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Tunisie : projet de modernisation et valorisation du Colisée d’El Jem pour renforcer l’attractivité touristique

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle a engagé un vaste projet de modernisation et de valorisation du Colisée d’El Jem, l’un des plus grands monuments romains du monde.

Objectif: renforcer l’attractivité touristique et améliorer les conditions d’accueil des visiteurs.

Ce projet ambitieux, entend transformer la visite du Colisée en expérience culturelle et sensorielle complète.

Selon Tarek Abbouda, représentant régional de l’agence pour le Sahel, il s’agit d’un programme structuré autour de plusieurs volets : éclairage artistique, amélioration des infrastructures, et création de nouveaux espaces d’accueil et de services.

Le projet d’éclairage architectural vise à mettre en valeur les lignes et volumes du monument, de jour comme de nuit, en le dotant d’un système lumineux fixe et économe en énergie.

Son coût global est estimé à 5 millions de dinars, et les travaux devraient débuter en janvier 2026, une fois le dossier d’appel d’offres finalisé.

Parallèlement, l’agence a déjà entamé, depuis septembre 2025, des travaux de réhabilitation du pavillon d’accueil, des unités sanitaires et de la clôture extérieure pour un montant d’environ 780 000 dinars.

Un autre chantier porte sur la mise aux normes du parcours de visite et des garde-corps des gradins, selon les spécifications de la protection civile, pour 450 000 dinars.

À moyen terme, un centre d’accueil moderne sera construit à l’arrière du monument, côté jardin.

Il comprendra une billetterie, un point de vente de produits culturels et des loges pour artistes.

Le projet, inscrit au budget 2027, est évalué à 2 millions de dinars.

Le musée d’El Jem bénéficiera lui aussi d’un programme de réhabilitation, comprenant la clôture, les sanitaires et l’entretien général, pour 450 000 dinars.

Dans une démarche inclusive, l’agence projette l’installation d’un ascenseur électrique destiné aux personnes à mobilité réduite.

Selon Rached Hamdi, responsable scientifique du site, le Colisée d’El Jem, construit vers 238 apr. J.-C., demeure dans un état remarquable après 1 750 ans d’histoire.

Témoignage vivant du génie architectural romain, ce monument impressionne par sa solidité, son esthétique et son pouvoir d’attraction.

Chaque été, il accueille de grands événements culturels, dont le Festival international de musique symphonique, symbole du dialogue entre patrimoine millénaire et création contemporaine.

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EMPLOI : repenser la gouvernance du travail et préparer les talents à l’ère de l’IA

Parce que le nouveau code du travail promulgué cette année représente un enjeu crucial pour le marché tunisien de l’emploi et parce que la tendance mondiale est au développement du marché du travail vers de nouveaux métiers dominés par la data et l’intelligence artificielle, keejob a choisi d’en faire les axes principaux des 5ème journées de l’emploi qui se tiennent les 3 et 4 octobre au siège de l’UTICA.

S’agissant du nouveau code de l’emploi, “Nous estimons, déclare Maher Ben Salem, CEO de Keejob qu’il serait pertinent d’en rediscuter devant un parterre de professionnels, de DRH pour voir s’il y a moyen de rectifier le tir pour plus d’adaptabilité avec les réalités du marché de l’emploi et faire des propositions aux décideurs politiques allant dans ce sens”.

La réforme du code du travail touche directement des centaines de milliers de travailleurs et de jeunes en quête d’emploi. Elle a suscité de nombreuses controverses entre syndicats, employeurs et pouvoirs publics et plus que tout, elle a eu un impact économique notable.

“En interdisant certaines formes de contrat comme l’intérim, la loi réduit la flexibilité des entreprises, ce qui peut décourager l’embauche et aggraver le chômage”

Le nouveau code du travail est la parfaite illustration du décalage entre régulation et réalité économique, et permet de mettre en lumière la question de la gouvernance du marché de l’emploi en Tunisie.

Le deuxième axe des journées de l’emploi initie le débat sur les nouveaux métiers en présence des jeunes demandeurs d’emploi.

