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Météo du lundi 1er décembre : temps partiellement nuageux, pluies au Sud en fin de journée

MétéoTunis, 1er déc. — La journée de lundi sera placée sous le signe d’un temps partiellement nuageux sur l’ensemble du pays, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM). Les conditions évolueront toutefois en fin d’après-midi, notamment sur l’extrême Sud où des nuages progressivement denses devraient donner lieu à des pluies éparses.

Au niveau du vent, les prévisionnistes indiquent un flux de secteur Sud, généralement faible à modéré sur la façade Est. Cette situation devrait se maintenir une bonne partie de la journée avant un renforcement du vent pendant la nuit, plus particulièrement dans le golfe de Gabès, où des rafales plus soutenues sont attendues.

Côté mer, les conditions resteront globalement peu agitées, offrant un contexte relativement stable pour les activités maritimes, bien que l’évolution nocturne du vent dans le Sud-Est appelle à une vigilance accrue pour les navigateurs dans cette zone.

Les températures maximales afficheront des valeurs comprises entre 14 et 20 degrés, reflétant une journée fraîche mais conforme aux moyennes saisonnières pour un début décembre. Les régions intérieures et les hauteurs demeureront plus froides, tandis que les zones littorales bénéficieront d’un climat légèrement plus doux.

Cette configuration météorologique s’inscrit dans une dynamique d’instabilité légère, marquée par un passage nuageux généralisé et une humidité croissante dans le Sud. Les faibles pluies attendues ne devraient pas entraîner de perturbations significatives, mais elles annoncent une possible continuité d’un temps perturbé pour les jours à venir, selon les tendances observées par l’INM.

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Championnat de France : Lens reprend la tête, Nice s’enfonce encore

Le RC Lens a réalisé la principale opération de la 14e journée de Ligue 1 en s’imposant à Angers (2-1), un succès qui offre aux Sang et Or la première place du championnat, quittée en 2003. Profitant de la défaite du Paris SG à Monaco (1-0) samedi et du nul concédé par Marseille face à Toulouse (2-2), les Lensois totalisent désormais 31 points.

Privés de Jonathan Gradit, blessé à l’entraînement cette semaine, les Nordistes ont pu compter sur un Florian Thauvin particulièrement inspiré. Auteur d’un doublé, l’attaquant a guidé les siens vers une dixième victoire en quatorze rencontres. En fin de match, les hommes de Pierre Sage ont résisté au pressing angevin grâce notamment à plusieurs interventions décisives de leur gardien.

Nice sombre encore, Lorient se relance

À Nice, la série noire continue. Battus au Moustoir par Lorient (3-1), les Aiglons enregistrent leur sixième défaite consécutive toutes compétitions confondues, la quatrième en Ligue 1. Avec 17 points, ils glissent à la dixième place et concluent un mois de novembre catastrophique, qui fragilise encore un peu plus l’entraîneur Franck Haise. Les Niçois ont encaissé 11 buts sur la seule semaine, après les lourds revers face à Marseille (5-1) et Porto (3-0).

Lorient, de son côté, a dominé les débats et mis fin à une série de mauvais résultats, profitant de l’apathie niçoise pour s’imposer logiquement.

Brest respire, Strasbourg rechute

En bas de tableau, Brest réalise une excellente opération en allant renverser Strasbourg à la Meinau (2-1). Hugo Magnetti a inscrit le but décisif d’une superbe frappe de 25 mètres en pleine lucarne. Strasbourg enchaîne une deuxième défaite à domicile et reste provisoirement 7e avant le déplacement de Nantes à Lyon.

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Liga : le Real Madrid freiné, le Barça reprend la tête

Le Real Madrid a concédé dimanche un troisième match nul consécutif en championnat, en étant tenu en échec sur la pelouse de Gérone (1-1), lors de la 14e journée de Liga. Malgré un nouveau but de Kylian Mbappé, les Madrilènes laissent échapper la première place au profit du FC Barcelone, vainqueur samedi d’Alavés (3-1).

Surpris juste avant la pause par une frappe imparable d’Azzedine Ounahi (45e), le Real a dû patienter jusqu’à l’heure de jeu pour réagir. Vinicius Junior a obtenu un penalty transformé avec sang-froid par Mbappé (67e), son but permettant aux Merengue de revenir dans la partie sans toutefois renverser le score.

Accrochés précédemment par le Rayo Vallecano (0-0) et Elche (2-2), les Madrilènes (33 points) cèdent temporairement le fauteuil de leader à un Barça désormais seul en tête avec 34 points.

Les autres résultats de la 14e journée

La journée avait débuté vendredi par une victoire de Getafe devant Elche (1-0). Samedi, Majorque et Osasuna se sont neutralisés (2-2), tandis que l’Athletic Bilbao s’est imposé à Levante (2-0). L’Atlético Madrid a également assuré l’essentiel face au Real Oviedo (2-0).

