Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – L’Espérance ST vient de rejoindre le Stade Tunisien, pour la finale de la coupe de Tunisie qui doit se dérouler le weekend prochain, après sa victoire sur l’US Ben Guerdane sur le score net de trois buts à zéro. Les Sang et Or semblent avoir retrouvé leur vitesse de croisière, en prévision de la Coupe du monde des clubs qui doit avoir lieu, dans deux semaines.
Lors de cette rencontre des demi-finales, à Ben Guerdane, les Espérantistes ont concrétisé leur ascendant, grâce à un joli but de Youssef Belaïli, dès la 10’, pour continuer à dominer les débats, durant toute la première période et, même jusqu’au second half, au cours duquel Yan Sasse a doublé la marque (68’), alors que Rodrigo Rodrigues a triplé la note (90’).
Les Sang et Or ont étalé toute leur maestria, tout au long de la rencontre, avec même un banc dont les joueurs délaissés ont repris vie et cherchent à rehausser leur cote, auprès du nouveau coach qui veut donner à tous ses poulains, des chances égales.
Tunis, UNIVERSNEWS (Infrastructure) – L’Assemblée des représentants du peuple tiendra demain lundi une séance plénière, consacrée à l’examen d’un projet de loi portant approbation de l’accord de prêt signé au Koweït le 20 février 2025 entre la République tunisienne et le Fonds arabe pour le développement économique et social.
Le prêt vise à financer le projet d’extension et de réhabilitation de la route nationale n°20 dans le gouvernorat de Kébili.
Ce projet s’inscrit dans le cadre des efforts du ministère de l’Équipement et de l’Habitat pour améliorer la liaison entre les gouvernorats de l’Est et de l’Ouest du pays (Médenine, Gabès, Kébili et Tozeur). Des interventions avaient déjà eu lieu pour la réhabilitation ou le renforcement de la route nationale n°20 dans plusieurs segments situés dans les gouvernorats de Médenine, Gabès et Tozeur jusqu’à la région d’El Fouar (gouvernorat de Kébili).
Les travaux envisagés consistent en la réhabilitation de la route nationale n°20, reliant la région d’El Fouar (au point kilométrique 201) à celle de Rjim Maâtoug (au point kilométrique 274), soit une longueur totale de 73 km.
Le projet comprend également l’exécution des travaux ainsi que les services techniques nécessaires, en plus de la réalisation d’éventuelles études complémentaires pour l’exécution, et l’introduction des ajustements nécessaires.
Le coût total du projet s’élève à environ 82 millions de dinars tunisiens (hors taxes). Le Fonds arabe pour le développement économique et social contribuera à hauteur de 90 % du coût des travaux.
Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – C’est une véritable guerre médiatique qui avait été engagée, et comme par hasard, l’entité sioniste était prête à faire usage d’une force de réplique très forte, avec des armes qui lui ont permis de mener à bons termes ses visées funestes. Des révélations avaient été faites, depuis l’année dernière, sur ce qui se tramait à Gaza, mais la presse occidentale a tout fait pour étouffer ces informations dans l’œuf, afin qu’elles ne se propagent pas.
L’attaque du 7 octobre 2023 est attribuée dans toute la presse au Hamas, bien que tout le monde pense, sans le dire, que ce Hamas a joué un rôle-clé dans le déclenchement des hostilités, mais, il y avait en fait d’autres factions d’attaquants résistants. Mais, après de multiples recoupements, plusieurs analystes ont une seule certitude : les autorités israéliennes ont menti. Elles commencent d’ailleurs à rétropédaler bien timidement, selon eux. Et comme on connait les islamistes, il ne serait pas impossible qu’ils n’aient pas fait partie du plan ourdi par l’entité sioniste, contre les pauvres palestiniens démunis qui errent, actuellement, comme des âmes en peine… affamés et sans aucun soutien international.
La Cour internationale de Justice (CIJ), avait rendu une première décision le vendredi 26 janvier 2025 sur des mesures urgentes contre Israël, accusé de « génocide » dans la bande de Gaza. La présidente de la CIJ a estimé qu’« au moins certains actes [à Gaza] semblent susceptibles de tomber sous le coup de la convention sur le génocide » et a ordonné à Israël de « prévenir et punir » l’incitation au « génocide ».
Les énormes mensonges visent à inverser l’accusation
Des faits invraisemblables ont été rapportés. Les prétendus « sanguinaires assaillants du Hamas » ont été accusés de mettre des bébés israéliens dans des fours, d’éventrer des femmes enceintes, de charcuter femmes et enfants.