Les métiers liés à l’intelligence artificielle (IAUX), à la science des données (Data Scientist, Data Analyst), à l’impression 3D, aux nouveaux matériaux, et au développement durable représentent un enjeu d’avenir. La tendance mondiale est à la transformation des métiers par l’automatisation et l’IA, un phénomène global, auquel la Tunisie ne peut échapper.

“Nous nous retrouvons aujourd’hui face à défi éducatif important : le pays souffre d’un décalage entre la formation universitaire et les besoins réels du marché (ex. analyse de données, IA, compétences numériques), même si la création d’un institut supérieur dédié à l’enseignement de tout ce qui touche à l’intelligence artificielle représente une avancée notable” indique Maher Ben Salem.

L’IA crée de nouveaux emplois (analyse de données, maintenance intelligente, cybersécurité), qui peuvent devenir des niches d’excellence pour la Tunisie, ce qui offre des opportunités économiques importantes. Anticiper les mutations du marché de l’emploi est vital pour la Tunisie pour ne pas aggraver le chômage des diplômés et pour rendre les talents tunisiens compétitifs à l’international. “Par ce thème, nous avons voulu souligner la nécessité d’adapter la formation et l’accompagnement des jeunes à un monde du travail en mutation rapide”.

Le nouveau code du travail incarne les blocages structurels actuels. Les nouveaux métiers liés à l’IA incarnent les perspectives. Deux thèmes qui offrent un équilibre entre critique du présent et projection vers l’avenir pour des journées de l’emploi ancrées dans l’actualité et tournées vers la prospective.

A.B.A

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Foire internationale du livre de Riyad 2025 : un succès historique avec plus d’un million de visiteurs

Le Président directeur général de la Commission de la littérature, de l’édition et de la traduction, Dr Abdul Latif Al-Wasil, a déclaré que la Foire internationale du livre de Riyad 2025 a été marquée par un saut qualitatif historique. L’édition actuelle (du 2 au 11 octobre) a été organisée sur une superficie de plus de 48 000 m2 sur le campus de l’Université Princesse Noura bint Abdulrahman, le plus grand établissement universitaire pour femmes dans le monde. La foire a attiré 2 000 maisons d’édition de 25 pays (dont la Tunisie), avec une hausse de 40 à 50% du taux de fréquentation du public par rapport à l’année dernière, dépassant ainsi les attentes, avec plus d’un million de visiteurs à veille de la clôture de la foire le vendredi 10 octobre.

Le programme de la Foire internationale du livre de Riyad représente l’un des projets les plus importants du programme des foires du livre d’Arabie Saoudite, organisé selon une stratégie culturelle qui suit le rythme de la demande croissante de la participation et de la fréquentation à cet événement culturel majeur, a-t-il déclaré dans une interview accordée à l’Agence TAP.

Dr Al-Wasil a ajouté que l’édition de cette année, placée sous le thème “Riyad lit”, a enregistré une augmentation de 20 pc de la superficie allouée à cet événement par rapport à l’année précédente, outre la diversification du programme culturel élaboré en collaboration avec les organismes du ministère de la Culture, qui regroupe 16 secteurs culturels, afin qu’il réponde aux gouts et aux centres d’intérêts du public.

Evoquant la participation tunisienne, il a indiqué que l’exposition compte sept cette année pavillons tunisiens outre la participation d’autres maisons d’édition tunisiennes présentes par le biais de diverses agences de distribution. Il a mis en relief la forte présence des publications culturelles tunisiennes à la Foire ainsi que la coopération continue avec la partie tunisienne pour faciliter la participation des éditeurs et les soutenir au niveau logistique et économique en matière, notamment, d’expédition, de location et d’agrément.

L’Arabie saoudite souhaite également renforcer sa présence culturelle à la Foire internationale du livre de Tunis, dont elle a été l’invitée d’honneur à plusieurs reprises, a-t-il affirmé, qualifiant les expériences partagées entre les deux pays de belles et fructueuses, reflétant la profondeur et la force des relations culturelles arabes.

Il a souligné que la différence fondamentale entre la Foire internationale du livre de Riyad et les autres foires régionales réside dans le public cible, celle-ci, ne se limite pas uniquement amateurs de livres. Elle attire également les familles et les personnes de tous les âges, ce qui exige une grande variété de contenus et d’activités.