Dimanche, Villarreal a signé un précieux succès à Saint-Sébastien contre la Real Sociedad (3-2). Le Betis a dominé le derby sévillan en battant le FC Séville (2-0), alors que l’Espanyol Barcelone s’est imposé à Vigo (1-0).

La journée se conclut lundi avec le déplacement de Valence sur la pelouse du Rayo Vallecano.

Classement : le Barça repasse leader

Avec 11 victoires en 14 rencontres, Barcelone occupe la tête du championnat (34 points) devant le Real Madrid (33) et Villarreal (32). En bas de tableau, Levante et le Real Oviedo ferment la marche, chacun avec neuf unités.

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Coupe arabe Qatar-2025 : Sadok Mourali réaffirme le soutien de l’État aux Aigles de Carthage

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Sadok Mourali, s’est rendu dimanche à la résidence de la sélection tunisienne de football à Doha. Cette visite intervient à la veille du coup d’envoi de la Coupe arabe Qatar-2025. Le responsable gouvernemental a pris connaissance des derniers préparatifs des Aigles de Carthage, engagés dans une compétition où la Tunisie vise une performance solide.

Soutien moral et message d’encouragement

Au cours de cette rencontre, Sadok Mourali a adressé un message clair aux joueurs et au staff technique. Il les a encouragés à donner le meilleur d’eux-mêmes et à défendre avec sérieux les couleurs nationales durant cet événement sportif régional. Le ministre a également réaffirmé le soutien de l’État tunisien, exprimé comme un accompagnement pour permettre à la sélection d’aborder ce tournoi avec détermination.

Cette intervention s’inscrit dans un contexte où l’équipe peaufine son entrée en lice. Le groupe a poursuivi ses séances de préparation à Doha, mobilisé autour d’un premier match qui donnera le ton de la compétition.

Une représentation officielle lors de la cérémonie d’ouverture

Sadok Mourali se trouve au Qatar pour représenter la Tunisie lors de la cérémonie d’ouverture de la Coupe arabe. Celle-ci se tiendra lundi au stade international Al Bayt, dans la ville d’Al Khor. La présence du ministre marque l’implication institutionnelle tunisienne dans cette édition et accompagne le début du tournoi, attendu par les sélections participantes.

Tunisie–Syrie pour démarrer le groupe A

La Tunisie entamera sa campagne lundi à partir de 14h00, face à la Syrie, pour le premier match du groupe A. Cette poule comprend également le Qatar et la Palestine. Ce premier rendez-vous constitue une étape importante pour la sélection, qui cherchera à bien démarrer son parcours dans une compétition où chaque rencontre compte.

Avec ce début face à la Syrie, les joueurs tunisiens auront l’occasion de confirmer le travail engagé durant leur préparation à Doha. L’enjeu est simple : lancer la phase de groupes sur une base solide et entrer pleinement dans la dynamique de la Coupe arabe Qatar-2025.

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Foot – Serie A (13e journée) : un quatuor en un point et Naples relance la bataille

La course au titre reste ouverte après la 13e journée du championnat d’Italie. Les quatre premiers se tiennent en un point. Naples a frappé un grand coup en s’imposant sur le terrain de l’AS Rome (1-0). L’Inter Milan a retrouvé de l’allant à Pise (2-0). L’AC Milan, vainqueur de la Lazio Rome samedi (1-0), conserve la tête avec 28 points, à égalité avec Naples. La Roma, battue dimanche, rétrograde à la 4e place, juste derrière l’Inter (27 points).

Naples retrouve le rythme

Le champion en titre sort d’une période délicate, marquée par des résultats irréguliers avant la trêve internationale de novembre. L’équipe a repris de la solidité en enchaînant une troisième victoire consécutive, toutes compétitions confondues. Le Napoli, handicapé par plusieurs blessures majeures (De Bruyne, Anguissa, Gilmour, Meret), a fait la différence au Stade olympique grâce à un but de David Neres à la 36e minute. Cette victoire replace le club dans la bataille pour la première place.

L’Inter stoppe l’hémorragie

L’Inter Milan sortait d’une semaine difficile, marquée par deux revers face à l’AC Milan (1-0) puis à l’Atletico Madrid (2-1) en Ligue des champions. À Pise, les Nerazzurri ont retrouvé de l’efficacité, portés par un doublé de Lautaro Martinez. Leur succès renforce un équilibre fragile dans le haut du classement, où aucun écart ne se creuse.

Derrière le quatuor, un groupe en progression

À l’arrière du “Big Four”, Bologne et Côme confirment leur dynamique. Les deux équipes, respectivement 5e et 6e avec 24 points, restent dans le sillage des favoris. La Juventus Turin suit de près, avec 23 points, après sa victoire contre Cagliari (2-1). La Juve sera le prochain adversaire du Napoli, un rendez-vous susceptible de redistribuer encore la hiérarchie.

