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Le Cepex organise un événement B to B à Rome pour les produits du terroir et produits frais

Le Centre de Promotion des Exportations (Cepex) organise, les 11 et 12 juin 2025, au Centre Agroalimentaire de Rome (CAR), des rencontres professionnelles (B to B) entre les entreprises tunisiennes participantes et les grossistes du CAR. Dédiées aux produits du terroir et produits frais. 

Cette rencontre est en collaboration avec l’Ambassade de Tunisie à Rome, et en partenariat avec l’Agence de Promotion des Investissements Agricoles (Apia) et le projet d’Accès aux Marchés des Produits Agroalimentaires et de Terroir (Pampat).

Un espace promotionnel sera consacré pour l’exposition des produits tunisiens, ainsi que des séances de dégustation.

Cet évènement est destiné aux professionnels tunisiens exerçants dans les filières des dattes et dérivés: des tomates séchées, artichauts transformés, et des fruits et légumes.

L’objectif est de valoriser l’offre tunisienne auprès des grossistes du Centre Agroalimentaire de Rome et de nouer des collaborations stratégiques sur le marché italien. Le Cepex invite les entreprises tunisiennes intéressées, à s’inscrire via le lien suivant: https://www.e-cepex.tn/c/b2b/details/380 et à procéder au paiement des frais de participation qui s’élèvent à 500 DT par entreprise au plus tard le 30 mai 2025.

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Maroc : l’ONEE obtient un appui financier de 340 millions de dollars pour intégrer plus de renouvelables

L’Office National de l’Électricité et de l’Eau potable (ONEE) du Maroc a obtenu un financement de 300 millions d’euros, sous forme de prêts accordés par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et la banque publique allemande KfW, pour renforcer l’intégration des énergies renouvelables dans le réseau électrique national.

Ce financement se compose de 170 millions d’euros de la BEI et de 130 millions d’euros de KfW. Il servira notamment à étendre le réseau de transport d’électricité sur une distance de 730 kilomètres.

L’ONEE prévoit d’investir 19 milliards de dollars dans son plan de développement électrique à l’horizon 2030, année à laquelle le Maroc coorganisera la Coupe du monde de football avec l’Espagne et le Portugal.

Ce plan vise à porter la part des énergies renouvelables à 56 % de la capacité installée d’ici 2027, soit trois ans avant l’objectif initialement fixé à 2030. Actuellement, cette part s’élève à 45 %, soit 5,5 GW.

L’office ambitionne d’ajouter 15 GW de capacité installée d’ici 2030, dont 12 GW provenant de sources renouvelables.

Par ailleurs, l’ONEE a récemment signé un accord avec l’énergéticien émirati TAQA pour construire une ligne de transport électrique haute tension de 1 400 km, capable d’acheminer jusqu’à 3 000 MW entre les sites de production d’énergie renouvelable au Sahara occidental et le centre du pays.

Alors que le charbon représente encore plus de 70 % de la production énergétique nationale, le Maroc cherche à diversifier son mix. Un appel d’offres a ainsi été lancé en avril pour la construction d’un terminal de gaz naturel liquéfié à Nador, sur la côte méditerranéenne.

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Sotumag convoque ses actionnaires à un AGO le 4 juin

La Société Tunisienne des Marchés de Gros (Sotumag) tiendra son Assemblée Générale Ordinaire relative à l’exercice 2024 le mercredi 4 juin 2025 à 11h00, au siège de la société situé route de Naassène, Bir Kassâa (Ben Arous).

L’ordre du jour comprend l’examen et l’approbation des états financiers de l’exercice 2024, ainsi que les rapports du conseil d’administration et du commissaire aux comptes. L’assemblée statuera également sur l’affectation des bénéfices, la fixation des jetons de présence des administrateurs et des primes du comité d’audit.