Quatre mois après, une écrasante majorité de dirigeants, médias et personnalités continue de qualifier l’action du « Hamas » (sans jamais nommer les autres groupes) de massacre de plus de 1000 victimes. Jusque dans les rangs du mouvement ouvrier, il est question d' »une série de pogrom antisémites ». D’où sortent-ils que « le bilan de ses pogroms est de l’ordre de 1400 morts » ou qu’il s’agissait d' »une opération militaire préparée sous supervision iranienne pour aller massacrer, démembrer, violer, et se retirer ensuite » ou encore d' »une série de pogroms affirmant une visée génocidaire » ?
La fabrique à mensonge en Israël
Lors d’une enquête auprès de relais au New York Times et dans d’autres organes de presse du monde « libre », quelques personnalités ont alors commencé à rétropédaler. Le 12 octobre, Biden avait changé de version à propos de soi-disant bébés décapités.
Quelques médias tels The Craddle, Mondoweiss, The Grayzone, Times of Israel, Haaretz, +972 Magazinze, ont fait remonter à la surface des témoignages de survivants et de militaires, des rapports de police attestant d’une autre version sur le rôle de l’armée israélienne que celle de Netanyahou reprise en chœur par médias et gouvernants occidentaux.
Il sera difficile de connaître toute la vérité mais nous avons maintenant quelques certitudes. Le témoignage de Yossi Landau, chef des opérations de ZAKA pour la région sud d’Israël n’est pas crédible. ZAKA est une organisation religieuse « d’identification des victimes de catastrophes ». The Grayzone précise en effet :
« Malgré la présence de plusieurs témoins potentiels à l’intérieur de Beeri avant l’arrivée de ZAKA pour récupérer les cadavres, aucun témoignage indépendant corroborant les affirmations de Landau n’a encore fait surface. De plus, aucun décès de frères et sœurs âgés de 6 à 8 ans n’a été enregistré à Beeri le 7 octobre. Toute trace d’un jeune enfant tué de la manière décrite par Landau est également inexistante, tout comme les photos de la famille assassinée qu’il a décrite. En fait, les seuls frères et sœurs proches de cette tranche d’âge qui sont morts dans la communauté ce jour-là – les jumeaux Liel et Yanai Hetrzroni, 12 ans – ont été tués par les bombardements de chars israéliens. »
Le « témoignage » de ce Yossi Landau avait été repris par Blinken lui-même qui a rapporté cette « scène horrible destinée à illustrer la sauvagerie du Hamas ». « Un jeune garçon et une jeune fille, âgés de 6 et 8 ans et leurs parents autour de la table du petit-déjeuner ». « l’œil du père a été arraché devant ses enfants. Le sein de la mère a été coupé. Le pied de la fille a été amputé, les doigts du garçon ont été coupés avant leur exécution ». Cet abominable racontar, mille fois répété, est évidemment entièrement faux.
Le journal Libération confirme : « le bilan presque définitif confirme que certaines horreurs alléguées, parfois relayées hâtivement au plus haut niveau pour obtenir le soutien international, n’ont pas eu lieu ». Tout ce qui a été dit sur le massacre de bébés est entièrement faux : « Le mensonge de « 40 bébés massacrés par le Hamas » est parti d’une déclaration d’une correspondante de la chaîne israélienne i24 News (détenue par le milliardaire français Patrick Drahi également propriétaire de BFMTV), à partir d’un Kibboutz qui venait d’être libéré, le 10 octobre ».
Dans toute la presse occidentale, le décompte des victimes n’est fait qu’à partir des données officielles israéliennes. Comment se fait-il qu’en pleine propagande de guerre on ne prenne en compte que les données venant d’un seul camp ? D’ailleurs ces données sont déjà revues à la baisse par les autorités israéliennes elles-mêmes.
Les mensonges mille fois répétés deviendront-ils des vérités ?
Jamais une entreprise du mensonge n’a été aussi monstrueuse que celle de l’Etat d’Israël depuis ce 7 octobre. Les journalistes qui essaient de faire leur métier n’ont jamais été autant en danger. Ils risquent leur vie quotidiennement pour nous faire parvenir des brides de vérité. 81 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis le 7 octobre. 77 journalistes tués à Gaza en quatre mois selon le décompte du CPJ. Un article de Médiapart qui veut leur rendre hommage précise : « Jamais autant de journalistes ne sont morts en si peu de temps, ni durant les deux guerres mondiales, ni durant les guerres du Vietnam, de Bosnie, d’Irak, d’Afghanistan, pour citer quelques-unes des plus meurtrières. En Ukraine, depuis deux ans, 17 journalistes ont été tué·es, selon le CPJ. »
La férocité du combat contre la vérité des sionistes est à la hauteur de leur projet… Ils sont accusés de génocide par la Cour Internationale de Justice. C’est un blocus de l’information qui est organisé à Gaza pour masquer toutes les atrocités auxquelles se livre l’armée des sionistes. Reporters Sans Frontières a déposé plainte devant la Cour pénale internationale pour des crimes de guerre commis contre les journalistes en Palestine et en Israël. Ne comptez pas sur ces criminels pour raconter ce qui s’est réellement passé le 7 octobre.