Résultats et classement

La 13e journée s’est déroulée sur trois jours, avec notamment la victoire de Côme sur Sassuolo (2-0) vendredi et le succès du Milan AC contre la Lazio samedi. Dimanche, Lecce a dominé Torino (2-1), Atalanta a battu la Fiorentina (2-0), et l’Inter a pris l’avantage à Pise. En clôture, Naples s’est imposé à Rome.

Le classement reste dense : Milan et Naples (28 pts), Inter (27 pts), Roma (27 pts). Derrière, Bologne, Côme et la Juventus tentent de rester au contact. En bas de tableau, la Fiorentina et Vérone ferment la marche avec 6 points.

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Tunisie – Syrie : lien streaming, chaîne tv pour regarder le match

Tunisie – Syrie : lien streaming, chaîne tv pour regarder le match

La Tunisie débutera sa campagne en Coupe arabe de la FIFA 2025 par une confrontation attendue face à la Syrie, dans le cadre du Groupe A. Les Aigles de Carthage viseront un deuxième sacre dans la compétition, après leur titre de 1963, tandis que les Nusur Qasiun tenteront de décrocher leur premier trophée. Le groupe […]

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Tunisie: les banques sommées de faire un grand ménage financier

Le secteur bancaire tunisien se retrouve engagé, parfois malgré lui, dans l’un des plus vastes exercices de régularisation jamais imposés.

Sous l’impulsion des autorités et dans un contexte globalement exigeant en matière de transparence, les banques doivent procéder à une mise à niveau accélérée de leurs comptes, de leurs procédures et de leurs mécanismes de contrôle.

 On parle ici d’un chantier colossal qui pourrait redéfinir l’équilibre financier du pays.

 

La Banque centrale de Tunisie a franchi un pas décisif en ordonnant aux établissements financiers de revoir en profondeur leur gestion interne.

Cette décision intervient alors que la stabilité monétaire du pays reste fragile, et que les institutions internationales scrutent de près la capacité de la Tunisie à moderniser son système bancaire.

Les banques sont désormais tenues de régulariser les dossiers en suspens, de renforcer leurs provisions et d’améliorer la traçabilité de leurs opérations.

Plusieurs dirigeants du secteur évoquent le sujet d’une «mise au propre plutôt forcée» qui exige des moyens humains et technologiques conséquents.

Les pressions extérieures jouent également, dans ce contexte, un rôle crucial.

La Tunisie doit se conformer à des standards renforcés en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, un dossier particulièrement sensible dans les évaluations internationales.

En parallèle, la montée des créances impayées et la persistance de zones d’ombre dans certaines transactions inquiètent les régulateurs.

Face à ces défis, la BCT impose désormais des délais serrés, des contrôles plus stricts et menace de sanctions en cas de non-conformité, poussant les banques à accélérer leur transformation.

Ce vaste effort de régularisation impactera inévitablement et forcément les clients.

 Les entreprises comme les particuliers pourraient faire face à des vérifications supplémentaires, des demandes accrues de documents ou des délais allongés pour l’octroi des crédits.

À court terme, ces lourdeurs administratives présentent le risque de freiner les opérations bancaires.

Néanmoins, à moyen terme, les analystes estiment que cette volonté d’assainissement est incontournable pour améliorer la confiance dans le système financier tunisien, attirer davantage d’investissements et éviter de nouveaux chocs économiques.

Pour les autorités, il s’agit d’un passage obligé: un grand ménage nécessaire pour garantir la stabilité et la crédibilité d’un secteur au cœur de l’économie du pays.

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Bientôt, exonération de l’impôt sur le revenu pour le transport pris en charge par l’employeur

Lors de l’examen du projet de loi de finances 2026, l’Assemblée des représentants du peuple a fait un pas important en faveur des travailleurs. En effet, la majorité des députés ont voté pour une mesure destinée à alléger la charge fiscale : l’exonération de l’impôt sur le revenu pour les services de transport fournis ou financés par l’employeur. L’article 22, au cœur de cette décision, a été approuvé à une large majorité — 101 voix pour, 5 abstentions et seulement 4 voix contre.

Cette initiative s’inscrit dans une dynamique plus large visant à soutenir le pouvoir d’achat des citoyens. Le gouvernement sait que les trajets quotidiens entre le domicile et le travail pèsent lourdement sur le budget de nombreux ménages, surtout dans les zones éloignées des centres urbains, où les transports publics se font rares.

En supprimant l’impôt sur ce type d’avantage, l’État espère réduire les dépenses quotidiennes des salariés, encourager les employeurs à proposer des solutions de transport adaptées et, au passage, améliorer la ponctualité comme la productivité en facilitant les déplacements.