Par ailleurs, il sera procédé à la désignation d’un représentant des petits porteurs au conseil d’administration pour la période 2025–2027, au renouvellement du mandat des membres du conseil pour la même période, ainsi qu’au quitus de ces derniers.

 

 

 

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Une tunisienne remporte le prix du “Tournoi international des jeunes chefs”

Mayssa El Kouni, jeune cheffe djerbienne de 24 ans, a remporté le premier prix du “Tournoi international des jeunes chefs cuisiniers”, tenu du 14 au 16 mai en marge du XVIe Forum économique international « Russie – monde islamique » (KazanForum), dans la capitale du Tatarstan, en Russie.

Parmi seize participants en compétition, Mayssa s’est distinguée en proposant un menu audacieux composé de trois créations inspirées de la cuisine tunisienne : une entrée revisitée à base de salaisons, une charmoula sfaxienne repensée avec du poulet, des dattes et du praliné de noisettes, et un tiramisu aux parfums de crème de dattes et d’eau de rose en dessert.

Diplômée de l’Académie des chefs, elle exerce depuis trois ans, d’abord en restauration puis au sein d’un hôtel 4 étoiles à Sfax. En juillet 2024, elle avait déjà remporté la première place au concours national des jeunes talents lors de la foire du Kram, ce qui lui a ouvert les portes du tournoi de Kazan. Elle y a également décroché le prix des « techniques du futur », saluant sa capacité à moderniser les plats tunisiens en s’inspirant des spécialités françaises.

Ambitieuse et passionnée, Mayssa rêve désormais d’ouvrir son propre restaurant à Tunis, qu’elle a déjà baptisé « L’Ozé ».

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Environnement: la stratégie nationale de financement de la biodiversité sera finalisée à la fin de 2025

La stratégie nationale de financement de la biodiversité sera prête d’ici fin 2025, a annoncé Mohamed Ali Ben Temessek, directeur chargé de l’écologie et des milieux naturels au ministère de l’Environnement, dans une intervention lors d’un atelier organisé, jeudi, à l’Académie diplomatique internationale à Tunis, et consacré à la question de l’investissement dans la biodiversité et les Objectifs du développement durable, dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de la biodiversité.

Le directeur a souligné que la Tunisie est actuellement en phase de mise en œuvre de la stratégie nationale pour la biodiversité 2018/2030. Il a mentionné que la question du financement est le plus grand défi auquel la Tunisie doit faire face en matière de réalisation des objectifs de la stratégie nationale pour la protection de la biodiversité.

De son côté, Saba Gallouz, directrice chargée de la préservation de la nature au Fonds mondial pour la nature (WWF) Afrique du Nord, a déclaré que l’organisation de cette réunion, en coopération avec le ministère de l’Environnement, vise à identifier la situation de la biodiversité en Tunisie. Elle a aussi insisté sur l’intégration de la biodiversité dans les projets privés. 

Elle a souligné que les objectifs nationaux seront mis à jour d’ici à 2030, ajoutant que le WWF soutient les politiques de l’État, en appuyant les efforts des ministères de l’Environnement et de l’Agriculture, en particulier.

Des représentants de ministères, d’organisations internationales, de la société civile et du secteur privé ont également participé à cet atelier.

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Le japonais NTN choisit la Tunisie pour fabriquer des pièces automobiles

Le groupe industriel japonais NTN renforce sa présence en Afrique en acquérant des parts dans l’entreprise tunisienne La Tunisie Mécanique (LTM), spécialisée dans la fabrication d’amortisseurs automobiles. L’opération, officialisée le 19 mai 2025, marque un tournant stratégique pour NTN dans l’expansion de ses activités sur le marché de l’après-vente automobile.

Cette acquisition est menée par la filiale européenne du groupe, NTN EUROPE, basée à Annecy (France), qui est déjà active dans la production de roulements pour les secteurs automobile, aéronautique et ferroviaire. En s’associant à LTM, NTN ne se limite plus à la distribution, mais s’implique désormais dans le développement, la fabrication et le contrôle qualité des amortisseurs, un composant clé de la suspension automobile.