Parmi les programmes d’accompagnement les plus marquants, figure la coopération avec l’Autorité générale du théâtre et des arts scéniques, qui présente des spectacles quotidiens d’arts populaires saoudiens et des spectacles partagés avec la partie ouzbèke, la République d’Ouzbékistan étant l’invitée d’honneur de cette édition.

Les enfants ont également bénéficié d’une attention particulière cette année, avec un espace de 2 500 m2 destiné aux activités culturelles et récréatives visant à inculquer le goût de la lecture et de la connaissance aux jeunes, ce qui s’inscrit dans la vision de l’Autorité de promouvoir la durabilité culturelle pour les générations futures.

Evaluant l’édition actuelle, Le PDG de la Commission de la littérature, de l’édition et de la traduction l’a qualifiée d'” édition exceptionnellement réussie à tous les égards “, expliquant que le nouveau site avait initialement posé un défi logistique en raison de l’importante affluence dès le premier jour des visiteurs. La rapidité d’organisation et la coopération entre les différentes parties ont néanmoins permis de surmonter sans heurts ces difficultés, a-t-il estimé.

Il a conclu en soulignant que le thème de cette édition ” Riyadh lit ” résume parfaitement l’esprit de l’événement, mais le travail sur la prochaine édition commence immédiatement. La joie de ce travail est infinie, mais se renouvelle à chaque nouvelle édition.”

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Gabès : Mohamed El Kou dénonce les émissions de gaz du Groupe Chimique Tunisien et l’inaction des autorités

Mohamed El Kou, membre du Conseil régional des régions et des districts (CNRD), représentant le gouvernorat de Gabès, a tenu le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Energie ainsi que la direction du Groupe chimique tunisien (GCT), pour responsables des cas d’étouffement enregistrés dans les localités de Chatt Essalem et Ghannouch en raison des émissions de gaz provenant des unités industrielles provenant du Groupe.

Dans une déclaration dimanche à l’agence TAP, l’élu a souligné que les deux parties ont été à deux reprises alertées sur la gravité de la situation à l’intérieur du Groupe, en raison de la vétusté des équipements de ses unités industrielles et des projets restés en suspens. Une première fois sous la coupole du CNRD et une deuxième fois lors de la visite du ministre de l’Industrie dans la région, le 24 avril 2024.

Aucune mesure n’a été prise, ni par le ministère ni par le GCT pour relancer les projets de lutte contre la pollution de l’air, suspendus depuis 2017, a-t-il regretté.

Il a ajouté qu’aucune vision n’a été proposée pour traiter, à la racine, la question environnementale de Gabès et que tous les engagements pris par ces deux acteurs n’ont pas été honorés, ce qui explique aujourd’hui le climat de tension prévalant dans la région.

L’élu Mohamed El Kou a fait observer, dans le même ordre d’idées, que les unités industrielles du GCT ont causé d’importants dommages à la santé des habitants et nui, sensiblement, à la mer, à l’agriculture, au tourisme et à l’attraction économique dont bénéficiait la région.

Il a affirmé que le danger environnemental et industriel persistera tant que ce dossier n’est pas traité de manière radicale, soulignant que le démantèlement des unités polluantes du GCT reste la principale revendication.

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Tunisie : plus de 200 exposants attendus pour le salon SENA 2025 des équipements et services de sécurité

La sixième édition du Salon international des équipements, technologies et services de la sécurité (SENA 2025) se tiendra, du 15 au 19 octobre 2025, au Palais des Expositions du Kram.

Organisée par la Chambre syndicale nationale des entreprises de sécurité électronique (CSENSE) et le Centre tunisien des foires, expositions et congrès «CTFexpo», cette édition réunira plus de 200 exposants de Tunisie et de l’étranger.

Plus de 20 mille visiteurs, professionnels et industriels tunisiens et étrangers, sont également attendus.

Ce salon est une occasion pour répondre aux besoins du marché local en caméras de surveillance et en équipement de sécurité. Il propose les meilleures technologies dans ce domaine, a indiqué la CSENSE dans un communiqué.

Plusieurs expériences et démonstrations techniques seront présentées en marge de cette édition. Des conférences sont aussi prévues et seront axées sur l’évolution et le développement de ce secteur. Ces initiatives ont pour objectif d’encourager les jeunes diplômés du supérieur, sans emploi, à intégrer ce domaine.