Mais la mesure ne s’adresse pas seulement aux travailleurs. Elle constitue aussi un signal envoyé aux entreprises : investir dans le transport n’est plus seulement un geste social, mais un choix soutenu par la loi. Navettes internes, partenariats avec des transporteurs privés, solutions collectives et écologiques… les possibilités sont nombreuses, et pourraient, à terme, désengorger les routes, diminuer les émissions de CO₂ et fluidifier l’accès au travail.

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Salaires et pensions en hausse: un nouvel élan pour le pouvoir d’achat en Tunisie

Dès les semaines à venir, des milliers de Tunisiens auront une augmentation au niveau de leurs salaires.

Entre revalorisation salariale, hausse des pensions de retraite et ajustements adoptés par le gouvernement et les partenaires sociaux, un vent d’optimisme prudent souffle sur le pouvoir d’achat des Tunisiens. Reste à savoir si ces mesures suffiront à compenser l’inflation persistante.

Les Tunisiens pourraient bientôt ressentir un souffle d’air frais dans leur budget et revenues mensuels.

 Le gouvernement, en concertation avec l’UGTT et plusieurs organismes sociaux, prépare une série de hausses salariales et d’ajustements des pensions de retraite. L’objectif: renforcer un pouvoir d’achat mis à rude épreuve depuis plusieurs années.

Selon les premières informations, les augmentations viseront en priorité les employés du secteur public, les retraités relevant de la CNSS et de la CNRPS, ainsi que certaines catégories vulnérables. Les discussions portent sur une revalorisation située entre 5 et 10% selon les tranches de revenus, avec une entrée en vigueur attendue au début de l’année prochaine. Pour les retraités, une mise à jour automatique des pensions est également envisagée, liée à l’évolution du SMIG et à l’inflation.

Cette mesure intervient dans un contexte économique tendu. L’inflation avoisine toujours 7 à 8%, affaiblissant la capacité des ménages à couvrir leurs dépenses essentielles. La hausse des prix des produits alimentaires, du transport et des services a fortement pesé sur les foyers à revenus fixes. Pour de nombreux Tunisiens, chaque dinar compte.

Les autorités assurent que ces augmentations seront financées sans creuser davantage le déficit public, grâce à un réajustement des dépenses et à une amélioration progressive des recettes fiscales. Cependant, plusieurs économistes restent prudents: sans une stratégie globale incluant stabilisation des prix, soutien aux PME et relance de la production locale, les hausses salariales pourraient n’avoir qu’un effet temporaire.

Du côté des citoyens, les réactions oscillent entre soulagement et scepticisme. Si l’augmentation des salaires et des pensions est perçue comme une mesure positive, beaucoup s’interrogent sur son impact réel face à l’inflation continue. «On espère que ce ne sera pas juste un chiffre sur le papier», confie un retraité de la banlieue sud de Tunis.

Reste que cette revalorisation constitue un signal encourageant pour des millions de Tunisiens. Une lueur d’espoir, dans une période où l’équation pouvoir d’achat/inflation demeure l’un des défis majeurs du pays.

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Prix Abdelwaheb Ben Ayed: la littérature tunisienne en plein éclat

Pour sa cinquième édition, les prix littéraires de la Fondation Abdelwaheb Ben Ayed (FABA) s’imposent comme un concours incontournable de la saison littéraire tunisienne. La cérémonie de remise des prix s’est tenue ce samedi 29 novembre 2025 à Tunis et a été marquée par un hommage rendu à feu Abdelwaheb Ben Ayed.​

La présidente du jury, Samia Kassab Charfi, universitaire et professeure de littérature, souligne que ces prix contribuent de manière significative à la promotion et au développement du roman tunisien.

Le jury a été constitué avec un souci particulier d’équilibre des genres et des générations: trois hommes (Abderraouf Medelgi, Adel Khedher, Mabrouk Mabrouk Mannaï) et trois femmes (Thouraya Belkahia, Samia Dridi, Hind Soudan). Cette diversité, tant en termes d’âges que de spécialités – littérature française et littérature arabe –, a permis des débats riches et croisés.​

Il convient de noter que le jury a reçu plus de 48 ouvrages de qualité. L’originalité, la création littéraire et la capacité du livre à captiver le lecteur figurent au cœur de l’évaluation, tout comme la modernité de l’écriture.​

Les œuvres en lice couvrent une large palette de genres: romans et nouvelles, littérature jeunesse et jeunes lecteurs, essais mêlés de fiction. Cette variété témoigne de la vitalité de la création littéraire tunisienne et de la pluralité des voix qui s’y expriment.