Tunis, UNIVERSNEWS (Interview – High Tech) – Appelant à exploiter à bon escient l’Intelligence artificielle, Hatem Smine, PhD en informatique, gestionnaire talentueux et innovant, a brillamment réussi dans l’IA en Tunisie et en Belgique. Il considère que l’Intelligence artificielle est une manne pour les jeunes tunisiens et constitue un outil pour les études et le travail.
UNIVERSNEWS : Les idées divergent autour de l’apport de l’Intelligence artificielle, pour les jeunes, particulièrement, tunisiens, dans leur vie quotidienne. Qu’en pensez-vous ?
Hatem Smine : Fini le temps où on passait des heures à éplucher des manuels scolaires pour comprendre un concept. Avec des outils comme ChatGPT, Mistral, Perplexity, Socratic (Google) ou Wolfram Alpha, l’IA aide les étudiants à obtenir des explications claires et adaptées à leur niveau, résumer des cours en quelques secondes et s’’entraîner avec des quiz interactifs. Loin d’être un simple gadget, l’intelligence artificielle est devenue une alliée du quotidien pour les jeunes tunisiens, que ce soit pour les études ou pour leur travail. Ils essaient d’exploiter intelligemment cet outil pour en tirer le meilleur. La manière dont ils adoptent et utilisent l’intelligence artificielle est un phénomène fascinant qui mérite d’être exploré. À travers divers usages allant des recherches académiques aux interactions quotidiennes, les 18-25 ans montrent un intérêt marqué pour cette technologie
L’intelligence artificielle est donc une opportunité pour les jeunes tunisiens ?
L’intelligence artificielle (IA) s’est invitée dans notre quotidien à une vitesse fulgurante, et pour les jeunes de 16 à 25 ans, elle est devenue un véritable allié. Que ce soit pour réussir ses études, décrocher un job ou même trouver l’amour, l’IA est partout.
Il y a plus de 30 ans, j’avais moi-même fait une thèse de doctorat en IA, où je travaillais sur un outil permettant aux entreprises d’exprimer clairement leurs besoins en informatique. À l’époque, l’IA était déjà un domaine prometteur, mais avec des moyens limités. Aujourd’hui, avec plus de puissance de calcul et de meilleurs algorithmes, ce qui semblait être un rêve, il y a quelques décennies, devient une réalité concrète.
Et ce n’est pas qu’une question de recherche médicale ou d’universités prestigieuses. A Nabeul, j’ai pu monter une équipe de jeunes diplômés tunisiens spécialisés en IA pour développer un progiciel de gestion révolutionnaire que nous allons commercialiser dans le monde entier. Ce sont des jeunes qui maîtrisent les techniques d’IA avancées de Deep Learning, et qui sont en train de prouver que la Tunisie n’a rien à envier aux grandes puissances technologiques.
Faut-il avoir peur de l’IA ?
L’IA n’est pas une boîte noire mystérieuse contrôlée par les grandes puissances. Ce n’est pas non plus une force incontrôlable qui menace l’humanité. C’est du code, des modèles mathématiques et des données, accessibles à quiconque sait programmer en Python et connaît des techniques comme le Deep Learning ou les Transformers. C’est du coding et des algorithmes. On ne peut empêcher personne de coder, ni lui dicter comment coder. Ceux qui prétendent vouloir encadrer l’IA ne savent même pas ce qu’ils cherchent à contrôler !!!
L’IA n’est donc pas une menace pour nos jeunes. Que leur conseillez-vous ?
L’IA est une opportunité et pas une menace. En Tunisie, des milliers d’étudiants se forment aujourd’hui à l’intelligence artificielle. Plutôt que d’attendre des solutions toutes faites des grandes puissances, donnons-leur leurs chances pour améliorer nos systèmes informatiques, révolutionner des domaines comme la médecine, et faire progresser le pays. Et puis, la nature et les sciences finissent toujours par s’autoréguler. L’innovation avance, les usages s’adaptent, et ceux qui auront voulu freiner le progrès seront vite dépassés. L’IA n’appartient à personne, elle appartient à ceux qui la développent et la comprennent.
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – La JSK vient de retrouver la place qu’elle avait quitté, quatre ans auparavant. De longues années pleines d’obstacles, et surtout d’énormes difficultés financières qui avaient failli à un moment donné lui coûter cher.
Beaucoup de mécènes et supporters, ont en effet cessé d’apporter leurs contributions matérielles, nécessaires pour la survie et l’évolution d’un club de football professionnel. D’autres ont fait semblant de venir en aide à l’effectif en se contentant d‘applaudir les joueurs et les membres du comité chargé de coordination et de la gestion des affaires du club, en cas de victoire et en les critiquant farouchement après chaque défaite.