Ce mouvement s’inscrit dans le cadre du plan stratégique “DRIVE NTN100 Final”, qui vise à élargir l’offre produits et à renforcer la position du groupe sur le marché de l’après-vente, particulièrement en Europe et en Afrique. L’ajout des amortisseurs vient compléter la gamme déjà proposée par NTN, notamment les arbres de transmission, les roulements d’essieu et les butées de suspension, où le groupe détient déjà une part de marché significative au niveau mondial.

Avec cette nouvelle implantation industrielle en Tunisie, NTN entend accroître la visibilité de sa marque et sa compétitivité dans la région, en misant sur une production locale pour mieux répondre à la demande africaine et européenne. Cette initiative confirme aussi l’attractivité du tissu industriel tunisien pour les groupes internationaux à la recherche de plateformes stratégiques entre les deux continents.

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Réformes prudentielles: ce que la BCT attend concrètement des banques

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié une nouvelle circulaire (n°2025-08) appelant les banques et établissements financiers à mettre en œuvre, dans un délai de trois mois, un plan stratégique et opérationnel pour l’adoption de profondes réformes prudentielles et normatives. Ces mesures visent à renforcer la solidité du système bancaire tunisien à travers de nouvelles exigences en matière de fonds propres, de couverture des risques et d’alignement sur la norme comptable internationale IFRS 9.

Cette circulaire, en vigueur depuis sa publication, concerne l’ensemble des banques et établissements financiers, à l’exception des établissements de paiement. Elle marque une nouvelle étape dans la modernisation du secteur bancaire national en abrogeant la circulaire de 2020 dédiée à l’adoption des normes IFRS.

Des réformes techniques mais structurantes

Parmi les principaux chantiers imposés par la BCT, les établissements devront se doter:

  • de nouvelles normes d’adéquation des fonds propres,
  • de règles actualisées pour classifier et couvrir les expositions,
  • d’un guide de mise en œuvre de la norme IFRS 9 portant sur le calcul des pertes de crédit attendues (ECL).

La BCT exige la création d’un comité de pilotage interne dans chaque établissement, chargé de coordonner l’ensemble du processus, d’assurer la conformité au calendrier fixé et de rendre compte régulièrement aux comités d’audit et des risques.

Un effort organisationnel et technologique

La réforme implique également une refonte du système d’information, du dispositif de contrôle interne et de la gouvernance des données. Les établissements devront désigner un Chief Data Officer et garantir la qualité, la sécurité, la traçabilité et l’accessibilité des données. L’objectif est de permettre des calculs fiables et automatisés, limitant les risques d’erreurs manuelles dans les opérations critiques.

Le plan stratégique, exigé par la BCT, devra tenir compte de la taille, du profil de risque et de la complexité de chaque établissement. Il devra aussi intégrer un programme de formation pour tous les acteurs concernés, y compris les membres des conseils d’administration.

 

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Le ministère du commerce fixe les prix des viandes de Aïd El-Idha 2025

Dans le cadre d’assurer la bonne conduite des transactions à l’occasion de l’Aïd al-Adha 2025, le ministère du Commerce et du Développement des exportations appelle les agriculteurs et éleveurs à fournir des espaces de vente organisés en sacrifices et à y établir un accès direct, tout en évitant les intermédiaires et les spéculateurs.

Dans un communiqué publié jeudi, le ministère du Commerce a indiqué que pour faciliter leur déplacement et prouver leurs identités, les agriculteurs et les éleveurs  peuvent présenter des cartes professionnelles ou les demander auprès des départements régionaux de l’agriculture ou auprès des structures professionnelles concernées. Ils peuvent également obtenir des certificats pour faciliter leur activité pendant cette période.

