers sur les contraintes opérationnelles des PME locales, confrontées simultanément à des mutations technologiques, des exigences environnementales croissantes et un contexte économique complexe. Les préconisations des organismes multilatéraux plaident pour un bouquet diversifié associant crédit bancaire classique, injection de capitaux, dispositifs de garantie et appui technique.

BERD: 2,7 milliards d’euros mobilisés via quatre dispositifs d’intervention

Depuis son entrée en Tunisie en 2012, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement a mobilisé plus de 2,7 milliards d’euros dans l’économie nationale, avec une contribution de 240 millions sur la seule année 2024. Firas Moalla, banquier associé au département secteur privé, a détaillé l’architecture de l’offre institutionnelle.

Les entreprises peuvent d’abord solliciter un accompagnement consultatif dont la BERD assume 70 % du coût. Cette prestation couvre l’optimisation des chaînes de production, la mise aux normes internationales ou encore la réalisation d’audits énergétiques préparatoires à des installations solaires.

Au-delà de dix millions d’euros, la BERD octroie des prêts en direct. Pour les montants inférieurs, dès un million d’euros, elle a conçu un mécanisme de garantie partielle adossé aux contrats standards des banques tunisiennes partenaires. Cette formule simplifie les procédures tout en ouvrant l’accès à l’assistance technique et, dans certains cas, à des subventions additionnelles.

Trois illustrations concrètes ont été présentées: un conditionneur ayant acquis une ligne de production réduisant la consommation électrique de 15%, un transformateur agroalimentaire équipé d’une installation photovoltaïque et d’un système économisant 90% de la ressource hydrique, ainsi qu’une unité industrielle dotée d’une centrale solaire de 5 mégawatts.

La BERD injecte également directement des fonds propres dans certaines sociétés et participe à plusieurs véhicules d’investissement tunisiens. Dans le segment PME, Firas Moalla a évoqué Land’or, qui a développé une implantation industrielle au Maroc, ainsi que Telnet.

La Banque cible aussi les établissements bancaires locaux, les institutions de microfinance et les sociétés de crédit-bail. Dans les jours précédant la rencontre, deux accords de lignes de crédit ont été paraphés avec des banques pour faciliter l’accès de leur clientèle à des prêts destinés aux investissements écologiques.

Chaque dossier est évalué selon six critères: compétitivité, qualité de la gouvernance, inclusion socio-économique, résilience et performance environnementale, ce dernier axe occupant une position prioritaire.

BAD: un portefeuille régional de 600 millions d’euros

Fernando Rodrigues, responsable des opérations du secteur privé pour l’Afrique du Nord à la Banque africaine de développement, a exposé l’étendue des instruments disponibles. Au premier trimestre 2025, l’enveloppe dédiée au secteur privé dans la zone nord-africaine s’élevait à plus de 600 millions d’euros, extraite d’un portefeuille continental global de 5 milliards.

La structure de financement repose majoritairement sur des prêts à longue maturité (60 % du volume), complétés par des lignes de crédit, des injections en fonds propres et des garanties partielles de risque.

La BAD vise les entreprises autonomes financièrement, dotées d’une gouvernance structurée, pour des opérations démarrant à 10 millions d’euros. L’institution couvre typiquement le tiers du montant total requis. Les durées de remboursement s’étendent jusqu’à 15 ans, prolongées à 20 ans pour les projets d’infrastructure ou énergétiques. Des ressources concessionnelles viennent bonifier les conditions tarifaires dans le domaine des énergies renouvelables.

Le projet solaire de Kairouan, cofinancé avec la SFI pour 37 millions d’euros, constitue un exemple local de cette approche combinée. À l’échelle régionale, la Banque a appuyé un industriel franco-ivoirien spécialisé dans la transformation du caoutchouc et participé au bouclage financier d’une cimenterie de 50 millions d’euros au Maroc.

IFC: 68 millions d’euros dans l’agroalimentaire

Sarah Morsi, représentante résidente de la Société Financière Internationale, a explicité les conditions d’éligibilité. En janvier dernier, l’IFC a débloqué 68 millions d’euros pour un producteur tunisien de tomates cerises employant 3000 personnes dans la région de Gabès. Elle a également structuré le financement de la centrale solaire Tozeur One (100 mégawatts) sur une échéance de vingt ans.

Le ticket minimal d’entrée constitue le premier filtre : l’IFC requiert dix millions de dollars ou d’euros, un montant justifié par l’ampleur des coûts de traitement. Cette barrière peut être abaissée pour des initiatives présentant un potentiel de développement exceptionnel. La rentabilité commerciale, la solidité technique et le respect des standards environnementaux et sociaux complètent la grille d’analyse.

L’institution propose des participations minoritaires directes, plafonnées à 20% du capital, étalées sur une période pouvant atteindre dix ans. Pour les PME ne franchissant pas le seuil d’intervention directe, l’IFC a élaboré une stratégie d’accès indirect via les banques commerciales, les sociétés de leasing et les fonds de private equity. Un investissement récent dans le fonds Flat6Labs en Tunisie illustre cette approche.