Cette édition est organisée concomitamment avec le salon international de l’électricité, de l’énergie solaire et des énergies renouvelables et la 14e édition du salon de l’Immobilier et de Financement.

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Gabès : modernisation du Groupe Chimique Tunisien et protection de l’environnement au cœur des priorités

La fédération générale du pétrole et des produits chimiques relevant de l’union générale tunisienne du travail (UGTT) a appelé à la nécessité d’opter pour une vision nationale intégrée dans le traitement de la situation environnementale et sociale à Gabès.

Elle a souligné que le Groupe chimique tunisien (GCT) est un acquis stratégique contribuant à la sécurité alimentaire à l’échelle nationale et mondiale et à la création de milliers de postes d’emploi directs et indirects, selon un communiqué publié par la fédération.

“Les défis identifiés dans cette région incluent la situation environnementale, les effets de la pollution industrielle ancienne et la précarité des conditions de travail”, a souligné la fédération générale, appelant à la nécessité de moderniser les équipements industriels et de renforcer la sécurité environnementale et professionnelle au sein des unités relevant du GCT.

Selon la fédération, le manque de cadres et agents depuis l’arrêt des recrutement en 2013 a impacté négativement la marche du travail et le contrôle technique au sein du groupe chimique, à l’heure ou les citoyens revendiquent une meilleure qualité de l’air et de l’eau, et le droit à un environnement sain, lit-on dans le communiqué.

Elle a souligné l’impératif de mettre en œuvre les programmes élaborés par les gouvernements précédents relatifs à la protection de l’environnement et la promotion de l’infrastructure industrielle, plaidant pour une approche participative et responsable avec les autorités officielles, la société civile, les experts et les représentants des employés pour aboutir à des solutions concrètes et durables.

Dans ce contexte, la fédération générale du pétrole et des produits chimiques a relevé l’importance de moderniser les unités industrielles par le biais de technologies propres, de renforcer les programmes de sécurité et de santé au travail, d’investir dans les énergies propres et les technologies vertes et de mettre en place d’un plan national de traitement et de valorisation du phosphogypse.

“L’avenir du groupe chimique repose sur trois piliers fondamentaux à savoir: le traitement de la pollution, la protection des agents et le renforcement de la compétitivité du GCT et sa contribution au développement à l’échelle nationale”, ajoute le même communiqué.

La fédération a indiqué que Gabès mérite un développement équitable et durable qui rétablit l’équilibre entre l’environnement, l’emploi et la production, réaffirmant son entière disposition à coopérer avec les différentes parties nationales, afin de promouvoir le groupe chimique et de lui permettre de retrouver ses lettres de noblesse.

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Monastir : la production d’olives 2025-2026 estimée à 90 000 tonnes, soit 18 052 tonnes d’huile

Le volume de la production d’olive dans la région pour la saison 2025-2026, frôle les 90 mille tonnes d’olives, soit l’équivalent de 18,052 tonnes d’huile, selon les prévisions préliminaires du commissariat régional à l’agriculture à Monastir.

La superficie globale des oliviers à Monastir a atteint 64 mille hectares, soit l’équivalent de 74% de la superficie agricole globale du gouvernorat.

La récolte de la saison 2024 est estimée au cours de la dernière saison à 81,890 tonnes d’olives, soit l’équivalent de 16,400 tonnes d’huile.

Le nombre d’huileries dans la région est de l’ordre de 12, dont 86 ont été ouvertes depuis la saison écoulée (2024-205), avec une capacité de près de 1845 tonnes par jour

La région compte 5 décharges de margine avec une capacité d’accueille de près de 89 mille m3 à Bekalta, Menzel fersi, Menzel Kamel, Mesjed-Aïssa et Ouerdanine, dont deux décharges situées à Menzel Kamel et Mesjed-Aïssa ont atteint leur capacité maximale. La localité Oued El Jebs à Ouerdanine a été proposée pour créer une autre décharge.

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Tunisie : 14 570 résidents étrangers recensés entre 2019 et 2024, majoritairement d’Afrique subsaharienne

Le nombre des étrangers résidents en Tunisie entre 2019 et 2024 a atteint 14.570 résidents, la plupart de l’Afrique subsaharienne.