Le comportement irresponsable d’une frange de supporters a précipité le départ de Othmane Chehaibi, malgré l’intervention des autorités régionales. Hafedh Houarbi venu à la rescousse des joueurs est parvenu non sans difficultés et avec le soutien moral et financier du gouvernorat et de quelques rares mécènes et des fidèles supporters, à faire du rêve une réalité.
Les joueurs et le staff technique ont certes droit à un repos et à des récompenses amplement mérités, mais ils sont également appelés à tirer la leçon d’une longue période de disette et devront, par conséquent et dès aujourd’hui, préparer l’avenir du club, à savoir réunir toutes les conditions pour réussir la prochaine compétition avec une excellente préparation d’avant saison , des recrutements ciblés et judicieux et surtout un budget à la hauteur des attentes du club et des supporters kairouanais. La tâche ne sera pas du tout aisée. Mais il faut y croire. Car rien n’est impossible. (N. K.)
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Le long-métrage, tourné clandestinement, est une charge contre les autorités iraniennes et résonne avec le sort du réalisateur. Sa présence à Cannes, après avoir été assigné pendant quinze ans dans son pays, était un moment fort.
Le jury a dévoilé, samedi soir, le palmarès du 78e Festival de Cannes, au terme d’une compétition très ouverte. Emmenés par la star française, Juliette Binoche, les neuf membres du jury se sont réunis en conclave pour désigner, parmi les 22 films en compétition, le successeur d’Anora, de l’Américain Sean Baker. Et, bien sûr, le choix de la palme d’or a été, comme toujours, orienté et c’est le réalisateur Jafar Panahi, dissident iranien de 64 ans, qui l’a remportée avec « Un simple accident », conte moral auscultant le dilemme d’anciens détenus tentés de se venger de leur tortionnaire. Saluée par les critiques, cette charge contre les autorités iraniennes résonne avec le sort de Panahi, emprisonné deux fois en Iran, où ce long-métrage tourné clandestinement pourrait lui valoir des représailles.
Plus tôt dans la cérémonie, l’actrice française Nadia Melliti a reçu, à 23 ans, le Prix d’interprétation féminine pour son premier rôle au cinéma, dans La Petite Dernière, de sa compatriote Hafsia Herzi. Etudiante en sport et repérée dans un casting sauvage, elle y incarne Fatima, 17 ans, une jeune femme musulmane qui découvre son homosexualité. Le film est adapté du roman éponyme, d’inspiration autobiographique, de Fatima Daas, publié en 2020.
L’acteur de 48 ans Wagner Moura, l’un des visages les plus connus du cinéma brésilien grâce à ses collaborations internationales, notamment la série Narcos sur Netflix, dans laquelle il campait le trafiquant de drogue colombien Pablo Escobar, a été récompensé du Prix d’interprétation masculine. Dans L’Agent secret, son premier film tourné au Brésil depuis 2012, Wagner Moura campe un professeur traqué pour de mystérieuses raisons en pleine dictature militaire.
Le Grand Prix a été remporté par le Norvégien Joachim Trier pour Valeur sentimentale. Cinéastes déjà parmi les plus primés de l’histoire de Cannes, avec deux Palmes d’or, les frères Luc et Jean-Pierre Dardenne sont repartis avec un nouveau trophée, le Prix du scénario, pour Jeunes mères. Ils l’obtiennent pour la deuxième fois de leur carrière, après Le Silence de Lorna (2008).
Le Franco-Espagnol Oliver Laxe a reçu ex æquo le prix du jury pour Sirat, plongée captivante dans une rave-party hallucinatoire et apocalyptique au pays de Mad Max, avec Sergi Lopez. Il le partage avec la réalisatrice allemande Mascha Schilinski, qui explore cent ans de traumas familiaux à travers le destin de quatre femmes dans Sound of Falling.
Le palmarès complet:
Palme d’or : Un simple accident, de Jafar Panahi
Grand prix : Valeur sentimentale, de Joachim Trier
Prix du jury : Sirat, d’Olivier Laxe, et Sound of Falling, de Mascha Schilinski
Prix de la mise en scène : Kleber Mendonça Filho, pour L’Agent secret
Prix spécial : Resurrection, de Bi Gan
Prix d’interprétation féminine : Nadia Melliti, pour son rôle dans La Petite Dernière, de Hafsia Herzi
Prix d’interprétation masculine : Wagner Moura, pour son rôle dans L’Agent secret, de Kleber Mendonça Filho
Prix du scénario : Jean-Pierre et Luc Dardenne, pour Jeunes mères
Caméra d’or : The President’s Cake, de Hasan Hadi
Palme d’or du court-métrage : I’m Glad You’re Dead Now, de Tawfeek Barhom
Deux Palmes d’honneur avaient été remises pendant la quinzaine, à Denzel Washington et Robert De Niro.