Le ministère invite les professionnels à s’engager dans des opérations de vente au poids. Afin d’assurer la transparence des transactions et le respect des prix de référence précisés à cet effet (21 900 kg). Et invite les citoyens à fournir un équilibre avec des espaces organisés et des points de vente pour protéger leurs droits d’achat et préserver leur pouvoir d’achat.

D’autre part, et dans le cadre de l’ajustement de l’offre du marché, le ministère a déclaré que société “Ellouhoum” fournira des quantités importantes d’agneau et de bœuf, qui seront distribués par les bouchers et les grands espaces commerciaux, à des prix maximaux pour le public qui ne dépassent pas:

– 38 900 Tnd le kg pour l’agneau.

– 37 900 Tnd le kg de viande bovine.

– 34 Tnd le kg Jumana Bovine.

– 28 300 Tnd le kg de poitrine de bœuf.

À condition que les prix de référence de l’entreprise de viande au profit des bouchers soient dans la fourchette de (35900 kg) pour l’agneau et (28300 kg) pour les vaches. Selon le ministère du Commerce.

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Emprunt obligataire subordonné: la BIAT atteint le plafond de 150 millions de dinars

La BIAT a annoncé la clôture de son emprunt obligataire subordonné « BIAT Subordonné 2025-1 » pour un montant total de 150 millions de dinars. Lancée le 5 mai 2025, cette opération s’est achevée le 21 mai 2025, atteignant ainsi le plafond maximum fixé.

Cet emprunt a été réalisé sans recours à l’appel public à l’épargne, ce qui signifie qu’il a été réservé à un cercle restreint d’investisseurs, généralement institutionnels. Le montant initialement prévu était de 100 millions de dinars, mais l’intérêt manifesté a permis de porter l’opération à son maximum autorisé.

Il s’agit d’un emprunt obligataire subordonné, ce qui implique que les obligations émises seront remboursées en dernier en cas de difficulté financière de la banque, après les créanciers ordinaires. Ce type d’instrument est souvent utilisé pour renforcer les fonds propres de la banque tout en offrant aux investisseurs un rendement généralement supérieur à celui des emprunts classiques.

L’opération confirme la capacité de la BIAT à mobiliser des financements importants sur le marché financier tunisien, dans un contexte où les banques cherchent à consolider leur assise financière et à répondre aux exigences prudentielles.

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Face à la situation «fragile et instable» de la TSI, désignation d’un administrateur judiciaire!

L’administrateur judiciaire Bilel Errahmouni a été nommé pour prendre en main, durant trois mois, la gestion administrative et financière de la société d’intermédiation en bourse Tuniso-Séoudienne d’Investissement (TSI). Sa désignation a été décidée par le Tribunal de première instance de Tunis, le 15 mai 2025, et notifiée officiellement au Conseil du marché financier (CMF) le 22 mai. Cette mission s’exercera sous la supervision directe d’un juge contrôleur.

Ce recours à une administration judiciaire fait suite à des manquements jugés graves en matière de gouvernance et de gestion. Le CMF évoque une situation « fragile et instable », menaçant potentiellement les droits et les avoirs des clients. L’intervention judiciaire vise donc à protéger les investisseurs tout en assurant la continuité de l’activité de la société.

Conformément aux dispositions de l’article 63 du décret n°2478 du 1er novembre 1999 régissant les intermédiaires en bourse, toute modification de la direction ou de l’organisation interne doit être validée par le CMF. Ainsi, l’administrateur judiciaire devient désormais l’unique représentant légal de la société vis-à-vis des tiers, qu’il s’agisse des clients, des banques ou des autorités.

Le CMF précise que l’administrateur sera aussi le point de contact pour les réclamations et toute demande liée à l’activité, dans un cadre de supervision renforcée. L’objectif: restaurer la confiance, préserver les intérêts des épargnants et garantir l’intégrité du marché.