Le volet conseil constitue un complément: diagnostics sur les pratiques de gouvernance, études d’efficience énergétique et accompagnement dans les stratégies de décarbonation, notamment face au dispositif européen d’ajustement carbone aux frontières.

Sarah Morsi a listé les secteurs d’intervention prioritaires: l’industrie pharmaceutique dans le cadre de l’objectif africain de 60 % d’autosuffisance médicamenteuse d’ici 2030-2035, les énergies renouvelables, l’agroalimentaire et la gestion hydrique. L’IFC travaille actuellement avec l’ONAS et la SONEDE sur des programmes visant à renforcer leur viabilité financière et à structurer des montages de partenariat public-privé.

 

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World Labs: la startup qui réinvente la création de mondes virtuels en 3D

La start-up World Labs, fondée par Fei-Fei Li, a lancé un modèle innovant, le RTFM (Real-Time Frame Model), qui va transformer la création de mondes virtuels. Ce modèle permet de générer des environnements 3D en temps réel à partir d’une simple image ou d’un prompt, offrant ainsi des mondes numériques interactifs, sans nécessiter de grosses ressources de calcul.

Ce qui distingue RTFM des autres technologies, c’est sa capacité à créer des mondes qui réagissent aux actions de l’utilisateur. Contrairement aux systèmes traditionnels qui produisent des scènes figées, RTFM rend les mondes dynamiques, évoluant à mesure que l’utilisateur interagit avec eux. Ce n’est pas juste une visualisation d’un décor, mais une expérience immersive où chaque mouvement influence l’environnement.

Une autre avancée majeure du RTFM est sa capacité à créer des mondes persistants. Cela signifie que l’environnement ne disparaît pas quand vous changez de perspective ou détournez le regard. Les mondes restent cohérents et continus, même après un long moment d’interaction. Cette particularité ouvre des possibilités pour des applications comme la formation ou la simulation, où il est important que le monde virtuel reste intact tout au long de l’expérience.

Ce modèle ne se limite pas aux jeux vidéo ou à la réalité virtuelle. Il peut aussi transformer des secteurs comme l’éducation, en offrant des expériences d’apprentissage plus immersives, ou l’architecture, en permettant de créer des simulations réalistes pour tester et visualiser des projets.

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Top 10 des marchés financiers les plus développés en 2025

L’Afrique du Sud conserve sa première place au classement des marchés financiers africains les plus développés en 2025, selon le rapport « Absa Africa Financial Markets Index 2025 », publié le 16 octobre 2025 par le groupe financier sud-africain Absa Group en collaboration avec le Forum officiel des institutions monétaires et financières (OMFIF). Ce classement met en lumière les performances de 29 marchés africains, représentant près de 80 % du PIB et de la population du continent.

En fait, le classement repose sur plus de 40 indicateurs regroupés en six grandes catégories, notamment la profondeur du marché, l’accès aux devises étrangères, l’environnement fiscal et réglementaire, la transparence du marché, le développement des fonds de pension, l’environnement macroéconomique ainsi que la solidité des normes juridiques. Chaque marché est noté sur une échelle de 10 à 100 points, et le score global correspond à la moyenne de ces différentes catégories.

Avec un score global de 86 points, en légère baisse par rapport à 2024, l’Afrique du Sud conserve la tête du classement. Son marché, le plus mature du continent, excelle dans plusieurs domaines, notamment les normes juridiques (100 points), la profondeur du marché (98 points) et la transparence réglementaire (96 points). En revanche, le pays recule légèrement sur le plan macroéconomique et dans le développement des fonds de pension.

Maurice maintient sa deuxième place avec 76 points, confirmant sa stabilité financière et réglementaire, tandis que l’Ouganda progresse et s’empare de la troisième position (66 points), devant le Nigeria (65 points) et la Namibie (64 points).

Voici le top 10 :

  1. Afrique du Sud – 86 points

  2. Maurice – 76 points

  3. Ouganda – 66 points

  4. Nigeria – 65 points

  5. Namibie – 64 points

  6. Botswana – 63 points

  7. Ghana – 60 points

  8. Maroc – 56 points

  9. Kenya – 56 points

  10. Zambie – 55 points

La Tunisie ?

Concernant la Tunisie, le rapport indique que son score est resté inchangé par rapport à l’année précédente, rejoignant les huit pays africains dont la performance n’a ni progressé ni reculé. 

Au total, neuf pays ont amélioré leurs scores – parmi lesquels le Rwanda, le Botswana et le Lesotho –, tandis que onze ont enregistré un recul, notamment le Maroc, le Kenya et l’Égypte.

