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Dinar tunisien: Taux de change des devises en Dinar

Le taux de change du Dinar Tunisien (TND) en devises étrangères (Euro, Dollar, Franc Suisse…) est un indicateur clé pour les entreprises, les voyageurs et les investisseurs opérant en Tunisie ou ayant des transactions internationales avec la Tunisie. Selon un récent rapport publié par la BCT, au terme du mois de septembre 2025, et comparativement à ses niveaux à fin 2024, le dinar tunisien a fait preuve de résilience face au dollar et au yen japonais, en enregistrant une appréciation de 9,4% et de 3,3%, respectivement. En revanche, il s’est déprécié vis-à-vis à l’euro et le dirham marocain en perdant, […]

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Bouderbala défend la Tunisie : souveraineté, libertés et refus d’ingérence (vidéo)

Le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Ibrahim Bouderbala, a déclaré que la Tunisie exerce pleinement sa souveraineté et qu’elle ne permet à aucune partie étrangère d’intervenir dans ses affaires internes. Il a affirmé que les questions nationales se règlent exclusivement au sein des institutions officielles, soulignant que toute tentative d’ingérence est inacceptable. Une mise en garde adressée aux « mentalités coloniales » Dans une déclaration directe, Bouderbala a indiqué que certains acteurs étrangers semblent encore attachés à des « mentalités coloniales », précisant que cette époque est définitivement révolue. Selon lui, la Tunisie est déterminée à défendre son […]

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A fin septembre, les dépenses de voyage des Tunisiens ont atteint plus 2,1 milliards de dinars

Les dépenses de voyages à l’étranger des Tunisiens correspondent aux montants dépensés en devises pour les séjours touristiques, les voyages familiaux, pèlerinage médicaux, professionnels ou d’études. Sur un an, les dépenses de voyage des Tunisiens ont augmenté de 5,7% passant de 2040 millions de dinars à fin septembre 2024 à 2157,2 millions de dinars à fin septembre 2025 selon les indicateurs de la Banque centrale de Tunisie (BCT). Malgré la hausse de dépenses de voyage, les allocations touristiques ont enregistré une baisse annuelle de 4,3% pour s’établir à fin septembre à 1060,4 millions de dinars.

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PLF 2026 : quelles ressources pour financer les dépenses de l’État ?

Le Projet de Loi de Finances (PLF) 2026, dans sa version amendée, regroupe 61 articles et présente un budget de charges de 63,575 milliards de dinars. Les ressources budgétaires sont estimées à 52,560 milliards de dinars, principalement issues des recettes fiscales (47,773 milliards de dinars, soit 82 % du total). Le déficit budgétaire prévu s’élève à 11,015 milliards de dinars.

Les crédits d’engagement pour les dépenses de l’État sont fixés à 66,8 milliards de dinars. Les ressources allouées aux comptes spéciaux du Trésor atteignent 1,924 milliard de dinars, tandis que les recettes des opérations des fonds de participation sont estimées à 53,104 millions de dinars.

Ressources de trésorerie et financement du déficit

Les ressources de trésorerie devraient s’élever à 27 milliards de dinars en 2026. Elles financeront notamment le déficit de l’État (11 milliards de dinars) et le remboursement de la dette intérieure (7,932 milliards de dinars) et extérieure (7,917 milliards de dinars). Ces ressources proviendront essentiellement des emprunts intérieurs (19 milliards de dinars) et des emprunts extérieurs (6,8 milliards de dinars).

Budget ministères et entreprises publiques

Selon les articles 8 et 9, le budget destiné aux ministères et entreprises publiques, employant 687 000 agents, est estimé à 1,585 milliard de dinars.

Facilités de financement de la BCT

L’article 12 autorise la Banque Centrale de Tunisie (BCT) à accorder des facilités de financement à la trésorerie générale de l’État pour 11 milliards de dinars, remboursables sans intérêts sur 15 ans, avec une période de grâce de 3 ans.

Le PLF 2026 sera discuté en plénière vendredi par l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) et le Conseil National des Régions et des Districts (CNRD). Le texte est disponible sur le site de l’ARP, tandis que les débats budgétaires n’ont pas encore commencé à l’heure prévue.