Les principales motivations de la migration sont les études et la recherche d’emploi, selon les résultats du recensement 2024 de l’Institut National de la Statistique (INS).

Les migrants en provenance de l’Afrique subsaharienne viennent en tête avec (33,6%), suivis des pays du Maghreb avec la Libye (13,2%), l’Algérie (9,1%) puis d’autres pays arabes (17,9%).

S’agissant des pays européens, la France est classée première avec (8%) suivie de l’Italie avec (2,8%).

Les migrants résidents en Tunisie sont répartis comme suit : Tunis capitale (37,3%), Ariana (18,2%) puis dans les villes côtières comme Sousse (11,3%), ensuite Médenine (5,8%) et Sfax (5,2%).

Selon la même source, les plus faibles taux de migrants sont enregistrés dans les gouvernorats de Siliana, Zaghouan et Tozeur.

Les principales motivations des migrants sont, professionnelle (27%), raisons familiales (23%) et études (23%).

Le rapport de l’INS indique que 33,2% des résidents étrangers ont pu accéder au marché du travail entre 2019 et 2024.

S’agissant du niveau d’instruction, les statistiques montrent que (42,5 %) des étrangers ont un niveau de l’enseignement supérieur et (31%) ont un niveau secondaire. Seulement (8,7%) des migrants résidents en Tunisie ont un niveau de l’enseignement primaire et (17,8%) sont analphabètes, précise la même source

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Qu’a importé la Tunisie au cours des 9 premiers mois de cette année ?

Au cours des neuf premiers mois de l’année 2025, la Tunisie a enregistré des importations totalisant 63 148,1 millions de dinars (MD), marquant une augmentation de 5,4 % par rapport à la même période en 2024, où les importations s’élevaient à 59 902 MD. Cette hausse s’inscrit dans un contexte de déficit commercial élargi, atteignant 16 728,3 MD, contre 13 497,4 MD l’année précédente.

Les principaux moteurs de cette croissance sont les biens d’équipement, les matières premières et demi-produits, ainsi que les biens de consommation. Les importations de biens d’équipement ont augmenté de 22,2 %, celles des matières premières et demi-produits de 8,4 %, et les biens de consommation ont progressé de 14,7 %. Ces tendances suggèrent une volonté de renforcer l’appareil productif et de répondre à la demande intérieure.

Évolution des importations par catégorie

En revanche, certains secteurs ont connu une contraction. Les importations de produits énergétiques ont diminué de 16,9 %, tandis que celles des produits alimentaires ont baissé de 1,9 %. Cette baisse des importations alimentaires peut être attribuée à une amélioration de la production locale ou à une réduction de la demande interne.

Les produits énergétiques, représentant une part significative des importations tunisiennes, ont enregistré une baisse de 16,9 % en 2025. Cette diminution est principalement due à une réduction des importations de produits raffinés, qui sont passés de 1 466,2 MD à 610,4 MD, soit une chute de 58,3 %. Cette évolution pourrait être liée à une baisse de la consommation énergétique ou à une amélioration de l’efficacité énergétique nationale.

Les importations de produits alimentaires ont diminué de 1,9 % en 2025. Cette baisse, bien que modeste, pourrait indiquer une amélioration de la production agricole locale ou une modification des habitudes de consommation des Tunisiens.

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Riadh Mouakher relaxé

Préalablement, la chambre criminelle des affaires de corruption financière du tribunal de première instance de Tunis avait condamné Riadh Mouakher

© Mosaique FM

Riadh Mouakher relaxé

Règlements : ce qu’il faut savoir sur les contrats des joueurs professionnels

La Presse —En 1994 , quand on est passé au non amateurisme,  les clubs de Ligue 1 et 2 étaient obligés d’avoir dans l’effectif de leurs équipes seniors un nombre minimum de 16 joueurs sous contrats. Cette mesure d’accompagnement pour passer en douceur de l’amateurisme au professionnalisme n’a pas duré longtemps avec l’obligation faite aux …

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Bou Salem : le corps de la femme emportée par les crues retrouvé ce lundi matin

Le corps de la femme, née en 1969, emportée dimanche soir par les crues de l’oued Dzira, a été retrouvé lundi matin près du complexe agricole El Koudia, dans la délégation de Bou Salem (gouvernorat de Jendouba), au niveau des travaux d’installation d’un ouvrage hydraulique. Les équipes de la protection civile, appuyées par des ouvriers …

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Où suivre le match Tunisie – Namibie ?