En parallèle, une procédure disciplinaire reste en cours, accompagnée d’actions judiciaires. Le CMF insiste sur la rigueur de son suivi et réaffirme sa volonté de garantir la stabilité du marché financier tunisien.

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Prévention des risques industriels : la STIR simule une fuite d’hydrocarbures au port de Bizerte

Sous la supervision de Wael Chouchane, secrétaire d’État chargé de la transition énergétique auprès de la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, et en présence du gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yaâcoub, la Société tunisienne des industries de raffinage (STIR) a organisé, jeudi 22 mai 2025, un exercice grandeur nature au port pétrolier de Bizerte pour simuler un accident de fuite d’hydrocarbures.

Cette opération préventive s’inscrit dans le cadre de l’engagement constant de la STIR à protéger l’environnement et à anticiper les risques industriels.

L’exercice s’est déroulé sous l’égide du Centre Méditerranéen des Industries Pétrolières et du groupe SIDER, avec la participation de plusieurs cadres régionaux et centraux des services concernés, ainsi que des partenaires locaux et internationaux.

Il a consisté en une simulation réaliste d’un déversement de pétrole en mer, afin de tester la réactivité des équipes techniques, la coordination interinstitutionnelle et la capacité de gestion rapide des pollutions marines.

Le test a révélé un haut niveau de préparation, de coordination et d’efficacité parmi tous les acteurs impliqués, dans un contexte organisationnel et technique maîtrisé.

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Les déductions fiscales américaines mettent un bémol aux attentes financières de l’EST

Les clubs concernés par la participation à la Coupe du Monde des Clubs 2025 ont reçu une mauvaise nouvelle à l’approche de la compétition. La FIFA a officiellement confirmé que les lois fiscales américaines s’appliqueraient aux gains de la compétition. Tous les participants ont reçu une lettre de l’instance dirigeante du football mondial, les informant que l’Internal Revenue Service (IRS) déduira entre 15 et 20% de tous les gains perçus pendant la compétition, qui se déroulera sur le sol américain.

Tous les clubs devraient toucher un montant initial de 9,5 millions de dollars pour sa participation à la nouvelle formule élargie à 32 équipes, ce montant pouvant augmenter en fonction des performances. Toutefois, en vertu des règles fiscales des États-Unis, une part sera retenue à la source.

Cette nouvelle intervient alors que l’Espérance de Tunis, le représentant de la Tunisie, s’apprête à vivre l’une des campagnes les plus importantes de son histoire en Coupe du monde des clubs. Les Sang et Or confronteront l’anglais Chelsea et le brésilien Flamengo.

Avec une opposition de haut niveau et un projecteur mondial, les ambitions du club vont au-delà de l’accomplissement sportif, en espérant que le tournoi lui apporterait également des gains financiers significatifs, en particulier à la lumière de son investissement envisagé dans la construction d’une équipe capable de rivaliser. Malgré ce revers, l’équipe devra rester concentrée sur l’objectif principal : mettre en valeur le football tunisien et africain sur la scène mondiale.

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Le Maroc changera aussi sa réglementation des chèques

Après la Tunisie, nos amis marocains sont en train de modifier la réglementation des chèques. Plusieurs nouveautés seront introduites. Principalement, il y a la dépénalisation de l’émission de chèques sans provisions entre époux. Cet acte ne serait alors plus considéré comme un délit. Ce genre de cas sera désormais traité dans le cadre des affaires civiles.

De même, dans le cas où le bénéficiaire du chèque incriminé le remet à une autre personne en guise de paiement, les poursuites seront définitivement abandonnées contre l’émetteur. S’il est en fuite, le mandat de recherche émis contre lui sera annulé.                                                       

Le recours au bracelet électronique a été introduit dans une première phase. L’émetteur d’un chèque sans provisions devra bénéficier d’une période de grâce d’un mois pour régler le différend. Pendant ce délai, il sera amené à porter un bracelet électronique sur décision judiciaire. Le renouvellement de ce délai est possible une seule fois.