 

Short lists de la 5ᵉ édition

 Catégorie: Article – arabe et français

Lauréat: Hichem Abdessamad

Titre: La Gloire et la puissance

Maison d’édition: AC Éditions

Valeur du prix: 20 mille dinars

 

Catégorie: Littérature Jeunesse & Jeunes lecteurs

Lauréate 1: Fethia Chouikha Abichou

Titre: بوح الفراخ

Maison d’édition: دار يس للنشر

Valeur du prix: 5 mille dinars

Lauréat 2: Nada Dagdoug

Titre: Yeza

Maison d’édition: La voix du livre

Valeur du prix: 5 mille dinars

 

Catégorie: Roman et Nouvelles – langue française

Lauréate: Héla Msellati

Titre: La vie en sauce

Maison d’édition: Hkeyat Éditions

Valeur du prix: 20 mille dinars

 

Catégorie: Roman et Nouvelles – langue arabe

Lauréat: Zied Bouchoucha

Titre : الدفتر الوردي

Maison d’édition: Éditions POP Libris

Valeur du prix: 20 mille dinars

Au final, cette cinquième édition des prix FABA illustre non seulement la richesse de la production littéraire tunisienne, mais aussi le rôle essentiel du livre dans l’éducation, la formation de l’esprit critique et le développement culturel.​

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Où suivre en direct le match Tunisie–Syrie ?

Toutes les attentions se tournent ce lundi vers le stade Ahmed Ben Ali à Doha, où la Tunisie affrontera la Syrie à partir de 14h (heure de Tunis), en ouverture de leur parcours dans la Coupe arabe 2025. Cette rencontre marque l’un des duels les plus attendus de la première journée du tournoi. Par ailleurs, […]

Salaires et pensions : les nouvelles mesures pour 2026-2028 expliquées

L’Assemblée des représentants du peuple a adopté deux mesures majeures pour soutenir le pouvoir d’achat des citoyens tunisiens, portant sur l’augmentation des salaires dans les secteurs public et privé et sur l’allégement fiscal progressif des pensions de retraite. Lors d’une séance plénière tenue samedi 39 novembre 2025, avec la participation de la ministre des Finances […]

Tunisie – Coupe arabe Qatar 2025 : la formation probable face à la Syrie

Image ©Équipe Nationale Tunisienne La sélection tunisienne disputera ce lundi son premier match dans le cadre de la Coupe arabe Qatar 2025, où elle affrontera la Syrie pour son entrée en lice dans la compétition. Selon les premières indications, le staff technique devrait aligner la formation suivante : Aymen Dahmen, Ali Maâloul, Rayen Anane, Oussama […]

Hedia Arfaoui : “Les augmentations salariales du privé relèvent du dialogue social”

Les augmentations de salaires devraient émaner d’une négociation collective entre les partenaires sociaux et le gouvernement. C’est ce qu’a rappelé via son post Fb, Hedia Arfaoui, secrétaire générale adjointe chargée des relations arabes et internationales à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), et membre du conseil d’administration du Bureau international du travail.

Elle est revenue sur la convention internationale n° 98 sur le droit d’organisation et de négociation collective, ainsi que sur la n° 154 relative à la promotion de la négociation collective. Lesquelles consacrent un principe fondamental : la fixation des salaires dans le secteur privé, y compris les augmentations périodiques, qui relève exclusivement de la négociation collective entre partenaires sociaux.

Elle a rappelé que cette fixation ne doit pas être imposée par une intervention législative de l’État. “Ainsi, dans le secteur privé, les augmentations de salaire ne sont ni décidées par la loi ni par le Parlement, mais uniquement déterminées par des accords issus du dialogue social”, ajoute-t-elle.

Et de poursuivre : “Toutefois, ce principe connaît une exception importante concernant le salaire minimum garanti. Ce dernier constitue un outil de protection à la fois sociale et économique. Dans ce domaine, l’État peut intervenir par la réglementation et la législation afin d’assurer une protection minimale aux salariés les plus vulnérables.”

Et de conclure : “En revanche, tous les autres salaires et leurs augmentations demeurent soumis aux mécanismes de la négociation collective, conformément à la législation nationale et aux normes internationales du travail.”

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Zelensky entre le marteau russe et l’enclume américaine

Pour les médias européens, le conflit russo-ukrainien a commencé lorsque la Russie a envahi l’Ukraine, passant sous silence l’histoire qui a précédé le début des hostilités en 2022. Beaucoup pensent aussi que Poutine est un méchant loup qui veut dévorer ses voisins, ce n’est pas totalement faux, mais cette vision mérite d’être nuancée. Cet article apporte des éclaircissements sur les raisons de ce conflit insensé, qui remonte à 2014, après le coup d’Etat organisé par la CIA en Ukraine et la mise en place d’un gouvernement pro-américain.