 

 

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Le Maroc augmente son budget de défense: 15,3 milliards de dollars en 2026

Le Maroc va consacrer plus de 15 milliards de dollars à sa défense en 2026, une hausse significative de 17,7% par rapport à l’année précédente. Ce budget, qui atteindra 157,17 milliards de dirhams, montre l’engagement du pays à renforcer ses capacités militaires. En comparaison, le budget de la défense, en 2025, était de 133,45 milliards de dirhams.

Depuis plusieurs années, le Maroc investit de plus en plus dans son armée, plaçant le pays parmi les plus dynamiques de la région. En plus de l’augmentation des fonds, le gouvernement prévoit la création de 8 000 nouveaux postes dans l’armée, ce qui fait de la Défense nationale le deuxième plus grand employeur public du pays.

Cette montée en puissance se fait dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes en Afrique du Nord, notamment avec l’Algérie voisine, dont le budget militaire de 2026 atteint 24,6 milliards de dollars, presque le double de celui du Maroc.

Le Maroc mise aussi sur des partenariats stratégiques avec des pays comme les États-Unis, la France et Israël, ainsi que sur le développement de ses propres capacités en cybersécurité et défense aérienne. Ce projet reflète la volonté de Rabat de moderniser son armée face à un environnement régional de plus en plus complexe.

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Gouvernance en Tunisie: 64% des entreprises non cotées sans comité d’audit

Une enquête menée auprès des entreprises non-financières et non cotées en Tunisie révèle que près de la moitié d’entre elles (49%) choisissent leurs commissaires aux comptes sur la base de recommandations personnelles, tandis que la majorité (63,8%) ne dispose d’aucun comité d’audit. Ces résultats mettent en lumière des défis majeurs en matière de transparence financière et de gouvernance au sein de ce segment d’entreprises.

Cette étude s’inscrit dans le cadre de la 7ᵉ édition du Forum de la Gouvernance, organisée par le Centre Tunisien de Gouvernance des Entreprises (IACE). L’événement évalue l’impact et les limites de la loi n° 2005-96 du 18 octobre 2005, vingt ans après son adoption, notamment en matière de sécurité des relations financières. L’enquête vise à analyser l’application concrète des dispositions légales, avec un focus sur la transparence de l’information financière, l’indépendance des commissaires aux comptes et la gouvernance interne des sociétés.

L’enquête a été menée auprès de 60 entreprises non-financières et non cotées, révélant des profils variés : 30% sont des sociétés anonymes (SA), 30% des sociétés à responsabilité limitée (SARL) et 40% des SUARL ou autres formes juridiques. En termes de taille, 44,7% emploient plus de 50 personnes, 36,2% entre 10 et 50, et 19,1% moins de 10 salariés.

Le Registre National des Entreprises (RNE) joue un rôle central dans la communication et la vérification des informations : 81% des entreprises l’utilisent pour publier leurs informations financières et 89,4% s’en servent pour vérifier la situation juridique de leurs partenaires.

Concernant l’audit externe, 66% des entreprises y recourent, mais les pratiques de sélection restent largement informelles : 49% des répondants privilégient la recommandation personnelle, 21% passent par des appels d’offres, 15% alternent entre cabinets, et 15% choisissent arbitrairement. La rotation des commissaires aux comptes en cas de conflits d’intérêt reste très faible : 91% n’ont jamais changé d’auditeur pour ce motif, contre seulement 8,5% qui l’ont fait.

Enfin, l’absence de comités d’audit constitue un point critique. Seulement 36,2% des entreprises disposent d’un comité d’audit, un indicateur qui souligne le besoin urgent de renforcer les mécanismes de surveillance interne et d’améliorer la gouvernance dans ce segment d’entreprises.

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BYD et la BIAT unissent leurs forces pour accélérer la mobilité durable en Tunisie

Dans le cadre de son engagement pour une mobilité plus propre et plus innovante, BYD (Build Your Dreams), leader mondial des véhicules électriques et hybrides rechargeables, s’associe à la BIAT pour promouvoir la transition énergétique et la mobilité durable en Tunisie.

Ce partenariat stratégique, développé en collaboration avec Helios, concessionnaire officiel de BYD et distributeur d’équipements propres, vise à offrir aux clients de la BIAT un accès facilité aux technologies de mobilité électrique les plus avancées au monde.

À travers cette alliance, les clients de la BIAT bénéficieront de conditions exclusives :

• Remises préférentielles sur l’acquisition de véhicules électriques et hybrides BYD.

• Offres de financement avantageux, spécialement conçues pour accompagner l’achat de véhicules propres.

• Crédit Rénov à taux préférentiel, pour l’installation de panneaux photovoltaïques auprès de Helios New Energy.

Avec ce partenariat, BYD confirme son rôle pionnier dans la transition vers une mobilité plus respectueuse de l’environnement, et renforce sa présence en Tunisie à travers des actions concrètes et durables.

De son côté, la BIAT affirme son engagement RSE en soutenant les solutions de financement vert et les projets à impact positif.