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PLF 2026 : rejet de la taxe sur la fortune et de la révision des droits de douane solaires

Trois articles du projet de Loi de Finances 2026 proposé par le gouvernement ont été rejetés par les commissions des finances et du budget de l’ARP et du CNRD, lors de l’examen, du projet de loi en question. Il s’agit des articles 20, 47 et 50 d’après le Rapport des deux commissions sur le PLF 2026, publié sur le site de l’ARP.

L’article 20 du PLF 2026 est relatif à la poursuite de l’application des dispositions provisoires de la contribution sociale de solidarité. Pour rappel, l’article 53 de la loi de finances 2018 (loi n°2017-66 du 18 décembre 2017) a institué une contribution sociale de solidarité de 1 %, due par les personnes physiques et les entreprises.

Les commissions des finances et du budget relevant des deux chambres législatives ont également rejeté l’article 47, relatif à la révision des droits de douane imposés au titre des importations des panneaux solaires. Cet article stipule une réduction de 15% des tarifs douaniers imposés au titre des importations des panneaux solaires.

Le troisième article rejeté est l’article 50 du projet de loi de finances 2026, qui prévoyait l’instauration d’un impôt sur la fortune. Cet article prévoit un impôt sur les biens des personnes physiques y compris les biens de leurs enfants mineurs sous leur tutelle, intitulé «impôt sur la fortune». Il concerne aussi bien les biens immobiliers que mobiliers. Les taux prévus ont été fixés à 0,5% pour les biens dont la valeur varie de 3 à 5 millions de dinars, et à 1% pour ceux dépassant les 5 millions de dinars.

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PLF 2026 : Amendements sur la TVA, l’importation, le change et la plateforme des employeurs rejetés

Les commissions des finances et du budget relevant de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et du Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont rejeté cinq propositions d’amendement présentées par les députés, dans le cadre du projet de loi de finances 2026.

Selon le rapport des commissions des finances et du budget de l’ARP et du CNRD sur le PLF de Loi de Finances 2026, publié sur le site de l’ARP, le premier amendement porte sur la révision du plafond des acquisitions immobilières à usage d’habitation. Il prévoyait de relever de 400 000 à 500 000 dinars le plafond applicable aux logements acquis auprès des promoteurs immobiliers et soumis au taux réduit de TVA de 7%.

Lors de la séance du 25 novembre, le représentant du ministère des Finances, s’est opposé à cette proposition, invoquant la nécessité de préserver la stabilité du système fiscal et l’équité entre contribuables. Il a, également, souligné qu’une telle mesure entraînerait une baisse des ressources publiques et dépasserait le cadre fixé lors de l’instauration du dispositif actuel, en vigueur depuis seulement un an.

Le deuxième amendement suggéré de réduire le taux de l’avance sur les importations de 10% à 5%, au profit des personnes physiques et des entreprises qui ont régularisé leur situation fiscale. L’objectif était de soutenir la liquidité et d’alléger la charge financière pesant sur les opérateurs économiques.

Le représentant du ministère des Finances, a rappelé que le taux actuel de 10% s’applique principalement aux produits de consommation importés et constitue une avance sur l’impôt, déductible ou récupérable lors de la régularisation fiscale, et non une charge définitive. Il a averti qu’une réduction de ce taux aurait un impact direct et significatif sur les ressources de l’État, l’avance sur les importations constituant l’un des leviers essentiels de mobilisation des recettes fiscales nécessaires à l’équilibre des finances publiques.

Rejet d’un article visant la création d’une plateforme digitale dédiée aux déclarations des employeurs

Par ailleurs, certains députés ont recommandé l’ajout d’un article visant à instaurer une plateforme électronique dédiée aux déclarations des employeurs, ainsi qu’à reporter le délai de dépôt de ces déclarations, au 30 septembre de chaque année, au lieu du 30 avril actuellement en vigueur. Cette proposition n’a pas fait l’objet de consensus.

Le représentant du ministère des Finances a rappelé que le délai légal pour la déclaration des employeurs était initialement fixé au 25 février, avant d’être prolongé au 30 avril afin d’alléger la pression liée aux déclarations de l’impôt sur les sociétés.

Selon lui, ce délai est suffisant et ne nécessite pas de prolongation supplémentaire. Il a précisé que la plateforme «Tej» remplacera la déclaration des employeurs et permettra de fluidifier les procédures sans modifier les délais en vigueur.