La sélection nationale tunisienne affronte ce lundi 13 octobre la Namibie, au stade Hammadi-Agrebi de Radès, pour le compte des éliminatoires du Mondial 2026 (zone Afrique, groupe H). Le coup d’envoi sera donné à 14h00 (heure tunisienne). Les supporters pourront suivre la rencontre en direct sur la chaîne nationale Watania 1 (en diffusion terrestre en …

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La hausse de l’euro est cyclique, affirme la BCE 

De nombreux banquiers centraux européens et membres du Conseil d’administration de la BCE estiment que l’appréciation de l’euro à un niveau proche de 1,20 dollar est temporaire. Cette estimation a été consignée dans le compte rendu de la réunion de la BCE de septembre. Et quelques jours plus tard, l’euro a atteint près de 1,19 dollar…

Une éventuelle hausse de l’euro au-dessus de 1,20 dollar pourrait nuire aux exportations européennes, et la BCE s’en est déjà préoccupée. L’impact des taux de change sur l’inflation est également source d’inquiétude.

L’idée que l’appréciation de l’euro est temporaire ne signifie pas que la monnaie unique retombera à parité (un euro équivaut à un dollar), mais est attribuée à des phénomènes cycliques, voire à la faiblesse du dollar, ce qui est le plus probable. Cependant, tous les banquiers centraux ne partagent pas cet avis, car certains ne sont pas d’accord.

Dans sa présentation, l’économiste en chef de la BCE, Philip Lane, a déclaré, entre autres, à ce sujet que « l’appréciation de l’euro au printemps, à la fois par rapport au dollar et sur une base pondérée des échanges commerciaux, était l’un des défis auxquels était confrontée la demande extérieure de la zone euro ».

Comparé aux projections de juin, l’euro s’est apprécié de 3,3 % face au dollar américain et de 2,3 % en termes nominaux pondérés. Les hypothèses de taux de change retenues dans les projections de septembre impliquaient une appréciation de l’euro de près de 6 % en termes nominaux pondérés à compter du premier trimestre 2025 et de 11 % face au dollar américain.

Il s’inquiétait de savoir si les droits de douane plus élevés, un euro plus fort et une concurrence accrue des importations continueraient de freiner la croissance pour le reste de l’année.

Qu’ont dit les membres de la BCE à propos de la montée de l’euro ?

Au cours de la discussion qui a suivi, les opinions exprimées sur les taux de change étaient diverses. Concernant notamment les implications du taux de change de l’euro, « il a été avancé qu’il était important de replacer la récente appréciation de l’euro dans une perspective plus large. Compte tenu des évolutions de l’année écoulée, et que les mouvements récents pouvaient davantage être perçus comme des fluctuations temporaires que comme s’inscrivant dans une tendance continue. »

Un impact plus marqué sur les prix (lié à une appréciation de l’euro) « ne devrait être attendu que si l’euro s’apprécie beaucoup plus qu’au début de l’année. On a estimé que cela était peu probable, les acteurs du marché ayant souligné que la précédente appréciation de l’euro avait été largement motivée par des opérations de couverture en réponse à l’incertitude engendrée par les annonces de tarifs douaniers américains début avril. »…

Une nouvelle appréciation de l’euro ne peut être exclue, dans un contexte d’anticipations croissantes de baisses des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine.

Certains ont affirmé que les perspectives plus positives pour l’économie de la zone euro avaient contribué à une appréciation de l’euro… Mais ce point de vue a été rejeté, « étant donné le faible taux de croissance de la zone euro et les diverses vulnérabilités entourant ses perspectives. »

De ce point de vue, une autre interprétation de la performance de l’euro était qu’elle reflétait en réalité une faiblesse fondamentale du dollar, compte tenu des révisions à la baisse des perspectives de l’économie américaine.

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