Le changement le plus important est le fait que l’arrestation de l’émetteur d’un chèque ne sera possible qu’à partir d’un certain montant. Le seuil n’est pas encore connu et sera plutôt déterminé lors des discussions qui continuent entre les différentes parties prenantes à ce dossier.

Il n’y a pas de données publiques précises quant au nombre des détenus dans les prisions marocaines à cause de la mauvaise utilisation des chèques. Néanmoins, il y a un accord qu’il n’est pas important. La modification envisagée vise à améliorer le cadre réglementaire et à réduire le volume des dossiers qui passent entre les mains des juges chaque année.

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La Tunisie accueillera la première édition des “Africa Business Partnership Days” du 23 au 25 juin 2025

Le Centre de Promotion des Exportations (Cepex) organise, en collaboration avec le Ministère des Affaires Étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’Etranger, la première édition des rencontres d’affaires baptisées “Africa Business Partnership Days” (Abpd) 2025 , à la Maison de l’Exportateur du 23 au 25 juin 2025.

Cet évènement est principalement destiné aux chefs d’entreprises exerçants dans les Industries Agro-alimentaires, les BTP et les matériaux de construction, les services, les filières de la santé (produits médicaux et paramédicaux, fournitures médicales…), et les TIC. 

Cette rencontre représente l’organisation de 1000 rencontres d’affaires au profit de 100 entreprises tunisiennes avec plus de 25 acheteurs, importateurs et distributeurs. Des organismes institutionnels (Trade Promotion Organization, et Chambres de Commerce et d’Industrie ) venant des pays de l’Afrique Subsaharienne, dont l’Ouganda, le Congo Brazzaville, le Ghana, le Gabon, le Guinée Conakry, la Burkina Faso sont attendues dans le cadre de cet évènement.

Cet évènement sera organisé avec l’appui du programme “Arab Africa Trade Bridges”, financé par l’Société Islamique Internationale de Financement du Commerce(Itfc), et le programme «Qawafel », financé par l’ Agence française de développement, et ce, dans le cadre de la stratégie nationale visant à développer les échanges commerciaux avec les pays de l’Afrique Sub-Saharienne

Les entreprises tunisiennes intéressées par cet évènement sont appelées à s’inscrire et à procéder au paiement des frais de participation d’un montant de 250 DT par participant (02 personnes maximum de la même entreprise) via le lien https://www.e-cepex.tn/c/b2b/details/379 et ce, au plus tard le 2 juin 2025.

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La Steg accorde jusqu’à 7 ans aux agriculteurs pour régler leurs dettes d’électricité

Les agriculteurs tunisiens abonnés au réseau basse tension et bénéficiant du tarif de pompage pour l’irrigation peuvent désormais échelonner leurs dettes de factures d’électricité et de gaz sur une période allant jusqu’à sept ans, a annoncé la Steg.

Cette mesure exceptionnelle, qui s’inscrit dans le cadre des instructions du président de la République pour soutenir les clients en difficulté, vise à élargir le cercle des bénéficiaires des facilités de paiement mises en place ces derniers mois.

Les agriculteurs souhaitant en bénéficier devront soumettre une demande écrite auprès du district Steg dont ils relèvent. Il convient de noter que l’opération démarre le 19 mai 2025 et se poursuivra jusqu’au 1er septembre 2025.

L’objectif de cette initiative est de permettre aux exploitants agricoles, souvent affectés par la sécheresse et la hausse des coûts, de régulariser leur situation sans mettre en péril leur activité.

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Distribution de dividendes : le monde progresse, mais la Tunisie reste prudente

Alors que les dividendes mondiaux ont atteint un record de 1 750 milliards de dollars en 2024, en hausse de 6,6 % par rapport à 2023 selon une étude de Janus Henderson, la tendance en Tunisie reste marquée par une certaine stabilité, malgré une légère contraction du nombre d’entreprises cotées et une retenue partielle des bénéfices.