Le quatrième amendement porte sur le soutien aux entreprises exportatrices. Il proposait de supprimer l’article 52 de la loi de finances 2022, qui avait mis fin au mécanisme de suspension de la TVA au profit des sociétés de commerce international et des entreprises totalement exportatrices et de rétablir ce dispositif considéré comme un outil permettant de réduire la pression financière lors de l’acquisition de biens et services.

Le représentant du ministère des Finances a souligné que, lors de l’adoption des dispositions de 2022, les entreprises concernées bénéficiaient d’un taux de prise en charge de 100 % par la Direction générale des impôts, ce qui permettait de maîtriser les délais de recouvrement sans porter atteinte aux droits des entreprises.

Enfin, le cinquième amendement visait à exempter ou réduire les pénalités en matière de change. Cette proposition a suscité un large débat, mais le ministère des finances s’y est opposé fermement. Il a rappelé qu’une telle mesure est en contradiction avec la loi de 2015, relative à la lutte contre le blanchiment d’argent, la plupart des infractions de change étant étroitement liées à ce type de criminalité. Il a, également, mis en garde contre le risque de réinscription de la Tunisie sur la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI), ce qui porterait atteinte à la réputation financière et bancaire du pays à l’international, en plus de réduire ses réserves en devises.

Il a indiqué que la solution structurelle réside dans le projet de « nouveau Code des changes », qui encadrera de manière globale les mouvements de capitaux des résidents et non-résidents, et qui sera soumis prochainement au Parlement.

En conclusion, après l’ajout des amendements adoptés et la suppression de ceux rejetés, les deux commissions ont finalisé la version définitive du projet de loi de finances pour 2026, laquelle comprend désormais 61 articles, contre 57 dans la version initiale. Les articles ont été renumérotés en fonction des modifications apportées, conformément à l’annexe n° 2 du rapport.

 

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Diplomatie : Tunis dénonce une ingérence et remet une protestation ferme à l’ambassadrice des Pays-Bas

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu,  jeudi, au siège du département,  l’ambassadrice du Royaume des Pays-Bas en Tunisie, Joséphine Frantzen.

Nafti lui a, à cette occasion, transmis une protestation ferme en raison du non-respect des règles du travail diplomatique. Il l’a également exhortée à respecter les usages diplomatiques et à s’abstenir de toute forme d’ingérence dans les affaires intérieures de la Tunisie, lit-on dans un communiqué.

Selon une vidéo publiée par la Présidence,  le chef de l’Etat Kais Saied a chargé le ministre des Affaires étrangères, hier jeudi, d’adresser une protestation sévère à l’une des représentantes d’un État étranger accréditée en Tunisie, ainsi qu’à toute personne ne respectant pas les règles diplomatiques.

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Céramique en Afrique du Nord : la BNT et Oudhna accueillent le 3ᵉ congrès thématique de l’AIECM3

Du 2 au 4 décembre 2025, la Bibliothèque Nationale de Tunisie (BNT) à Tunis et le Centre d’interprétation à Oudhna accueilleront les travaux du troisième congrès thématique de l’AIECM3, association internationale pour l’étude des céramiques médiévales et modernes en Méditerranée.

Intitulée “Production et circulation de la céramique en Afrique du Nord, de l’Antiquité tardive à l’époque post-médiévale (VIe–XVIIIe siècle)”, cette rencontre scientifique a pour ambition d’apporter de nouveaux éclairages aux connaissances historiographiques, de renforcer la collaboration entre experts et spécialistes interdisciplinaire de différents pays et d’établir un état des lieux actualisé permettant de définir de nouvelles pistes de recherche.

Réunissant archéologues, céramologues, chercheurs, historiens du pourtour méditerranéen, le congrès vise à porter un regard renouvelé sur l’Afrique du Nord, en mettant en lumière la diversité des productions et des circulations céramiques, depuis les prestigieuses amphores romaines jusqu’aux poteries domestiques vernissées des siècles médiévaux. Organisé en partenariat avec l’Institut National du Patrimoine (INP) et l’Institut d’archéologie de Londres (UCL), l’événement entend réévaluer le rôle historique de la céramique dans la région, non seulement comme produit d’échange, mais aussi comme témoin essentiel des mutations sociales, économiques et culturelles.