 

À propos de BYD BYD est une entreprise multinationale de haute technologie engagée à mettre l’innovation au service d’une vie meilleure. Fondée en 1995 comme fabricant de batteries rechargeables, BYD possède aujourd’hui un champ d’activités diversifié couvrant l’automobile, le transport ferroviaire, les énergies nouvelles et l’électronique, avec plus de 30 parcs industriels répartis en Chine, aux États-Unis, au Canada, au Japon, au Brésil, en Hongrie et en Inde.

De la production et du stockage d’énergie à ses applications, BYD s’attache à fournir des solutions énergétiques zéro émission afin de réduire la dépendance mondiale aux combustibles fossiles. Sa présence dans le secteur des véhicules à énergie nouvelle s’étend désormais sur 6 continents, plus de 110 pays et régions, et plus de 400 villes. Cotée aux bourses de Hong Kong et de Shenzhen, l’entreprise figure désormais dans le top 100 du classement Fortune 500 (91e place) et a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 100 milliards d’euros en 2024.

BYD continue d’investir massivement dans les technologies d’avenir : plus de 10 % de son million d’employés sont dédiés à la recherche et au développement, générant en moyenne 45 brevets par jour ouvrable pour des innovations en faveur d’un monde plus vert et dura

Pour plus d’informations, les clients sont invités à se rapprocher de leur agence BIAT, du réseau Helios – BYD, ou à consulter le site web officiel de BYD. www.BYD.tn

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Vol au musée du Louvre: 8 joyaux de la couronne dérobés en 7 minutes, un casse historiquement audacieux

Le 19 octobre, un cambriolage d’une rare audace a secoué le musée du Louvre, privant la France de huit joyaux de la couronne d’une valeur inestimable. Parmi les pièces dérobées figurent des trésors historiques comme le diadème de l’impératrice Eugénie, une broche reliquaire, et un nœud de corsage somptueux. Ces bijoux faisaient partie de la collection royale des souverains français, accumulée depuis François Ier et ayant traversé des siècles de troubles, de pillages et de restaurations.

Ce vol s’est produit en seulement 7 minutes, un exploit rendu possible grâce à l’ingéniosité des voleurs. En utilisant un monte-charge, ils ont accédé à la prestigieuse galerie d’Apollon, où étaient conservés ces trésors. Cette galerie, datant du règne de Louis XIV, abrite des joyaux de la couronne et est l’un des lieux les plus protégés du Louvre. Il est impensable qu’un vol d’une telle envergure puisse se produire dans un délai aussi court, mais les malfaiteurs ont réussi leur coup avec une précision chirurgicale.

Les pièces dérobées, issues de l’histoire de la famille royale, n’ont pas de prix. Par exemple, la parure de saphirs ayant appartenu à des reines comme Marie-Amélie de Bourbon-Siciles et Hortense de Beauharnais. Son origine exacte reste mystérieuse, mais selon certaines traditions, elle pourrait avoir été offerte à Hortense par sa mère, l’impératrice Joséphine, ou même provenir de la collection de Marie-Antoinette.

Bien que certaines des plus célèbres pièces de la collection soient restées intactes, comme la couronne de Louis XVI ou le diamant Régent, ces joyaux dérobés avaient une valeur historique immense. Leur disparition vient alimenter une longue histoire de vicissitudes, depuis leur pillage pendant la Révolution française, leur reconstruction sous Napoléon, jusqu’à leur vente partielle sous la IIIe République.

Cet audacieux braquage met en lumière à quel point même les institutions les plus sécurisées, avec leurs systèmes de défense ultramodernes, peuvent être vulnérables à des attaques aussi rapides qu’efficaces. Le ministère de la Culture et les autorités continuent de chercher des indices pour tenter de retrouver ces trésors, mais le défi est colossal: retrouver des bijoux d’une telle valeur et d’une telle rareté, dans un monde où chaque morceau de cette histoire perdue semble irretrouvable.

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Olfa Gam,  l’excellence tunisienne reconnue par Forbes 2025

Olfa Gam, CEO de Cytopharma, a été reconnue cette année par Forbes Middle East parmi les « Top Healthcare Leaders 2025 », soulignant son rôle clé dans le développement de l’industrie pharmaceutique spécialisée en oncologie.

Depuis 2019, Gam dirige Cytopharma, entreprise tunisienne spécialisée dans les injectables stériles oncologiques, et supervise aujourd’hui une équipe de 100 collaborateurs. Sous sa direction, la société a enregistré en 2024 une croissance de 42 % de son chiffre d’affaires par rapport à 2023 et a renouvelé sa certification EU GMP, garantissant la conformité de ses productions aux standards européens les plus stricts.

Olfa Gam a également initié plusieurs projets stratégiques d’envergure, dont la création d’une coentreprise pour une usine oncologique en Arabie Saoudite et l’enregistrement du premier biosimilaire oncologique en Tunisie et dans la région de la Communauté des États indépendants (CEI). Elle préside par ailleurs la Tunisia Health Alliance et siège comme administratrice indépendante au conseil de Julphar, consolidant ainsi son influence dans le secteur pharmaceutique au niveau régional et international.