Cette progression mondiale est notamment portée par l’entrée des géants technologiques Meta (Facebook) et Alphabet (Google) dans le cercle des sociétés distributrices, avec un premier dividende combiné de 15,1 milliards de dollars.

En Tunisie, 60 % des sociétés cotées à la Bourse ont versé des dividendes au titre de l’exercice 2023, selon une publication de mai 2025 intitulée “Distribution de dividendes par les sociétés cotées au titre des exercices 2021/2022/2023”, émise par la Bourse de Tunis. Sur les 78 entreprises cotées en 2023, contre 82 en 2022, en raison de la radiation de quatre sociétés, 48 ont distribué des dividendes, soit une légère baisse par rapport à 2022 (49 sociétés). Il est à noter que les sociétés radiées n’avaient pas distribué de dividendes auparavant, ce qui relativise l’impact de leur retrait sur les chiffres globaux.

Certaines entreprises bénéficiaires ont néanmoins choisi de ne pas verser de dividendes. C’est le cas de la STB, Carthage Cement et STIP, qui affichent respectivement des bénéfices moyens sur la période 2021-2023 de 86 Mtnd, 41 Mtnd et 12 Mtnd. Leur décision s’inscrit dans une logique d’apurement de pertes antérieures, les bénéfices étant conservés pour renforcer leur structure financière.

Sur le plan quantitatif, le montant total des dividendes distribués par les sociétés cotées en Tunisie est passé de 1 136 Mtnd en 2021 à 1 393 MD en 2023, soit une progression de 22,6 % (+257 Mtnd). Cette croissance soutenue témoigne de la résilience des entreprises cotées, dont les bénéfices cumulés ont progressé de 13,3 % (+288 Mtnd) sur la même période.

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Indice de la production industrielle: -3,6% en décembre 2024, d’après l’ITCEQ

L’indice de la production industrielle a enregistré une baisse de 3,6%, passant de 91,3 en décembre 2023 à 88 en décembre 2024, selon le Tableau de bord de la conjoncture économique mars 2025, publié par l’Institut tunisien de la compétitivité et des études quantitatives (ITCEQ).

Ce recul s’explique principalement par la diminution de la production dans plusieurs secteurs clés: l’énergie (-22%), le textile, habillement et cuir (-3%), les industries chimiques (-0,9%) ainsi que les industries des matériaux de construction, céramique et verre (-0,8%).

À l’inverse, certains secteurs ont affiché une croissance notable, notamment les mines (+27,9%), les industries agroalimentaires (+8,3%) et les industries diverses (+0,4%), tandis que la production dans les industries mécaniques et électriques est restée stable.

Par ailleurs, l’ITCEQ indique que durant le premier trimestre 2024, l’indice des prix de l’immobilier, par type de bien, a connu une hausse de 4,9% pour les maisons et de 3% pour les appartements par rapport au quatrième trimestre 2023. En revanche, les prix des terrains ont reculé de 3,4%.

En glissement annuel, une progression a été constatée pour l’ensemble des catégories: +15,4% pour les maisons, +4,9% pour les terrains et +0,1% pour les appartements.

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Ministère des Finances: baisse modérée du déficit budgétaire en 2024

Le déficit budgétaire de la Tunisie est estimé à environ 10 milliards de dinars pour l’ensemble de l’année 2024, enregistrant ainsi une légère baisse de 6% par rapport à 2023, où il s’élevait à 11,4 milliards de dinars. C’est ce que révèlent les indicateurs publiés par le ministère des Finances concernant les «résultats provisoires de l’exécution du budget de l’État à fin décembre 2024».

Cette amélioration s’explique par une progression des recettes budgétaires à un rythme plus soutenu que celui des dépenses.