Une attention particulière sera portée aux traditions locales, aux productions régionales et au commerce transsaharien afin de proposer une vision plus complète et nuancée de l’histoire céramique nord-africaine, en particulier durant l’antiquité tardive et le moyen âge. Les axes de recherche couvrent la cartographie des études existantes sur le Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie, Libye, Egypte) entre le VIème et le XVIIIème siècle, l’analyse des évolutions techniques et stylistiques, l’étude des circuits de production et de diffusion, ainsi que la mise en évidence de transferts de savoir-faire et de migrations d’artisans, tout en révisant les cadres chronologiques pour les périodes médiévale et post-médiévale.

Trois journées sur deux lieux : la Bibliothèque Nationale de Tunisie et le Centre d’interprétation à Oudhna

Le colloque se veut une occasion pour pour mieux comprendre et valoriser la richesse céramique de l’Afrique du Nord, notamment celle de la Tunisie. Il ne se limite pas à dresser un inventaire archéologique, mais s’inscrit dans un vaste effort de recodification historique et scientifique, capable de renouveler les récits sur les échanges méditerranéens et sur la place de la céramique dans les sociétés anciennes.

Le programme, réparti entre la Bibliothèque nationale de Tunisie et le Centre d’interprétation d’Oudhna, abordera les céramiques d’Egypte et de Libye, des premières glaçures islamiques aux productions médiévales d’Alexandrie et de Tripolitaine. La journée d’ouverture à la BNT sera marquée par des communications consacrées notamment à Sbeitla, à la vallée de la Medjerda et aux contextes fatimides et zirides d’Utique, offrant un regard renouvelé sur les typologies et les chronologies locales.

Les travaux se poursuivront à Oudhna avec des études sur Djerba, les productions ottomanes et leur influence contemporaine, avant de s’élargir aux sites d’Algérie et du Maroc, de Tlemcen à Volubilis, en passant par Sigilmasa et les ateliers médiévaux de Salé. La dernière séance de la troisième journée à la BNT, sera consacrée à la circulation des productions nord-africaines et au rôle de l’Afrique du Nord dans la Méditerranée. Une table ronde clôturera la rencontre, présidée par l’historienne britannique Chris Wickham, l’archéologue italienne Alessandra Molinari, l’historien et archéologue tunisien Adnan Louhichi, ainsi que Corisande Fenwick, professeur d’archéologie de l’Antiquité tardive et de l’époque islamique à l’UCL (University College London).

L’AIECM3 est une association internationale qui vise à promouvoir et à renforcer les études sur les céramiques médiévales et modernes en Méditerranée. Elle est née dès 1992 en tant qu’AIECM2 à l’initiative d’un groupe fondateur de chercheurs provenant de divers pays de la Méditerranée.  En 2012, à l’occasion du Congrès de Silves au Portugal, il a été décidé d’élargir le champ des recherches aux études sur la céramique d’Epoque Moderne et ainsi est née l’AIECM3. L’association organise des congrès pléniers trisannuels ainsi que des congrès thématiques de périodicité variable dont elle publie régulièrement les actes.

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Tozeur : lancement d’une opération de reboisement à Hezoua pour lutter contre l’ensablement

Des opérations de reboisement sont menées actuellement sur une superficie de 2,5 ha dans la zone frontalière Ettaâmir relevant de la délégation de Hezoua (gouvernorat de Tozeur).

Cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme tuniso-italien de développement rural intégré, vise à protéger les périmètres irrigués à Hezoua et Tamaghza contre l’ensablement.

Le président du conseil local de Hezoua, Khelifa Ben Amor a indiqué à l’Agence TAP qu’une deuxième campagne de reboisement sera réalisée au niveau des bas-côtés de la route menant au village Ettaamir, depuis Nefta et Hezoua.

Les travaux de protection contre l’ensablement ont concerné les zones les plus exposées à ce phénomène dans la région, a indiqué la même source.

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Huile d’olive bio tunisienne : nouvelles opportunités sur le marché de la Basse-Saxe

L’ambassadeur de Tunisie à Berlin s’est rendu le 26 novembre à Hanovre pour une visite de travail, afin de renforcer les relations économiques et de prospecter de nouveaux débouchés pour les produits tunisiens, notamment l’huile d’olive bio.

Lors de cette visite, l’ambassadeur a rencontré Tilmann Brunner et Beate Rausch, responsables des relations internationales à la Chambre de commerce et d’industrie de Hanovre (IHK Hannover). Les deux parties ont fait le point sur les résultats de la visite prometteuse d’une délégation d’entrepreneurs allemands en Tunisie en septembre 2025, qui avait permis d’établir de contacts avec plusieurs entreprises et startups tunisiennes dans l’innovation numérique et les industries médicales.