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – Le Stade Tunisien s’est qualifié pour la finale de la coupe de Tunisie de football, édition 2024-2025, après avoir battu l’US Monastir aux tirs au but 4-2 (0-0) au terme du temps réglementaire) en demi-finale, disputée samedi, au stade Mustapha Ben Jannet de Monastir.
Les joueurs du Bardo, tenants du titre, affronteront le 31 mai courant, le vainqueur de l’autre demi-finale qui opposera cet après-midi du dimanche (15h30), l’Espérance de Tunis à l’US Ben Guerdane.
Cette deuxième affiche des ½ finales de la coupe de Tunisie est prévue ce dimanche au stade 7 mars de Ben Guerdane. Si « les Sang et or » ambitionnent de remporter une 16e Coupe et de réaliser le doublé avant leur départ pour la Coupe du Monde des clubs aux Etats-Unis, les « Cavaliers » rêvent de retrouver la finale, comme en 2017 (perdue face au C. Africain), et de sauver leur saison par un exploit historique.
Sous les ordres de Maher Kanzari, toujours invaincu en compétition nationale depuis sa nomination en mars dernier, l’Espérance de Tunis s’appuie sur une attaque impressionnante. Avec 13 buts inscrits en trois rencontres, après avoir écarté l’AS Kasserine (6-0), le CS Hammam-Lif (4-0) et l’ES Zarzis (3-1), la formation de Bab Souika compte la meilleure ligne offensive. Mais rien n’est joué, puisque l’US Ben Guerdane est redoutable à domicile et semble revigorée depuis l’arrivée de l’entraîneur Afouane Gharbi, en assurant son maintien en L1 et atteignant le dernier carré de la Coupe.
Malgré un tirage au sort favorable leur permettant de jouer à domicile, les joueurs de Ben Guerdane ont dû batailler pour en arriver là : deux qualifications aux tirs au but (contre le CA Bizertin et l’EGS Gafsa) et une victoire arrachée face au CS Sfaxien dans les derniers instants. Une combativité qui reflète leur force mentale, incarnée par leur meilleur buteur Iyed Belouafi (8 buts), qui portera les espoirs de tout un public pour revivre l’exploit de 2017, où l’US Ben Guerdane avait éliminé… l’Espérance en demi-finale.
Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Que diriez-vous d’un week-end Glamour au soleil ? Du 26 au 27 mai 2025 se tiendra le Festival annuel de la coupe du Maghreb de coiffure et d’esthétique à Hammamet. Organisé sous la houlette de la Fédération tunisienne des artisans et des petites et moyennes entreprises, cet événement a pour objectif de favoriser les échanges professionnels, de promouvoir la formation continue et de rehausser le niveau de la coiffure et de l’esthétique dans l’espace maghrébin.
Une formidable occasion pour découvrir les secrets de la beauté tunisienne avec des exposants locaux, mais aussi les dernières innovations en matière de d’esthétiques, de cosmétiques, de bio et de diététique, coiffure, décoration, sans oublier. Dans une ambiance conviviale, vous pourrez assister à des présentations, de défilés, de shows et des démonstrations de massage et de soins, sans oublier un programme de conférences dédiées à la beauté et au bien-être, des ateliers de formation, des master classes animées par des experts internationaux en coiffure et en esthétique, ainsi que de nombreuses compétitions professionnelles.
Considérés comme de vrais artistes, les coiffeurs vont exhiber leur savoir-faire et la finesse de leur talent qui ne passera guère inaperçu. C’était aussi une occasion pour joindre l’utile à l’agréable et applaudir les mannequins avec des robes et habits traditionnels des différentes régions du pays avec des coiffures qui correspondent à la circonstance.
Ce n’est pas tout : les grandes marques seront présentes pour vous faire découvrir les dernières tendances et innovations. Un moment idéal pour échanger, s’inspirer et repartir avec de nouvelles idées plein la tête. Ce Festival maghrébin de la Coiffure est l’occasion rêvée de vibrer, de partager et de vous laisser surprendre. Un rendez-vous à ne pas manquer ! C’était aussi une occasion pour joindre l’utile à l’agréable et applaudir les mannequins avec des robes et habits traditionnels des différentes régions du pays avec des coiffures qui correspondent à la circonstance. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Musiques contemporaines, identités méditerranéennes et dialogue culturel sont au cœur du festival musical «SHLUQ – Musique en mouvement. Trajectoires sonores entre Sicile et Tunisie», qui se déroulera de mai à octobre 2025 entre Tunis et Hammamet.
Cinq concerts seront donnés par des artistes et collectifs les plus intéressants de la scène musicale contemporaine sicilienne. Ils auront lieu dans différents espaces culturels de la Capitale notamment au B7L9 de La Marsa et à Hammamet, au Cap Bon. Les lieux de certains spectacles, seront annoncés ultérieurement.