Forbes Middle East met en avant sa capacité à allier croissance économique, innovation scientifique et expansion internationale, faisant d’Olfa Gam une figure incontournable de la santé et de la pharmacie en Afrique et au Moyen-Orient.

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90 milliards de dollars pour un avenir durable: le rôle des bailleurs de fonds multilatéraux en Afrique

Lors du forum les Rencontres du financement, Sarah Morsi, responsable de la Société financière internationale pour la Tunisie et la Libye, a souligné le rôle crucial des bailleurs de fonds multilatéraux dans le financement des projets de développement durable, en particulier en Afrique. Selon elle, la mission principale de la SFI est de soutenir les projets du secteur privé qui favorisent la croissance économique tout en respectant des normes environnementales et sociales strictes.

Sarah Morsi a insisté sur l’engagement de la SFI dans des projets à long terme, en mettant un accent particulier sur la création d’emplois locaux et la réduction de l’impact écologique. En 2023, la SFI a investi plus de 90 milliards de dollars dans des projets d’infrastructures durables dans le monde, dont plusieurs en Tunisie, dans le secteur de l’énergie renouvelable. Parmi les projets majeurs financés, on retrouve des centrales solaires et des initiatives d’irrigation durable, qui visent à lutter contre les effets du changement climatique tout en améliorant les conditions de vie des communautés locales.

Les bailleurs de fonds multilatéraux, comme la SFI, jouent également un rôle essentiel dans le financement des projets climatiques. Dans un contexte de changement climatique global, leur soutien permet aux pays en développement, notamment en Afrique, de construire des infrastructures respectueuses de l’environnement, tout en renforçant la compétitivité de leurs marchés.

Au-delà du financement, la SFI propose aussi des services de conseil aux entreprises locales et régionales. Ces services aident les entreprises à surmonter des obstacles techniques, financiers et juridiques, en assurant la viabilité de leurs projets à long terme. Par exemple, la SFI a soutenu des entreprises tunisiennes dans leur développement international, en les conseillant sur la gestion des risques et la conformité aux normes environnementales mondiales.

Les bailleurs de fonds multilatéraux, tels que la SFI, sont des partenaires indispensables pour soutenir le développement durable, en particulier en Afrique. Grâce à leur aide financière et technique, ils permettent de créer des projets qui apportent des bénéfices sociaux et environnementaux, contribuant à un avenir plus résilient et inclusif pour les générations futures.

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Land’Or publie des chiffres au bon goût

Land’Or a réalisé une nette hausse de son chiffre d’affaires au cours du troisième trimestre 2025. Les ventes ont évolué de 2,8%, à 52,890 MTND.

Le marché local est resté stable à 44,753 MTND, alors que les exportations ont totalisé 8,137 MTND, en hausse de 16,2% en glissement annuel.

Depuis le début de l’année, les revenus se sont établis à 149,336 MTND, en progression de 6,7% en glissement annuel. En volume, les ventes ont été tirées par le marché local (127,329 MTND), mais la croissance provient des marchés étrangers, affichant une hausse de 34,8%, à 22,007 MTND.

En valeur, la production a tenu un bon rythme, atteignant 110,328 MTND au terme des neuf premiers mois de l’année.

Land’Or a maintenu le même rythme d’investissements, à 7,857 MTND, focalisés sur les investissements corporels et incorporels.

En ce qui concerne la dette, elle s’élève à 9,772 MTND fin septembre 2025, contre 39,092 MTND à la même date l’année dernière. Le recours aux crédits de gestion a chuté à 15,948 MTND.

Après une première moitié d’année globalement positive, clôturée par un bénéfice net de 4,592 MTND, l’exercice s’annonce équilibré. Le secteur reste toutefois soumis à une forte pression sur le marché local, marquée par une concurrence accrue sur les prix et un pouvoir d’achat toujours plus contraint par une inflation persistante. Dans ce contexte, l’innovation produit demeure le levier le plus efficace pour préserver la compétitivité et stimuler la croissance par les volumes.

Sur le marché, le titre est équilibré depuis le début de l’année, avec un rendement annuel de 2,32%.

 

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La Tunisienne Sara Masmoudi parmi les top healthcare leaders 2025, selon Forbes Middle East

Sara Masmoudi, CEO du Kilani Group, figure cette année parmi les «Top Healthcare Leaders 2025» de Forbes Middle East, reconnaissant son influence et son leadership dans le secteur de la santé et de l’industrie pharmaceutique.

Depuis 2019, Masmoudi dirige le Kilani Group, un conglomérat tunisien aux activités diversifiées couvrant la pharmacie, la santé, l’agroalimentaire, la distribution et le commerce de détail. Sous sa direction, le groupe a consolidé sa présence locale et internationale à travers ses filiales clés, notamment ADWYA, TERIAK et PROTIS dans le domaine pharmaceutique et des soins de santé, ainsi qu’Argania, Nerolia et Prochidia pour la distribution, et Fatales dans le retail.