Habib Glenza

La Russie est un grand pays qui regorge de richesses naturelles : énergies, minéraux, métaux rares, sources d’eau intarissables, vastes terres cultivables, etc. De ce fait, plusieurs puissances ont tenté à travers l’histoire de mettre la main sur ses richesses par la force et toutes les tentatives se sont soldées par un échec.  

Rappelons, dans ce contexte, la campagne militaire menée par l’empereur Napoléon 1er en 1812 et lors de laquelle les troupes françaises ont envahi l’Empire Russe. L’armée et la population russes sont parvenues à infliger une défaite décisive de l’armée française.    

Plus d’un siècle plus tard, Hitler a décidé de faire la guerre au monde entier, mais il manquait d’hydrocarbures pour faire tourner sa machine de guerre. Il fallait donc aller les chercher en Russie. La guerre était alors inévitable entre les deux armées russe et allemande, en dépit de la signature du pacte de non-agression, appelé pacte Ribbentrop-Molotov, le 23 août 1939. Hitler a finalement envahi l’URSS, le 22 juin 1941, sous le nom de code «Opération Barbarossa»

De 1941 à 1945, l’armée rouge soviétique a non seulement décimé la puissante armée allemande mais elle a aussi sauvé l’humanité entière en empêchant Hitler de mettre la main sur l’énergie russe, indispensable pour que le führer règne sur le monde. 

Cette guerre a coûté 27 millions de morts et de disparus à l’URSS, entre militaires et civils !

Dans son fameux livre, ‘‘Le grand échiquier’’, paru en 1997, Zbigniew Brzezinski affirme avoir conseillé Jimmy Carter de dépiécer la Russie en trois grandes régions, afin de s’emparer de ses richesses naturelles et de l’affaiblir.

Aujourd’hui, la Russie n’est pas celle de 1939, ni de 1997; elle est devenue la première puissance atomique possédant plus de 6000 ogives nucléaires. Toute intervention militaire de l’Occident dans cet Etat-continent déboucherait, à n’en pas douter, sur une troisième guerre mondiale dévastatrice.

Echec des accords de Minsk

Pour bien comprendre le conflit russo-ukrainien, il faut admettre que les affrontements dans le Donbass n’étaient pas entre «Russes et Ukrainiens» mais entre «Ukrainiens nationalistes et Ukrainiens russophones» de ce territoire litigieux.

Les interventions de l’ex-chancelière allemande Angela Merkel, de l’ex-président français François Hollande et du président russe Vladimir Poutine avaient d’ailleurs pour objectifs de ramener la paix entre les séparatistes ukrainiens du Donbass et les ultra-nationalistes au pouvoir à Kiev. 

Malheureusement, cet accord fut une duperie qui visait à donner à l’Ukraine le temps de préparer une guerre contre la Russie, comme l’a avoué Merkel en 2022, dans une interview à l’hebdomadaire Die Zeit. Et Hollande a confirmé ses dires par la suite.

Raisons de l’intervention russe

L’intervention des Russes, le 24 février 2022, est donc la conséquence directe du non-respect des accords de Minsk par les nationalistes ukrainiens et leurs alliés occidentaux. Hollande et Merkel auraient pu empêcher les Ukrainiens de poursuivre la répression des Russophones du Donbass et, par conséquent, le déclenchement des hostilités entre la Russie et l’Ukraine. Mais ils ne l’ont pas fait. Pire encore, les Occidentaux sont allés plus loin en annonçant l’intégration de l’Ukraine à l’Otan, qui est une ligne rouge pour Moscou ! Et c’est ce qui a poussé les Russes à intervenir en Ukraine, car l’installation de missiles nucléaires près de leurs frontières constituerait une menace existentielle pour eux.

Lors de la réunification des deux Allemagne, l’ancien chef de la diplomatie américaine James Baker avait promis aux Russes que l’Otan n’avancerait plus d’«un seul pouce» vers l’est. Or, quelques années plus tard, l’Otan a fini par intégrer, tous les pays du Pacte de Varsovie, qui étaient des pays satellites de l’URSS.

Certains diraient que l’Ukraine est libre d’intégrer l’Otan, la Russie n’a absolument pas le droit de s’y opposer. Tous ceux qui trouvent logique ce point de vue doivent se rappeler que lorsque l’URSS a installé des missiles nucléaires en 1962 sur l’île de Cuba pour protéger ce pays contre une possible invasion de l’armée américaine, le président Kennedy a menacé Khroutchev d’une guerre nucléaire s’il ne retirait pas son arsenal de cette île située au large des Etats-Unis.

Echec des pourparlers d’Istanbul

Plus près de nous, au lendemain des pourparlers de mars 2022 à Istanbul, Poutine a déclaré : «Nous avions défini presque tous les paramètres d’un éventuel accord de paix avec les représentants du gouvernement de Kiev. Certes, il restait quelques points à régler, mais en général, l’accord méritait d’être conclu.»