Organisé par l’Institut Italien de Culture de Tunis en collaboration avec Chullu, agence créative active entre Milan et Modica (Sicile), villes du Nord et du Sud de l’Italie, l’événement vise à valoriser la musique comme un outil privilégié de rencontre entre les cultures.
«La Méditerranée a toujours été un carrefour de peuples et de cultures, expliquent les organisateurs. Avec Shluq, nous souhaitons faire dialoguer artistes et publics, en les transportant à travers des sonorités qui racontent des histoires, des racines communes et des innovations musicales contemporaines. »
Le festival «Shluq – Musique en mouvement» propose un voyage sonore entre tradition et innovation. Le mot « Shluq » évoque en effet le scirocco, ce vent chaud qui souffle du Sahara vers la Méditerranée Européenne, métaphore idéale d’un voyage musical entre identité, mémoire et innovation.
Le festival débutera au B7L9 de La Marsa. Le premier concert, prévu le jeudi 29 mai, sera donné par le collectif « Lero Lero » avec la participation de la chanteuse tunisienne Nessrine Jabeur, marquant l’ouverture d’un pont artistique et générationnel. Dirigé par Fabio Rizzo, Alessio Bondì, Donato di Trapani et Giovanni Parrinello, ce collectif explore et réinvente les chants et sonorités de la tradition orale sicilienne à travers un langage moderne et expérimental.
Le deuxième concert, le jeudi 12 juin, mettra en scène Cesare Basile, figure de proue de la musique d’auteur italienne, qui présentera son dernier album « Saracena », un projet entièrement en langue sicilienne inspiré par les diasporas contemporaines et les mouvements migratoires.
Le mercredi 23 juillet, le festival fera escale à Hammamet avec le collectif milanais Addict Ameba qui sera accompagné du chanteur et acteur tunisien Rabii Brahim. Né dans le quartier Casoretto à Milan, le groupe « Addict Ameba’ est reconnu pour sa capacité à fusionner, avec maîtrise et naturel, afrobeat, ethno-jazz, psychédélisme et rythmes latins.
Le quatrième concert, le samedi 27 septembre à Tunis, sera assuré par le célèbre percussionniste Alfio Antico, considéré comme un maître et innovateur du tambourin traditionnel (tammorra), dont la musique combine rythmes archaïques, poésie et performance théâtrale.
La clôture de « Shluq », le mardi 14 octobre à Tunis, sera avec une performance de la chanteuse et auteure-compositrice, Anna Castiglia, à la voix personnelle, ironique et poétique, qui est la cofondatrice du collectif féministe « Canta Fino a Dieci ».
Originaire de Catane, deuxième plus grande ville de Sicile après Palerme, la jeune artiste représente une nouvelle génération d’artistes conscientes, ancrées dans leur patrimoine culturel.
Programme complet du festival Shluq:
B7L9, La Marsa, Tunis
– Jeudi 29 mai : Lero Lero avec Nessrine Jabeur
– Jeudi 12 juin : Cesare Basile
Hammamet
– Mercredi 23 juillet : Addict Ameba avec Rabii Brahim
Le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique, Mohammad Eslami, a souligné que «l’Iran et son peuple déterminent seuls leur voie et leur position en fonction des objectifs et des intérêts nationaux»… et que «personne n’a le droit de leur dicter le chemin qu’ils doivent suivre».
Ces déclarations interviennent un jour après la conclusion du cinquième cycle de négociations indirectes entre les États-Unis et l’Iran sur le programme nucléaire, qui s’est tenu hier à Rome. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araqchi, a qualifié ce cycle de plus professionnel, annonçant que d’autres cycles seraient organisés ultérieurement pour parvenir à un accord.
Bien que la partie américaine ait qualifié les négociations de constructives, Washington avait déjà souligné à plusieurs reprises qu’il ne permettrait pas à Téhéran d’enrichir de l’uranium sur son territoire.
Tunis, UNIVERSNEWS (Météo) – Les températures seront en légère hausse, les maximales varieront entre 20°C et 25°C au nord et sur les hauteurs, et entre 26°C et 29°C ailleurs. La mer sera très agitée, à agitée au golfe de Gabès.
Le Ciel sera dimanche couvert de nuages parfois denses sur les côtes nord accompagnés de pluies éparses, le matin, puis couvert de nuages passagers l’après-midi. Le vent soufflera fort près des côtes et sur les hauteurs, faible à modéré ailleurs.
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – La chance a souri, cet après-midi à l’AS Marsa qui arrive de loin et qui, avec sa victoire, contre le CS Msaken, a arraché son billet pour la ligue 1, au finish, face au club qui lui a ouvert la voie vers l’accession, le CS Msaken, vainqueur lors de l’avant-dernière journée de Jendouba Sport, chez elle.