Les recettes du budget ont connu une hausse de 8,7%, passant de 43,2 milliards de dinars en décembre 2023 à 47 milliards de dinars à la même date en 2024. Cette évolution est portée par l’augmentation des recettes fiscales de 9,7 %, atteignant 41,7 milliards de dinars, ainsi que par la progression des recettes non fiscales de 3,3 %, pour un total de 4,6 milliards de dinars.

Les dépenses ont, de leur côté, augmenté de 4,6%, pour s’établir à 56,4 milliards de dinars à fin 2024, contre environ 54 milliards un an plus tôt.

Cette augmentation s’explique notamment par la hausse des dépenses salariales de 2,6% (22,2 milliards de dinars contre 21,7 milliards), des dépenses d’intervention de 4% (portées à 19 milliards), des charges d’intérêts sur la dette en hausse de 7,8% (à 6,2 milliards), ainsi que des dépenses d’investissement, en progression de 7,4% (atteignant 6 milliards de dinars).

Les ressources du Trésor ont également enregistré une croissance de 10%, passant de 26,1 à 28,8 milliards de dinars, grâce notamment à un recours accru à l’emprunt intérieur, qui a représenté 23,2 milliards de dinars.

Ces ressources ont été mobilisées principalement pour rembourser le principal de la dette, à hauteur de 64,3% (18,5 milliards de dinars), et pour couvrir le déficit budgétaire à hauteur de 32,7% (9,4 milliards de dinars).

Enfin, l’encours de la dette publique s’est établi à 81,2% du PIB en 2024, contre 84,6% en 2023.

 
 

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Tunisie: boom des exportations d’huile d’olive, mais le revenu s’évapore

L’Observatoire national de l’agriculture (Onagri) a publié son rapport sur les exportations d’huile d’olive tunisienne couvrant la période de novembre 2024 à avril 2025. Il en ressort une hausse de 40,1% des volumes exportés, mais une baisse de 28,9% des recettes générées.

Selon les données communiquées, les exportations au cours des six premiers mois de la campagne 2024-2025 ont atteint 180.200 tonnes, contre 128.700 tonnes durant la même période de l’exercice précédent. L’huile d’olive conditionnée ne représente que 11,9% de ce total, le reste étant exporté en vrac (88,1%). Cela marque une légère progression par rapport à la campagne 2023-2024, où la part du conditionné s’élevait à 11%. L’huile extra vierge domine les exportations, représentant à elle seule 82,5% du volume total.

Sur le plan des recettes, les exportations ont généré 2,44 milliards de dinars à fin avril 2025, contre 3,44 milliards à la même période de la campagne précédente. L’huile conditionnée ne représente que 17,7% de ces revenus.

En avril 2025, le prix moyen de l’huile d’olive a chuté de 48,9% par rapport au même mois de l’année précédente.

Le marché européen demeure la principale destination, absorbant 59,5% du volume exporté, suivi de l’Amérique du Nord (24,9%) et de l’Afrique (9,6%).

L’Italie arrive en tête des pays importateurs avec 29% des volumes écoulés au cours des six premiers mois de la campagne 2024-2025, suivie de l’Espagne (26%) et des États-Unis (19,6%).

Les exportations d’huile d’olive biologique ont, quant à elles, atteint 34.300 tonnes à fin avril 2025, générant environ 469,1 Mtnd. Toutefois, la part du conditionné dans cette catégorie reste faible, ne dépassant pas 5% du volume exporté. Le prix moyen du kilo s’établit à 13,68 dinars, allant de 13,47 Tnd pour l’huile en vrac à 17,65 Tnd pour le conditionné.

L’Italie est également le principal client pour cette catégorie, avec 58% des volumes exportés, devant l’Espagne (21%) et les États-Unis (11%).

À noter que les données analysées par l’Onagri proviennent de la douane tunisienne et de la Direction générale de l’agriculture biologique (DGAB).

 

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