Il fallait cependant compter avec Boris Johnson, alors Premier ministre britannique qui, lors d’une visite à Kiev, a demandé à Volodymyr Zelensky de ne pas signer l’accord de paix d’Istanbul mais de continuer la guerre, parce que l’objectif de l’Union européenne (UE) est de parvenir à une défaite stratégique de la Russie, a expliqué le président russe lors d’un forum économique tenu dans la ville portuaire de Vladivostok.

Selon Poutine, les autorités ukrainiennes ont publiquement admis que la guerre entre la Russie et l’Ukraine aurait pris fin «depuis longtemps» si l’Ukraine et les pays occidentaux avaient appliqué ce qu’ils avaient convenu à Istanbul.

Donald Trump disait à juste titre : «Si j’étais au pouvoir, cette guerre n’aurait jamais eu lieu.» Il reconnaît que Biden et les pays occidentaux ont sur la conscience plus de deux millions de morts entre militaires et civils depuis le 24 février 2022, en réussissant à convaincre Zelensky qu’il lui était possible de vaincre la Russie, grâce aux sanctions qui lui seront infligées et à l’aide militaire et financière qui lui a été promise.

Le conflit russo-ukrainien, qui, avant 2014, était un affrontement entre Ukrainiens nationalistes et Ukrainiens séparatistes, a débouché sur un conflit russo-ukrainien en raison du non-respect des accords de Minsk par le gouvernement ukrainien et les pays occidentaux garants de cet accord.

Profitant de cette situation, les ultras nationalistes ont commencé à combattre toutes les minorités en Ukraine (hongroise, roumaine, polonaise et russe).

L’intervention de Poutine, Merkel et Hollande avait pour but d’instaurer une paix durable entre le gouvernement ukrainien et ces minorités. Mais malheureusement, comme il s’est avéré plus tard, les accords de Minsk I et II en 2014 et 2015 étaient une duperie, pour permettre à l’Ukraine de mieux se préparer à la guerre contre la Russie!

Selon les aveux même de Merkel et de Hollande en 2022), c’est l’Occident qui a programmé et provoqué cette guerre qu’il espérait remporter par Ukraine interposée. C’est lui aussi qui a fait ensuite capoter les tentatives pour parvenir à la la paix, comme celle des pourparlers d’Istanbul mise en échec par le Britannique Johnson, comme expliqué plus haut.  

Jusqu’à l’arrivée de Donald Trump en 2025, les Européens, notamment l’Angleterre, la France et l’Allemagne, ont refusé de mettre fin à ce conflit, qui ne cessera qu’après la capitulation de l’Ukraine. Et c’est ce que cherche aujourd’hui par le président américain.

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Tout ce qu’il faut savoir sur la Coupe arabe de la Fifa 2025

La Coupe arabe de la Fifa 2025, la plus grande compétition de football du monde arabe, débutera ce lundi 1er décembre 20225 avec le match d’ouverture opposant l’équipe de Tunisie, diminuée d’une dizaine de joueurs, à celle de la Syrie, à 14h00, heure tunisienne. Cet article est une présentation générale de cette compétition, qui a lieu tous les quatre ans. Au total, 16 équipes de toute la région s’affronteront pour le titre et d’ici la fin de ce tournoi, le 18 décembre, le public verra 32 matchs.

Quand et où ?

La phase de groupes aura lieu du 1er au 9 décembre, les quarts de finale les 11 et 12 décembre, les demi-finales le 15 décembre, le match pour la troisième place le 18 décembre et la finale le 18 décembre.

Le Qatar organise la Coupe arabe pour la troisième fois, après les éditions de 1998 et 2021. C’est également le deuxième tournoi Fifa consécutif organisé par ce pays du Golfe, après la récente Coupe du Monde U-17 de la Fifa.

Six sites ont été choisis pour accueillir cette compétition régionale, chacun ayant déjà accueilli une Coupe du Monde de la Fifa il y a trois ans.

Comme lors de Qatar 2022, le stade Al Bayt, situé dans la ville d’Al Khor, au nord du pays, accueillera le match d’ouverture, tandis que le magnifique stade de Lusail sera le théâtre de la finale.

Les villes hôtes et leurs stades :

Lusail : Stade de Lusail (capacité : 88 966 places);

Al Rayyan : Stade Ahmad bin Ali (capacité : 45 032 places);

Al Khor : Stade Al Bayt (capacité : 68 895 places);

Doha : Stade 974 (capacité : 44 089 places); Stade de la Cité de l’Éducation (capacité : 44 667 places); Stade international Khalifa (capacité : 45 857 places).