POULE A
Vendredi 23 mai
A Hammam-Sousse: ESH Sousse – CS Korba (4 – 0)
Samedi 24 mai
A la Marsa: AS Marsa – CS Msaken (2 – 0)
A Radès: ES Radès – SC Moknine (1 – 1)
A Hammam-Lif: CSH Lif – Jendouba Sport (1 – 0)
A Menzel Bourguiba: SA Menzel Bourguiba – AS Ariana (3 – 1)
A Kalâa Soghra: Kalâa Sport – AS Oued Ellil (2 – 2)
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – La chance a tourné, hier, du côté de Kairouan, pour le premier des deux postes permettant l’accession parmi l’élite. Aujourd’hui, un combat à distance sera engagé entre l’AS Marsa, leader actuel, et ses deux poursuivants Jendouba Sport et l’AS Mégrine. C’est toute une saison qui se joue, sur une seule rencontre… et que le meilleur gagne !!!
POULE A
Vendredi 23 mai
A Hammam-Sousse: ESH Sousse – CS Korba (4 – 0)
Samedi 24 mai
A la Marsa: AS Marsa – CS Msaken
A Radès: ES Radès – SC Moknine
A Hammam-Lif: CSH Lif – Jendouba Sport
A Menzel Bourguiba: SA Menzel Bourguiba – AS Ariana
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – La Coupe de Tunisie de football entre, ce week-end, dans sa phase décisive avec les demi-finales qui proposent deux affiches alléchantes mettant le tenant du titre, le Stade Tunisien, et l’Espérance de Tunis, fraîchement sacrée championne de Tunisie, à l’épreuve de l’US Monastir et de l’US Ben Guerdane.
Au stade Ben Jannet de Monastir, les locaux comptent bien profiter de l’avantage du public et de terrain pour créer l’exploit en éliminant le Stade Tunisien et accéder ainsi à la troisième finale de Coupe de leur histoire. Après une saison remarquable conclue à la deuxième place du championnat synonyme de qualification à la Ligue des Champions, les hommes de Faouzi Benzarti espèrent poursuivre sur leur lancée en Coupe. D’autant qu’ils ont bénéficié d’un parcours favorable, jouant tous leurs matches à domicile et éliminant successivement la JS Omrane (2-1), l’AS Jelma (5-0) et le Club Africain (3-0).
La formation monastirienne peut s’appuyer sur une défense solide emmenée par le gardien Abdesselam Hlaoui, peu souvent pris à défaut cette saison (11 buts seulement encaissés en Ligue 1 et 1 but en coupe). Elle pourra aussi compter sur son attaque réaliste, notamment sur Aymen Harzi et Hazem Mastouri, deuxième meilleur buteur du championnat avec 16 réalisations.
En face, le Stade Tunisien n’a pas encore dit son dernier mot. Avec l’expérience de certains joueurs, et l’ambition de jeunes éléments, l’équipe de Bardo vise une 13e finale et un 8e sacre. Elle peut aussi compter sur un milieu de terrain solide composé du Rwandais Bonheur Mugisha, de l’Ivoirien Youssouf Touré et du Sénégalais Amath Ndao.
Si l’US Monastir possède la meilleure défense du championnat, la ligne arrière de l’équipe de l’entraîneur Chokri Khatoui n’a rien à lui envier en Coupe puisqu’elle a conservé ses buts intacts lors des tours précédents contre l’O. Sidi Bouzid (1-0), la JS Manouba (2-0) et l’Etoile du Sahel (1-0) à l’extérieur. Un gage de solidité qui augure d’une confrontation musclée entre les deux antagonistes.
Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Le parquet près le tribunal de première instance du Kef a autorisé l’ouverture d’une enquête pour meurtre prémédité, suite à la découverte du corps sans vie de la jeune actrice, Abir Jebali, à l’intérieur de la maison d’un de ses proches dans la zone d’Al-Bayadh à l’entrée nord de la ville du Kef. Après examen de son corps, il a été constaté qu’elle avait été tuée par balle.
Le ministère public a autorisé l’examen du corps et son transfert au service de médecine légale pour déterminer avec précision la cause du décès. Des enquêtes sont actuellement en cours pour identifier le suspect et le mobile du crime.
La direction du Centre des Arts Dramatiques et Scéniques du Kef a rendu public un faire-part, à la suite de ce décès, « avec beaucoup de douleur et de chagrin pour la mort du professeur de théâtre « Abir Jebali ».
Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – La présidente du Parti Destourien Libre (PDL), Abir Moussi, a comparu hier devant la Cour d’Appel de Tunis pour une plainte déposée par l’Association pour la protection des sites religieux et il a été décidé d’en reporter l’examen à une date ultérieure. Elle a été condamnée dans un premier temps à une amende de 500 dinars.