Au-delà de ses fonctions au sein du Kilani Group, Sara Masmoudi préside TERIAK, ADWYA et STA. Elle est également à la tête de la Tunisian Union of Pharma Industry et fondatrice de Pharma In Cluster, initiative visant à renforcer l’innovation et la collaboration dans le secteur pharmaceutique tunisien. Son influence s’étend au-delà des frontières africaines, avec des responsabilités de CEO pour Cinpharm au Cameroun et Cipharm en Côte d’Ivoire, consolidant son rôle comme figure majeure de l’industrie pharmaceutique en Afrique francophone.

Forbes Middle East souligne ainsi l’impact de Masmoudi sur le développement stratégique et opérationnel de ses entreprises, ainsi que sa capacité à transformer le paysage de la santé et de la pharmacie dans la région.

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Participation tunisienne au salon Sencon à Dakar, du 5 au 7 février 2026

Le Centre de promotion des exportations (Cepex) organise la participation des entreprises tunisiennes au Salon international de la construction, de la finition et de l’infrastructure «Sencon». Ce salon se tiendra à Dakar, Sénégal, du 5 au 7 février 2026.

Cette participation fait partie du programme national des foires et expositions à l’étranger pour 2026 du Cepex. Ce programme vise à promouvoir les produits et services tunisiens à l’international.

Le Cepex a lancé un appel à participation à l’adresse des entreprises tunisiennes souhaitant prendre part au salon, notamment au sein du Pavillon national. Les entreprises intéressées peuvent ainsi mettre en avant leurs produits et services, nouer des relations d’affaires et bénéficier d’une visibilité internationale.

Le salon est une plateforme stratégique pour valoriser le savoir-faire tunisien dans le domaine de la construction et des BTP. Il permettra également aux participants d’engager des discussions avec des opérateurs économiques sénégalais et d’explorer des opportunités de partenariat dans un marché en forte croissance.

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La BAD mobilise plus de 600 millions d’euros pour soutenir les entreprises privées en Afrique du Nord

Lors des « Rencontres du Financement » organisées par la CCI Tuniso-Française, Fernando Rodrigues, Chef des opérations du secteur privé pour l’Afrique du Nord à la Banque Africaine de Développement (BAD), a présenté les principaux axes d’intervention de l’institution en faveur du développement économique régional. À ce jour, le portefeuille du département du secteur privé de la BAD pour l’Afrique du Nord représente plus de 600 millions d’euros, contribuant à des projets variés allant des infrastructures à l’énergie, en passant par l’agro-industrie et les services sociaux.

Depuis sa direction régionale à Tunis, Fernando Rodrigues supervise les opérations allant de la Mauritanie à l’Égypte, ciblant aussi bien les entreprises privées que certaines entreprises publiques financièrement autonomes. La BAD intervient principalement à travers des prêts, des garanties et des prises de participation en fonds propres, avec pour objectif de créer un effet catalytique en mobilisant d’autres investisseurs et partenaires financiers. « Notre vocation est d’accompagner des projets d’investissement, de diversification et de modernisation, tout en assurant leur durabilité sociale et environnementale », a-t-il expliqué.

L’institution distingue deux guichets complémentaires : le guichet public, qui soutient les États dans des projets d’envergure, notamment les infrastructures et les politiques incitatives aux investissements, et le guichet privé, qui se concentre sur les opérateurs économiques, en particulier les PME. Les financements proposés peuvent couvrir environ un tiers du coût total des projets, avec des montants généralement supérieurs à 10 millions d’euros ou de dollars. Les durées de financement varient de 8 à 12 ans pour la plupart des projets, et peuvent atteindre 20 ans pour les infrastructures ou l’énergie.

Parmi les secteurs financés, l’énergie, l’agro-business, l’éducation et la santé sont prioritaires, avec un accent sur l’impact environnemental et social. La BAD accompagne également les entreprises dans leur mise en conformité avec les standards internationaux et favorise l’accès à des financements en monnaie locale grâce à des mécanismes de garantie partielle en partenariat avec des banques commerciales régionales. « Nous cherchons à maximiser la création d’emplois, la génération de revenus et à renforcer la durabilité des entreprises », a souligné Fernando Rodrigues.

Opportunités d’accompagnement en Tunisie

 

Selon la BAD, la Tunisie présente plusieurs axes de développement à fort potentiel pour le secteur privé : La valorisation des ressources naturelles Le potentiel agricole pour le développement d’un secteur agro-industriel fort Une volonté de transformation du paysage énergétique vers une indépendance axée sur les énergies vertes Un vaste potentiel d’appui aux champions industriels nationaux pour les accompagner dans la diversification et l’expansion sur le continent africain Un secteur et des services financiers solides pour soutenir le développement du secteur privé
 
 

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Nouvelle gouvernance chez Pluxee Tunisie

Pluxee Tunisie renforce sa gouvernance pour accélérer sa croissance et son innovation: Hazar Chebbi est nommée directrice générale et Slim Ben Ammar couronne son parcours en accédant à la présidence du conseil d’administration.