Elles ont convenu de programmer des activités conjointes entre l’ambassade et la Chambre, ciblant des secteurs à haute valeur ajoutée comme les technologies avancées, la sous-traitance automobile et les industries intelligentes.

Les échanges ont également porté sur les opportunités de développement des exportations d’huile d’olive tunisienne, en particulier biologique, sur le marché de la Basse-Saxe (Niedersachsen).

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Kaïs Saïed défend les majorations salariales et appelle à un développement équitable dans toutes les régions

Le Président, Kaïs Saïed, a reçu, jeudi, 27 novembre courant, au palais de Carthage, le ministre des Affaires sociales, Issam Lahmar.

Au cours de cette rencontre, cite un communiqué, le président de la République, a souligné que le projet de loi de finances pour l’année à venir, prévoyant entre autres des majorations salariales, « n’est pas une invention et ne fait pas figure de cas isolé », citant à titre indicatif et non limitatif, des dispositions traitant de la même question qui ont été inscrites dans le texte des lois de finances des années 1973, 1974, 1975 et 1976.

Il a, dans ce contexte, souligné que l’Etat social doit assumer pleinement ses devoirs envers les citoyens, ajoutant que les efforts sont en cours dans les différents secteurs et régions pour garantir aux citoyens où qu’ils se trouvent les attributs de la dignité et de la justice sociale.

Dans le même ordre d’idées, le président Saïed a donné ses instructions en vue d’acheminer des aides urgentes à plusieurs régions du pays, rappelant que celles-ci doivent bénéficier pleinement d’un développement équitable et disposer ainsi des infrastructures nécessaires.

“Il s’agit là d’une question de portée nationale qui concerne la Tunisie tout entière et non une région déterminée”, a tenu à préciser le président Saïed, rappelant que les catégories marginalisées ne sont pas nées ainsi mais plutôt elles sont les victimes de l’échec cuisant de multiples politiques publiques datant de plusieurs décennies qui ont abouti à l’exclusion et à la misère du peuple tunisien.

Sur un autre plan, le président Saïed a mis l’accent sur la nécessité de trouver des solutions au financement des caisses sociales, plaidant à ce propos en faveur de la restructuration de ces organismes afin qu’ils puissent accomplir au mieux leurs missions.

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FAO – Bou Argoub : immersion dans l’excellence de l’huile d’olive bio tunisienne

En marge des travaux de la 29ème session de la Commission africaine des statistiques relevant de la FAO, organisée à Hammamet du 24 au 27 novembre, une délégation de participants a effectué, jeudi, une visite immersive dans une exploitation oléicole et une huilerie de la région de Bou Argoub (Nabeul), afin de suivre le parcours complet de l’huile d’olive biologique tunisienne.

Le directeur des statistiques et de la conjoncture économique au ministère de l’Agriculture, Foued Landolsi, a souligné à l’Agence TAP que cette initiative s’inscrit dans une démarche de mise en valeur du savoir-faire oléicole national et de promotion des huiles tunisiennes auprès des marchés africains, réputés en pleine expansion.

L’objectif, a-t-il précisé, est de faire découvrir une production qui conjugue maîtrise technique, qualité biologique certifiée et richesse aromatique.

La délégation a ainsi assisté aux opérations de récolte dans une oliveraie avant de suivre, à l’huilerie, les différentes phases d’extraction, de conditionnement et de stockage.

Une séance de dégustation d’huile biologique et de produits du terroir a ponctué la visite, offrant un aperçu sensoriel de l’excellence locale.

De son côté, le chef de la division statistique de la FAO, José Rosero Moncayo, a considère que cette immersion a permis aux participants d’appréhender la rigueur d’une filière “dont le produit final compte parmi les meilleurs au monde”, réitérant l’engagement de la FAO à accompagner la Tunisie dans le développement de ses exportations, en particulier vers le continent africain.

Pour sa part, le promoteur d’un projet tuniso-omanais de production et d’exportation d’huile biologique, Atef Ferjni, a rappelé que son unité, opérationnelle depuis 2018, s’appuie sur 200 hectares d’oliveraies certifiées.

Lauréate de plusieurs distinctions internationales, son enseigne ambitionne aujourd’hui d’étendre sa présence au marché africain, forte d’une qualité reconnue et d’une capacité de concurrence affirmée.

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