Les nations participantes :

Seize nations, issues de la Confédération asiatique de football (AFC) et de la Confédération africaine de football (CAF), disputeront le tournoi.

Le Qatar, pays hôte, et l’Algérie, tenante du titre, ainsi que les sept nations les mieux classées au moment du tirage au sort en mai, se sont qualifiés d’office.

Les sept places restantes ont été attribuées lors de matchs de qualification à élimination directe.

Les nations participantes ont été réparties en quatre groupes :

Groupe A : Tunisie, Syrie, Qatar, Palestine ;

Groupe B : Maroc, Comores, Arabie saoudite, Oman ;

Groupe C : Égypte, Koweït, Jordanie, Émirats arabes unis;

Groupe D : Algérie, Soudan, Irak, Bahreïn.

Les deux meilleures équipes de chaque groupe se qualifient pour la phase à élimination directe, qui comprend les quarts de finale, les demi-finales et la finale. Un match pour la troisième place opposera également les deux équipes perdantes des demi-finales.

En phase à élimination directe, si un match est à égalité à la fin du temps réglementaire, une prolongation de 30 minutes est jouée, suivie, si nécessaire, d’une séance de tirs au but.

Montant des prix :

L’édition 2025 offrira une dotation record de plus de 36,5 millions de dollars, rejoignant ainsi le cercle très fermé des plus grands tournois internationaux de football.

La dernière édition, en 2021, proposait une dotation de 25,5 millions de dollars.

Les précédents vainqueurs :

L’Irak est l’équipe la plus titrée de la Coupe arabe avec quatre titres. L’Arabie saoudite arrive en deuxième position avec deux titres, tandis que la Tunisie, l’Égypte, le Maroc et l’Algérie comptent chacun un titre.

L’Algérie est la championne en titre, après avoir battu la Tunisie 2-0 en prolongation lors de la finale de 2021.

Historiquement, les nations asiatiques ont remporté plus de titres (6) que celles d’Afrique (4). Réunissant certaines des meilleures équipes du monde, la Coupe arabe donnera aux supporters un avant-goût du niveau des nations arabes lors de la prochaine Coupe du Monde de la Fifa.

Sept participants à la Coupe arabe – le Qatar, la Tunisie, le Maroc, l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Jordanie et l’Algérie – participeront également à la Coupe du Monde de la Fifa 2026, co-organisée par les États-Unis, le Mexique et le Canada.

Avec une Coupe du Monde remaniée qui accueillera 48 équipes, la Coupe arabe pourrait servir de tremplin aux équipes ambitionnant d’aller loin sur la plus grande scène du football. Les équipes favorites :

 Au vu de leurs récentes performances lors des qualifications pour la Coupe du Monde 2026, pas moins de cinq équipes pourraient prétendre au titre. Parmi elles, la Tunisie, qui a engrangé le plus de points (28 sur 30 possibles) parmi toutes les nations de la CAF durant les éliminatoires, remportant neuf de ses dix matchs et terminant première de son groupe.

L’Algérie et le Maroc, voisins nord-africains, font partie des favoris après s’être qualifiés pour la Coupe du Monde en terminant premiers de leur groupe. L’Égypte, sept fois championne d’Afrique, est également parmi les prétendants au titre.

La Jordanie, qualifiée pour la première fois, est considérée comme outsider.

Les joueurs à suivre :

Le Jordanien Ali Olwan, troisième meilleur buteur des qualifications de l’AFC pour la Coupe du Monde avec neuf buts, sera un joueur à surveiller de près durant le tournoi. L’Irakien Aymen Hussein, quatrième meilleur buteur avec huit réalisations, figure également parmi les attaquants susceptibles de représenter une menace sérieuse.

Les supporters devront aussi garder un œil sur le solide gardien tunisien Aymen Dahmen, auteur de six clean sheets et d’une série de dix matchs sans encaisser de but en qualifications.

L’attaquant Akram Afif, dont le nom est devenu synonyme du succès du Qatar ces dix dernières années, est un joueur clé pour le pays hôte. Quant au capitaine saoudien Salem Al-Dawsari, il est en bonne forme ces derniers temps et occupe la quatrième place du classement des passeurs décisifs de la Saudi Pro League.

Les billets :

Les billets pour la Coupe arabe de la Fifa ont été mis en vente sur la plateforme officielle fin septembre. Les supporters pouvaient acheter des billets pour chaque match, répartis en trois catégories de prix, à partir de 7 dollars US.

Le tournoi proposait également des packs par équipe, incluant trois matchs de poule par nation, à partir d’environ 20 dollars US. Ces packs ne sont plus disponibles.

Les billets pour la finale, à partir de 14 dollars US, sont épuisés.

Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, vous pouvez suivre l’intégralité du tournoi du 1er au 18 décembre, exclusivement en arabe et uniquement sur beIN Sports PPV.

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