Pluxee Tunisie, filiale du Groupe Pluxee International et leader des solutions d’avantages sociaux et d’engagement des employés, annonce une évolution de sa gouvernance pour soutenir sa dynamique de croissance et d’innovation.

Hazar Chebbi est nommée directrice générale de Pluxee Tunisie. Jusqu’ici directrice Marketing, Produits et Expérience Client, elle a été un pilier dans la transformation de l’entreprise, en développant de nouvelles offres et en plaçant l’expérience client au cœur de la stratégie.

Dans ses nouvelles fonctions, elle aura pour mission de poursuivre la trajectoire de croissance de Pluxee Tunisie, de renforcer son positionnement digital et d’enrichir ses solutions au service des entreprises et de leurs collaborateurs.

Slim Ben Ammar, qui a joué un rôle déterminant dans la construction d’une solide position de leader sur le marché tunisien depuis 1998, et plus récemment au Maroc, est désormais porté à la tête du conseil d’administration de Pluxee Tunisie. Il continuera parallèlement à se consacrer au développement de la filiale marocaine en tant que directeur général de Pluxee Maroc.

Cette nouvelle gouvernance illustre la volonté du groupe de s’appuyer sur des leaders engagés pour renforcer la proximité client, accélérer la transformation digitale et consolider le rôle de Pluxee comme acteur majeur du bien-être au travail en Tunisie.

À propos de Pluxee Tunisie

Pluxee Tunisie est le leader national des solutions d’avantages aux salariés (titres repas, cartes cadeaux, loisirs, habillement…). En tant que pionnière de la digitalisation de ses services depuis 2010, l’entreprise a été la première à lancer une carte multi-services, permettant de passer du format papier à une expérience 100% numérique.

Engagée aux côtés des entreprises tunisiennes, Pluxee les accompagne dans la valorisation de leur marque employeur et la promotion du bien-être au travail grâce à des solutions innovantes, personnalisées et responsables.

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Participation du gouverneur de la Banque centrale de Tunisie aux assemblées annuelles de la BM et du FMI

 

 

Dans le cadre de sa participation aux assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI), Fethi Zouhaier Nouri, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, a tenu, le vendredi 17 octobre 2025, une série de rencontres bilatérales avec plusieurs représentants d’institutions financières internationales.

Le gouverneur a entamé cette troisième journée de participation aux réunions tenues en marge des travaux du FMI et de la Banque mondiale par sa présence à la 52ᵉ réunion du Comité monétaire et financier international (CMFI), présidée par Mohammed bin Abdullah Al-Jadaan, ministre des Finances du Royaume d’Arabie saoudite. 
Cette réunion a été consacrée à l’examen des principales questions économiques et financières internationales actuelles, dans la perspective de renforcer la stabilité financière mondiale et de faire face aux défis économiques croissants.

Dans ce même contexte, Nouri s’est entretenu avec son homologue brésilien, Gabriel Galípolo. Les discussions ont porté sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale dans le domaine des systèmes financiers modernes, notamment à travers l’échange d’expertises et d’assistance technique. 
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des efforts de la Banque centrale de Tunisie visant à mettre en place un cadre réglementaire national du paiement électronique instantané, contribuant ainsi à la promotion de l’inclusion financière et à la dynamisation de l’innovation.

Par ailleurs, le gouverneur de la Banque centrale de Tunisie a poursuivi ses rencontres bilatérales avec des représentants de plusieurs banques et institutions financières internationales. 
Ces entretiens ont permis de passer en revue les dernières évolutions des indicateurs économiques et financiers en Tunisie et d’examiner les moyens de renforcer les liens de partenariat avec ces institutions, en appui aux efforts déployés par la Tunisie pour favoriser son intégration dans le système financier mondial et contribuer au développement de son économie nationale.
 
 

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Attijari Bank: une résilience prouvée

Au cours du troisième trimestre de l’exercice 2025, Attijari Bank a réalisé un PNB de 176,163 MTND, en léger repli de 0,8% en rythme annuel.

Les intérêts et revenus assimilés ont baissé de 8,9% à 186,685 MTND, reflétant le double impact de la baisse du taux directeur et des nouvelles dispositions du Code de commerce. 

En même temps, les intérêts encourus ont augmenté de 3,0% sur la même période à 111,647 MTND. Cela s’explique par la poursuite de l’inflation élevée et du niveau satisfaisant du taux de rémunération de l’épargne, deux facteurs qui encouragent la constitution de réserves plutôt que d’investir.