Il est à noter que l’équipe de défense d’Abir Moussa a dénoncé le fait de ne pas l’avoir informée à l’avance de la date du procès. Elle a confirmé avoir été surprise lorsqu’une délégation de la Ligue tunisienne pour la défense des droits de l’Homme (LTDH) s’est rendue vendredi à la prison de Belli pour examiner de près l’état de santé d’Abir Moussi.
Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – Un communiqué rendu public, il n’y a pas longtemps, par la commission administrative de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a souligné avoir reporté, à la réunion du jeudi 29 mai, la décision sur les controverses entre les syndicalistes, en particulier la fixation de la date de la conférence nationale extraordinaire.
La déclaration de la commission administrative nationale, d’autre part, comprenait une critique sévère des politiques générales des pouvoirs publics qui, selon le communiqué, est considérée comme étant basées sur des politiques fondées sur l’exclusion et le recours à la poursuite de quiconque diffère d’opinion avec eux.
Le communiqué appelle à l’annulation du décret 54, au respect des libertés publiques et de l’indépendance des associations, et à la lutte contre la détérioration du pouvoir d’achat de larges segments de citoyens.
La déclaration salue, en outre, certaines initiatives du Bureau exécutif de l’Union générale tunisienne du travail, qui pourraient représenter un message sur une tendance syndicale vers le calme interne en prévision d’une éventuelle escalade dans les relations avec l’autorité politique.
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Toute la presse occidentale compatit avec l’entité sioniste, oubliant que ces derniers ont tué plus de 57 mille Palestiniens, à majorité de femmes, d’enfants et de personnes âgées, tout en visant à proscrire toute information concernant l’atrocité des méfaits du « boucher de Gaza », le sanguinaire Benyamin Netanyahu et l’extrême droite israélienne qui tente de faire pire que ce qu’avait fait Adolf Hitler aux Juifs, selon la version officielle des sionistes.
Mais, les événements de Gaza parlent d’eux-mêmes et les échos parviennent du Festival de Cannes, où plus de 900 des grandes stars du cinéma et du business cinématographique dénoncent avec véhémence ce qui est en train d’être fait aux Palestiniens.
Les actrices françaises Catherine Deneuve, Chiara Mastroianni, sa fille, et Léa Seydoux, ainsi que l’activiste australien Julian Assange, ont rejoint les quelque 900 signataires d’une lettre condamnant le « silence » sur le « génocide » à Gaza publiée en marge du Festival de Cannes, selon un des collectifs à l’origine du texte. La pétition, qui rend également hommage à Fatima Hassouna, photojournaliste gazaouie tuée par un missile israélien et protagoniste du documentaire Put your Soul on your Hand and Walk présenté à Cannes, a aussi été signée par le réalisateur norvégien en compétition Joachim Trier, le cinéaste britannique Danny Boyle ou l’acteur français François Civil.
La réalisatrice de Put your Soul on your Hand and Walk, l’Iranienne Sepideh Farsi, tient une conférence de presse vendredi sur la Croisette, aux côtés de Francesca Albanese, rapporteuse spéciale des Nations unies sur les Territoires palestiniens, et des ONG Amnesty International, Médecins sans frontières et Reporters sans frontières.
Ses organisateurs insistent sur le « devoir de solidarité avec le peuple palestinien » et la nécessité d’« exiger la libération inconditionnelle des otages détenus à Gaza par le Hamas ». La liste initiale des signataires de la tribune publiée à l’ouverture du festival, le 13 mai, dans le quotidien français Libération et le magazine spécialisé américain Variety, comprenait déjà plusieurs grands noms du cinéma : Ralph Fiennes, Richard Gere, Javier Bardem, Pedro Almodovar ou Susan Sarandon.
Sont venus s’y ajouter la présidente du jury cannois Juliette Binoche, qui a aussi rendu hommage à Fatima Hassouna dans son discours d’ouverture, et des acteurs en compétition, comme les stars américaines Joaquin Phoenix et Pedro Pascal. La photojournaliste de 25 ans a été tuée avec plusieurs membres de sa famille dans un bombardement le 16 avril, au lendemain de la sélection de son documentaire à l’Acid, une section parallèle du festival réunissant des réalisateurs indépendants.
Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Le premier juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis a décidé de refuser « implicitement » la libération du journaliste en détention Mourad Zghidi. L’équipe de défense de Mourad Zghidi a soumis une demande écrite pour sa libération lundi dernier.
Quatre jours après le dépôt de la demande, le juge d’instruction chargé de l’enquête n’a rendu aucune décision explicite, ni approuvant ni rejetant la demande. Cela constitue juridiquement un « rejet implicite » de la demande de libération de Zghidi.
Les avocats de Mourad Zahidi devraient se rendre devant la chambre d’accusation de la cour d’appel de Tunis pour déposer une demande de libération.