Ce manque à gagner a été largement compensé par des commissions nettes en légère progression de 0,6% à 34,903 MTND. Quant aux revenus de portefeuilles d’investissement et commercial, ils se sont établis à 66,223 MTND, en amélioration de 42,6% en glissement annuel. Le portefeuille titres de la banque a significativement évolué, dépassant le seuil de 2 585 MTND fin septembre 2025.

Sur les neuf premiers mois, le PNB de la banque a totalisé 532,617 MTND, en hausse annuelle de 1,2%.

Attijari Bank a vu ses charges opératoires annuelles progresser de 12,8% pour atteindre 282,717 MTND. Cette tendance provient des frais de personnel (+11,8% à 201,271 MTND) et des charges générales d’exploitation (+18,3% à 66,687 MTND). Le coefficient d’exploitation s’est élevé à 53,1% au 30 septembre 2025.

Sur le plan commercial, les dépôts de la clientèle ont atteint 11 314,940 MTND, progressant de 679,382 MTND par rapport à décembre 2024. En parallèle, ses créances sur les clients ont diminué de 405,306 MTND sur la même période à 6 918,429 MTND. La banque poursuit sa politique prudente, en durcissant la sélection des risques.

Par ailleurs, Attijari Bank a été désignée «Best Bank of Customer Experience 2025» en Tunisie par le prestigieux Euromoney Awards for Excellence. Le lancement de l’application mobile «Attijari Up» prouve l’engagement de la banque pour offrir un accès simple, rapide et sécurisé à l’ensemble des services bancaires.

Cela se base sur des ressources humaines adéquatement formées. La banque mise sur le développement des compétences, la montée en expertise et la consolidation de l’attractivité des talents.

En tant que banque responsable, Attijari Bank et ses filiales ont coorganisé, le 21 juin 2025, aux côtés de l’association One Day One Dream, et sous l’égide du ministère de la Santé, la Big Journée de chirurgie de la cataracte.

Globalement, les performances de l’établissement sont résilientes et les bénéfices annuels seraient stables. Les actionnaires peuvent être confiants quant à la distribution d’un bon dividende.

 

 

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Meta recrute le chercheur tunisien Imed Zitouni pour piloter sa stratégie d’IA

Le chercheur et ingénieur tunisien Imed Zitouni a annoncé avoir rejoint Meta en tant que Senior Director of Engineering, un poste stratégique basé à Bellevue, Washington (États-Unis). Il aura pour mission de renforcer les capacités d’intelligence artificielle (IA) du groupe et de contribuer au développement de la prochaine génération d’expériences propulsées par l’IA.

Dans un post publié sur LinkedIn, il a déclaré être inspiré par « l’engagement de Meta pour l’innovation, l’ouverture et la création de technologies au service de milliards d’utilisateurs ».

 Après avoir longtemps concentré ses efforts sur le métavers et les réseaux sociaux, Meta oriente désormais sa stratégie vers les modèles d’IA générative et les agents intelligents, à l’image de ses produits Meta AI et LLaMA. Le recrutement d’Imed Zitouni reflète cette volonté de consolider la recherche et l’ingénierie autour de solutions à grande échelle.

Un expert reconnu de l’IA

Avant de rejoindre Meta, Imed Zitouni a passé plus de six ans chez Google, où il a occupé le poste de GenAI Executive au sein de la Search AI Platform & Foundational Models. Il y a dirigé des équipes d’ingénieurs et de chercheurs répartis entre les États-Unis et la Suisse, travaillant sur les modèles génératifs de la famille Gemini, la personnalisation des résultats de recherche et le développement d’applications multimodales basées sur les grands modèles de langage (LLM). Il a été récompensé par plusieurs distinctions, dont les Google Search Tech Impact Awards en 2023 et 2024 pour ses contributions à l’intégration de l’IA générative dans Google Search.

Avant Google, il a occupé des postes de direction chez Microsoft pendant près de sept ans. Il y a piloté le développement de Cortana, l’assistant vocal intelligent, en supervisant la compréhension du langage naturel, le moteur de dialogue et la gestion des conversations. Son travail a contribué au lancement du haut-parleur intelligent Harman Kardon Invoke, premier appareil intégré à Cortana.

En parallèle de ses fonctions dans l’industrie, Imed Zitouni est Editor-in-Chief de la revue scientifique Transactions on Asian and Low-Resource Language Information Processing (TALLIP), publiée par l’Association for Computing Machinery (ACM) depuis 2016. Cette revue met en avant la recherche en traitement automatique du langage pour les langues asiatiques et à faibles ressources, notamment en Afrique et en Océanie.

Il est également membre du conseil consultatif exécutif du College of Computing de l’université Grand Valley State (États-Unis), où il apporte son expertise sur l’intelligence artificielle, les grands modèles de langage et l’apprentissage automatique.

Titulaire d’un doctorat en informatique de l’Université Henri-Poincaré Nancy 1 (France), il a mené des travaux de recherche sur les modèles statistiques appliqués à la reconnaissance vocale et à la modélisation du langage.

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